Académique Documents
Professionnel Documents
Culture Documents
Introduction
Le diagnostic d’une hypoglycémie/ aisé dans le contexte du
hypoglycémiants) ou glinides.
Difficile
porté par excès
de signes de neuro-glucopénie
○ les catécholamines
Une hypoglycémie peut être la conséquence
● faim brutale
● troubles de concentration, de fatigue, de troubles de
l’élocution, du comportement
ou de symptômes psychiatriques francs
● de troubles moteurs- d’hyperactivité- de troubles de la coordination des
mouvements
tremblements
hémiparésie
diplopie
paralysie faciale
● anxiété – tremblements
sensation de chaleur
● nausées
● sueurs
● pâleur
● tachycardie, palpitations
Coma hypoglycémique
– de début brutal
sulfamides hypoglycémiants
le glinide (répaglinide).
ALORS
La metformine,
les inhibiteurs des alpha-glucosidases intestinales
les inhibiteurs de la dipeptidyl peptidase 4 (DPP4)
les agonistes du récepteur du GLP1
patients conscients
patients inconscients
injection de glucagon à raison de 1 mg (Glucagen kit®), en IM
(intramusculaire) ou sous-cutané
facilement réalisable par la famille
– les médicaments
Diagnostic étiologique
Les MEDICAMENTS
• phénylbutazone
• dextropropoxyphène
les hypoglycémies tumorales :
bien conduite en milieu spécialisé pendant 72 heures apporte le diagnostic dans 99 % des
cas
70 % des patients font une hypoglycémie dès les 24 premières heures de l’épreuve de
jeûne.
Le seuil de glycémie habituellement requis pour arrêter l’épreuve est de 0,40 g/L (2,2
mmol/L).
Le diagnostic : facile
hypoglycémies « factices »
circonstances :
intolérants au glucose
gastrectomie
HGPO : non
Si pas d’amélioration
70% hommes
Imageries N
Noninsulinoma pancreatogenous hypoglycemia
syndrome (NIPHS)
Non
Diminution
disparition
malaises
des malaises
Injection
d’insuline Sulfamides Tumeur
Sd post prandial AC anti insuline hypoglycémiants mésenchymateuse
NIPHS idiopathique insulinome
(IGFII)