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UE10 revêtement cutané

Le 07/05/19 à 16h
Pr. BOUAZIZ
RT / RF : HEMET Alexandra COLLIN Coline

UE10 – ED1 : PSORIASIS – URTICAIRE –


PUPRURA ET ULCERATIONS

Concernant les TD :
- Le prof n’a pas pu nous remettre la diapo car ils ont reçu pour consigne stricte de ne pas nous les donner,
comme chaque année, les photos ne sont donc pas toujours d’une qualité optimale 
- Aucun changement de groupe possible
- Pour un meilleur apprentissage n’hésitez pas à aller voir les lésions en couleur sur le Weebly, ou même à
aller faire un tour sur Google images !
- Les QRM ont été remis à la fin de la ronéo
- La fiche est complète, sauf image/QRM

Concernant les examens :


- La diapo du prof indique que « le contrôle continu du 24/05 porte sur les diaporamas des cours
magistraux »
- Apprendre les objectifs énumérés dans les 3 scénarios
- Les questions seront de type rédactionnel court et de nombreux QRM (un peu comme dans les vignettes
présentées en ED)
- Des schémas à compléter peuvent tomber. D’après le prof, ils ont déjà demandé à légender des schémas
(Ex : poil / couche de l’épiderme) ou d’identifier des lésions à partir de photos (comme celles présentes
dans l’ED). Il nous conseille de bien maîtriser l’aspect visuel des lésions, et pense qu’ils seront plus
susceptibles de mettre des photos présentées en ED plutôt que des photos que nous n’aurions jamais vu
(mais n’oublions pas que c’est P7  )

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Ronéo 13 – UE10 – ED1
SOMMAIRE

I- INTRODUCTION : DEFINITIONS

II- LE PSORIASIS

A. Définition
B. Physiopathologie
C. Etiologies
D. Description

III- L’URTICAIRE

A. Les types d’urticaire


B. Mécanismes
C. Test

IV- LE PRURIT

V- LE PURPURA
A. Types de purpura
B. Purpura fulminans
C. Purpura rhumatoïde

VI- L’ULCERATION

VII- AUTRES PATHOLOGIES

VIII- QRM

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I- DEFINITIONS

- Macule : Lésion cutanée plate, visible mais non palpable, de taille et de couleur variables.
- Papule : Lésion cutanée infiltrée, en relief
- Erythème : mécanisme de rougeur qui disparaît à la vitropression
- Plaques : papules de grande taille >1cm
- Squame : perte en fin lambeaux de la couche cornée. Physiologique pour le renouvellement de la peau.
- Onycholyse : lyse de l’ongle
- Leuconychie : décoloration blanche ou jaunâtre de l’ongle
- Phanères : ongles – poils – cheveux

- Intertrigo : Dermatite des plis


 Microbiens ; Champignons filamenteux (Dermatophytes) – Levures (Candida Albican)
 Inflammatoires : Psoriasis – Eczéma

- Perionyxis = atteinte du pourtour unguéal

II- CAS 1 : LE PSORIASIS


Enoncé : Un homme de 39 ans consulte pour une éruption apparue il y a 2 mois
et qui s’étend. Elle avait débuté sous forme de lésions érythémateuses en
gouttes ainsi que l’avait qualifié le 1er médecin. L’extension progressive aux
coudes, genoux, région lombaire, sous forme de plaques erythémato-
squameuses justifie cette 2ème consultation. A l’examen clinique, le cuir chevelu
est atteint. Il existe depuis peu un intertrigo du pli inter fessier, une onycholyse
de quelques ongles sans perionyxis. Les plantes des pieds sont épaissies avec
quelques fissures. Mr Plaque s’étonne que des lésions se soient disposées le
long de sa cicatrice d’appendicectomie. Les muqueuses sont respectées. On
s’interroge sur le mécanisme de cette desquamation excessive

OBJECTIFS DU DOSSIER : (Ils sont sur la feuille distribuée en TD mais je vous les remets au cas où)
- Examen dermatologique : anamnèse – histoire de l’éruption – topographie – sémiologie (Erythème/squame)
- Sémiologie : érythème – phénomène de Koebner – Squame
- Principe de la kératinisation : rôle des kératinocytes (Cf. cours)
- Structure de l’épiderme et de l’ongle (Cf. cours)

A. Définition
Le psoriasis est une maladie inflammatoire de la peau qui provoque des plaques erythémato-squameuses et qui
atteint principalement :

 Les coudes
 Les genoux
 Le cuir chevelu et les conduits auditifs externes
 Le sacrum
 L’ombilic
Il peut également se présenter sous forme diffuse et atteindre l’ensemble du corps

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B. Physiopathologie
Le psoriasis est caractérisé par une prolifération accrue et anormale des kératinocytes épidermiques.
Les principales cellules effectrices sont les lymphocytes, mais également les cellules dendritiques (CPA). Les
lymphocytes impliqués sont essentiellement des CD4 ; les TH1 (synthétisent de l’IFN-γ) et TH17 (synthétisent de
l’IL-17)
Sous l’influence d’un stimulus, il va y avoir une activation des lymphocytes et des CPA qui vont interagir et
sécréter des cytokines et entraîner plusieurs réactions contre l’épiderme :
 La prolifération et la différenciation anormale des kératinocytes
 L’angiogenèse et la dilatation des vaisseaux, d’origine inflammatoire
Un cercle vicieux continu d’activation des cellules immunitaires se met alors en place et la maladie se chronicise.
- Le phénomène de Koebner : Apparition ou aggravation d’une dermatose (Ex : plaque de psoriasis) au
frottement de la peau. Le psoriasis est la maladie dans laquelle le phénomène de Koebner est le plus fréquent.

C. Etiologies
Le psoriasis est une maladie multifactorielle dont les étiologies sont multiples et mal connues :
- Un polymorphisme génétique des lymphocytes

- Des facteurs environnementaux :


 Les infections et les auto-antigènes (mal connus)
 Les facteurs mécaniques : notamment le phénomène de Koebner
 Les facteurs psychologiques : le stress
 L’hygiène de vie : Alcool et tabac essentiellement
 Certains médicaments

D. Description du psoriasis
Lorsque l’on réalise une biopsie cutanée d’une lésion de psoriasis on retrouve :

 Une hyperkératose : épaississement de la cornée


 Une hyper acanthose : épaississement de l’épiderme
 Une hyper papillomatose : Allongement des papilles dermiques
 Un infiltrat lymphocytaire
 Le recrutement de PNN dans la cornée
 Des capillaires dilatés responsables de l’érythème

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- Le psoriasis peut également se manifester par une prolifération kératinocytaire de l’ongle :
 Dépression ponctuée en dé à coudre
 Onycholyse latéro-distale
 Hyperkératose sous unguéale

- On peut aussi retrouver un rhumatisme articulaire psoriasique


dans lequel l’inflammation se situe dans la synoviale articulaire,
ainsi que dans les zones d’attache entre le tendon et l’os ; les
enthèses.

III- L’URTICAIRE
L’urticaire correspond à une éruption cutanée érythémateuse transitoire
maculo-papuleuse à l’origine d’un prurit intense. La réaction peut aller jusqu’au
choc anaphylactique.
A. Les types d’urticaire

 Alimentaire : papules œdémateuses par intolérance alimentaire


 Médicamenteux : à la pénicilline par exemple
 Physique : piqûres d’insecte comme les guêpes
 Contact : frottement – chaud – froid – orties

B. Mécanisme
Lorsque la peau entre en contact avec une substance allergène, celui-ci est reconnu très rapidement par les IgE
intradermiques. Les IgE viennent se lier à leurs récepteurs mastocytaires et permettent leur activation. Les
mastocytes dégranulent et libèrent alors de l’histamine.
L’histamine est une cytokine qui entraîne une vasodilatation à l’origine de l’œdème et également responsable du
prurit. Lorsque la libération d’histamine est trop importante et soudaine, tous les vaisseaux se dilatent et entraînent
un choc anaphylactique.
C. Test
Lorsque l’on cherche à déterminer si un stimulus (aliment/médicament/substance) est à l’origine d’un urticaire, on
réalise une intradermo réaction ou prick test. On réalise l’injection dans le derme car les mastocytes sont situés
en profondeur.
Pour rechercher un eczéma de contact on réalise un test au niveau de l’épiderme via des patch test.

IV- LE PRURIT (très peu développé)


Le prurit est défini comme la sensation désagréable de démangeaisons.
V- LE PURPURA
Le purpura est une extravasion des globules rouges dans le derme qui
entraîne des pétéchies (hémorragies circonscrites). Il se manifeste par
un érythème violacé qui ne s’efface pas à la vitropression.
≠ Télangiectasies : Fines dilatations des capillaires sous forme
d’arborescence rouge/violacée sur la peau

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A. Types de purpura

 Thrombopéniques / Hématologiques  Vasculaire


- vascularite : inflammation auto-immune de la paroi des
- Le sang est hypocoagulé (trop fluide) en
vaisseaux par les PNN ou les lymphocytes.
raison de la thrombopénie
- Cause fréquente de purpura par extravasion du sang lors
que le vaisseau se rompt
- Purpura maculeux : plan
- Purpura papuleux : infiltré

Pour prouver une vascularite on peut réaliser 2 examens :

 La biopsie cutanée : dans laquelle on retrouve un infiltrat inflammatoire péri-vasculaire avec leuco-
cytoclasie et nécrose de la paroi vasculaire
 La bandelette urinaire (BU) : Lorsque les vaisseaux du rein sont atteints, on retrouve une hématurie et une
protéinurie.

B. Le purpura fulminans
C’est un purpura nécrotique en carte de géographie à mécanisme mixte ;
vascularite + thrombopénie. Il est provoqué par une méningite.
URGENCE VITALE +++

C. Purpura rhumatoïde
C’est une vascularite que l’on retrouve principalement chez l’enfant avec atteinte articulaire. On retrouve 3 signes :
purpura + douleurs abdominales + arthrite. Les vaisseaux digestifs et de la synoviale articulaire sont atteints.

VI- L’ULCERATION
L’ulcération correspond à une perte de substance dermique. A ne pas confondre avec l’érosion qui est une perte
de substance épidermique.

Syphilis primaire Syphilis secondaire


- Chancre syphilitique - Exanthème
primaire roséoliforme
macule rose pâle
- Ulcération indolore et disséminée sur le
indurée du sillon tronc qui passe
balano-prépucial souvent inaperçu.

- Est très contagieuse - Papules cuivrées palmo-plantaires : signe


lorsque suintant typique
Il est important d’examiner la peau glabre (les plis – paumes – plantes), les phanères ainsi que les 5
muqueuses (conjonctive – nasale – buccale – anale – génitale)
 Exanthème roséoliforme : Exanthème rose pâle, très disséminé

 Exanthème morbilliforme : Un peu rouge, assez étendu mais avec des espaces de peau saine

 Exanthème scarlatiniforme : Le plus étendu, confluent et rouge vif

VII- AUTRES PATHOLOGIES


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Quelques diapos à la fin de l’ED qui décrivent très brièvement ces lésions

Pityriasis - Mycose superficielle bénigne, due à une levure


versicolore appelée Malassezia

- Mycose de la peau et des phanères dû à des


Dermatophytie champignons : les dermatophytes

- Bande pigmentée qui s'étend de la région


matricielle à la région distale de l'ongle, due à la
Mélanonychie production de pigment mélanique par les
mélanocytes matriciels

- Signe de Hutchinson Lorsqu’une mélanonychie s’accompagne d’une pigmentation du


repli sus unguéale  Suspicion de mélanome

- Grain de beauté ou tâche sur la peau dû à une


Nævus prolifération importante des mélanocytes

- halo-nævus est un nævus bénin spontanément


régressif

- Dermite caustique due au contact avec une


Dermite substance irritante

- Tâche cutanée rouge à violacée ne blanchissant


pas à la vitropression
Pétéchies
- Si elles sont maculeuses elles évoquent un
purpura

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VIII- QRM
CAS 1 : Un ado de 13 ans consulte pour cette éruption apparue depuis 48h qui s’efface à la vitropression.
- QRM 1 : De quel(s) type(s) d’éruption(s) s’agit-il ?
A. Erythème B. Erythème maculo-papuleux C. Purpura
D. Télangiectasies E. Angiomes
diffuses

 Réponse B  Erythème maculo-papuleux


L’angiome correspond à une prolifération vasculaire en lit de vin, qui s’efface à
la vitropression.

- QRM 2 : Que recherche-t-on en plus ?


A. Enanthème B. Notion de contage C. Syndrome grippal
D. La vaccination E. Prise médicamenteuse

 Réponse ABCDE
Les principales causes d’exanthème maculo-papuleux sont :
 La toxidermie
 Les viroses : notamment la rougeole / VIH / CMV / EBV. /!\ la varicelle et le zona donnent des vésicules.
Lorsque la cause est virale, on retrouve également un énanthème (= érythème des muqueuses), une notion de contage
et un syndrome grippal. On vérifie si les vaccins sont à jour, pour éliminer certains virus.

CAS 2 : Mr X ne dort plus depuis 2 nuits et vient vous montrer cette éruption pruriginieuse, fugace et variable en
intensité dans la journée. Elle s’efface à la vitropression. Lorsqu’elle débute, il s’agit de plaques ortiées qui confluent
ensuite.
- QRM 1 : Laquelle ou lesquelles de(s) lésion(s) élémentaire(s) identifiez-vous ?
A. Erythème B. Purpura C. Erythrodermie
D. Nodules E. Bulles

 Réponse A  érythème prurigineux


Erythrodermie : éruption erythémato-squameuse qui atteint >80% du
tégument.

- QRM 2 : Quel(s) signe(s) associé(s) faut-il rechercher ?


A. Erosion buccale B. Dermographisme C. Hypotension artérielle
D. Fièvre E. Angio-œdème

 Réponses BCDE
Toujours examiner les muqueuses, mais dans le cadre d’une éruption
évoquant un urticaire, il faut surtout vérifier que l’œdème n’atteint pas les
voies aériennes supérieures, provoque une hypotension qui évoquent un
choc anaphylactique. Une fièvre est possible dans ces éruptions géantes mais ne nous oriente pas.
Le dermographisme est à rechercher et peut aider au diagnostic. C’est une forme d’urticaire de contact qui
disparaît en quelques minutes.

- QRM 3 : Vous avez identifié une urticaire car l’éruption est fugace : Quelle est la cellule responsable ?
A. Langerhans B. LT mémoire C. Mastocyte D. Kératinocytes E. PNE

 Réponse C  Le mastocyte : cellule présente dans le derme qui renferme des granules contenant des
médiateurs dont le principal est l’histamine. C’est cette dégranulation qui est responsable de l’urticaire

- QRM 4 : Quels sont les mécanismes susceptibles d’être impliqué dans une urticaire en général ?
A. Histamino libération alimentaire B. Histamino libération médicamenteuse C. Mécanisme physique
D. Mécanisme immunologique médié E. Mécanisme de contact
par les IgE
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 Réponses ABCDE : Les mécanismes de la dégranulation peuvent agir
 Directement sur le mastocyte : médicament + aliments
 Indirectement : via des mécanismes immunologiques

- QRM 5 : Chez cet homme on soupçonne fortement une allergie alimentaire car l’épisode est survenu 2h après la
sortie d’un restaurant exotique. Lequel (lesquels) de ces examens est (sont) utile(s) pour le prouver ?
A. Biopsie cutanée B. Test épi cutanées C. Prick test
D. NFS E. Immunofluorescence

 Réponse C  prick test.


La NFS ne permet pas d’identifier le mécanisme. La biopsie cutanée est inutile devant un aspect typique.
L’immunofluorescence n’est utile que lorsque l’on veut mettre en évidence des anticorps dans la peau. Enfin, les
tests épi cutanés ou patch test, explorent l’hypersensibilité retardée.

CAS 3 : Emilie consulte pour ces lésions symétriques sur les deux jambes, infiltrées et qui ne s’effacent pas à la
vitropression. Elles sont apparues il y a 3 jours et son état général est bon.

- QRM 1 : Lequel (lesquels) de ces mécanismes est (sont) en cause ?


A. Fragilité capillaire B. Thrombopénie C. CIVD
D. Vascularite E. Insuffisance veineuse

 Réponse D  vascularite car le purpura est infiltré.


Pour rappel les purpuras hématologiques/thrombopéniques sont plans.
C’est également le cas des insuffisances veineuses et des fragilités
capillaires.

Le purpura par CIVD est plan à contour géographiques rapidement


nécrotique avec AEG.

- QRM 2 : Quel(s) examen(s) complémentaire(s) prouve(nt) ce


mécanisme ?
A. NFS plaquettes B. Bandelette urinaire C. Temps de
saignement
D. Biopsie cutanée Echo doppler vasculaire

 Réponse D  biopsie cutanée


Elle met en évidence l’infiltrat inflammatoire péri-vasculaire + leucocytoclasie + nécrose de la paroi vasculaire
Les autres examens peuvent être utiles pour compléter le bilan ; Une NFS normale élimine une cause hématologique.
La BU permet de vérifier l’absence d’atteinte rénale associée.

CAS 4 : Une jeune fille consulte pour ces lésions planes


apparues depuis 4 mois et qui s’étendent. Décrivez ces lésions :
 Macules achromiques qui sont dépourvues de
mélanine par destruction des mélanocytes.
Rappel 1 mélanocyte pour 20 kératinocytes dans la couche
basale de l’épiderme.
L’achromie correspond donc à l’absence de mélanocyte

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 Ici on est face à un vitiligo :
 Maladie auto-immune dans laquelle les lymphocytes LTCD8 détruisent les mélanocytes.

 L’éruption étant acquise à l’âge adulte, cela ne peut pas être un albinisme. Ici les mélanocytes ont
disparu par un mécanisme immunologique.

 Albinisme : déficit enzymatique de la Tyrosinase qui bloque la production de mélanine dès la


naissance. Cela se manifeste par une dépigmentation cutanéomuqueuse.

- QR : A quoi est liée la différence de couleur entre peau noire et peau blanche ?

 /!\ Ce n’est pas une différence en nombre de mélanocyte. (Piège classique !). Il s’agit plutôt d’une
différence en intensité de pigmentation mélanique

 Les personnes à peau noire produisent plus de mélanine et de meilleure qualité en termes de protection
aux UVs : l’eumélanine. Par ailleurs, dans ces peaux, le pigment mélanique est retrouvé tout le long de la
membrane basale et persiste jusqu’au stratum cornéum

 Les personnes à la peau très blanche, et aux cheveux roux ont tendance à produire plus de phéomélanine

 Cela explique pourquoi les personnes à peau noire ne font presque jamais de mélanome sauf au niveau
des paumes et des plantes.

Allez bon courage ❤

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