*defs 

: le bonheur désigne la « bonne augure », « la chance » et nous avons le sentiment que cette
chance est à porter de tous et que nous devons saisir
*nous identifions le bonheur au plaisir mais est-ce si simple que ça ?
-il devrait être distinguer du plaisir ou de la joie car très éphémères : pique de plaisir puis ca
redescend
-vs bonheur = Etat de satisfaction durable où toutes nos aspirations les plus importantes sont
réalisées
Donc faut-il rechercher le plaisir à tt pris ?

I-Comment accéder au bonheur ?

A-Epicure : une vie mesurée pour parvenir au bonheur du corps et de l’âme

1-Le point de vu d’Epicure

*distingue plaisir cinétique en mvt vs catastématiques = plaisirs stables
*mvt :liée à une certaine forme d’excitation qui ne nous apaise pas, éloignent de la plénitude
drogue plaisir pr un moment puis l’après qui appo souffrance, manque et pousse reprendre
*limiter nos désirs car = manque de qqch = frustration, souffrance
*plaisirs stables en priorité qui nous apporte vrai bonheur grâce tri désirs
-désirs pas naturelles à éliminer : gloire éternel, amour illimité
vivre ds l’illusion et connâitrait pas bonheur car voile face (allégorie caverne) = souffrance
-focaliser sur désires naturelles : boire ou manger
se focaliser sur les nécessaires et pas les superflux « pas besoins de caviar pr être heureux »
*bilan : viser la tranquillité du corps : aponie
-en se focalisant sur désirs natu et nécessaires
*pas oublier bonheur de l’âme ac tranquillité de l’âme et éviter la peine et le mal = ataraxie
-focaliser sur plaisirs stables comme l’amitié et pas l’amour car exite un moment mais risque + de
retomber et faire mal un, jour

2-Le prb 
* hiérarchiser c désirs = s’en interdire certains au nom d'une certaine règle
-N'est-ce pas alors le contraire de la vie bonne ?
- La vie bonne = ne pas avoir de règles qui hiérarchisent nos désirs ? A ne s'interdire aucun désir ?
-opérer choix en fct seulement de l'intensité du désir tel que je l'éprouve au moment où je vais agir. 

B- Calliclès : la vie sans règles, ni réflexion

1-La critique du modèle de Socrate et Epicure : hiérarchie des désirs
* mode de vie est celui d'abrutis, d’esclaves car acceptent de se restreindre
*la masse= les faibles, ils manquent de courage, ont peur de se laisser aller 
2-Une vie bonne = sans réflexion = l’expression de la vie biologique
*pas réflexion, ou processus antinaturel
*pas pareil que vie animal : intelligence et courage pr satisfaire désirs pas réfléchies
- aucune réflexion quant au but → on réfléchit aux moyens. 
3-La vie bonne : une vie « déréglée » (sans règles)
- la vie portée à son maximum d'intensité (passions, sentiments, désirs) mais pas de règles
-on ne se refuse aucun plaisir, tt le monde a intérêt à s'accaparer le plus de choses sans frein.

II-Le bonheur est-il le but de la vie ?

A-Aristote = oui car finalité de toutes nos actions : le bonheur = bien suprême que nous cherchons
tous
passe le bac pr études, études pr métier sympa et métier sympa pr être heureux et être heureux
pour être heureux
-la satisfaction des désirs est une quête sans fin
-hédonistes : cherchent bonheur ds la multiplication et la réalisation de leur désirs de manière
durable

B-Kant pas d’accord

-impératif moral et catégorique qui est parfois contradictoire ac le bonheur
grand-mère se fait agresser, je vais la défendre au risque de ma propre vie donc c pas le bonheur
que je vise
devoir morale pas soumis inclinations ou recherche intérêt mais à la raison donc indépendante de
la recherche du bonheur donc si fais le bien prcq ça apporte satisfaction perso n’est pas moral

III-Finalement, aucune solution ne semble vrmt viable étant donnée les remises en causes

A-Critique du modèle de Calliclès : le prb du désir triangulaire de Girard

1-Contexte et explication
*selon Calliclès, tt le monde a intérêt à s'accaparer le plus de choses sans frein.
*Cependant il semblerait que si tout le monde faisait cela alors tout le monde en souffrirait.
*comme nous le montre le prb du désir triangulaire de Girard
-3 entités : « moi » qui désir « l’objet » qui est désiré par moi et « autrui »
-le fait de le désirer nous montre qu’il est désirable et aug mes risques de le désirer = 2 prb
2-Premier prb : autrui devient mon rival : méfiance = hostilité = guerre de tous contre tous Hobbes
-veulent tous la même car s’estiment tous égaux = concu
-peur de chacun contre chacun, éliminer les autres, asservir la concu
3-nous ne nous satisfaisons pas de ce que nous avons
-en se comparant on le fait pas pour nous mais pour les autres
On se préoccupe de ce que les autres disent de nous qu’on est heureux
-on voir que les autres ont ou veulent qqch, on tombe ds une spirale de consommation

B-Critique du modèle d’Epicure par Rousseau

*idée de base d’Epicure : limiter nos désirs car = manque de qqch = frustration, souffrance
*Rousseau s’oppose : « malheur à qui n’ a plus r à désirer !Il perd pour ainsi dire tt ce qu’il possède »
-si satisfaction met fin au désir pas tjr bonheur car paradoxalement, nous sommes heureux de
désirer,
-certes désir = souffrance mais c ce manque qui nous donne envi de vivre des expériences
 sans ce manque , la vie ne vaut pas le coup d’être menée, nous sommes morts
-posséder c cesser d’imaginer ac un paradoxe qui est la cause de notre éternel insatisfaction
-bq satisfaction désir nous rend pas heureux, la quête peut nous rendre heureux 
-il faut sublimer nos désirs : plus il est modéré, plus il dure et s’accroit
-si on satisfait un désir, il faut en trouver un autre encore plus ambitieux pour pas tomber ds
monotonie
attention au bovarisme : on rêve sa vie jusqu’à tomber ds la désillusion

C-Finalement, selon Schopenhauer : bq le bonheur soit l’objectif de chacun, il est impossible

*soit nos désirs sont pleinement satisfaits, soit ils ne le sont pas
-non satisfait = frustration = souffrance
-satisfait = pas plus heureux mais empli d’ennuie
= « La vie oscille comme un pendule de la souffrance à l’ennui »
souffrance = désir insatisfait et l’ennui un désir satisfait
ex mcdo valouz