1.1.

Au niveau MICRO économique, quels impacts sur une entreprise commerciale française
LOCALE de votre choix?
Modèle de l’offre et de la demande avec déplacement(s) de droite(s) argumentés.

Da Ouest ne vend pas à ses clients, mais au consommateur final, c’est-à-dire aux personnes qui
achètent les articles contenus dans les distributeurs automatiques.
La pandémie de COVID-19 est une crise sanitaire. Mais ses répercussions sont aussi économiques.
En effet, cette crise sanitaire a eu un impact inédit sur les français, qui ont pour la grande majorité
décidé de changer de mode de consommation, en consommant moins mais mieux.
En outre, dans la grande majorité des endroits, les distributeurs automatiques ont été condamnés,
comme c’est le cas à l’IUT de Quimper par exemple, afin de respecter au mieux les consignes
sanitaires mises en places et les gestes barrières. Dans le même temps beaucoup d’entreprises ont
décidé de fermer salles et lieux de pauses pendant toute la crise sanitaire. En effet, les distributeurs
automatique sont des endroits où se croisent les consommateurs et donc des lieux d’affluence. Ainsi,
la consommation de ces produits à nettement diminué avec la crise sanitaire du COVID-19.
Nous pouvons illustrer cette situation avec le modèle de l’offre et de la demande. On retrouve la
quantité en abscisse, et le prix en ordonnée.
Dans ce cas précis, il y a eu une diminution de la demande, ce qui signifie que la demande a subi un
choc négatif, et ce qui entraîne un déplacement de la courbe de demande vers la gauche. On a alors
un nouvel équilibre qui apparaît, avec un nouveau prix d’équilibre inférieur au précédent, et une
nouvelle quantité échangée à l’équilibre également inférieure à la précédente. En d’autres termes,
ce phénomène a entraîné une diminution du prix, et une diminution de la quantité demandée.

Demande
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Offre
Nouvelle Demande

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Dès le début de la crise sanitaire, de nombreux commerces ont dût fermer, ce qui a eu un impact
important sur la productivité des entreprises, qui a diminuée et beaucoup de gérants ont dû mettre
leurs salariés en chômage partiel pour pouvoir faire face à la baisse du chiffre d’affaire. En effet,
Même si les entreprises ont continués d'alimenter au quotidien les distributeurs des hôpitaux et
grandes surfaces durant le confinement, elles subissent aujourd'hui le chômage partiel, lié à la
fermeture des salles de pause dans les entreprises, et des distributeurs automatiques dans les lieux
publics

Effectivement, dans beaucoup de lieux publics, les distributeurs automatiques ont été condamnés,
afin de respecter au mieux les consignes sanitaires mises en place et les gestes barrières. Dans le
même temps beaucoup d’entreprises ont décidé de fermer salles et lieux de pauses pendant toute la
crise sanitaire. Ainsi, la consommation de café et de produits alimentaires se trouvant dans les
distributeurs automatiques à nettement diminué avec la crise sanitaire du COVID-19, ce qui signifie
donc que les ventes ont énormément diminuées aussi pour la société Da Ouest.

Par conséquent, on peut remarquer qu’il y a eu une diminution de l’offre, ce qui signifie que l’offre a
subi un choc négatif, et ce qui entraîne un déplacement de la courbe d’offre vers la gauche. On a
alors un nouvel équilibre qui apparaît, avec un nouveau prix d’équilibre supérieur au précédent, et
une nouvelle quantité échangée à l’équilibre inférieure à la précédente. En d’autres termes, ce
phénomène a entraîné une augmentation du prix, et une diminution de la quantité offerte.

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Demande
Offre
3 Nouvelle Offre

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1.2.Au niveau MACRO économique, quels impacts sur le secteur économique de votre entreprise
dans sa globalité au sein de l’économie française?
Diagnostic en utilisant des indicateurs économiques pour voir si les symptômes sont présents et
avec quelle amplitude (à quantifier)

Le secteur de la distribution automatique alimentaire ne figure pas parmi les secteurs les plus
affectés par la crise sanitaire, mais ce secteur craint que les gares, et les entreprises interdisent
l'accès aux machines à café à leurs salariés, par précaution sanitaire, ce qui mettrait en péril une
activité qui représente 55.000 emplois en France. En effet, cela entrainerai une diminution de la
consommation, et donc un affaiblissement de la demande globale.

L’activité de ce secteur stagne entre 10 et 40 % depuis le déconfinement. Cette crise sanitaire

pourrait donc également faire augmenter le nombre de faillites d’entreprises, puisque dans les
« guides de bonnes pratiques » nécessaires à la reprise d’activité dans les entreprises après le
confinement, les distributeurs automatiques de café ou nourriture ne sont plus les bienvenus. En
effet, les distributeurs automatiques ont été très largement condamnés dans les gares, où beaucoup
de personnes qui ne se connaissent pas se croisent, ainsi que dans les entreprises.

Egalement, la crise sanitaire sur ce secteur d’activité peut avoir une incidence sur le taux de
chômage. Effectivement, s’il y a une diminution de la consommation, les entreprises se retrouvent en
difficulté, puisque elles voient leur chiffre d’affaire diminuer, et pour pallier cette difficulté, les
entreprises vont licencier des travailleurs si elles ne peuvent pas les mettre en chômage partiel, ce
qui entrainerait une augmentation du chômage.

De plus, cette décision d’interdire les distributeurs automatiques au sein des entreprises va par
conséquence faire naître une diminution des recettes fiscales, puis que les entreprises tourneront au
ralentit, l’activité économique sera réduite et les impôts collectés seront moindre.

Les entreprises se trouvant dans le secteur de la distribution automatique alimentaire vont donc très
certainement pour la grande majorité, devoir faire face à des difficultés économiques certaines.