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Lola Ribreau – S4 – 2023/2024
Il est situé, au bout d’un bâtiment collectif, séparé par un joint de dilatation. De plus il donne
au nord-ouest, notamment la pièce à vivre et la baie vitrée.
Cette position n’est pas forcément optimale car le logement aura du soleil uniquement sur
une partie de la journée, sachant que le soleil ne lève à l’est et se couche à l’ouest. En
conclusion, ils n’auront du soleil uniquement en fin d’après-midi. Ils ne vont pas alors
profiter de l’apport thermique et lumineuse du soleil en hiver surtout ou le cercle solaire est
très réduit. Surtout que la pièce à vivre devrait en temps normal etre placé au sud ou vers
l’est, et la partie nuit vers le nord, ors ici c’est l’inverse. En outre en été cela va être bon
point en été car le logement sera assez frai. De plus il est caché par l’autre bâtiment, donc
après quelques années, de l’humidité peut se développer dans le logement.
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L’implantation des pièces et les volumes sont assez bien répartis. On peut souligner le fait
que c’est un logement situé au RDC, donc qui serait accessible au PMR. Cela justifie le fait
que la SDE reste assez grande puisqu’il y a la place pour un fauteuil. Pareillement pour la
chambre, qui pour être accessible aux PMR doit avoir une surface minimum de 12m² avec
une profondeur de 3m20 et une largeur de 3m80. Dans notre cas la profondeur est de 3m67
et la largeur de 3m10.
Pour ce qui est du séjour/cuisine de 19.1m², il y a également assez de place car nous avons
une cuisine ouverte, et un cellier qui vient le compléter afin d’avoir plus de rangement. La
terrasse de 7m² couverte ajoute un espace de vie extérieure et un rangement de 2.6m².
Pour finir la hauteur sous plafond minimal doit être de 1m80, ici nous sommes à environ
2m50, ce qui est bien. En conclusion, c’est un logement correct pour ce qui est de la
répartition des pièces, de leurs surfaces et de leur fonctionnalité. Il fait un total de 39m²
intérieure.
On va maintenant calculer la compacité afin de pouvoir la comparer à celle d’un cube.
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Pour ce qui est de la valorisation des apports thermiques solaires et protections solaires, on
peut tout d’abord souligner qu’il y a la terrasse qui est couverte, sachant que celle-ci donne
sur la pièce à vivre, l’été cela va limiter les apports solaires trop important et donc un apport
thermique. En outre pour l’hiver, il n’y a pas tellement d’apport solaires et thermiques. Car il
y a seulement 2 parois vitré, et qui sont mal situé. Il y aurait pu avoir par exemple des
ouvertures situées sur la façade donnant sur le sud, car il n’y a aucune ouverture dans la
SDE.
De plus, selon la RE2020, la surface totale de surface vitrée doit être supérieure ou égale à
1/6 de la surface habitable en comptant la porte d’entrée pour l’accès à l’éclairage naturel.
On sait que les deux parois vitrées ont une surface totale de 7.82m², et que la porte d’entrée
environ 2.3m², donc un total de 10.12m². On sait que l’on a une surface habitable de 40m², il
faut donc un minimum de 7m², on rentre donc dans la réglementation.
Nous allons pouvoir vérifier maintenant les performances thermiques des parois opaques et
des parois vitrés.
Parois opaques ;
On sait que pour qu’une paroi vitré soit optimal elle doit avoir un coefficient de transmission
thermique compris entre 1.2 et 1.6 W/(m².K), ns deux parois sont comprise dans cette
fourchette. De plus on sait que les deux fenêtres sont du double vitrage, ce qui est
obligatoire pour la RE2020.
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3. Calcul RE2020*
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STD-1 Mur extérieur ; changement : ITE en ITI et changement de l’isolant laine de verre pas de ouate
de cellulose.
STD2- Agrandissement de la fenêtre de la chambre (2x0.95) et ajout de deux fenêtres ; une dans le
séjour et une dans la sdb. (1.45x0.8)
STD3- Ajout d’une casquette solaire et remplacement des menuiseries par des menuiseries ayant un
facteur solaire plus élevée.
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STD-0 :
On peut voir que lorsqu’on baisse de 3°C le thermostat lorsqu’il n’y a personne dans la
maison et la nuit, le besoin de chauffage va fortement diminué par rapport à la base étudié ou le
chauffage était à 19°C constamment. Cela va permettre d’économiser de l’énergie en ajustant la
température selon les besoins réels, ce qui va réduire les couts énergétiques et l’empreinte carbone.
En outre cela ne va pas faire changer le taux d’inconfort.
STD-1 :
La variante 1 va aussi faire baisser les besoins de chauffage, lorsque l’on va changer l’isolant
et remplacer l’ITI par de l’ITE. Cela se traduit par le fait qu’en remplaçant la laine de verre par de la
ouate de cellulose, les murs auront moins de pertes et seront plus performant thermiquement car le
lambda de la ouate de cellulose est beaucoup moins élevé que la laine de verre. Alors le mur aura un
coefficient thermique U moins élevé, et donc mieux isolée. De plus, passer à de l’isolation par
l’extérieure, va fortement réduire les ponts thermiques, dans les coins par exemple, et va améliorer
l’efficacité énergétique afin de permettre de réduire les pertes de chaleur en hiver et les gains de
chaleur en été ; alors des économies d’énergie.
Pour ce qui est des résultats de la RE2020, cela n’a pas bouger grand-chose, uniquement le
Cep qui baisse un petit peu. Au niveau des points du Bbio, ceux du besoin de chauffage ont baissé,
mais ceux du besoin de climatisation ont doublé, car la climatisation fera beaucoup de vague.
L’article n’est alors pas validé car uniquement 1 facteurs sur 5 est au vert.
STD-2 :
Pour la variante 2, augmenter la surface vitrée, augmente le taux d’inconfort, car il y aura
plus de pont thermique. De plus, les besoins de chauffage augmentent également, car il y aura plus
de froid qui rentrera par les fenêtres.
Pour les résultats de la RE2020, il y a uniquement le Cep qui passe, donc 1 facteur sur 5 au
vert, l’article n’est alors pas validé. Pour la décomposition, des points du Bbio, le besoin de
climatisation baisse par rapport à la variante 1.
STD-3 :
On peut voir que ce qui va faire changer les taux d’inconfort est la variante 3, qui consiste à
rajouter des protections solaires et augmenter le facteur solaire (Sw) des fenêtres, cela est du au fait
qu’en été il fera moins chaud car les fenêtres seront protégées. Alors cela améliore le confort
thermique et donc amélioré la qualité de vie des occupants. En outre cela augmente le besoin de
chauffage.
Pour les résultats de la RE2020, le facteur Dh est très élevée, car les besoins de chauffage et
de de refroidissement du bâtiment augmente sur la période de temps.
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STD-var :
Pour la variante, j’ai décidé d’ajouter ensemble la solution 1 et la solution 3, afin d’améliorer les
calculs de la RE2020, résultat obtenue :
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Résultats obtenus :
Solution 1 :
Pour la solution 1, nous avons installer un CESI pour produire l’ECS du logement. Pour cela
nous l’avons mis le capteur solaire au Sud à 45° à une distance de 3.5m du ballon solaire.
Ainsi grâce à cela nous avons réussi à passer le coefficient Cep,nr au vert, qui présente la réduction
des besoins en énergie du bâtiment. En utilisant la production solaire, cela représente un effort de
réduction de consommation d’énergie du bâtiment.
Solution 2 :
Pour la solution 2, nous avons remplacé la chaudière gaz à condensation par un poêle à bois
pour le chauffage, alors l’appoint d’ECS sera alors assuré par une résistance électrique. Nous avons
utilisé la marque Atlantic et le modèle Nuance 5006. Grace à se changement nous avons réussi à
passer le Ic,énergie qui fait référence à l’indicateur qui évalue la consommation d’énergie primaire en
prenant en compte tous les aspects de sa consommation énergétique. En utilisant une autre énergie
de chauffage, cela fait baisse ce facteur. Ainsi sur le plan environnemental, le bois est plus écologique
que l’énergie gaz, car le bois est une énergie renouvelable.
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Conclusion
Le but de cette SAE était d’une part d’optimiser la conception bioclimatique du logement de
la Tour carré. Cette optimisation vise à assurer un confort thermique en été tout en limitant les
apports de chaleur tout en maximisant l’utilisation des énergies renouvelable.
Dans un premier temps, nous avons mener une analyse critique de la conception du
bâtiment existant en analysant les plans, les coupes, son orientation et son modèle pléiade. Cette
analyse nous à permis de de déterminer les points forts et faible du projet initial.
Dans un second temps, nous avons effectué des simulations thermiques et des calculs de la
RE2020 pour différente variante. Pour cela nous avons utilisé le logiciel pléiade, que nous avons bien
pris en main grâce à cette SAE. Nous avons cherché à optimiser la conception bioclimatique du
bâtiment et à garantir la conformité à la RE2020. Puis par la suite nous avons analysé les résultats de
chaque simulation pour voir quelle solution était la plus efficace. On peut voire c’est la dernière
solution qui à tous les facteurs de la RE2020 au vert.
Pour conclure ce projet nous à permis de nous familiariser avec le logiciel Pléiades et d’avoir un
esprit critique sur les résultats obtenus.
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