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Résumé :
Au Maroc, les études qui portent sur la communication financière sont rares. Notre
contribution sert à présenter une image claire sur l’émergence du comportement
communicationnel des sociétés cotées dans la bourse de Casablanca. Pour ce faire, nous
essayons de présenter une généralité sur la communication financière ainsi que le cadre
réglementaire de ladite communication au Maroc, par la suite nous traiterons les indicateurs
qui pourront nous servir à analyser et à juger le comportement communicationnel des sociétés
cotées au Maroc.
Mots clefs :
1
Introduction
Pour atteindre ses objectifs en matière de financement, l’entreprise doit fournir des
informations sur sa situation aux investisseurs afin qu’ils arrivent à évaluer les titres cotés en
bourse. C’est ainsi qu’elle doit généralement répondre aux besoins informationnels des parties
prenantes à travers un outil stratégique celui de la communication financière en l’occurrence.
En effet, telle qu’elle est définie par Léger : « La communication économique et financière
c’est la transmission des messages de l’entreprise vers les actionnaires et les investisseurs et
les divers autres publics au moyen d’outils sélectionnés pour rendre visible l’entreprise,
mettre en avant ses atouts, contribuer à son image positive, dans un environnement
concurrentiel »1. De son côté, Bruin la considère comme « l’activité d’information financière
et de promotion de l’image financière de l’entreprise »2. Aussi, la communication financière
est-elle l’un des reflets de la culture de l’entreprise dans la mesure où elle dépasse les seules
données objectives obligatoires en choisissant de mettre en avant certains thèmes plutôt que
d’autres » (Guimard, 1997, p.343-344).
D’après ces définitions, nous constatons donc que la communication financière est un
instrument utilisé par l’entreprise pour transmettre des informations :
- aux décideurs qui sont généralement les actionnaires, les investisseurs et les salariés ;
- aux émetteurs d’avis et de jugements, à savoir les analystes financiers, les journalistes,
les banquiers, les auditeurs ... etc.
- au reste du public comme les clients, les fournisseurs, les pouvoirs publics, les
concurrents, les syndicats ...
1
Léger, J-y., La communication financière, édition Dunod, 2010, p. 38
2
R. de Bruin, Communication financière : image et marketing de l’entreprise, Editions Liaisons, 1999, p.
2
A l’inverse de la publicité commerciale, la publicité financière cherche essentiellement à
commercialiser des produits intangibles (actions, obligations) auprès d’une clientèle spéciale. Cette
clientèle prend la décision d’achat ou de vente en fonction de plusieurs critères tels que :
Toutefois, la liste des critères à respecter par l’entreprise n’est pas limitée à ce niveau, car il y
a maints ingrédients à ajouter pour fidéliser la clientèle.
Dans ce contexte perturbé et instable, les entreprises marocaines doivent adopter des
stratégies de communication financière adaptées aux contraintes réglementaires et financières,
cela passe nécessairement par la fixation des objectifs clairs, l’existence des moyens
suffisants pour atteindre ces objectifs, sans oublier la construction d’un système d’évaluation
de la performance desdites stratégies afin de détecter les avantages et les inconvénients.
- Des crises internationales successives qui frappent les marchés financiers durant les
dernières années, ce qui rend le financement de plus en plus difficile.
- Des difficultés d’accès au financement bancaire : les banques exigent des conditions
de plus en plus contraignantes, ce qui pousse les sociétés à trouver des formes de
financement plus favorables.
- La concurrence entre les émetteurs pour attirer les investisseurs.
- Les exigences informationnelles et financières des actionnaires...
- Le Dahir portant loi n° 1-93-212 du 4 rebia ii 1414 (21 septembre 1993) relatif au
conseil déontologique des valeurs mobilières et aux informations exigées des
3
personnes morales faisant appel public à l’épargne (Modifié et complété par les lois
23-01, 36-05 44-06).
- Le Dahir n° 1-96-124 du 4 rabii II 1417 (30 août 1996) portant sur la promulgation de
la loi n°17-95 relative aux sociétés anonymes (modifiée et complétée par les lois 81-
99, 23-01, 20-05, 78-12).
- Le Dahir n°1-13-21 du 1er joumada I 1434 (13 mars 2013) portant sur la promulgation
de la loi n°43-12 relative à l’Autorité marocaine du marché des capitaux.
- Le Dahir n°1-12-55 du 14 safar 1434 (28 décembre 2012) portant sur la promulgation
de la loi n° 44-12 relative à l’appel public à l’épargne et aux informations exigées des
personnes morales et organismes faisant appel public à l’épargne.
1
Guide de la communication financière, Obligations et Recommandations, XXX, 2012, p.
4
soumise aux obligations d’information (...) L’information donnée au public par les personnes
qui font appel public à l’épargne doit être exacte, précise et sincère » 1.
Ainsi, les sociétés cotées dans la bourse de Casablanca sont obligées de publier les
informations continues ou permanentes. Ces informations représentent une source de
plusieurs litiges et risques dans le marché à cause de leur sensibilité et leur caractère imprévu.
« Les personnes morales faisant appel public à l’épargne sont tenues de publier dans un
journal d'annonces légales aussitôt qu'elles en ont pris connaissance, tout fait intervenant
dans leur organisation, leur situation commerciale, technique ou financière, et pouvant avoir
une influence significative sur les cours en bourse de leurs titres ou une incidence sur le
patrimoine des porteurs de titres »3. Cet article présente une description détaillée des
informations importantes à publier par les sociétés cotées. De même, la communication de
l’information privilégiée est une obligation à cause de son impact sur la valeur des titres.
1
Article 12-4 du Dahir portant loi n° 1-93-212 relatif au conseil déontologique des valeurs mobilières et aux
informations exigées des personnes morales faisant APE.
2
Article 14 du Dahir portant loi n° 1-93-212.
3
Article 16 du Dahir portant loi n° 1-93-212.
5
1.2 Le contrôle de l’information financière publiée par les sociétés cotées
au Maroc
L’efficience des marchés financiers passe par l’existence d’une information de qualité.
Celle-ci nécessite le respect du cadre réglementaire de la communication financière afin
d’assurer le minimum d’information aux opérateurs du marché. L’autorité du marché a fourni
des efforts considérables afin de montrer au public l’évolution du comportement
communicationnel des entreprises cotées dans la bourse de Casablanca. Dans ce paragraphe,
nous allons présenter une analyse des pratiques de la communication obligatoire au Maroc sur
la base des rapports du CDVM tout en abordant la diffusion de l’information périodique et
l’information importante.
1
Article 1, du Dahir n°1-13-21 du 1er joumada I 1434 (13 mars 2013) portant sur la promulgation de la loi n°43-
2 relative à l’Autorité marocaine du marché des capitaux prévoit que le terme « Autorité Marocaine du Marché
des Capitaux (AMMC) » se substitue au terme « Conseil déontologique des valeurs mobilières (CDVM) » dans
tous les textes législatifs et réglementaires régissant le marché des capitaux.
2
Article 17 du Dahir n°1-12-55 portant sur la promulgation de la loi n° 44-12 relative à l’appel public à l’épargne
et aux informations exigées des personnes morales et organismes faisant appel public à l’épargne.
6
2.1 Le respect de la réglementation en matière de diffusion des informations périodiques
En 2011, les CAC de 26 émetteurs ont formulé des réserves ou observations sur les
informations périodiques, contre 24 au titre de l’exercice 2010. Dans ce sens, le CDVM
confirme que certains émetteurs ont été concernés par plusieurs réserves ou observations, en
1
Pratiques de la communication financières des émetteur, Etat des lieux sur la période 2010-2011.
7
2013 le nombre de comptes certifiés avec réserves est de 16% contre 20% en 2012. Pour les
années 2014 et 2015, aucune information n’a été affichée par l’autorité du marché sur les
observations et les réserves des CAC.
On dit qu’une information est importante lorsqu’elle génère des incidences sur la
valeur des titres. Cela implique que ce type d’information est très sensible et sa publication
fait l’objet d’une réglementation spéciale et toute violation de la loi à ce niveau implique des
conséquences défavorables sur la réputation du marché et son équilibre. Cependant, la
publication de ces informations ne dépend pas toujours de la volonté des dirigeants, cela
signifie qu’il y a des plusieurs facteurs qui influencent la décision de divulgation comme la
conjoncture économique et financière. Nous signalons aussi que l’information importante est
publiée sans délai, le communiqué de presse est le support de communication le plus utilisé au
Maroc pour diffuser cette information. Toutefois, l’autorité du marché garantit la qualité des
informations publiées dans les communiqués de presse publiés et en cas d’insuffisance, elle
peut demander aux émetteurs une publication complémentaire.
8
Au titre de l’année 2011, les sociétés cotées dans la BVC ont publié 108
communiqués de presse (CP). La plupart ont porté sur des opérations de nature financière,
organisationnelle et stratégique.
Les années 2012-2013 ont été marquées par la publication des CP qui portent sur la
convocation des actionnaires aux assemblées générales et des commentaires sur les résultats.
Notons aussi que durant cette période le marché financier a connu la publication de 11 CP
après une demande du CDVM. Cependant, l’année 2014 a connu la publication de 428 CP,
dans lesquels cinq émetteurs ont publié des alertes sur les résultats, 47 % des CP ont pour
objet la diffusion des commentaires sur les résultats, 44 % concernent les AG et 4 % portent
sur les résultats des opérations de nature financière.
Guimard (2007) constate que : « la communication financière est l’un des reflets de la
culture de l’entreprise dans la mesure où elle dépasse les seules données objectives
obligatoires en choisissant de mettre en avant certains thèmes plutôt que d’autres »1. La
politique de communication volontaire permet de changer la perception de la firme par les
actionnaires (Lev, 1992). Cependant, (Guyot T, 2010) constate que « la communication
volontaire est perçue par les chercheurs comme une partie de la culture de la société et
comme un processus complexe de transmission de données importantes au marché »2.
Dumontier et Raffournier (1998) ont constaté que plusieurs sociétés dépassent volontairement
la communication financière obligatoire vers une communication financière volontaire afin
d’accroître leur transparence et ainsi diminuer lescoûts d’agence et les coûts politiques. Donc,
1
REF
2
REF
9
l’objectif d’une communication volontaire est alors d’assurer un niveau élevé d’information
sur les performances non financières (Guyot T, 2010).
Sur le plan international, plusieurs études qui portent sur la communication financière
volontaire ont été effectuées. Ces études sont axées essentiellement sur les sites web et sur le
contenu des communiqués de presse. Pour la communication financière volontaire au Maroc,
la revue des textes publiés par l’autorité du marché nous permet de constater que la loi
encourage surtout la publication des données financières ainsi que les données non
financières, mais nous notons malheureusement qu’il y a un nombre limité des études
empiriques qui traitent de ce sujet. En outre, notons que nous avons trouvé seulement deux
établissements qui traitent la communication financière volontaire au Maroc : le premier c’est
le CDVM dans ses rapports annuels qui portent sur l’état des lieux des pratiques de CF au
Maroc ; le second est l’Institut Marocain des Administrateurs (IMA).
Pour informer le public sur les nouveaux résultats, les sociétés disposent de plusieurs
supports, parmi eux, nous trouvons les réunions avec les analystes financiers. Il s’agit d’une
rencontre facultative et n’est pas encadrée par une loi au Maroc, mais l’autorité boursière
recommande ce support afin de donner des signes positifs aux spécialistes. Et pour encourager
les entreprises à utiliser les réunions avec les spécialistes comme support de communication,
le CDVM présente annuellement une liste des sociétés qui ont suivi cette recommandation.
Bilan de cette action, durant l’année 2010, 34% ont organisé des réunions de
présentation de leurs résultats au profit des analystes financiers et journalistes économiques et
financiers, contre 36% en 2011. En 2012, 40% des sociétés ont présenté leurs résultats sous
forme de conférences de presse contre 31% en 2013. Pour les années 2014 et 2015, l’autorité
10
du marché n’a pas affiché des chiffres sur les réunions d’analystes ce qui représente un signe
négatif pour les opérateurs du marché.
A partir de ces données, nous constatons que le taux des émetteurs qui diffusent leurs
résultats à travers les réunions avec les spécialistes reste très faible malgré les
recommandations de l’autorité du marché.
A notre connaissance, il n’y a pas de chiffre sur l’utilisation de l’internet par les
investisseurs marocains, et les études empiriques qui portent sur l’utilisation des sites Web par
les sociétés cotées sont très rares. Ceci s’explique par les données du CDVM qui, en 2011,
montrent que le nombre d’émetteurs qui ne disposent pas de site web s’élève à 15%, et 56%
des émetteurs ont un site Web comprenant une rubrique information financière mise à jour,
20% des émetteurs n’ont pas de rubrique information financière. En 2012, 17 émetteurs ne
disposent pas de site Web, 24 sociétés ont des sites Web sans rubrique financière, 26
émetteurs disposent au niveau de leur site Web d’une rubrique financière, mais l’information
contenue n’est pas mise à jour.
1
J.Y.LEGER, La communication financière, REF, 2008, p. XXX
2
Debreceny, R., Gray G., Rahman, A. REF 2002, p.
3
Craven, B; Marston, C. (1999).REF
4
Gowthorpe et Amat (1999)
5
Pervan, I. (2005)
6
Pirchegger et Wagenhofer, (1999)
7
Xiao, J; Yang, H; Chow, C. (2004)
8
Hanifa, M.H; Ab. Rashid, H. (2005)
11
Si toutefois, le CDVM n’a pas affiché des données sur les pratiques de CF sur les sites pour
les années 2014 et 2015, l’Institut Marocain des Administrateurs (IMA) a publié en 2015 une
étude intitulée « transparence et diffusion de l’information non financière par les sociétés
cotées dans la BVC » dans laquelle il présente les données suivantes sur l’utilisation des sites
Web :
Source : IMA
A partir de ces données, nous constatons que l’année 2014 a connu une augmentation
significative du nombre des sociétés cotées qui utilisent les sites Web pour publier leurs
informations par rapport à l’année 2011, mais ces résultats restent encore insuffisants car il
existe 24% des sociétés qui n’utilisent pas ce support de communication.
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Conclusion
En définitive, nous ne pouvons pas ignorer que les pratiques de la communication
financière au Maroc ont connu une forte émergence durant les dernières années. Ceci
s’explique par les mutations affectant le cadre juridique de ladite communication, par les
exigences informationnelles de la communauté financière, et aussi par la volonté exprimée par
les sociétés d’attirer un actionnariat stable et fidèle afin d’assurer un financement durable.
Cette situation n’implique pas la négligence des anomalies détectées en matière des pratiques
de la communication financière au Maroc. Ces insuffisances concernent à la fois la CF
obligatoire et volontaire.
- le nombre limité des sociétés qui font des réunions régulières avec les spécialistes ;
- l’existence des sociétés qui n’ont pas un site Web malgré son importance ;
- la langue française est la plus utilisée dans la rédaction des rapports. Ce constat
représente une barrière à l’entrée pour l’investisseur anglo-saxon ;
- l’absence des informations suffisantes sur l’actif immatériel et sur la responsabilité
sociétale des entreprises ;
- de même que plusieurs sociétés ne présentent pas des informations dans le cas d’une
contreperformance dans le temps convenable.
D’après ces résultats, nous constatons que les sociétés cotées dans la bourse de
Casablanca ne sont pas encore arrivées à une maturité communicationnelle, ce qui nécessite
un effort considérable par l’autorité du marché et par lesdites sociétés afin de présenter une
communication financière de qualité et aider les investisseurs à mieux évaluer les actifs
financiers. À la lumière de ces résultats, une question importante se pose : quels sont les
13
facteurs explicatifs du comportement communicationnel des sociétés cotées dans la bourse de
Casablanca ?
Références bibliographie :
1. Ouvrages :
- BRUIN de R., Communication financière : image et marketing de l’entreprise, Lieu,
Editions Liaisons, 1999.
- GUYOT M., Communication financière volontaire des sociétés françaises sur l’actif
immatériel et sa perception par le marché, Lieu, Edition XXX, 2010.
- LEGER, J-Y., La communication financière, Paris, édition Dunod, 2010.
2. Articles :
- CHEKKAR, R. (2007). L’émergence de la communication financière dans les sociétés
françaises cotées : Contribution à l’analyse de la relation entre l’entreprise et ses investisseurs,
le cas saint-gobain. Doctorat en sciences de gestion, Orléans : Université d’Orléans.
- CRAVEN B.; MARSTON C. (1999). “Financial Reporting on The Internet by Leading UK
Companies”. European Accounting Review. Volume 2. pp. 321-333.
- DEBRECENY R.; GRAY G; RAHMAN A. (2002). “The Determinants of Internet Financial
Reporting”. Journal of Accounting and Public Policy. Volume 21. pp. 371-394.
- DUMONTIER, P. & RAFFOURNIER B. (1998). “Why firms comply voluntarily with IAS :
anempirical analysis with swiss data”, Journal of International Financial Management
andAcconting, vol 9, no 3: 216-245.
- Gowthorpe, C; Amat, O. (1999). External Reporting of Accounting and Financial
Information via the Internet in Spain. European Accounting Review. Volume 2. pp. 365-371.
- HANIFA, M.H; Ab. Rashid, H. (2005). “The Determinants of Voluntary Disclosures in
Malaysia : The Case of Internet Financial reporting”. UNITAR E-Journal. Volume 2. No.1.
pp. 22-42.
- LEV B. & PENMAN S.H. (1990). “Voluntary forecast disclosure, nondisclosure and
stockprices”, Journal of Accounting Research, vol 28 : 49-76.
- LYMER A., DEBRECENY R., Gray G. L. et RAHMAN A. (1999). “Business Reporting on
the Internet”. IASC Research Study.
- PERVAN I., (2005). “Financial Reporting on The Internet and the Practice of Croatian Joint
Stock Companies Quoted on The Stock Exchanges”. Financial Theory and Practice. Volume
29. N°. 2. pp. 159-174.
- PIRCHEGGER B. ; WAGENHOFER A. (1999). “Financial Reporting on The Internet: A
Survey of The Homepages of Austrian Companies”. European Accounting Review. Volume
2. pp. 383-395.
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3. Textes législatifs :
- Dahir portant loi n° 1-93-212 du 4 rebia ii 1414 (21 septembre 1993) relatif au conseil
déontologique des valeurs mobilières et aux informations exigées des personnes morales
faisant appel public à l’épargne (Modifié et complété par les lois 23-01, 36-05 44-06).
- La circulaire du CDVM. Version Janvier 2012. Modifiée le 08 avril 2013. Modifiée le 1er
octobre 2013. Modifiée le 1er octobre 2014.
- Dahir n° 1-96-124 du 4 rabii II 1417 (30 août 1996) portant promulgation de la loi n°17-95
relative aux sociétés anonymes (modifiée et complétée par les lois 81-99, 23-01, 20-05, 78-
12).
- Dahir n°1-13-21 du 1er joumada I 1434 (13 mars 2013) portant promulgation de la loi n°43-
12 relative à l’Autorité marocaine du marché des capitaux.
- Dahir n°1-12-55 du 14 safar 1434 (28 décembre 2012) portant promulgation de la loi n° 44-
12 relative à l’appel public à l’épargne et aux informations exigées des personnes morales et
organismes faisant appel public à l’épargne.
4. Rapports :
- Pratiques de la communication financière des émetteurs, Etats des lieux CDVM, 2010-2011-
2012-2013-2014-2015.
- Transparence et diffusion de l’information non financière des sociétés cotées, IMA, 2015.
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