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La politique conjoncturelle.

La politique pro cyclique.

La politique contra cyclique.

 La politique économique conjoncturelle est une approche gouvernementale qui cherche à réguler l’activité économique à court terme à
court terme pour un raison est répondre aux flucturation
 Son objectif principal est d’assurer une croissance économique tout en évitant les déséquilibres tels que le chômage, l’inflation et les
déficits budgétaires,
 Tout simplement cette approche vise à stabiliser l’économie, répondant aux fluctuations conjoncturelles pour maintenir un équilibre
entre la demande et l’offre.
1- L’impact de la Politique Budgétaire orienté par les dépenses publiques et la fiscalité sur
la croissance économique.
L’introduction. , .

Chapitre I : contexte et définition. .

Section 1- La politique budgétaire expansionniste et son effet positif et négatif.
Section 2- La politique budgétaire contractive ’effet positif et négatif de la politique budgétaire sur
l’emploi et la croissance économique.
Section 3- Définition des concepts, les dépenses publiques et la fiscalité et comment peut-il mesurable.

Chapitre II : littérature théorique et empirique. .

Section 1- Les étude théorique sur la croissance économique(les factures endogènes et exogènes).
Section 2- études théorique sur la croissance, (l’école classique, néoclassique et l’école keynésienne).
Section 3- Trois études empiriques pour la politique budgétaire.

Conclusion. .

Introduction.

 La politique budgétaire, orientés par les dépenses publiques et la fiscalité, joue un rôle très un important dans la stimulation de la
croissance économique et la gestion de l’emploi.
 Fondamentalement, les dépenses publiques impliquent les recettes générées par les impôts et d’autres sources,
 Ces dépenses sont principalement orientées vers le gouvernement lui-même pour maintenir la stabilité et une croissance rapide de
l'économie.
 Aujourd’hui, l’impôt est devenu un facteur de plus rationalité dans le comportement des agents économiques, car il influence
directement les choix et les décisions pour leur investissement et consommation.
 C’est pour cela l’impôt le plus utilisé pour orienter l’économie dans le cadre de la politique économique par l’Etat.
 L’intervention de l’Etat dans l’économie par l’impôt est nécessaire pour éviter les crises économiques et pour stimuler les processus
de la croissance et la réduction de l’inégalité sociale.
 Le gouvernement dépense principalement dans différents domaines de l’économie, tels que la construction de routes, le
développement d'infrastructures, les investissements en capital, ainsi que les programmes de retraite, entre autres. etc.
 Notre problématique autour dans la question, comment ces mesures de la politique budgétaire impactent la création ou la
suppression de l’emploi ?

Chapitre 1 : contexte et définition.

Section1 : La Politique Budgétaire Expansionniste et son effet sur la croissance.

La politique budgétaire expansionniste.

 C’est une approche vise à stimuler la croissance économique en augmentant les dépenses publiques et/ou en réduisant les impôts.
 Cela encourage l'activité économique, ce qui a un impact direct sur la croissance et donc l'emploi, surtout pendant des périodes de
récession ou de faible croissance.

Les effets positifs sur la croissance et l’emploi.

 incluent une stimulation économique et une réduction du chômage.

 L'augmentation des dépenses gouvernementales ou la réduction des impôts, peut créer une demande accrue pour les biens et services,
favorisant la production et la création d'emplois.
 Si le gouvernement décide de réduire l’impôt, les ménages disposant des revenus plus élevé bénéficierait d’une augmentation de
pouvoir d’achat, ce qui va augmenter la consommation, et l’augmentation de production et plus de l’emploi.
 Et même chose pour l’augmentation des dépenses publiques, la construction des routes par le gouvernement va augmenter la demande
de travail, et plus des gens qui ont travaillé, plus des revenus, plus de pouvoir d’achat , plus de consommation, plus de demande, plus
de production, plus d’emploi.

Effet négatifs de la politique budgétaire expansionniste sur la croissance et l’emploi.

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 incluent l'inflation et un endettement public accru, c’est-à-dire un politique budgétaire très expansionniste ou l’effet que le
gouvernement augmenter leur dépense publique d’une manière significative ou une réduction important des impôts ou les deux, dans
une économie en période d’expansion pour stimuler l’emploi cela va causer une inflation dans l’économie, de plus un déficit
budgétaire accrue peut entrainer un endettement public élevé, qui finalement impacter négativement à long terme.
 C’est-à-dire que lorsque le gouvernement décide à construire par exemple les routes, le gouvernement va dépenser soit par leur recette
publique soit par l’endettement, tous les deux peuvent donner l’inflation dans l’économie par l’injection de la monnaie dans la
politique et surtout dans le cas de d’expansion et l’augmentation de l’endettement pour financier ces projets va entrainer une demande
accrue dans le marché obligataire ce qui va augmenter le taux d’intérêt.

Section2 : La Politique Budgétaire Contractive et son effet sur la croissance.

La politique budgétaire contractive

 Est une approche visant à réduire les dépenses publiques et ou augmenter les impôts pour freiner l’activité économique et pour
stabiliser la politique économique.

Les effets positifs sur la croissance et l’emploi.

 incluent la stabilisation économique en éviter l’inflation, favorisant les investissements et la création de l’emploi à long terme, c’est-à-
dire lorsque le gouvernement décide à réduire leur dépense publique pour éviter l’inflation et pour stabiliser l’économie surtout en
période d’expansion, cela va créer un environnement propice pour l’investissement, et plus l’investissement, plus de revenu, plus de
consommation ce qui peut à long terme stimuler la création de l’emploi.

L’effet négatif sur la croissance et l’emploi.

 incluent une réduction de l'emploi dans le secteur public et des taux d'imposition élevés qui pourraient décourager l'investissement et
la création d'emplois.
 Si le gouvernement décide à réduire les dépenses publiques par exemple la réduction des dépenses dans l’infrastructure, cela impacter
négativement sur l’économie, n’est de construction des écoles, cela va impacter négativement de la création de l’emploi à long terme.

Section 3 : Définition des dépenses publiques :

 Toutes les sommes d’argents dépensées par l’Etat.

 Représentent les ressources financières mobilisées par l’Etat pour mettre en œuvre des projets et des programmes dans l’intérêt
général, comme la construction des routes, l’éducation, la santé, la création d’emploi …
 Utilisant son budget comme un instrument pour financier ces diverses initiatives.
 Dépense des fonctionnements, les dépenses d’investissement et les dépenses relative au service de la dette publique.

Chapitre 2 : approche et études empiriques de la politique budgétaire sur l’emploi.

Section 1- Les étude théorique sur la croissance économique(les factures endogènes et exogènes).

La théorie de la croissance exogène.

 Est un modèle économique, dit que la croissance économique à long terme ne dépend pas uniquement les facteurs de production qui
utilisé dans la production comme le capital et le travail mais plutôt dépend des facteurs externe comme l’innovation, la recherche, …
 Robert solow en 1956, selon cette théorie la croissance économique à long terme est le résultat des phénomènes extérieurs, n’est pas
expliquée uniquement par les facteurs de production mais il est expliquée un grand part par les facteurs extérieurs comme progrès
technique, la recherche, l’innovation, … dans cette il y a une convergence vers ‘’un état stationnaire’’ c’est-à-dire à long terme
l’économie va atteindre un équilibre stable ou constant et ne dépend pas la politique fiscale ou autre intervention mais il y a des forces
externe ou exogène, qui sont principalement le moteur de la croissance à long terme.
 Le modèle économique néoclassique, considéré que la politique fiscale peut influencer la croissance à court terme mais pas à long
terme.

La théorie de la croissance engrène.

 Dit que la croissance économique à long terme est générer par des facteurs intérieur du système économique
 Barro et Locas, dit que le moteur de la croissance à long terme est l’accumulation des connaissances, les compétences,…c’est-à-dire
selon vous la croissance est influencée par les choix des agents économique à travers les investissements, la recherche, la
connaissance, et aussi dit que la politique fiscale n’influence pas la croissance à court terme mais aussi à long terme contrairement à la
vision de néoclassique.

Section 2- études théorique sur la croissance, (l’école classique, néoclassique et l’école keynésienne).

La politique budgétaire joue un rôle très important pour le développement national, son impact sur l’emploi est très important car il peut
influencer directement la dynamique du marché du travail, et pour comprendre l’impact de la politique budgétaire sur l’emploi en mettant en
lumière différents approches théoriques tel que :

1- L’école classique :
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 L'école classique, penseurs comme Adam Smith et Ricardo

 oppose l'intervention publique, à l’exception dans les fonctions régaliennes comme la défense, diplomatie, la justice, police, fiscalité
c’est-à-dire l’intervention de l’Etat est limité.
 Ils considèrent que les déficits budgétaires utilisés pour soutenir les dépenses publiques est nuisibles ou néfaste pour l’économie, car
cela entrave le développement naturel.
 ils pensent que sont ressources investie par l’Etat peut être utilisées d’une manière plus efficace par le secteur privé, car selon vous ou
bien selon cette perspective, le marché libre et la concurrences dans le secteur privé sont considérer comme le moteur plus efficace
pour stimuler la croissance,
 C’est l’autorégulation et la concurrence, sont les mécanismes permettent une allocation efficace des ressources, la maximisation de la
productivité et la satisfaction des besoins collectifs, c’est la main invisible du marché de Adam Smith, c’est-à-dire l’intérêt personnel
contribue involontairement au bien-être général.
 L’idée générale de l’école classique c’est que lorsque les individuées et les entreprises cherchent leur intérêt propre dans un
environnement de marché libre et concurrentiels, cela conduit naturellement à des résultats bénéfiques pour l’ensemble de la société,
sans nécessité une intervention gouvernementale.
 Comme une entreprise fabrique les téléphones intelligents. L’entreprise pour maximisé leur profits, sera produire des téléphones haut
qualité, par des prix attractifs pour attirer les clients dans un marché concurrentiels, ce qui conduirait à avancer la technologie, la
diversifier les choix pour les consommateurs, par des prix bas, et donc bénéficiant l’ensemble de la société.

2- La théorie fondamentale de John Maynard Keynes,

 propose une intervention de l’Etat dans l’économie pour conter le chômage et l’inflation, c’est-à-dire que selon lui l’économie ne
s’auto-régule pas toujours, il nécessite d’une intervention externe de l’économie pour optimiser les ressources, stimuler la demande,
par l’augmentation des dépenses publique et ou diminuer les impôts, en cas de récession, et en revanche en cas de d’expansion, et à
travers ces mesures l’Etat visant à accroître la demande globale, stimuler la production, et créer un effet multiplicateur positif sur
l'emploi.
 Le multiplicateur d'emploi représente l'idée qu'une injection initiale de dépenses, qu'elle provienne du secteur public ou privé, peut
créer une augmentation proportionnellement plus importante de la production et de l'emploi. C’est comme par exemple l’Etat décide
de construire les routes, générant une injection initiale qui fait par le gouvernement c’est les dépenses initial, cette investissement va
créer des emplois, et donc ces travailleurs réaliser des revenus qui va augmenter la consommation, stimulation de la demande globale
et la croissance économique grâce l’injection initiale.

3- Approche Néoclassique.

 Les dépenses publiques ont un impact négatif sur la croissance économique car elles génèrent un déficit budgétaire.
 Les dépenses publiques par des emprunts plus élevées entrainent des pressions sur le marché du crédit, conduisant à des taux d’intérêts
plus élevées et une réduction des investissements.
 La théorie d’équivalence Ricardienne, par David Ricardo, soutient que les dépenses publiques financées par les dettes conduisent à une
augmentation de l’épargne privé, c’est-à-dire que si le gouvernement augmente ces dépenses publiques par l’emprunt, les individus
prévoient que ces dépenses devront rembourser par des impôts futurs plus élevé, conduisant les acteurs à réduire leur consommation
actuel et augmente l’épargne pour compenser les impôts futur, ce qui influence négativement sur la demande globale résultant par les
dépenses publiques financier par les dettes et annulant l’effet positif sur la croissance contrairement à la théorie keynésienne.
 Finalement bien que la théorie néoclassique initiale mette l’accent sur l’effet négatif de dépense publique sur la croissance
économique, mais Barro apporte une perspective plus équilibré en reconnaissant que certain dépense peut avoir un effet positif sur la
croissance comme l’investissement en l’éducation, la recherche, l’infrastructure, la santé, c’est-à-dire que selon Barro reconnait que
toutes les dépenses publique ne sont pas nécessairement nuisible sur l’économie, mais il y a des dépenses qui peut être jouer un rôle
moteur dans le développement économique.

Section 3 : les études empiriques.

 L’étude de landau en 1986 et Scully en 1989, montre une relation n égative entre l’augmentation de la part des dépenses publiques et
la croissance économique, ils soutiennent que des niveaux les dépenses publiques élevées peuvent entrainer un déclin de la croissance
économique, c’est-à-dire lorsque le gouvernement décide de dépenser un montant très important sur par exemple l’infrastructure, bien
que ces projets peuvent apporter des avantages pour la collectivité, mais l’expansion excessive du secteur publique pourrait avoir des
conséquences négatives car le financement de ces projets nécessite des impôts élevé ou bien le recours à l’emprunt qui va entrainer une
augmentation du déficit budgétaire, conduit à augmenter le taux d’intérêt et aussi les impôts qui va impact négativement sur
l’investissement et en général la croissance.
 L’étude de Ram en 1986, montre que il y a une relation positive entre les dépenses publiques et la croissance économique, selon la
conclusion de l’étude que l’augmentation de dépenses publique est associé à une augmentation de taux de croissance, parce qu’il
trouve que Les deux dépendent de la manière dont ces dépenses orientées et utilisé pour stimuler la croissance, par exemple doit
orienter vers l’investissement productif.
 Rall en 1993, examine l’effet du capital public sur la croissance économique, il étude la relation entre la productivité et
l’investissement, il montre que les régions dont le taux d’investissement sont elles aussi la croissance de la production a été le plus
rapide, la productivité c’est la mesure de l’efficacité de production, c’est le résultat attendre par rapport l’utilisation des moyens.

Conclusion.

 Pour maximiser l’impact la politique budgétaire sur l’emploi, une approche globale est important, qui pris en compte la durabilité
financière, la maitrise des couts et la coordination avec d’autre réforme structurelles.
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2- La gestion active de la dette publique, solvabilité et les règles budgétaire.

L’introduction. , .

Chapitre I : Soutenabilité de la Dette Publique.

Section 1- La soutenabilité de la dette publique
Section 2- La dette publique
Section 3- littérature théorique et empitique.

Chapitre II : littérature théorique et empirique. .

Section 1- la gestion active de la dette publique.
Section 2- les règles budgétaires.
Conclusion. .
Introduction.
 Dernièrement la gestion active de la dette publique est un sujet d’actualité, en raison de son importance d’une bonne gestion de la dette
publique pour déduire les couts d’emprunts, contrôle les risques financière et de stimuler la croissance.
 La relation de la dette …
 Dans quelle mesure la nécessité de financer l’activité publique avec une gestion active de la dette publique peuvent assurer la
soutenabilité de la dette publique ?

Partie I: Soutenabilité de la Dette Publique.

1. Définition des concepts:

 La soutenabilité de la dette publique se réfère sur la capacité d'un État, à gérer et à rembourser sa dette à long terme sans
compromettre sa capacité à financer ses autres obligations et services publics essentiels. Cela implique aussi non seulement la capacité
de rembourser la dette existante, mais aussi de continuer à emprunter si nécessaire tout en maintenant des niveaux d'endettement
gérables.
 Pour évaluer la soutenabilité de la dette, il est important d'examiner plusieurs facteurs, notamment les recettes fiscales prévues, la
croissance économique, les taux d'intérêt, les dépenses publiques, et les politiques budgétaires et monétaires.
 Si l'État est en mesure de maintenir un équilibre entre ses revenus et ses dépenses, de gérer efficacement sa dette et de répondre à ses
obligations financières, alors sa dette publique peut être considérée comme soutenable.
 si la dette publique atteint des niveaux excessifs par rapport au PIB et que les charges d'intérêt deviennent trop élevées, cela peut
entraîner une crise de soutenabilité de la dette. Dans de tels cas, l'État pourrait avoir du mal à se refinancer sur les marchés financiers
ou à lever suffisamment de fonds pour rembourser sa dette, ce qui pourrait conduire à des problèmes économiques plus larges tels que
des défauts de paiement, une baisse de la confiance des investisseurs et une instabilité financière.

 La dette publique c’est l’ensemble des engagements financiers sous forme d’emprunts par l’Etat, la collectivité publique et les
organismes pris pour financer leur activité avec une obligation de remboursement dans le futur avec un taux d’intérêt.
 Elle peut prendre deux formes principales :
1. Dette intérieure : c’est la dette contracté localement et son dette a obtenu sur le marché domestique, libellé dans la monnaie du
pays.
 2. Dette extérieure : sont les emprunts contractés par un Etat auprès de prêteurs situés en dehors de ses frontières nationales, libellé en
devise, qui prend deux formes principales :
- bilatéraux sont les emprunts contractés directement avec un autre Etat étranger, des accords directs entre deux entités, deux
Etats.
- Multilatéraux, sont des emprunts contractés entre plusieurs emprunteur et prêteurs et leurs fonds proviennent différents sources
tel que la banque mondiale, le fond monétaire international(FMI) et autre institution régionales de développement.

2. Études Théoriques sur la Soutenabilité de la Dette:

L'étude sur la soutenabilité de la dette publique, basée sur la revue de littérature théorique,

 1- Selon Chalk, Hemming, Dinh, le FMI et d'autres, l'endettement est considéré comme soutenable lorsque les excédents primaires
(c'est-à-dire les recettes publiques moins les dépenses publiques, hors paiement des intérêts de la dette) sont suffisants pour couvrir les
paiements d'intérêts sur la dette.
- Ceci est évalué en comparant la valeur actuelle des paiements d'intérêts avec la valeur actualisée des excédents primaires futurs.
En d'autres termes, les revenus générés par l'économie doivent être suffisants pour couvrir les charges d'intérêt de la dette sans
compromettre la croissance économique, c’est la capacité des excédents primaires à couvrir les paiements d’intérêts tout en
assurant la solvabilité et la croissance économique.

 2- Selon Cline, pour garantir la croissance économique, les excédents primaires doivent être suffisants pour couvrir les paiements
d'intérêts de la dette.
- Cela signifie que selon Cline, les recettes publiques excédentaires doivent être investies dans des secteurs productifs pour soutenir
le développement économique, tout en assurant le service de la dette pour assurer la soutenabilité.

 3- Selon FMI, la dette d'un pays est considérée comme soutenable lorsqu'il est capable de rembourser la dette sans compromettre sa
solvabilité à long terme.
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 4- Une autre étude traite le relation entre solvabilité et soutenabilité, Selon cette approche, la solvabilité de la dette est une condition
préalable à sa soutenabilité. C’est-à-dire qu’un État doit être solvable pour que sa dette puisse être soutenable.
- Cela signifie que le pays doit être en mesure de faire face à ses obligations financières à long terme sans risque de défaut de
paiement.

 5- Domar (1944), et harrod, a établi une condition selon laquelle la dette sera soutenable si le taux de croissance réel du PIB est
supérieur au taux d'intérêt réel.

 6- Selon harrod et damar, une dette publique est considérée comme soutenable si le service de la dette n'entrave pas la croissance
économique.
- Si l'État est capable de contrôler les paiements d'intérêts sur la dette et que ces paiements ne limitent pas les dépenses publiques
nécessaires à la croissance économique, alors la dette peut être considérée comme soutenable.

 7- Selon domar et harrod, La croissance économique est essentielle à la soutenabilité de la dette, car elle permet de générer des revenus
supplémentaires pour rembourser la dette et réduire le ratio dette/PIB.
- Si la croissance économique est faible ou négative, cela peut rendre la dette publique insoutenable, car les revenus fiscaux seront
limités et les paiements d'intérêts de la dette pourraient devenir insoutenables.

3. Études Empiriques sur la Soutenabilité de la Dette:

 1. Hamilton et Flavin (1986): cette étude vise à évaluer la soutenabilité de la politique des Etats unis sur la période 1962-1984, il
examine la dette publique et le déficit primaire (le déficit budgétaire avant le paiement d’intérêts de la dette) était stationnaire c’est-à-
dire la dette reste stable il ne change pas au fil du temps, ça veut dire que ils se concentrent sur la stationnarité de la dette et le déficit
primaire et il conclue que la politique budgétaire américaine soutenable car ils ont trouvé que la dette et le déficit était stationnaire
.
 2. Wilcox (1988) Contredit Hamilton et Flavin la soutenabilité de la politique budgétaire se traduit par sa stabilité à long terme. Selon
Wilxon la dette américaine n’est pas stationnaire ce qui signifié que la politique budgétaire n’est soutenable pendant cette période.

Partie II: l’effet de la Gestion Active de la Dette Publique et les règles budgétaire sur la solvabilité.

L’objectif de la gestion de la dette publique par le gouvernement avant 1993 est de trouver les fonds nécessaires pour financer les programmes
gouvernementaux d’investissements publics, ce qui a conduit à atteindre des nouveaux excessif de l’endettement non soutenable, ce qui poussé
le pays a entamé une série de rééchelonnement pour réduire les poids de la dette extérieurs et leurs couts pour les ramener à un niveau
soutenable, soit au niveau de la gestion active extérieure soit intérieure :

A- La gestion active de la dette extérieure :

Chaque instrument de gestion active de la dette extérieure vise à améliorer la structure et la soutenabilité de la dette, en réduisant les coûts et en
minimisant les risques financiers externes.

 1. Refinancement de la dette : Cette opération permet de remplacer des dettes contractées précédemment à des taux d'intérêt élevés par
de nouvelles dettes à des taux plus avantageux. En réduisant les charges d'intérêt, le refinancement peut diminuer les coûts de service
de la dette, libérant ainsi des ressources financières pour d'autres besoins et améliorant la capacité de remboursement à long terme.

 2. Convertibilité de la dette en investissement : Cette mesure vise à transformer une partie de la dette en investissements productifs,
tels que des projets d'infrastructure ou des programmes de développement économique. En investissant dans des secteurs qui génèrent
des revenus futurs, cette approche peut renforcer la capacité de l'économie à générer des recettes pour rembourser la dette à long terme.

 3. Renégociation des accords de prêt : En renégociant les termes des accords de prêt, notamment en ajustant les taux d'intérêt pour les
aligner sur les normes internationales, cette stratégie vise à réduire le fardeau financier associé à la dette. Des taux d'intérêt plus bas
peuvent rendre les paiements de la dette plus abordables, améliorant ainsi la capacité de remboursement à long terme.

 4. Amélioration de la structure par devise de la dette publique : Cette mesure consiste à aligner la structure de la dette extérieure sur les
devises qui correspondent au panier de devises utilisé dans le pays dirhams. Cela réduit les risques financière extérieurs.

B- La gestion active de la dette intérieure :

La gestion active de la dette intérieure vise principalement à réduire le coût de financement du Trésor sur le marché domestique en améliorant la
liquidité du marché secondaire des valeurs du Trésor.

 1. Marché des bons du Trésor (BDT): Le marché des bons du Trésor est la principale source de financement du Trésor. Il permet au
Trésor de procéder à des opérations de rachat et d'échange des bons afin de réajuster le profil de sa dette.

 2. Implémentation d'une nouvelle architecture de marché de la dette intérieure : Cette évolution comprend l'élimination des émissions
administrées du Trésor en 1991, la soumission des bons à la fiscalité du droit commun en 1994, et la suppression des emplois
obligatoires des banques en 1998. Ces changements visent à rendre le marché des bons du Trésor plus transparent et plus efficace.

 3. Création du marché des adjudications du Trésor : Ce marché, créé en 1989, vise à faciliter les échanges sur le marché secondaire des
bons du Trésor. Un groupe d'intermédiaires en valeurs du Trésor (IVT) est désigné pour animer les marchés primaire et secondaire des
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bons du Trésor. Ces intermédiaires, tels que la Caisse de dépôt et de gestion (CDG) Capital, la Banque centrale populaire et
Attijariwafa bank, jouent un rôle crucial dans la gestion de la dette intérieure.

 4. Rôle des intermédiaires en valeurs du Trésor (IVT) : Ces intermédiaires animent les marchés primaire et secondaire des bons du
Trésor et participent activement aux opérations de gestion de la dette intérieure. Ils veillent également à assurer le respect des
engagements de cotation électronique des bons du Trésor et fournissent des conseils de qualité ainsi que des informations de marché à
la direction du Trésor.
 En influençant la liquidité et l'efficacité du marché des bons du Trésor, ces mesures peuvent contribuer à réduire les coûts de
financement du Trésor sur le marché intérieur. Une meilleure gestion de la dette intérieure peut donc améliorer la capacité de
remboursement à long terme en réduisant les charges d'intérêt et en optimisant la gestion des obligations du Trésor.

5- Règles budgétaires.

 De nos jours le sujet des règles budgétaires sont devenu plus important que jamais, en raison de l’augmentation de la dette publique au
cours des dernières décennies et une dette plus élevé peut entrainer à l’économie nationale des risques important.
 La question de savoir comment les règles budgétaires peuvent amélioré l’efficacité des finances publiques est importante pour garantir
la stabilité financière à long terme.
 Et donc la problématique de notre dissertation s’articule donc dans la question suivant : comment les règles budgétaires peuvent
améliorer l’efficacité des finances publique ?

La définition des règles budgétaires.

 Sont des contraintes à long terme appliquées à la politique budgétaire limites certains agrégats budgétaires (sont les indicateurs qui
représentent les flux au sein d’un gouvernement ou administration financière) comme le déficit budgétaire, les dépenses et les recettes.
 Peuvent établie au niveau national par la constitution, la législation, soit la réglementation, …

Pourquoi une règle budgétaire.

 Une règle budgétaire pour son rôle de promouvoir l’équilibre budgétaire, en réduisant le déficit et la dette publique et par conséquence
de réduire le taux d’endettement.
 Peuvent aider de réduire le déficit budgétaire et le taux d’endettement en imposent des limites aux dépenses publiques ou aux recettes,
on peut fixant un plafond pour le déficit budgétaire par rapport au PIB, cela oblige le gouvernement à réduire les dépenses ou augment
ses recettes, pour éviter certains déséquilibre financière, aussi en maintenir la soutenabilité de la dette publique.
 Généralement les règles budgétaire vise à Courrège les déficits budgétaires, tout en assurant à certains limitent aux dépenses publiques
ou aux recettes publiques.

Types des règles budgétaires et La mise en œuvre des règles budgétaires.

 Les règles budgétaires comprennent les règles des dépenses, les règles des recettes, l’équilibre budgétaires et de la dette, généralement
ces règles vise à contrôler les finances publiques.
 Peuvent utilisée pour limités les dépenses, augmenter les recettes, maintenir l’équilibre budgétaires, et stabilité les ratios de la dette sur
PIB.
 La mise en œuvre des règles budgétaires implique une préparation exhaustive et transparence du budget, une autorisation claire par le
parlement, ainsi qu’une comparaison des montants budgétaires et réels pour assurer la transparence et la responsabilité.

Etude économétriques sur les règles budgétaires.

 Des études économétriques récentes montrent que les règles budgétaires nationales surtout dans les pays industrialisées avant la crise
de 2007- 2008, ces études visent à évaluer la performance des règles budgétaires, ont généralement contribué à améliorer la gestion
budgétaire.
 Certains études ont trouvé que les gouvernements qu’ont utilisent strictement les règles d’équilibre budgétaire ont eu des variations
moins important dans leur recette et dans leur dépense.
 Cette stabilité budgétaire permet d’accumuler les épargnes de précaution pendant les périodes de conjoncture favorable par laquelle
sont utilisé pour financer pour leur période que l’économie passe en période économique difficile.
 Généralement les études économétriques qu’ont faites avant la crise financière de 2007-2008 montres que les gouvernement qu’ont
utilisé strictement les règles budgétaires sont ceux mieux préparer à faire face aux défis économiques imprévus.