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C HAPITRE 3: LA POLITIQUE MONETAIRE

INTRODUCTION

La poli que monétaire (avec la poli que budgétaire) sont des ins ument de régula on
macroéconomique . ces ins uments doivent ê e cordonnées pour a eindre des objec fs
considéré comme nal qui concerne l’ac vité économique la croissance,, l’in a on , l’emploi
ou l’équilibre extérieure. La poli que monétaire correspond a l’ensemble des moyens mise
en oeuvre par les au rités monétaire resta dire la banque cen ale a n d’a eindre des
objec fs qui peuvent ê e le ry me de l’in a on, le niveau du taux de changes ou encore le
taux de chômage. La poli que monétaire us comme ses objec fs et ses ins uments a fait
l’objet ou fait l’objet de débat en e les économis s si on caricature on peut iden er
di éren période en fonc on des éories qui ont dominé, dans les années 1970 ce sont les
éories keynésiennes qui ont domines et bien la poli que monétaire a été u lise pour
s muler l’inves ssement(l’ac vité économique ) dans une
Dans les 80 on est passé a une poli que monétaris re nancement , con ôle de la base
monétaire
Dans les années 90 on a des au urs qui ont été quali er de néo-keynésiens qui ont insis
sur le rôle des an cipa ons , ils sont insisté sur l’importance de la consomma on
l’in a on restait la cible prioritaire ,on passe plus a une poli que de con ôle de taux
d’in rêt et non pour la quan té de monnaie en circula on. Dans les années 2000 la crise
nancière a permis L’importance de la régula on nancière con airement a l’idée libérale
selon laque e qu’ils faut laisser (..)les marchés nanciers on a mis en place de nouve e
poli que keynésienne . On peut dire que la poli que monétaire e e a for ment évoluer ses
dernières années que les banques cen ales mobilisent aujourd’hui de nouveau ou ls au
services de nouveau objec fs .

SESSION1: les objec fs de la poli que monétaire

1) le consensus keynésien jusqu’aux années 1970


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Dans la éorie keynésienne la poli que monétaire e e accompagne la poli que budgétaire
comme la dé nit Kaldor dans les années 70 il ya 4 objec fs qui peuvent ê e iden er: le
taux de croissance du PIB, le solde d’extérieur, l’in a on , le taux de chômage . Ses
di éren s objec fs ne peuvent ê e a eint avec un seul ins ument d’ou la nécessité de
relier poli que monétaire et poli que budgétaire a par r de la on peut dé nit ce qu’on
appe e la règle de Tinbergen ce e règle e e dit qu’il faut au moins au mps d’ins uments
que la poli que monétaire ou budgétaire à d’objec fs principalement parce que un seul
ins uments ne peut perme re d’a eindre plusieurs objec fs , objec fs qui peuvent parai e
con adic ire par exemple le taux d’in a on et le taux de chômage. On re ent de ce e
règle qu il faut do r les au rités monétaires de di érents ins uments de régula on et que
ceci soit spéci quement a ecté a un seul objec f et en par culier l’objec f sur lequel ils sont
le plus e cace .
2) la remise en cause des précep s keynésiens des monétaris s et des nouveaux classiques

En réalité c’est des les années 1950 que les poli ques keynésiennes vont ê e cri quer
notamment l’e et de la poli que conjoncture e sur la croissance et parmi ses économis s
qui ont cri que les poli ques il y en a un : il s’agit de Mil n iedman qui con s
l’e cacité de la poli que monétaire sur l’ac vité réel . C’est dans un ar cle de 1956 que
Mil n Friedman va developper ses avaux sur la poli que monétaire et donc il va a
par r de la enrichit la vision classique (la dicho mie en e sphère réel et monétaire)il va
reme re en cause ce e dicho mie il va le faire d’abord en reconnaissant que Keynes a
raison d’une certaine manière en considérant que la monnaie est un ac f pa imonial c’est
a dire un ac f qui permet de conserve de valeur(pa imoine)cependant il va reje r lied
quoi ya aurait un arbi age en e ac on et obliga on que l’arbi age se ferait uniquement
en e monnaie et arbi age il va considère que le pa imoine peut ê e devenu sur 5 formes
d’ac f (5 e d’ac f pa imoniaux):
‧La monnaie
‧Les obliga ons
‧Les ac ons
‧Les ac fs réels
‧Capital humain
Et donc chaque agents économiques va choisir en e ses 5 ac fs la façon dont il souhai
devenir son pa imoine, conservé son pa imoine ce e arbi age va se faire en comparant
les services rendus par chaque pe d’ac f et ses services se décomposent en 5 éléments . Le
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premier c’est l’évolu on du prix de l’ac f ses évolu ons de prix vont perme re a l’agent de
dégager des plus-value ou des moins-value , us les ac fs sont po n e ement concerné par
une évolu ons des prix sauf la monnaie qui a une valeur qui est immuable , le second c’est
le revenu procuré par l’ac f . Sur une période
- pour les obliga ons le revenu c’est ce qu’on appe e le coupon ce coupon est généralement
xe
- pour les ac ons le revenu est le dividende et il est variable parce que le dividende dépend
a la fois de la s atégie de dis ibu on de l’en eprise mais aussi de son e cacité,
- pour les ac fs réels ca peut ê e un ac fs fonciers ou ses également une valeur d’usage
- Capital humain c’est le salaire qui cons tue ici le revenu du capital humain
- Concernant l’ac f monétaire le service rendu est liée a sa valeur d’usage ce e valeur
d’usage est liée a ses caractéris ques de liquidité mais la monnaie possède une limi ou
un défaut c’est que e ne propose aucune pro c on con e l’in a on .
Friedman consta que l’agent va chercher a maximiser son u lité c’est a dire l’u lité
qu’il re ent de son pa imoine sachant que a l équilibre il ya égalisa on des u lités
marginales du dernier euro placé dans chaque ac f et ce e égalisa on va se faire en
rme réel c’est a dire que les services rendus sont es més en rme de pouvoir d’achat
sans i usion monétaire et en nant comp de ses gouts et préférence en rme de
rendements et de risques sachant que plus le risque est élevé et plus les rendements sont
élevés . A par r de la iedman va in rroger sur le mei eur ou ls de poli que
économiques en cas de ralen ssement économique d’abord il reje e u poli que qui
consis rait a augmen r les revenus parce que dit-il cela découragerait l’o re et u
poli que de dépenses publiques en raison des e ets d’évic on possibles et d’un e et
mul plica ur considéré comme incertain. Du coup la poli que monétaire est considérée
comme po n e ement e cace car la masse monétaire in uence le revenu na onal de
court rme selon un mécanisme qu il décompose en qua e phase
- Premier phase: un ajus ment monétaire en phase de récession , en phase descendan
d’un cycle économique on aura une hausse du chômage , chômage qui passe au dessus de
son taux naturel et donc ici une augmenta on de l’o re de monnaie cen ale ce quoi
appe e la monnaie hélicoptère ce e monnaie va se di user via les banques commercial
dans l’ensemble de l’économie et du coup les agents se re ouve avec plus d’encaisse
monétaire qu’il ne le souhaitait .
- Deuxième phase: l’ajus ment pa imoniale : les agents dispose de plus d’encaisse
monétaire ils vont donc chercher a se débarrasser des excédants et ce e excédants
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va ê e u lise en achetant des obliga ons donc ce e demande d’obliga ons fait
augmen r le prix des obliga ons donc les gants se re ouve a un excès d’obliga ons
par rapport a leur pa imoine désiré ce qui les conduit a réajus r leur pa imoines
et donc ce réajus ment va en ainer une augmenta on de la valeur de us les
ac fs . Et donc si us les ac fs qui composent le pa imoine augmen alors la
valeur du pa imoine augmen ce qui conduit a un oisième ajus ment
- Ajus ment de la produc on: les agents économiques ayant vu la valeur de leur
pa imoine augmen ils vont donc augmen r leur dépenses ce qui va en ainer une
augmenta on de la consomma on et donc une baisse du chômage
- Ajus ment par les prix: progressivement l’expansion économique va en ainer
une augmenta on des prix car la baisse du chômage se aduit par une
augmenta on des salaires qui va progressivement se répercuté sur les prix et donc
ce e augmenta on des prix met n a la réa oca on Des pa imoine car la
valeur réel des revenu correspond de nouveaux au encaisses désirées ce e
rela on « chômage-in a on » a été formalise dans la courbe de Phi ips avec lied
que quand la demande de monnaie s’accroit les salaries sont en posi on de force
pour demander des augmenta on de salaire ce qui en aine une augmenta on n
du salaire nominal et inversement. Au tal l’équilibre nale pour iedman est
caractérisé par un s ck de monnaie , un revenu na onal et des prix plus élevées ,
on voit ici que iedman rompt ou abandonne le principe de dicho mie en e
sphère réel et sphère monétaire , e e est pleinement intégré au choix des agents et
ceci a avers la diversi ca on de leur por -feui e d’ac fs . Donc ici il accep
l’idée que la poli que monétaire peut avoir une e cacité a court rme mais avec
des e ets perturba urs -> les réaménagements de por -feui e sont rela vement
complexe et donc rela vement incertain.
-> il ya un e et mporel c’est a dire que l e et de la poli que monétaire prend
en e 6-9 mois et la hausse des prix arrive en e 15 et 24 mois et donc iedman
nous dit que donc a 2 ans on ne sait pas si ca été ès u le de mener ce e
poli que con nu du délai de son e et.
-> iedman considère aussi qu’il ya des per s de mps parce que les agents ont pris du
mps a réaménager leur pa imoines et que l’i a ions créer par la poli que monétaire a
aussi des e ets perturba urs en par culier c’est que k’in a on provoque aussi des
inégalités dans la redis ibu on des revenu et des richesses puisque certaine catégories
peuvent plus facilement se protéger que d’au es des e ets de l’in a on (les propriétaires et
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aussi ce qui dé ennent les ac ons des obliga ons c’est a dire les plus riches )et ceux qui ont
le plus de di cultés a se protéger de l’in a on ce sont les plus Pauvres . Du coup pour
Friedman la poli que monétaire doits sur ut ê e u liser pour garan r la stabilité des
prix et non comme moyen de lu e con e le chômage selon lui en assurant ce e stabilité
e e facili l’informa on des agents ce qui accroît l’e cacité du marché et con ibue
indirec ment a main nir un taux de chômage faible et donc ce qu’il recommande en
rme de poli que économique est de neu aliser l’e et de la monnaie en xant une règle
intangible(qui ne bouge pas) de croissance de la masse monétaire , croissance calculée par
rapport a évolu on du PIB sur plusieurs années . L’idée c’est que la masse monétaire doit
croi e au même ry me que la croissance du PIB .
A long rme la croissance et l’emploi dépendent de fac ur réel ce qui amène iedman a
dire : « a long rme l’in a on est ujours et par ut un phénomène monétaire » a long
rme la courbe de Phi ips est ver cale et on ne peut durablement fait baisser le chômage
en dessous de son taux naturel cela dépend de deux choses principalement la première est
la capacité des salariés a repèrent ou a iden er leur per s de salaire réel lorsque leur
salaire nominal na pas changé , la deuxième chose est de l’incapacité des salariés à ob nir
une augmenta on des salaires . Dans la éorie monétaris s les agents sont ra onnel et
ils sont donc en mesure de dé c r les baisses de salaires réel ce sui n’est pas le cas pour les
keynésiens qui raisonnent en rme d’i usion monétaire c’est a dire que les agents
réagissent a par r des salaires nominaux mais pas des salaires réels . A la sui de
iedman il ya de nouveau au urs qui ont émergés plutôt dans les années 80 avion a
quali er de nouveaux classiques ce sont Lucas,Barro,Gordon qui dont des au urs aussi
vont a er encore plus loin que iedman dans la remise en cause des poli que keynésiennes
et donc pour ses au urs les variables monétaires sont incapable d’agir sur les variable réel
c’est à dire sur l’ac vité économique y compris a court rme et donc pour cela il vont
approfondi le raisonnement de Mil n iedman en s’in ressant au principe d’ajus ments
des agents pour iedman on avait ce qu’on appe e des an cipa on adapta ve alors que
pour les nouveaux classiques le an cipions sont ra onne es dire qu’ils analysent la
per nence , l’évolu on de l’ac vité économique c’est a dire que si une poli que de relance
est annoncé donc il ya une augmenta on de la masse monétaire de la banque cen ale , les
agents eco comiques qui maî isent la poli ques monétaires vont an ciper une
augmenta on tur de l’in a on ils vont se protéger par avance en augmentant u
sui de produc on de salaire , les produc urs vont u sui augmen r leur prix, les
épargnants vont demander une hausse de leur rémunéra on et il y aura donc in a on .
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Ces au urs -> leur éories va conduire a des évolu ons des ac vités économiques Gordon
et Barro vont écrie un ar cle économique ou il vont considéré que des règle sont nécessaire
pour cons uit la crédibilité dune banque cen ale a n de lu er con e l’in a on en
comptant la produc on De l’o re de monnaie . Dans les années 90 une au e ques on va
en r ajou r a ses débats qui est ce e de l’indépendance des banques cen ales et donc ses
au urs vont developper des avaux qui mon ent que l’indépendance des banques
cen ales conduit aune in a on plus faible et donc a une stabilité des prix ceci évidement
une condi on , a la condi on que la poli que budgétaire ne soit pas laxis et donc que les
dé cits publics en cas de dérapage la banque cen ale sera donc oblige de rache r la de e
publique.
3) l’ac on des banques cen ale depuis les années 1990 Contrôle de
la masse
Depuis les années 1990 les banques cen ales ont beaucoup évoluer dans leur monétaire
sur M2
organisa ons et dans leur pra ques globalement on peut dire que es ont abandonne les
poli ques de policy-mix keynésienne ainsi que les poli ques monétaris s consistant a ciblé
le con ôle des agrégats monétaires , o, peut dire qu’e es sont plu n a la recherche de
nouveaux fondements de leur crédibilité alors que es sont confor r a une croissance des
marcher nancier qui complique leur ac ons et on va voir que ca iun impact a la fois
ins tu onne e mais également sur les ins uments u lisé .
3.1) sur le plan ins tu onnel
a la sui des avaux des nouveaux classiques beaucoup de pays on rendu leur
banque cen al au nome ou in dépendan des gouvernement alors un mandat claire de
lu e con l’in a on leur a été donné. C’est le cas de la zoniez euro puisque les banques
cen ale na onale ont été rendu indépendan et cela s’inscrit dans le aité de Maas icht
de 192 et le ai de Lisbonne de 2009 . Le président de la BCE est nomme pour 8 ans
non renouvelable il ne de comp a rendre a personne ni au conseil européen , ni au
parlement et ni a la commission . Le conseil de la poli que monétaire comp 21 membres ,
15 reviennent banquiers cen aux et 6 sont nommés par le conseil européen . Ici il n ya
pas de possibilité de coordina on avec les poli ques budgétaires na onales et ce e poli que
budgétaire e e est censé respec r des règle qui s’impose au gouvernement et qui sont
con ôlé par la commission en amont des vo des parlements na onaux (ce qu’on appe e
des semes es européens ). Ces règles résis mal au Cho économique en par culier lorsque ce
choc uche de manière di éren les pays de la zone euro en comparaison au états unis ,
c’est le gouvernement qui dé nit les objec fs de la FED le président de la FED est nommé
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par le président des E-U et le congre et il peut ê e demis de ses fonc ons par ses deux
même instances .
3.2) les ins uments de la poli ques monétaire
Depuis les années 1990 on a une nouve e école qui est apparu au urs qui ont cherché
faire une syn èse en e les éories hétérodoxes et or odoxes , ce sont des au urs qu’on a
quali e de nouveaux keynésiens ou néo-keynésiens comme S glitz et Blanchard et ces néo-
keynésiens ou nouveaux keynésiens ont avai é sur la ques on des an cipa ons en
essayant de ouver un moyen pour éliminer les erreurs d’an cipa ons qui sont selon eux
instables de stabilité économiques nancières. Et donc vont essayer de démon er que si les
agents économiques an cipent une in a on égal a la cible (des au rités monétaire) et
bien l’in a on. Consta sera e ec vement égale a l’in a on annoncée. Pour cel ils
proposent que les poli ques monétaires soit crédibles et que e inspire con ance aux agnats
économiques. Et donc ce qui sera au coeur de l’apoli que monétaire c’est la ansparence et
la communica on et donc ca cava passer sur ce qu’on appe e le canal des
an cipa ons(forwarel guidance) .
l’idée c est que la banques cen ales va chercher a con ôler les an cipa ons en annonçant
a l’avance l’évolu on des taux direc urs a n d’orien r l’ensemble des taux d’intérêt a la
fois a court et a long rme , et du coup ca conduit a des varia ons de taux direc ur qui
sont faibles et ils sont plus u lisés comme un signal que comme un moyen d’avoir
rée ement un impact sur le cout du credit .
3.3) la règle de Taylor

La règle de Taylor a été établi en 1993 par John Taylor , il a étudié le compor ment de la
poli que monétaire de la FED et il va mon er que la FED a suivit sans l’énoncé une
règle qui est la règle de Taylor e e s’inspire du avail de ses néo-keynésiens avec l’idée que
l’objec f d’in a on en général 2% et donc avec ses objec fs les banques cen ales vont
réaliser une sor d’arbi age en e deux écarts le premier écarts est l écart en e l’in a on
constaté et la cible de la banque cen ale et le deuxième écarts est l’écarts en e la
produc on constatée et la produc on po n e e et donc a par r de la la règle de Taylor
Regle de taylor: i=r*+p+ (y-y*)+β(p+p*)
i: taux d’intérêt direc ur
r*: le taux d’intérêt d’équilibre
p: in a on observée
(y+y*): écart de produc on
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(p+p*):écart d’in a on
FED( =β=0,5)
r*=2%
Avec ce e règle le taux d’in rêt direc ur de la banque cen ale est mis en rela on avec
l écart de produc on et l’écart d’in a on le taux d’in rêt augmen quand l’in a on
augment et il diminue quand la produc on augmen moins vi que la produc on
po n e e . Pour les économis s keynésiens ce e e e e e va poser un problème sur la
produc on po n e e en par culier comment son mesure la produc on po n e e parce
que e se réfère a la no on de taux de chômage naturel .
3.4) la stabilité nancière
La crise de 2007-2008 a for ment impacté les banques cen ales et e e a en par e
ques onné les éories néo-keynésienne puisque les banques cen ales ont été con ain
d’u liser de nouveaux ins uments de poli que monétaire. mais la crise nancière a aussi
rappelé au banque cen ale leur mission his rique qui est de gérer leur stabilité bancaire
et nancière et d’ai eurs lors de sa créa on en 1913 la FED avait pour mission de
favoriser l’établissement de banque , de fournir une monnaie élas que et de survei er
e cacement le système bancaire au Etats-unis. En n la crise e e mon er une oisième
chose c’est que la stabilité des prix n’est pas synonymes de stabilité nancière , nalement
e e doit jouer sur deux nalité la stabilité des prix mais assai la stabilité nancière.
4) les principaux objec fs des poli ques monétaire

4.1) le con ôle de l ac vité bancaire


Les banques sont nus de respec r un certain nombre de critère de ges on , critère qui ont
été dé ni par les au rités monétaire de façon a ce que les ins tu ons nancière ne se
me ent pas en di culté et donc pour ca di érent ra o ont été établit par exemple le ra o
de liquidité qui oblige les établissements de crédits a conserve su samment d’ac fs liquide
pour faire face au re ait de leur clients , le sont ra o est le ra o des grands risque avec
l’idée une banque ne doit pas op s’engager vis-à-vis Dun seul client et puis évidement le
ra on de solvabilité qui on été dé nir lors des accords de Bâle
4.2) le con ôle de la quan té de monnaie
Et donc ca consis a réguler le volume des moyens de paiements u lisable sur le marché
des biens et services pour cela les banques cen ales peuvent jouer direc ment sur
l’évolu on de la masse monétaire en jouant sur la liquidité des banques ou en jouant sur
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les con e-par e de la monnaie c’est à dire leur devises, les créances sur les taxes et les
ésors et les crédits agricole .

SESSION2: les objec fs in rmédiaire et les ins uments de la poli que


monétaire

Pour a eindre ses objec fs naux les banques cen ales vont agir sur des objec fs
in rmédiaires, la monnaie est crée lorsque un credit est accordé au sec ur privé a
l’extérieur ou au sec ur publiques par les banques et donc les au rités monétaire con ôle
direc ment ou indirec ment ce e créa on monétaire on va voir que si la banque cen ale
con ôle la dis ibu on de credit on parle de con ôle direct et que si la banque cen ale agit
sur la liquidité bancaire c’est a dire via les opéra ons de re nancement pou via les
liquidité que les banques commerciales doivent conserver et la on va parler de con ôle
indirec de la liquidité bancaire .
1) le con ôle direc de la liquidité bancaire
Il ya deux moyens de con ôle les liquidité bancaire.
1.1) l’encadrement du credit

C est évidemment le mode de régula on le plus direc , lied c’est que chaque banque va
disposer dune enveloppe de credit c’est a dire un montant maximale de credit que e peut
accorder et si e e dépasse l’enveloppe alors e e encours des sanc ons. C’est un système qui a
existé dans les années 1990, on avait en France ce e encadrement de credit mais qui était
complè pour le système boni es c’est a dire des crédits qui était accordé avec des taux
inférieur au taux de marche, l’état prenait a sa charge des di éren els , c’est un mode qui
prenait di erent sec ur sur ut le logement . Ce système était a la fois encours et e cace
quand le credit bancaire était e cace donc jusqu’au années 80/90 c’est un moyen encore
e cace mais qui fait des inconvénient comme :
‧Figer l’épargne des banques
‧D’avoir ndance à privilégier leur client et donc de pas cherche à avoir des crédits plus
innovan
‧La capacité de l’état à dé nir le montant de credit qu’aura besoin d’économie
Ce système d encadrement a été abandonné en 1987, quand l’économie en France a été
relier vers les marches nanciers
1.2) le con ôle des changes
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C est un disposi f qui vise a limité ou a in rdire certaine opéra ons qui aurait un impact
sur la stabilité des changes concrè ment ca sionis a limi r les entées ou les sor es de
capitaux , ce disposi f a existé en France des les années 80 en par culier en 1986v ou le
ont a été for ment a aque les France n’est pas la seule dans us les pays a existé a un
moment donné un disposi f de con ôle des changes disposi f qui ont us été abandonné a
la n des années 80 avec la libéralisa on nancière .
Il ya aussi une in rven on sur les taux de changes , e e peut ê e fait soit en in rvenant
sur les marchés monétaire soit en modi ants les parités d’échanges
Les in rven ons sur les marches de changes consis pour la banques cen ales a
in rvenir direc ment
E e peut ê e fai via sur les taux d’intérêts et donc ici par exemple les au rités vont
augmen r les taux d’in rêts de façon a a irer les capitaux ou a l’inverse baisser les taux
d’intérêts de façon a repousser les capitaux et donc ici cela va jouer sur la valeur extérieure
de la monnaie
Deuxième pe d’in rven on : ache r ou vendre des devises con e la monnaies na onales
de façon a jouer sur l’équilibre
Un pays peut ache r sa monnaie en vendant des devises a l’inverse il peut vendre ses
devises et ache r sa monnaie na onale .
Ses in rven ons agissent sur la liquidité bancaire puisse que aune une banque cen ale
vend une devise con e sa monnaie na onale , la liquidité en monnaie na onale est rédui
a l’inverse les ven s de monnaie na onales con e devises augmen la liquidité . Le second
pe d’in rven on consis a modi er les parité et donc ci dans le cas d’un système de
change xe il ya une modi ca on de par par exemple une dévalua on ou une
réévalua on vont a ec r la balance des paiements , par exemple une dévalua on va
améliorer la compé vité prix , en général c’est deux e ets di erent dans la mps a court-
rme ce sont le prix des importa ons qui augmen nt le plus rapidement et la baisse des
prix des produits impor s apparaissent dans un deuxième mps et on considère que a
moyen-long- rme ses e ets n nt a se réduire .

2) Le con ôle indirect de la liquidité bancaire


Aujourd’hui les banques cen ales ne con ôlent plus la quan té de credit mais e es
agissent sur les taux et les volumes de re nancement c’est pour ca qu’on parle de con ôle
indirect . Quo diennement les banques cen ales ont besoin de liquidités pour sa sfaire la
demande de bi ets et pour la conversion des soldes des opéra ons , peuvent ob nir ces
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liquidités soit a banque cen ales Via les opéra ons re nancement et ce sont donc les
condi ons xés par la banques cen ales pour le re nancement qui vont impac r les
condi ons que les banques se xent en e e es ainsi par exemple ici la banques cen ales
xe sont taux direc ur a un niveau X et bien le taux que vont se xer les banques en es
e es seront a X plus un pe t pourcentage et parei ement la banque cen ale va xer un
taux due rémunéra on des dépôts , ces dépôts c’est lorsque les banques cen ales déposent
un excès de monnaie par rapport a leur réservé obliga ire et ce taux est X- un certain
pourcentage . C’est en modulant les condi ons de re nancement des banques commerciales
que la banque cen ale in uence et pilo l’ensemble de la liquidités bancaire . Au sein de
l’euro-système , la poli que monétaire s’in tule au ur de deux ins uments principaux
donc ce qu’on appe e l’open market qui consis a ce que la banque cen ale e ectue des
apples d’o res régulier et donc la BC va o rir des liquidités au banques de second rang en
échange d’ac fs dé nu par les banques qui vont ê e donner mporairement en garan .
Le deuxième ins ument c’est ce qu’on appe e les facilité de dépôt ou de prêts ca veut dire
que la banques Cen ale va fournir ou rémunérer de la liquidité a court- rme sous
24H . Les mécanismes R.O est un ins uments qui est moins u lisé aujourd’hui mais qui
cons tue un levier supplémentaire pour agir sur la créa on monétaire et les taux
d’intérêt , on rappe e que ses réserves obliga ires sont une obliga on qui est fai au
banques commerciales de main nir sur leur comp s à la BC montant qui est
propor onnel à l’encours es dépôts liquides e ectues dans les banques par les agents non-
bancaire .
Ses réserves sont rémunérées a un taux proche du marché et on considère que e joue un
rôle stabilisa ur de l’ac vité bancaire dans la mesure ou e es con aignent les banques
commerciales a einé les processus de créa on monétaire .

3) les mesures non-conven onnels

E es sont u lisés lorsque les mesures conven onnés adi onnels ne sont plus e cace en
par culier lorsque malgré des taux ès bas il n’a pas de reprises de l’ac vité c’est comme si
il y avait plus de levier pour réac ver le marche monétaire .
3 pes de mesures qui font par r des mesures non-conven onnel
‧ la communica on qui a comme objec f d’agir sur les an cipa ons et donc ic
l’objec f ca va ê e in uencer les an cipa ons sur l’in a on ture et ke niveau ture des
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taux d’in rêts donc ici les banques cen ales vont annoncer l’évolu on des taux d’intérêts
sur une période rela vement longue .
☔︎ le quan ta ve easing et ce e assouplissement quan ta f consis a facili r les
condi ons d’ob n on de monnaie cen al par les banques commerciale . Ca veut dire que
la durée de re nancement et l’éventail des ac f accep sont élargis et ca aura comme e et
d’augmen r la tai e du bilan de la banque cen ale ainsi que la base monétaire et donc si
le mul plica ur de credit fonc onne . Et bien évidement pour qua ca fonc onne il faut
que les banques commerciale accordent des crédits sur ce surplus de liquidités .
☔︎ le qualita ve easing ou encore le credit easing ou encore l’assouplissement
qualita f : ici la banque cen ale va ache r soit au près des banques soit sur le marche
des es avec l’idée que e e subs tue les es de bonnes qualités par des es de moins
bonnes qualités de faire baisser les risques
Tou s les banques cen ale on sur recourt a ses mesures non-conven onnel après la crise
de 2008 la première banque cen ale a avoir eu recours a ses mesures c’est la FED suivit
de l’Angle rre et du japon .
Début 2015 la banque cen ale a également lancer un programme de QE et la BCE a
racheté des e de de es publiques sous réserve que les risques associe ne soit pas excessive
ce qui de fai a exclue la Grèce et le Chypre . Ils sont d’abord xe a 60 mi ards d’euro
par mois en 2015 puis a par r de mars 2015 ils sont été augment a 80 mi iards d’euro et
ensui ils sont été élargit au rachat des es de grandes en eprises . La BC a mis en
place une poli que car les taux d’intérêt était ès bas .
Et en février 2017 les acquisi ons de la BCE était de 1700 mi ards d’euro dont 67
mi iards de es privés para èlement en Mars 2016 la BCE a baissé ses taux direc ur et
le taux principale auquel les banques pouvaient se re nancer est passé à 0% ca veut dire
que les banques commerciale se re nançait gratui ment . Le taux auquel la BC rémunère
les dépôts des banques est passe a -0,4% ce qui équivaut a taux é les banques qui
n’u lisent pas leur liquidités a court- rme parce que en février 2016 l’in a on était a
-0,2 donc on avait une menace de dé a on , évidemment la situa on monétaire c’est
modi er et donc la poli que monétaire va aussi changer et cela se aduit par une
augmenta on des taux d’in rêt, des taux de re nancement et un arrêt des poli que de
QE.

Session 3: les canaux de ansmission de la poli que monétaires


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l’idee c est d essayer d’analyse les modalités de passages en e la poli que monétaire menée
et ses e ets sur l’économie réel et on dis nguer 4 canaux de ansmissions

1) le canal des taux d’in rêts


C est le canal le plus connue en faisant varier les taux d’in rêt direc ur , la badine
cen ale ob ent des e ets sur l’économie rée e a condi on que les gants économiques ne
soient pas vic mes d’i usion monétaires a ce moment la la baisse des taux d’in rêt
nominaux con olé par la banque cen ale va provoquer une baisser des taux réels ce qui
rend l’épargne moins in ressan et l’inves ssement moins coû ux , on se situe dans un
cadre du model Is-Lm avec deux in rpréta on possibles
- première in rpréta on possible: la baisse des taux en aine une baisse du cout du
credit et une baisse du cout de revient du capitale ce qui en aine une hausse de
l’inves ssement et par e et mul plica ur une hausse de la produc on(IS-LM)
- Deuxième in rpréta on L’idée que la baisse des taux en aine une hausse de
l’e cacité marginale du capital ce qui en aine une hausse de l’inves ssement et par
e et mul plica ur une hausse de la produc on (In rpréta on keynésienne) .
L’e et de la baisse des taux sur le coût du credit dans une percep ve

2) le canal des taux de change

Ce canal a pris une importance croissan avec l’in rnalisa on des économies , ce canal
fait aussi in rvenir les e ets du taux d’intérêts et ce qu’on peut considérés c’est que pour
un état donné des an cipa ons la baisse du taux d’in rêt va susci r des e ets
défavorables sur la monnaie na onales parce que ut simplement l’a rait pour ce e
monnaie c’est a dire l’a rait de devenir des dépôts dans ce e monnaie diminue au pro t
d’au es devises devises qu’on peut supposer pour lesquels les taux d’intérêt sont supérieur
cela signi e que sur les marches de hnages il y aura un excès d’o re de la monnaie sur le
marche des changes ce qui en aine une baisse du taux d’in rêt donc la taux de change de
la monnaie se déprécie . Ce e déprécia on de la monnaie a un e et sur la balance des
paiements et fait face a une baisse des prix des exporta ons en volume et une hausse des
prix des importa ons ce qui fait baisser le volume des importa ons

Et ce canal mon e comment la poli que monétaire a un e et sur les économies rée es et
donc ici c’est un e et prix qui joue, prix des importa ons, prix des exporta ons
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3) le
En faisant varie le taux direc ur la banque cen ale a end des e et sur l’o re et la
demande de credit , sur l’o re de credit si le cout de re nancement diminue la banque
cen ale s’a end a une baisse du cout du credit pour les agents monts nancier ce qui
devait augmen le volume de monnaie en circula on et sur la demande de credit si les
taux diminue on peu s’a endre a une hausse de la demande de credit . On va dis ngue
deux canal de base de ansmission : canal é oit du credit bancaire et le canal large du
credit bancaire :
‧ Le canal é oit du credit bancaire : selon ce e approche la poli que monétaire va
in uencer l’économie en agissant direc ment sur le volume de credit o ert ici lied c’est que
le credit bancaire et l’émission de es(ac ons, obliga ons) ce sont deux modalités de
nancement non Parfai ment subs tuables d’abord l’émission de es n’exis nt pas pour
les ménages et e e est souvent faible pour les en eprises . Et donc ce qu’on peut en conclure
c’est que la subs tutabili de ses deux moines de nancements n’est pas la même selon la
tai e de l’agent et le pe d’agent donc de ce e remarque on peut en conclure qu’il ya une
certaine inélas cité de la demande de credit ce qui veut dire que selon ce e concep on du
canal é oit une poli que monétaire expansionnis con ibue a accroî e la liquidité
bancaire en augmentant la quan té de prêts disponible on a donc une hausse du volume
des prêts qui en aîne une hausse des dépenses de consomma ons et d’inves ssements , on
va ensui une seconde in rpréta on:
Le canal large du credit : dans ce e seconde concep on on va in oduire de
désin rmédia on nancière c’est a dire que les en eprises par culiers ont le choix en ée
un nancement in rne et un nancement ex rne qui est plus coû ux donc on va
iden er une prime de nancement ex rne qui correspond a la di érence des couts en e
ses deux modes de nancements , ce e prime résume d’asymé ies d’informa on en e les
preneurs et les en eprises , les prê urs sont évidements moins bien informé de la volonté
de l en eprise a rembourser ses credit il ya donc un risque de non remboursement pour les
prê urs et ce prime explique l’exis nce de la prime . Ce e prime est aussi fonc on de la
richesse ne e de l’en eprise , plus une en eprise est solide plus e e peut appor r des
garan es au prê urs on va donc considéré que la poli que monétaire va a ec r le bilan
des en eprises puisque une poli que moi notaire expansionnis va en ainer une hausse
du cours des es ce qui améliore ma richesse de l’en eprise et donc ca conduit également
a une baisse de la prime de nancement ex rne et du coup on a deux e ets qui se cumule
et ses deux e ets cumul conduisent a une hausse des inves ssements .
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4) le canal des an cipa ons
Les au rités monétaires vont indiquer leur in n ons tures aux agents , ce canal il
repose sur deux aspects d’abord l’idée que les gants économiques sont urner vers l’avenir
c’est ce qu’on appe e le Forward Looking cela signi e que u an cipa ons du tur se
aduit par une ca on immédia et le deuxième aspect st la dimension au réalisa ice des
an cipa ons et ca veut dire que le moindre dou s sur le marchés(des opéra urs) peut
avoir des conséquences ès importan s et donc comp nu de ses deux aspects les agnats
doivent donc beaucoup communiquer sur les in n ons et donc pour faire cela e e passe
par des variables objec fs qui cons tuent des e ets d’annonces . Pendants long mps ce
sont les agrégats monétaire qui ont servit de variables objec fs pou les agnats aujourd’hui
es agrégats sont beaucoup moins u lisés . Ces des signaux l que l’in a on ou la
croissance qui cons tue ces variables objec fs .

Conclusion :
Les canaux de ansmission sont mul ples , ils rendent aussi la poli que monétaire
di ciles. Ses di érents canaux ne réagissent de la même manière , mais de manière
hiérarchique qui varie dans la mps . De façon générale on considère que le canal du taux
d’in rêt est la plus e cace .
Depuis les années 90 et la globalisa on nancière la poli que monétaire s’e ectue dans un
con x nouveau di érent d’abord parce que avec les innova ons nanciers en par culier
ce qu’on appe e les produits dérivés les agents économiques peuvent se prémunir des
varia ons de taux d’intérêts ou taux de change et donc du coup sil peuvent se prémunir
des varia ons ses canaux na fonc onnent plus ès biens donc il ya ca même une e cacité
de la poli que monétaire . Par ai eurs ses produits dérivés sont u lisés pour la spécula on
et donc a ce e ils créent des crises nanciers. Le second éléments c’est que avec la montée
de la globalisa on il ya une per de crédibilité de la poli que monétaire parce que les
poli que monétaires sont menées au niveau na onales alors que le marc he est mené au
niveau in rna onale . Donc nalement ca conduit u les BC a menée une poli que
monétaire iden que et donc il ya un risque de per de sa propre monnaie en n la
globalisa on a génère une instabilité nancière for , ce e instabilité a des conséquences
sur le système bancaire donc il ya une espèce d’instabilité récurren et ca conduit a
accroî e la supervision bancaire in rna onales avec les accords de Bâle et supervision
européenne
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