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MINISTERE DE L’ENSEIGNEMENT SUPERIEUR
Institut Universitaire ET DE LA RECHERCHE SCIENTIFIQUE
(M.E.Sup.Re.S)
de Gestion et de Management
UNIVEERSITE DE MAHAJANGA
(UMG)
Institut Universitaire de Gestion et de Management
IUGM
1
REPOBLIKAN’I MADAGASIKARA
Fitiavana – Tanindrazana – Fandrosoana
MINISTERE DE L’ENSEIGNEMENT SUPERIEUR
Institut Universitaire
ET DE LA RECHERCHE SCIENTIFIQUE
(M.E.Sup.Re.S)
de Gestion et de Management
UNIVEERSITE DE MAHAJANGA
(UMG)
Institut Universitaire de Gestion et de Management
IUGM
2
AVANT PROPOS
Cet ouvrage est élaboré d’une soutenance de mémoire de fin d’élude de la troisième
année pour l’obtention du Diplômes Licence en Gestion des Entreprises
Pour atteindre ces objectifs, à la fin de notre étude en troisième année les étudiants de
l’IUGM à l’Université de Mahajanga doivent faire au moins un stage pratique dans une
entreprise ou de monter un projet pour faire des enquêtes sur terrain afin de rassembler des
informations nécessaires.
3
REMERCEMENTS
Tous nos professeurs qui nous ont transmis leur connaissance « nos vifs
remerciements pour votre générosité » ;
Tous les membres de notre famille qui ont prodigué leurs efforts pour nous soutenir
moralement et financièrement ;
Nos proches et nos amis pour avoir apporté leur soutien durant nos études.
4
SOMMAIRE
INTRODUCTION
PARTIE I : PRESENTATION GENERALE DU PROJET
CHAPITRE I. IDENTIFICATION DU PROJET
Section 1. Justification du projet
Section 2. Caractéristiques du projet
CHAPITRE II. ETUDE DU MARCHE ET MARKETING
Section 1. Les descriptions et analyse des besoins
Section 2 : Méthodologie de l’étude
Section 3 : Etude de l’offre et de la demande
Section 4 : Etude de la concurrence
Section 5 : Stratégie et politique marketing
5
Section 3 : Les amortissements des immobilisations
Section 4 Remboursement des Emprunts
CHAPITRE II ETATS FINANCIERS
Section 1 : Les comptes de résultats prévisionnels (par nature)
Section 2 : Les bilans prévisionnels
CHAPITRE III THEORIE GENERALE SUR LES OUTILS ; LES CRITERES
D’EVALUATION ET LES STRUCTURES FINANCIERES
Section 1 : La Valeur Actuelle Nette (VAN)
Section 2 : Le Taux de Rentabilité Interne (TRI)
Section 3 : Le Délai de Récupération des Capitaux Investis (DRCI)
CHAPITRE IV : EVALUATION DU PROJET
Section 1 : Evaluation financière
Section 2 : Evaluation économique
Section 3 Capacité d’autofinancement
CONCLUSION
6
LISTE DES TABLEAUX
Tableau 1 : Résumé des points forts de la stratégie marketing suivant les
différentes phases commerciales ............................................................................ 12
Tableau 2 : Effectif du personnel ........................................................................................ 13
Tableau 3 : Liste des matériels ............................................................................................ 14
Tableau 4 : Les dépenses en matières premières ................................................................. 18
Tableau 5 : Prévision d’achat de matières premières .......................................................... 18
Tableau 6 : Production prévisionnelle ............................................................................... 19
Tableau 7 : Chiffre d’Affaires prévisionnels ...................................................................... 19
Tableau 8 : les descriptions des tâches ............................................................................... 21
Tableau 9 : Le chronogramme ............................................................................................ 22
Tableau 10 : Investissement et des équipements ................................................................. 23
Tableau 11 : Charges de personnels .................................................................................... 24
Tableau 12 : Salaire prévisionnel de personnes pour cinq ans ........................................... 24
Tableau 13 : Charges sociales ............................................................................................. 25
Tableau 14 : Plan de financement ....................................................................................... 26
Tableau 15 : Tableau des détails du plan de financement (en Ariary) ................................ 26
Tableau 16 : Tableau des amortissements .......................................................................... 27
Tableau 17 : Charges d’exploitation (dépenses sur 5ans) ................................................... 28
Tableau 18 : Les fournitures consommables ....................................................................... 28
Tableau 19 : Les autres Charges .......................................................................................... 29
Tableau 20 : Chiffres d’affaire sur 5 ans ............................................................................. 29
Tableau 21 : Les comptes de résultats prévisionnels (par nature) ....................................... 31
Tableau 22 : Bilan d’ouverture ........................................................................................... 32
Tableau 23 : Bilans prévisionnels pour les cinq premières années .................................... 33
Tableau 24 : Bilan de clôture de la deuxième année .......................................................... 33
Tableau 25 : Bilan de clôture de la troisième année ............................................................ 34
Tableau 26 : Bilan de clôture de la quatrième année........................................................... 34
Tableau 27 : Bilan de clôture de la cinquième année .......................................................... 35
Tableau 28 : Flux de trésorerie ............................................................................................ 35
Tableau:29 : Tableau de détermination de MBA : .............................................................. 40
Tableau 30 : Tableau de détermination de la VAN ............................................................ 41
Tableau 31 : Tableau de détermination du TRI (taux 30%) ............................................... 42
7
LISTE DES FIGURES
8
LISTES DES ABREVIATIONS, SIGLES ET ACRONIMES
Ar : Ariary
CA : Chiffre d’Affaire
CUM : Commune Urbaine de Mahajanga
CMUP : Cout Moyen Unitaire Pondéré
CNAPS : Caisse National de Prévoyance Social
DCRI : Délai de Récupération des Capitaux Investis
EBE: Exedent Brute d’Exploitation
FIFO: First In First Out
I : Investissent
IR: Impôt sur les revenus
Kg: Kilogramme
LIFO: Last In First Out
MBA : Marge Brute Autofinancement
OSIEM :Organisation Sanitaire Inter-Entreprise de Mahajanga
OTIV : Ombona Tahiry Ifampisamborana Vola
PCG : Plan Comptable Général
SAMA : Savonnerie MAsonjoany
SIB : Société Industrielle de Boina
TRI : Taux de Rentabilité Interne
VA : Valeur Ajouté
VAN : Valeur Actuelle Nette
VNC : Valeur Nette Comptable
Vo :Valeur d’origine
9
RESUME
Le savon fabriqué par le SAMA apporte l’hygiène et la santé pour l’utilisateur, car il
est basé sur une plante médicinal appelé « MASONJOANY» cette plante est utiliser par les
femmes d’une manière traditionnel comme une masque pour protéger la peau face au
soleil. Mais le projet SAMA le transforme en savon de toilette.
SUMMARY
This memory represents the realization of a project of creation of the artisanal soap
to basis of masonjoany (SAMA).
We have two main objectives of which the maximization of the profits and the
consumer's satisfaction during five years.
Soap manufactured by the SAMA brings hygiene and health for the user, because it is
based on a plant medicinal named " MASONJOANY " this plant use by the women in a
traditional manner like a conceals to protect skin facing the sun. But SAMA transforms it in
soap of toilet.
10
INTRODUCTION
Dans le monde, les entreprises prennent une place très importante au niveau du
développement économique et sociale. De nombreux produits sont issus de ces entreprises
parmi lesquels le savon qui est actuellement inséparable du mode de vie de nombreuses
populations. En effet le savon est même considéré comme un produit de première nécessité
car il est le garant de l’hygiène et de la santé.
Plusieurs composants sont utilisés pour la production du savon. Selon les utilisations,
certains composants peuvent varier. Certains composants spécifiques sont d’ailleurs plus
appréciés que d’autres. Les consommateurs des savons sont d’ailleurs très sensibles aux
variations des composants du savon notamment pour les savons cosmétiques qui permettent
de préserver les qualités d’une peau saine et belle.
Selon les besoins des consommateurs certains savons sont plus consommés que
d’autres. Et il existe d’ailleurs des savons dont les composants sont très recherchés pour leurs
propriétés médicinales et cosmétiques.
Dans les zones très ensoleillés comme dans la région Boeny, la majorité des femmes
aiment utiliser divers produits pour entretenir leur corps et leur visage. Parmi les produits
caractéristiques de la région Boeny : le Masojoany est le produit le plus utilisé pour protégé la
peau contre les effets néfastes du soleil. Mais la technique d’utilisation de ce produit est assez
traditionnelle et reste contraignant pour la plupart des utilisatrices. Les choix des
consommateurs de ce produit tendent souvent vers les formes pratiques d’utilisation. La
1
problématiques qui se pose alors c’est que : « Les produits cosmétiques à base de Masojoany
sont efficaces mais rares sur le marché »
Cette situation nous conduit au choix du thème suivant : « Production de savon
artisanale au Masojoany, dans la région Boeny ».
La Région Boeny est une zone propice à la production de savon et le Masojoany y
est abondant. Le projet d’exploiter ces opportunités peut mener au développement de cette
région.
Pour détailler le thème, le plan suivant sera adopté :
• Première partie : Présentation générale du projet
• Deuxième partie : Conduite du projet
• Troisième partie : Etude financière du projet
2
Partie I : PRESENTATION GENERALE DU PROJET
Dans cette section la Région Boeny est décrite, et les motivations des populations
locales pour l’utilisation du savon et des produits cosmétiques locaux sont analysées. Le
savon est en effet un produit essentiel, et dans les agglomérations l’aspect physique des
femmes sont de plus en plus considéré.
On dénombre environ 570 000 habitants1 dans la région Boeny, avec un taux de
croissance annuel de 3.1%, devançant de quelques points le taux national qui affiche 2.9%.
La population urbaine représente 40,30% de la population totale.
1
PRD Boeny 2005
3
La répartition2 entre le sexe masculin et le sexe féminin est quasi-équitable. Sur la
totalité de la population régionale 50,14% sont de sexe masculin, et
- 17,54% sont constitués des enfants moins de 4 ans
- 18% sont des enfants scolarisables
- 23 % sont de femmes en âge de procréer
La densité moyenne est de 17.5habitants/ km2, mais une analyse spatiale a mis en
exergue des pressions démographiques inquiétantes, particulièrement à :
Parfois, les riverains de la route nationale RN4 émigrent également vers Mahajanga
I, en quête de travail temporaire ou définitif dans les unités industrielles, plus spécialement
dans les pêcheries et le port pendant la saison morte agricole. Or, la capacité d'accueil de la
ville est à un niveau de saturation telle que l’urbanisation des périphéries est devenue une
gageure. D’ailleurs, ces dernières années ont vu l'émergence de quartiers spontanés et
populaires, occupant une surface étendue, caractérisés par l’absence de lotissement,
d’infrastructures et d’équipements collectifs de base.
Dans la ville de Mahajanga3 c’est surtout au niveau des bas quartiers que, la pression
démographique génère des problèmes tels que l’assainissement, l’habitat, l’accès à l’eau
potable et l’insécurité. La ville a peu évolué en tant que centre urbain en termes
d’aménagement et de fonctionnement.
2
INSTAT régional
3
Monographie de la ville de Mahajanga ; 2005
4
aspect physique. Pour les femmes de la région Boeny et les zones très ensoleillées comme
dans la partie sud de l’île et dans les îles des Comores. La situation climatique de ces zones
limite les choix des femmes pour les produits qui protègent leur peau du soleil. Ainsi le
produit le plus utilisé et le plus efficace pour protéger la peau du Soleil est le Masojoany.
Mais le problème qui se pose c’est que l’utilisation du Masojoany est contraignante. La mode
d’utilisation le plus répandu est le masque facial qui n’est pas très pratique.
C’est cette situation qui a mené à la création du présent projet pour proposer à la
population une forme plus pratique d’utilisation du Masojoany de façon à joindre l’utile et
l’agréable. Le savon à base de Masojoany permet en effet de préserver l’hygiène en général et
de maintenir une peau en bon état.
2 .2 Activités du projet
Le projet a pour activité la transformation des matières premières en produits finis.
Son activité principale est basée sur la fabrication du savon de toilette à base de Masojoany.
La plupart des matières premières sont d’origine locale :
• la soude caustique
• Graisse de zébu
• l’huile de coco.
• eau
5
CHAPITRE II. ETUDE DU MARCHE ET MARKETING
Section 1. Les descriptions et analyse des besoins
1.1 Le domaine de création du projet
Le projet a créé dans Secteur secondaire du domaine savonnerie artisanal.
6
Section 3 : Etude de l’offre et de la demande
Par définition, l’offre est la partie de la production destinée à la vente. L’étude de
l’offre permet à une entreprise de se situer par rapport à ses concurrents en terme de part du
marché, de type de clientèle, de capacité de production, d’image, de politique marketing (prix,
produit, distribution, communication) et de force de vente (équipe commercial de
l’entreprise).
7
Concurrents locaux dans la région Boeny :
• Savonnerie SIB,
• Savonnerie Mamiko,
• Savonnerie Manja
• Savonnerie Vao
D’après KOTLER4 :
« Le marketing est l’ensemble des techniques et études d’application qui ont pour but de
prévoir, constater, susciter, renouveler ou stimuler les besoins de consommateurs et adapter
de manières continue l’appareil productif et commercial aux besoins ainsi déterminés ». Bref
• 4
Marketing: An Introduction par Philip KOTLER ET Gary Armstrong. Prentice Hall
International. Editions (PHI), 1987, p 595.
8
c’est une science d’adaptation de l’offre à la demande. Le marketing sert à définir, concevoir
et promouvoir profitablement dans un contexte concurrentiel du produit, adapté en
permanence aux besoins et attentes de la clientèle ciblée et aux contraintes de
l’environnement.
9
• la décision politique qui peut être prise d’une manière cohérente et conforme aux
intérêts de l’entreprise. On en distingue quatre principales décisions :
La politique du produit : qui consiste à définir la gamme et les caractéristique de
chacun des produits y compris leurs noms, leurs conditionnements, leurs services après
ventes. On peut définir les caractéristiques marketings d’un produit à trois niveaux (les
services rendus : gain de temps, la distraction, la communication et ensuite l’attribut : qualité
perçue ou attendue par le consommateur, poids, performance, esthétique, facilité d’emploi
etc.. et en fin le contenu symbolique : prestige, liberté, simplicité, à la mode etc..).
La politique du prix : qui consiste à fixer le prix et condition de vente des produits.
La détermination du prix de vente résulte : de l’analyse de la demande, de l’analyse des coûts
et de l’analyse de l’environnement concurrentiel.
La politique de distribution et de vente : qui consiste à choisir le circuit et les canaux
de distribution, à définir les relations avec les intermédiaires, à recruter, former, animer et
contrôler les vendeurs propres de l’entreprise. On distingue trois stratégies possibles selon le
mode de distribution choisit : Intensive (produit de consommation courante, objectif : le plus
grand nombre de point de vente, canal : tout commerce, du détaillant et du certain
supermarché, Sélective : produit de consommation spécifique avec forte image de marque,
point de vente peu nombreux et de détaillant spécialisé, Exclusive : produit de consommation
spécifique, éviter la concurrence au niveau de point de vente, détaillant spécialisé.
La politique de communication et de promotion : qui consiste à choisir les principaux
moyens destinés à l’informer et influencer les publics auxquels s’intéressent l’entreprise. Il
s’agit notamment de la fixation du budget de la communication et de promotion du choix de
média et support publicitaire du choix des axes et thèmes publicitaires. Mais ces politiques ne
doivent pas être définies notamment les une aux autres.
La politique stratégique : qui consiste à définir pour un domaine ou un marché
déterminé et à l’intérieur des contraintes fixées par la Direction Générale les principes et
l’orientation générale dont devront s’inspirer les politiques de produit, de prix, de distribution
et de vente et de communication et de promotion de l’entreprise. Les objectifs possibles d’une
stratégie globale du marketing peuvent être divers, les plus fréquents peuvent être rangés sous
les rubriques : la rentabilité, la puissance et la sécurité de l’entreprise.
10
5.3.1. La stratégie PULL
Elle consiste à faire demander le produit par le consommateur ou l’utilisateur. Les
éléments moteurs principaux sont :
La politique de communication notamment la publicité (l’ensemble des moyens pour
faire connaître une marque d’un produit), publicité d’information : on impose de l’existence
d’un produit nouveau et la publicité suggestive : on informe et à la fois, on convaincre les
acheteurs), ainsi que la supériorité intrinsèque du produit ou son prix avantageux.
En principe la stratégie pull est plus avantageuse pour une entreprise dans la mesure
où elle ordonne une plus grande indépendance vis à vis de distributeur, mais elle n’est pas
toujours applicable, soit parce qu’elle exige de grosse moyens financières, soit parce que pour
certain produit, le consommateur fait une grande confiance au distributeur pour garder son
choix.
11
Tableau 1 : Résumé des points forts de la stratégie marketing suivant les différentes phases
commerciales
Phases Caractéristiques Buts Stratégies
- lent, niveau de - création de la - produit diversifié, accès à l’Internet mais
vente très faible, notoriété du aussi tout travail de communication,
- client pionnier. produit - on adopte un prix de pénétration moins bas
que celui du concurrent afin d’acquérir
rapidement une part de marché importante,
- on attire le client vers le produit en leur
- Lancement
offrant des cartes de fidélité et une démarche
assistée.
- brochure, publicité dans les mass médias et
communication « de bouche à oreilles »
entrepris.
Source : Marketing
12
DEUXIEME PARTIE : CONDUITE DU PROJET
CHAPITRE I : ETUDE TECHNIQUE DU PROJET
Ce chapitre examinera les ressources nécessaires pour réaliser ce projet telles que les
ressources humaines financières et matérielles et après, on va voir les caractéristiques
d’approvisionnement comme la méthode d’achat de matière première, le processus de
réalisation et le critère d’évaluation de stock choisi.
13
1.3 Ressources matériels
Plusieurs outils sont nécessaires afin de réaliser ce projet.
Marmites
3 120 000 360 000
Cuvettes
3 25000 75000
Balance
1 50 000 50 000
Brouette
1 120 000 120 000
Tables
3 20 000 60 000
Chaises
4 12000 48000
Four
2 25 000 50 000
Moule
180 500 90 000
853 000
Source : l’auteur, 2012
14
2.1.2 Politique d’achat
L’objectif général est de mettre à la disposition de l’entité en quantité et au moment
voulu, lesbiens et les services nécessaires pour satisfaire le client et assurer son
fonctionnement.
Pendant l’achat il y a 3 sortes de critères :
• le cout
• la quantité
• la sécurité
Eau Four
Cuve de Cuve de
Filtrage du
stockage stockage
Masonjoany
d’acide d’huile
Saponification
Emballage
15
Analyse de processus de fabrication
► Mixage du masonjoany
La cuisson assure la préparation de produit fini (savon). Elle est responsable et gère
l’addition de l’huile et de l’acide
16
3ème étape : MISE EN FORME DE SAVON
• Mise en carton
La mise en carton est la dernière phase des étapes de production de savon.
a) Définition :
Dans ce condition le suivi des opérations exigent des tenir en quantité et en valeur
les entrées et les sorties de différentes éléments qui constituent les stocks de l’entreprise.
b) Le Stock
C’est une qualité de bien accumulés dans l’attente d’une utilisation en vue
d’harmoniser un flux d’entrée et un flux de sortie dont les rythmes sont différents.
Dans ce projet, les matières premières comme l’huile de palme, huile de coco, la
soude caustique et la matière consommable comme le colorant, l’emballage et aussi les
matières divers exigent en matière de stock.
c) Méthode
Plusieurs méthodes peuvent être prendre pour faire l’inventaire permanent, comme la
méthode du coût moyen unitaire pondéré (CMUP), la méthode du première entré et première
sortie c’est-à-dire First in First Out (FIFO), la méthode de dernière entrée et première sortie
(LIFO) c’est-à-dire Last in First Out .Mais nous avons choisi la CMUP
17
CHAPITRE II : PRODUCTION ENVISAGEE
Section 1 : Les dépenses en matières premières
Les matières premières sont indispensables sur la production.
18
Tableau 6 : Production prévisionnelle
19
CHAPITRE III : ETUDE ORGANISATIONNELLE
Section 1 : Structure organisationnelle
1.1L’organigramme
Gérant
Les fonctions de chaque poste sont reparties selon la responsabilité, les attributions
et le rôle au sein de l’entreprise et les tâches effectuées auprès des différents services.
1.2.1 Gérant
Le gérant joue un rôle très important au niveau de l’entreprise. Ensuite, il assure le
bon fonctionnement de l’entreprise. Il prend les décisions importantes concernant l’entreprise.
Il supervise toutes les opérations effectuées. C’est la première ligne de la structure
hiérarchique fonctionnelle de l’entreprise. Il est le premier responsable pour piloter ou diriger
un groupe de personne afin que les objectifs fixés soient atteints. Avant la commande des
matières premières, le Directeur doit faire l’analyser du prix, la quantité de la matière
première et la disponibilité de la société. Il est le premier responsable pour le développement
de l’entreprise surtout au niveau de la production des produits finis.
20
1.2.2 Responsable Production
En tant que chef de production, il tient un rôle important à cette responsabilité. En
moyenne l’activité d’un projet donne un rendement de 18kg par jours. Pour atteindre ce but,
il cherche tous les moyens pour arriver à ce rendement. Ensuite, il cherche toujours à
améliorer le niveau de qualité du produit.
21
Section 3 : Le chronogramme
Tableau 9 : Le chronogramme
MOIS
J F M A M J J A S O N D
OPERATIONS
A/ Constitution des
dossiers
B/ Présentation du projet
aux bailleurs
D/ Emission de lettres
E/ Implantation
F/ Commandes des
matériaux et équipements
G/ Recrutement du
personnel
H/ Formation du
personnel et mise au point
Source : l’auteur, 2012
Avec J : Janvier
F : Février
M : Mars
A : Avril
M : Mai
J : Juin
J : Juillet
A : Aout
S : Septembre
O : Octobre
N : Novembre
D : Décembre
22
3ème PARTIE : ETUDE FINANCIERE DU PROJET
CHAPITRE I COUT D’INVESTISSEMENT ET DE FINANCEMENT
L’étude financière de ce projet permet d’évaluer les besoins de financement en
fonction des données issues de recherche préalable de l’étude du marché. Cette étude
financière permet de connaître si le projet est viable à long et à moyen terme et de montrer
la fiabilité et de faisabilité des activités.
Alors, on va essayer d’étudier tout d’abord les théories générales sur les outils
d’évaluation et les structures financières ; les coûts d’investissements et de financements ;
l’analyse de rentabilité et de faisabilité et enfin, l’évaluation du projet.
23
Répartition des salaires et les charges y afférant
Selon le PCG 2005, les charges relatives aux salaires sont composées :
24
Tableau 13 : Charges sociales
Tous les membres du personnel du centre sont affiliés à la CNaPS (Caisse Nationale de
Prévoyance Sociale) et à l’OSIEM (Organisme Sanitaire Interentreprises de Mahajanga).
Pour les régimes interentreprises, les cotisations sont calculées sur les salaires bruts (sans
plafonnement comme le régime admis pour les allocations familiales).
25
Emplois Montant Ressources Montant
Les apports propres couvrent ainsi les 73 dont 63% en nature et 10% en numéraire du
montant total des fonds nécessaires. L’entreprise doit ainsi recourir à un crédit à moyen terme
pour les 27% du montant total des fonds nécessaires.
26
L’annuité s’obtient par la formule suivante :
a= Vo x t x n
1200
1111111120
Avec a : annuité
Vo : Valeur d’origine
(%) (ans) 1 2 3 4 5
Terrain 0 0 0 0
Matériel et mobilier
du bureau 4 27 000 27 000 27 000 27 000 0
Matériel Informatique 5 130 000 130 000 130 000 130000 130000
27
Les remboursements des dettes financières correspondent aux charges financières
supportées par chaque exercice. Le taux d’intérêt nominal est de 18% donc les charges
financiaires est de 378540, la somme à remboursée est de 2418540
28
Tableau 19 : Les autres Charges
29
CHAPITRE II ETATS FINANCIERS
Ce chapitre nous conduit à l’établissement des différents paramètres qui vont décrire
l’évolution de l’entreprise durant les 5 premières années d’exploitation. L’analyse de ces
éléments paramétriques permettra ainsi de savoir si les profits dégagés sont satisfaisants
compte tenu des charges supportées par l’exercice.
30
• Résultat avant impôt : Il permet la détermination du montant de l’impôt exigible sur
résultat.
• Les tableaux des comptes de résultat
Ainsi les comptes de résultat prévisionnels de projet sont présentés dans les tableaux
suivants :
Tableau 21 : Les comptes de résultats prévisionnels (par nature)
Designation Année 1 Année 2 Année 3 Année 4 Année 5
Chiffre d'affaire 27756000 30531600 33584760 36943236 40637560
1) Production de l'exercice
Achat consomé
achat matière première 6717980 7389778 78128755,5 8941631,38 9835794,1
Publicité 360000
Frais de transport 100000 110000 121000 133100 146410
Eau et electricité 240000 264000 290400 319440 351384
Petite outillage 86000 86000 86000 86000 86000
Emballage 24000 26400 29040 31944 35138
Location de machine à broyer 51400 56540 62194 68413,4 75254,74
Fourniture de bureau 100000 100000 100000 100000 100000
Poste de comunication 44000 44000 44000 44000 44000
Fourniture informatique 100000 100000 100000 100000 100000
Combustible 110000 121000 133100 146410 161051
2) Consomation de l'exercice 7933380 8297718 79094489,5 9970938,78 10935032
3) Valeur ajouté 19822620 22233882 -45509730 26972297,22 29702528
Charge de personnel 13168800 14485680 15934208 17527628,8 19280392
4) Exedent brute de l'exploitation 6653820 7748202 -61443938 9444668,42 10422136
Dotation aux ammortissement 446250 446250 446250 446250 230000
5) Resultat opérationnel 6207570 7301952 -61890188 8998418,42 10192136
Frais financier (OTIV 18%) 378 540
6) Resultat financier -378 540
7) Resultat avant impot 5 829 030 12 557730 13891168 15357909,8 17187576
Revenu sur le chffre d'affaire 1457257,5 3139432,5 3 472 792 3839477,45 4296894
8) Resultat net de l'exercice 4 371 773 9418297,5 10 418 376 11518432,35 12890682
Source : l’auteur, 2012
31
Section 2 : Les bilans prévisionnels
2.1. Bilan d’ouverture
Les bilans prévisionnels permettent de connaître la situation de l’entreprise à un
moment précis de l’exercice. Les bilans des 5 premières années d’exploitation sont
représentés dans les tableaux suivants :
Tableau 22 : Bilan d’ouverture
Bilan d'ouverture
Actif Passif
Designation VO Amortissement VNC
Actif Non Courant
Frais d'établissement 15 000 15 000 Capital 10 515000
Construction 1 000 000 1 000 000
Matériel et outillage 742 000 742 000
Matériel et Mobilier de
bureau 108 000 108 000
Matériel Informatique 650 000 650 000
Terrain 8 000 000 8 000 000
Actif Courant
Disponile 2 103 000 2 103 000 Emprunt OTIV 2 103 000
12 618
TOTAL 12 618 000 12618000 000
Source : l’auteur, 2012
32
Tableau 23 : Bilans prévisionnels pour les cinq premières années
Bilan de clôture de la première année
Actif Passif
Désignation VO Amortissement VNC
Actif Non Courant
Frais d'établissement 15 000 3750 11250 Capital 10515000
Construction 1 000 000 100 000 900 000 Résultat 4 371 773
Matériel et outillage 742 000 185 500 556 500
Matériel et Mobilier de
bureau 108 000 27 000 81 000
Matériel Informatique 650 000 130 000 520 000
Terrain 8000000 0 8 000000
Actif Courant
Disponible 4 818 023
TOTAL 10 515 000 446 250 14886773 14886773
Source : l’auteur, 2012
Actif Passif
Désignation VO Amortissement VNC
Actif Non Courant
Frais d'établissement 15 000 3 750 7 500 Capital 10 515 000
Construction 1000000 100000 800000 Résultat 9 418 297,5
Matériel et outillage 742 000 185 500 371 000
Matériel et Mobilier de
bureau 108 000 27 000 54 000
Matériel Informatique 650 000 130 000 390 000
Terrain 8 000 000 0 8 000 000
Actif Courant
Disponible 10310797,5
TOTAL 10 515 000 891 500 19933297,5 19933297,5
Source : l’auteur, 2012
33
Tableau 24 : Bilan de clôture de la troisième année
Actif Passif
Désignation VO Amortissement VNC
Actif Non Courant
Frais d'établissement 15 000 3 750 3 750 Capital 10515000
Construction 1 000 000 100 000 700 000 Résultat 10418376
Matériel et outillage 742 000 185 500 185 500
Matériel et Mobilier de
bureau 108 000 27 000 27 000
Matériel Informatique 650 000 130 000 260 000
Terrain 8 000 000 8 000 000
Actif Courant
Disponible 11757126
TOTAL 10 515 000 1 338 750 20933376 20933376
Source : l’auteur, 2012
Actif Passif
Désignation VO Amortissement VNC
Actif Non Courant
Frais d'établissement 15 000 3 750 0 Capital 10 515 000
Construction 1 000 000 100 000 600 000 Résultat 11518432,4
Matériel et outillage 742 000 185 500 0
Matériel et Mobilier de
bureau 108 000 27 000 0
Matériel Informatique 650 000 130 000 130 000
Terrain 8 000 000 0 8 000 000
Actif Courant
Disponible 13303432,4
TOTAL 10 515 000 1 785 000 22033432,4 22033432,4
Source : l’auteur
34
Tableau 26 : Bilan de clôture de la cinquième année
Actif Passif
Designation VO Amortissement VNC
Actif Non Courant
Frais d'établissement 15 000 0 0 Capital 10 515 000
Construction 1 000 000 100 000 500 000 Résultat 12890682,1
Matériel et outillage 742000 0 0
Matériel et Mobilier de
bureau 108 000 0 0
Matériel Informatique 650 000 130000 0
Terrain 8 000 000 0 8 000 000
Actif Courant
Disponile 14905682,1
10 515 000 23405682,1 23405682,1
Source, l’auteur 2012
ANNEES 1 2 3 4 5
Flux de trésorerie liés aux
activités opérationnelles :
(Activités)
Encaissement reçus des clients
Chiffre d’A 27 756 000 30 531 600 30 531 600 43 099 420 47 409 460
Sommes versées aux
fournisseurs et au personnel 21 102 180 22 783 398 24 672 817.5 26892438.32 30215423.84
Achats matière première 6 717 980 7 389 778 7 812 875,5 8 941 631,38 9 835 794,1
Personnel 13 168 800 14 485 680 15 934 208 17 527 628,8 19 280 392
Charge social 0 0 0 0
Autres charges 511 400 166 540 183 194 201 513.4 221 664.74
Autres approvisionnement 704 000 741 400 782 540 827 794 877 573
Impôts divers
Intérêts et autres frais 378 540 0 0 0 0
35
financiers payés OTIV
Impôts sur les résultats payés
IR 1 457 257,5 3 139 432,5 3 472 792 3839477,45 4 296 894
Flux de trésorerie avant 4 728 023 9 864 547.5 10 864 626
éléments extraordinaires 11964682.35 13 120 682
Flux de trésorerie liés à des
activités extraordinaires (à
préciser)
Flux de trésorerie net provenant 4 728 023 9 864 547.5 10 864 626 11964682.35 13 120 682
des activités opérationnelles
(A)
Flux de trésorerie liés aux
activités d'investissement
Décaissement sur acquisition
d'immobilisations corporelles
ou incorporelles -10 515 000 0 0 0 0
Encaissement sur cession
d'immobilisations corporelles
ou incorporelles
Décaissement sur acquisition
d'immobilisations financières
Encaissement sur cession
d'immobilisations financières
Intérêts encaissés sur
placements financiers
Dividende et quotte part de
résultats reçus
Flux de trésorerie net provenant
des activités d'investissement
(B) -10 151 000 0 0 0 0
Flux de trésorerie liés aux
activités de financement
Encaissement suite à l'émission 10 151 000 0 0 0 0
36
d'actions immobilisation
Apport immobilisation 10 515 000 0 0 0 0
Dividendes et autres
distributions effectués
Encaissement provenant
d'emprunts 0 0 0 0
Emprunt monnaie local 0 0 0 0
Emprunt ex 0 0 0 0 0
Remboursements d'emprunts
ou d'autres dettes assimilés
Amortissement OTIV 1 année 2 103 000 0 0 0 0
37
• Seuil de rentabilité (SR) est le chiffre d’affaire pour lequel l’entreprise ne réalise ni
bénéfice, ni perte ou encore le chiffre d’affaire pour lequel le résultat nul.
Le seuil de rentabilité permet :
- de calculer le montant du chiffre d’affaire à partir du lequel
l’activité est rentable
- déterminer à quelle date l’activité devient rentable
- d’apprécier la sécurité dont dispose l’entreprise si la conjoncture
dévie défavorable
38
CHAPITRE III : THEORIE GENERALE SUR LES OUTILS,
LES CRITERES D’EVALUATION ET LES STRUCTURES
FINANCIERES
Ce chapitre traitera les théories générales sur les outils d’évaluation et les structures
financières telles la valeur actuelle nette (VAN), le taux de rentabilité interne (TRI), la durée
de récupération des capitaux investis (DRCI) et l’indice de profitabilité (IP).
• Définition
• Formule
Io : capitaux investis
n : année
• Interprétation
La VAN constitue un outil de sélection pour tout projet. Parmi plusieurs projets, sera
retenu celui dont la VAN est la plus élevée.
39
Section 2 : Le Taux de Rentabilité Interne (TRI)
• Définition
Le taux de rentabilité interne est le taux d’actualisation qui donne une Valeur Actuelle
Nette nulle .Ce taux ne peut se calculer par une équation mathématique simple. On procède
par une approche approximative suivant la méthode par interpolation qui est fréquemment
utilisée pour la détermination du taux i.
• Formule
∑ MBA (1 + i) -n = I0
• Interprétation
Ce taux est le taux maximal auquel est possible l’emprunt du capital nécessaire au
financement de l’investissement pour que l’opération envisagée ne soit pas déficitaire.
Ce taux est comparé au taux exigé t, pour la détermination de la rentabilité du projet. Trois cas
peuvent se présenter :
Pour pouvoir entreprendre un projet parmi plusieurs projets en lisse, le premier choix
s’oriente toujours vers celui dont le Taux de Rentabilité Interne est le plus élevé.
• Définition
40
• Formule
Il n’existe pas de formule conventionnelle mais la méthode par interpolation est la plus
fréquemment utilisée pour déterminer le délai de récupération des capitaux investis
Interprétation
Parmi plusieurs projets en compétition, celui qui est le moins risqué est celui qui
présente le délai de récupération des capitaux investis le plus court. Plus le délai est court,
plus le projet est rentable.
41
CHAPITRE IV : EVALUATION DU PROJET
Résultat net 4 371 773 9 418 297,5 10 418 376 11518432,35 12 890 682
Amortissements 446 250 446 250 446 250 446 250 230 000
MBA 4 818 023 9 864 547.5 10 864 626 11964682.35 13 120 682
Source, l’auteur 2008
42
Tableau 29 : Tableau de détermination de la VAN
Calcul VAN :
43
Tableau 30 : Tableau de détermination du TRI (taux 40%)
TRI = 36.93%.
Le TRI est de 36.93%.Le projet est donc rentable car le TRI est supérieur au taux
d’actualisation qui est de 18%. Il y a donc une marge de sécurité de 18.93
Calcul de DRCI :
44
Ce délai est la durée à laquelle les capitaux investis pour le projet sont récupérés. A cette
date, la MBA actualisée cumulée est égale à la somme des capitaux investis. Ci- après les
inéquations traduisant cette définition :
= =
12433788.15- 8474376.338 3 -2
0,5153 = DRCI - 2
DRCI = 2,5153
• L’efficacité : c’est la relation entre les objectifs du projet et les résultats obtenus .Le
projet est efficace lorsque les objectifs sont atteints.
• L’efficience est l’efficacité majorée des coûts. L’efficience tient toujours compte des
coûts .Le projet est efficient lorsque les objectifs sont atteints à moindre coût et dans le
délai prévu.
45
• La durée de vie : c’est la durée du projet qui se traduit généralement par la recherche
permanente de la pérennité du projet afin de préserver une certaine durabilité du
projet.
46
Section 3 Capacité d’autofinancement
La capacité d’autofinancement est une source propre et permanente de financement
que l’entreprise génère par son activité sans faire appel à une augmentation de capital ou à des
emprunts. Elle correspond à la réintégration des amortissements des immobilisations aux
résultats nets des exercices. Pour le cas du présent projet, la capacité d’autofinancement est
présentée dans le tableau suivant
On constante que la capacité d’autofinancement est en évolution progressive.
47
CONCLUSION
Le savon à base de masonjoany est un produit nouveau qui mérite tous les efforts
pour se faire connaitre sur le marché au niveau de la Région Boeny, mais aussi au niveau des
autres Régions, voir même au niveau des autres pays. La situation géographique de la Région
Boeny permet d’ailleurs de nombreux échanges internationaux aussi bien par voie maritime
que par voie aérienne.
48
LISTE DE BIBLIOGRAPHIE ET WEBOGRAPHIE
BIBLIOGRAPHIE
WEBOGRAPHIE
http//www.Wikipedia.Org
49
ANNEXE
50
TABLE DES MATIERES
INTRODUCTION ............................................................................................................... 1
51
DEUXIEME PARTIE : CONDUITE DU PROJET ............................................................ 13
CHAPITRE I : ETUDE TECHNIQUE DU PROJET ........................................................ 13
Section 1. Ressources à mettre en place ................................................................... 13
1.1 Ressources Financières ....................................................................................... 13
1.2 Ressources Humaines .......................................................................................... 13
1.3 Ressources matériels ........................................................................................... 14
Section.2. Caractéristique de l’approvisionnement .................................................... 14
2.1. Méthode d’achat des matières premières à adopter ........................................... 14
211 Gestion d’achat .................................................................................................. 14
212 Politique d’achat ................................................................................................ 15
2.2. Processus de réalisation ..................................................................................... 15
2.3. Les critères d’évaluation de stock à choisir ........................................................ 17
a) Définition : ..................................................................................................... 17
b) Le Stock .......................................................................................................... 17
c) Méthode ........................................................................................................... 17
CHAPITRE II : PRODUCTION ENVISAGEE.................................................................. 18
Section 1 : Les dépenses en matières premières ........................................................ 18
Section 2 : Prévision d’achat de matières premières ; achat prévisionnel pour la
première année ....................................................................................... 18
Section 3 : Productions et les CA prévisionnels ....................................................... 18
2.1. Production prévisionnelle ................................................................................ 18
2.2. Chiffre d’Affaires prévisionnels ...................................................................... 19
CHAPITRE III : ETUDE ORGANISATIONNELLE ........................................................ 20
Section 1 : Structure organisationnelle ...................................................................... 20
1.1 Organigramme...................................................................................................... 20
1.2. L’attribution du personnel .................................................................................. 20
1.2.1 Gérant ........................................................................................................... 20
1.2.2. Responsable Production .............................................................................. 20
1.2.3 Responsable de l’approvisionnement .......................................................... 20
Section 2 : Les descriptions des tâches ..................................................................... 21
Section 3 : Le chronogramme ................................................................................... 22
52
Section.1 Le cout d’investissement ............................................................................ 23
Section.2. Plan de financement .................................................................................. 25
Section 3 : Les amortissements des immobilisations ................................................. 26
3.1 Définitions ........................................................................................................... 26
Section 4 : Remboursement des empreints ............................................................... 27
53
54