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Louis-Jacques Dorais
Cahier de linguistique, n° 10, 1980, p. 1-7.
URI: http://id.erudit.org/iderudit/800082ar
DOI: 10.7202/800082ar
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Si l'on est d'accord avec cette vision des choses, il faut donc
admettre que la connaissance d'une langue en tant que rapport global
de traduction à définition passe par la compréhension des processus
historiques qui ont marqué la structure sociale à laquelle elle se
rattache. Plus précisément, il nous faut comprendre comment une langue
donnée s'articule avec un mode de production spécifique et comment elle
se transforme (sur le plan sémantique tout au moins) en même temps que
ce mode.
Louis-Jacques Dorais
Université Laval
BIBLIOGRAPHIE