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UROLOGIE

PROSTATE :

La prostate est une glande sexuelle secondaire de


l’homme par opposition au testicule qui est primaire,
pesant 20 à 25 g/dl.
Elle est située à la face postéro-inferieure de la vessie,
au dessus du plancher périnéal, en avant du rectum et en
arrière de la symphyse pubienne. Par sa position
anatomique, elle participe à la fonction de continence
chez l’homme.
Elle a la forme d’une chataigne ou d’un cône, à base
supérieure et à sommet inférieur.
La consistance est ferme et de coloration blanchâtre.

Elle secrète un liquide laiteux,légèrement acide,


contenant le citrate, le zinc, les enzymes (phosphatase
alcalin et acide), la prostatic specific antigen (PSA).
On l’appelle Antigene spécifique de la prostate pcq c’est
une proteine qui est secrétée uniquement par
l’epithélium glandulaire de la prostate.

Son liquide donne la capacitance au spermatozoïde.

La prostate, de même que les vésicules séminales, fait


partie des glandes séminales accessoires qui fabriquent
le plasma séminal, à partir duquel le sperme est formé.
Les sécrétions prostatiques, acides, contiennent du zinc,
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de l'acide citrique et de l'albumine, laquelle favorise la


mobilité des spermatozoïdes. Elles sont sous le contrôle
des androgènes (hormones mâles, sécrétées
principalement par les testicules).

Q/Prof LUFUMA : Comment subdiviser la


prostate ?
R/ 1° Sur le plan anatomopathologique :
-Tissu glandulaire (secrète le PSA)
-Tissu musculaire
-Tissu conjonctif
La tumeur benigne ou maligne de la prostate par rapport
à ces différents tissus

Tumeur bénigne Tumeur maligne


T. Glandulaire : Adénome Adénocarcinome
T. Musculaire : Léiomyosarcome
Léiomyome
T. Conjonctif : Fibrome

2° Macroscopiquement :
La prostate est formée de 2 lobes latéraux (gauche et
droite) et 1 lobe médian qui entre dans la vessie et c’est
ce lobe qui est très disectasiant (c.à.d. provoquant des
troubles urinaires).

Mais la prostate est subdivisée selon :


- La classification de Gil Vernet : a 2 parties
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Partie crâniale (où se développe l’HBP) et la Partie


caudale (où se développe l’Adénocarcinome) ;

- La classification de Mc Neal : a 5 zones


1) ZONE CENTRALE
2) ZONE PERIPHERIQUE
3) ZONE PERI-URETRALE
4) ZONE DE TRANSITION
5) COUCHE FIBRO- MUSCULAIRE
ANTERIEURE

Selon Mc Neal, l’HBP se développe au niveau de la


zone péri-urétrale et transitionnelle ce qui explique
que l’HBP donne précocement des signes urinaires.
L’Adénocarcinome se développe au niveau de la
zone périphérique d’où l’Adénocar donne des
signes urinaires tardifs. Si les signes urinaires
apparaissent, ce que la maladie est très avancée.

Q/Quelle est la valeur normale de la PSA ?


R/ dépend des Kits utilisés pour le dosage de PSA et de
l’échantillon de l’analyse.
Au Congo, on utilise le Kit WIDAL qui donne la
valeur normale de PSA ≤ à 4 ng/ml avec comme
échantillon le sang pcq on ne dose pas encore le PSA en
RDC en utilisant comme échantillon les urines.
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Mais il faut noter que le taux de PSA augmente en


fonction du volume de la prostate et des manipulations
de la prostate
1° Par rapport au volume
Pour HBP chaque ↑ de 1g vaut 0,35 ng/ml
Pour l’Adénocarcinome chaque ↑ de 1g vaut 3,5
ng/ml

Ex : A l’écho on estime le poids de la prostate à 50 g,


consistance lisse, élastique et indolore
Taux production de PSA 50 ×0,35= 17,5 ng/ml
Si elle est maligne, le taux de PSA : 50×3,5= 175
ng/ml

Sur le plan pratique, un clinicien peut sur base des


éléments de T.R et des renseignements échographiques
qui donnent le poids de la prostate estimer le taux de
PSA de son patient.

2° Par rapport à la manipulation de la glande


Toute anomalie, toute manipulation qui irritent
l’épithélium prostatique peuvent s’accompagner d’une
élévation du PSA.
Ex : T.R, Les biopsies prostatiques, le ballonnet de la
sonde vésicale à demeure, la prostatite,…

Q/ Pouvez-vous demander à votre patient de vous


faire le dosage de PSA après lui avoir fait le T.R ?
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R/ Non, le T.R irrite et stimule la production excessive


de PSA. Nous ne pouvons donc pas immédiatement
demander au patient de réaliser le PSA. Nous risquons
d’avoir un taux élevé et conclure à tort à une anomalie
alors que c’est ne qu’une augmentation induite par la
manipulation.

NB : La demi-vie du PSA est d’environs 3 jours, le taux


plasmatique de PSA induit est réduit de moitié après 3
jours. Donc, après manipulation de la prostate, il faut
attendre au moins 2-3 semaines pour demander le PSA
et obtenir la vraie valeur du PSA.
Q/Prof MUSHEGUERA : Intérêt clinique du
dosage :
R/ -phosphatase acide : renseigne sur le processus
cancéreux, adénocarcinome de la prostate
-phosphatase alcalin : permet de penser à des
métastases causés par la
Prostate

Q/Signes urinaires en cas de prostate augmentée de


volume ?
R/ Par sa situation anatomique postérieure et médiane
au niveau de la région du col vésical, la prostate en
augmentant de volume peut entrainer 2 grands
syndromes:

Syndrome obstructif Syndrome irritatif


a)dysurie : difficulté à -pollakiurie : augmentation de la
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vidanger la vessie fréquence mictionnelle

Variété ou types de dysurie -mictalgie terminale : douleur à la


-type goutte à goutte = fin de la miction
Incontinence par
regorgement : perte -miction impérieuse : le malade
involontaire d’urine goutte à est obligé d’interrompre coute que
goutte ; coute son activité pour uriner
-type goutte retardateur : le
patient croit avoir fini, en -mictalgie
remontant sa culotte, les
gouttes sortent et mouillent
les habits ;
-type jet faible : les urines
tombent juste à côté de ses
pieds
-type miction à deux temps :
pendant la miction, les urines
se coupent, le patient est
obligé d’attendre pour
poursuivre sa miction ;
-type en arrosoir ;
-type effort de démarrage :
le patient doit pousser pour
voir apparaitre les urines.

b) Rétention urinaire : aiguë


ou chronique
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Q/ Prof PUNGA : Qualité d’une bonne miction avec


son contraire ?
R/ Une bonne miction est :

Bonne miction Contraire


Facile Dysurie (difficile)
Indolore Mictalgie (douloureuse)
Complete (Totale) Incomplète (résidu post
mictionnel)
Volontaire Incontinence (involontaire)
Peu fréquente Pollakiurie (fréquente
Diurne Nocturne (Nycturie)
Procure la sensation de
bien être

Q/Prof MPUTU : différence entre incontinence et


énurésie ?
R/ Incontinence : perte permanente, involontaire et
consciente des urines
Enurésie : perte non permanente, involontaire,
inconsciente survenant pendant le sommeil chez l’enfant

Q/ Prof MPUTU : Différence entre incontinence et


énurésie ?
R/ Incontinence : perte involontaire d’urine par
l’urètre ;
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On a 2 types d’incontinence :
-Les vraies incontinences : où les pertes sont dues à
l’incompétence du complexe cervico-sphinctérien :
 Incontinence à l’effort : toux, rire, marche ;
 Incontinence par impériosité : malgré les efforts de
retenues, il y a fuite à cause du besoin ;
 Urination : patient incapable du moindre effort de
retenue, urine ; par exemple colère, émotion et fou
rire ;
 Enurésie : urination survenant de façon
involontaire au cours du sommeil ;
 Incontinence par regorgement : écoulement
permanent goutte à goutte.

-Les fausses incontinences : où les pertes d’urines sont


indépendantes du complexe cervico-sphinctérien. Il
s’agit plutôt d’une communication anormale entre la
vessie et une cavité en relation directe avec l’extérieure.
L’écoulement est permanent (nuit et jour) sans relation
avec l’effort ou le besoin d’uriner ; ex en cas de fistule
vesico-vaginale ou uretero-vaginale.

NB : Miction = acte reflexe d’évacuer les urines


contenues dans la vessie ;

Anurie = absence d’urine dans la vessie. Elle peut


être Sécrétoire (au niveau du rein) ou Excrétoire (au
niveau des uretères, dans le cas du cancer du rectum) ;
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Impuissance sexuelle : incapacité d’avoir


l’érection et de le maintenir;
- Erection = capacité d’avoir le pénis rigide et de le
maintenir jusqu’au moment de l’éjaculation ;
- Priaprisme = est une érection permanente,
involontaire qui ne se termine pas par l’éjaculation.
Le priaprisme est induit par :
 L’anémie SS ;
 Maladie de Hodgkin ;
 Diurétiques (Diamox) ;
 Plantes traditionnelles.
Les étiologies de l’impuissance sexuelle sont :
 Maladies urologiques : traumatismes du bassin,
cancer de la vessie ou prostate ;
 Maladies neurologiques : DBT ;
 Maladies vasculaires : artériosclérose de l’artère
hypogastrique qui vascularise l’appareil urinaire ;
 Le priaprisme.

Q/ Quelles sont les différents besoins d’uriner :


R/ B1 : Besoin habituel et vite oublié
B2 : Besoin passant
B3 : Besoin impérieux
B4 : Besoin imminent

Q/ Prof PUNGA: Comment objectiver la dysurie ?


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R/ Faire un examen urodynamique appelé la


débitmètrie
Normale : -homme : 15 cc/sec
-femme : 30 à 50 cc/sec
Cet écart entre l’homme et la femme est pcq l’urètre de
la femme est court et évasé par rapport à l’urètre de
l’homme.

Normalement, la débitmètrie (qui est un examen


urodynamique qui permet de donner la quantité d’urine
émise par unité de temps) se fait avec un débitmètre.
Dispositif qui n’est pas disponible dans tous les
hôpitaux. Mais de façon empirique, nous pouvons rien
que avec le chronomètre et le bac gradué.
Demander au patient d’uriner dans un bac gradué. Au
début de la miction le médecin déclenche le
chronomètre il va arrêter ce chrono quand le patient
aura complètement fini.
A la fin de la miction, il pourra mesurer la quantité
d’urine émise par rapport au temps.

Q/ Dr TSHITALA : Stade de Guyon = Stades


d’obstruction cervico-prostatique ?
R/ 3 stades

Stade I = Stade de prostatisme


- une dysurie plus 1 ou 2 signes de syndrome
irritatif
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- le résidu post mictionnel est normale c.à.d. ≤


50cc

Stade II = Stade de rétention vésicale incomplète ou


de rétention sans distension vésicale
- un signe de syndrome irritatif et c’est souvent la
Pollakiurie
- résidu 50 à 100 cc
-Rx montre une vessie de lutte (il y rétention non
distendu)

Q/Prof MWEPU : Que va devenir cette vessie ?


R/Va s’hypertrophie et devenir une vessie myocarde

Stade III : Stade de rétention avec distension vésicale


La vessie fatiguée de lutte, se laisse distendre et la paroi
myocarde s’aminci.
Ici on a :- une rétention urinaire chronique avec miction
par regorgement
- le résidu post mictionnel égale à la capacité
vésicale normale qui est de 300cc car la vessie est
toujours pleine
- Le patient présente les signes d’une insuffisance
rénale : HTA, givre urémique, diathèse
hémorragique, œdème généralisé, etc.…
- A l’échographie, on note une dilatation des
uretères, des cavités pyélocalicielles et des reins. A
cause de cette dilatation, les courbures urétéraux
dans la vessie se redresse et le patient présente un
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reflux vésico-urétérale secondaire avec


retentissement sur le haut appareil urinaire.

Q/ Il y a combien de rétention urinaire ?


R/ il y a deux types :
-aigue
-chronique

Q) Prof LUFUMA : différence clinique entre une


rétention aigue et une rétention chronique ?
R/
Eléments RUA RUC
Mode Brutal Lente
d’installation
Attitude Agité comme Est calme
Couvelaire a dit
« uriner ou
mourir »
Le globe Une voussure Une voussure
hypogastrique hypogastrique
convexe, mate à convexe, molle et
la percussion, indolore
dure et
douloureuse
Pression La pression du La pression du
globe exagère globe ne donne
l’envie d’uriner pas l’envie
d’uriner
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Signe associé Aucune goutte Le patient


d’urine ne sort présente une
miction par
regorgement
(c’est le trop
plein qui
s’évacue alors
que la vessie
reste en
rétention)

Chapitre I : HYPERTROPHIE BENIGNE DE LA


PROSTATE

L’HBP est une tumeur bénigne de la prostate dont son


étiologie reste encore mystérieuse.
En grandissant, à partir de 40-45 ans, soit :
- Prostate ↑ de volume : soit avec signes urinaire,
soit sans signes urinaires
-Prostate ↓ de volume

Q/Différence entre hypertrophie et hyperplasie ?


R/ Hypertrophie : ↑ du volume de la cellule qui ↑ de
volume de l’organe
Hyperplasie : ↑ de nombre de cellule qui ↑ de
volume de l’organe
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NB : l’HBP est une hyperplasie de cellules glandulaires


prostatique, mais c’est de façon abusive que l’on
nomme hypertrophie pcq en anatomopathologie, on
parle d’hyperplasie.

Q/Prof PUNGA : Une prostate normale a une


consistance comparée à quoi ?
R/ au muscle thénar si les doigts sont fléchis

Q/Prof LUFUMA : Si prostate douloureuse, tu


penses à quoi ?
R/ A une Adénomite (l’inflammation de l’adénome).

CLINIQUE :
- Syndromes obstructifs et irritatif
- L’examen capital est le TR qui montre, une
prostate ↑ de volume, de surface lisse et régulière,
de consistance élastique ou ferme et indolore.
Q/Examen capital pour diagnostiquer l’HBP ?
R/ c’est le TR (patient en décubitus dorsal ou genu
pectoral), vessie complètement vide.

Q/ Les renseignements que nous donne le TR chez


un patient normal
Chez l’homme le TR apprécie :
- Le sphincter anal ;
- L’ampoule rectale ;
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- La prostate.
Chez la femme elle apprécie les 2 premiers.

PARACLINIQUE :
Les EPC sont des examens de retentissement car le
bilan ou l’examen de certitude est le TR
1er groupe : - ECBU : pcq l’obstruction que crée la
prostate augmentée de volume entraine la stase dans la
vessie. Or la stase, c’est le milieu de pullulation des
germes ;
-Bilan inflammatoire (GB, FL, VS) :
pour confirmer l’infection ;
-Fonction rénale : urée, créatinine et
ionogramme sanguin (pcq l’obstruction empêchant
l’évacuation des urines, stase, dilatation de la vessie, au
3èm stade de Guyon, reflux vésico-urétéral bilatéral,
uretero hydronéphrose impliquant à une insuffisance
rénale) ;
-Taux de phosphatase alcalin ;
-Taux de PSA.

2ème groupe : - Imagerie : Echographie


prostatique (voie endorectale ou sus pubienne): voit le
volume de la prostate et donne le poids de l’adénome ;
Endoscopie : qui confirme
l’augmentation de la prostate
UIV
NB : Si Prof PUNGA dit échographie prostatique
transrectale
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Echographie abdomino-
pelvienne : voit l’état de la cavité pyélo-calicielle à la
recherche des cavités pyélocalicielles témoin de
l’uretero hydronéphrose bilatérale ;

3ème groupe : Urodynamique, débitmètre


4ème groupe : Endoscopique : visualise la prostate et
permet la résection si tumeur inférieure à 60 g

PEC:
Peut être médicale ou chirurgicale

Médicale : -produit qui permet uniquement l’ouverture


facile du col :
Le α-bloquant (Xatral ou Urgenin), car sur le
col vésical, urètre et prostate on a les récepteurs α-1
adrénergique qui, si activé se contracte et induit la
vasoconstriction or sur le corps de la vessie on a le
récepteur β qui si activé, induit le relâchement de la
vessie.
Dons en donnant les α-bloquant, on permet
l’évacuation facile de la vessie pcq il y a relâchement du
muscle du col, du muscle lisse urétral et de la capsule
prostatique et les α-bloquant en plus inhibe
l’hyperactivité du détrusor.
NB : Les α-bloquant n’agissent pas sur le volume ni la
taille de la prostate. Ils facilitent seulement la vidange.
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- produit qui permet uniquement la ↓ du


volume de la prostate : les inhibiteurs de 5 α-réductase
(Proscar). La testostérone est produit dans 90% par les
testicules par les cellules de Leydig et 10% par la zone
réticulé du surrénale (la surrénale a 3 zones : zone
glomerulée,fasciculée et reticulée) car sa zone fasciculé
(zone fasciculé de la surrénale) → les glucocorticoïdes
et sa zone glomérulaire→ les minéralo-corticoïdes.
Dans le sang, une bonne partie de testostérone serra
pris en charge par les protéines plasmatique comme
l’albumine, la testosterone bending, globuline et
d’autres protéines et la minorité serra transformé par
l’enzyme 5 α-réductase (située dans la membrane
nucléaire des cellules prostatiques) en
dihydrotestosterone (DHT). Celui-ci (DHT), ira dans
la cellule nucléaire prostatique → production d’ARN
messager→ production des acides aminés de protéine
pour la croissance de la glande.
Le 5 α-réductase est une enzyme qui permet la
transformation du testostérone en dihydrotestosterone Si
on inhibe la 5 alpha réductase, il n’y aura plus de
dihydrotest (forme active), d’où diminution de volume
de la prostate.

Chirurgicale : ADENOMECTOMIE

Q/Prof PUNGA : Indications ?


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R/ -indication de confort : si vie sociale est perturbée


ex : un directeur qui doit toujours aller uriner pendant
une réunion
-indication de principe : qui représentent les
complications du à l’HBP
1) si hématurie massive à répétition
2) si lithiase urinaire d’organe
3) si infection urinaire à répétition
4) si insuffisance rénale
5) si dilatation de calice
6) si résidu post mictionnel importante
7) si rétention urinaire récidivante
8) si insuffisance rénale : HBP aven tumeur de
la vessie associée
(Mais pour les autres professeurs, il faut donner seulement
les indications de principe)

TECHNIQUE D’ADENOMECTOMIE
 Se fait soit sous endoscopie si HBP < à 60 g,
 soit à ciel ouvert (2 techniques) si HBP sup à 60g

Technique de HRYNTSCHAK : C’est une


adénomectomie transvésicale, on ouvre la paroi
antérieure de la vessie, l’adénome visualisé bombé à la
paroi postérieure et on fait l’hémostase prostatique,
énucléez et assurez la prostate dans la loge enfin laissez
la sonde à 3 voies
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Technique de MILLIN : est retro pubienne. On ouvre


la capsule prostatique après avoir bien décoller l’espace
de RETZIUS

COMPLICATIONS POST- OPERATOIRES

IMMEDIATES PRECOCES (après TARDIVES


(1ères 24h) 24h jusqu’à l’ablation (après ablation
des fils et des sondes des sondes)
urinaires)
-Hémorragie : -Hématome de -sclérose du col
c’est la loge l’espace de Retzius ; vésical justifiant
prostatique et le -Maladie une fois de pus,
Retzius qui va thromboembolique la dysurie ;
saigner car chirurgie du petit -éjaculation
bassin, d’où mettre rétrograde pcq
sous Fraxiparine ; lors de
-Infection de la plaie l’adénomectomie,
opératoire on peut être
-Fistule vésico-cutanée obligé d’enlever
si technique de le col et donc le
Hryntchak utilisée ; sphincter lisse
-Rétention sur qui ferme
caillotage de la sonde normalement
pcq en post op, on l’accès de la
laisse en place une vessie au sperme
sonde Foley à 3 voies
pour irrigation
continue de la vessie à
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cause de l’hémorragie ;
- Syndrome de
réabsorption
transurétral en sigle
« TURP » ;
- Incontinence urinaire,
si l’intervention a lésée
le sphincter strié.

Le Sdr de réabsorption transurétral est la complication


qui est liée au passage d’une partie liquide d’irrigation
hyperosmolaire dans la circulation. La prévention pour
éviter ce Sdr, il faut utiliser de solution isotonique pour
l’irrigation de la vessie.
Ce Sdr provoque : - Une hypervolemie avec
hypernatrémie de dilution ;
- HTA
- Troubles neurologiques de type
confusionnel
Le traitement de ce Sdr, c’est l’administration de
Diurétique

COMPLICATIONS DE L’HBP
1. C’est l’hématurie macroscopique
Q/Cause ?
R/ -A la rupture des varices :
Il se crée sur la paroi vésicale postérieure en regard de
la prostate des dilatations veineuses permanentes dues à
l’adénome de la prostate. Ces veines peuvent se rompre
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et déverser leurs contenus qui est le sang dans la vessie


et entrainer l’hématurie macroscopique.
- Par une cystite hémorragique :
La cystite est justifiée par l’infection de la vessie liée à
la stase due à la prostate. La stase est un milieu de
pullulation des germes. La stase créée par la prostate va
provoquer la précipitation des cristaux d’urate qui
peuvent former des calculs sur la voie urinaire. La
lithiase d’organe provoque la lésion de l’endothélium
urinaire.

2. Une infection urinaire à répétition car stase


A cause de sa position, la prostate augmente de volume
empechera la vidange vésicale, la non vidange vésicale
entraine la stase or la stase est un bon milieu de culture
des microbes, d’où infection.

3. Une lithiase d’organe :


L’HBP à cause de l’obstruction qu’il provoque, il
entraine une stase. De ce fait ces cristaux d’urate qui
devaient être éliminé par les urines, vont se précipiter et
former des calculs.
L’HBP entraine ou provoque une lithiase d’organe.
Q/ Il y a combien de type de lithiase ?
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4. Une insuffisance rénale car uretero hydronéphrose


L’HBP peut entrainer l’insuffisance rénale par : - le
reflux vesico-urétéral bilatéral
- une
pyélonéphrite
5. Rétention urinaire
Q/ Quelle est la PEC d’une RUA ?
R/ En urgence lorsqu’on ne possède pas des matériels
adéquats pour réaliser la dérivation d’urine, et on se
trouve loin d’un hôpital ; on peut réaliser une ponction
sus pubienne évacuatrice pour soulager momentanément
le patient mais à savoir les ponctions sus pubienne
entraine le fragilisation de la paroi vésicale et infection.
On réalise une Cystostomie

Q/ Il y a combien de cystostomie ?
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R/ - A minima où on le réalise avec un Cystocath ;


- A ciel ouvert où on est obligé d’ouvrir la vessie
pour déposer la sonde
- Le sondage vésical

Q/ Quelles sont les différentes sondes que vous


connaissez ?
R/ Il existe de très nombreuses variétés, tant par leur
forme générale, la forme de leur extrémité distale, leur
calibre, l’existence ou non des orifices latéraux

1. Sondes simples
Selon la forme générale, on parle de :
- Sonde droite (pas de courbure) ;
- Sonde béquillée (comporte une courbure) ;
- Sonde berniquée (comporte des courbures
inversées)

Selon la forme de leur extrémité :


- Sonde cylindrique ;
- Sonde à bout ovalaire ;
- Sonde à bout rond orifice terminal coupé ;
- Sonde à extrémité ouverte en biseau.

Selon l’existence ou non des orifices latéraux :


- Sonde sans œillet ;
- Sonde avec œillets latéraux.
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Ainsi nous avons :


- La sonde de Nélaton (droite, cylindrique avec œillet
latéral) ;
- La sonde de Maisonneuve (droite, cylindrique,
orifice terminal sans œillet) ;
- La sonde de Mercier (cylindrique, béquillée à 2
œillets) ;
- La sonde de Tiemann

2. Sondes à ballonnet, de Foley


Ces sondes peuvent être droite ou béquillée, extrémité
biseautée ou cylindrique et possèdent en général 2
orifices latéraux. Mais ces sondes possèdent un moyen
de fixation propre en comportant un ballonnet qui doit
être gonflé.

3. Sondes pour irrigation vésicale


Ce sont des sondes de Foley à 3 voies

4. Les bougies
Ce sont des sortes de sondes rigides pleines et de très
petits calibres servant à l’exploration ou à la dilatation
des voies urinaires.

5. Sondes à demeure
Exemple : - Sonde de Pezzer
-Sonde Malecot
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Q/ Quelle est la téchnique de sondage ?


R/ La technique de sondage diffère qu’il s’agit de
l’homme ou de la femme.
Dans les 2 cas, le sondage se fait avec Asepsie
(désinfection, mise en place d’un champ troué, emploi
des gants stériles). Il est tjrs mieux si possible de mettre
le patient en confiance.

Il faut utiliser la Xylocaïne sous forme de Gel qui joue 2


rôles :
- Anesthésie la muqueuse urétrale pour la rendre
moins sensible ;
- Lubrifier le canal pour faciliter le passage de la
sonde.

En écartant les grandes lèvres et petites, on découvre un


orifice urétral situé en médial en arrière du clitoris. On
introduit la sonde et à 3-4 cm, on est d’jà dans la vessie.

On tire le pénis au zénith après désinfection pour


redresser l’urètre pré-pubien et on introduit la sonde à
9cm, il bute sur la 2ème courbure en amont. On rabat le
pénis pour épouser la 2ème courbure retro pubienne.

Chapitre II ADENOCARCINOME DE LA
PROSTATE
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Pathologie qui touche les hommes après 50 ans. Sa


cause est inconnue. C’est parmi les cancers de l’homme
qui sont androgénodépendante. Donc la tumeur croit
avec la production des androgènes (Testostérone).
Q/ Pourquoi le chien ne fait pas un adénocarcinome
de la prostate ou une HBP ?
R/ C’est pcq la prostate du chien n’a pas de capsule ce
qui provoque la manifestation des signes urinaires.
La prostate de l’homme présente une capsule ; si bien
que si la prostate augmente de volume étant donné que
la capsule prostatique n’a pas les caractéristiques de
l’élasticité, la capsule ne va pas se distendre suivant le
volume de la prostate. Cette capsule qui empêche la
prostate de trop se distendre en postérieur, entraine la
compression en antérieure (l’urètre) d’où manifestations
cliniques urinaires.

CLINIQUE : idem que l’HBP mais ici elle est tardive


-syndrome irritatif
-syndrome obstructif

TR : -prostate augmenté de volume


-surface irrégulière ou bosselée
-consistance dure (Si Lufuma : dire consistance
ligneuse ou pierreuse)
-indolore
- avec présence des nodules
Y inclure les éléments de système par système
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Q/Autres tumeurs ostéophytiques ?


R/ SPORT BUT
S cancer du sein
P cancer de la prostate
O cancer de l’ovaire
R cancer rénale
T cancer de la thyroïde

B cancer broncho-pulmonaire
U cancer utérin
T cancer testiculaire

Q/ Radiographie du thorax (poumon) montre quoi ?


R/ image en lâché de ballon

Q/ Comment justifier l’anémie en cas d’un adénocar


de la prostate ?
R/ L’anémie peut être due :
- Syndrome para néoplasique

- Atteinte rénale : les reins secrètent de


l’érythropoïétine, nécessaire pour la fabrication des
GR, si les reins sont atteints, il n’y aura pas de
production de l’érythropoïétine, d’où Anémie.

Q/ Examen de certitude ?
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Anatomie pathologique : L’adénocar n’est confirmé


qu’après Biopsie. La biopsie peut être avec échographie
guidée ou à l’aveugle.

BILAN PARACLINIQUE
-d’orientation : -PSA : valeur très élevée sup à 10ng/dl
ou ng/ml
-Echographie prostatique
-Phosphatase acide (valeur normale 3UI/l) et
Phosphatase alcaline (valeur normale 30-100 UI/l).
L’activité de la Phosphatase alcaline renseigne sur les
métastases osseuses pcq ce passage de PA dans le sérum
reflète l’augmentation de l’activité ostéoblastique, c.à.d.
l’accroissement de l’ostéoformation.

-de retentissement : -ECBU (stase)


- GB, FL, VS (infection de stase)
- Fonction rénale (urée, créatinine,
ionogramme sanguin)
- Echo abdominal (voit l’état de cavité
pyélo-calicielle et viscère intra abdominal)
- Rx poumon (métastase)
-Scanner pelvien (voit l’état des
ganglions pelvien). Les 1èrs ganglions à être atteint
en cas d’Adénocar sont les ganglions de la chaine
iliaque externe et obturateurs
-Scintigraphie osseuse (permet
d’exclure les métastases osseuses)
- 29 -

-Hb, Ht (car insuffisance rénale cause


d’anémie)

Q/Prof PUNGA, les différents stades de


l’adénocarcinome ?
R/ plusieurs stade selon la classification de White more-
Jewette et TNM

Selon WHITE MORE et JEWETT : 4 stades


Stade A : Tumeur décelable histologiquement mais
pas au TR car la clinique est pauvre. A1 = Tumeur
unifocale, différenciée occupant moins de 5% du
volume de la glande et A2= Tumeur multifocale, peu
ou pas différenciée avec plus de 5% ;
Selon TNM on sera au T1 dont T1a= A1, T1b= A2 et
T1c= biopsie positive, PSA élevées ;

Stade B : Tumeur décelable au TR et limitée à la


glande prostatique. B1= si nodule inf. à 1cm de
diamètre à un seul lobe, B2= nodule sup à 1cm à un seul
lobe et B3= 1 ou +++ lobes aux 2 lobes ;
Selon TNM on sera au T2 dont T2a= B1, T2b= B2 et
T2c= B3 ;

Stade C : Tumeur ayant dépassée la capsule


prostatique. C1= envahissement de la capsule, C2 =
envahissement de la base des vésicules séminales et
C3= envahissement des vésicules séminales et des
organes voisins ;
- 30 -

Selon TNM on sera au T3 dont T3a= envahissement


extra-capsulaire unilatéral, T3b= envahissement extra-
capsulaire bilatéral et T3c= envahissement du sphincter
et/ou rectum ;

Stade D : Métastase à distance. D1= envahissement


des ganglions pelviens, D2= métastase viscérale à
distance (os, foie, poumons), D3.
Selon TNM on sera au N dont N1= ganglion inf. ou égal
à 2cm, N2= Ganglion sup à 2cm mais inf. à 5 cm et N3=
un ganglion sup à 5cm. M= D2

TRAITEMENT :
Le traitement du cancer de la prostate ne doit être
entrepris que si l’on a acquis la certitude du diagnostic.
Ce choix de la thérapeutique se base sur :
- Age du patient et nature histologique ;
- Etat vasculaire.

Stade A: Prostatectomie radicale ou une Radiothérapie.


La prostatectomie veut dire on enlève toute la glande,
on fait en plus un curage ganglionnaire ilio-obturateur
des ampoules différentielles, des vésicules séminales et
du col de la vessie ;

Stade B: Prostatectomie si sujet jeune (castration


médicale ou chirurgicale si sujet âgé).
Castration= privation hormonale
- 31 -

Stade C : La chirurgie radicale n’a plus d’indication


pcq la tumeur a envahi les organes de voisinage. Le seul
traitement efficace est le traitement anti-androgénique

Stade D : On fait la castration médicale ou chirurgicale

Explication
Castration ou la privation hormonale :
- Est médicale quand on utilise les Œstrogènes, les
agonistes de la LHRH, les anti-androgènes.
Les œstrogènes (Distilibène 1-3 mg/j) bloquent la
production hypophysaire de la LH et dons diminue la
production d’androgènes par les testicules. Ils
augmentent le taux de testostérone binding globuline
d’où une réduction de la testostérone libre. Ils diminuent
le taux d’androgène surrénalien. Effets 2aires : HTA,
AVC, Gynécomastie.

Les agonistes de la LHRH (Décapeptil, Zoladex)


injection IM toutes les 4 semaines car l’administration
régulière et excessive provoquera une diminution de la
production hypophysaire de la LH d’où la testostérone
baisse pour atteindre le taux de castration. Effet 2aire :
diminution de libido, impuissance, bouffée de chaleur.

Les anti androgènes comme Anadron, Androcur


empêchent la pénétration de la Dihydrotestosterone dans
le noyau des cellules prostatiques
- 32 -

- Est chirurgicale= castration chirurgicale

Q/ Pourquoi certaines personnes prescrivent au


patient le Nizoral qui est un Ketaconazole ?
R/ Le Nizoral est un antifongique qui a la propriété de
bloquer la fabrication des androgènes aussi bien dans les
testicules que dans les surrénales.
Il ne semble pas plus actif que les autres traitements
hormonaux, mais la toxicité est plus grande.

Q/ Quelle différence faite vous entre pulpectomie et


orchidectomie ?
R/ - La pulpectomie veut dire on laisse l’albuginée en
place ;
- L’orchidectomie, on enlève tout le testicule avec les
différentes couches, on ne laisse rien

NB : l’hormonothérapie est pour toute la vie


Quels que soient le mode de privation des androgènes
testiculaires (testosterone) ce cancer poursuit son
évolution. La suppression androgénique améliore la
qualité de vie des patients, mais pas ou peu leur durée
de vie.

PRONOSTIC :- même si hormonothérapie, castration, 2


ans après le pronostic est réservé
- 33 -

Q/ Faite un tableau comparatif des maladies


prostatiques les plus courantes que vous connaissez
sur le plan ?

TR de la HBP Adénocarcin Prostat Prostatit


prostate ome ite e
aigue chroniq
ue
Volume Augme Augmenté Augme Plus ou
nté nté moins
augment
é
Consistan Elastiq Dure Elastiq Ferme
ce ue ou (ligneuse) ue ou
ferme ferme
Surface Réguliè Irrégulière Lisse Lisse ou
re avec nodules (réguliè parfois
(lisse) re) nodule
par
calcificat
ion
(irréguliè
re)
Douleur - + ou - +
+++
Prostatorr - - - ++
hée
- 34 -

Chapitre III FISTULE VESICO-VAGINALE (FVV)

1) Définition : communication anormale entre la voie


génitale et la voie urinaire de la femme,
précisément entre le vagin et la vessie.

2) Classification :
Q /Donnez la classification de FVV ?
R/ il y a plusieurs types de classification de FVV.
-Classification ETIOLOGIQUE
- Classification de BARROUX (que le Prof LUFUMA
aime)
- Classification de KEES et WALDJICK (que Le Prof
PUNGA aime)
- Classification de GOH (que le prof PUNGA aime
encore)
- Classification de CERAPHIN

A) Classification de COUVELAIRE
C’est une classification étiologique
Q/ Expliquez la survenue ?
A.1) Fistule gynécologique :
Lors de l’accouchement, si disproportion fœto-
maternelle (grosse tête et petit bassin), à la descente, la
- 35 -

tête va coincer le vagin et la vessie contre le pubis. Ceci


conduit à l’ischémie qui donnera l’escarre et tombe à la
longue. Ainsi on a une fistule.
A.2) Fistule chirurgicale
Souvent lors d’une hystérectomie, en faisant la suture, le
nœud prend le vagin et la vessie. Comme trop serré,
ischémie, en fin fistule. Soit après césarienne.
A.3) Fistule tumorale (car le tissus devient friable)
comme le néo du col et de l’utérus
A.4) Fistule traumatique
A.5) Fistule radique lors de la radiothérapie

B) Classification de CERAPHIN
1) FVV simple : Fistule inf. à 1cm et qui siège au niveau
de la cloison
2) FVV compliqué : atteinte du col et du sphincter
vésicale
3) FVV complexe : atteinte du col, du sphincter vésicale
et rectum

C) Classification de BARROUX
1) type I : Fistule uretero-vaginale
N’intéresse pas la vessie
2) type II : FVV siègent au niveau de la cloison avec
diamètre ≤ à 2,5 cm. Le sphincter et le col sont intacts
3) type III : FVV siègent au niveau du col vésical
4) type IV : c’est le type II avec diamètre> à 2,5 cm et le
col est intact
- 36 -

5) type V : c’est l’association de la cloison vaginale


avec atteinte du col vésicale et de l’urètre

NB) La catégorie selon la classification de Barroux qui


n’empêche pas la patiente de sentir le besoin d’uriner
est la Catégorie I pcq la fistule ne se manifeste que si la
patiente urine. En dehors de la miction, les urines ne
passent pas par le vagin.

Pour le Prof LUFUMA, il faut ajouter à la


classification de Barroux les lésions du vagin et de
l’urètre qui sont :
Car il pose comme question :
Q/ Quelle est la place du TV dans le diagnostic de
FVV ?
R/Pour apprécier l’état de la paroi vaginale.
Lésions vaginales : F= fibrose et Va= vagin c.à.d.
FVa= fibrose vaginale
FVa o : la paroi (muqueuse) vaginale est encore
souple
FVa I : la paroi (muqueuse) perd sa souplesse par
endroit (± rigide)
FVa II : la paroi (muqueuse) vaginale est rugueuse
FVa III : la paroi vaginale est cartonnée

Lésions urétrales : L’urètre de la femme est long de 3 à


4 cm et est évasé et court ainsi pas de sténose. Or chez
l’homme en moyenne 16 cm.
- 37 -

Ici on mesure la longueur de l’urètre restant avec


l’hystéromètre
U I : si longueur normale ≈ 3 cm
U II : si urètre ne reste que 2 cm de l’urètre bon
U III : si ne reste que < 1 cm de l’urètre bon

Q/Prof LUFUMA. Femme avec FVV du col et au


TV, perte de souplesse et 2
cm de l’urètre restant. Donnez la formule
diagnostique de cette femme ?
R/ FVV du col= BARROUX type III
TV ± souple= FVa I
Longueur reste de 2 cm= U II
Donc on a pour formule : TYPE III FVa I U2

D) classification de KEES et WALDJICK


-Si Prof PUNGA n’est pas là, évitez de citer cette
classification mais si il est présent, dire : actuellement
on utilise la classification de KEES et WALDJICK
-Elle met l’accent sur l’atteinte du sphincter
1) type I : l’appareil de la continence est normale
2) type II : atteinte circonférentielle de cet appareil
3) type III : atteinte complète de l’appareil de la
continence

Classification de KEES WAALDIJK


1. Fistule distante du mécanisme sphinctérien
2. Fistule entreprenant le mécanisme sphinctérien :
- 38 -

a) Sans lésion de l’urètre : - Sans lésion


circonférentielle
- Avec lésion
circonférentielle
b) Avec atteinte partielle ou complète de l’urètre : -
Sans défet circonférentiel

- Avec défet circonférentiel


3. Autres fistules : ex : Urétro-vaginale

3) Clinique
Q/Donnez les 3 signes que la femme va vous
rapporter ?
R/ * Odeur urineuse
* Facies d’angoisse à l’entrée
* Le linge mouille
Q/Comment faire l’examen clinique d’une femme
fistuleuse ?
R/1) Inspection : Regardez la face interne des cuisses,
la vulve et le périnée, apprécie la coloration de la peau.
On va déceler les lésions de grattage et d’irritation.

2) TV : permet : -d’objectiver la FVV


-d’apprécier la souplecité de la
muqueuse vaginale
-de localiser la fistule
- apprécie l’état de la muqueuse
vaginale
- 39 -

-en fin, d’estimer le diamètre de la


fistule
3) On fait l’examen à la valve qui permet de
visualiser et localiser la FVV
4) On mesure le reste de l’urètre avec
l’hystéromètre
5) On fait le test au bleu de méthylène

Q/ Comment faire le diagnostic différentiel entre


fistule uretero vaginale et fistule vésico- vaginale ?
R/-Si FUV : on a l’incontinence urinaire
- A l’aide du test au bleu de méthylène.

Technique : * Matériels : - Compresse sèche


- Bleu de méthylène
- Une seringue ou sonde
vésicale

*Méthode : - Placez la boule de compresse


stérile dans le vagin
- Placez une sonde dans la
vessie et injectez à travers cette sonde, le bleu de
méthylène et clampez la sonde (ceci évite la sortie du
produit) et retirez la compresse intra vaginale.
- Si compresse est teintée dire Fistule vésico vaginale
- Si n’est pas teintée= fistule uretero vaginale

NB : Le test du bleu de Méthylène permet de confirmer


la FVV
- 40 -

4) Paraclinique
Le diagnostic de FVV est clinique. On peut demander
certains examens d’orientation et de retentissement.
- Retentissement : Fonction rénale : Urée, créatinine,
Ionogramme sanguin
ECBU, GB, FL, VS pcq la FVV
provoque une infection urinaire
Echographie pour voir le
retentissement sur le haut appareil, la FVV provoque
des lithiases qui peuvent être visualisé à l’Echographie.

- Orientation : UIV et Cystoscopie (permet de voir la


fistule)

5) Prise en charge
La FVV n’est soignée que par la chirurgie.
Chirurgicale :
-fermeture de la fistule (dédoublement fermeture donc
suture du vagin d’un côté et de la vessie de l’autre coté)
-d’autre renforce la cloison de séparation soit par le
muscle droit interne ou épiploon.
Selon KIRCUTA : coupé le droit interne avec son
pédicule et la passé dans le périnée
-si lésions urétrales, faire l’urétroplastie
-si lésions du col vésicale, faire la sphinctéroplastie
- 41 -

Chapitre IV STENOSES URETRALES

Définition : Rétrécissement du calibre de l’urètre qui


s »accompagne de la réduction du débit C’est une
maladie cicatricielle. Et attaque plus l’homme.
Raison : -car le diamètre de l’urètre de l’homme est petit
(rétréci : 6-7mm) par rapport à celui de la Femme (+ ou
Ŕ évasé : 7-8mm) ;
- et l’homme a un long urètre ≈ 16 cm mais la
femme un urètre court≈ 3 à 4 cm

Q/ Prof LUFUMA : donnez les différentes parties de


l’urètre ?
R/Il y a 3 types de subdivisions :
* TOPOGRAPHIQUE
L’urètre de l’homme est subdivisé en 3 parties selon les
différents organes qu’il traverse :
- L’urètre prostatique (25-30mm): partie de l’urètre qui
traverse la prostate ;
- L’urètre membraneux (12mm): partie de l’urètre qui
traverse le périnée ;
- L’urètre spongieux (12cm) : l’urètre qui traverse les
corps spongieux du pénis.

*ANATOMIQUE ou selon GUYON


L’urètre a 2 grandes parties :
Urètre postérieur : -Urètre prostatique
- Urètre membraneux
- 42 -

Urètre antérieur : - Urètre bulbaire


- Urètre pénien
- Urètre péno-scrotal
- Urètre retro-méatique

*CHIRURGICALE
- Urètre antérieur : qui comprend: urètre pénien,
péno-scrotale et bulbaire
- Urètre postérieur : qui comprend : urètre
membraneux et prostatique

Q/ Decrivez brièvement l’urètre de l’homme


R/ L’urètre de l’homme a deux grandes courbures,
qui sont :
Courbure à concavité > = courbure retro-pubien
(courbure postérieure) qui est immobile
Courbure à concavité < = courbure pré-pubien
(courbure antérieure) qui est mobile. C’est elle qui se
rétréci quand le pénis se met en érection ou lorsqu’on
tire au Zénith le pénis.

NB : S’il y a érection, c’est la courbure mobile qui se


redresse et si on place la
Sonde vésicale en tirant le pénis au zénith pour la
redresser et de qu’on bute, on rabaisse le pénis pour
épouser la ligne de la courbure retro-pubien
- 43 -

L’urètre de l’homme présente 3 parties de dilatations


et 4 parties de rétrécissement.
Les 3 dilatations sont :
- Au niveau du gland : la fosse naviculaire ;
- Au niveau du bulbe appelé cul-de-sac bulbaire ;
- Au niveau de la prostate, appelé le sinus
prostatique.
Les 4 segments rétrécis :
- Le méat ;
- La portion spongieuse ;
- La portion membraneuse ;
- Le col de la vessie.

Bref, les parties dilatées sont :


- au niveau du méat urétral
- au niveau bulbaire
- au niveau prostatique
Les autres parties sont rétrécies

Etiologies
Q/Quelle est les causes de la sténose urétrale ?
R/ *Causes congénitales
-Valve de l’urètre postérieure : replis qui se
résorbe si l’enfant est né mais si pas de résorption, on a
un rétrécissement.
- La sténose siège au niveau de l’urètre
postérieur

*Causes traumatiques
- 44 -

-Fracture du bassin lors d’un ATR: car urètre sera


sectionné par l’os soit partiellement ou totalement.
-Chute à califourchon

*Causes tumorales
- Tumeur du pénis, des corps érectiles compriment
l’urètre et → rétrécissement
- HBP et Adénocar, l’augmentation de la prostate
coince l’urètre prostatique et justifie le rétrécissement.

* Causes inflammatoire ou infectieuse


Ce type de sténose est appelé Sténose scléro
inflammatoire souvent causée par les maladies
sexuellement transmissibles :
- La gonococcie (Neisseria gonorrhea) : chaude
pisse, blennorragie ;
- La syphilis ;
- La TBC génitale, chlamydiose urogénitale
Souvent la sténose d’origine inflammatoire se localise
au niveau de l’urètre antérieur.

* Causes iatrogènes
- Fausse route lors du Sonde vésicale
-Dilatation de l’urètre avec le béniquet : un objet
métallique qui lors des mouvements de va et viens pour
la dilatation de l’urètre, provoque de petites plaies qui
sont appelées à cicatriser. Qui dit cicatrisation dit,
fibrose, rétrécissement de l’urètre, sténose
- 45 -

Q/ Que signifie califourchon ?


R/Chute avec membres <écartés et l’objet contendant
percute le périnée.
Ici, c’est l’urètre membraneux qui est intéressé (déchiré
ou lésé) → urétrorragie massive→ cicatrice→ fibrose→
sténose.

Q/Si urétrorragie massive, allez-vous placer la sonde


oui ou non et pourquoi ?
R/ -Non : car risque de faire une fausse route et
aggraver la lésion urétrale qui était partielle en fin
devient totale.
-mais on place un Cystocath où on fait la
cystectomie pour diriger les urines
NB : Sans oublier qu’une sonde bien placée permet
d’avoir un bon calibre après cicatrisation de la lésion.

Clinique
a) plaintes
a.1) le syndrome obstructive
*Dysurie : difficulté qu’éprouve le patient à vidangé
sa vessie
*RU

a.2) syndrome irritatif


- 46 -

Car comme stase il y aura des calcule → pullulation des


germes →lésion car infection→ le malade ne va pas
supporter la moindre quantité d’urine dans la vessie.
Ainsi on aura :
*une POLLAKYURIE
*une MICTION IMPERIEUSE
*une MICTALGIE
Le 1èr signe qui marque le rétrécissement de l’urètre
c’est la dysurie

b) Examen clinique : doit être systématisé


Ex : recherche des œdèmes de membres <
Les 4 temps : -inspection
-la palpation
-l’auscultation
-la percussion
-Terminez par le TR

Type de sténose urétrale


*selon le nombre : -sténose unique
-sténose multiple ou en chapelet
*selon l’étendue : -sténose peu étendue
-sténose étendue
*selon le diamètre : -sténose partielle (lâche)
-sténose complète (serrée)
- 47 -

Paraclinique
1. Le bilan de confirmation UCA ou UCRM

Pour le prof LUFUMA, c’est l’U.C.A (Urétro


Cystographie Ascendante) car pou lui le produit est
injecté par le méat urinaire→ ascension
Pour le prof PUNGA, C’est l’U.C.R.M (Urétro
Cystographie Rétrograde et post-Mictionnelle) car pour
lui les urines quittent le rein après la vessie et en fin
l’urètre.
NB : U.C.A= U.C.R.M

*PREALABLES DE L’U.C.A ou L’U.C.R.M


- S’assurez de l’absence d’allergie au produit iodé
- Exclure toute infection urinaire en faisant l’ECBU, car
risque de ramener les germes vers la vessie ;
- L’UCA ou l’UCRM est contre indiqué en ces
d’infection urinaire et de l’hématurie franche ;
On injecte avec une grosse seringue du sérum
physiologique mélangé à l’Urographine au niveau de
l’urètre et on prend des clichés.

*PRODUITS UTILISES
Urographine

Q/ Comment des clichés on réalise ?


Onfait5 clichés
Ces clichés sont pris le patient un peu en profil pour
bien dégager l’urètre.
- 48 -

1°) Cliché : Rx à blanc : qui renseigne s’il y a des


modifications osseuses et s’il existe des calculs radio
opaques. Donc permet de visualiser le structure osseuse
et calcul radio-opaque

Q/Différence entre RX sans préparation et RX à


blanc ?
REP :-RX sans préparation, est fait sans pour autant
que le malade se prépare avant injection du produit
opacifiant
-RX à blanc, est fait après une préparation et
avant injection du produit opacifiant

2°) Cliché : cliché ingestionnel : permet de visualiser la


perméabilité de voie urinaire de l’urètre

3°) Cliché : cliché de remplissage : visualise si c’est


une vessie normale ou de Lutte, si diverticules, si reflux
vésico-urétral
Si sténose la vessie réagît en se contractant pour
vidanger
Schéma
Vessie normale vessie de
lutte

4°) Cliché : cliché mictionnelle ; visualise l’ouverture


du col, car si normale il se présente en entonnoir ;
- 49 -

5°) cliché : cliché post mictionnelle ; permet de voir le


résidu post mictionnel
Ex : si sténose de l’urètre antérieur au 2° cliché on a un
stop

Q /Dr MWEPU : Si sténose antérieure complète


(serrée) et le produit ne passe pas, quel est l’examen
à demander ?
R / :-une CYSTOGRAPHIE PLUS TEMPS
MICTIONNEL
C.à.d. UCA : on injecte le produit, comme n’avance pas,
on prend le cliché et on va injecter encore le produit
dans la vessie et on prend l’image pour voir le temps de
remplissage et on demande au malade d’uriner et le
produit va opacifier l’obstacle et on prend le cliché. Les
deux clichés ensemble nous permettront de voir
l’obstacle

Q/ Dr TSHITALA : Dans quelle incidence serra


prise les clichés et pourquoi ?
R/-en incidence de profil, pour mieux dégager l’urètre

2. Bilan de retentissement
- ECBU (la stase)
- Fonction rénale : urée, créa, ionogramme sanguin
- Echographie pour voir l’état du haut appareil et
visualise si calculs urinaires d’organe.
- 50 -

3. Bilan étiologique
Le bilan étiologique n’existe pas pcq la sténose urétrale
est une maladie cicatricielle sauf pour les tumeurs, on
ajoutera le bilan d’extension.

Traitement
- Traitement conservateur ;
- traitement endoscopique ;
- Traitement chirurgical.
a) des séances de dilatation si sténose unique et
incomplète
Q/Avec quoi ?
R/la bougie ou le béniquet
Q/ Comment est étalonné le bernique par rapport au
diamètre de l’urètre ?
R / -Foley = 1/3 de mm
-Béniquet = 1/4 de mm de diamètre de l’urètre
-Nélaton = 1/6 de mm

EX :*Foley charrière 15 (CH 15) = 15 x 1/3= 5mm


c.à.d. que le diamètre de l’urètre est d’environ5 mm
*Foley charrière 20 = 20x 1/3= 6,6 c.-à-d. que le
diamètre de l’urètre est d’≈ 6,5 à 7 mm
On met le béniquet 40, 30, 20, etc. Mais en dilatant on
va de plus petit au plus grand et après on place une
sonde pour conserver le diamètre de la dilatation ex :
béniquet n° 30, comme étalonné à 1/4, on aura 3Ox
1/4= 7,5
- 51 -

Ainsi pour une sonde qui doit correspondre au diamètre


de l’urètre de
7,5mm, on cherche un Foley ou si on divise par 3, nous
donne 7,5C’est
Foley 22 car divisé par 3 = ≈ 7,333333

DESAVANTAGES DE LA DILATATION
- Matériels métalliques : crée un cercle vicieux
Car on part d’une sténose →dilatation→ lésions
→cicatrisation →fibrose→ sténose

b) résection endoscopique : on resèque la sténose


et on laisse en place une
Sonde mais en RDC on fait l’URETROPLASTIE

URETROPLASTIE selon BENGTJOHANSON : se


fait en deux temps
1° temps : Ouverture de l’urètre on l’abouche au niveau
du périnée et l’homme urinera comme une femme.
Suivie des séances de dilatation de la partie proximale et
distale et si on a un bon calibre, on passe au 2° temps
2° temps : Rétablissement de la continuité de l’urètre

Le Prof Lufuma : prend la peau scrotale ou pénien et


forme un cylindre qui va remplacer la partie urétrale
reséquée. NB : la peau scrotale est une source
d’infection à cause de ses stries
- 52 -

Chapitre V DIAGNOSTIC DIFFERENCIEL DES


HEMATURIES

Il y a 2 types ; hématurie macroscopique


(découverte par le patient lui-même ou sédiment
urinaire sup. à 300.000 hématies/mm3 et compte
d’Addis sup. à 500.000 hématies/min) et microscopique
(non constatée par le patient mais objectivée
fortuitement si sédiment urinaire ou test à la bandelette
est 5 hématies/mm3 ou 2500 hématies/min compte
d’Addis)

1) Définition : émission d’urine mélangée de sang


pendant la miction.
NB : Urétrorragie : émission de sang frais en dehors
de la miction par l’urètre
Soit la présence de sang entre 2 mictions d’origine
urétrale.

Hématurie urologique (ou Hématurie non urologique (ou


chirurgicale) néphrologique ou médicale)
- 53 -

-coagule et le GR est normal -ne coagule pas et les GR sont


-sont unilatérales si provient déformés cylindrique pcq le GR
de haut appareil doit traverser le glomérule or
-syndrome obstructif et irritatif normalement le GR ne le
-pas des protéines traverse pas
- protéinurie de 24 h est -sont bilatérales si provient de
normale haut appareil
-altération de l’état générale,
HTA, OMI
-protéinurie massive où
protéinurie de 24h est élevée
sup. ou égale à 2-3g

Q/Citez les différentes fausses hématuries ?


R/ - Méthyrragie : les urines colorées par les
menstruations ;
- Urétrorragie ;
- Médicamenteuse (rifampicine, laxatif, flagyl) ;
- Alimentaire (la betterave) ;
- Trouble de coagulation ;
- Myoglobinurie : passage dans les urines de la
myoglobine toxique pour les troubles rénaux ;
- Hémoglobinurie : passage de l’Hb dans les
urines

Q/ Prof PUNGA : Epreuve de Guyon ou épreuve de


3 verres ?
R/ But : connaitre l’origine de l’hématurie
- 54 -

Technique : le malade urine successivement dans 3


verres
1ère verre : pour le premier jet.
2ème verre : urine du milieu du jet.
3ème verre : urine terminale
*Si hématurie au 1ère verre, c’est l’hématurie initiale qui
est d’origine
Urétro-prostatique

* Si hématurie au 3ème verre, c’est l’hématurie terminale


qui est d’origine vésicale alors que le 1er et 2ème verre
sont blancs

* Si hématurie au 2ème verre alors qu’ailleurs il n’y a pas


d’hématurie, donc cette hématurie n’a pas une
topographie localisatrice. Si seulement le 2ème verre qui
est coloré, 2 hypoyhèses :
- Une erreur de prélèvement ;
- Le patient n’a pas suivi les principes de prélèvement.

*Si l’hémorragie occupe tous les verres, elle est une


hématurie totale et est d’origine rénale

NB : Lorsque la prostate saigne abondamment, on peut


y avoir une nuance, cette hémorragie peut colorer 3
verres alors qu’elle ne devrait colorer que le 1er verre.

2) Etiologies des hématuries


Il y a 4 grandes causes
- 55 -

- Cancer : rein, urètre, vessie, etc.


- Lithiase : idem
- Tuberculose
- Traumatisme

* Au niveau du rein : la polykystose rénale,


hydronéphrose, anévrisme, fistule artério-veineuse ;
* Au niveau de l’urètre : méga urètre ;
* Vessie : HBP, Adénocar, Bilharziose ou
Schistosomiase

Q/Cancer du rein, le nom chez l’enfant et chez


l’adulte ?
R/ Adulte : GRAWITZ
Enfant : WILMS

Q/ Type de schistosome ?
R/ 5 - Mansoni
- Hematobium (éperon terminale) : est celui qui
provoque une hématurie en Afrique
- Intercalatum (éperon terminal)
- Japonicum
- Mekongi
Le traitement de la schistosomiase est actuellement le
Praziquantel (Beltricide) 40mg/Kg en dose unique.
Dans le temps on donnait Ambicar 25mg/Kg/j pdt 1
semaine qui est abandonné.
- 56 -

Q/ Prof MOKASSA : CAT devant hématurie


massive ?
R/ - Prendre un abord veineux
- Prélever pour Hb, Ht, groupe sanguin plus Rh,
TS, TC
- Placer une sonde urinaire à 3 voies pour éviter
que le patient fasse une RU sur caillotage des œillets
latéraux de la sonde ;
- Faire un examen physique après si c’est un HBP
on donne des hémostatiques on peut réaliser une
cystoscopie ou une échographie abdominale en urgence.
Si l’HBP et que l’hémorragie n’est pas maitriser une
adénomectomie sera indiquée en urgence

NB : Ne pas donner les hémostatiques lorsqu’on n’a pas


encore une idée de l’étiologie de l’hématurie. Si
possible réaliser en urgence une Cystoscopie qui nous
permettra de dire si c’est haut ou basse.

Q/ Quels sont les bilans qu’il faut demander ?


R/ - Bilan étiologique : cfr chaque pathologie ;
- Bilan de retentissement : Ht, Hb, Urée, Créa
- Bilan d’orientation : échographie, ECBU
- 57 -

CHIRURGIE THORACIQUE

Chapitre 1 VARICES DES MEMBRES


INFERIEURS

1. Rappel : le réseau veineux comprend, les veines


superficielles (représenté
le saphènes qui draine le ¼ de la masse sanguin) et
profond
(représenté par les veines qui accompagnent les
artères et qui
draine le 3/4)
- 58 -

*Il y a 2 saphènes :-externe ou petit : va de pré-


malléole externe longe la
facepostérieur de la jambe et s’abouche dans le
creux poplité (dans la veine poplité)
-interne ou grand : va de rétro-malléole interne
longe
la face antéro-interne de la jambe, face interne de la
cuisse et s’abouche à la veine fémorale en forme de
crosse.et on la valvule anti
reflux
*Entre les réseaux superficiel et profond, il y a une
communication par les veines perforantes.

2. Définition :dilatation permanente anormale des


veines superficiel des
membres inferieurs
3. Etiologies :
a)causes congénitales

Q/Prof Kiula : Syndrome de KLIPPEL et


TRENAUNAY et le syndrome de
PARKES WEBER ?
R/ Le syndrome de Klippel et Trenaunay :
caractérisé par l’agénésie de
tronc veineux profonde clinique : une triade
-varice de membres
inferieur
-nævi (tache
hyperchrome) engeome
- 59 -

-élongation de
membres inf. concerné
Le syndromede ParkesWeber : caractérisé par
une fistule artério-
veineuse clinique :
-varice des membres inferieurs
-perception de thrill ou
souffle à l’endroit de fistule
b) Causes secondaires
*thrombose veineuse profonde si obstruction qui
bouche ex : la veine
fémorale et le sang prend une circulation de
vicariance dilatation
perte d’élasticitévarice
*Angiodysplasie destruction de muscle lisse de
vaisseau
*pathologie qui détruisent les valvules= retour de
sang non oxygène
toxinelésion de paroi veineuse varice
4. Clinique :
*avant :- lourdeur des membres inferieurs
-châtiments
Q/Prof Kiula : Donnez les manœuvres à faire ?
R/1) manœuvre de Trendelenburg :le malade
surélevé les membres
inférieur qui a les varices jusqu’au zénith pour
vider les sang. Si
fait, on prend un garrot qu’on place au niveau de la
racine de la
- 60 -

cuisse et on demande au patient de se tenir debout.


Normalement les veines se remplissent de
bas vers le haut, mais
icis’est de haut vers le bas qui traduit l’insuffisance
de la valvule
ostiale
2) manœuvre de flot : on percute la veine en haut et
on sent le thrill
vers le bas, on conclut à une insuffisance valvulaire
3) manœuvre de Schwartz : le contraire de flot
5. Para clinique
-Phlébographie : injection du produit de contraste à
travers la veine et on prend les clichés
-Echo- doppler
6. Prise en charge
a. médicale se base sur les 3 éléments suivantcomme le
retour veineux est
assuré par :
-la qualité de vaisseau (par contraction de muscle
lisse et la valvule
empêchant le retour veineux)
-la pompe cardiaque (à l’inspiration le sang rentre
dans le cœur)
-le muscle (muscle strie se contracte et propulse le
sang pour le
remonter vers le cœur)
*veino-tonique (Phlebodia, Daflon)

*kinésithérapie :- respiratoire ; inspiration profond


- 61 -

-massage musculaire retour


veineux
-port de bas à varice
-la marche
b. Si échec on passe au traitement causal
*obstruction le lever
*chirurgie varicectomie
*ligature en amont et en aval de ces veines
*sclerothérapie : injection d’un produit sclérosant
(quinine uréthane un dérivé de la quinine) lésions
endothéliales fibrose cicatrisation
*stripping (avec un stripper, repérer la veine dilaté,
ligature et introduire dans le bout proximal le
stripper dans la cuisse et sortir au niveau distale le
chapeau du stripper enfin tire pour ramener la
veine)

Q/ Diagnostic différentiel entre varices, TVP et


nodule ?
R/ *varice :dilatation de veines superficielles
*TVP :obstruction des veines profonds clinique ;
une tuméfaction
des membres inferieur douloureux et le signes de
HOMANS(+)
*nodule : masse qui apparait au niveau des
membres inferieur qui
peutintéresser les tissus mou sous cutané, le
ganglionqui
- 62 -

sera soit fixe (si sous aponévrotique) ou mobile (si


sus
aponévrotique) par rapport au plan profond ou
superficielle
- 63 -

Chapitre 2. LYMPHOEDEME

1. Définition : accumulation de lymphe dans les


tissus interstitiels. Car les vaisseaux
lymphatiques sont dans l’incapacité de drainer
de
la périphérie vers la circulations veineuse centrale,
ainsi la
lymphe stagne.
2. Composition de la lymphe : protéines,
lipoprotéines, acides gras et
débris cellulaire, qui vont  la pression oncotique
vers le tissus
interstitiel appel d’eau quittant le milieu
cellulaire pour le tissus
interstitiel.

Les vaisseaux lymphatiques superficiel sont sus


aponévrotique et le profond sont sous
aponévrotique.
Le canal thoracique est le second collecteur des
lymphatique qui se déversera dans la jugulaire
3. Causes
a)congénitales

Q/Prof Kiula : Syndrome de MILLEROY et


MEIGE (il y a agénésie de canal thoracique)
b) secondaire
- 64 -

*chirurgie : toute chirurgie qui enlève les


ganglionslymphœdème
Toute chirurgie qui emporte les tissus
sous cutanés

Q/Prof Kiula : Syndrome de SCHWATZ : après


mastectomie + curage
ganglionnairelymphœdème de membres inferieur
*infectieuse :-adénites
-lymphangites à répétitions
Mécanisme : altération des structures de ganglion,
il y a stase faute de drainage (filariose W. Bancroft)
*tumeur : par envahissement des vaisseaux
lymphatique par les cellules néoplasiques :-cancer
du col et de la prostate
4. Classification
Selon KINMANTH
a)clinique
StadeI : tuméfaction inconstante qui disparait si le
malade se repose
(Drainage posturale)
Stade II : tuméfaction permanente des membres
inferieur, inferieur à
2 ,5cm par rapport au membre saint avec une peau
normale

Stade III : tuméfaction permanente et diamètre de la


différentielle est
supérieure à 2,5cm.la peau est intacte
- 65 -

Stade IV : tuméfaction permanente, diamètre


supérieurs à 2,5cm et la
peau est altérée
Q/Prof Panda : Type de mensuration ?
R/ -mensuration globale
-mensuration segmentaire

b) Lymphographie
Stade I : tissu lymphatique normale
Stade II : une hypoplasie
Stade III : l’aplasie
Stade IV : hyperplasie

c) Histologique
Stade I : tissu normal
Stade II : sclérose et fibrose par endroit
Stade III : sclérose étendue

5. Paraclinique
Q/ Prof Kiula et Dr Veyi
R/Lymphographie (injection à la face dorsale du
pied du produit de
contraste et après prendre les clichés. Si il y a
fibrose, il y aura
difficulté d’injecter le produit

6. Traitement
a. Médicale
*veinotonique
- 66 -

*kiné
*massage
*bas
b. Chirurgicale
Technique de GIBSON : on fait le pelage (enlevé
tous le tissus sous cutané et déposé la peau sur
l’aponévrose en créant des entrailles pour que le
sang quitte le muscle et vient nourrir la peau. Si
nécrose soignez la plaie jusqu’à avoir le tissus de
bourgeonnement après faire la greffe cutanée.

DIAGNOSTIQUE DIFFERENCIEL DES


GROSSES JAMBES
Grosses jambes Grosses jambes
Bilatérales unilatérales
-maladies cardiaques a)douloureux
-maladies rénales -lymphangite
-maladies hypo -cellulites
protéinémie -thrombose veineuse
-lymphœdème d’origine profonde
chirurgicale si curage b) indolore
ganglionnaire -lymphœdème

Chapitre 3 THROMBOSES VEINEUSES


PROFONDES

1. Définition : c’est une obstruction incomplète ou


complète des veines
Profondes
- 67 -

2. Facteurs favorisants
Q/Prof Mushegera
Nous avons les triades de WIRSCHOW
-stase sanguine
-lésions endothéliales
-hypercoagulabilités

3. Facteurs d’hyper coagulation


a.Phlegmatia Alba-Dolens
-tuméfaction chaude des membres inferieurs
-peau luisante, les veines superficielles sont
turgescentes&douloureuses
-signes d’Hommans + pouls +
b.Phlegmatia Coerula Dolens (phlébite bleu)
appelé GANGRENE BLEU de Grégoire forme
externe des TVP caractérisé par une
-tuméfaction des membres inférieurs douloureuse,
froide avec absence de pouls périphérique. Si pas
lever, peut entrainer des gangrènes sèche et aboutir
à une amputation
4) traitement
Voir médecine interne

Chapitre 4 DRAINAGE THORACIQUE


1. Epanchements intra thoraciques
*gazeux : pneumothorax
*liquidien :-sanguin→ hémothorax
- 68 -

-liquidien :→ hydrothorax
→ chylothorax
→ pyothorax
-solide :→ alimentaire
→ hernie diaphragmatique

2. Types des drainages


Q/Prof Mushegera voir supra
R/ -ponction thérapeutique et biopsique
-drainage sous eau
-drainage ouvert sans résection costale
-drainage ouvert avec résection costale
-décortication (pleurotomie et excision de le
poche septique)
-décortication plus exérèse de tissus dévitalisé
Drainage sous eau
Types : *simple : irréversible : avec un siphon soit
hauteur de 40 cm et de
60 cm de distance ou niveau

*aspiratif
*avec système de Luizy
3. Pneumothorax
Le spontané survient de façon brutale souvent due à
la rupture de bulle d’emphysème

Q/Quel est le sujet idéal ?


R/ jeune adulte de sexe masculin de constitution
athlétique sans maladie pulmonaire significative
- 69 -
- 70 -

Q/Quel est le risque de pneumothorax


spontané ?
R/ la récidive
Il se traduit par un tableau asymptomatique ou
symptomatique installation brutale de la dyspnée
avec point de coté
On fait le drainage sous eau, avec l’exsufflation il y
a risque de créer un pneumothorax iatrogène,
prendre des précautions de mettre en absence de
valve, un doigt de gant et trouez latéralement

*selon la localisation des drains


-drainage proclive : épanchement gazeux, réalisé au
niveau du 2EIC
-drainage déclive : liquide réalisé à partir de 5°, 6°,
et 7° EIC
On a plusieurs types de drainage déclive

1° drainage simple sous eau


Au niveau de 5° EIC
Matériels :-drain : selon la qualité du liquide à
drainer en fonction de
L’âge du patient
-raccord
-la bouteille : contient 2 tubulure l’un
plongé jusqu’au fond et
l’autre qui sert à
équilibré la pression
-petite boite chirurgicale
- 71 -

-xylocaïne
-compresse
Méthode : patient en décubitus semi assise
exposant l’hémi thorax
malade, on désinfecte largement allant du
sternum jusqu’au
niveau de l’omoplate
Repères : -sternum
-bord costale
-omoplate
Tout en sachant qu’il y a l’angle de louis jonction
entre le manubrium et bord sternale
-placer un champ stérile
-on prend les repères pour localiser l’endroit ou va
passer le drain :
Soit : -sur la ligne axillaire antérieur moyenne
-sur la ligne axillaire postérieure
On met le champ stérile et on laisse l’empreinte de
l’index
-infiltrer
-on réalise une bourse et on laisse le fil long
-une bourse et à l’intérieure de la 1ère et c’est une
bourse de sécurité
On a le drain arme (avec mandrin) ou non armé
Vous perforez et de que dedans, retirez le mandrin
et glisser le drain
Serer la bourse externe et la bourse interne servira à
fermer l’orifice après ablation. On demande a un
- 72 -

patient de faire l’expiration profonde et un tire le


drain et l’autre serre la bourse.

Contrôle du malade avec drain


*Clinique :-examen physique
-surveillance du montage, voir si le
drain est fonctionnel à chaque mouvement
respiratoire la colonne d’eau monte d’environ 10 à
15 cm. Lorsque il ne respire pas, soit
l’épanchement est complètementévacué, soit le
drain est bouché et soit n’est pas en place
Il ne faut pas que de le raccord se torde ou ne forme
pas des anse le long du raccord est de 40 cm
Para Clinique :- radiographique

2° drainage aspiratif
3°drainage de luizy
On met un système d’irrigation une solution
d’antiseptique au-dessous, qui nettoie la plèvre
Le drainage est place en bas on peut mettre un
montage en Y

Q/ Il existe combien de type de ponction ?


R/ *P. évacuatrice
*P. diagnostique
*P. drainage

Q/Quelles sont les précautions à prendre pour


éviter les récidives ?
- 73 -

R/ On réalise une pleurodèse, c’est la fusion des


feuillets pariétal
et viscéral
Le produit utilisé est la Vibramycine en poudre
qu’on injecte après dilution dans le sérum
physiologique (10 ml) en absence on utilise le talc.
On demande au malade de changer de position
→ Lorsque l’épanchement n’est pas toujours
évacuer, on réalise la décortication qui peut être
associée à une résection costale

Q/Risque d’un drainage ?


R / -lésions du poumon
-pneumothorax iatrogène
-choc vagal
-lésions du gros vaisseau
-lésions du cœur
- 74 -

NEUROCHIRURGIE

Chapitre 1 HERNIE DISCALE

1.Définition : protrusion du noyau pulpeux à


travers le canal
rachidien. C’est un conflit disco-radiculaire

Schéma plus parties


Annules fibrosis noyau
bulbeux
Ou anneau fibreux ou noyau
pulpeux
*noyau pulpeux : riche en eau, élastique plus on
grandit plus il
perd ses caractéristiques. (1) Du
part sa position, il est excentrique en postérieur. (2)
le ligament commun vertébral est épais en antérieur
qu’en postérieur. (3) en postérieur se trouve le canal
vertébral, le nerf qui innerve le disque s’appelle le
nerf sinus vertébral qui innerve aussi la partie du
ligament vertébral postérieur et la moelle.
2. Facteurs favorisants
*âge : personnes âgées
*poids : obésité
*sexe : masculin
3. Facteurs favorisants
*la profession
*anomalie de la colonne
- 75 -

-lombalisation : la première vertèbre sacré a la


forme de la
dernière vertèbre lombaire
-sacralisation : pour le 5ème lombaire
-spondylolistesis : glissement antérieur de la
vertèbre sus
jacent sur la vertèbre sous-jacente
4. Facteurs déclenchant
*soulèvement d’un poids avec thorax penché en
avant

Q/Différence entre scoliose et attitude


scoliotique ?
R / *scoliose : -pas de redressement si flexion
antérieur du
Thorax
-gibbosité costale
-certaine rotation de vertèbre
*attitude scoliotique : - déviation latérale se
redressant si
flexion antérieur du
thorax
-pas de gibbosité
costale
-pas de rotation de
vertèbre
Q/ Prof Panda schéma d’un chien décapité ?
R/ Schéma
- 76 -

*prédilection au niveau de la charnière lombo-sacré


(L4-L5) c’est au niveau de cette charnière que se
réalisent de nombreux mouvements.
Il y a des fissures qui créent au niveau de l’anneau
fibreux par la suite des microtraumatismes. Le
noyau pulpeux va migrer en postérieur et arrive au
niveau du nerf sinus vertébrale, l’irrite → un
lombago (conflit disco-ligamentaire)
Il va continuer latéralement ou postéro-
latéralement, en deca de L2 on a les racines
portantes le nom de vertèbres correspondantes. Les
racines cervicales portent le nom des racines sous-
jacent
Dans sa migration, le noyau décolle le ligament
postérieur et migre soit latéralement, soit en latéro-
postérieur, soit en médiane. Tout en comprimant les
racines nerveuses et entrainer le syndrome de la
queue de cheval
5. Clinique
*lombago : douleur non irradiant car conflit disco-
ligamentaire
Nerf sinus vertébrale innerve le ligament
commun
vertébral postérieur, partie externe
périphérique de
disque et partie de la dure mère
*lombo-sciatalgie : soit trajet de S1
Soit trajet de L5
- 77 -

MOTEUR :- racine L5 : flexion dorsale du pied


(examen, marche
sur le talon)
-racine S1 : flexion plantaire du pied
(examen marche
sur les pointes des orteils)
*lombo-sciatalgie impulsive : s’aggravent à l’effort
de toux, de défécation et manœuvre de Valsalva qui
propulsent en arrière le disque

Q/ Différence avec le canal lombaire étroit ?


R/ ici il y a lombalgie tout cours
b)stade des complications
Tient compte à l’état de compression des noyaux
*paraplégie complète ou incomplète
*anesthésie
*rétention urinaire
*paresthésie
c)manœuvre de LASSAGHUE
Malade en décubitus dorsal, l’examinateur soulève
le membres inferieur du patient sans fléchir les
genou, qui va irrité la colonne. Or l’angle normale
est de 90°
d)manœuvre de WASSERMAN
malade couché en décubitus ventral, l’angle
normale est de 40°. Distance main sol :malade
touche les orteilles sans fléchir les genou, et
calculer la distance main sol
- 78 -

e)palpation des épineuses, réveille les douleur qui


s’appel signe de le SONNETTE (on appuyant sur
l’apophyse épineuse la douleur suit le trajet d’un
nerf)
irradiation : sciatique poplité externe et interne
le nerf sciatique au niveau de fesses, cuisse, creux
poplité, se partage en 2.
Le sciatique poplité externe longe les muscles de la
jambe et se termine au niveau des orteilles permet
la flexion dorsale des pieds de marcher sur le talon
Le sciatique poplité interne continue la cuisse en
postérieur les muscles postérieur de la jambe la face
plantaire du pied ici c’est un nerf mixte sensitif et
moteur
Lorsque le malade ne sait pas marché sur la plante
de pied S1 et S5
- 79 -

6)paraclinique
*On doit commencer par le Rx simple face, profil
3/4 gauche et droit
En faisant le 3/4 , on peut retrouver l’image du petit
chien
Schéma

En cas de spondylolistesis, on a l’ image de petit


chien décapité
Le Rx est un examen d’orientation pour exclure une
anomalie de transition

*Q )prof panda, quel est l’examen approprier ?


REP : la SACCORADICULOGRAPHIE , on
injecte le produit de contraste (comme on fait une
PL) dans l’espace perimedulaire, qui permet de voir
les racines et le sac durale
Q)complication en cas de rachi anesthésie ?
REP :HTA, par la vasoplegie que la rachi entraine
pour éviter on fait le préremplissage

Si HTA : -bâillement
-transpiration
On donne l’éphédrine
En cas de compression, on a l’image de
soustraction, de stop

Schéma
- 80 -

*scanner
7)Traitement :
On a deux volets
a)médical
*hygiènes de la colonne
-éviter les travaux obligeant de fléchir la colonne
-coucher sur le plan dur
*médicamenteux
-anti-inflammatoire (on peut faire des infiltrations)
-antalgique
-associe l’AAS junior à cause de l’œdème du à la
compression obstruant les vaisseaux

*kinésithérapie
-infrarouge
-mouvement pour décontracter le muscle
b)chirurgie
*indications absolu
-paralysante
-anesthésiante
-syndrome de queue de cheval
*indications relatives
-si échec du traitement médical

Le traitement consiste a une LAMINECTOMIE


Càd on coupe les lames qui est le siège de
compression des racines et moelle par le noyau
pulpeux. Apres curetage suffisante jusqu’à enlever
- 81 -

le disque après avoir récliner les racines à l’aide


d’une curète.
8)complications
-déficit neurologique en cas de lésion des racines
ainsi même si on ne curète pas , le malade aura
moins de mal qu’avant

Chap 2 :TRAUMATISME VERTEBRO-MENINGE


A)VERTEBRE
1)dessin d’un vertèbre

2)lésions
-luxation(c’est le vertèbre sus jacent qui se luxe par
rapport à la vertèbresous jacent)
-une fracture simple :-fracture séparation du corps
vertébrale
-fracture intéressant l’ase post
de vertèbre
-fracture tassement(peut intéresse le 1, 2, 3 vertèbre
‘fracture luxation
3)cause
-accident de trafique routier
-sportif

B)MOELLE
Comprend la moelle et les racines
1)lésion
*primaire
- 82 -

-une commotion médullaire, lésion histologique non


macroscopique avec trouble neurologique avec
récupération rapide sans traitement
-une contusion œdème
-attrition médullaire (moelle brouillée)
2)clinique
*du point de vu neurologique
-une TETRAPLEGIE
-une PARAPLEGIE, pour situer le niveau du siège de la
lésion
Q prof mushe
Différence entre une dermatome et un métamère ?
REP :-dermatome : explore la motricité et la sensibilité
-métamère : explore la motricité
Q différence entre l’axis et l’atlas ?
Q prof punga, quel Rx demander pour bien
visualiser l’axis et l’atlas ?
REP : c’est le RX face bouche ouverte. Qui permet de
visualiser l’apophyse odontoïde
Q risque que cour le malade si lésion du C4 ?
REP : comme le nerf phrénique sort par la, le
diaphragme qu’il innerve serra paralysé ainsi arrêt
respiratoire

Q au niveau de la colonne dorsale et, une


PARAPLEGIE OU PAREISIE
Au niveau lombaire, une paraplégie et le trouble
sphinctérienne
3)vascularisation de la moelle
- 83 -

Q prof kiula
REP :*moelle cervico-dorsale : -artère sous Clavière et
artèresvertébrales
*moelle medio thoracique : -artères intercostales
*moelle lombaire : -artère ADAMKIEWK
4)traitement
Qui tient compte de la siège de la lésion
*région cervicale : si luxation ou fracture
On fait la traction cervicale per crânienne, l’idéal est :
-on met 1 kg pour chaque vertebre
Ex : si c’est C1 1KG
Si c22kg
Si C33KG
NB pour le membre on met 1/10 de son poids
Q instrument utilisé ?
REP : c’est l’étrier
Types des étrier :
Il y a plusieurs, mais au cuk on en conne 2
-étrier de GARGNER
-étrier de CRUSCHFIELD
IL Y A UN QUI EST autotarodante (c-à-d, perce la
boite de soit)
Schéma

REPERE :*bosses pariétaux


*à deux traves de doigts au dessus de l’oreille
sur la ligne pretracheale
O, perfore la table externe
- 84 -

6 semaines après on place un plâtre ou une minerve


plâtré
*région dorsale et lombaire : repos sur un plan dure
TRAITEMENT DE COMPLICATIONS DE
DECUBITUS DE LA TETE AU PIED

Occipital :escarre

Thorax : infection pulmonaire due à une


stasepneumonie de stase.
Car il y a abolition de la toux qui favorise le
recrutement des alvéoles ; ainsi faire la kiné qui
favorisera la toux et ajouter l’antibiothérapie

Omoplate : escarre

Abdomen : -Estomac : ulcère de stress appelé ulcère de


cwirlingainsi
donnez les antiacides
-Intestin : comme stase, on a la paralysie
constipation ainsi
donner le régime riche en fibre et beaucoup
d’eau
plus de laxatif
Bassin : -coccyx : escarre
-trochanter : escarre
-vessie : infection urinaire à cause du stase car
on a la vessie
- 85 -

neurologique ainsi renouvelez la sonde urinaire


chaque 2
Semaines, boire beaucoup d’eau et
donnez les
Antiseptiques urinaires
Membre inferieur : - maladie thromboembolique ainsi
il faut des massages et
une mobilisation chaque 2 heures plus de l’AAS junior
- talon : escarre
5)conséquence neurologique de TVM
Q PROF MUSHE ; donnez les différents syndromes
médullaires ?
REP : la moelle comprend :
 La substance grise, composée de cellule nerveuse
et est centrale Et a trois cornes une antérieur,
l’autre intermediolaterale et post
 La substance blanche, composée de fibres et a
deux cordon un antérieur et un postérieur
Schéma

Par rapport à la répartition de cellules nerveuse, il y


a 3 grands syndromes médullaires.
a) Syndrome d’interruption médullaire ;a de sous
syndromes
syndromesynd. D’interruption médullaire
complète
CLINIQUE
On a le choc spinal caractérisé par une abolition
complète de la sensibilité, de la motricité et des
- 86 -

reflexesosteotendineux. Et un syndrome
pyramidal
Q prof pungadonnez les différentesreflexes et
comment les recherchés ?
REP :*mbre sup : -bicipital : il y aura flexion du
coude
-tricuspidien :extension du
coude
-stylo cubitale : supination
-stylo radiale :pronation
*mbreinf : - rotulien :extension de la
jambe sur la cuisse
-achylien : pied en angle droit,
flexion plantaire
synd de BROWN SEQUARD ou d’hémi
section de la moelle

CLINIQUE
Du coté de la lésionunabolition de la sensibilité
profonde épicritique et tactile et un
syndromesynd pyramidale
Du cotéopposé, abolition de la sensibilité thermo
algesique et protopatique

b) Syndrome de section partielle de la moelle,


comprend deux sous groupe
Syndromesegmentaire Syndromecordonnal
-intéresse la substance grise de la -intéresse la substance
moelle blanche
- 87 -

-la lésion peut uniquement siégé à -a 2 sous groupes


la corne ant, soit corne Le syndromesyndcordonal
intermediolateral et corne antérieur
postérieur. Ainsi on a 3 sous- Le syndromecordonal
groupes postérieur
Le syndromesegmentaire ventrale
Le syndromesegmentaire latéral
Le syndromesegmentaire dorsale

Syndromesegmentaireventral Syndromesegmentaire Syndromesegm


latéral
Clinique :syndrome moteur Il y a dissociation de Se traduisant pa
de type périphérique la sensibilité thermo- unsyndrome se
Ex : si poliomyélite algésique et profonde radiculaire (car
tactile alors que le siège de neuron
thermo-algésique est sensibilité)
aboli et le profonde
tactile est conservée
Syndrome Cordonal antérieur SyndromeCordonal post
Clinique Clinique
On note un syndromepyramidal Abolition de la sensibili
homolatéral et une anesthésie thermo- et tactile épicritiquealors
algésique controlatérale sensibilité thermo-algési
conservés

c) Syndrome de compression médullaire


Comprend deux sous-groupes

Syndromecompressif Syndromecompressif sous-


- 88 -

lésionnel lésionnel
-le trouble neurologique est -le trouble se présente en
en rapport avec le niveau de dessous du niveau ou se
la lésion trouve la lésion médullaire

VESSIE NEUROGENE
1) Fonctionnement de la vessie
Chez l’enfant :il a l’arc reflexe, si vessie pleine, avec les
récepteurs de la vessie, l’information va vers la moelle
sacrée ou se trouve le centre de la miction( centre de
BUDGE S2-S4) et donne l’ordre à la vessie de se
contracter pour se vidanger ainsi il urine. Sans que le
cerveau soit intéressé (fonctionnement autonome)
Schéma

Grand enfant : le cerveau intervient et va inhiber les


ordres donnés par le centre de BUDGE
Schéma

IL y a deux types des lésions


Vessie autonomeou vessie Vessie automatiqueou
flasque spastique
-lésionau-dessus de centre -lésion au niveau du centre
de Budge de budge
-clinique : incontinence -clinique ; globe vésicale,
urinaire vessie retentionnelle, globe
chronique plus miction par
regorgement. Car comme
centre détruit, et le cerveau
- 89 -

ne fait qu’inhiber

Q/Prof Kabemba Quel test banal faut-il faire pour


différencier les deux types de vessie ?
R/ y appliqué une vessie de glace, si il urine c’est la
vessie automatique
Et si n’urine pas, c’est la vessie autonome.
Chapitre 3 TRAUMATISME CRANO-
ENCEPHALIQUE
1. Crâne
a) Cuir chevelu :-hématome du cuir chevelu,(ttt, se
résorbe simoins important ou s’infecte si écorchure
ou éraillure, il faut donner un anti-
inflammatoirerésorption ou drainer
-plaie simple, (doivent être suturée)

Q/ Prof Mushegera, on peut suturer même après 6


heures ?
R/ Oui car les plaies des extrémités, et celle du cuir
chevelu peuvent être
suturées après 6 heures
- 90 -

Q/ Dr Veyi : Donnez les conditions d’une suture ?


R/ -suture avant 6 heures
-après un bon parage chirurgical
-éviter que la suture soit sous tension

Q /Dr kutoloka : Différence entre plaie cranio-


encéphalique et cranio-
cutanée ?
R/-Cranio-encéphalique :solution de
continuitéintéressant le cuir chevelu,
le crâne et l’enveloppe
-Cranio-cutanée : solution de continuité intéressant le
cuir chevelu et le
crâne mais l’enveloppe non atteint
-Plaie plus décollement cutané (scalp) il faut unparage
chirurgical et
suture et prévenir la nécrose vers le haut

Schéma
Si convexité est supérieur si
convexité est inferieur
nécrose car séparation pas de
nécrose
du pédicule avec le lambeau

b) Voute :-fracture simples rien faire


-embarrure fracture plus enfoncement du fragment
désolidarisé
- 91 -

-exbarrure fracture plus extériorisation du


fragment désolidarisé

Q/ Dr Veyi Type et cliché ?


R/ *cliché crane face et profil
*cliché tangentiel permet de voir le degré
d’enfoncement ou de sortie
c)base :-fracture antérieur
-fracture moyen
-fracture postérieur
2/ Encéphalique
On a les enveloppes et parenchyme
a) Enveloppe :*dure mère
*arachnoïde
*pie mère
-hématome : extradurale et sous durale
b) Parenchyme :*commotion cérébrale
*contusion œdème cérébrale
*attrition cérébrale
*attrition œdème cérébrale
HEMATOME EXTRA-DURAL
Se localise en dehors de la dure mère, il se dégage que il
y a de sang qui se collecte au niveau ou il y a rupture de
vaisseaux.

Q/Image scanographique ?
R/ Une lentille biconvexe
- 92 -

Q/Quel est le vaisseau lésé ?


R/ c’est les vaisseaux du pont

Q/ Quelle en est la clinique ?


R/ notion de perte de connaissance initiale (d’emblée)
avec signe de localisation. Si HED au niveau frontal
gauche, on aura une hémiplégie droite.

HEMATOME SOUS-DURALE
Se constitue en dessous de la dure mère à cause de la
rupture d’une branche d’artèreméningée moyenne. Au
scanner, on a l’image décroissant ou en demi ligne.
HSD aigu :miment le tableau des HED on peut avoir
une perte de connaissance d’emblée ou 30 minutes après
traumatisme
HSD chronique :intervalle libre (période de lucidité
entre la 1ère et 2ème perte de connaissance) allongé entre
2 pertes de connaissance
CONTUSION
Le cerveau cogne le crâne et il y a des lésions directes
par rapport au coup et correspondra aux lésions de
contre coup. Les stigmates du coup sont à droite et la
lésion est à gauche.
COMMOTION
Perte de connaissance avec le monde pendant quelques
minutes. Perte initiale de durée brève avec récupération
spontanée, pas de déficits neurologiques.
CONTUSION / OEDEME CEREBRAL
- 93 -

Du fait de la contusion et œdème il y aura une perte de


connaissance prolongée et un déficit neurologique et la
récupération sans traitement anti œdèmecérébrale
ATTRITION / OEDEME CEREBRAL
Il faut en traitant,
Attrition : broiement
Contusion :lésion du tissu sous cutanée laissant intact la
peau
SCORE DE GLASGOW
Est utilisé pour les comas traumatiques
E4 V5 M6
Si inférieur à 7, associez le score de LIEGE
Qui contrôle le tronc cérébral. Le reflexe du tronc se
contrôle par rapport au niveau encéphalique
diencéphalique.
Les éléments du reflexe du tronc
1. Fronto-moteur (5)
2.Oculo-céphalique verticale (4)
3.Photo-moteur (3)
4.Oculo-céphalique horizontale (2)
5.Oculo-cardiaque (1)

2 et 4 sont cherché si on est sur la colonne cervicale est


intact. On fait de mouvement de latéralité et de haut en
bas en regard le globe oculaire.
5 on fait une compression des globes oculaires risque de
bradycardie
3 donnée la lumière après l’éloigne et on a le myosis
- 94 -

1 on tape à l’aide du pouce au niveau de l’os frontal et


le malade clignote les yeux
- 95 -

3/ PRISE EN CHARGE
Elle est fonction des lésions
a) Plaie simple :parage chirurgicale et suture même si la
plaie dépasse 6 heures, car plaie des extrémités il ya
hyper vascularisation ainsi la cicatrisation est facile
Parage : -nettoyer la plaie
-régulariser les berges
-enlever les corps étrangers
b) Fracture simple :repos
c)Embarrure :si cerveau menacé, opère et enlevez
l’embarrure
d) Ex barrure :faire le pericranium (ronger et le remettre
en place)
e)HSD : drainer
-trou de trépan on utilise un Fraise couronne,
on fait un trou sur le crane en regard de la
lésion
-faire une entaille
f)HED : on aspire

Q/ Devant un trauma crânien, quoi faire ?


R/ 1. Assurer les A B C
Assurer la liberté des voies respiratoires supérieures

2. Eviter le survenu des radicaux libre


Les organes qui produit les R L sont ; le
cerveau, le poumon et la
Rate. Il faut, -oxygénothérapie
-antioxydant vit c et vit E
- 96 -

3. Positionner le malade à 30° ÷ au plan du lit pour


faciliter le
DrainageSi la SaO2 est bonne, on donne des
oxygénateursCérébraux tel que : Nootropyl (améliore la
déformabilité des GR) Centrum ; uridine et cystIne

4. Reposer le cerveau en évitant toute irritation qui


aggraverait
L’œdème
-anxiolytique
-antalgique
-stabilisation des lésions périphériques
Lutter contre l’œdème cérébral
Avant 6 heures on donne la xylocaïne 2 %sans
adrénaline à raison de 1 mg / kg
Car stabilise la membrane ainsi évite la survenu
d’œdème.
Apres 6 heures, on donne le mannitol car c’est un
diurétique

Q/Pourquoi pas de glucosé 10 % ?


Somazina : régénère les gaines des myélines
Xylocaïneadrénaline 2 % :
-vasoconstriction ;
-prolonge le temps d’anesthésie
Ainsi contre indique au niveau des extrémités
4. Complication
- 97 -

-HIC clinique-céphalée, photophobie, vomissement en


jet trouble neurovégétatif (hyperthermie, bradycardie,
polypnée)
P2
osteoarticulaire
chap 1) FRACTURE

SELON DRETEP
D : définition
Q def : solution de continuité osseuse
NB : pour le prof mokasa, il faut lui reproduire la
définition de son syllabus

Q symptômes ?
REP : a) signes subjectif : -impotence fonctionnelle
-une tuméfaction
-la douleur
b) signes objectif : 1) à l’inspection : -une
déformation du membre
-
raccourcismant du membre
2) à la palpation : -une douleur
excuse
-un
mouvement anormal
-une
crépitation des segments
Fracturés
Q éléments de description d’une fracture ?
- 98 -

REP : il y a 7 éléments
1) le siège : il existe des fractures ;- épiphysaire
-métaphysaire
-diaphysaire
NB : -épiphyse proximale ou distale
-métaphyse proximale ou distale
-diaphyse, 1/3 proximale, 1/3 moyen, 1/3
distale

2) l’état cutané : -fracture ouverte : solution de


continuité osseuse avec
solution de continuité cutanée
-fracture fermée : solution de
continuité osseuse avec
intégrité cutanée
CLASSIFICATION DES FRACTURES
OUVERTES
Selon CAUCHOIX et DUPARC
Type I : avec une plaie punctiforme

Q prof panda : donne le mécanisme ?


REP : c’est de dedans en dehors, car c’est le biseau
du fragment qui
perfore la peau
Type II : plaie ≤ 5 cm de long
REP : le mécanisme est du dehors en dedans
Type III : avulsion cutanée

Selon GUSTILLO ANDERSON


- 99 -

Qui complète cauchoix


Types I et II, sont identique à celui de cauchoix
Type III : a) plaie > à 5 cm et refermable
b) plaie avec perte des substances
cutanéomusculaires, ici on
dirige la cicatrisation en seconde intension
c) plaie avec lésion vasculo-nerveuse

3) niveau de la fracture par rapport au point d’impact


-fracture directe : si en regard de point d’impact
-fracture indirecte : si localisée loin de point
d’impact

Q prof mokasa ; donnez en l’exemple ?


REP : a) fracture directe : -la fracture de la rotule
-la fracture du cubitale par
un coup direct
b) fracture indirecte :-fracture de maison
neuve (fracture de
péroné proximal et du tibia distal)

Q quel est le risque qu’on court ?


REP : l’atteinte du nerf sciatique poplité externe qui
cravate la tête
du péroné

4) mécanisme : -fracture par compression : fracture


tassement et lors
d’un saut et on tombe sur le
- 100 -

talon ainsi concerne la colonne


-fracture par traction
-fracture par flexion

5) déplacement
a) fracture sans déplacement
b) fracture avec déplacement :-translation

Q prof mokasa, ce quoi ?


REP : c’est un déplacement perpendiculaire par
rapport à l’axe de l’os
-chevauchement :
déplacement dans le
sens de l’os
-rotation : qui peut
être interne ou
Externe
-impaction :
pénétration d’un fragment
dans l’autre fragment
-angulation : a sinus
interne ou externe
soit sommet interne ou externe

NB/ § translation
Ici on estime le pourcentage
Schéma
- 101 -

-50% car le prolongement de la corticale distale


divise celui de la
corticale proximale en deux parties égales
-25% s’il y a division en 4 parties égale

§ Chevauchement, est estimé en cm, ainsi on


doit avoir une
translation de 100%
§ Rotation, il faut voire l’incidence de deux
parties, proximale et
distale exemple le proximale est fait en profil et le
distale en face ¾
§ Impaction, pénétration de deux fragments.
Souvent l’os s’évase
Ex : fracture diaphysometaphysaire
ou c’est la
diaphyse qui pénètre dans la métaphyse
chez l’enfant, c’est la fracture en motte de beurre
§ Angulation, on utilise le goniomètre qui
donne l’ouverture de
L’angle formé part Une ligne
passant à la médullaire
proximale et l’autre ligne dans la médullaire distale

Schéma
Chevauchement rotation impaction
angulation
- 102 -

6) force traumatisant :-fracture normale


-fracture pathologique : si
cancer, infection,
ostéoporose qui fragilisent l’os

7) géométrie des traits :


a)fracture à trait oblique : il faut donner le sens de
l’obliquité et la direction
exemple : a 1) fracture sans déplacement, medio
diaphysaire à trait
oblique de haut en bas, de dedans en dehors (si cliché
de
Face)
a 2) fracture sans déplacement, medio diaphysaire à
trait
Oblique de haut en bas, d’avant en
arrière ou d’antérieur
en postérieur
b) fracture à trait transversal
c) fracture à trait spiroïdal
d) fracture communicative ou multi fragmentaire

schéma
a 1) a 2) b) c)
d)

Q Dr bungu ; particularité des fractures chez les


enfants ?
- 103 -

REP : a) FRACTURE DECOLLEMENT


EPIPHYSAIRE , c’est une
fracture siégeant au niveau de cartilage de
conjugaison et
expose au troubles de croissance
Classification de SALTER et HARRIS
Type I : décollement simple (avec translation
soit interne ou
externe)
Type II : fracture arrachement de la
métaphyse
Type III : fracture séparation de l’épiphyse
Type IV : fracture traversant complètement le
cartilage en
Arrachant le métaphyse et
l’épiphyse
Type V : si compression du cartilage

Schema
Type I Type II Type III Type
IV Type V

Q quels sont les types dangereuse?


REP : le types III, IV, V

c) fracture en BOIS VERT appelée fracture


UNICORTICALE
qui intéresse une corticale alors que l’autre est
simplement infléchie
- 104 -

schéma

Q prof bianda : donnez la technique de


réduction de cette fracture ?
REP : il faut casser l’autre corticale pour réussir à
réduire.

d) fracture en MOTTE DE BEURRE


il y a impaction la diaphyse pénètre dans le
métaphyse. A la radiographie, on voit un
soufflement de la corticale

schéma

Q prof puntuyamba : ça ressemble à quoi ?


REP : à un beurre qu’on frappe sur la table

RCOMPLICATIONS
IMMEDIATE PRECOCE TARDIVE
A) fracture A) fracture On a une
ouverte ouverte pseudarthrose
-hémorragie -infection de la
B) fracture plaie et ou de
fermée l’os (ostéite si le
Si lésion médullaire n’est
vasculaire on pas atteint, si
aura atteinte de la
l’hématome médullaire, on
- 105 -

Si pas de lésion parle de


vasculaire il n’y l’ostéomyélite
aura pas des B) fracture
complications fermée
-syndrome de
loge
Q parlez du syndrome de loge ?
REP : est caractérisé par des lésions ischémiques
tissulaire du à une
augmentation de la pression à l’intérieure de loge. Du
fait que le
sang s’accumule et l’hématome ↑ la pression mais
comme
l’aponévrose ne sait pas se distendre, ainsi
l’hyperpression crée la
compression de nerf, artère et veine, ainsi ischémie en
aval,
paresthésie, disparition du pouls et froideur
Q que ce qui saigne ?
REP : -l’os
-les vaisseaux
-les muscles
Q comment traiter ce syndrome de loge ?
REP : -si immédiatement, FASCIOTOMIE consistant à
réaliser des
entailles sur l’aponévrose
-si tard, AMPUTATION

Q anomalies de consolidation de l’os ?


- 106 -

REP : il y a deux types


-anomalie du délai : a)pseudarthrose
b) retard de consolidation

PSEUDARTHROSE
Def : absence de consolidation d’une fracture après un
délai normale de
consolidation de cette fracture type et siège du à
l’épuisement de
l’activité ostéogénique
RETARD DE CONSOLIDATION
Def : formation retardée d’une cal sans épuisement de
l’activité
ostéogénique

TYPES ET CLINIQUE de PSEUDARTHROSE


a) pseudarthrose lâche : mobilité anormale et indolore
b) pseudarthrose serrée : absence de mobilité et
douloureuse

IMAGE RADIOLOGIQUE D’UNE


PSEUDARTHROSE
Il y a 4 éléments :
a) une sclérose des extrémités
b) écart inter diaphysaire appelé abusivement diastasis
c) comblement médullaire
d) l’envasement en pâte d’éléphant
- 107 -

PEC D’UNE PSEUDARTHROSE


On fait la cure de la pseudarthrose consistant à :
a) résection des extrémités osseuses
b) réperméabilisez le canal médullaire
c) y posez le greffon corticospongieux si pas
d’infection
d) immobilisez avec le fixateur externe

NB : si infection et vous mettez le greffon


corticosponge, le corticale va se
comporter en un séquestre, ainsi on met seulement le
greffon
spongieux

-anomalie de volume : CAL VICIEUX ( est un


cal qui immobilise
l’os en mauvaise position) on distingue :
a) cal hypertrophique
b) cal angulaire

E ETIOLOGIE
Qui est une force exercée sur l’os qui vains sa résistance
ou soit l’os est fragilisée

T TRAITEMENT
PRINCIPE :-réduction du trait de fracture: qui peut être
orthopédique (si foyer fermé) ou
chirurgicalement (si foyer ouvert)
- 108 -

-l’immobilisation : peut être orthopédique


ou chirurgicale

IMMOBILISATION ORTHOPEUDIQUE
Principe : on immobilise l’articulation sus et sous jacent
Matériels : -bande cambre
-bande Velpeau
-bande adhésive (tensoplaste)
-bande plâtre

Q prof panda : donnez les types des plâtres de la tête


au pied et leurs
indication ?
REP :a)rachis et thorax
-minerve plâtrée
-minerve corset plâtré avec
casque
-coquille plâtrée
-lit plâtre
-bandage plâtre en huit de chiffre
b)membres supérieurs
-bandage de Desault plâtré
-plâtre thoraco-brachial
-hangingcast
-plâtre brachio-antébrachial ou
plâtres-en (L)
-manchette plâtrée
-attelle plâtrée postérieure ou
dorsale
- 109 -

-attelle plâtrée antérieure ou


palmaire
-plâtre spécifique sans nom
spécial :
-pour fracture de la tête
ième
du 5 métacarpien
-pour fracture de Bennett
-pour fracture de
scaphoïde
-attelle plâtrée des doigts
prolongée par une manchette
c)membres inférieurs
-plâtre pelvis-pédieux (PPP) ou
plâtre de Withmann
-plâtre pelvis-bicruropédieux de
Boehler (PPbiP)
-plâtre cruro-pédieux (PCP)
-fut plâtre ou guêtre plâtre
-Botte plâtrée de repos (BPR)
-Botte plâtrée de marche (BPM)
-PCP ou BPR prolongée d’un
(bâton disciplinaire)

IMMOBILISATION CHIRURGICALE
Moyens : a) osteotaxis : il utilise les fixateurs externes,
indiqué pour les
fractures ouverte et immobilise le trait loin du
foyer
- 110 -

b)ostéosynthèse : il utilise les moyens interne qui


immobilisent
le trait prêt du foyer
Q Dr mwepu : énumère les différents matériels
interne et externe ?
REP :
Interne (ostéosynthèse) Externe (osteotaxis)
-clou a)fixateurs externe
-le vis -hoffmann
-le clou plaque -fessa
- plaque visée -a.o
-fil métallique -monotube de triaxe
-ricken
-charnley
-hibride
b)certaines broches
-broche de steiman qui
permet de réaliser le
traction

Q que signifie :
-fessa : fixateur externe de service de santé française
-a.o : association d’ostéosynthèse

Q que comprend le HOFFMANN ?


REP : a) une fiche appelée broche
c)une barre
d)un étaux qui comprend : -une mâchoire
- 111 -

-un rotule
-un pavillon

Q comment faire l’entretient des fixateurs ?


REP : en nettoyant les orifices d’entré avec l’alcool
dénaturé et recouvrir
avec la compresse
Q donnez les types des tractions ?
REP : -traction transosseuse
-traction percutanée

Q PEC d’une fracture ouverte ?


REP :- si avant 6 heures, parage chirurgicale pour le
transformer en fracture
fermée, antibiothérapie, sérothérapie et vaccin
antitétanique

Q que ce que le test de BESREDKA ?


REP : c’est un test qui consiste à donner le 1/10ième du
produit en s/c et encerclez la zone environ 5 mm et voir
la réaction.
Si œdème au delà de limite environ de 10 mm ne pas
donnez le sérum équin mais donnez plutôt le sérum
humain

Q prof punga ; donnez le modalités de la vaccination


antitétanique ?
- 112 -

REP :a)si vaccin reçu entre 0 et 5 ans, donnez les


anatoxines
b)si vaccin reçu entre 5 et 10 ans, faire la sérothérapie
c)si vaccin reçu il y a 10 ans, donnez le vaccin
puis rappel a 6 mois
et 1 année
d)si ne jamais vacciné, donnez 3 vaccins d’intervalle
d’un mois puis
rappel à 1 année et après vacciné chaque 5 ans

-si au delà de 6 heure : nettoyez et placez le fixateur


externe

E EVOLUTION
-bonne si fracture de type I, II, et III a de
gustilloanderson
-si type III b et III c prise en charge à temps l’évolution
serra bonne, si tardive il y aura des séquelles

P PROGRAMME
a)si plâtre
a 1.éléments de surveillance du plâtre
-1ière jour, regardez si plâtre humide ou sec. Si humide
donc il est de
mauvaise qualité
-3ième jours, on contrôle si le plâtre est intact, si il cède
ou présente des
zones de faiblesse
- 113 -

-10ième jours, on vérifie si le plâtre est devenu éléphant.


Qui déduit qu’il y
avait l’œdème qui a fondu

a 2.éléments de surveillance du plâtre


on a l’acronyme DONC, ces élément sont valable
pour le 1ière , 3ième et
10ième jours
D : douleur
O : œdème
N : lésion nerveuse
C : lésion circulatoire
b) pour le fixateur
-si simple sécrétion louche faire l’écouvillon
-vérifier si le fixateur est devenu mobile pour le
renforcer

CAS PARTICULIES DES FRACTURES

FRACTURE DU FEMUR

Q cite les différents traits de fracture de l’extrémité


supérieure ?
REP :
Schéma
Classification de BOMBART
1) fracture sous capitale
2) fracture cervicale vraie
- 114 -

3) fracture basicervicale
4) fracture arrachement du grand trochanter
5) fracture arrachement du petit trochanter
6) fracture intertrochanterien
7) fracture pertrochanterien ou transtrochanterien
8) fracture sous trochanterien
9) fracture trochanterodiaphysaire
Q complication de fractures de l’extrémité
supérieur ?
REP : principalement le 1, 2, 3
Majeur : nécrose aseptique de la tête fémorale. Car
il y aura lésion de
l’artère circonflexe qui vascularisé la tête mais une fine
partie du sang
vient de ligament

Q autre pathologie responsable de la nécrose


aseptique de la tête fémorale ?
REP :-la drépanocytose

Q complication chirurgicale de la drépanocytose de


la tête au pied ?
REP :a)abdomen :-splenomegalie
-infarctus mesenterique
b)os:-osteomyelite
-fracture
-necrose aseptique de la tetefemorale
c)organe genitale:-priapisme
d)pied:-ulcere
- 115 -

Q PEC de fracture de l’extrémité supérieur ?


REP :-montage en double W (WW). Un W iliaque avec
ouverture en haut
Un autre W pubis qui est renversé
Il y a une broche dans la crête iliaque
Il y a une broche dans le grand trochanter
Il y a une broche transfixiante

Schéma

Q complication de la fracture medio diaphysaire du


fémur ?
REP :-l’hémorragie
- embolie graisseuse
-si écrasement musculaire est important, on aura le
syndrome de
by water ou crush syndrome, qui libère la myoglobine
qui est toxique
pour le rein ainsi nécrose glomérulaire et tubulaire

Q risque que cour le malade ?


REP : le choc, car la fracture du fémur peut perdre 1,5 l
de sang
Q citez les muscles de la cuisse ?
REP :
Groupe Groupe Groupe
antérieur intermédiaire postérieur
a)plan Il y a 5 muscles -1/2 tendineux
- 116 -

superficiel -grand -1/2


représenté par le adducteur membraneux
COUTURIER -moyen -biceps
appelé encor adducteur
SARTORIUS -petit adducteur
b)plan profond -pectinée
groupe des -droit interne
muscles avec un
tendon distal
unique. De la
profondaire à la
superficie on a
-crurale
-vaste interne
-vaste externe
-droit antérieur

Q la patte d’oie est formée par quoi ?


REP :c’est un image retrouvée à l’extrémité supérieur
de la cuisse
composée de 3 muscles provenant de chaque groupe :
-groupe antérieur : SARTORIUS
-groupe intermédiaire : DROIT INTERNE
-groupe postérieur : ½ MEMBRANE

Q quel est l’artère qui saigne ?


REP : ces sont les artères perforantes
- 117 -

L’aorte abd donne :-l’iliaque primitif droit et gauche


-le sacre moyen
L’iliaque primitif donne de chaque coté :-iliaque interne
-iliaque externe
L’iliaque interne égale aussi à l’artère hypogastrique
L’iliaque externe si dépasse l’arcade crurale devient la
fémorale commune qui se divise en fémorale
superficielle et fémorale profond
Le fémorale profond donne les perforants
Le fémorale superficielle au niveau du creux poplité,
donne l’artère poplité qui se divise en tronc
tibioperonée :-l’artère péroné
-l’artère tibiale
antérieur et postérieur

Q il existe combien des artères fémorales ?


REP : il y a 3 artères fémorale :-artère fémorale
commun
-artère fémorale
superficielle
-artère fémorale
profonde

FRACTURE DU BASSIN

Q complications ?
REP :-lésions vasculaires : donne l’hématome si
important on fait une
- 118 -

laparotomie exploratrice
-lésions nerveuses :si sciatique sectionné
-lésion urinaire : -vésicale qui peut être intra
péritonéale ou
Extra péritonéale
-urétrale souvent c’est le
membraneux et le bulbaire
Ainsi on a l’hématurie

Q types des fractures du bassin ?


REP :a)fracture stable :-si soit intéresse l’arc du pubis
d’un coté ou de deux
Coté
-si intéresse l’arc postérieur
b)fracture instable :-intéresse l’arc antérieur et l’arc
postérieur
ainsi on a deux variété qui sont, la fracture de
MALGAINE et la fracture de
VOILEMIER

Q complications d’un plâtre circulaire si fracture


supra condylienne ?
REP :si l’œdème est importante on a le SYNDROME
de VOLKMANN

Q cause des doigts en griffe ?


REP :1)maladies qui induit la paralysie de cubitale
2)syndrome de volkmann : si plâtre circulaire
compressif en cas de la
- 119 -

fracture du coude
3)la maladie de DUYPUTREIN
4)panaris de KEIN

Q que vous rappel le nom filiptorec ?


REP : est un manœuvre rapide qui permet de tester
l’intégrité de 3 nerfs de
la main ( le cubitale, le radial et le médian)
-le cône teste le médian
-la corne teste le cubitale
-l’abduction du pouce teste le radiale
Q différence entre un garrot hémostatique veineux et
artériel ?
REP :-le veineux est lâche et on le place en aval de la
plaie
-artériel est très serré et on le place en amont de la
plaie

Q précaution pour placer un garrot ?


REP : examiné la vasculaire et nerveux

Q pouls de la tête au pied ?


REP/

Chap II :OSTEOMYELITE

Def : inflammation de l’os et la moelle


- 120 -

Type : deux, qui peut être :- aigue qui atteint souvent les
enfants et se localise au niveau de métaphyse fertile qui
assure la longueur et la croissance de l’enfant (prêt de
genou et loin du coude)

Q pathologie localisé loin du coude et prêt du


genou ?
REP :-prêt du genou :-fémur distale et tibia proximale
-loin du coude : métaphyse proximale del’humérus
et la métaphyse
distale du cubitus et radius
Q cause ?
REP :-voie hématogène : infection ORL, sepsis le
germe souvent c’est le
staphylocoque dorée et chez le drépanocytaire
c’est le salmonella (à cause du déficit en opsonine
qui est un de composante de voie de complément
permettant de reconnaître le germe encapsulé)
-inoculation direct après ponction
-par contiguïté (plaie)

Q clinique ?
REP :a)signes générales :-fièvre
-céphalée
-frisson
b)signes fonctionnels :-impotence fonctionnelle
- 121 -

-douleur du segment de
membre
c)signes physique :-à l’inspection :tuméfaction du
segment du mbre
-à la palpation :-tuméfaction
chaude, douleur
circonférentiel esquisse tout au tour
de la métaphyse
-les mouvements
au niveau de
l’articulation sont bien exécutés

Q Dr bungu : Rx ?
REP : est normale mais on peut observer à un ou deux
semaines une
réactionpériostée

Q PEC ?
REP : OMA : immobilisation dans le ¼ d’heure et
antibiothérapie à forte
dose par la voie parentérale et puis enterale 6 à 9
semaines
plus un anti-inflammatoire

chap III ;OMC

Q types ?
REP :-OMC d’emblée :il y a 3 formes
- 122 -

a)hyperostosante ou hyper nécrosante


b)abcès centrale de brodie (abcès osseux localisé à la
métaphyse) à la radio
c)abcès ossifiant ou osteopeiostite
albumineuse d’ollier(abcès
des partie molle qui induit des lésions des parties
osseuses)
-OMC prolongée ou secondaire : fait suite à
l’OMA mal soigné
-OMC post traumatique : complique une fracture
ouverte

Q clinique :-déformation
-tuméfaction d’un segment de membre
-fistule

Q Rx ?:-image d’ostéolyse seul ou associé à l’image


d’osteocondensation
car construction osseuse
-image de GEODE
-image d’un SEQUESTRE (os mort entouré du
tissu de granulation)
et INVOLUCRUM (os mort entouré de tissu osseux
néoformé)

Q complication ?
REP :-fracture pathologique

Q traitement ?
- 123 -

REP :
Principe :-réalisé une excision des tissus mou et osseux
nécrosés ou
Curetage osseux. La cavité laissé béante serra
comblé selon :
TECHNIQUE DE PUROGAGE
TECHNIQUE DE PAPINEAU

TECHNIQUE DE PAPINEAU
-comblé et détersion de foyer infectieux de l’OMC en 3
temps.
1ière temps :excision de tissu mou et os nécrosé jusqu’à
l’os saine, nettoyer
la cavité au sérum physiologique ou dakin et bouret la
cavité de
tille gras qui évite le tissu de granulation pendant 2
semaines,
après défère le pansement enlevé le boudin et il y aura
saignement
2ième temps : greffon osseux, on utilise uniquement le
greffon spongieux

Q cite de prélèvement ?
REP :-crête iliaque
- condyle fémoral
-tibia
- 124 -

On le met dans la cavité et refermez et


réouvrire la plaie 1 à 3
semaines après pour l’irrigation aux antibiotiques ou
dakin
jusqu’à ce que le tissu de granulation viennent du fond
et
comblent le greffon. Si épithélialisation bon, si non
passez au :
3ième temps : greffe cutanée à peau mince

Chap IV :MAL DE POT

Q autre nom de la tuberculose osseuse ?


REP :-spondylodiscite tuberculeuse (vertèbre)
-genou : tumeur blanche
-hanche : coxalgie

Q localisation principale de la spondylodiscite ?


REP : est dorsolombaire
Q si c’est le corps vertébral seul qui est intéressé on
parle de ?
REP : -une spondylite
Donc spondylodiscite si corps et disque vertébral
intéressés

Q clinique ?
REP :signes générales :-3 T et 3 A
Signes locales :-voussure lombaire
- 125 -

-scoliose
-signes de compression médullaire

Q Rx ?
REP :-pincement discale
-irrégularité de plateau vertébral sus et sous jacent
-géode dans le corps vertébral
-fracture tassement des vertèbres
-image en fuseau traduisant les abcès suivant le
muscle psoas

Q diagnostic différentiel de la masse du triangle de


Scarpa ?
REP : -hernie crurale (consistance rénitent et réductible)
-fracture du col cervical (signe de Laugier masse
dure)
-abcès froid (fluctuante)
-anévrisme de l’artère fémorale (masse pulsatile)
-adénopathies

Q limite du triangle de Scarpa ?


REP : -en haut : arcade crurale
-à l’extérieur : le couturier
-à l’intérieur : le droit interne

Q Paraclinique ?
REP : bilan inflammatoire :-VS est accélérée
-FL à prédominance
lymphocytaire
- 126 -

Q diagnostic différentiel ?
REP :-maladie de KALLER : on recherche le protéine
de benjoin car
elle est thermolabile dans les urines
-hernie discale

Q traitement ?
REP :-repos sur un plan dur plus RHEZ

Q éléments de surveillance ?
REP :a) clinique :-état générale
-le poids
-l’amendement des troubles
neurologique
b)para clinique :-ziehl

Q complication ?
REP :-osseuse :-fracture tassement des vertèbres
-neurologique :-compression d’une racine ou
moelle, ainsi trouble
sphinctérien vésicale ou anale
- 127 -
- 128 -

P3
1)rappel
A)-l’aorte abdominal donne naissance à :
-l’artère cœliaque qui vascularisel’estomac , la rate, une
partie du duodénal et
du pancréas.
-l’art. mésentérique> qui prend la partie restant du
duodénal et du pancréas,
le grêle et le colon jusqu’à l’angle splénique.
Il donne 3 collatérales ; le colique droit >, moyen et <.
Le colique droit < va
donner le tronc bicoeco-ileo-appendiculaire.
-l’art. rénal
-l’art. surrénale
-l’art. mésentérique< qui comprend 2 collatérales : le
colique gauche > et l’<
Le colique gauche <vascularise le coecum
NB/*le mésentérique > et le mésentérique <
s’anastomosent pour donner
- 129 -

l’arcade de Villemin
*le colique droit > et le colique gauche >,
s’anastomosent pour donner
l’arcade de riolan et l’arcade de Drummond qui est rare
B)douleurs abdominales chirurgicales aigue
*du à l’infarctus mésentérique
-pancréatite aigue hémorragique
-infarctus intestino mésentérique
*occlusion intestinale aigue
*infectieuses
-appendicite aigue
-cholécystite aigue
-péritonite aigue

Chap I ;APPENDICITE

Q ce quoi l’appendice ?
REP : c’est un organe lymphoïde ou un diverticule
implanté au bord
posterointerne du coecum, environ 3 cm en dessous de
la valvule
Iléo-caecale, au point de jonction des 3
bandelettes longitudinales du
Caecum. Sa longueur est variable, en moyenne de 8 à 10
cm.

Schéma
- 130 -

Q prof puntuyamba ; éléments pour reconnaître


l’appendice ?
REP : il y a 3 choses
-la coloration blanchâtre du coecum ou caecum
car le grêle est rose
ou rosacé
-les 3 bandelettes car l’appendice est situé à leur
jonction
-jonction iléo-cæcal car l’appendice est situé à 2
ou 3 cm de cette
Jonction

Q Dr veyi ; différence entre gros intestin et petit


intestin ?
REP : il y a 3 éléments
-le calibre
-les ostrations
-la présence des bandelettes

Q prof mokasa ;position normale de l’appendice ?


- 131 -

REP : laparocoecale interne (intrapéritonéale, se


projetant sur la paroi au
niveau du point de Mac Burney à mi-distance
entre l’épine iliaque antéro-superieure et
l’ombilic)

NB :position vicieuse :-rétro-caecale (remonte en arrière


du caecum, en
position sous-péritonéale)
-sous-hepatique (situé dans
l’hypochondre droit,
sous la pointe du foie droit)
-meso-caeliaque (situé au milieu
des anses grêles,
dans la région péri ombilicale,
appendu à un caecum flottant)
-pelvien (plonge dans le pelvis,
au contact de la
vessie et de la sphère génitale de la femme)
-fausse iliaque gauche ou latero-
coecale externe qui
est rare

Q donne la subdivision du tronc coeliaque ?


REP : c’est le 1ière tronc de l’aorte abdominale qui
donne :
-l’artère splénique
-l’artère hépatique
-le coronaire stomachique
- 132 -

Q prof puntu ; dans quel circonstance l’appendice


est dans la fausse
iliaque gauche ?
REP : en face de mésentère commun ou tous les
viscères ont un seul
mésentère et il peut avoir une rotation complète
(ischémie du grêle)
ou partielle

schéma

Q prof mokasa ; donne la vascularisation de


l’appendice ?
REP : est assuré par l’artère iléo-bicoecoappendiculaire

Q prof mushe : donne les collatérales de l’aorte


abdominale ?
REP :a)tronc coeliaque
b)tronc mésentérique supérieur
c)tronc de l’artère rénale
d)tronc de l’artère surrénale
e)tronc du mésentère inférieur
f)les iliaques primitives :-iliaque interne ou artère
hypogastrique
-iliaque externe
g)au milieu des iliaques, l’artère sacré moyen
- 133 -

Qprofpunga ; donne le nom de la valvule qui est à la


base
d’implantation de l’appendice au coecum ?
REP : la valvule de GERLACH

Q prof bianda ; pourquoi la perforation


appendiculaire ne siége qu’à
lapointe ?
REP : car à ce niveau on a que 3 couches au lieu de 4
tuniques, la
muqueuse, la sous muqueuse et la séreuse donc la
musculeuse
manque, et si hyperpression en intra luminale, c’est la
zone de
moindre résistance qui va fissurée

Q prof bianda ; différence entre une péritonite due à


la perforation
iléale et appendiculaire ?
REP :la lumière appendiculaire est virtuelle et il y règne
une pression
d’environ 1 mm de Hg

Q Dr veyi ; donne la physiopathologie ?


REP : si obstruction (soit par le pépin de fruit, une
stercorite ou œuf
d’helminthe) → un système de vase clos → la lumière
devient réelle
- 134 -

→ pullulation des germes intra-luminales → une


pression qui va
interférer avec la pression des vaisseaux à bas débit
(veines et
lymphatique), si pas levé, elle ↑ et interfère avec le
vaisseau de haut
débit ( l’artère), qui sera comprimé ainsi pas de
retour sanguin →
ischémie, gangrene, perforation.

Q donne le stades macroscopique de l’appendicite ?


REP ; anatomo-pathologie :
a)appendicite catarrhale :-dilatation des vaisseau de la
séreuse
-oedeme du méso et quelques
exsudats fibrineux
-elle est rouge et turgescent
b)appendicite suppurée ou pyo-appendice :
-augmenté de volume, sous
tension, et parfois
en battant de cloche, dont les parois sont
épaissies et friables, recouvertes de fausse
membrane, avec contenu luminal purulent
c)gastron appendiculaire
d)appendicite gangreneuse :-est verdâtre, nécrotique par
plaque très
friable et malodorante
e)appendicite perforé qui est lenticulaire ou totale
- 135 -

Q prof mushe ; pourquoi dit-on que l’appendicite est


aléatoire ?
REP : car la clinique n’est pas superposée à la lésion,
ainsi si on y pense, il
faut toujours opérer

Q prof mushe ; donne la clinique de l’appendicite ?


REP : on a 3 principaux :
1)fébricule 35,5 Ŕ 37,7°C
2) ↑ de la pulsation
3)hyperleucocytose
On peut encor avoir
-une position antalgique
-vomissement, nausée, douleur à la fausse iliaque
droit
-signe physique :-Mac Burney (douleur après
appuie à mi distance
sur la ligne spino ombilicale)
-Rovsing (douleur ressentie à la
fausse iliaque droit
après appuie maintenu à la fausse iliaque gauche)
-Psoitis (flexion du genou sur
cuisse, cuisse sur le
bassin ainsi douleur c’est un signe indirecte)
-signe de Lanz positive à droite
-rebound positive
-TR ou TV : douleur latéralisé à
droite
- 136 -

Q Dr kutuluka ; que ce qui donne le signe


d’irritation péritonéale ?
REP : -une péritonite localisé
-une appendicite aigue

Q Dr sanduku ; utilité de l’abd sans préparation si


app aigue ?
REP : il recherche 2 choses :
1)une anse sentinelle : un petit niveau hydroaerique
localisé à la
fausse iliaque droite témoin d’un petit iléus
localisé à cet endroit
2)ladisparution de l’ombre du psoas car il y a
production locale
d’eau qui empêche la visibilité de l’ombre du psoas à
droite

Q comment faire le diagnostic de l’appendicite ?


REP : le diagnostique est clinique, pas de paraclinuque

Q Dr veyi ; CAT devant l’appendicite ?


REP : l’ appendicectomie

Q Dr veyi ; donne le type d’appendicectomie ?


REP :
Appendicectomie Appendicectomie
antérograde rétrograde
Réalisé si on visualise Réalisé si pas moyen de
l’appendice et sa base et mettre en évidence
- 137 -

isolés l’entièreté de l’app et on


1ière temps : ligature visualise que la base
section du méso 1ière
2ième temps :appendicectomie
temps :appendicectomie, 2ième temps :ligature
on peut ou ne pas enfuir section progressive du
le moignon si propre méso
Mais ne jamais enfuir si
abcès

COMPLICATIONS POST OPERATOIRE


IMMEDIATE PRECOCE TARDIVE
Le 24 1ière heure Jusqu’à la Apres
-hémorragie qui cicatrisation en cicatrisation
conduit à 1ière intention -éventration
l’hemopéritoine -infection de la -appendicite du
plaie moignon restant
-péritonite post
opératoire
-syndrome du
5ième jours.
Comprend 2
syndromes
Un infectieux et
l’autre péritonéal
(fièvre, frisson,
nausée,
vomissement,
douleur
- 138 -

abdominal,
défense à la
fausse iliaque
droite
-maladie
thrombœmbolique

Q Dr tshitala ; citez le différent plan à traverser et


files àutilisé ?
REP : peau → tissu sous cutané → fascia superficialis
→ aponévrose du
muscle grand oblique → muscle petit oblique → muscle
transverse
→ péritoine
Files :
-péritoine : vicril ou cat. cut, file à résorbable
-muscle :on le rapproche avec le vicril 2.0
résorbable
-aponévrose : vicril 1 ou 0 car il est solide
-fascia superficiel : file résorbable de petit
calibre
-peau : le nylon ou file non résorbable

Q cite le muscles de l’abdomen ?


REP :-paroi latero de l’abdomen
-grand oblique (qui vient de cote et seul
l’aponévrose se
prolonge vers le dos)
-petit oblique
- 139 -

-transverse
-paroi antérieur : muscle grand droit
- 140 -

Q diagnostic différentiel de la douleur à la fausse


iliaque droite ?
REP :
a) système urinaire :-colique néphrétique
-la pyélonéphrite aigue
-l’hydronéphrose congénitale ou
acquise
-cystite
b) gynécologique :-salpingite
-GEU en prerupture
-torsion ou rupture d’un kyste
ovarien complet
-syndrome de 14ième jours
-ovulation droite
-grossesse débutante

c)hepato biliaire :-colique hépatique


-cholécystite aigue débutant
-hépatite dans la phase preicterique
d)gastro-duodenale :-perforation ulcéreuse
e)ileo-mesenterique :-invagination
-iléite terminale de crohn à sa
phase inaugurale
-inflammation de diverticule de
Meckel
-adénite mésentérique
-tbc iléo-cæcal
-typhlite
-kyste de mésentère
- 141 -

-amoebome
-adénopathies néoplasique
-parasitose intestinale
f)colique :-cancer du coecum
-cancer du colon ascendant
-sigmoïdite diverticulite aigue
g)appendicite :-mucocele bénigne
-tumeur carcinoïde de l’appendice
-appendicite

h)enfant :-pneumopathie
-rougeole à sa phase preéruptive
-RAA
-méningite
-purpura rhumatoïde
-oxyurose appendiculaire
-tumeur rénale
-lymphomes à début pseudo-appendiculaire
i)paroi :-abcès de l’espace de BOGROS
-tumeur (cellulite, phlegmon, ect)
- 142 -

Chap II :HERNIE

Déf :protusion ou issue s/c des viscères abdomino


pelvien à travers un
point faible anatomiquement connu

Q donne les différents points faible ?


REP : selon les parois abdominales,
a)paroi antero latérale :-en ant :muscle grand droit
(MGD)
-en latérale :muscle grand
oblique (MGO)
schéma Muscle petit
oblique (MPO)
Muscle transverse
(MT)

1ière :sus ombilicale (hernie


de la ligne blanche)
2ième :ombilicale avec deux
points . Intersection
d’une ligne horizontale passant par
l’ombilicale au bord externe de MGD
(point de SPIGEL) et
l’autre point c’est
l’ombilic
3ième :région inguinale
- 143 -

4ième :région crurale


Q définir le canal inguinale et canal crural ?
REP :

Q donne les structures trouvés à l’ombilic ?


REP :-au dessus : vestige de la veine ombilicale qui
devient le ligament
rond et adhère à droit (ainsi si laparotomie on dévie
toujours à gauche)
-en bas : 3 structures, latérale (vestige de l’artère
ombilicale et)
Milieu (l’ouraque qui
communique avec la
vessie)
b)paroi supérieure :on a le diaphragme avec ses
orifices
5ième : orifice oesophagien
(hernie
diaphragmatique)

Q cite les différents orifices du diaphragme ?


REP :-orifice du passage de la Veine cave inférieure
-orifice du passage pour l’œsophage
-orifice du passage pour l’aorte
-petits orifices pour le passage de lymphatique
et petit nerf
c)paroi postérieure : il y a deux points
- 144 -

6ième : triangle de jean louis


petit
7ième :quadrilateur de grynfillt

Q donne les délimitations du triangle de jean louis


petit et du
quadrilateur de grynfillt ?
REP :
Schéma

d) paroi inférieure : pas de point permanent par ou les


hernies peuvent
passés mais on note le hernie ou niveau du trou
obturateur

Q Dr veyidonne les caractéristiques générales des


hernies ?
REP : -le contenu
-le sac
-le trajet

Q prof panda ; différents types de hernie


inguinale ?
REP :-sac à l’orifice profond : pointe herniaire (a)
-sac en plein milieu : hernie interstitiel (b)
-sac à l’orifice supérieur : hernie bibonocelle (c)
-sac au niveau du plie inguinale : hernie
inguinale
- 145 -

-sac au niveau du scrotum : hernie


inguinoscrotale
Schéma

Q Dr mwepu et prof mushe ou Dr veyi ; y a-t-il


une corrélation
entre la hernie et la
maladie prostatique ?
REP : pour la survenu d’une hernie il existe des
facteurs déterminant :
-l’effort exercé par le patient ↑ la pression intra
abdominale plus
en dessous de l’ombilic qui chasse les viscères vers
les points
faible, or si maladies prostatique (HBP, adenocar,
ect), → la
compression de voie urinaire basse ainsi on a une
rétention qui
oblige au patient de pousser pour uriner, ceci va ↑ de
la pression
intra abdominale et chasse les viscères vers ces
différent point
faible → hernie
ainsi il faut toujours faire le touché car si on traite cet
hernie, il y
aura récidive

Q clinique ?
- 146 -

REP : hernie simple :-tuméfaction réductible au


niveau de point faible
-expansible aux effort ou toux
ou défécation
-position couche la tuméfaction
disparaît

Q examen ?
REP : se fait en position debout et couche pour la
hernie simple

Hernie complique : 2 grands


-étranglement
-irréductibilité
PEC
Si ombilicale : enfant traite orthopedique par le
bandage adulte opere

Q Dr mwepu ; chez l’enfant on parle de quoi ?


REP : chez l’enfant c’est la persistance de canal
peritoneovaginal et non
la hernie

Q cite les pathologies du à la persistance ?


REP : -hernie
-hydrocèle
-kyste du cordon
- 147 -

Q différencier entre hernie et hydrocèle ?


REP :
Hernie inguino scrotale Hydrocèle
-masse -masse
-palpation : mole -palpation : rénitente
-auscultation : -auscultation : rien
péristaltisme -transillimination est
-transillimination est positive
négative

Q comment opérer la hernie inguinoscrotale ?


REP :-incision inguinale
-repère, ligne droite verticale par le bord externe
de muscle grand
oblique et une ligne oblique par l’arcade crurale, ou
même une
bissectrice qui divise l’angle en deux. Dissèque,
ouvrir le tissu
sous cutané la paroi du canal inguinale et perché le
cordon
spermatique qui comprend : le canal defferent, veine
artère
spermatique, vaisseau lymphatique, plexus nerveux et
le ligament
de
-technique pour refermer et renforcer la paroi
(technique de
bassine et de forgue)
- 148 -

Bassine : on renforce la paroi post en solidarisant


l’arcade crurale de
tendon conjoint et la point de suture se trouve de cote
externe
du cordon, muscle petit oblique

schéma

Forgue : le point de suture est du coté interne du


cordon

Q complications post opératoire ?


REP :a) immédiate :-hémorragie (le vaisseau
spermatique peut saigner
et induire une nécrose du testicule)
(le vaisseau fémorale
se trouvant en
dessous de l’arcade crurale peut tué)
Q dessine le triangle de Scarpa ?
REP :

-le nerf femorocutané : anesthésie


de la face antero-
interne de la cuisse

b)précoce :-infection de la plaie opératoire


- 149 -

-un hématome post-opératoire


(saignement en nappe
dans le scrotum)
-atrophie testiculaire du à la lésion de
vaisseau
spermatique
-anesthésie ou hyponesthesie de face
anterointerne de
la cuisse suite à la lésion ou section de nerf
femorocutané
c)tardive :-récidive de la hernie
-stérilité secondaire par lésion
vasculaire ou de canal
Efférent

HERNIE DIAPHRAGMATIQUE

Q types ?
REP : -hernie par glissement : est l’ascension du
cardia dans le thorax
suivie de l’estomac
-hernie paraoesophagien :l’ascension de la
grosse tubérosité de
l’estomac alors que le cardia reste dans l’abdomen
-une brachyoesophage : présence de l’estomac
dans le thorax

Q physiopathologie ?
- 150 -

REP : si cardia monte, il y a redressement de l’angle


de his et la valvule
peut se redresser et entraîner le reflux
gastrooesophagien
(PYROSIS) signe, brûlure épigastrique
irradient au dessus en
remontant vers les épaules
Q donne les mécanismes anti reflux ?
REP :-l’angle de his
-valvule de gubaroff
-pilier diaphragmatique

Q quant, parle t on de triade de saint ?


REP : si présence :-hernie oesophagien par glissement
-une lithiase biliaire
-diverticule sigmoïdal

Q para clinique ?
REP ; le Rx

Q TTT ?
REP :a) médical :-éviter de se pencher trop en avant
après repas
-pas de décubitus dorsale ou latérale
-pansement gastrique

b)chirurgicale : on reconstitue l’angle et renforce les


pilier
diaphragmatique
- 151 -

Q différence entre hernie, éventration et


éviscération ?
REP : a)éventration :protutrice viscérale sous cutané à
travers la paroi
abdominale au niveau de zone affaiblie non
anatomiquement prévisible

Q types d’éventration ?
REP : il y 2 types :
Eventration spontané Eventration traumatique
-paroi abdominale est -paroi abdominale avec
aminci et intacte sans solution de continuité
solution de continuité -il y a des adhérence
-pas des adhérence ni intraabdominale et lésion
lésion intestinale intestinale

Q donne le plan important qui évite l’éventration ?


REP : l’aponévrose bien suturé

Q ttt de l’éventration ?
REP : cure de l’éventration selon la technique de
JUDD (décollement de
l’aponévrose sans ouvrir la cavité abdominale et
suture par des
points en U

b)éviscération :sortie, protusion en dehors de limite de


la cavité
- 152 -

abdominale par la désunion des sutures

Q facteurs favorisants de l’éviscération ?


REP :
Générales Technique Locaux
-maladie de -mauvaise -infection de la
diabète suture de plaie peut
-obésité l’aponévrose défaire tous le
-superposition file de suture
de l’aponévrose
-utilisation
abisive des files
sur différent
plan

Q TTT de l’éviscération ?
REP : cure :ouvrir, nettoyer la cavité abdominale et
refermé la paroi par
le point
- 153 -

Chap III :PERITONITE

Q peut tu estimer le superficie du péritoine ?


REP : c’est le meme que celle du corps

SC = 4P+7/90+P

Q Dr veyi : à quoi est du l’acidose ou pourquoi la


polypnée si
péritonite ?
REP : 3ième secteur
Si infection, réaction qui va cloisonné mais sera
dépassé est il y aura iléus (lois de steine stokes)→
accumulation de liquide dans un secteur perdu de
l’organisme qui ne participe pas aux échanges.
Liquide, protéine, électrolyte ect → ↓ de la masse
sanguine (hypovolemie) car l’eau quitte le vaisseau
vers le 3ième secteur et l’organisme crée une
redistribution de sang vers les organes nobles en de
faveur des organes de secteur splanchnique, peau
muscle souffrent, ainsi métabolisme sans O2
(anaérobiose) → ACIDE LACTIQUE qui est un acide
fort et le PH sanguin baisse→ ACIDOSE
IL y a le poumon et rein qui ↓ le PH et il y a
hyperventilation pour dégager le CO2 (POLYPNEE)
2ième raison : l’énergie produit insuffisant pour
l’organisme, ainsi d’autre voie seront sollicité
(lipolyse, glycogénolyse, protéine) → production des
- 154 -

acides amines et acide gras qui vont acidifier le


sang→ ACIDOSE
3ième raison ! le ballonnement abdominal due au
troisième secteur va sur élevé l’hémi coupole
diaphragmatique or muscle puissant de la respiration
ainsi pas d’ampliation thoracique, pas d’hématose,
accumulation de CO2 → ACIDOSE
4ième raison : ballonnement plus irritation péritonéale,
le malade ne sollicite pas le muscle accessoire de
l’abdomen → respiration superficielle → CO2 ↑ →
HYPERVENTILATION
5ième raison : perte des électrolytes or le rein en a
besoin pour équilibrer le PH → ACIDOSE

Q il y a combien de 3ième secteur ?


REP : 3 :-cavité péritonéale
-tissu conjonctif sous péritonéal, siège
d’œdème
-lumière intestinale qui est distendue
Q donne le différent Laugier que tu connais ?
REP :-au niveau du poignet :ascension de styloïde
radial
-ballonnement abdominal asymétrique
-triangle de Scarpa : si fracture du col fémorale
et sur élévation de
Vaisseau
Q différence entre contraction et défense
musculaire ?
- 155 -

REP : contracture : tension musculaire permanent,


involontaire et
invincible
défense :tension musculaire non permanente,
vincible et
volontaire

Q différence entre niveau hydroaerique et image


hydroaerique ?
REP :niveau : c’est une ligne séparent l’eau et l’air
Image : c’est une aperçu ou on a une zone
déclive opaque et une
zone proclive claire

Q donne les axes de ttt de la péritonite ?


REP : 1ière axe :geste chirurgicale
2ième axe :vidange gastrique
3ième axe :réanimation

Q donne les 3 voies de taylormayor ?


REP :1) abord veineux (pour réanimer)
2) sonde nasogastrique
3) sonde vésicale

Q rôle de la sonde naso gastrique ?


REP :a) préopératoire : vidangé le contenu gastrique
pour lutter contre
l’iléus paralytique qui diminue le ballonnement
- 156 -

abdominale et améliore la respiration


b)per opératoire : évité le syndrome de mendelson
pendant
l’induction anesthésique car si estomac plein
reflux gastro-oesophegien → pneumonie chimique
c)postoperatoire :permet le retour du transit
intestinale

Q comment reanumer ?
REP :a) levez :-le choc hypovolemique du au 3ième
secteur
-le choc septique
En perfusant plus ATB et correction des
troubles électrolytiques
après ionogrammes sanguin
pour le trouble hydrique
formule de Lewis=2 cc /kg/% des
déshydratation/heure de
réanimation

déshydratation :-légère, perte d’≈ 3% de poids


-modéré, perte d’≈ 6% de poids
-sévère, perte d’≈ 9% de poids
L’heure ne doit pas dépasser 3 heures et on opère si la
diurèse atteint 50 % de la valeur attendu
Chez le nouveau né : 100 cc/kg/24 heure
Chez le prématuré :150 cc/kg/24 heure
Chez l’adulte :50 cc/kg/24 heure
- 157 -

Si perforation gastrique :-ravivement suture


Ici la péritonite sera au début
aseptique (chimique) et 3 à 4 jours deviens
septique
Si perforation iléale :-ravivement suture de la brèche
-résection anastomose
-ileostomie si l’état du patient ne
permet pas une suture digestive en
1ière intention ex : l’hypo
protéinémie
Si perforation colique :-quelque soit l’importance, une
stomie
Colostomie latérale
Comostomie terminale selon Hartman ou
En
canon de fusil
Schéma

Q il y a combien de stomie ?
REP :a) selon le type :-stomielatérale
-stomie terminale selon hartman
ou en canon de
Fusil
b) selon la durée :-stomie provisoire (pour laisser
passé
l’infection)
-stomie définitive (si tumeur
invaincible→ mort)
- 158 -

Q prof mush ; qu’attend tu par stomie sur l’anse ?


REP : consiste à aboucher une anse intestinale sur la
peau, on ouvre la
paroi on tire l’anse et on prend une baguette et on
place pour
empêcher le retour de l’anse et on ouvre l’anse
jusqu’à la fin du
processus infectieux

schéma

Q différence entre perforation iléale et


appendiculaire ?
REP : se situe au niveau de la siège
Iléale : perforation au niveau de l’iléon
terminale à cause de
plaque de payer et le salmonelathyphie ont le
privilège de
le colonisé
app : au niveau de la pointe appendiculaire

Q éléments à surveiller en post opératoire ?


REP :-signe vitaux
-la diurèse en fonction du temps et poids du
malade 1 cc/h/kg

Q indications d’une stomie ?


REP :a) absolue (définitive) :-tumeur colorectal
inopérable
- 159 -

b)de décharge temporaire :-maladie d’hirschprung


-MAR haute
-perforation iléale sur
terrain de
Malnutrition
- 160 -

Q dessine le 3ième secteur ?


REP :

Q donne le 3 éléments du boudin d’invagination ?


REP :-anse qui reçoit le fragment incarcéré
-le Colet ou se réalise la striction du méso
-anse qui pénètre
Schéma

2)diagnosticdifférenciel
Occlusion intestinale Péritonite aigue
aigue
Def. Arrêt de progression Inflammation de
de gaz et matière au feuillet péritonéale qui
niveau du tube peut être locale ou
digestif (du diffus
duodénum au
rectum)
type -haut situer -péritonite localisé
-bas situer -péritonite diffus
- 161 -

cause Il y a 3 causes a)Il y a le primitive


*mécaniques cause :pneumocoque et
-à une strangulation streptocoque
(l’anse tourne autour b)il y a le secondaire
d’elle-même) qui comprend
volvulus *par effraction du
-obstruction soit feuillet pariétale (plaie
liminale pénétrante)
soitextraliminale *par effraction du
*fonctionnelle iléus feuillet viscérale (plaie
paralytique perforante) qui donne :
*mixte -une péritonite
aseptique (perforation
biliaire)
-une péritonite septique
clinique a)signes a)signes
fonctionnelle fonctionnelles
*la douleur est *la douleur en coup de
inconstante poignard
paroxystique mais
avec un fond
douloureux (colique
de miséréré) *vomissement
*vomissement inconstante
précoce si occlusion
haute située et
tardive si l’occlusion *le hoquet traduit
est bas située l’irritation du péritoine
*le hoquet sous diaphragmatique
- 162 -

inconstante *arrêt de matière et de


gaz
*arrêt de matière et Si iléus paralytique
de gaz
Précoce si bas située b)signes générales
et tardive si haut *attitude antalgique
située
b)signes générales *température, on a la
*attitude il est fièvre
normale sauf si
période de crise *facies péritonéale
*température (nez effilé ailes du nez
normale sauf si pincé yeux excavé)
complication en *déshydratation, signes
péritonite présent
*facies angoissé
c)signes physique
*déshydratations, pas *à l’inspection
des signes -pas de ballonnement
abdominale sauf si
iléus paralytique
c)signes physique
*à l’inspection
-ballonnement -mouvement
abdominal on a le respiratoire superficiel
météorisme de -absence des
Laugier péristaltismes
(asymétrique) et
météorisme de bayer *à la palpation
- 163 -

(en cadre) -on a un ventre de bois


-mouvement
respiratoire perçu *à la percussion
normalement Une matité
-péristaltisme à jour *à l’auscultation
frisant (en regardant Un silence
la paroi abdominale auscultatoire
sur le même plan)
*à la palpation *au TV
-on peut palper le Cris de douglas positif
boudin
d’invagination car
l’abdomen est souple
*à la percussion
-une sonorité
tympanique
*à l’auscultation
Tonalité métallique
tardivement on aura
un silence sépulcral
*au TV
Cris de douglas
négatif
physio Obstruction en Vu l’inflammation,
cherchant à luter, il y l’organisme réagi par
aura agglutination de un iléus paralytique
l’air, ce qui explique ainsi liquide dans la
le meteorisme.si non cavité péritonéale donc
lever, plasmorragie, troisième secteur et
- 164 -

présence de dans l’intestin qui peut


troisième secteur.qui produire 7 à 8 litre par
évoluera vers un jour qui serra
sphacèle et enfin une accumulé.
perforation ainsi
péritonite secondaire
Paraclin. a)à l’échographie a)à l’échographie
une dilatation un épanchement
intestinale liquidien
b)à la radiographie b)à la radiographie
*image hydroaerique *une image de grisaille
*un croissant gazeux

*un niveau
hydroaerique

ttt Est chirurgical Est chirurgical


1)résection de la 1)résection de la lésion
lésion 2)réparation
2)réparation 3) rinçage de la cavité
3) asséché la cavité jusqu’à ce que le
4)fermeture de la liquide soit claire
paroi 4) placez les drains
dans la gouttière colo
- 165 -

pariétale droit et
gauche et dans le
douglas

On a une réanimation avant pendant et après la chirurgie

Chap IV :STENOSE OESOPHAGIEN

Q Dr veyi : ce quoi un produit caustique ?


REP :tous produit capable par son PH et pouvoir
oxydant, de créer des
lésions au niveau œsophagien

NB : l’œsophage a 3 tuniques :-muqueuse


-sous muqueuse
-musculeuse :-couche
interne

(longitudinale)
-couche
externe (circulaire)
Le reste de tube digestif a 4 tuniques

Q prof mushe : entre le base et acide que ce qui est


dangereux et
pourquoi ?
REP : c’est le produit basique car
- 166 -

-le base : induit des lésions profonde en


dissolvant les protéines et
saponifiant le graisse or il ne pique pas ainsi la
personne
peut prendre une grande quantité

-l’acide : induit des lésions superficielles en


provoquant des
nécroses de coagulation ainsi ulcère et comme il
pique,
pas moyen d’avaler une grande quantité

Q Dr veyi : stade de la sténose œsophagien ?


REP : 3 phases
Phase initiale : ou immédiate après prise du
produit
Clinique :-choc
-douleur retro sternale
intense
-dysphagie
Phase d’accalmie : ou le tableau s’amande
complètement
Phase de cicatrisation : fait de syndrome
œsophagien
-régurgitation
-hypersyalorrhée
-dysphagie
- 167 -

Q autre pathologie qui donne le syndrome


œsophagien ?
REP :megaoesophage :dysphagie paradoxale (ici pas
de transmission
des ondes péristaltiques crée par la déglutition,
ainsi le bol stagne, et le solide passe mais le
liquide ne passe pas)

Q que ce qui crée le dysphagie ?


REP : c’est le rétrécissement causé par l’atteinte de la
couche circulaire

Q donne les complications redoutable si brûlure


œsophagien ?
REP :a) perforation œsophagien → médiastin→
mediastinite → la mort
b)vue la teneur du produit → lésion de la trachée →
fistule
oesotracheale

Q attitude à prendre devant un patient qui a avalé


le produit
caustique ?
REP :-ne jamais le faire vomir car à la descente on
peut avoir des
- 168 -

lésions parsemées et si vomis, on complète ces lésions


au zone
saine
-abord veineux : car on a le choc vagale du à la
douleur
-pansement œsophagien et gastrique
-sous fibroscopie, réalisez avec prudence car on
peut perforer
l’œsophage qui est déjà fragilisé, appréciez la lésion

Q formule chimique de la soude caustique et


sulfate de barium ?
REP : -soude caustique : NaOH
-barite : BaSO4

Q bilan de certitude ?
REP : c’est la fibroscopie

Q donne la classification de DICOSTANZO


(fibroscopie)
REP : stade o : muqueuse normale
Stade I : œdème et hyperémie de la muqueuse
Stade II : a)ulcère superficiel
b) ulcère profond
Stade III : a)nécrose localisée
b) nécrose étendue

NB : -fibroscopie si en phase initiale


- 169 -

-transit oesogastroduodenale avec le sulfate de


barium si
Cicatrisation
-faire le protéine totale
-albuminurique
-la radiographie du thorax

Q éléments de gravité dans la prise de produit


toxique ?
REP : 1) la quantité si environ 150 cc
2) si état de choc après la prise
3) si signe de perforation de l’œsophage
4) si signe de cyanose

Q PEC ?
REP :
Phase initiale : médicale :-pansement gastrique
-levez le choc
-anti-inflammatoire
Phase d’accalmie : rien à faire
Phase de cicatrisation : GASTROCTOMIE
d’alimentation

Technique de FONTAN :
Décubitus dorsale,
anesthésie locale, incision para rectale gauche ou para
médiane gauche au dessus de l’ombilic à 1 ou 2
travers de doigt en dessous de rebord costale.
- 170 -

Ouvrir le tissu sous cutané, on tombe sur le feuille


antérieur de muscle grand droit, fascia superficialis,
aponévrose de muscle grand droit, ouvrir, on voit le
muscle et disséquez selon le sens des fibres, on pêche
le péritoine avec la pince à coeur vers l’épigastre et
pêchez l’estomac sous forme de cone (tre vascularisé)

On fait un noeud supérieur qui prend l’estomac la


peau et aponévrose

Une bource au sommet et une à la base

Ouvrir au sommet introduire la sonde de PEZZER


De que on donne le produit riche en protéine
Eléments de surveillance : -poids pour savoir si il
récupère ou non
-dosez l’albumine si le
taux est acceptable, faire la chirurgie
OESOPHAGOPLASTIE en utilisant l’iléon, colon
ascendant en retro sternal pour court-circuiter la partie
non fonctionnelle

Chap V :ABCES
- 171 -

Q définitions ?
REP : -abcès : collection purulente dans une cavité
néoformée
-empyème : collection purulente dans une
cavité naturelle bordée
par des limites épithéliale

Q différence entre abcès chaud et abcès froid ?


REP : -abcès chaud : collection purulente dans une
cavité néoformée au
niveau S/C faisant suite à un phlegmon circonscrit
-abcès froid : collection purulente formée de
façon progressive à
l’absence des signes inflammatoires.

Et peut siéger dans différents


organes de
l’organisme alors que l’abcès chaud dans le tissus
S/C

Germes causal :-abcès chaud : germes pyogène


(gram─ et
gram+)
-abcès froid :le BK dans la majorité
des
cas, rarement quelque
champignon (histoplasma
capsulatum et
- 172 -

actinomycas) et
exceptionnellement les
bacille d’EBERTH

anapath :a)abcès chaud : composé de 2 éléments, le


contenu (pus) et le
contenant (coque ou
membrane pyogène)
Q histologie : composition de la coque ?
REP : 3 couches
-couche interne (fibrine)
-couche moyenne (tissu conjonctif jeune)
-couche externe (tissu scléreux)

Le pus, c’est un pus lié et cremeuxgenecomtenant


des germes, des cellules inflammatoire et des
leucocytes

b)abcès froid : est constitué de


tuberculome appelé granulome
, qui est un amas des cellules
folliculaires et chaque follicule est
formé d’une géante cellule
entourée des cellules épithéliales
qui elles sont entourées d’une
cellule lymphoïde
- 173 -

Q clinique ?
REP :
Abcès chaud Abcès froid
Signes locaux Douleur, Tuméfaction
chaleur, indolore et
tuméfaction, ferme
rougeur et
impotence
fonctionnelle
Signes Fièvre, Pas des signes
générales courbature, générales
céphalées

Q traitement ?
REP :-abcès chaud : incision, drainage, antibiotique et
Anti inflammatoire
-abcès froid :anti tuberculeux, exérèse en bloque
cad on enlève le granulome sans
l’ouvrir

chap VI :PLAIES

Définition : solution de continuité cutané avec


tendance
à la cicatrisation en premier intension

Q différence avec un ulcère ?


REP :solution de continuité cutané sans tendance à la
- 174 -

Cicatrisation

Q types d’ulcères ?
REP : 2 types
a) ulcère fagénique :ulcère tropicale ou maladie
mangeur de chaire
b) ulcère variqueux :apparaissent si maladie
vasculaire ex :varice de
membre inférieur,
lymphoedeme

Q éléments de description d’une plaie ?


REP :-le siège
-la forme
-le dimension
-le berge ou bord
-présence de sécrétion
- 175 -

Q traitement ?
REP :< à 6 H ou 8 h :parage chirurgicale et suture
Parage : acte chirurgicale consistant à transformer
une
plaie non chirurgicale en plaie chirurgicale
-excision des tissus dévitalisé
-régularisation de berge
-extraction des corps étrange et caoullot
sanguin

cicatrisation :1ière intension 10 jours si plaie régulier


2ième intension si plaie déhiscente ou
avec perte des
substance cutanée
condition pour une cicatrisation en 1ière intension
-berge doit être cote à cote
-pas des corps étranger entre les berges ou lèvre de
la plaie
-bon parage chirurgicale

Mécanisme de la cicatrisation
1)l’hémostase :qui peut être spontané ou chirurgicale
2)détersion :spontané (intrinsèque par la réaction
inflammatoire,
extrinsèque par exsudation) ou chirurgicale (parage)
3)réparation :-conjonctive : si perte de substance cutané
ainsi
régénération de tissu conjonctif
- 176 -

aboutissant à un tissu de granulation


-épithélialisation : la peau centripète
pour recouvrir

Q prof mushe : plaie par balle, va tu fermer


immédiatement ou pas ?
REP : il faut nettoyer facilitant l’élimination des débris
amenés par la balle
et faire la suture primaire au 3ième et 5ième jours car au
10ième jours il y
aura apparition d’un tissu de granulation
Q anomalie de la cicatrisation ?
REP : 2types
-chéloïdienne
-hypertrophique
Hypertrophique Chéloïde
Définition Exagération des Il y a
mécanisme croissement
normale de la anarchique des
cicatrisation tissu cicatriciel
Anapath Réaction à Au début,
corps étrange réaction à corps
étrange et à la
longue,
production
excessif de tissu
collagène
clinique -Précoce après -Tardive après
des jours ou un mois, -
- 177 -

quelques envahi la zone


semaines voisine, -la peau
-reste au niveau sus jacent est
de la zone de la hyper pigmenté
plaie et glabre
- peau sus jacent - retrouvé chez
est normale et le noir
contient de poil
- trouvé chez le
blanc
PEC Régresse sans Corticoïde,
ttt après exeresechirurgie
bandage voir même une
compressif radiothérapie

PLAIE :superficielle : ne traverse pas l’aponévrose


Profond : traverse l’aponévrose si dans la
cavité :
-plaie pénétrante :pénètre dans la
cavité sans atteinte
viscérales
-Plaie perforante :pénètre dans la
cavité avec atteinte
viscérale
-Plaie transfixiante : traverse avec
une orifice d’entrée
et de sortie au niveau de la cavité
NB : c’est après une exploration qu’on se rend compte
de la pénétration
- 178 -

Chap VII :FISTULE ILEALE

Q Dr veyi ; différence entre fistule iléale et anus sur


le grêle ?
REP : -fistule : si partie de chile se déverse à l’extérieur
-anus : si la totalité de chile est déversée à
l’extérieure

Q gravité de fistule iléale ?


REP : 1) siège :-fistule iléale haute (jéjunum)
-fistule iléale intermédiaire (jejuno-
iléale)
-fistule iléale basse (juxta, caecale)

2) dimension et débit d’écoulement :


-fistule à haut débit
-fistule à bas débit

Q quels sont le plus dangereux et pourquoi ?


REP : -le haute sont grave
-le intermédiaire dépendent de dimension et débit
d’écoulement
-le basse sont moins grave
-à haut débit provoque de dénutrition si il est
haute sans tendance à la
fermeture spontanée donc il faut opérer
- 179 -

-à bas débit peut se refermer spontanément


- 180 -

ETIOLOGIES
1) cause post opératoire
Spontané Provoqué
Par lâchage des files sur Si réalisation
suture iléale ex : d’abouchement
anastomose termino ileostomie, jejunostomie,
terminale colostomie
2) causes tumorales (fragilisation de grêle , perforation
et si circonscrit,
fistule)
3) causes infectieuses
4) causes traumatiques

Q Dr veyi ; différence entre fistule stercorale et


péritonite stercorale ?
REP :
Fistule stercorale Péritonite stercorale
Communication Péritonite causée par une
anormale entre deux perforation colique et la
surfaces épithéliale et matière fécale se déverse
communication juxta dans la cavité péritonéale
caecale et colique et une ainsi très mortelle
partie de matière fécale
se déverse en dehors

Stercorale égale matière fécale

Chap VIII :GANGRENE (nécrose tissulaire)


- 181 -

Q types ?
REP : deux modes
-par putréfaction : décomposition de tissu mort
-par dessiccation :ischémie

Deux types
-humide, gazeuse
-sec
Q germe producteur des gaz ?
REP : clostridium tétanie

Clinique
Gangrené humide gangrené
sec
Peau avec odeur de sourie segment
de membre froid
Pourri sans pouls

TRAITEMENT : amputation

Q type des amputations ?


REP : -conventionnelles
-osteomyoplastique
-standards
-guotines ou amputation ouverte

OSTEOMYOPLASTIQUE : consiste à couper l’os en


dessous du périoste
après refermer le moignon osseux par le
- 182 -

périoste décollé et en suite par le muscle


CONVENTIONNELE : on coupe l’os et périoste au
même niveau
GUOTINE : tous coupe sur un même plan

Q prof panda ; types d’amputation de membre < ?


REP : il y a le sous gonade et sus gonade

PIED : amputation : -articulation de LISFRANG


-articulation de CHOPARD
JAMBE : -amputation :-sus gonale
-sous gonale

PAR RAPPORT AU MOIGNON :-amputation ferme


indique dans le cas
déchirure propre
-amputation ouvert si
infection
CAUSES DES AMPUTATIONS
1)causes vasculaires

Artérielles : -aigues ex : thrombose artériel aigue


-chronique : ex :-artérioscléreuse
-diabète
-gangrené sèche

Pour l’artérielle aigue : 6 P


- 183 -

P1= pain, douleurs


P2=poikilotherme (froideur)
P3=palor (pale)
P4=paresthesia (paresthésie)
P5=paralysis (paralysie)
P6= pouls (pouls abolie)

VEINEUSE : TVP : phlegmansiascoeruladolens.


Œdème ↑ de pression
intramusculaire, compression de l’artère → hypo débit,
ischémie, pâleur, disparition de pouls, froideur →
AMPUTATION

2)causes tumorale :-tissu mou


-tissu osseux
-osteosarcome
3)causes infectieuses : -lèpres
-gangrené humide gazeuse
-pied diabétique
4)cause traumatique

Q différence entre orthèse et prothèse ?


REP: orthèse: permet de soutenir ou de renforce un
segment de membre
Affaiblie
Prothèse : outils qui remplace le membre ou un segment
de membre

Q différence entre amputation et des articulation ?


- 184 -

REP :amputation : ablation d’un segment de membre


Des articulation : on enlève une articulation

COMPLICATION D’AMPUTATION
-immédiate : hémorragie
-précoce :-membre fantôme (malade ressent la présence
de membre
amputé)
-névrome d’amputation (douleur type
neurogene du à l’irritation
de nerf par la peau)
-infection du moignon d’amputation

Pour éviter la névrome, on réalise la traction


du nerf et suivi
d’une section loin du moignon
-tardive :-infirmité si malade non appareille
-trouble psychologique

Chap IX :BRULURE

Lésion cutanée cause par les agent physique avec


manifestation générale si étendue et très importante

Q caractéristique de brûlure thermique ?


REP :-profondeur
-l’étendue
- 185 -

Par rapport à la profondeur, il y a 3 degrés

Q différence couche de la peau ?


REP : il a deux couches :-épiderme
-derme

Epiderme 5 couches :-cornée (superficielle)


-de cellule claire
-cellule granuleuse
-cellule épineuse
-germinative appelle couche basale
(c’est ici qu’on
trouve les mélanocytes)

1ière degré :-intéresse la couche cornée


Clinique : érythème qui desquame après 3 à
4 jours
2ième degré :-superficielles : couche profond de
l’épiderme sans atteinte de
la couche basale germinative
-profonde : -superficielle :plus atteinte
partielle de la couche
basale germinative
-profond : avec atteinte totale de
couche germinale

Q Dr kutuluka .comment savoir que c’est de tel


degré ?
REP : par la présence de :
- 186 -

1ière degré : d’érythème


2ième degré : de phlyctène

Si plaie superficielle suintante, rouge et saigne au


contact c’est le
2ième degré superficiel ou l’élément capitale est une
plaie douloureuse
Pour le 2ième degré profond ; phyctene rompue et
plaie moins
douloureuse
Pour le 3ième degré ; brûlure du derme, fond atone
et indolore

Par rapport à l’étendu :


On évalue l’étendu en calculant la
surface corporelle selon le règle de 9 AB WALLAS.
Qui dit pour une personne adulte
Tête et cou : 9%
Chaque membre > : 9×2
Tronc : (9×2)×2
Chaque membre < : (9×2)×2
Sexe : 1%
Chez l’enfant jusqu’à l’âge de 14 à 15 ans, on donne
plus l’importance à la tête
Tête et cou : 18
Chaque membre > : 9×2
- 187 -

Tronc : (9×2)×2
Membre < : 14×2

Q prof bianda ; calcule la surface et réhydrate ?


REP :
Q critère d’hospitalisation ?
REP :-brûlure des extrémités et face
-brûlure des orifices naturelle
-brûlure étendu
-brûlure de 3ième degré
-brûlure avec composante respiratoire
-brûlure dans un contexte de polytrauma
-brûlure sur un terrain de tare

Q manifestations que présente un patient brûlé ?


REP : 1ière étape : initiale (48 h) il y a choc du à la
plasmorragie (perte de
plasma) et deuxième à la dépression cardiaque par la
libération d’une dépresseur myocardique (de tissus
brûlé)
2ième étape : de 3ième jours au 6ième jours, résorption
de l’œdème ici on
fait une restriction hydrique car risque d’OAP
3ième étape : 7ième jours il y a guérison complète de
plaie ou à la mort
appelle maladie de bouleux
caractérisé par la :-dénutrition
-infection
Comment réhydraté
- 188 -

Il y a plusieurs schéma, mais au CUK on utilise


L’EVANS
On a : -schéma de PERKLAND
-schéma de BROOKE
-schéma d’EVANS

EVANS
Q= Q1 + Q2
Q1=1ml × kg × surface brûlé
Q2=Q1 + ration hydrique de base

Q=(2 ml ×kg×surface brûlé) + RB

RB : enfant 120 cc / kg
Adulte 2000cc

Comment réhydraté ?
1ière jours : donne 1/2 de Q en 8 heures et l’autre 1/2 de
Q en 16 heures

Q quant compté le 8 heure ?


REP :-au moment ou il se brûlé et non le à partir de son
arrivé à l’hôpital

2ième jours : donne 1/2 de Q en 24 heures


Autres jours : on donne sur base des apport et perte
- 189 -

QUALITE DE LIQUIDE
Q1 :représente le macromolécule, il y a le protéinique et
le non protéinique

Ex : albumine
Plasma
Hemacele
Reomicrodex
Q2 :compose de crystaloide plus solution bicarbonate,
lactate ringer, sérum
physiologique, sérum glucosé 5 %

1ière au 8ième heure :Q1 pour restaurer la volémie


NB : on réhydrate à partir de 2ième degré et si c’est une
brûlure qui impose
l’hospitalisation

ETENDU
Adulte : si % entre 30 %
Enfant : 10 à 15 %

Q prof punga :Pronostique vital ?


REP : indice de BAUX, sommation des éléments de
pronostic âge+ surface
Si âge+ surface brûlé=< à 50 % guérison attendue
50 à 100 % fiftiesfifties
≥ 100 % la mort est immédiatement attendue
Ex : 65 ans + face ant du thorax
65+18=83
- 190 -

Chap X :THYROIDE

Q Dr veyi ;
GOITRE :tuméfaction diffuse et multi nodulaire de la
thyroïdedu à un hyperplasie bénigne et non
inflammatoire

CLINIQUE : à la face antérieur du cou qui suit le


mouvements de la
déglutition, ferme, palpé le pole <
TYPE : -goitre endémique
-goitre sporadique
-goitre expérimentale (après ttt)
INDICATION OPERATOIRE
-échec de ttt médicale
-goitre compressif ( ex : si trachée la voie devient roque,
détresse
respiratoire. Si le reçurent, voie bitonale. Si œsophage,
dysphagie)
-esthétique

DOSAGE HORMONALE T3, T4 et TSH


Goitre ethyroidien : T3, T4 et TSH normales
Hyperthyroïdien : T3 et T4↑, TSH↓

Q degré de tumeur rectale ?


REP :classification de DUKES
- 191 -

Traitement d’amputation abdomino périnéale

Rectum a 3 zone :-antérieur


-moyenne
-postérieure

Pour le 1/3 antérieur on fait la résection anastomose


antérieure
Pour le 1/3 moyen et postérieur on fait l’amputation
abdomino périnéale (partie distale de colon ascendant,
le rectum et colostomie définitive enfin on ferme l’anus)

CONSEQUENCE : chez la femme on associe à une


hystérectomie totale
plus ablation des ovaires et col ainsi il y aura des
troubles

chap XI :ESCARE

Définition : lésion cutané faisant suite à une chute de


tissus cutané par la
compression de la peau contre un plan dure

stade : classification de REDDY 5 stades

stade 1 : érythème
stade 2 : phlyctène (plaie superficielle suintante si
rompu)
stade 3 :plaie profonde avec tissus nécrotique
- 192 -

stade 4 :plaie profond musculaire mettant à nue l’os

traitement : on ramène à une cure avec pansement


compressif et si tissu de granulation, faire la greffe
cutané

Q prof panda et punga; type de greffe cutané ?


REP :
Si panda : -greffe à peau mince :on ne prélève que
l’épiderme qu’on place
sur une plaie bourgeonnante
-greffe à peau totale ou greffe de DAVIS (on
lit devis) :on
prélève l’épiderme et le derme, réalisé
pour les plaies profondes (cruenté) alors
que le tissu de bourgeonnement est rouge

Si punga : il y 4 types
- autogreffe : réalisée chez la même personne
- isogreffe : réalisée chez deux individu
différent avec système
- HLA identique ex : jumeau vrai
- Hétérogreffe ou zenogreffe ; greffe entre 2
espèces différent
- ex :homme et un
animal
- Halo greffe :deux individu avec système HLA
différent
- 193 -

P4
CHAP 1/MEGACOLON CONGENITAL
Q prof puntu : autre nom ?
REP : maladie d’HIRSCHSPRUNG

Q quel est la lésion fondamentale ?


REP : c’est l’AGANGLIONNIE (absence des ganglions
nerveux intramuro et sous
muqueuse)

DEF : c’est une dilatation colique au dessus d’une


anomalie nerveuse intra muqueuse du tube digestif
- 194 -

PHYSIOPATHOLOGIE :le segment privé des


ganglions, sera siège d’a péristaltisme . très souvent
s’est le sphincter interne du rectum et le sigmoïde qui
sont le siège. Ainsi on a l’occlusion fonctionnelle qui
aboutie à une accumulation , dilatation du segment
normale car le segment privé des ganglions est siège
d’hypertonie importante .

CLINIQUE : il existe deux formes ;


a)forme tardive (chez le grand enfant)
$constipation (selle une fois chaque 5 à
6 jours)
$la courbe pondérale est dissocier à la
courbe de croissance
(càd : poids↑ par rapport à l’âge du à l’accumulation de
fécalome)
b)forme précoce (en période néonatale) : l’occlusion
néonatale

Q particularité des occlusions néonatales ?


REP :chez l’adulte on a : une triade
-douleur
-vomissement
-arrêt de matière et gaz

Chez l’enfant on a deux signes :


-vomissement
-absence ou retard de
l’émission de méconium
- 195 -

Q il existe combien des types d’occlusions


néonatales ?
REP : selon l’aspect de l’abdomen :
-occlusion néonatale à ventre plat
-occlusion néonatale à ventre distendu

Q causes ?
a)REP :ventre plat :-atrésie duodénal
-syndrome du mésentère commun
NB : £ atrésie : diaphragme au niveau de la 2ième portion
du duodénum, en dessous de
l’ampoule de VATER.

Q image radiographique caractéristique d’occlusion


duodénale à ventre plat ?
REP :image en double estomac

TRAITEMENT
-on va court-circuité l’atrésie
£ pour le syndrome du mésentère commun, comme
c’est la rotation autour de l’axe de l’artère mésentérique
supérieure, ainsi l’ischémie du grêle coecum colon
ascendant, grande partie du colon transverse, rotation de
360 degré
Clinique : -vomissement
-absence d’émission de matière et gaz
- 196 -

-sphacèle, nécrose
Abdomen sans préparation donne l’image en double
estomac pas nette
Traitement :détordre et fixe les intestins et réalisez
une appendicectomie

b)REP :ventre distendu : il y a deux pathologies.


1)pathologie donnant l’épreuve à la sonde positive
-maladie de hirschsprung
-syndrome de bouchon meconiale
2)pathologies donnant l’épreuve à la sonde négative
-atrésie du grêle
-iléus meconial

ATRESIE DU GRELE :peut être cordonale ou


diaphragmatique ou intestinale qui
se limite en cul de sac ainsi on a une nécrose ou
ischémie
et l’organisme en réparant il y a formation d’un
diaphragme enfin occlusion
traitement : résection anastomose terminoterminale
ILEUS MECONIAL :anomalie congénitale due au
mauvais méconium qui adhère
à la muqueuse intestinale .forme néonatale :
clinique ; occlusion néonatale à ventre distendu

Q 3 examens capitaux à demander ?


REP :-lavement baryte
-la manométrie
- 197 -

-biopsie rectale
Q prof bianda : la composition de la baryte ?
REP : sulfate de baruim

LAVEMENT BARYTE : donne deux informations


-apprécie la disparité du
calibre
-évalue la longueur du
segment a ganglionnaire
Zone normale est de dimension anormale
Zone anormale est de dimension normale

MANOMETRIE :-apprécie l’absence du réflexe recto


anal inhibiteur qui va
confirmer le diagnostic
BIOPSIE RECTALE : prélèvement d’un fragment
rectal et en anapathon dit
absence des ganglion

Q traitement ?
REP :a) ttt palliatif : pour la forme tardive, mesures de
nursing(lavement
évacuateur, régime riche en fibre et laxatif

pour la forme néonatale, le ttt est provisoire une


COLOSTOMIE, et à une année on fait l’abaissement

Q prof bianda : technique utilisé ?


- 198 -

REP : au cuk : DUHAMEL


Autre : SWENSON
SOAVE

CHAP 2/ MALFORMATION ANORECTALE


(MAR)

Q prof bianda diffèrent types de MAR ?


REP :a) l’ancienne classification. On l’appelait,
imperforation anale.
deLADD et GROSS comprend 4 types
Type I :il y a une diaphragme au niveau de l’anus et le
rectum et anus bien formé.
Type II : le rectum et l’anus se séparent par un cordon
qui ne les fait pas communiquer
Type III :le rectum est complètement séparé de l’anus
Type IV :le rectum se termine en cul de sac mais l’anus
non

SCHEMA

b)l’actuelle classification qui distingue deux types des


MAR
type I : MAR haute
type II : MAR basse

Q éléments de différence ?
REP)
- 199 -

MAR HAUTE MAR


BASSE
a)Siège
-non développement du périnée profond -au niveau
du périnée superficiel

Q prof punga : donnez les diffèrent plan du périnée ?


REP :..plan profond :ou on a le releveur de l’anus qui
assure la continence du sphincter
..plan moyen
..plan superficiel
b)niveau de cul de sac intestinale
-se situe au dessus de la ligne de Stephens -se situe en
dessous de la ligne de Stephens

Q ce quoi la ligne de Stephens ?


REP :c’est une ligne imaginaire passant par le coccyx et
le pubis
c)malformation associés
-s’accompagne toujours des malformation -me
s’accompagne pas de malformation associé
associé

Q prof mushegera : donnez l’acronyme de ses


malformations associés ?
REP :VACTEREL qui avant c’était VATER
V : vertebrale (spinabifida)
A : anale (MAR)
- 200 -

C: cardiaque
T: trachéale
E: esophagien
R E :rénale
L : limbs (membres)
d)la fistule
-est urinaire -périnéale
Clinique :meconurie ou
Fecanurie
e) pronostic
-réservé -est bon
Clinique :
occlusion néonatale

Q la clinique ?
REP : est celle d’une occlusion néonatale

Q le bilan diagnostique ?
REP : -c’est la radiographie de l’abdomen en incidence
de WANGESTEEN et RICE
Qui est une incidence de profil, tête basse, cuisse
fléchie sur le bassin,
jambes surles cuisses, et pieds sur les jambes. On prend
une plaque
radio opaquequ’on place à l’endroit supposé entré de
l’anus. Ainsi l’air
contenu dansle tubedigestif va opacifier les limites
inférieures
- 201 -

intestinale .aprèscliché, on aura une clarté

-selon l’anapath, on a 2 types :


a) complètement obstructive : pas de
fistule
b) partiellement obstructive : on a des
fistules
si fistule faire la FISTULOGRAPHIE

Q le bilan de retentissement ?
REP : fistule urinaire : ECBU, fonction rénale

Q le bilan de mise au point de malformations


associés ?
REP : V : Rx colonne profil
C : echocardiaque
T : transit eosogastroduodenal
R E : echorenale
L: inspection

Q traitement?
REP: MAR haute on le ttt en deux temps
1ière temps : colostomie de décharge
2ième temps : se fait à une année ou si enfant pèse
10 kg, l’abaissement
MAR basse : proctoplastie

Q complications ?
- 202 -

REP : D’UNE COLOSTOMIE :


Immédiate :-hémorragie
Précoce : une sténose, ischémie et une
infection
Tardive : prolapsus
D’UNE PROCTOPLASTIE
Précoce : une sténose (envisager les
dilatations)
D’ABAISSEMENT
Tardive : incontinence

CHAP 3/ SPINABIFIDA

DEF : malformation osseuse du rachis par un défaut de


fermeture de l’arc postérieur.

Q dessinez un vertèbre plus ses différentes parties ?


REP : a deux parties : -partie antérieur appelé, corps
vertébrale
-partie postérieure

Q prof mushe types ?


REP : il y a 2 types de spina-bifida
-spina-bifida oculta: non fermeture de l’arc post
de vertèbre sans hernie des
méninge et de la moelle (le malade ne viens jamais
consulter
- 203 -

pour sa) pas de clinique. Mais on peut avoir une touffe


des
poils en regard de la zone supposée de la malformation
ainsi
la découverte est fortuite
-spina-bifida aperta ou cystica: il y a deux types
$ lemeningocele ;
associe à la hernie ou protusion
des méninge
$
lemyelomeningocele ; associe de la protusion de
la moelle ou racine et des méninge

CLINIQUE
OCCULTA : fortuitement lors de Rx pour autre chose
MENINGOCELE : -tuméfaction à la région
lombosacrée, mole de consistance au test
detrans illumination positif
-pas de trouble neurologique
MYELOMENINGOCELE : -masse mole de
consistance à la trans illumination négative
-trouble neurologique ; si
lombosacrée, paraplégie, trouble
sphinctérienne anale et vésicale
- malformation associée

Q quels sont le malformations associées ?


REP :- acronyme VACTEREL
- 204 -

-syndrome d’Arnold chiari (malformation post du


tronc cérébrale qui bouche
pratiquement le trou occipitale)
-pieds bots

Q prof panda types ou variété de pieds bot ?


REP :il y a 4 types et le repère est la plante de pied
-si la plante regarde en avant, c’est le pied bot
TALUS (pied en hyper flexion)
-si la plante regarde en dehors ou en rotation
externe, c’est le pied bot VALGUS
-si la plante regarde en arrière, c’est le pied bot
EQUIN (pied en hyper
extension)
-si la plante regarde en dedans ou rotation interne,
c’est le pied bot
VARUS
NB : il y a aussi de combinaison ex : varus équin

Q l’hydrocéphalie, est ce une complication ou une


maladie associée au spina-
bifida ?
REP :elle est a la fois maladie associé et complication
Maladie associe : si syndrome d’Arnold chiari, la
position basse bouchant le trou occipitale empêche la
circulation de liquide céphalorachidien produit
- 205 -

dans le plexus choroïde des ventricule latéraux jusqu’au


citerne de base
complication associée : si spina-bifida infecté ou rompu,
méningite a cause de l’ulcère, inflammation,
hyperproduction de LCR, fibrine se dépose dans le
corpuscule de pachionie enfin pas de résorption
(hydrocéphalie)

Q prof puntuyamba comment posé le diagnostic de


trouble sphinctérien vésicale et anale ?
REP : vésicale ; les couches sont toujours mouillé à tous
moment
Anale ; -inspection, anus sans strie ou sillon
radiaire l’entourant
-TR, révèle l’hypotonie sphinctérien

Q TRAITEMENT ?
REP :- meningocele : cure, résection de l’enveloppe et
on renforce la fermeture
de la paroi
-myelomeningocele : décollé le filé nerveux le
réintroduire dans le canal
réséquez l’excès de méninge et renforcez la paroi
mais la récupération neurologique est douteuse
-hydrocéphalie :s’assurez de la stérilité de LCR si
pas d’infection, faire une
dérivation
- 206 -

Q types de dérivations ?
REP :externe
interne
Le cathéter draine avec un
dérivation en dehors de boite
Collecter
crânien et dans le corps humain
-
ventriculo atriale (oreillette gauche)
-
ventriculo péritonéale
-
cathéter au niveau de la plèvre
risque d’hydrothorax
-
cathéter au niveau de péricarde,
risque de tamponnade cardiaque
sidiamox : diurétique qui ↓ la quantité d’eau dans le
corps

Q comme macrocranie disjonction de suture, lasie


veineux ; yeux en couché du soleil qui traduit la
compression de pathétique, qui traduit l’hypertension
intracrânien
Schéma

Q Dr mwepu, conseille à donner au parent ?


REP : -couchez l’enfant en décubitus ventrale ou
latérale pour éviter une ulcère de
- 207 -

l’hernie
-si pas accouché ou grossesse, supplémentassions
en acide folique

CHAP 4/ OMPHALOCELE ET LAPAROSCHISIS


OMPHALOCELE = EXOPHALOS= HERNIES
AMNIOTIQUE
Q prof bianda
Définition : c’est une protusion des viscères
abdominaux à travers la paroi ombilicale du à l’absence
de fermeture de la paroi ventrale de l’abdomen avant la
9ièmesemaines. Ces viscères herniés sont recouverte
d’une membrane fine translucide appelée la GELEE
DE WARTON
Q comment différencié l’omphalocele de
laparoschisis ?
REP :
OMPHALOCELE LAPAROSCHISIS
a)siège
-hernie des viscères à travers -sortie des
viscères à travers la paroi l’ombilic
latéralement par rapport à l’ombilic
donc paramédiane
b)présence ou absence de gelée de warton
-présent -absent
- 208 -

Q prof bianda malformation associés à


l’omphalocele ?
REP :serésume dans l’acronyme : EMG
E : exophalos
M : macroglossie
G : gigantisme

Q éléments biologiques de surveillance?


REP : la glycémie
Car enfant gigantesque avec un gros poids, ainsi
présente le trouble de
glycémie, Hyperglucemie à cause de l’hormone de
croissance

Q traitement ?
REP :techniquede GROB : est conservateur car on
réalise des pansements continue au mercurochrome de
ces viscères herniés pour transformer l’omphalocele à
une éventration, en fin faire la cure de l’éventration

Q danger de mercurochrome ?
REP : l’intoxication rénale à cause du mercure ainsi
contrôlez régulièrement la fonction Ranale

Technique de GROSS : on approche le muscle


après l’avoir décollé et
incision de décharge latérale
- 209 -

schéma

Q complicationdu à la technique de GROSS ?


REP : -trouble respiratoire, à cause du syndrome
décompression. Qui remonte le diaphragme et perturbe
la respiration. Si veine cave concerné, on aura des
manifestations propre à elle

Technique de SCHUSTER : réintégration


progressive en utilisant les protège 3 à 4 ans

NB : épreuve de réintégration selon dode : sous


anesthésie générale, on réintègre manuellement les
viscères et on attend pendant 10 minutes et voir le
troubles qu’il va présenter. Si peu important, il va
supporter

Q stades de l’omphalocele ?
REP /
Selon PETER JONES : il existe 5 types
d’omphaloceles
Type I :- orifice ≤ à 2,5 cm
-Diamètre ≤ à 5 cm et
-Le foie n’est pas présent dans la membrane de
gelée de warton
Type II : -orifice > 2,5 cm
-Diamètre > 5 cm
-Le foie rarement présent
- 210 -

Type III : -orifice > à 5 cm


-Foie en permanence dans le sac
-Présence d’autres malformations
Type IV : -si fissure viscerointestinale
Type V : -si sac complètement rompu et cour le risque
de sécheresse de muqueuse

Selon AITREN et GLASGOW il y a 2 types


Type I : -ouverture < 4 cm
-Diamètre maximal < 8 cm
-Pas de foie dans le sac
Type II : -orifice > à 4 cm
-Diamètre maximal > à 8 cm
-Présence du foie dans le sac

CHAP 5/ UROPATHIES MALFORMATIVES

Q prof puntu principe de Campbell ?


REP : il y a 4 principes
1) toute fièvre prolongée et au long cours doit
nécessiter des explorations pour exclure une
uropathie malformative
2) tout infection urinaire inexpliquée et à répétition
doit nécessite l’exploration de voie urinaire
3) tout retard de croissance staturo-pondéral doit
nécessiter l’exploration de voie urinaire à la
recherche des malformation
4) une lithiase peut être d’organisme ou d’organe
- 211 -

d’organe, doit nécessiter l’exploration des voie


urinaire à la recherche des uropathies
malformatives

EXPLORATIONS
-échographie abdomen
-urographie intraveineuse
-cystographie ou UCA UCRM

Q comment classifiez ces uropathies malformatives ?


REP : selon qu’il sont apparent ou non pathogène ou
non pathogène
Organe apparent Non pathogène Non
apparent pathogène
Rein Ŕ + + Ŕ
agénésie
Fer à cheval Ŕ + Ŕ +
Polykystose Ŕ + + Ŕ
rénale
Ectopie Ŕ + Ŕ +
rénale

REIN A FER A CHEVAL

Il y a 5 composantes
Type I : qui est classique (fusion au pole<) Type II :
fusion à leur pole >
- 212 -

Type III : fusion au bord externe Type


IV :

Type V :

NB : la vrai variete est le type I


ECTOPIE RENALE
Rein soit à l’abdomen, soit au niveau pelvien donc bas
situé

Organe apparent Non pathogène Non


uretère apparent pathogène
Mega uretère Ŕ + + Ŕ
Synd de Ŕ + + Ŕ
jonction
pyelo
urétérale
Uretère Ŕ + Ŕ +
bifide soit en
Y ou isole
Reflux Ŕ + + Ŕ
vesico
urétérale
- 213 -

URETERE BIFIDE : un rein avec deux uretères qui


sortent soit en Y

REFLUX VESICO URETERALE : contre courant qui


quitte le bas appareil vers le
haut Appareil

Organe Apparen Non pathogèn Non


vessie t apparen e pathogèn
t e
Extrophie + Ŕ + Ŕ
vésicale
Maladie du
col vésicale Ŕ + + Ŕ
maladie de
MARION
Organe
urètre
Valve de Ŕ + + Ŕ
urètre
postérieur
Hypospadia + Ŕ + Ŕ
s
Epispadias + Ŕ + Ŕ

A) RENALE

Q prof mushe
- 214 -

A 1) rein à fer à chevale : si fusion au pole inférieur


A 2) syndrome de jonction pyelo-ureterale

Obstruction à la jonction pyelo-urétérale du souvent par


un obstacle fonctionnel et rarement un obstacle
anatomique qui conduit à un hydronéphrose après
compression de parenchyme rénale qui devient lamine
et va disparaître

échoabdo, dilatation rénale du cote ou il y a l’obstacle


si fonction rénale normale, faire UIV qui montre une
dilatation

traitement : ureteroplastie (résection de la partie non


fonctionnelle plus
anastomosetermino-terminale)

A 3) reflux vesico-ureterale primaire


Malformation
congénitale caractérisé par le retour à contre courant
des urine de la vessie vers les voies urinaire supérieur

Q prof lufuma différents mécanisme anti reflux ?


REP : 1) façon d’abouchement des uretères à la vessie,
il forme un angle aigue
2) la musculature vésicale à l’endroit
d’abouchement
- 215 -

Q stades de reflux vesicourétérale ?


REP: il y a 4 stades
Stade I: il y a reflux vesicoureterale sans dilatation des
voies urinaires
supérieure reflux réalisé après une pression
intravesicale
Stade II : reflux vesicoureterale avec une légère
dilatation des voies urinaires et
après une pression haute
Stade III : reflux vesicoureterale permanent avec
dilatation des voies urinaires
supérieure après une pression haute
Stade IV : reflux vesicoureterale à basse pression avec
dilatation permanent des
voies urinaires supérieure

PROGRAMME : -ECBU
-fonction rénale
(urée créatinine)
-cystographie
-
uretrocystographie
CAT : réimplantation des uretères au niveau de la vessie
en
cherchant à reformer l’angle vesicoureterale
A 4) extrophie vésicale
Anomalie congénitale
musculaire et osseuse caractérisé par l’absence de la
- 216 -

paroi antérieure de l’abdomen et paroi antérieure de la


vessie. Elle s’accompagne aussi de malformation
urétrale

Vessie comme une plaque rouge en continuité


avec la peau. La plaque correspond à la paroi post et
d’autre on a deux méat urétérale qui éjaculent les urines.
Elle s’accompagne aussi des malformations des organe
génitale et du périnée

CLINIQUE : plaque rougeâtre en continuité avec la


peau qui fait sourdre
les urines de façon permanent
PARACLINIC : -écho abdomen voir si problème des
voies urinaire
supérieur
-UIV état fonctionnel de rein

TRAITEMENT : complexe et multidisciplinaire


Voie urinaire : reconstitution de la paroi ou dérivé les
urines

Q technique de dérivation ?
REP : technique de COFFEY : on abouche les uretères
au sigmoïde.
Mais crée des troubles
hydroelectrolitiques et à la longue une infection des voie
urinaire haute à cause de l’absorption des déchet et
- 217 -

migration des germes de la lumière intestinale. à la


longue on a l’insuffisance rénale

Technique de BRIKER

B 1) valve de l’urètre postérieur (vup)


Maladie congénitale
caractérisée par la persistance
Desreplie muqueux uretro vaginale qui
normalement est résorbé avant la naissance.

Q types de VUP ?
REP : 3 types
Type I : ou les valves partent du pole inférieur du venu
montano sans se touché
dans leur pole libre
Type II : du pole inférieur du venu montano et le deux
replie se touchent par leur pole
Type III : diaphragme complet
Schéma
Type I Type II
Type III

MECANISME : les urines tombent vers le coint de


replie qui se rabattent pour venir
fermer le passage
- 218 -

Si c’est le type II et III on aura un syndrome obstructif


fait de dysurie qui va évoluer vers une rétention urinaire

CLINIQUE : -fièvre à répétition


-retard de croissance staturo pondérale
-infection urinaire à répétition
PROGRAMME :
Bilan de mise au point diagnostic
-UCA
-UCRM
Qui visualisera la constitution de la chambre sous
cervicale pendant le temps mictionnel càd poche en
dessous de la poche

Bilan de retentissement
-ECBU
-urée créatinine
-écho

CAT : l’idéal c’est résection endoscopique des replies


muqueux. Au CUK , résection à
ciel ouvert

B 2) hypospadias
Caractérisé par l’abouchement
anormale sur la face ventrale du méat urétrale. Le penis
a deux faces une ventrale et l’autre dorsale
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Q types ?
REP : -hypospadias antérieur
-hypospadias moyen
-hypospadias postérieur
Schéma

1) hypospadias glandulaire
2) hypospadias balano-preputial
3) hypospadias pénien antérieur
4) hypospadias pénien
5) hypospadias pénien postérieur
6) hypospadias peno scrotale
7) hypospadias scrotal
8) hypospadias périnéal

Q examen à demander ?
REP : confirmation est clinique
Retentissement : -ECBU
-écho abdominal
Pour le forme post, on demande le CARYOTYPE car ils
s’associent à des ambiguïtés sexuels, l’écho pelvien
TRAITEMENT : -hypospadias ant :
URETROPLASTIE, avec la peau du gland. D’où
avant une circoncision, il faut vérifier la position du
méat car
aprèssl’acte, on aura des difficulté de faire la plastie car
les
sutures seront sous tension.
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NB :-pour la forme ant et moyen on le


fait en un temps
-pour le post on le fait en plusieurs
temps
CONSEQUENCE : -stérilité secondaire car la semence
va tomber

B 3) épispadias
Abouchement anormal au niveau de la
face dorsale du penis. Même classification que
l’hypospadias

NB : on opère les hypospadias et épispadias avant l’age


de 5 ans car plus il grandi, plus il y a érection
matinale qui mettra en tension le files de suture et
faire lâcher la plastie.

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