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AVANT PROPOS
ce syllabus tel que nommé chirurgie pédiatrique dans le cadre
du cours de chirurgie spéciale II a été élaboré par les vaillants
carabins étudiants de deuxième doctorat du département de
Batostratologie (Kratos and Mika) afin de permettre aux étudiants
de deuxième doctorat non seulement à la préparation des
épreuves qui feront face mais aussi à la pratique présente ou
future.
Nous vous signalons honnêtement que ce syllabus de chirurgie
pédiatrique a été conçu à l’aide différente notes prises par les
étudiants de deuxième doctorat durant les différentes séances et
les images ont été prises au cours ou à l’internet pour une
meilleure compréhension.
Notons que ce syllabus n’est pas exclusif, il peut y avoir des
erreurs, des fautes d’orthographe voire même des manques que
vous pouvez approfondir par vos propos recherches
personnelles.
PLAN DU COURS
TYPE DE DETRESSE RESPIRATOIRE (type I, type II, type III, type IV,
type V)
Voir les images pour les intérioriser très bien dans le cerveau :
CLINIQUE
On note :
L'atrésie du bébé chez les femmes avec un grand fond utérin
La détresse respiratoire peut être de sévérité variable en fonction
de l'inondation des voies respiratoires.
N.B : on proscrit de faire un transit baryté au risque d'inonder les
voies respiratoires pouvant conduire à la mort de l'enfant.
La radiographie simple du thorax avec une sonde
nasogastrique en place peuvent nous permettre de poser le
diagnostic.
La prise en charge d'un enfant dans ce cas très vite commence par
l'aspiration continue et l'enfant en décubitus ventral.
4. EMPHYSEME LOBAIRE
Après naissance du nouveau-né, lorsque l'enfant crie, il arrive qu'une
quantité d'air peut être emprisonné dans le lobe et cet air ne sait plus
évacuer à la respiration par pression inspiratoire, une quantité d'air
peut être séquestrée (grand volume d'air pulmonaire).
Plus l'air s'accumule plus ça chasse le médiastin vers le poumon
controlatéral qui paraît sain; ce qui perturbe toute la mécanique
ventilatoire.
Voir ce schéma pour ta compréhension :
A la naissance l’enfant crie emprisonnement d’air dans lobe
C
pulmonaire pas
V d’évacuation à l’expiration séquestration d’air
compression médiatisnale
V controlatérale perturbation de mécanisme
X
ventilatoire. v
C
v
V
V
C
Kratos, Mika and Benry
V Production par le département de Batostratologie
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5. REFLUX GASTRO-ŒSOPHAGIEN
C'est un reflux du contenu gastrique acide vers l’œsophage sans effort
de vomissement, souvent suite à l'incompétence du sphincter cardial.
La pathologie s'observe fréquemment même si elle garde une allure
bénigne et peut s'accompagner chez le nouveau-né des petites
fausses routes qui peuvent être à la base de l'irritation de la glotte et
de l'infection des voies respiratoires.
Si la pathologie ne donne pas de détresse respiratoire sévère, elle
peut être à la base de la survenue dans I’évolution d'un adénocarcinome.
EPIDEMIOLOGIE
Cette pathologie se voit souvent chez les adultes, mais plus de 80% des
nourrissons le développent.
Mais cependant, elle reste asymptomatique.
FACTEURS AGGRAVANTS
Plusieurs facteurs peuvent aggraver ce reflux ; nous citons :
Flexion du tronc vers le bas
Position couchée
Les aliments diminuant la tonicité (café, thé, graisse,
chocolat, alcool)
Certains médicaments : Aspirine, Beta-2 mimétique,
morphine, les inhibiteurs calciques, diminuent la tonicité du
SOI.
Sonde nasogastrique
CIRCONSTANCES DE DECOUVERTE
La découverte peut se faire à travers :
Les Symptômes typiques :
Pyrosis : brulure retro-stermale
Régurgitation acide
Syndrome posturale : signe de lacet
DIAGNOSTIC
Type chez les personnes au-delà de 50 ans
Examens complémentaires orientent vers le diagnostic de
I’endoscopie haute.
CLINIQUE
La maladie est souvent typique chez les personnes de plus de 50
ans
Les examens complémentaires peuvent nous orienter,
L'endoscopie oeso-gastro-duodénal,
on a aucun obstacle lors Transit oeso-gastro-duodénal,
Le meilleur examen devrait être la manométrie,
La PHmétrie est examen d'orientation
COMPLICATIONS
La plus courante c'est l'œsophage évolue en stade: classification de
Savary Maller.
I. On a une érosion unique ou parsemée non confluente,
II. Érosions confluentes,
III. Érosions multiples confluentes et conduisant à une circonférence
IV. Complications chroniques :
Œsophagite peptique sténoses
Œsophagite peptique ulcérée circonférentielle
Endobrachyoesophage (EBO)
ENDOBRACHYOESOPHAGE
On l'appelle aussi l'œsophagite à la muqueuse de barrette, elle est
secondaire à un trouble de cicatrisation de la muqueuse
œsophagienne suite à l'acidité gastrique de l'estomac la muqueuse
glandulaire (la muqueuse gastrique se transforme en muqueuse
intestinale)
Risques évolutifs :
Ulcération
Saignement
sténose (la personne a une sténose ulcérée).
Adénocarcinome qui multiplie à 125 fois
PRISE EN CHARGE
1. première règle hygiéno-diététique
Il faut un régime amaigrissant en cas d'obésité, car ces personnes ont
une hyperpression intra-abdominale.
Éviter les vêtements servis à la taille
Arrêt du tabac et de l'alcool
Éviter les aliments et midi favorisant
Éviter les repas trop abondants
Éviter le décubitus postprandial
Surélévation de la tête de lit
2. Traitement médical :
Médicament antiacide nasal
Pansements gastriques
Les anti-sécrétoires
Les IPP
3. Traitement Chirurgical :
Doit avoir certaines indications en cas de rechute, perturbe toute
sa vie
Bilan préopératoire endoscopie, PHmétrie, manométrique (de la
partie basse œsophagienne ou même au niveau du cardia)
Techniques
- Fundo-plicature (faire le Nissen valve
gastrique)
- Technique de Toupet, valve gastrique
complète
Indications thérapeutiques
En cas des complications sévères telles que l’œsophagite, on fait une
résectomie avec l'intervention.
Voir le schéma
La prise en charge
Pas de traitement spécifique si elle ne donne pas des complications
Traiter le RGO si associé
Le traitement chirurgical si indication pour RGO, reconstituer
l'angle de Hiss par laparotomie haute soit parotomie ou
coelioscopie.
Le diagnostic est posé par la radio du thorax, qui montre une clarté
dans la zone thoracique (zone médiastinale) témoignant un organe
intra-abdominal dans la cage thoracique.
COMPLICATIONS
RGO par (glissement)
Étranglement (suite au roulement)
Tableau d'hémorragies digestives hautes
Le traitement de cette hernie est chirurgical s'il y a des complications
ou symptômes invalidants.
Deuxième phase :
Troisième phase:
COMPLICATIONS
INTRODUCTION
Cliniquement:
Prise en charge
NB: Pour l'atrésie duodénale non traité, l'enfant se déshydrate très vite
et peut mourir dans un tableau de choc avec trouble ionique.
Réponse :
1.
2.
3.
4.
5.
6.
7.
8.
9.
10.
CLINIQUE
Réponse : parce que les enfants ne savent pas avalés, dans ce tableau
le liquide amniotique fait des calcifications.
D. MALROTATION INTESTINALE
E. LES DUPLICATIONS
Traitement chirurgical
REPONSE :
Les voies biliaires commencent par être intrahépatique puis vont fusionner
pour donner des voies biliaires gauches et droites qui vont à leur tour
fusionner pour donner la voie biliaire principale, cette dernière fusionne
avec le canal cystique pour former le cholédoque qui s’abouche dans
l'intestin. L'une de ces voies peut être dilatée ou malformée, confluée
pour donner :
CLASSIFICATION
Cycle de biliverdine
CLINIQUE
On note :
Douleur post prandiale
Ictère ou subictère
Avec le temps la fièvre s'y ajoute
Signe de Murphy positif
EXAMEN PARACLINIQUE
Rx de bonne qualité face et profile montre des calculs, parfois les calculs
sont invisibles à la Rx,
Dans notre milieu, les abcès hépatiques sont observés chez les enfants
et la cause est amibienne (entamoeba hystolitica), ces abcès sont souvent
observés dans des régions où l'amibiase est endémique ; la lésion va
intéresser la région hépatique et peut prendre des volumes variables et
parfois donnée un diagnostic différentiel avec une tumeur.
A l’examen physique, l'EG est altéré par la fièvre, la marche avec une
attitude antalgique penchée vers I’avant, mise en évidence d'une
hépatomégalie variable en fonction du volume de l'abcès.
TRAITEMENT
COMPLICATIONS
Abcès hépatique
Hémorragies digestives
Occlusion intestinale
Observée souvent chez les enfants des fermiers, ou les fermiers eux-
mêmes. Les cysticerques vont trouver refuge au niveau hépatique,
s'entourant d'une coque pour créer un kyste bien limité. Est une pathologie
à découverte fortuite, lors d'une réalisation du CT-Scan.
Etiologie
REPONSE:
CLINIQUE
Paraclinique
COMPLICATIONS
TRAITEMENT
III.7. LA MUCOVISCIDOSE
Ici chez nous, elle passe souvent inaperçue, c'est une pathologie moins
fréquente on l'appelle parfois la fibrose kystique du pancréas, elle peut
créer une pancréatique, le suc pancréatique est epais et crée une petite
obstruction au niveau de l'ostium du pancreas et les enzymes deviennent
actives dans les canaux du pancréas toute en crèant une autodigestion
conduisant à une pancréatite aiguë.
Les complications
REPONSE:
Elle se voit chez les enfants mais elle passe inaperçue, elle se voit
souvent à la phase des complications. La pancréatite peut passer
d'aigué en chronique chez le petit enfant.
REPONSE :
La mucoviscidose
La sténose suite à un cathéter
Infection bactérienne.
CLINIQUE
C'est une pathologie qui se voit déjà à la petite enfance, suite à la rareté
des terminaisons nerveuses intrinseques intervenant dans le tonus du
sphincter oesophagien inferieur (SOI). Ceci conduira à un
cardiospasme qui a pour corollaire la dilatatro de tout l’oesophage distal.
CLINIQUE
PARACLINIQUE
PRISE EN CHARGE
CLINIQUE
signe de lasset,
La pharyngite,
laryngite en répétition et
La dysphagie qui en est une complication
PARACLINIQUE
COMPLICATIONS
œsophagite peptique
Les petites ulcérations (érosions)
La sténose peptique de l'œsophage (dysphagie mécanique)
Toute la partie basse peut avoir une métaplasie (muqueuse
œsophagienne devient intestinale) : L'endobrachyoesophage
PRISE EN CHARGE
o Méthodes conservatrices
o Précautions posturales
o Diète : aliment pâteux avec grande viscosité
o Kinésithérapie respiratoire
o Médicament : les prokinétiques (prépulsid, métoclopramide...), les
anti-H2 (cimétidine, ramitidine...), les IPP. (Oméprazole,
lansoprazole…)
o Chirurgie recourt à la technique de Nissen ou de Toupet; sous
cœlioscopie ou Laparotomie, on peut refaire l’angle de Hiss.
CLINIQUE
Réponse :…………….
PARACLINIQUE
TRAITEMENT
Médical
La réhydratation de l’enfant
l’enfant est perfusé avec le sérum 1/2 physiologique et des ions K+,
une sonde gastrique put être placée en cas d’inconfort. Le jeun strict
est impose.
Les Scandinaves ont tenté et réussis à traiter certainss enfants sans
les opérés et l’enfant est suivi autour de 3 semaines. Le principe est
l’instituer une nutrition parentérale ou par feeding Trans pylorique
s’ouvre et l’enfant guerit. Comme on peut s’y attendre, ni les parents
ni l’INAMI, ni les chirurgiens n’approuvent ce traitement.
Chirurgical
Histopathologie
CLINIQUE
On a deux formes :
On peut noter :
Mais, on peut avoir une forme septique : qui se présente comme une
entérocolite suite à la pénétration des germes colique : qui se présente
comme une entérocolite suite à la pénétration de germes coliques dans
l’intestin grêle. Ce tableau se complique très vite d’un Ses psis et
l’enfant peut mourir.
Explorations et bilan
Toucher rectal
Rx abdomen à blanc
TRAITEMENT
1. Technique de SWENSON
On coupe la partie malade avec celle du rectum décollée, on fait sortir
les anastomoses vers le dehors.
2. Technique de SOAVE
Faire descendre la muqueuse rectale dans la muqueuse
sigmoïdienne.
3. Technique de DHUAMMEL
On décolle derrière le rectum
En cas du tableau de dystonie mégacolique, on utilise la technique de
DHUAMMEL en plaçant les pinces.
Réponse :
PATHOLOGIES OMBILICALES
PRISE EN CHARGE
B. Hernie épigastrique
CLINIQUE
Sur le plan recognitif, tout résidu embryonnaire doit disparaitre, les résidus
se compliquent d'infection (omphalite) et celle du nouveau-né doit être
reconnu très vite au risque d'une Pylothrombose, les résidus muqueux
peuvent se cancériser. Le traitement est chirurgical.
D. L'OMPHALOCELE ET LE GASTROSCHISIS
1. GASTROSCHISIS
PRISE EN CHARGE
2. OMPHALOCOELE
Premier geste
E. LE CARREFOUR INGUINAL.
Réponse : du mésonephros
1. LA HERNIE INGUIN0-SCROTALE
Il s'agit d'un des motifs les plus fréquents de consultation. Elle se voit
fréquemment chez les prématurés, La pathologie affecte 3 % des
garçons et 0.2 à 0.3 % des filles nouveau-nés à terme.
ANAPATH
CLINIQUE
Cliniquement on note :
COMPLICATIONS
L’engouement herniaire,
Traumatismes herniaires parfois
L'étranglement herniaire pouvant conduire à la nécrose.
PRISE EN CHARGE
Principe de la Hernictomie
Chez l’enfant, le sac est tout la paroi est rien, c'est-à-dire que la
hernie n'est pas lié au péritoine,
Chez l'adulte la paroi est tout, et le sac est rien. C'est-à-dire que
chez l'adulte, c'est la faiblesse du péritoine qui est malade.
2. HYDROCELE
CLINIQUE
TRAITEMENT
3. KYSTES DU CORDON
CLINIQUE
Cliniquement, on note :
REPONSE ;
Le gubernaculum testis (1 er moyen)
Le cordon spermatique (2 éme moyen)
Le mesorpium (3 éme moyen)
Les testicules n’aiment pas des hautes et baisse de tensions, chaque fois
qu’il fait froid, tout s’atrophie et le testicule a tendance à migrer vers
l’abdomen pour avoir une température ambiante. Si le testicule n’est pas
fixé, suite à un problème du mesorpium et du gubernaculum testis
(testicule baladeur)
6. VARICOCELE
C’est une dilation de variqueuse des veines spermatiques, mais elle est
souvent physiologique à gauche, et pathologique droite
7. ADENITE INGUINALE
Ça peut être :
1. APPENDICITES AIGUES
Pathogénie
Théorie de la stercorite
CLINIQUE
L’EXAMEN PHYSIQUE
EXAMEN COMPLEMENTAIRE
Imagerie
Biologie
PRISE EN CHARGE
Une appendicite est une urgence et l'opération doit être faite dans 6h qui
suivent le diagnostic.
Incision de Mac- Burney
Saignement anormal
(INTISUSCEPTION OU ITESCOPAGIE)
ANAPATH
La forme lléo-iléale,
La forme iléo-caecale,
La forme iléo-caeco-colique ;
La forme colo-colique
CLINIQUE
On note :
EXAMEN PHYSIQUE
PARACLINIQUE
CLINIQUE
TRAITEMENT
Le prolapsus rectal
Le syndrome de CHARGE est une maladie génétique rare qui associe des
malformations et des troubles neurosensoriels, l'acronyme « CHARGE »
en anglais résument en les principales manifestations de l’affection :
Développement psychomoteur)
CLINIQUE
On fait une incision par la voie basse à partir du point crée, par le
raphé médian chez l'homme).
CLINIQUE
Site de mucosectomie
Anastomose colo-a nale
S.A.I.
S.A.E.
Prise en charge
3. Diarrhées à répétition
4. Constipation chronique
6. Dolichocôlon
CLINIQUE
TRAITEMENT
Ce sont des formes des poches qui sont restés lors de la formation
embryonnaire et se localise au niveau de la partie médiane du cou proche
de la zone axiale (zone épidermique). Ces ébauches ne disparaissent pas,
persistent et deviennent sous forme des kystes dermoïdes.
1. Kystes branchiaux
2 Fistule branchial
CLINIQUE
4. LYMPHANGIOME CERVICAL
5. DYSEMBRYOMES PRE-AURICULAIRES
6. RANULA
Réponse ;
7. LA PAROTIDITE
8. LES ADENOPATHIS
La classification de Rouvielle
La classification de Robins
REPONSE :
9. LES TERATOMES
REPONSE :
A. LA MALTRAITANCE
Brûlures de cigarettes
Morsures
Hématomes sous-duraux
Malnutrition
Parents battus
Mère de moins de 20 ans
Éthylisme
Chômage
Séparation et divorce
Handicap mental ou physique
DISPOSTTIONS A PRENDRE
Hospitaliser l'enfant
Mise de la famille sous contrôle socio-médical
Traiter l'enfant
Prise en charge pluridisciplinaire
Ne pas agresser les parents, culpabiliser
Ne faire intervenir le pouvoir judicaire ou la police qu'en cas de
danger vital imminent
LA PRONATION DOULOUREUSE
LA FRACTURE DE LA CLAVICULE
LES LUXATIONS
PRONATION DOULOUREUSE
FRACTRURE
RX Normale
ATTITUDE Normale
Réduction en supination
La fracture du coude
RX : Glissement épiphysite ou presque
aucun déplacement
LA FRACTURE DE LA CLAVICULE
Fracture d'été classique, elle survient souvent au cours d'une chute à vélo
ou en roller, Le diagnostic est clinique et l'immobilisation se fait par un
bandage bi-scapulaire en huit. Les indications opératoires sont très rares.
I. ORTHOPEDIE COURANTE
Affections
métaboliques
Rachitisme
L'ostéomyélite
Les variantes :
ETIOPATHOGENIE
Prédisposition génétique
Les formes mal positionnelles : une compression mécanique intra-
utérine.
MISE AU POINT
Le traitement : 50% des enfants peuvent être traités par plâtre et attelle.
Le traitement orthopédique :
Après ce stade et selon les écoles, une chirurgie des tissus mous
peut être envisagée. Celle-ci consiste en la libération de l’appareil
ligamentaire et à d’éventuels allongements tendineux permettant la
correction complète.
2. OSTEOMYELITE
DEFINITION
C'est une infection qui touche la moelle et l'os suite à une pullulation
microbienne en passant par la voie sanguine.
Parmi les affections osseuses acquises de I ‘enfant, l'ostéomyélite aigue
hématogène est une entité importante à connaître en pratique générale.
Sa pathogénie, souvent traumatique.
Porte d'entrée : la plaie déjà cicatrisée soit c'est une infection ORL
(angine la peau (furoncle), I ‘ongle (panaris)
PHYSIOPATHOLOGIE
Phase de septicémie
CLINIQUE
Signes locaux ;
A la palpation, on note :
PARACLINIQUE
Bilan inflammatoire
PRISE EN CHARGE
Traitement d'urgence (au plus tard 15 minutes, le malade doit être sous
traitement (traitement mené au quart d'heure). « Mieux vaut pécher par
excès que par défaut » c’est-à-dire que lorsqu' on pose le diagnostic d'une
ostéomyélite, mieux vaut procéder déjà au traitement avant de confirmer
en paraclinique ;
Traitement général :
Vitamines
Supplément alimentaires et
Régimes riches en protéines
Traitement Local :
Evolution
B. OSTEOMYELITE DREPANOCYTAIRE
Les globules rouges sous formes des feuilles, il y a ischémie, ce qui crée
un thrombus et la nécrose.
La cholécystite lithiasique
Hyperplasie mandibulaire (os)
Peau
L'apparition au tour de 12 mois, il faut que l'hb fœtal puisse remplacer par
L’hb adulte (le GR ayant des malformations, les manifestations cliniques
apparaissent au tour de 3 mois (Syndrome de pied-man)
1. Etiopathogénie:
Elle frappe 6 filles sur 1 garçon; elle est fréquente dans certains pays
(Europe: 37% à la naissance en France).
2. Anapath
La hanche peut être luxée à la naissance ou elle est luxable.
Dans la genèse, plusieurs facteurs ont été incriminés:
hormonale, insuffisance de la cotyle,
anomalie de l'extrémité supérieure de fémur.
3. Clinique
2. Hanche luxée
A la marche
Traitement
L'Ostéoarthrite, la tuberculose
Diagnostic
Le diagnostic clinique est l'absence des signes biologiques
généraux
Clichés radiologies: asymétrie des espaces articulaires
coxofémoraux et quelquefois un léger œdème des tissus mous.
Un léger bombement de la capsule articulaire peut être objectivé.
La scintigraphie osseuse au diphosphonate excluant
l'ostéomyélite et la maladie de Legg-Calvé-Perthes.
Traitement
Mis au repos de l'enfant et traction permettant le contrôle de la
douleur.
L'évolution favorable après 8 ou 15 jours confirme la bénignité de
I’affection.
2. L'épiphysiolyse
Tableau clinique
La symptomatologie est douloureuse et intermittente.
L'impotence fonctionnelle est variable.
Diagnostic
L’examen radiologique met en évidence un glissement épiphysaire
externe qui peut conduire jusqu'à subluxation.
Variées et fréquentes:
1. le spina bifida: consistant à la fermeture incomplète des arcs
vertébraux postérieurs avec maintien d'une éventuelle fistule
neuro-ectodermique;
2. le myéloméningocèle : consistant à la non-fermeture du tube
neural conduisant éventuellement à l'extériorisation de la moelle
épinière sur la ligne médiane dorsale, (les anomalies vertébrales
ou sacrées hémi vertèbre, ...)
3. le torticolis congénital consécutif à un traumatisme du sterno-
cléido-mastoidien à la naissance;
4. les scolioses,
5. Attitude scoliotique: une incurvation de la colonne vertébrale ;
posturale évoluant au cours de la croissance mais spontanément
Traitement
TORTICOLIS CONGENITAL
Traitement: chirurgical
Sectionner en sous cutané ou ciel ouvert les chefs rétractés, précocement:
plus ou moins à 18 mois si la lésion est arquée ; tardivement si elle est
peu marquée; elle est suivie de la réduction.
Etiologie
1. Forme avec aire médullaire à nu: comportant une ouverture large des
plans cutanés, musculaires et osseux. La moelle s’épanouit au niveau du
plan du dos ou en champignon recouverte uniquement de l'arachnoïde
fragile et tendu près à se rompre, ou d'une petite peau très fine. De la
plaque médullaire porte des racines fragiles. C'est forme la plus fréquente:
75%
Clinique
A la naissance
o La masse de taille variable et rénitente, fluctuante, molasse, elle est
translucide. Étudier le déficit paralytique: malformations associées,
le sphincter surtout anal: existe-t-il ou non.
o Mesurer le périmètre crânien
Au cours de la croissance:
Surveillance neurologique, orthopédique et urologique.
3° LES DYSTROPHIES
A. DYSTROPHIES GENERALISEES
1) MALADIE DE KLIPPEL-TRENAUNAY
En 1900, Klippel et Trenaunay ont décrit un syndrome qui porte leur nom.
Le syndrome est fait est fait des varices congénitales toujours unilatérales
qui se voient rarement à la naissance, souvent à l'adolescence. Se voient
soit à tout le membre inférieur (jambe et cuisse), ou uniquement à la jambe
ou à la cuisse; d'ogive veineuse sus pubienne qui, suite à l'agénésie
ilio-fémorale, dérive le sang veineux de la saphène dans la veine iliaque
controlatérale.
Noevi qui sont des angiomes plans, rosés ou lie de vin. Ils siègent sur le
membre variqueux ou à la fesse.
L'Hypertrophie du membre : parfois remarquable dès la naissance:
globale et intéresse l'os et les parties molles, L'allongement atteint souvent
plusieurs centimètres et se voit surtout sur le fémur ; ce qui s'expliquerait
par le lait de I hyperthermie active ou passive pour beaucoup d'auteurs.
Mais pour d'autres elle est une malformation associée.
2) OSTEOGENESE IMPARFAITE
PATHOGENIE
Par contre la trame protéique est insuffisante, d'où l'os est fragile et
malléable.
EVOLUTION
2. LA MALADIE DE LOBSTEIN
EXAMENS BIOLOGIQUES
EVOLUTION
ASPECT GENETIQUE
TRAITEMENT
B. DYSTROPHIES LOCALISEES
Seront traitées:
Les ostéonécroses aseptiques,
Les kystes solitaires des os,
La coxa vara infantile,
La maladie de madelung
1° Définition
1. MALADIE DE FREIBERG
La radiologie montre selon le stade: soit une densité accrue, soit une
fragmentation, soit un aplatissement.
4° Clinique
A l'examen physique:
Premier stade:
Densification globale du noyau épiphysaire, il est
plus opaque que dans le col voisin; il est un peu aplati.
En haut: le cartilage de conjugaison est irrégulier sur
son versant métaphysaire.
Vers la réparation des lésions sans séquelles dans des cas bien
soignés.
Vers des déformations importantes: avec la hauteur de la tête qui
est très diminuée; épiphyse grosse, évasée et qui a tendance à
s'excentrer; elle est souvent aplatie de haut en bas
Si le cartilage de croissance s'est fermée trop tôt il en résulte le
coxa vara.
Luxation pathologique.
6. Traitement
ONCOLOGIE PEDIATRIQUE
PLAN
1. Nephroblastomne
2. Neuroblastome
3. Tératomes
4. Hépatoblastomes
5. Ostéosarcome
I.1. DEFINITION
I.2. ETIOPATHOGENIE
Plus de 95% de cancer qui touche le rein, il peut toucher aussi les
2 reins.
I.3. CLINIQUE
Cliniquement, on note :
Masse abdominale (74%)
Douleur abdominale rare mais représente 44%
lorsque la masse augmente de volume.
Masse au niveau du flanc si le rein est ectopique
Hématurie (signe d'appel et représente 5%), elle est
totale (20-25%)
Fièvre est rare (1%)
Tension artérielle augmentée, œdème des
membres inférieurs.
Varicocèle (extension veine cave inférieure (10%)
I.4. ANAPATH
I.5. PARACLINIQUE
I.6. TRAITEMENT
I.7. EVOLUTION-PRONOSTIC
II. NEUROBLASTOMES
II.1. DEFINITION
II.2. EPIDEMIOLOGIE
II.3. ETIOPATHOGENIE
II.4.CLINIQUE
Circonstances de découvertes
Diarrhée vasomotrice (VIP)
HTA (95%)
Compression médullaire (parésie, rétention urinaire)
Atteinte intra-canalaire).
II.5. PARACLINIQUE
II.6. TRAITEMENT
1. Age
2. Diagnostic (clinique et paraclinique)
3. stade d'extension
3. possibilité d'une chirurgie de la tumeur primitive),
4. l'amplification du gène N-myc
Chimiothérapie première
- Une intervention chirurgicale non militante
- Chimiothérapie lourde avec autogreffe de CSH
III.1. DEFINITION
III.2. EPIDEMIOLOGIE
Rare : 4 à 6 cas/million
1/3 sont tumeurs malignes
3 filles contre un garçon
Différentes localisations
1. Tumeurs ovariennes
2. Tumeurs testiculaires
2.1. Dysplasie Gonadoblastome 1%
2.2. Néoplasique
Primitives germinales
Séminome <1%
Carcinome embryonnaire (choriocarcinome< 1%, tumeur du sac
vitellin 40 à 55%, tératocarcinome <5%, tératome 35 à 45%)
III.3 ANAPATH
III.4. CLNIQUE
III.5. PARACLINIQUE
III.6. TRAITEMENT
III.7. PRONOSTIC
IV. HEPATOBLASTOME
IV.1. DEFINITION
IV.2. EPIDEMIOLOGIE
IV.3. ETILOGIE
IV.4. ANAPATH
IV.6.TRAITEMENT
V. OSTEOSARCOME
V.1. DEFINITION
V.2. EPIDEMIOLOGIE
80 cas/an en France
60% des adolescents (10-20 ans)
V3. CLINIQUE
Cliniquement, on note :
Une douleur,
Tuméfaction,
Impotence fonctionnelle,
Signes de fracture pathologique
V.4. PARACLNIQUE
V.5. TRAITEMENT
la Chimiothérapie
QUESTIONNAIRE D’ENTRATENNEMENT