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INFIRMIERS
Filière : IDE Niveau : III Durée 10 heures
Enseignant : EYENGA ATONGO’O Louis Arnaud
INTRODUCTION
L‘Unité de Soins est une unité de Production. C’est à son niveau que sont concrétisées les
Missions de l’établissement et que se génèrent les Dépenses et les Recettes. A cet effet,
l’unité de soins constitue un lieu stratégique au sein de l’établissement. Par conséquent, les
autres centres d’activités lui servent d’Appui et de Support.
L’unité de soins est une entité intégrative de l’activité infirmière et soignante auprès des
patients, qui est à la fois le champs clos de la fonction de soins orienté selon une division de
travail coordonné par l’infirmier chef et l’espace ouvert à toute les interfaces. L’unité de soins
est une plaque tournante essentielle de l’hôpital. La qualité d’organisation de l’unité de soins a
une influence sur la qualité des soins donnés.
L’unité de soins qui occupe une place privilégiée dans l’entreprise hospitalière; doit être
envisagée sous un angle nouveau parce qu’ elle est au service de son client externe c’est à-
dire le patient hospitalisé et ce 24 heures sur 24 ; elle est une plaque tournante en interaction
avec de nombreux services; pour lesquels les relations sont de clients à fournisseurs ; la
direction de l’unité de soins est envisagée d’une manière plus autonome.( l’infirmière chef a
la responsabilité de planifier; d’organiser; de diriger et de contrôler la qualité des soins
dispensés).
I- CIRCONSTANCE DE LA GENESE QUALITE
Auguste compte disait : « on ne connait bien une science que lorsqu’on connaît son histoire. »
L’histoire de la qualité remonte il y’a plus de 40siècles dans le royaume de Babylone.
Hammourabi, Roi de Babylone (1792-1750 avant JC) fit graver un code de 300 articles dans
une stèle faite d’un énorme bloc de diorite qui traite entre autres des droits et devoirs des
artisans et qui fait explicitement référence à l'obligation de suivre des normes de qualité en
matière de construction, ceci afin d’en assurer la responsabilité en cas de défaillance. Elle
s’inscrit dans l’histoire du management de l’entreprise. Notons que l’artisanat est la première
période de l'industrie. Elle couvre l'histoire de l'homme des confins de la préhistoire jusqu'aux
prémices de la révolution industrielle. Cette forme de rapport producteur/acheteur est très
simple. Le fournisseur du produit, qui est l'artisan, est en contact direct avec son client.
Comme chaque stade de la production se fait sur un même site et par une même personne,
celui-ci gère et contrôle ses sources d'approvisionnement et ses méthodes de travail.
La qualité est ainsi liée à la dextérité de l'artisan, au choix des matières premières et au prix de
vente du produit fini, le tout concernant une faible quantité. C’est dire que vers la fin du
XVIIème siècle, l’offre restait supérieure à la demande et tout se vendais y compris les
produits de mauvaises qualités. La qualité ici se rapportait donc au prix d’achat c’est-à-dire
que plus un produit ne coutait cher plus il était de bonne qualité. La révolution industrielle et
l’émergence de la consommation de masse a introduit la notion de concurrence entre les
entreprises plus ou moins marquée au regard de l’étendu du marché (loi de l’offre et de la
demande). Ainsi, pour être compétitive l’entreprise a très vite été soucieuse d’une
organisation rationnelle du travail avec la mise en œuvre de procédé de fabrication efficace et
rentable afin d’accroître sa valeur ajoutée.
La notion de responsabilité médicale (article 218) prévoyait que : « si un médecin opère un
homme pour blessure grave avec une lancette de bronze et cause la mort de l’homme ou s’il
ouvre un abcès à l’œil d’un homme avec une lancette de bronze et détruit l’œil de l’homme, il
aura les doigts coupés ». De même, l’article 233 introduit la notion de maîtrise de la qualité en
production : « Si un maçon a construit une maison pour quelqu’un mais n’a pas exécuté son
travail suivant les normes et si un mur est penché, ce maçon, à ses frais, renforcera le mur ».
Au XVème siècle avant J.-C., les Égyptiens pratiquaient le contrôle du travail des tailleurs de
pierre par des inspecteurs indépendants.
Au Moyen Âge, Le Livre des métiers d’Étienne Boileau (publié entre 1258 et 1268) dressait
les « cahiers des charges » des principaux métiers de l’époque.
Jean-Baptiste Colbert (1619-1683), secrétaire d’État de Louis XIV, fit une déclaration le 3
août 1664 qui reste d’actualité : « Si nos fabriques imposent, à force de soin, la qualité
supérieure de nos produits, les étrangers trouveront avantage à se fournir en France et leur
argent affluera dans les caisses du royaume. »
Au XXème siècle, c’est l’ère industrielle, les communications se développent, la demande
s’accroît, il faut produire plus et plus vite, la main d’œuvre est nombreuse mais peu formée,
les machines sont peu performantes, les coûts de production sont élevés. C’est alors que F.
TAYLOR (1856- 1915) met en place dans les entreprises l’organisation scientifique du travail
ce qui entraine la hausse de la productivité mais en même temps, la qualité des produits est en
baisse à cause de l’absence de contrôle qui engendre un grand nombre d’incidents lors de leur
utilisation.
En 1900, les actions correctives sont mises sur pied ce qui provoque l’accroissement des
contrôles par la création de corps de contrôleurs et un contrôle à 100 %. C’est la naissance du
contrôle Qualité. Hélas, ce contrôle réalisé dans un premier temps exclusivement en fin de
fabrication laisse apparaître une part importante de rejets de produits finis.
L’Amélioration des méthodes de contrôles par SHEWART (1922) donne naissance à la
Maîtrise Statistiques des Procédés (MSP) avec l’introduction de la méthode des cartes de
contrôle particulièrement bien adaptée à un usage dans les ateliers grâce à une exploitation
ingénieuse et élégante des représentations graphiques, qui permet de limiter le recours à la
théorie mathématique. La qualité des produits étant définie par un ensemble de grandeurs
physiques mesurables, supposées suivre des distributions statistiques, la carte de contrôle
fournit, par une procédure en définitive assez simple, une représentation visuelle de
l’évolution des paramètres de la distribution (moyenne et dispersion), le développement de la
notion de niveau de qualité acceptable avec comme effet la hausse de la qualité des produits,
mais la quantité de rebuts demeure élevée.
A la 2ème moitié du XXème siècle l’ouverture des marchés aux produits et aux services, la
croissance des moyens de communication et d’échange, la nécessité de résoudre des
problèmes de plus en plus complexes contraignent l’homme à intégrer une démarche qualité
au développement des produits ou services qu’il conçoit.
L’évolution du concept de la qualité est marquée par trois périodes :
a) L’âge du tri (des années 40 aux années 60):
L’offre est inférieure à la demande : Il faut produire mais les produits sont contrôlés, les bons
sont acceptés et les mauvais rejetés. Le souci majeur des entreprises est d’augmenter leur
capacité de production pour répondre à la demande du marché. La disponibilité du produit
prime sur la performance attendue.
Néanmoins, la guerre a joué un rôle accélérateur dans le développement de la qualité. En
effet, l’armée américaine pendant son effort de guerre des années 40 a donné une impulsion
au contrôle statistique de réception ou d’inspection finale. Des procédures basées sur L’AQL :
Average Quality Limit (NQA : niveau de qualité Acceptable) ont vu le jour pour représenter
le pourcentage d’éléments défectueux.
Certaines entreprises ont introduit des méthodes plus performantes pour contrôler leurs
produits : les plans d’échantillonnage qui permettaient d’estimer la qualité des lots produits à
partir d’un échantillon représentatif du produit.
b) L'âge du contrôle en cours de la fabrication sur certaines caractéristiques du produit afin
de permettre d'adopter des actions correctives dès que des écarts par rapport aux objectifs sont
décelés.
c) L’âge du contrôle (des années 60 aux années 80) :
L’offre et la demande s’équilibrent : Il faut vendre ; des contrôles sont effectués en cours de
fabrication sur certaines caractéristiques du produit afin de permettre d’adopter des actions
correctives dès que des écarts par rapport aux objectifs sont décelés. Cette période est
caractérisée par la recherche de la maîtrise de la qualité. La croissance des capacités de
production devient supérieure à celle de la demande des marchés intérieurs.
Une réelle concurrence s’instaure alors entre les entreprises pour réduire les coûts de
production car accroître la production sans maîtrise des coûts devient suicidaire. De plus, les
consommateurs deviennent plus exigeant au niveau de la performance du produit, des délais
et des prix. La conjoncture de cette période est favorable au développement des approches
qualité. Dans un premier temps, les techniques statistiques appliquées aux produits sont
transposées aux processus de fabrication. Par la suite, la majorité des méthodes statistiques
utilisées aujourd’hui fussent introduites, telles que les cartes de contrôle pour les processus,
les études de défaillance … Cette période correspond à celle de la recherche de la maîtrise des
processus de production.
Depuis la fin des années 1990, les entreprises américaines doivent publier dans les rapports
annuels leur politique de démarche qualité notamment sur les volets sociétaux et
environnementaux.
En France, la démarche qualité prend un essor dans l’industrie, dans les années 1990. La
démarche est mise en œuvre à la faveur des premières normes de l’ISO 9000, 9001, 9002,
9003, 9004 (version 1987, 1994). Cependant, la démarche a d’une part, été très vite perçue
comme étant trop procédurière par les niveaux opérationnels et d’autre part, l'implication
indispensable de la direction a été négligée. L'ISO 9001 version 2000 a ainsi
considérablement simplifié la démarche, par ailleurs, elle souligne enfin l'importance de
l'implication managériale dans le pilotage de la démarche qualité et la maîtrise des processus.
Enfin, elle élargit l'application de la norme à la production de services
La démarche qualité s’oriente désormais vers le concept de Qualité totale (TQM : Total
Quality Management), qui fait intervenir les notions de vision et de stratégie managériale, de
système (maîtrise de l’organisation et des processus), de performance et de respect des
dimensions humaines et sociales. Dans la mise en œuvre de la qualité totale les acteurs sont :
les clients ou les usagers, les fournisseurs, le management, le personnel (salariés ou agents) et
la société en général (respect de la législation et du développement durable). La Qualité totale
se situerait donc au point de rencontre des besoins et des exigences de l'ensemble de ces
acteurs.
La figure ci-dessous illustre bien cette évolution
Tableau récapitulatif des œuvres et dates des acteurs ayant influencé positivement la qualité
➢ Les personnages célèbres et leurs contributions
a) Philip CROSBY :
▪ Né en 1923 en Virginie
▪ Mise en place de la Méthode « O Défaut »
▪ Création en 1979 du « Philip Crosby associates »
▪ Mise en œuvre de 2 outils d’accompagnement de la conquête de la qualité :
▪ La mesure de la Qualité
▪ La grille de maturité du management
b) Edwards DEMING :
▪ Né le 14 octobre en 1900 en Sioux décédé en 20 décembre 1993
▪ Expert en échantillonnage
▪ Création de la roue de l’amélioration de la qualité :
Plan : Planifier Check : Contrôler
Do : Faire Act : Améliorer
▪ Enseignement de ses méthodes aux groupes américains
c) Kaorou ISHIKAWA :
▪ Né en 1915 à Tokyo
▪ Ingénieur chimiste
▪ Membre du groupe de recherche sur le contrôle de la qualité de la JUSE
▪ Fondateur du diagramme cause-effet
▪ Rédaction de diverses revues sur le contrôle de la qualité d) Walter A. SHEWART
▪ Né en 1891 à New-Canton
▪ Ingénieur-statisticien
▪ Amélioration de la qualité et de la productivité en perfectionnant sa théorie de la
carte de contrôle
▪ Président de l’Institut de Statistiques Mathématiques et de l’Association Américaine
de Statistiques
e) Joseph JURAN :
▪ Né en 1904 en Transyldavie et décédé 25 février 2008 aux USA
▪ Ingénieur chimiste
▪ S’intéresse à l’application de la méthodologie statistique à la maîtrise de la qualité
des produits manufacturés développée par W. Shewhart
▪ Crée le « Juran Institute » en collaboration avec l’Université de Harvard
Consultant et conférencier international
Mise en œuvre :
Appliquer avec rigueur le cycle PDCA est une des conditions nécessaires du succès. Il
empêche de s’arrêter après la phase D. Les phases C et A sont l’essence même de
l’amélioration continue (vérifier que l’on a obtenu les résultats attendus, corriger d’éventuels
écarts, capitaliser sur ce que l’on a appris pour continuer à améliorer)
À chaque étape, la roue avance d’un quart de tour. Cette avancée représente l’action de
progresser.
Une cale est représentée sous la roue de Deming pour symboliser que les étapes PDCA
s’enchaînent toujours dans cet ordre. Si chaque étape est bien respectée et conduite, ce
déroulement empêche la roue de redescendre grâce au retour d’expériences, à un système
d’audits réguliers ou à un système documentaire qui capitalise les bonnes pratiques et les
décisions.
Que l’organisation soit lourde ou non, le PDCA est toujours applicable. La roue tourne
simplement plus ou moins vite.
➢ Les structures
➢ Les procédures
1. Les structures
La qualité structurelle, disponibilité en médicaments, processus de soins, relation
soignant/soigné, qualité perçue, satisfaction des usagers. Selon Bruno Galland, Denis
Fontaine et Katia Rasidy, les déterminants de l'utilisation des services au niveau du centre de
santé peuvent se classer en deux groupes :
Les déterminants principaux du fonctionnement des services : Il ne s'agit pas ici d'évaluer de
façon complète le fonctionnement des services et la qualité des soins, mais de prendre en
compte l'influence de l'implantation géographique et du fonctionnement des services (bon ou
mauvais) sur le financement et la gestion du centre de santé.
Les déterminants indirects du fonctionnement des services : Il s'agit d'éléments qui relèvent de
l'environnement politico légal du centre de santé, pouvant influencer son bon fonctionnement.
Selon Mariko (Mariko Mamadou, Accès aux soins de qualité : résultats d'une étude empirique
menée à Bamako (Mali), In le financement de la santé dans les pays d'Afrique et d'Asie à
faible revenu, Edition Karthala, Paris, 2003), les déterminants de l'utilisation des services des
structures de premier niveau, identifiés à travers l'analyse de la littérature, peuvent se classer
en trois grands groupes :
Les déterminants financiers :
Recouvrement des coûts, paiement direct des soins, niveau de revenu des ménages, prix et
coût des soins, coût du transport, coût d'opportunité de l'attente et du transport, couverture
maladie.
Les autres déterminants sont plus spécifiques et dépendants de l'environnement (accès
géographique, état de santé des patients), des caractéristiques des individus (âge, genre,
instruction) et des cultures et pratiques.
Les déterminants environnementaux :
En premier lieu, les facteurs environnementaux choisis regroupent à la fois la demande de
soins et l’offre de soins hospitaliers, ces deux aspects pouvant avoir un impact sur la
rentabilité économique. L’intensité de la demande de soins est prise en compte à la fois par le
degré d’urbanisation de la zone géographique dans laquelle se situe l’établissement de santé et
par la précarité de la patiente potentielle de l’établissement, approchée ici par la part de
beneficiaires de la Couverture maladie universelle complémentaire (CMU-C) dans le
département. Quant à l’offre hospitalière, elle est caractérisée par l’intensité concurrentielle
mesurée ici par le nombre d’établissements (ou de lits et places) situés dans un rayon de 50
km.
Les déterminants liés aux facteurs de production :
Les indicateurs sur les facteurs de production des établissements de santé sont constitués
notamment d’informations sur le personnel, sur les capacités d’accueil, sur le salaire moyen
ainsi que de ratios de gestion relatifs aux taux d’encadrement, c’est-à-dire le nombre de
personnels calculé en Équivalent temps plein (ETP) par lit/place, ventilés en trois catégories :
les personnels médicaux, les personnels non-médicaux soignants (infirmières, aides soignants)
et, enfin, les personnels non-médicaux non-soignants (administratifs, techniques). Le salaire
moyen a été approché, à partir des données comptables, en rapportant la masse salariale sur
les ETP et en le ventilant, pour le secteur public, suivant le personnel médical et le personnel
non médical6. En rapprochant les capacités de court-séjour à l’activité de court-séjour, on
obtient ensuite le taux d’occupation des lits, qui est calculé uniquement sur l’hospitalisation
complète en MCO. Il se définit comme le rapport entre le nombre de journées réalisées et le
nombre de «journées exploitables» c’est-à-dire le nombre de lits potentiellement disponibles
sur un an pour chaque journée de l’exercice. C’est en quelque sorte une approximation de
l’optimisation des ressources de l’établissement. Deux caractéristiques spécifiques ont
également été introduites dans nos analyses. D’une part, les missions d’enseignement et de
recherche financées par les MIG sont prises en compte en intégrant une variable dichotomique
prenant la valeur 1 si l’établissement est un CHU et 0 dans le cas contraire. D’autre part, les
missions de permanence des soins, financées sous la forme de dotations et de forfaits annuels,
sont approchées par l’existence d’un service d’urgences. Enfin, de manière à mesurer l’impact
éventuel de la qualité de la prise en charge sur la performance économique, l’indice composite
des activités de lutte contre les infections nosocomiales (ICALIN) est également retenu. Cet
indice mesure les efforts consentis par l’établissement dans l’organisation, les moyens
accordés et les actions mises en place dans la lutte contre les infections nosocomiales. Il ne
mesure donc pas directement la qualité des soins fournis, mais plutôt les conditions dans
lesquelles ces soins s’effectuent.
Les déterminants liés à l’activité
Les principales variables d’activité qui ont été retenues dans l’analyse permettent de dresser
un éventail assez large du case-mix de l’établissement, en termes, notamment, de
spécialisation ou de diversification de l’activité et d’efficacité. Elles sont, pour la plupart,
issues du PMSI-MCO et se concentrent donc principalement sur ces trois disciplines
(médecine, chirurgie et obstétrique), même si l’établissement peut faire par ailleurs – dans un
moindre volume – du SSR ou de la psychiatrie. Ont ainsi été retenues la part des différentes
disciplines (médecine, chirurgie et obstétrique) dans l’activité totale de court-séjour, mesurée
en nombre de séjours, et la proportion de « cas lourds » sur l’ensemble des séjours.
2. Procédures
Dans le cadre d’une démarche qualité, on entend par procédure la manière spécifique
d’accomplir une activité. (Norme ISO 9000, 2000). Elle décrit la manière d’accomplir
l’action.
Les différentes procédures dans un milieu hospitalier sont :
✓ La désinfection ✓ La stérilisation
➢ Appliquer suffisamment de savon pour recouvrir toutes les surfaces des mains et
frictionner
➢ Frottez les mains 15 à 20 secondes : doigts, les paumes, les dessus des mains et poignets ;
➢ Entrelacez vos mains pour nettoyer la zone entre les doigts
❖ Catégorie de la satisfaction :
On peut regrouper les catégories de satisfaction en cinq.