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sanitaire tunisien
Bien qu’on lui reproche d’être trop centralisé, le système sanitaire tunisien se
caractérise positivement par son unité et par son professionnalisme avec un rôle clé au
ministère de la santé (section 1).
C’est en1884, sous le règne du Bey Ali III, qu’une direction de l’assistance et
de la santé publique fut créée pour la première fois. En 1943, le dernier Bey
Husseinite Lamine Bey intègre cette direction au sein du ministère des affaires
sociales.
- Les services de la DSSB collaborent avec l’OMS, qui lui apporte son appui
financier et technique. Des programmes conjoints ont été établis entre eux,
*« pour réduire la morbidité et la mortalité infanto-juvéniles ».
*Une action conjointe en rapport avec les services essentiels en santé maternelle et né
Cette Unité se base dans son travail sur les normes internationales conçues par
l’OMS sous forme d’un manuel dans le but de fournir un matériel de référence
complet sur le système de gestion de la qualité en laboratoire. Ce manuel (ou
guideline) est destiné à toutes les personnes intervenant dans les processus de
fonctionnement d’un laboratoire, à tous les niveaux : gestion, administration et travail
technique.
Déconcentrer part de la nécessité « d’avoir des agents sur place ayant un pouvoir
propre de décision et permettant de mieux tenir compte des nécessités locales ». C’est
pour ces nécessités pratiques que l’administration du ministère de la santé a été
renforcée par des directions régionales de santé dans chaque gouvernorat. Comme dans
toute déconcentration, les directions restent soumises à l’autorité des organes
centraux
dont ils sont les représentants. La régionalisation telle qu’elle est organisée en
Tunisie est une forme de déconcentration. Il s’agit d’un choix politique pour étoffer
et consolider notre système de santé. Elle permet à la fois d’enraciner les principe de
bonne gouvernance et de rationalisation administrative par le fait qu’elle octroie
davantage de responsabilités aux organes régionaux qu’on estime être mieux outillés
pour prendre en charge la situation sanitaire dans leurs territoire, en maîtrisant mieux
l’information. C’est en cela qu’ils doivent participer activement à la planification et à
la gestion des soins se rapportant à leur territoire.
- cette définition est plus large que celle mentionnée dans le décret précédent qui la
limitait à la veille sur l’hygiène de la population,
-d’autre part cette définition est en harmonie avec celle de l’OMS disant que la
santé est « un état de complet bien-être physique, mental et social, et ne consiste
pas seulement en une absence de maladie ou d'infirmité».
Pour créer un système de santé entièrement public reposant sur trois lignes ».
et par le fait que l’action des structures publiques est complété par celle du secteur
parapublic et du secteur privé (B).
Le décret 2002-846 du 17 avril 2002 fixant les critères de classement des structures
sanitaires publiques dans son article 1er, il utilise les critères de mission,
d’équipement, de niveau technique et de compétence territoriale comme critères de
classement.
Il divise ainsi les structures sanitaires publiques en
-centres de santé de base,
- hôpitaux de circonscription,
- hôpitaux régionaux
- établissements sanitaires à vocation universitaire.
le niveau primaire est non segmenté, et doit pouvoir répondre à la majorité des
problèmes de santé
Par contre, les niveaux secondaire et tertiaire sont spécialisés et donc segmentés.
Le niveau secondaire regroupe la médecine spécialisée au sens large
et le niveau tertiaire est celui de la médecine de haute technologie (hôpitaux universitair
1.La première ligne de soin se compose des centres de santé de base CSB, considérés
comme « la porte d’entrée du secteur public, et forment un réseau décentralisé qui répond
aux besoins en soins préventif et en soins curatifs de base ».
• Ensuite, viennent les hôpitaux de circonscription qui « ont une compétence territoriale à
l’échelle d’une ou plusieurs délégations ».
Ils comprennent des services de médecine générale, de maternité, de radiologie,
d’analyses de laboratoire, de pharmacie, des consultations externes et des urgences.
La deuxième ligne de soin : constituée par les hôpitaux régionaux.
Ils ont une compétence territoriale à l’échelle d’une région ou de plusieurs délégations.
Au début des années 90, suite à la réforme hospitalière financée par la banque mondiale,
les centres hospitalo-universitaires sont devenus des établissements publics de santé
(EPS)
c’est une nouvelle forme juridique son but est d’améliorer la gestion des hôpitaux
universitaires et de rendre + claires les bases de leur financement, puisqu’ils sont soumis à
la comptabilité commerciale.
L’OMS s’est engagée, dans ce cadre de création de structures nouvelles de qualité, dans
un partenariat avec la Tunisie.
Celui-ci vise à développer des centres d’excellence et à faire en sorte qu’ils contribuent à
la coopération internationale.
7 centres ont été désignés centres collaborateurs de l’OMS.
Ils interviennent dans différents secteurs (laboratoires, médicaments, banques du sang,
ressources humaines, santé génésique etc.)
Ils reçoivent des boursiers stagiaires de la Région de la Méditerranée orientale et des
autres régions surtout l’Afrique et font bénéficier certains pays de leur expertise.
Les centres spécialisés, qui viennent se rajouter à des structures spécialisées dans le
domaine pharmaceutique, ou dans le domaine du contrôle et de la prévention, ont été
créés par le ministère de la santé comme par exp :
- le centre Mahmoud Yaakoub d’assistance médicale urgente (CAMU),
-le centre national pour la promotion de la transplantation d’organes,
- le centre national de greffe de moelle osseuse
-et le centre national de transfusion sanguine
La notion de participation public –privé dite « PPP » désigne « toute entente en vertu de
laquelle le secteur privé accepte une certaine responsabilité à l’égard d’une infrastructure
publique ou de la prestation d’un service public ».
Le partenariat est appréciable dans le sens où il « dégage l’Etat des activités dont les
coûts à la foi politique et financier se font excessifs ».
La Tunisie dispose ainsi d’un capital humain médical qualifié, avec prodiguée
dans les quatre facultés de médecine de Tunis, Sousse, Monastir et Sfax, ainsi que
dans les deux facultés de pharmacie et de médecine dentaire de Monastir.
Les missions de la direction des ressources humaines ont été élargies par
l’article 25 bis du décret n° 2006-746. Depuis cette date, elle examine toutes les
questions en rapport avec la gestion des ressources humaines, arrête les besoins des
services, élabore les projets de textes réglementaires concernant les personnels de
santé et prépare les prévisions budgétaires en matière de personnel.
Mais ce qu’il faut surtout signaler est que le rôle de la DRH devient plus
innovant car plus stratégique : il ne se limite plus au « respect de la réglementation du
travail (code du travail, statut général des fonctionnaires) et sur la gestion des
éléments constitutifs de la paye, des absences, des congés, des retraites, etc. ».
Chapitre2 : La politique de santé
Section1 : L’évolution de la politique de santé en Tunisie
Les acquis de santé ont été le fruit de plusieurs évolutions historiques qui
peuvent être résumés en 4 importantes étapes ayant marqué la politique de santé
tunisienne :
La première étape a commencé depuis l’indépendance jusqu’à la fin des années 70.
Le premier gouvernement tunisien porta son attention aux efforts de développement
des ressources humaines et de l’infrastructure sanitaire publique. L’objectif majeur
des gouvernements était de généraliser les institutions sanitaires sur l’ensemble du
territoire du pays. Cette période a été marqué dés lors de la construction d’hôpitaux et
de centres de santé, Ainsi que la création des écoles de santé et des facultés de
médecine. Avec l’appui de l’OMS, « des campagnes sanitaires pour juguler les
maladies sévissant de manière endémique ont été mise en place accompagnés des
programmes de lutte contre la malnutrition et les maladies infectieuses, y compris
l’éradication du paludisme et du trachome ».
La deuxième étape fut celle de la réforme des soins de santé de base qui a
commencé à partir des années 80 et dura jusqu’au début des années 90. Cette
politique visait à garantir l’accès aux soins aux citoyens tunisiens par le
développement de la carte sanitaire de première ligne. Le gouvernement se focalisait
sur la mise en œuvre de programmes nationaux modernes, ajustés à ceux de l’OMS
inspirées de la déclaration d’Alma-Ata sur les soins de santé primaires, la santé
maternelle et infantile et l’éradication des maladies infectieuses.
Enfin, la dernière réforme majeure fut celle de l’unification des caisses d’assurance
maladie, dont le but de créer une intégration de la gestion du risque maladie entre les
caisses et de garantir une meilleure prise en charge de certaines pathologies
notamment chroniques. Cependant, « la mise à niveau du secteur public de la santé
qui devait être réalisée en parallèle n’a pas eu lieu. Cette réforme a engendré un sous
financement du secteur public et a creusé les disparités entre les affiliés de la CNAM
selon les filières de prise en charge mais aussi entre les affiliés de la CNAM et les
bénéficiaires de l’assistance médicale gratuite (l’AMG) ».
Il garantit le droit à la santé pour tout être humain, a cet égard le législateur tunisien
a choisi de partir de l’être humain pour introduire la règle d’égalité sans
discrimination raciale ou religieuse.
Il garantit la prévention et les soins de santé à tout citoyen et assure les moyens
nécessaires à la sécurité et à la qualité des services de santé.
Le troisième axe est plus spécifique, il s’intéresse spécialement aux personnes
démunies qui méritent naturellement une gratuité de soins et une couverture sociale
convenable.
Ainsi un premier plan quinquennal a été programmé pour les années 1962-1964,
suivit par un deuxième pour la période 1965-1968, et par un troisième allant de l’année
1969 l’année 1972. Le dénominateur commun entre ces trois premiers plans était de
faire reculer la pauvreté et améliorer la situation sociale du citoyen notamment la
situation sanitaire qui était l’une des priorités du pays. Pour ce faire, le gouvernement
tunisien a fourni les investissements nécessaires et les ressources humaines adéquates
pour agir directement en la matière par la création d’un tissu sanitaires formé des trois
lignes, primaire, secondaire ou tertiaire.
Durant les années soixante-dix, les quatrième et cinquième plans de
développement (1973-1976) et (1977-1981) se sont focalisés sur le développement de
la formation des professionnels de la santé. Les années 80 se focalisaient sur
l’amélioration de l’accès aux soins de santé de base et le sixième plan de
développement (1982-1986) cherche à améliorer le planning familial, faire reculer
l'âge au mariage, et de maternité ainsi que la contraception».
Les années 90 ont porté un projet de réforme sanitaire pour sauver le secteur de
la santé de la crise. En effet le gouvernement, a mis en œuvre une nouvelle stratégie
qui tend à assurer le développement continu des soins de santé de base à travers un
programme de consolidation de l’offre de soins de santé de base, l’amélioration des
soins hospitaliers par une réforme des aspects structuraux et institutionnels des
hôpitaux universitaires et enfin la réforme de la législation sur les prestataires des
soins privés.
Durant les années 2000, la politique sanitaire tunisienne se focalisa sur les
problèmes de financement de santé, d’efficience du secteur de la santé et de qualité des
soins, avec la réforme des « EPS » et de l’assurance maladie susvisées.
Depuis la révolution de 14 janvier 2011, le panorama économique et social se
caractérise par un climat politique instable, une croissance économique faible et un
taux de chômage élevé, une situation sociale délicate et un mécontentement des
citoyens du service de la santé. Le gouvernement s’est trouvé dans l’obligation de
définir une nouvelle vision pour le développement, en réponse aux aspirations
nationales, fixant les priorités et les grandes orientations stratégiques, en se basant sur
une vision claire chez les parties prenantes et les partenaires nationaux et étrangers,
particulièrement les orientations stratégiques recommandées par l’OMS.
Le Dialogue sociétal sur les politiques, les stratégies et les plans nationaux de
santé, tel qu’il apparaît dans ses documents de présentation, s’est étendu sur trois
phases :
La politique nationale de santé s’est en fait basée sur des axes stratégiques
préexistants en matière de politique de santé qui projettent d’assurer :
Elle doit être basée sur des données probantes suivant un processus horizontal qui
ne se contente pas seulement de la description de l’infrastructure publique de santé
en négligeant les questions d’équité de qualité, de la gouvernance et du partenariat
avec le secteur privé. L’établissement d’une carte sanitaire normalisée, englobant
l’ensemble des secteurs de la santé est aujourd’hui une priorité pour orienter le
développement du système de santé, être la base de l’amélioration du service
public. Elle doit être accompagnée « des mesures nécessaires pour assurer de
manière effective des services de qualité dans toutes les régions du pays et pour
faciliter l’accès à ces services ».
Ces analyses devraient concerner tant les équipements lourds utilisés dans le
secteur public que dans le secteur privé, parce que « le développement rapide du
secteur hospitalier privé a entraîné une multiplication de ces équipements lourds
plus rapidement que le secteur public sans qu’aucune évaluation précise de
l’exploitation de ces installations n’ait été entreprise ». Cela n’a pas manqué
d’avoir des conséquences lors de la dernière crise sanitaire, la pandémie liée au
COVID-19, où le ministère de la santé a mis en relief l’absence de réserves
stratégiques dans le secteur public de certains équipements notamment de
réanimation médicale, faute d’études antérieures. Il en résulte la nécessité de
procéder « à un inventaire exhaustif de l’infrastructure et des équipements existants
incluant leurs nombres et leurs fonctionnalité, de l’élaboration d’un programme
de réhabilitation urgent visant essentiellement les structures de santé de base » et
ce, grâce à une carte sanitaire à jour et fiable, intéressant tant le secteur public que
le secteur privé.
En effet, la carte sanitaire actuelle ne dévoile pas comment le secteur privé de santé
bloque le développement du service public de santé au lieu de l’aider à réguler les
prestations sanitaires pour l’ensemble de la population.
Section 2 : Le développement des soins de santé de base
Les trois catégories des fonctions essentielles de santé publique, dont les
résultats permettent de juger de l’efficacité d’un système sanitaire, sont la prévention
des maladies (paragraphe 1), la protection de la santé de la population (paragraphe 2)
et la surveillance des risques pour la santé (paragraphe 3).
Paragraphe1 : La prévention des maladies
Le service public de santé, pris dans son sens organique et matériel, doit agir
pour limiter les facteurs de risque associés aux maladies, aux problèmes
psychosociaux et aux traumatismes et leurs conséquences, il doit détecter à temps les
signes précoces de ces problèmes pour y faire face. Cette action préventive se fait :
Par des organismes, des services, des programmes qui identifient et ciblent des
personnes à risque et ce, soit directement soit par l’intermédiaire de partenaires du
secteur de la santé et des services sociaux.
En second lieu, l’action de prévention s’effectue au moyen de l’information et de
la sensibilisation sur les facteurs de risque de maladies ou de problèmes
psychosociaux et la manière de les limiter efficacement.
Enfin, l’action préventive du ministère de la santé prend la forme d’interventions
visant à alerter les autorités concernées sur les situations qui présentent des risques
de morbidité ou de mortalité pour un groupe de personnes et à la recherche de
solution pour les limiter.
Au point de vue textuel, l’article 2 du décret 74-1064 du 28 novembre 1974
pose que, la prévention se fait par « l’initiation et la stimulation de toutes les formes
d’éducation collective ou individuelle de nature à améliorer le comportement de la
population sur le plan de l’hygiène ». Elle se fait aussi par « l’assistance technique à
tous les organismes publics ou privées dont l’action peut avoir des prescriptions sur
la santé de la population et notamment dans les domaines du contrôle de l’habitat, de
l’eau de consommation, de la production alimentaire, de la protection de
l’environnement… ».Cette assistance peut être réalisée soit par la participation à
l’élaboration des normes et des textes relatifs à ces domaines, soit par le contrôle de
l’inspection que le ministère exerce sur les activités des différentes structures
intervenant en matière de santé.
Cependant, et malgré les progrès constatés dans la lutte contre les maladies non
transmissible (A) rien n’est acquis pour l’avenir, car des actions conséquentes de
protection des capacités des structures de santé publique afin de faire face aux
maladies transmissibles connues et émergentes restent encore à entreprendre. A côté,
de cette mission classique, existant dans presque tous les pays, la situation en Tunisie
se trouve aggravée par le fardeau des maladies non transmissibles (B) qui y a
considérablement augmenté.
L’article premier de la loi 92-71 dispose que « nul ne peut faire l’objet de
mesures discriminatoires à l’ occasion de la prévention ou du traitement d’une
maladie transmissible. Toutefois en raison du comportement du malade et en vue de
prévenir la propagation d’une maladie transmissible, des mesures particulières sont
prises conformément aux dispositions de la présente loi ». Cependant, la lecture de la
suite des dispositions de la loi montre vite la limite quant aux moyens de lutte contre
ces maladies transmissibles. L’hospitalisation d’office apparaît ainsi comme l’une
des mesures les plus adaptées dans cette lutte, mesure caractéristique de police
sanitaire et limite à la liberté individuelle au profil de l’intérêt général, de l’objectif
de santé publique.
D’une part, alerter les services de santé publique qui, éventuellement, décident des
mesures relatives aux soins et à la prévention.
D’autre part, recueillir les données qui établissent le plus exactement possible le
nombre de cas observés pour chacune de ces maladies ». Toute déclaration
implique le ministère de la santé puisqu’elle est faite aux autorités sanitaires par un
personnel de santé ayant diagnostiqué la maladie ou qui en a pris connaissance, «
quel que soit son statut ou son mode d’exercice ».
D’autres mesures préventives, qui sont aussi des mesures de police sanitaire
ont pour but d’agir sur la maladie contagieuse avant qu’elle ne se propage sur le
territoire :
La Tunisie a réalisé des progrès dans la lutte contre le cancer en élaborant des
plans de lutte nationaux, dont les principaux objectifs sont proches de ceux de
l’OMS :
prévention et détection précoce, formation et recherche, surveillance, et la garantie
de soins. Toujours dans son rôle d’évaluateur des programmes nationaux, l’OMS a
relevé les insuffisantes structurelles du système de santé qui obèrent la réussite du
programme et conseillé de renforcer nos infrastructures, équipements et nos
ressources humaines.
Quant aux autres maladies non transmissibles, tels le diabète, l’hypertension
artérielle, les maladies respiratoires chroniques ou encore l’obésité, qui ont une
prévalence importante dans la population mondiale, les enquêtes de dépistage
réalisées en Tunisie en révèlent la hausse conséquente. Cette situation l’a menée à
mettre en place des stratégies de prise en charge de ces maladies, à les placer en
première ligne des soins au niveau national.
Cette protection se base ainsi sur la protection de la mère, enfant et adolescent (A),
ainsi que des groupes vulnérables (B). Elle est aussi liée au domaine de la surveillance
des comportements et facteurs de risque (C), touchant toutes les catégories de la
population.
Concernant la santé des enfants et rappelant que tout un arsenal déjà en ce domaine :
Les personnes souffrant d’un handicap : Ces personnes sont nombreuses car
le handicap ne se limite plus en un simple problème de santé. Il s’agit de tous les
dysfonctionnements physiques ou mentaux dont est atteinte une personne, en rapport
avec les spécificités de la société où elle vit. Cette catégorie de personne est régit par
la législation suivantes :
1- À l’échelle internationale
2- À l’échelle nationale