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Les premiers tests psychotechniques pour la sélection apparaissent vers les années
1905, période de la publication des travaux de Binet et Simon.
I- Le processus de recrutement
STRATEGIE
Définir la stratégie de recrutement (1)
DE
Etape 1
RECRUTEMENT Développer son attractivité (2)
PREPARATION Expression de la demande (3)
DU Analyse de la demande (4)
Etape 2
RECRUTEMENT
Définition du poste et du profil (5)
La décision (12)
ACCUEIL
La proposition (13)
ET
Etape 5
INTEGRATION L’accueil (14)
L’intégration (15)
Ce schéma très général peut être réduit dans divers cas. Ainsi, l’entreprise qui
constitue son «vivier» permanent, en recrutant chaque année un certain nombre
de jeunes diplômés qui suivent une filière d’intégration standard, ne met en œuvre
que les opérations 1 à 2 et 8 à 15. Chaque opération mérite un examen.
A. La stratégie de recrutement
Les jeunes et les talents de tout âge ont et auront, en fonction des
environnements, de plus en plus de choix.
Attirer des candidats très sollicités, les séduire, les convaincre de choisir
son entreprise, de s’y intégrer et d’y être fidèles devient essentiel. Les concepts
d’employeur de choix, employeur de référence, employeur attractif, de marque
employeur et de marketing RH se sont imposés, d’abord dans les secteurs
confrontés à des difficultés endémiques de recrutement (certains métiers
industriels, ingénieurs high Tech etc.).
Une bonne image externe et interne est nécessaire pour attirer, intégrer et
conserver les compétences recherchées. La cohérence entre image interne et
image externe devient indispensable. Elle repose sur un discours externe
conforme aux pratiques vécues en interne. Chaque salarié est un ambassadeur. Il
contribue à la construction d’une image plus ou moins attractive.
- Connaitre les attentes des futurs collaborateurs dans leur diversité: les
jeunes non qualifiés et les jeunes diplômés, les techniciens et les cadres
expérimentés ont des aspirations diverses qu’il faut identifier et analyser
afin de définir les politiques et pratiques pertinentes.
B. La préparation de recrutement
L’un des risques à prendre en compte lors de cette étape est celui de définir
un profil qui limitera la recherche à des candidatures très proches des salariés
actuels, excluant les profils atypiques qui ne correspondent pas au profil défini
mais pouvant être une source de dynamisme de l’activité.
Les candidatures spontanées par internet ou par voie postale et les petites
annonces sont les deux principales sources de recrutement. Elles sont
examinées dans la section suivante, ainsi que l’approche directe. Selon les
qualifications recherchées et le marché du travail, l’entreprise choisira une ou
plusieurs sources appropriées.
Cette première élimination se fait sur des critères relativement simples. Les
réponses qui remplissent les conditions font l’objet d’un examen approfondi afin
de limiter le nombre de cas retenus pour la suite du processus.
b) La recherche d’informations
Les candidats retenus à l’issue des phases précédentes peuvent être soumis
à des tests. L’objectif de ceux-ci est double :
Fondée sur l’hypothèse que tout individu se projette dans son écriture, sa
validité scientifique est largement contestée et sa fiabilité prédictive mise en
doute.
«Les personnes qui postulent pour être poseurs de pare-brise sont soumises
au test de la mallette. L’épreuve consiste à diviser et à revisser des boulons et
des vis en les observant dans un miroir». Ce test permet de vérifier la capacité de
concentration et l’habileté du candidat. Il illustre la tendance actuelle.
-« Pour trouver la meilleure réponse à toute question qu’on peut vous poser,
répétez-vous :
- j’aimais mon père et ma mère mais mon père un tout petit peu plus
que ma mère ;
- les choses me plaisent comme elles sont ;
- j’aime ma femme et mes enfants mais je ne leur permets pas de se
mettre en travers de mon travail pour la compagnie.
La méthode des habiletés est de plus en plus utilisée. Par exemple, pour
recruter en 2011 les 150 maroquiniers nécessaires pour l’ouverture de son nouvel
atelier, dans la Drôme, Louis Vuitton a recruté non seulement des professionnels
de la chaussure de luxe mais aussi d’anciens prothésistes dentaires, coiffeuses,
spécialistes du toilettage canin et autres candidats en leur faisant passer des tests
de dextérité et de concentration. Les recrues sont ensuite formées 500 heures au
savoir-faire maroquinier de Louis Vuitton.
E – Accueil et intégration
1. La décision (12)
Une fois les entretiens et les tests éventuels achevés, le service interne ou
le cabinet externe chargé du recrutement présente les candidats retenus au
responsable hiérarchique demandeur.
2. La proposition (13)
3. L’accueil (14)
4. L’intégration (15)
Ces deux opérations sont examinées plus loin.
Les entreprises sont conscientes que le recrutement est une charge lourde. Elles font
tout pour attirer, choisir et retenir les meilleurs candidats.
A- Internet et l’e-recrutement
L’activité de recrutement se fait de plus en plus, par le net. Les entreprises diffusent
leurs offres via le net et reçoivent aussi un nombre important de demandes par ce
canal.
Les sites d’emplois ont atteint de grandes tailles. Ils offrent la publication d’offres
d’emplois, l’alerte e-mail (c’est-à-dire la possibilité d’aviser des candidats d’offres
pouvant les intéresser ou les entreprises de CV correspondant à leur recherche) et la
CVthèque.
3. Le «chat» de recrutement
Pour attirer plus efficacement les candidats, des entreprises ont créé des sites
internes où ils peuvent bavarder librement avec les salariés. Ainsi, Air France a créé au
printemps 2007 «Inside-airfrance.com», un site où les salariés volontaires présentent les
différents métiers du groupe et répondent aux questions posées par les internautes.
Les serious games sont apparus sur le marché français dans les années 2000 et
ont été utilisés afin d’attirer des candidatures, notamment de jeunes diplômés, par de
nombreuses entreprises. Ainsi l’Oréal a créé «Reveal by l’Oréal». Thales a créé son
serious game en 2008 pour faire connaître ses activités et l’entreprise dans un contexte
ludique et convivial. Le joueur doit utiliser des technologies, systèmes et produits de
Thales pour préserver la terre d’une pluie d’astéroïdes qui menace la civilisation..
Disponible sur iPhone et sur iPad, le jeu permet de se connecter directement au site de
recrutement de Thales. Thales estime toucher ainsi une cible d’ingénieurs très pointus.
De même, le jeu de l’Oréal lancé en 2010 a pour objectif de constituer un vivier de
candidats de profils variés.
Les candidatures spontanées se développent. Elles sont très nombreuses dans les
grandes entreprises, chez celles qui ont une bonne image. L’abondance des candidatures
spontanées est d’ailleurs utilisée comme une mesure de l’image dans certaines cibles de
recrutement. Les liens avec les écoles et universités, la participation à des forums dans
les établissements d’enseignement renvoient à ce souci d’attirer les meilleurs éléments.
Pour disposer d’un gisement adapté, les entreprises ciblent leur communication
afin d’accroître le nombre et la qualité. Les grands groupes développent des campagnes
de publicité institutionnelle. Cette préoccupation de l’image est particulièrement forte
dans les entreprises qui recrutent de nombreux jeunes diplômés.
Les grands groupes, les entreprises qui ont une bonne image de marque»
indiquent leur nom en clair, sauf quand elles veulent éviter que la concurrence soit
alertée ou que les cadres de l’entreprise prennent ombrage d’un recrutement extérieur.
Le législateur met en place des dispositions pour interdire les offres d’emploi
discriminatoires dans le Code du travail : «Nul ne peut mentionner dans une offre
d’emploi le sexe ou la situation de famille du candidat recherché, … sauf si
l’appartenance à l’un ou l’autre sexe est la condition déterminante de l’exercice de
l’emploi ou d’une activité professionnelle.» Il en est ainsi pour les travaux interdits aux
femmes (par exemple, travaux souterrains dans les mines) ou réservés par nature
(nourrice).
Le Code pénal, de son côté, sanctionne quiconque aura soumis une offre d’emploi
à une condition fondée sur «l’origine, le sexe, la situation de famille, l’appartenance ou
la non-appartenance à une ethnie, une nation, une race ou une religion déterminée.»
Selon Florian Mantione, «La finalité d’une annonce est d’obtenir un nombre
suffisant de bonnes candidatures pour effectuer une réelle sélection.
«Il faut, pour cela, s’assigner quatre objectifs : être vu, être lu, être compris, être
incitatif.»
Exemple : Les quatre objectifs d’une annonce
ETRE VU
Le choix d’un support se fait par rapport à la typologie de ses lecteurs et son adéquation avec les
candidats recherchés.
Chaque support publie régulièrement des analyses très fines des CSP (catégories
socioprofessionnelles) des lecteurs et de leur origine géographique. Rapprochée au coût de
l’annonce, cette information permet de calculer le coût pour atteindre un candidat potentiel. Le
meilleur rapport qualité/prix peut aider à choisir entre la presse spécialisée, la presse nationale ou
la PQR (presse quotidienne régionale).
ETRE LU
Une fois le support choisi, il faut avoir présent à l’esprit que l’annonce sera en concurrence avec
plusieurs dizaines d’annonces.
Cette concurrence s’exprimera en termes d’espace, de présentation, de composition, mais
également en termes d’image de marque d’entreprise, d’intérêt pour le poste, de lieu géographique,
de salaire, …
Que dire et comme le dire pour se démarquer des autres ? Que dire et comme le dire pour «attirer
l’attention ?»
Une «accroche» sur un point fort est recommandée : le projecteur peut être braqué sur l’entreprise,
sur la fonction ou sur tout autre élément de la proposition.
Ensuite, seront déterminants la mise en page, le choix et la taille des caractères typographiques,
l’interlignage, l’utilisation ou non d’une illustration, de la couleur, du «noir au blanc», … L’aide
d’un professionnel de l’annonce se révélera, à ce stade, indispensable.
ETRE COMPRIS
L’annonce doit être honnête et informative, d’une part, attractive, d’autre part.
L’information doit porter sur l’entreprise, le poste et le profil du candidat recherché. Elle doit être
claire, sans ambiguïté, et suffisamment complète pour fournir tous les éléments qu’un candidat doit
posséder avant de faire acte de candidature.
Il faut éviter les fausses promesses, les allusions, les exagérations.
Il faut surtout recherche l’adéquation candidat/profil recherché.
ETRE INCITATIF
Un candidat a donc vu et lu l’annonce. Il l’a comprise et s’est informé. Il doit, enfin, agir, c’est-à-
dire envoyer un CV. Il ne le fera que s’il sent une forte motivation vis-à-vis de la proposition ou de
certains éléments.
Le rédacteur de l’annonce doit donc se poser systématiquement comme question : «Si j’étais
candidat, qu’est-ce qui m’inciterait à répondre justement à cette annonce ?» Il faut donc se
démarquer des autres annonces, offrir un «plus» aux candidats, ce «plus» pouvant être actuel ou
futur.
D – L’approche directe
«Le consultant auquel vous faites appel étudie votre problème de recrutement
dans le détail : votre entreprise, sa personnalité, la fonction à remplir, son
environnement, le profil idéal du cadre à recruter, …
«Il mène alors une recherche active par laquelle il identifie les candidats
potentiels dans les secteurs et les fonctions proches du poste à pourvoir. Les personnes
ainsi identifiées sont toutes contractées personnellement et confidentiellement. Le
consultant vous tient au courant du déroulement de sa recherche.
Sur le principe de «si Lagardère ne vient pas à moi, j’irai à Lagardère», les
cabinets d’approche directe identifient par leurs propres moyens les personnes
recherchées et soignent les contacts individuels avec les prospects intéressants.
Les entreprises ne trouvent plus en interne les cadres dont elles ont besoin, car la
vague des départs (ou des non-recrutements) de ces vingt dernières années a éliminé un
encadrement qui aurait pu aujourd’hui prendre la relève L’importance des besoins futurs
laisser augurer d’un recours important dans les prochaines années.
De plus en plus, les entreprises vont cherche dans d’autres secteurs que le leur les
compétences qui leur manquent. Le risque est qu’un outsider peut faire l’objet d’un rejet,
ou ne pas s’adapter, d’où l’importance accrue de la dimension culturelle et des valeurs
à prendre en compte dans le recrutement.
La recherche d’un bon profil prend en moyenne quatre mois. Sur la liste de 150
candidats, le recruteur en voit vingt, le client entre six et douze. Généralement, le
vainqueur est évident, mais les malheureux deuxièmes sont très bien positionnés pour
la recherche suivante.
Les chasseurs repèrent les «bonnes personnes» en gardant un œil sur certaines
entreprises réputées pour former de bons leaders.
Ce qui compte pour un cadre, c’est de se faire repérer, et être très bon dans son
entreprise n’est pas suffisant, il faut se faire connaître (articles, conférences, …). Les
cabinets d’outplacement indiquent quelle association rejoindre et quel rôle y jouer pour
augmenter la valeur et la notoriété de leurs clients.
III – ACCUEIL ET INTEGRATION
Il faut une fois la décision de recruter un candidat prise, assurer dans les
meilleures conditions son accueil et son intégration. La réussite de l’intégration repose
sur la qualité des procédures d’accueil et du suivi de l’intégration.
Les pratiques des entreprises françaises d’accueil sont présentées dans leurs
bilans sociaux (chapitre 6, rubrique «Information et communication»). Dans un grand
nombre de cas, il n’existe pas de procédures formalisées. Cependant, une évolution nette
se dessine : les entreprises ayant un programme de recrutement mettent en place des
procédures facilitant l’intégration des nouveaux.
Exemple
Extrait du bilan social d’un établissement de 1 000 personnes appartenant à un groupe alimentaire, le
document suivant illustre les composantes d’une procédure d’accueil du personnel ouvrier.
Deux niveaux sont distingués : l’accueil dans la société et l’accueil dans l’atelier. Dans l’atelier, un
«correspondant accueil» prend le relais du service du personnel. Aux deux niveaux, l’aspect sécurité occupe
une large place.
PROCEDURE D’ACCUEIL
I. Accueil au «niveau société»
* Visite d’usine depuis la galerie, présentation de la société au sein du groupe.
* Information sur : paie, sécurité sociale, mutuelle, services communs (vente au personnel, permanence des
infirmières et de l’assistance sociale, service de cars, permanences bancaires, aspects du règlement
intérieur.
* Information qualité-bactériologie.
* Remise d’un dossier comprenant :
- un organigramme général de l’usine ;
- une fiche de conseils pratiques ;
- une fiche de paie discutée et commentée au cours de la séance de travail ;
- un règlement intérieur ;
- un exemplaire du journal d’entreprise.
II. Accueil au «niveau atelier»
Réalisé par les correspondants accueil (agents de maîtrise chargés de cette démarche) comprenant :
- une visite détaillée du service (locaux, matériel, situation dans le processus de fabrication) ;
- une visite des locaux «stratégiques» (locaux des agents de maîtrise, vestiaires, réfectoire, salles de repos) ;
- présentation du poste de travail et mise en formation, aspects du fonctionnement des machines, sécurité.
C – Le suivi de l’intégration
UTILISATION
Pratiques d’accueil et d’intégration
Très fréquente Fréquente Moyenne Rare
Accueil formel par le responsable hiérarchique 72 23 5 -
Information orale sur l’entreprise 45 42 11 2
Visite du site 23 37 31 9
Remise du livret d’accueil 23 21 37 19
Information sécurité 17 17 26 40
Présentation aux cadres de l’établissement 15 30 35 19
Informations sociales 14 27 32 42
Echo dans le journal d’entreprise 12 14 32 27
Rencontre avec la direction générale 9 18 31 42
Formation spécifique 7 26 35 32
Entretien régulier de suivi 7 19 39 35
Séminaire d’accueil 7 14 23 56
Information audiovisuelle 6 16 31 47
Désignation d’un responsable de l’intégration 5 12 22 61
Parrainage par un plus ancien 0 7 22 71
Ces modalités sont généralement mises en place dans les groupes qui procèdent
régulièrement à des recrutements assez nombreux. La qualité de l’accueil doit être
prolongée par un suivi vigilant de manière à lever les obstacles provenant tant de
l’entreprise que du nouvel embauché.
IV – DU RECRUTEMENT A L’E-RECRUTEMENT
Avec internet et le web1.0 les processus de recrutement ont connu une première
évolution. Avec le lancement de sites de recrutement (Monster a été créé en 1999), la
recherche et le recueil de candidatures via internet, des applications pour faciliter la
relation candidat-entreprise se sont développées.
Avec le web 2.0, c’est l’ensemble du processus de recrutement qui connait une
profonde transformation pour le candidat comme pour le recruteur. Le candidat dispose
d’informations et d’outils nombreux lui permettant de se préparer efficacement. Le
recruteur dispose d’une gamme d’outils pour développer l’interactivité et la proactivité,
attirer les candidats, dialoguer avec eux. Besson et Digout observent : «Le schéma
traditionnel descendant est en train de disparaître au profit d’une relation plus équilibrée
grâce à l’arrivée des médias sociaux … L’échange virtuel recruteur candidat est
maintenant dans le schéma de communication horizontale.» Le web 2.0 amplifie
également l’impact sociétal du recrutement avec sa rapidité, sa massification et la
perception de la marque employeur.
A – La stratégie de recrutement
B - La préparation de recrutement
Les entrerprises utilisent également les bannières publicitaires sur des sites
internet, des podcasts, des vidéos, des newsletters, les tchats, les blogs, les job-boards
généralistes (Cadremploi, Cadres-Online, Monster, APEC, Pôle emploi,…) ou
spécialistes (Hanploi pour les personnes en situation de handicap, Régionsjob, …).
Le web 2.0 favorise la cooptation : un membre du réseau fait suivre une offre
d’emploi à l’un de ses contacts ou fait suivre le profil d’un candidat, un candidat
demande à un de ses contacts d’être introduit auprès d’un membre de son réseau, un
recruteur demande un avis sur un candidat.
E – L’accueil et l’intégration
V – L’audit de recrutement
Les coûts correspondant au temps passé par les divers acteurs, d’après les
salaires, toutes charges sociales incluses. Ceux-ci peuvent être classés en trois
catégories :
Les coûts correspondant à des frais «directs» facturés (par exemple : frais
d’annonces, honoraires de cabinets-conseils, frais de voyages des recruteurs et
candidats, location de bureaux de réception).
Ces frais peuvent être importants. Ainsi, pour le recrutement d’un cadre, les frais
d’annonce représentent souvent de 10 à 20% du salaire annuel et les honoraires de
cabinet de 15 à 22% de ce même salaire. Lorsque le recrutement se situe à un niveau
plus élevé et implique l’intervention d’un chasseur des têtes, à l’exclusion de toute
annonce, les tarifs des cabinets sont nettement plus élevés.
1- L’audit de conformité
Il peut porter sur :
- Les règles légales et conventionnelles ;
- Le respect des procédures internes ;
L’auditeur est souvent conduit à vérifier l’existence de procédures internes de
recrutement ; leur diffusion aux décideurs et leur application effective.
2- L’audit d’efficacité
La mission de l’auditeur ici est de vérifier dans quelle mesure les objectifs qualitatifs et
quantitatifs ont été atteints et d’expliquer les raisons d’écarts éventuels
L’audit peut aussi porter sur l’efficience à savoir l’atteinte du résultat au meilleur coût.
3- L’audit stratégique