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L’œil du cinéaste
André S. Labarthe
Dans Études théâtrales 2010/3 (N° 49), pages 177 à 178
Éditions L'Harmattan
ISSN 0778-8738
ISBN 9782930416328
DOI 10.3917/etth.049.0177
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Transfusion
L’œil du cinéaste
André S. Labarthe
Il commence sa carrière de critique de cinéma épisodes et qui sera reprise sur Arte au début
dans les années 1950 et contribue beaucoup à la des années 1980 sous le titre Cinéma, de notre
ligne des Cahiers du Cinéma en faveur de Renoir, temps (une centaine de films à ce jour). Il est le
Hawks ou Ford, mais aussi des cinéastes de la réalisateur de nombreux films sur la peinture
Nouvelle Vague. Il est également réalisateur et (Rauschenberg, Tapiès, Kandinski…), la danse
fonde en 1964 avec Janine Bazin, à la télévision, (Carolyn Carlson, Sylvie Guillem, William
l’émission Cinéastes de notre temps, collection de Forsythe…) et la littérature (Bataille, Artaud,
portraits de cinéastes dont il réalise plusieurs Sollers…).
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imprévisible – avec Alain Plagne – pour que, en quelques mois, la danse
devienne l’une de mes préoccupations. Et je ne parle pas du spectre
d’Antonin Artaud.
Dès lors, tout s’est enchaîné. De Carolyn Carlson à Sylvie Guillem et
à Patrick Dupont, de William Forsythe à John Neumeier et à Ushio
Amagatsu, j’ai su que la danse faisait partie de ma vie.
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