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e-logistique & e-commerce

®E



Etude de cas: un supermarché en ligne

EDI
lM
e-Logistique & EDI
ero

1 2
ua
ni
FP
Te

e-logistique
tou

Service
Système d’information
globale
an
Partage de Prestations
e-marchands
l’information physiques

3 4

1
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un procédé faisant appel à une prestation de service globale

®E
qui s’accompagne d’un système d’information. Fournisseur de
L’approvisionnement Les achats

Les prestataires logistiques qui proposent ce type d’offre "e- composant

logistiques", fournissent l’ensemble des prestations

physiques et l’ensemble des systèmes d’informations
enfermant souvent les e-marchands dans un standard fermé.
lM
Traitement des
La distribution La production
commandes

Consommateur final
ero

5 6
ua
ni
FP
Te

L’e-supply chain s’étend du consommateur
Optimiser le niveau de service offert au client,

final jusqu’au fournisseur de composants en


passant par les achats, l ’approvisionnement,
la production, le traitement des commandes,
l’entreposage, la distribution et l ’ensemble
des relations qui lient tous les partenaires de
la chaîne logistique globale (clients,
fournisseurs internes et externes, sous-
traitants, prestataires divers).
le partage d ’information au sein de
tou
l’organisation notamment les prévisions de
ventes de planning, de nouveaux modes de
collaboration interne et externe et les
systèmes d ’information pour piloter le
processus global de la supply chain (l’e-
an
supply chain).

7 8

2
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Le commerce électronique ou e-commerce

®E


désigne l'échange de biens et de services
entre deux entités sur les réseaux
informatiques, notamment Internet.
lM
ero

9 10
ua
ni
FP
Te

On peut distinguer :
(Business To Business, parfois noté B2B)

désigne une relation commerciale
tou
♣B2B
d'entreprise à entreprise basée sur
♣B2C l'utilisation d'un support numérique pour les
♣B2A échanges d'information.

♣B2E
an
♣B2G

11 12

3
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(Business To Consumer, parfois (Business To Administration, parfois noté

®E



noté B2C) désigne une relation entre une B2A) désigne une relation entre une
entreprise et le grand public (particuliers). entreprise et le secteur public (administration

Il s'agit donc de ce que l'on appelle le fiscale, etc.) s’appuyant sur des mécanismes
commerce électronique, dont la définition ne d’échange numériques (téléprocédures,
lM
se limite pas à l'acte de vente, mais couvre formulaires électroniques, etc.).
tous les échanges qu'une entreprise peut
avoir avec ses clients, de la demande de devis
au service après-vente.
ero

13 14
ua
ni
FP
Te

(Business To Employees, parfois noté B2E) a
(Business to government parfois noté B 2 G)

également émergé pour désigner la relation désigne l'échange électronique entre les
tou
entre une entreprise et ses employés, entreprises privées et le gouvernement .
notamment via la mise à disposition de
formulaires à leur attention pour la gestion
de leur carrière, de leurs congés ou de leur
relation avec le comité d'entreprise.
an

15 16

4
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L'objectif de tout projet e-Business est de

®E


B to C B to B créer de la valeur.
•Internet •EDI/VAN
•Internet
FOURNISSEURS
La création de valeur peut intervenir de
CONSOMMATEURS TV Interactive ENTREPRISES
CITOYENS
•
•...
•Extranet
•...
PARTENAIRES différentes façons parmi lesquelles:
◦ Augmentation des marges, c'est-à-
lM
B-to- •Internet
to-G
•Internet
•EDI/VAN
•...
•Internet
dire une baisse de coûts de
production ou une augmentation de
bénéfices.
ero
ADMINISTRATION

17 18
ua
ni
FP
Te

Nouvelles occasions d’affaires.
Agrandissement du marché potentiel

(National, régional, International)
tou

Nouveaux marchés.

Nouveaux produits.
Développement des ventes

Nouvelles entités commerciales (organisations
Orientation vers des marchés spécifiques
virtuelles)
Diminution des coûts de transaction

Nouvelles alliances.
Diminution des coûts logistique
Nouvelles récompenses.
an

19 20

5
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Nouveaux risques. Tout facteur qui peut nuire à l’entité ou

®E




Nouvel environnement législatif et l’empêcher d’atteindre des objectifs:
réglementaire. ◦ Risques législatifs.

Nouveaux formulaires de collecte et de ◦ Risques économiques.
◦ Risques physiques.
paiement.
lM
◦ Risques concurrentiels.

Nouveaux systèmes. ◦ Risques environnementaux.

Enjeux reliés à la sécurité et au contrôle. ◦ Sécurité.

Enjeux reliés à la protection des ◦ Confidentialité.
renseignements personnels.
ero

21 22
ua
ni
FP
Te

Le e-commerce a révolutionné l’organisation
Toutefois, bien pensée et structurée, la e-

et la gestion des différents flux de
marchandises au sein des entreprises de e-
commerce.

Bien que la logistique ne doive pas
constituer un frein au succès du commerce
en ligne, elle est pourtant fréquemment
montrée du doigt en cas d’échec.
logistique contribue à la réussite de
tou
l’entreprise de e-commerce.

Dans tous les cas, elle doit être considérée
comme une priorité stratégique.
an

23 24

6
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Gestion des retours. Peut-

Peut-on faire du « e-e-commerce » sans pour
®E




Gestion des stocks. autant faire de la « e-
e-logistique »?

Livraisons.
En effet, c’est la combinaison des moyens mis

Démarche marketing. en œuvre et leur niveau de sophistication à

Flexibilité du modèle logistique plusieurs stades qui nous dira si l’on peut
lM
parler de « e-logistique ».
ero

25 26
ua
ni
FP
Te

Le site marchand :
Logiciels d ’optimisation de la chaîne logistique

visibilité des articles en stock, délais de livraison, facilités d’approvisionnement (Supply Chain
tou
d’enregistrement de commande, possibilité de modifier certaines
Management, SCM)
informations de la commande (adresse de livraison…)
Les entrepôts :

Logiciels de planification (Supply Chain Planning,
qualité de préparation de commande/personnalisation, suivi en
SCP)
temps réel de l’avancement de la préparation…
Logiciels d ’exécution logistique (Supply Chain
Le Transport : Execution, SCE)
Suivi de la livraison (tracking), scan de la livraison… Logiciels de planification avancée (Advanced
an


Gestion des anomalies
anomalies:: Planning Scheduled, APS)
Reprise immédiate des colis si anomalie constatée à la livraison,
Progiciels d’interconnexion des ERP (Network
remplacement automatique de ceux-ci… Requirement Planning, NRP).

27 28

7
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®E

Les activités logistiques.

- Les circuits d ’un produit/colis.
lM
e-logistique
Objectifs de la séquence :
Repérer les différentes étapes logistiques d ’une commande client
à travers un site de ventes en ligne (notion de e-logistique).
ero

29 30
ua
ni
FP
Te
Dans les coulisses de

Tous les cartons sont fin prêts et attendent l'heure de la livraison, bien
rangés sur leur emplacement. Dans une à deux heures, ils auront rejoint
La société est un supermarché en ligne. leur destinataire, quelque part à Paris ou en région parisienne...
tou
Mais avant cette étape ultime,nous vous vous invitons à découvrir, en
Quatre façons de commander : Internet, téléphone, minitel ou fax. images, les coulisses de Télémarket.

Un catalogue pour mieux choisir ses produits, 6 000 produits

référencés.

Livraison de 7h à 22h00 (Paris et région parisienne).

an

Des milliers de références, une chaîne du froid à respecter, des règles

sanitaires draconiennes : Télémarket dispose d'une logistique de
pointe.

31 32

8
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Dans les coulisses de Dans les coulisses de

Au début, le Web...
Un froid saisissant
®E
L'effervescence
Nous voici dans la commence ici. A
zone d'attente des l'abri derrière l'écran
produits surgelés. Une d'un ordinateur, le
zone où la client passe
température oscille commande en ligne.
entre -18 et -23° C Pour suivre de A à Z
lM
afin qu'il n'y ait pas de la chaîne
rupture de la chaîne logistique,nous
du froid. Un froid avons passé une
saisissant qui, l'espace commande. Juste 18
d'un instant, fait un produits parmi 6.250
peu oublier la fébrilité références.
de la plate-forme
Photo :Adeline BOMMARD
logistique.
Photo :Adeline BOMMARD
ero

33 34
ua
ni
FP
Te
Dans les coulisses de Dans les coulisses de
L'éclatement des
commandes Sept cartons pour 18
produits
C'est à ce poste que
notre commande Il faudra pas moins
tou
arrive. Pour de sept cartons pour
permettre un préparer notre
remplissage commande. Un
optimum des chiffre qui n'a rien
cartons et regrouper d'étonnant : la
les produits de moyenne s'élève à
même nature, la 6,8 colis par
commande est commande. Ici, rien
éclatée en sept listes n’est laissé au
an
différentes. Pas hasard. Pas même la
question de taille du carton
mélanger articles (grand ou petit)
d'épicerie, produits calculée par
frais, surgelés, l'ordinateur en
Photo :Adeline BOMMARD Photo :Adeline BOMMARD
produits d'entretien fonction du volume
ou alcool. des produits.
35 36

9
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Dans les coulisses de Dans les coulisses de

Le cœur du système
Pas de casse, pas
de perte de place
®E
Rien ne serait
possible sans cet
Ce carton est prêt.
homme et cette
Aucune place n'est
machine. Un scanner
perdue. Chaque
3D qui pèse et
carton ne regroupe
calcule le volume de
que des produits
chaque produit et
qui ne risquent pas
lM
l'intègre dans une
d'endommager les
base de données en
autres. Avec les
lui attribuant un code
mouchoirs et le
barre. Grâce à cette
coton, les chips
base, le système
sont en sécurité.
informatique
optimise le
Photo :Adeline BOMMARD remplissage de
chaque cartons
ero

37 38
ua
ni
FP
Te
Dans les coulisses de Dans les coulisses de

L'heure de vérité
Au rayon frais
Les cartons arrivent
en fin de chaîne sur
Pendant ce temps, au
tou
une balance qui
rayon frais, la
vérifie la commande.
préparation de
Le moindre écart
commande se
entre le poids
poursuit. Ici, plus de
théorique et le poids
convoyeur, mais des
réel, et le carton est
chariots et une
rejeté. La plupart des
température de 5 °C,
erreurs sont dues à
pour permettre une
des différences de
an
bonne conservation
poids sur les produits
des produits dont la
eux-mêmes. Un baril
date limite de
de lessive un peu
consommation est au
moins rempli, et le
minimum de onze
carton est rejeté.
jours.

39 40

10
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Dans les coulisses de Dans les coulisses de

Les surgelés se
Bientôt le départ
préparent
®E
Après avoir été
La livraison
pesés puis
approche. Aux
thermocellés, les
surgelés, les
cartons contenant
commandes qui
des produits
étaient
d'épicerie sont
entreposées dans
acheminés sur le
lM
des sacs
quai de gestion du
isothermes sont
chargement. Ils vont
déplacées vers
être alors
d'autres
positionnés sur des
congélateurs
emplacements
autonomes situés
numérotés,
juste à côté des
correspondant à
quais de
une tournée précise.
chargement.
ero

41 42
ua
ni
FP
Te
Dans les coulisses de Dans les coulisses de

Le chargement Trois compartiments

commence
Télémarket n'utilise
Tous les cartons plus de camions
tou
correspondant à frigorifiques.
une tournée sont L'ouverture fréquente
placés à l'arrière des portes provoquait
du camion. Le des chutes de
coup d'envoi est température. Les
donnée : le nouveaux camions
chargement peut disposent de trois
commencer. compartiments : un à
température
an
ambiante pour
l'épicerie, un à 2°C
pour le frais et un à -
20°C pour le surgelé.

43 44

11
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Dans les coulisses de Dans les coulisses de

La feuille de route
La tour de contrôle
®E
Les chauffeurs de
C'est ici, dans ces
Télémarket s'apprêtent
bureaux, que le
à prendre la route.
planning des tournées
Mais avant, chacun
est décidé dans la
d'entre eux organise
matinée et que le
lui-même sa tournée
remplissage virtuel
pour emprunter le
lM
des camions est
chemin le plus court.
effectué. Une
Un exercice où
opération qui n'est
l'expérience compte.
encore que
partiellement assistée
par ordinateur.
ero

45 46
ua
ni
FP
Te
Dans les coulisses de Dans les coulisses de

C'est partie pour deux Rien ne manque

heures
L'arrivée à Suresnes,
tou
Les horaires de départ l’une des
des tournées sont destinations de
précis : 7 h 13 et 16 h notre chauffeur, se
22. Les zones passe sans
couvertes par les encombre, vingt
camions étant assez minutes plus tard.
petites, une tournée
dure en moyenne Tous les produits
deux heures. sont déchargés. Une
an
dernière vérification
avec les listings pour
voir si aucun colis
n'a été égaré...
Verdict : rien ne
manque.

47 48

12
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Dans les coulisses de

Ascenseur ou
®E
escaliers ?

Dernière ligne droite

avant la livraison.
Cette fois, il y a un
ascenseur. Mais ce
n'est pas toujours le
lM
cas. Les derniers
mètres à pieds sont
parfois difficiles. Pour
le livreur, la suite de
la tournée sera peut-
E.D.I.
être moins calme.
ero

49 Prof. Mohamed El Merouani 50

ua
ni
FP
Te

Actuellement dans l’ensemble des secteurs
industriels et notamment le secteur des
transports, un désir de plus en plus
significatif des intervenants de développer
des liaisons EDI (Échanges de Données
Informatisées ou Electronic Data
Interchange).

La mise en œuvre dans une relation d’affaires
permet d’échanger des messages qui
tou
accélèrent les processus de décision et
permettent des choix plus justes, entre
fabricants de produits finis de grande
consommation et leurs fournisseurs
d’emballages, de matières premières ou de
produits semi-finis..
an

51 52

13
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L’EDI est un Système de messagerie L’EDI est un concept d’échange de données

®E



permettant à deux entreprises de s'échanger informatisé visant à transférer d’application à
des données de commande et de facturation. application, à l’aide d’ordinateurs connectés

L’EDI est une application informatique sur un ou plusieurs réseaux, des données
permettant d'échanger des documents, structurées selon un langage normalisé.
lM
souvent commerciaux, dans le cadre d'une
relation client à fournisseur.
ero

53 54
ua
ni
FP
Te

L’EDI est un système électronique de gestion
Rapidité et Réactivité

et de télétransmission de l’information sans Fiabilité
tou


papier devant permettre de rationaliser la
Optimisation
gestion des flux, en améliorant notamment la
Stratégie
logistique.

Flexibilité
an

55 56

14
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L’intégration de partenaires externes

®E


demande une organisation importante.

Un accord doit être établi afin de définir la
nature de l’ensemble des messages, des
processus et des moyens propres aux
lM
activités des partenaires.
ero

57 58
ua
ni
FP
Te

Quatre principaux composants sont

nécessaires pour réaliser des échanges :
tou
◦ Les messages.
◦ Les protocoles de transmission.
◦ Les réseaux.
◦ Les scénarios d’échanges
an

59 60

15
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◦ Etape 1 : Accord d’échange Prescripteurs EDI

®E



Juridique : mise en place du cadre contractuel
Utilisateurs EDI

Technique : choix des formats de messages

Opérateurs
◦ Etape 2 : Choix et mise en place des infrastructures
Editeurs de technologies EDI
informatiques de gestion automatisée des échanges
Intégrateurs de solutions EDI
lM
ero

61 62
ua
ni
FP

Acteurs du marché de l’EDI Rôles et fonctions

Te

Grands comptes • Gestion des échanges métiers au sein de

Fournisseurs
Opérateurs de réseaux
leurs réseaux de fournisseurs et de sous-
traitants
• Initiateurs de la mise en place
d’infrastructures EDI
• Gestion des relations commerciales avec les
grands comptes qui sont leurs clients
• Utilisation interne
• Gestion des infrastructures réseaux
• Confidentialité, sécurité et historisation des
transactions

Une norme est un langage commun afin que
chaque message échangé soit parfaitement
tou
compris et sans ambiguïté.

Parmi les normes les plus utilisées on
retrouve la norme américaine X12,
X12 la norme
britannique TDI et la nouvelle norme
internationale EDIFACT qui tend à unifier les
an
deux précédentes.

Transporteurs Transports des marchandises

Banques Gestion des transactions financières 63 64

16
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XML (eXtensible Markup Language). Plusieurs solution sont possibles:

®E

EDIFACT : Echange de données informatisées
La communication à la main

pour l'Administration, le Commerce et le
Transport, (Data Interchange for
Les connexions directes ou point-à-point
lM
Administration, Commerce and Transport).

Les Réseaux à Valeurs Ajoutées (RVA)
ero

65 66
ua
ni
FP
Te

Utiliser les voies de communication non
Les deux partenaires sont reliés directement
informatiques. grâce à des moyens de transmission
tou
informatiques.
an

67 68

17
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Les étapes de Fabrication des Messages : information

normalisée échangée électroniquement

Un réseau à valeur ajoutée (en anglais Value

®E
Added Network ou VAN ) est un réseau de VAN /
Internet /
télécommunication qui se distingue par le fait Intranet

qu'il assure certaines fonctions de traitement Extraction

des
Fabrication
du
de l'information en plus de son transport. données message

Réseau public ou privé dont la capacité est

revendue à des tiers, accompagnée de divers
lM
Message

services (la valeur ajoutée).

Exemples de fonctions de traitement de
l'information : messageries vocales,
consultations de banques de données, Informations
Envoi

liaisons interbancaires. élémentaires

Format normalisé :
XML ou EDIFACT
ero

69 70
ua
ni
FP
Te

La plupart des logiciels, en plus des

Un logiciel EDI doit répondre au besoin d'une fonctions élémentaires, offre de nombreux
tou


ou plusieurs applications données, pour leur services. Ils permettent en outre:
permettre de communiquer avec d'autres
L'édition.
applications, soit dans la même entreprise,
L'audit ou compte rendu d'activités,
soit avec une autre entreprise. statistiques, liens entre messages reçus et

Les trois fonctions principales sont la envoyés.
an
conversion, le formatage et la transmission.
L'archivage.

La transition de données.

71 72

18
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Le coût diffère considérablement en fonction Les trois principales:

®E


de la complexité du système utilisateur en
Ordinateur central.
particulier s'il s'agit d'un "gros système" ou
Micro-ordinateur isolé.
d'un système de point.
Et micro-ordinateur en frontal

L'installation entraîne en outre bien souvent
lM
une modification de la structure interne des
éléments logiciel et matériel de l'entreprise.
ero

73 74
ua
ni
FP
Te
L’infrastructure informatique de Destinataire
l’EDI

Les échanges de données informatisés

Réseau à valeur ajoutée
concernent tout particulièrement:
tou
Intranet
Technologie (VAN)
EDI

le secteur commercial (gestion des
Message
commandes),
Données
Expéditeur
la logistique (besoins, livraisons, etc.)

et la comptabilité (Factures, etc.).
Entreprise

Rôle : transmission
an
Rôle : traitement des
sécurisée, gestion des
messages en émission et en
erreurs de transmission
réception
et historisation des
messages

75 76

19
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®E
lM
ero

77 78
ua
ni
FP
Te

1. Situation actuelle et perspective de e-

commerce au Maroc.
tou
2. e-Marketing
3. e-Sourcing et e-Procurement
4. e-Management
5. EDI dans un secteur en particulier
6. Intranet/Extranet, Internet ou le Web et les
an
réseaux à valeurs ajoutées (VAN).

79

20