Académique Documents
Professionnel Documents
Culture Documents
FORCES FAIBLESSES
Dans le document ci-joint, certains points n’ont pas été évoqués. Néanmoins, il convient de
s’interroger sur ces suppositions…
ATOUTS
* politique de distribution : quel est le nombre d’intermédiaires qui sont-ils ? Les magasins
spécialisés (Sport 2000, GO Sport…) et d’entrepôt (à Troyes), les GMS, Internet…
Effectivement, le système de vente directe (à domicile) n’existe pas et pour cause, c’est le
consommateur qui va chercher le produit.
* politique de prix : produit cher donc qualité. Le consommateur est prêt à payer pour en être
convaincu et même se sentir « propriétaire » de la marque.
DEFAILLANCES
* coordination entre les acteurs de l’entreprise : dans quelles conditions, le personnel travaille –
t’il ? Quel est le climat ? Tout comme les sous-traitants, seule la productivité est-elle
primordiale ? Les relations avec les fournisseurs, revendeurs sont-elles décentes ?...
* spécificité des produits : ne sont-ils pas trop « sportifs » ? Pour reprendre la cible féminine,
ADIDAS avec sa gamme « Respect m.e. », composée de leggings, tops, ect, aux coloris
« pailletés » présentent une ligne ultra tendance et jeune. Quant à ROXY de Quicksilver, même
le nom de la gamme a été rebaptisé ! La séduction passe aussi par le nom de l’étiquette…
2 Analyse des opportunités et menaces liées à l’environnement externe
Informations nécessaires pour compléter cette analyse
Manière pour les rassembler
OPPORTUNITES MENACES
Les outils les plus appropriés pour identifier toutes ces données, sont les études de type
qualitatives et quantitatives.
3 Recommandations pour l’avenir
En premier lieu, compte tenu de l’impact du bio sur les ventes, je recommanderais vivement à
la nouvelle direction de s’intéresser à l’écologie.
Le traitement des déchets, le recyclage, les matières extraites de la nature ne laissent
indifférents ni les autorités politiques, ni les consommateurs. Demain, ce seront les générations
à venir qui en apprécieront les efforts. De plus, le bio est à la tendance, « ça fait vendre ! ».
En ce qui concerne les petits, bien souvent ce sont les parents qui « craquent » devant une
paire de mini basket NIKE. Les questions financières entrent alors en compte et risquent de
faire réfléchir l’adulte…
Or, si les produits étaient plus au goût des enfants (très colorés, avec leurs héros [licences]…),
les achats seraient peut-être moins occasionnels... De nombreuses études ont prouvé que les
enfants étaient décideurs dans l’acte d’achat.
Pour les personnes d’âge respectable, le critère sportif devrait s’estomper pour le confort… La
qualité n’en serait pas amoindrie, seule la communication et le packaging seraient différents.
Certes, ces acquisitions sont dites spontanées alors que cette génération a tendance à être
rationnelle, mais l’argent est disponible (plus de crédits). Le marketing jouerait alors la carte de
la séduction…
Cependant, attention ! Commercialiser ces biens sous une autre appellation serait préférable et
la diversification doit être réalisée avec ses limites.
Enfin, il serait judicieux d’évaluer les conséquences de la main d’œuvre « bon marché ».
Dans quelques années, les pays peu ou sous-développés connaîtront tout comme la France a
connu, leurs heures de gloire.
L’économie se sera développée et les obligations que l’Europe subit seront probablement
identiques. Restera à protéger les savoirs-faire…