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LES TECHNIQUE DE COUVERTURE DU

RISQUE
DE CHANG

Présenter par :

Saber GHRIB

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Table des matières :

Partie A: Définitions

1. Définition de la Risque de change

2. Définition position de change

3. Définition de la couverture de change

Partie B : LES TECHNIQUE DE COUVERTURE INTERNES DE COUVERTURE DU RISQUE


1. le choix de la monnaie de facturation
2. le termaillage
3. Les clauses d'indexation dans les contrats
4. La compensation multilatérale des paiements (netting)
5. les centres de facturation
6. la mise en commun

Partie C : les techniques externes de couverture du risque de change


1. L’avance en devises

2. La couverture sur le marché monétaire et/ou sur le marché des euro_devises


3. Les swaps 

Partie D : conclusion

1. conclusion

Partie E : Bibliographie

1. Bibliographie

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Partie A: Définitions

1) Définition de la Risque de change

Le risque de change concerne les payables ou recevables en devises étrangères engendrés à la


suite de contrats déjà signés (ou à venir) de l’entreprise. Il s’agit du risque de voir la devise
fluctuer de façon défavorable et ainsi devoir convertir la devise étrangère selon des conditions
moins favorables
Qu’originalement budgétées. On parle ici du risque de change de transaction.
• Pour un importateur : risque d’une appréciation de la devise étrangère
• Pour un exportateur : risque d’une dépréciation de la devise étrangère

2) Définition position de change

La position de change de l'entreprise est un inventaire de toutes les opérations comptables en


devises avec l'étranger. Elle est liée aux avoirs et dettes de l'entreprise exprimés en devises
Calculée plus ou moins régulièrement selon la fréquence des opérations commerciales et
financières de l'entreprise
La position de change détermine est dite :
-nulle ou fermée si les engagements sont égaux aux avoirs
-ouvertes il y a un différence
La position est appelée« longue »s'il y a un excédent de créances en devises
La position est appelée« courte »si l'excédent correspond à des dettes

3) Définition de la couverture de change

La couverture du risque de change est la technique financière mise en place par une entreprise, ou
une autre entité, en vu de la protéger des variations pouvant affecter le taux de change de la
devise (contre les variation défavorable de devise )dans laquelle un actif ou un passif est exprimé
Et il existe principalement deux types des techniques de couverture du risque:
-les techniques internes
-Les techniques externes

Partie B : LES TECHNIQUE DE COUVERTURE INTERNES DE COUVERTURE DU RISQUE

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Les techniques internes de couverture contre le risque de change sont les méthodes que
l'entreprise met en place sans qu'elle fasse appel à aucun organisme externe. Autrement dit,
l'entreprise s'auto-couvre par la réorganisation des services concernés et l'analyse des éléments
constitutifs des transactions : les devises, les délais de paiement... etc.

1) Le choix de la monnaie de facturation

La monnaie de facturation est la devise dans laquelle sera libellé le contrat d'achat ou de vente
Internationale. Les parties au contrat, qui ont la liberté de choisir cette monnaie de facturation,
Peuvent choisir une devise plutôt qu'une autre afin de minimiser le risque de change. Deux
Possibilités s'offrent à elle :
Choisir la monnaie nationale ou choisir une autre devise ;
Choisir la monnaie nationale :
Pour éviter le risque de change, de nombreuses entreprises, notamment les PME, choisissent
De ne facturer ou de n'accepter que des transactions en monnaie nationale (ou en euros dans le
Cas des pays européens). Cette situation fait peser le risque de change sur la partie étrangère.
Celle-ci ne l'admettra que si :
· L’entreprise est en position de force, les avantages que l'autre partie retire de la
Transaction étant importants (qualité du produit ou des services, compétitivité du prix, délais
de règlements longs, délais d'exécution rapides, service après-vente performant, ...) ;
· Le coût final sera inférieur pour l'autre partie, celle-ci anticipant une dépréciation de la
monnaie nationale de l'acheteur en cas d'achat, ou une appréciation en cas de vente.
Choisir une devise :
De manière générale, l’entreprise a intérêt à :
· facturer ou payer en une monnaie facilement transférable et servant de façon usuelle aux
paiements internationaux (dollar américain, livre sterling, euro, ...) ;
· faciliter la gestion en utilisant peu de devises car suivre leur évolution demande de
disposer de nombreuses informations et du temps pour les traiter

2) Le termaillage
Le termaillage est une technique non financière de gestion du risque de change par une
entreprise commerciale.
Il consiste à anticiper ou retarder les paiements (décaissements) ou encaissements selon les
anticipations sur le cours des devises.
Plus spécifiquement l'entreprise a intérêt à accélérer ses créances en devises faible et ses dettes
en devise fortes mais à retarder ses dettes en devise faible et ses créances en devise fortes

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Le tableau ci-dessous mentionne les principales décisions à prendre, compte tenu de la
tendance de la devise :
Tableau 1 : Décision à prendre face à la tendance de la devise :

Importations Exportations
Accélérer le Retarder le paiement
La devise s’apprécie paiement
La devise se déprécie Retarder le Accélérer le paiement
paiement

Les techniques visant à mesurer l'évolution des cours de change mobilisent des ressources
importantes. La technique du termaillage, basée principalement sur cette estimation de l'évolution
des cours, n'est applicable que dans la mesure où le chiffre d'affaires à l'exportation
et les pertes potentielles liées aux variations de cours de change justifient la mise en place d'une
telle structure.

Exemple 1 : - termaillage à l'exportation


Le 25/4/N un exportateur tunisien possède une créance de
50 000USD échéance le 1/5/N sur son client américain. Le dollar cote 2.75 DT. L'exportateur
anticipe une appréciation importante du dollar dans quelques jours et propose à son client de
retarder son règlement de deux mois sans aucun coût supplémentaire. Utilisant comme unité de
compte le dollar, le client américain est insensible à la variation du dollar et accepte la
proposition de l'exportateur tunisien. Le taux de financement du découvert en Tunisie est de 12%,
d'où un coût de financement induit par le termaillage de : 50 000 x 2.75 x 12/100 x 60/360 =
2750 TND.
Le résultat de l'opération dépendra de la valeur du cours de dollar au 1/7/N. Si on retient trois
hypothèses de cotation du dollar on aura les résultats suivants :

Cours du dollar au 1/7/N 2.77 2.805 2.83

Gain ou perte de change : 100 2750 4000


50 000 (cours probable – 2.75) 0
Coût de financement -2750 -2750 -2750

Résultat net du termaillage 175 0 1250


0
Perte Neutre Gain

Exemple 2 :- termaillage à l'importation


Le 6/4/N un commerçant tunisien d’électroménager importe des téléviseurs du Japon. Il a un
engagement de 10 000 000 JPY payable dans 60 jours. A cette date, 1000 Yen cotent 25 DT. Le
2/6/N, il constate que le Yen japonais est à la baisse et demande à son fournisseur un délai
supplémentaire pour le règlement de 45 jours. L'exportateur japonais est indifférent aux

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variations du JPY mais le retard de règlement lui engendre un financement par découvert à un
taux annuel de 12%. L'exportateur japonais accepte le report de paiement sous réserve que le
commerçant tunisien supporte le surcoût financier. Dans ces conditions, le résultat du termaillage
varie en fonction des hypothèses de cotation Yen au 21/7/N comme suit:
Cotation du 1000YENS au 24.2 24.2718* 24.3
12/7/N

Gain ou perte de change : 800 7282 7 000


10 000 000/1000 x (25 – cours 0
probable)
Coût de financement en TND -7260 ≈ -7282 -7290

Résultat de l’opération 740 0 - 290


Gai Neutre
n Perte

*Le cours pour lequel l'opération est neutre doit vérifier l'égalité suivante :
Gain de change = coût de financement
10 000 000/1000(25 -X) =10 000 000/1000 x 45/360 x 12/100 x X => 250 000 - 10 000 X = 300 X
=> X = 24.2718

3) Les clauses d'indexation dans les contrats

Les clauses d'indexation rédigées dans les contrats d'achat ou de vente internationale visent à
prévoir contractuellement les modalités de partage du risque de change de transaction entre
l'acheteur et le vendeur, dans l'hypothèse où une variation du cours de change de la devise
choisie par les parties interviendrait.
Clause d'adaptation des prix proportionnelle aux fluctuations des cours de change : dès
la signature du contrat, le vendeur fixe la valeur des marchandises dans sa monnaie. Si le
cours de la monnaie de facturation du contrat augmente, le prix de l'exportation est augmenté
pour l'acheteur sur base du nouveau taux de change. Le risque de change est donc totalement
supporté par ce dernier.
Clause d'indexation « tunnel » : l'entreprise peut introduire un tunnel, présentant un cours
minimum et maximum à l'intérieur desquels le cours de la monnaie de facturation peut
fluctuer sans aucune incidence sur le prix des marchandises. Si les variations de cours de
change dépassent ces limites, le prix est revu à la hausse ou à la baisse selon les modalités
prévues dans la clause.
Clause de risque partagé : la clause de risque partagé fait supporter aux deux parties
Une part du risque de change. Le contrat prévoit, par exemple, qu'une partie de la variation de
cours intervenant entre la date de facturation et la date de paiement sera partagée par
l'exportateur à concurrence de la moitié, l'importateur supportant l'autre moitié.
Clauses multidevises : les clauses multidevises ou clauses de change multiples
permettent de libeller le montant du contrat en plusieurs devises et c'est seulement à
l'échéance que l'une des parties au contrat (l'acheteur ou le vendeur) choisit la devise de

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règlement.
Le contenu d'une clause d'indexation est souvent difficile à négocier car ce type de clause
reporte le plus souvent tout ou partie du risque sur l'autre partie au contrat

4) La compensation multilatérale des paiements (netting) :

La compensation est une technique de couverture par laquelle une entreprise limite son risque
de change en compensant les encaissements et les décaissements dans une même monnaie.
Ainsi, le règlement d'une créance en devise sera affecté au paiement d'une dette libellée dans
la même unité monétaire. La position de change ne porte alors que sur le solde
Dans cette optique, l'entreprise veille à limiter le nombre de monnaies de facturation, de
manière à pouvoir compenser un maximum de flux d'argent « entrant » et « sortant ».
L'entreprise doit également agir sur les dates de règlement afin de disposer de suffisamment
d'entrées pour payer les sorties.
La compensation bilatérale peut également être appliquée par les firmes dans des cas
exceptionnels. Cette compensation est possible lorsque deux entreprises sont en relation
commerciale et qu'elles effectuent des ventes réciproques. C'est le cas quand une société vend
à un client étranger des produits, ce client s'approvisionnant dans cette même entreprise ou aussi
peut être des différentes filiales appartenant au même groupe multinational

Exemple : au 1/10/N, le tableau des créances et dettes intergroupe issues des relations
commerciales et financières entre une multinationale Française et ses filiales en Grande-
Bretagne, en Tunisie et au Canada se présente ainsi :
Créance de Société mère en Filiale Grande Filiale Filiale Canada
Sur France Bretagne Tunisie

Société mère en 1 400 EUR 700 EUR 1 000 EUR


France 3 500 GBP 1 500 TND 3906.25CAD

Filiale Grande 13 120 GBP 3 500 GBP 4740 GBP


Bretagne 3 360 TND 6 250 CAD

Filiale 18 750 TND 5 250 TND 1870 TND


Tunisie 620 GBP 10 937.5CAD
Filiale Canada 15 625CAD 7 812.5CAD 6 250CAD
3 950GBP 5000TND

Si on convertit toutes ces dettes et créances en EUR, compte tenu des taux de change de
référence suivant : (1 CAD = 0.64 €EUR) ; (1GBP= 1.1 EUR) (1TND= 0.3EUR), on obtient le tableau
suivant :

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Créance de Société mère Filiale Filiale Filiale Total des
Sur en France Grande Tunisie Canada Dettes
Bretagne

Société mère 1 400 700 1 000 9900


en France 3850 450 2 500

Filiale 14432 3850 5214 28504


Grande 1008 4 000

Bretagne

Filiale 5625 1574 561 15442


Tunisie 682 7 000
Filiale 10 000 5000 4 000 24845
Canada 4345 1 500

Total des 30057 16851 11508 20275 78691


Créances

Sans compensation multilatéral, le total des flux s'élève à 78691 EUR. Si on recourt à la
compensation multilatérale, le flux des créances et des dettes advient :
Créance de Société mère Filiale Filiale Filiale Total des
Sur en France Grande Tunisie Canada Dettes
Bretagne

Société mère 0
en France

Filiale 9182* 2602 11784


Grande
Bretagne

Filiale 4475 2061 6536


Tunisie
Filiale 6 500 131 6 631
Canada

Total des 20157 131 2602 2061 24951


créances

*Ce tableau est obtenu à partir du tableau précédent :


Exemple : la valeur 9182 = 14432 -1400 -3850

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On constate que la compensation permet d'abaisser le flux total à 24951 EUR soit une réduction
de 68.29 % qui diminue d'autant les coûts de couverture, les commissions, les spreads ...
4) les centres de facturation

Dans le système des centres de refacturation, les différentes sociétés du groupe ne


sont plus en contact avec leurs clients, elles établissent leurs factures à l'ordre du centre
de refacturation qui leur règle les factures dans leurs monnaies. Le centre de
refacturation se fait payer par les clients.
Ce système prend en compte tous les paiements (intra ou extra groupe), et le risque de
change est reporté sur le centre de refacturation qui doit établir régulièrement un cours
de change interne au groupe

5) la mise en commun
La mise en commun (pooling) est la centralisation la plus large des opérations en
devises entités du groupe. Tous les flux de trésorerie en devises, qu'ils soient entre
sociétés du groupe ou entre sociétés du groupe et sociétés externes au groupe, sont
centralisés dans un cash center. Les excédents en devises de certaines filiales sont
utilisés pour financer les besoins en devises d'autres filiales.
La gestion de trésorerie du groupe est totalement centralisée. L'avantage est que le besoin
minimal dans chaque devise est réduit à son niveau le plus faible dans ce système centralisé que
dans tout autre système.

Partie C : les techniques externes de couverture du risque de change

Les techniques externes de couverture contre le risque de change, contrairement aux


techniques internes, sont les méthodes qui nécessitent le recours à des organismes
externes à l'entreprise.

1) Les avances en devises

L'entreprise exportatrice emprunte à sa banque une somme en devise dont le montant correspond
à celui de la créance détenue sur son client étranger ou à la valeur actuelle de celle-ci pour une
durée au moins égale au délai de paiement du client. Les devises ainsi avancées seront converties
immédiatement (au comptant) en monnaie nationale. La banque facturera à l'entreprise des
intérêts calculés à partir du taux interbancaire majoré d'une marge. L'entreprise remboursera sa
dette à l'échéance avec les devises reçues de son client. L'entreprise annule ainsi le risque de
change, et reconstitue sa trésorerie en monnaie nationale

2) La couverture sur le marché des euro_devises

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Cette méthode consiste à réaliser simultanément soit un prêt en monnaie contre un emprunt en devise
étrange soit un emprunt en monnaie national contre un prêt en devise étrange

3) Les swaps

Les swaps constituent des instruments de couverture contre les risques de change. On distingue
deux types de couvertures : la couverture par des swaps à l'exportation et la couverture par des
swaps à l'importation.

Pour les exportations la couverture par swap s’effectue comme suit :


À la date d’exportation

V Monnaie locale BANQUE


EXPORTATEUR

Devise

À la date de règlement :

Devise Devise
Client EXPORTATEUR
BANQUE
étranger
Monnaie locale

Exemple 1 : Couverture par swaps à l'exportation :


L'entreprise tunisienne SAREX a exporté pour 20 000 CHF payable à 60 jours. Les conditions du
marché sont les suivantes :
SV(CHF/TND)= 2.8 FA2M(CHF/TND) =2.78
Marge entre cours d'achat et cours de vente (Spread)=0.02%
L'entreprise SAREX a contracté un swap de 20 000 CHF : Elle paie les
20 000 GBP au cours au comptant soit 20 000 x 2.8 = 56 000 TND. Puis elle les vends à sa
banque au comptant à : 20 000 x 2.8 x ( 1- 0.002) = 55888 TND.
A l'échéance l'entreprise encaisse la créance de 20 000 CHF. Elle rembourse le swap en rendant
les 20 000 CHF contre 20 000 x 2.78 = 55 600 TND.
Le compte de trésorerie de SAREX se présente alors comme suit

D C

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55888 56 000
55600 Solde :
55488

D’où un coût de couverture swap de :


[ (56 000 – 55488) / (56 000 x 60/360)]x100= 5.4857% ( le coût étant exprimé en pourcentage
annuel.

Pour les importations la couverture par swap s’effectue comme suit :

À la date d’importation

Devise
IMPORTATEUR BANQUE
Monnaie locale g

À la date de règlement

Monnaie locale
Fournisseur IMPORTATEU
étranger R BANQUE
Devise devise

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Exemple 2 : Couverture par swap à l'importation :

L'entreprise tunisienne PALDOR a importé des équipements pour 5000 USD payable à 180 jours.
Les conditions du marché sont les suivantes :EV (USD/TND) = 2.8,
ETV 6M (USD/TND) =2.84 , Spread = 0.2 %.
L'entreprise a contracté un swap de 5000 USD selon les conditions suivantes : elle achète au
comptant les 5 000 USD contre 14000 TND, puis elle les vends à sa banque au comptant à 5 000
x 2.8 x( 1- 0.002 ) = 13972. A l'échéance l'entreprise achète de sa banque les 5 000 USD contre
5000 x 2.84 = 14200 TND. Puis elle règle avec ces 5 000 USD sa dette. Son compte de trésor
trésorerie affiche alors les mouvements suivants :

D C

13972 14000
14200
Solde :
14128

D’où un coût de couverture swap de : [(14128 – 14000) / (14000 x 6/12)] x100 = 3.25%
(le coût étant exprimé en pourcentage annuel)

Partie D : conclusion

1.conclusion

Le risque de change est le risque de perte lié aux fluctuations des cours de monnaies, il est
supporté par les participants en position de change, toute fluctuation défavorable des taux de
change risque de se reporter négativement sur les flux futurs espérés par l’acteur en position,
C’est le risque d’un décaissement plus élevé ou d’une entrée d’argent moindre dû à
L’utilisation d’une monnaie différente de la devise domestique, et ce risque peut être
favorable, défavorable ou nul.
La gestion du risque de change revêt un grand intérêt pour les entreprises et doit être une
partie centrale de la gestion stratégique de toute entreprise, car l’amélioration des résultats
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commerciaux et financiers de l’entreprise conduit à un développement global du tissu
économique national.
La clé d’une gestion efficace des risques transactionnels et d’une bonne stratégie de
couverture réside en la bonne connaissance et analyse de ses flux de trésorerie par devise /
Expositions historiques, actuels et surtout futurs: l’anticipation permet la mise en place d’une
Couverture adaptée.
La décision d'utiliser des instruments de couverture est semblable à la souscription à une
Assurance

Partie E : Bibliographie

1. Bibliographie

1. Article de revue :
• Desmuliers G. (1990). La maîtrise du risque de change : des instruments efficaces. In Gestion,
n° 3 juin-juillet.
• Dumas B. (1979). Minimiser les risques de changes. Revue Française de Gestion, Décembre.
• Prissert, P. G. et S. P. (1995). Les Opérations Bancaires avec l'Etranger. La Revue Banque,
éditeur Paris, P 117.

2. Livre :
• Bellalah, M. et Simon, Y. (2000), Option Contrats à Terme et Gestion de Risque : Analyse,
Evaluation, Stratégie, Editeur : Economica.
• Bodie, Z. et Merton, R. (2007), Finance, Editeur : Nouveaux Horizons, 2ème édition.
• Bourguinat, H. (1984), l’économie du change : Encyclopédie Universalise Supplément 1,
Economica.

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