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DE LA RECHERCHE SCIENTIFIQUE
Un Peuple-Un But- Une Foi
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DIRECTION GENERALE DE L’ENSEIGNEMENT
SUPERIEUR ET DE LA RECHERCHE SCIENTIFIQUE
MASTER
Mention : COGE
Spécialité : Comptabilité
Thème :
La gestion de la trésorerie dans une société
commerciale et service
Cas de l’entreprise commerce générale et service
(CGS)
Présenté et soutenu publiquement par :
SEIBOU BOUARE
N° NINA : 1 95 04 3 17 033 035 J
Directeur : Encadrant :
Dr. Aboudramane COULIBALY M. SORY COUMARE
Mai 2022
N° d’ordre
Dédicace
Je dédie ce présent travail à mon défunt père Oumar BOUARE, qui de son vivant n’a ménagé
aucun effort pour la réussite de ses enfants.
i
Remerciements
Il sera très long d’énumérer tous ceux et celles qui méritent mes vifs et sincères
remerciements, qui ne seront jamais à la grandeur de leurs aides. Ils m’ont accompagné,
poussé, aidé, conseillé, encouragé tout au long de l’élaboration de ce mémoire. Je remercie mes
chers parents pour leur soutien, leur patience et leur encouragement.
Comme guise de reconnaissance j’adresse mes sincères remerciements, mes grands respects
et mes nobles gratitudes à mon encadrant, M Sory COUMARE, pour ses encouragements et
l’aide précieuse qu’il m’a apportés en faisant profiter largement de ses connaissances. Je ne
saurais oublier ses conseils
Je remercie Dr Aboudramane COULIBALY, pour m’avoir fait l’honneur d’être mon directeur de
mémoire.
Je remercie les membres du jury de soutenance pour avoir accepté d’examiner mon travail et
de m’évaluer, qu’il trouve ici l’expression de mon respect le plus profond.
Tous mes remerciements aux membres de l’administration ainsi qu’à l’ensemble du corps
professoral du lycée Kankou Moussa pour leurs soutiens et leurs conseils lors de mon stage
pédagogique.
ii
Résumé
Le travail présenté dans ce mémoire est constitué d’une partie technique et d’une partie
pédagogique. La partie technique vise à mieux comprendre l’importance de la gestion de
trésorerie. Elle occupe une place primordiale dans chaque structure, particulièrement les
entreprises qui bénéficient un financement des établissements de crédit.
En effet la gestion de trésorerie a pour but d'établir un diagnostic sur la situation financière de
l'entreprise, de porter un jugement sur son équilibre financier et sur sa rentabilité. Cette
analyse permet de mesurer et d'améliorer la rentabilité des activités et des projets, de prévoir
les besoins, de trouver les moyens nécessaires à la vie et au développement de l'entreprise et
de contrôler son fonctionnement.
Quant à la partie pédagogique, elle correspond au rapport d’un stage pédagogique effectue au
L.K.M.D.
iii
Table des sigles
iv
Liste des figures et tableaux
Figure 1: L’erreur d’équilibrage: ............................................................................................................................................ 14
Figure 2: L’erreur de sur-mobilisation ................................................................................................................................ 14
Figure 3: L’erreur de sous-mobilisation ............................................................................................................................. 15
Figure 4: Le schéma si dessous résumera l’articulation budgétaire ....................................................................... 34
Figure 5: L’organigramme de la société CGS ..................................................................................................................... 39
Figure 6: Organigramme du LKMD ....................................................................................................................................... 52
v
Avant-propos
Génie civil
Génie industriel
Techniques administratives
Techniques comptables
L’ENETP est positionné actuellement comme l’une des meilleures écoles de formation des
formateurs au Mali.
Afin de sanctionner le cursus de formation, les étudiants doivent faire un mémoire de fin
d’étude du Master. C’est dans ce contexte que nous vous présentons nos travaux de recherche.
vi
SOMMAIRE
Dédicace ........................................................................................................................................................................... i
Remerciements ............................................................................................................................................................ ii
Résumé ...........................................................................................................................................................................iii
Table des sigles ........................................................................................................................................................... iv
Liste des figures et tableaux .................................................................................................................................... v
Avant-propos ............................................................................................................................................................... vi
SOMMAIRE ...................................................................................................................................................................vii
INTRODUCTION GENERALE ................................................................................................................................... 1
PARTIE 1 : DOSSIER TECHNIQUE ........................................................................................................................ 4
Chapitre 1 : Généralité sur la trésorerie ............................................................................................................. 5
Section 2 : Gestion et l’analyse de la trésorerie ............................................................................................ 40
Section 3 : Les difficultés et les recommandations ..................................................................................... 47
PARTIE2 : DOSSIER PEDAGOGIQUE ................................................................................................................. 49
Introduction ............................................................................................................................................................... 50
I. Présentation du Lycée ................................................................................................................................... 50
II. Activités menées .............................................................................................................................................. 60
III. Les difficultés rencontrées ...................................................................................................................... 62
IV. Leçon tirée du stage ................................................................................................................................... 64
V. Recommandations........................................................................................................................................... 65
VI. La leçon modèle ........................................................................................................................................... 66
Conclusion générale ................................................................................................................................................ 74
Bibliographie .............................................................................................................................................................. 75
vii
INTRODUCTION GENERALE
Le présent mémoire est constitué de deux parties : une première partie consacrée à l’analyse
de la gestion de trésorerie d’une société commerciale et service une seconde partie présentant
un rapport de stage pédagogique et une leçon modèle.
L’entreprise est une entité qui est appelée à faire des choix multiples, et à prendre des
décisions dans le but d'atteindre des objectifs fixés préalablement.
Le principal de ces derniers est la réalisation d'un gain financier. La plupart des décisions
prises par l'entité sont des décisions opérationnelles qu'engagent l’entreprise sur le court
terme et d'autres sur le moyen et long terme. Nous parlons alors d’une décision qui affecte
directement la gestion des ressources financières de l’entreprise.la gestion de la trésorerie a
longtemps été considérée comme une simple activité d’exécution du budget, sans enjeux
particuliers. A l’heure actuelle, la gestion de trésorerie est un facteur de compétitivité
dynamique, largement impliqué dans la qualité des résultats des entreprises dont elle
administre et contrôle les flux financiers.
Fort de ce constat, les entités accordent de nos jours une attention particulière à cette
fonction, allant même jusqu’à créer un poste de trésorier dont le rôle principal est d’assurer la
solvabilité, le suivi et l’optimisation de la trésorerie de l’entité.
Ainsi chaque entité tient à se performer dans la gestion de ses disponibilités dans le but de
minimiser les risques des pressions financières aux quelles pourrait-elle être exposé.
Et donc, gérer sa trésorerie, c’est être en permanence en prise directe avec les flux réels et les
prévisionnels, entrants et sortants, et avec ses banques, pour pouvoir effectuer rapidement les
ajustements nécessaires. C’est avant tout anticiper !
De ce faite, la gestion de trésorerie répond aux deux préoccupations suivantes : la gestion des
liquidités et la gestion des risques financiers dans l’entreprise.
La trésorerie d'une entreprise peut être analysée comme l’ensemble de processus qui permet
à l’entreprise d’honorer ses engagements tout en recherchant à optimiser le coût financier de
ses flux monétaires. C’est ce qu’exprime la notion de solvabilité qui est définie comme
l'aptitude d'un agent économique à faire face à ses dettes lorsque celles-ci viennent à
échéance.
1
L’objectif de notre travail consiste à étudier la fonction de la gestion de trésorerie au sein de
l’entreprise COMMERCE GENERAL ET SERVISES (CGS), à identifier les outils et techniques
modernes de la gestion trésorerie ainsi que l’importance de sa mise en place dans cette
dernière. Plus précisément, nous allons essayer de mieux comprendre la manière, dont la
trésorerie est gérée, notamment dans sa relation avec d’autres entités et fonction de
l’entreprise, pour y parvenir, nous tenterons d’apporter les éléments à la question
fondamentale qui sera formulé comme suit :
Est-ce qu'une trésorerie excédentaire reflète toujours une bonne gestion financière de
l'entreprise ?
Objectifs spécifiques
Le choix du thème est effectué selon plusieurs critères dont on cite : Le résultat de ce sujet
pour CGS sera de lui apporter une réponse précise et stable à ses problèmes de gestion de la
trésorerie. Elle pourra donc travail, avoir une meilleure maitrise de sa fonction trésorerie et
saisie les opportunités disponibles sur le marché.
Pour les étudiants, cette étude leurs permettra d’affiner ses connaissances en gestion de la
trésorerie et une meilleure compréhension du mode de fonctionnement d’une entité.
2
Méthodologie de travail
Pour la réalisation de ce travail nous allons baser sur deux lignes de recherches : la recherche
documentaire et une étude empirique basée sur l’analyse des documents comptables et
financiers de l’organisme d’accueil, c’est ainsi que la recherche documentaire nous permettra
de comprendre les différents concepts liés à la gestion de trésorerie à travers la consultation
des ouvrages, ainsi que les sites d’internet de la finance, contrôle de gestion et les cours en
classe. Par contre l’étude empirique basée sur l’analyse des documents comptables et
financiers de l’organisme d’accueil nous permettra d’une part de voir le système de la gestion
de trésorerie de l’entreprise grâce au stage pratique de deux mois qu’on effectuera au sein de
l’entreprise
CGS, et d’autre part collecter les données nécessaires à l’achèvement de notre travail de
recherche.
La seconde partie du mémoire est la partie pédagogique qui est subdivisée en deux chapitres :
un rapport du stage pédagogique et une leçon modèle. Le stage a eu lieu au lycée Kankou
Moussa de Daoudabougou (LKMD). La leçon modèle est basée sur la flexion plane dont
l’objectif pédagogique est que les élèves doivent être capables d’appliquer les formules de
l’intérêt simple d’un placement.
3
PARTIE 1 : DOSSIER TECHNIQUE
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Chapitre 1 : Généralité sur la trésorerie
Importante qu’elle soit, la trésorerie stipule l’art de gestion chez les dirigeants des
entreprises. Cependant, cette gestion implique l’esprit de la solidarité, de l’organisation, de la
prévision et finalement celui de la négociation.
C’est dans ce même état d’esprit que s’articulera notre étude théorique :
Solidarité : la notion de trésorerie vient pour préoccuper tous les membres d’entreprise et les
inciter à travailler solidairement pour mener sa gestion dans de bonne conditions, ce qui fera
l’objet du premier chapitre.
Prévisions : une gestion pertinente se dévoile par l’anticipation des imprévus, cependant, le
deuxième chapitre sera consacré au calcul du solde de la trésorerie et les méthodes de
prévision.
Négociation : une fois les difficultés sont détectées, le trésorier doit approuver les solutions
adéquates, c’est ainsi qu’intervient l’aptitude du trésorier au profit des besoins de l’entité.
5
La gestion de la trésorerie est l’axe principal de la gestion financière à court terme. Elle a
commencé à prendre une véritable dimension dans les entreprises. Du fait qu’elle doit
intéresser tous les membres de l’entreprise en représentant un reflet de sa survie.
C’est selon cet acheminement, que s’énoncera notre apport théorique, dans le but d’acquérir
les notions nécessaires pour la mise en pratique de la gestion de trésorerie.
L’argent est l’élément vital de n’importe quelle entreprise, bien le gérer est l’une des tâches les
plus importantes pour assurer la survie et la prospérité de toute entreprise.
La trésorerie, c'est le gilet de sauvetage des entreprises (au début, pendant et durant des
phases de difficultés).
En d’autres termes, la gestion de la trésorerie est l’ensemble des mécanismes qui permettent à
une entreprise de prévoir et de gérer les flux, d’anticiper et de prévenir les risques financiers,
de négocier et de contrôler les opérations bancaires, de placer les excédents et, surtout,
d’assurer sa liquidité et sa solvabilité. Elle peut aussi être définie comme l’ensemble des
mécanismes qui consistent à assurer la solvabilité de l’entreprise au moindre coût. Il s’agit
pour une entreprise d’honorer ses échéances financières à tout moment en maintenant une
encaisse minimum et en maximisant le rendement de ses placements et de ses excédents
éventuels de trésorerie.
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1.2. La trésorerie
La trésorerie, elle se définit comme l'ensemble des capitaux liquides (essentiellement espèces
et soldes des comptes courants bancaires) dont dispose l'entreprise pour assurer le paiement
des frais de fonctionnement à court terme.
La gestion de la trésorerie doit tout d'abord, permettre à l'entreprise d'éviter la cessation des
paiements.
Elle doit assurer également, l'utilisation optimale des excédents de trésorerie et rechercher
des moyens de financement à court terme au moindre coût.
Effectuées par le trésorier ou le responsable financier, les prévisions de trésorerie sont faites
pour des périodes variables : année, trimestre, mois, semaine ou au jour le jour.
L'objectif est de parvenir à une trésorerie proche de zéro afin d'éviter les excédents
inemployés et les découverts bancaires coûteux en agios.
In : http://www.petite-entreprise.net
Source Allain-Charles MARTINET et Ahmed SILEM, Lexique de gestion et de management, Edition, DALLOZ, 2005
BELLIER DELIENNE.A, KATH. S « La gestion de trésorerie », Edition 2, Economica, Paris, 2005, P.5.
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1.4. La procédure de la gestion de trésorerie
La mise en œuvre de la gestion de trésorerie passe par (03) étapes importantes qui sont les
suivantes :
1.4.1. La prévision
La gestion prévisionnelle est la première étape de la procédure, elle permet d’identifier les flux
monétaires afin d’évaluer les différentes entrées et sorties de fonds. Elle permet d’identifier
les éventuelles difficultés auxquelles l’entreprise va être confrontées et donc de les anticiper,
c’est la démarche budgétaire qui permet de prévoir les risques de cessation de paiement. Donc
prévoir consiste à explorer divers scénarios, lesquelles correspondent le mieux à une stratégie
globale mûrement réfléchie. La prévision vise à donner une capacité de réaction face aux
événements inattendus et de cohérence, les prévisions de trésorerie sont élaborées à partir de
l’ensemble de budget d’exploitation, d’investissement et de financement.
Dans cette deuxième étape, c’est le choix de moyens de couverture ou de placement en tenant
compte des risques liés à la manipulation d’argent, à savoir les risques de liquidités de
contrepartie, de taux d’intérêt et de change, elle s’appuie sur :
1.4.3. Contrôle
Cette dernière étape consiste à faire l’analyse des écarts résultants de la comparaison entre
les prévisions, les réalisations et le contrôle des conditions bancaires grâce à des documents
comptables notamment l’extrait de compte et l’échelle d’intérêt.
En principe, le rôle du trésorier est défini par les cinq missions suivantes2 :
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1.5.1. Les missions du trésorier
Réduire le coût des services bancaires : coûts principaux peuvent être réduits tant par
une bonne négociation que par des prévisions fines :
• Les intérêts débiteurs : agios que la banque facture sur les soldes débiteurs ;
• Les jours de valeur : date à laquelle un mouvement prend effet sur le compte ;
Afin de mener à bien ces différentes missions, le trésorier doit développer une diversité de
compétences comme :
9
Organisateur : Il doit créer de façon stricte une démarche de gestion quotidienne ;
Communicateur : Le trésorier est dépendant des fonctions opérationnelles qui doivent lui
fournir de l’information pour alimenter ces prévisions. Il convient de convaincre celles-ci
de l’importance de fournir des données exactes en temps voulu ;
Savoir anticiper : La plupart des décisions sont pris à partir des flux financiers ou de
positions de compte prévisionnel, donc le trésorier doit prévoir les flux futurs de trésorerie
sur différents horizons de temps : quelques jours, plusieurs semaines ou bien une année, il
doit aussi anticiper l’évolution des taux d’intérêt et des cours de change.
Section2 : Les origines des problèmes de la trésorerie et les causes des crises de la trésorerie
Ces problèmes structurels de trésorerie sont essentiellement des problèmes à moyen et long
terme qui tiennent essentiellement à des difficultés telles qu’une insuffisance de fonds de
roulement (FR) qui peut amener des problèmes de trésorerie. Si l’on voulait lister les causes
principales de ces problèmes, on pourrait trouver les suivantes :
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Des investissements financiers trop importants (prises de contrôle de sociétés, achats
de titres de participations, etc.) ;
Nous entendons par problèmes conjoncturels, des problèmes touchant le court terme, tels
ceux qui résultent de fluctuations à court terme de l’activité de l’entreprise et donc des
mouvements encaissements et de décaissement Les principales causes indentifiables sont les
suivants :
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Des fluctuations de nature complètement aléatoire et donc par définitions
imprévisible, comme des guerres, des conflits sociaux, des grèves …etc. D’autres
problèmes peuvent également émaner de l’organisation de la gestion de la trésorerie
dans une entreprise.
Les problèmes organisationnels sont liés aux dispositions prises au sein d'une entreprise pour
faciliter la gestion par les responsables financières de l'entreprise. On peut ainsi avoir des
informations erronées sur la situation des soldes des comptes bancaires par un suivi en date
comptable des opérations de banque. Ici les origines peuvent être les suivantes :
Nous avons constaté que la variation de la trésorerie est le résultat de tous les flux financiers
traversant l’entreprise. Toute variation du FR ou des BFR à des répercussions immédiates sur
la trésorerie.
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Section3 : Les enjeux de la gestion de trésorerie
Les trésoreries et les responsables de la fonction financière sont très soucieux de réduire ou
de ne pas faire croitre les frais financiers qui leurs sont facturés du fait de l’octroi de concours
bancaires.
L'erreur d'équilibre peut être éliminée en mettant en place des virements de banque à banque
(appelés virements d’équilibrage).
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Figure 1: L’erreur d’équilibrage
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coûteuse des autres erreurs, dans la mesure où le découvert est effectivement plus élevé par
rapport au financement à remplacer. L’entreprise paye, dans ce type d’erreur, la différence
entre le taux de découvert et le taux inférieur de financement envisagé, en ajoutant la
commission sur le découvert le plus important qui n’aurait pas été du en cas de recours à un
financement alternatif.
Ces trois erreurs, dans la mesure où elles sont quantifiables, permettent de porter un
jugement objectif sur le travail du trésorier de l’entreprise. Par ailleurs la situation de la
trésorerie de l’entreprise reste inconstante, pour cela le trésorier est appelé à bien suivre les
différentes variations de la trésorerie, pour une meilleure gestion qui permettra à l’entreprise
de réduire ses charges et maximiser ses produits financiers.
Nous appelons financement interne le financement opéré à partir des ressources générées par
les activités de l'entreprise. On distingue deux (2) modalités de vente : la vente au comptant et
la vente à crédit.
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La capacité d’autofinancement ou CAF
L’autofinancement
L’autofinancement est le flux de fonds correspondant aux ressources internes dégagées par
l’entreprise au cours d’un exercice. Le compte de résultat mesure des coûts.
L’autofinancement est un flux de fonds qui représente le surplus monétaire potentiel dégagé
par l’entreprise au cours de l’exercice.
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de la facture spécifiée dessus, puis la commande est livrée. La durée de crédit est déterminée
par l'entreprise.
Pour bénéficier de la vente à terme, concernant les clients étrangers, l'entreprise devra exiger
du client une lettre de crédit ou un crédit documentaire, communément appelé « CREDOC »
qui est l'opération par laquelle la banque du client s'engage sur ordre et pour le compte de
celui-ci à nous régler dans un délai
Il existe plusieurs moyens externes qui peuvent servir de la liquidité pour l'entreprise, parmi
ces moyens on trouve :
Lorsque l'entreprise a des déficits de trésorerie, elle peut avoir recours à des emprunts
bancaires, qui sont des dettes financières résultant de l'octroi de prêts remboursables à terme
qui participent, conjointement avec les capitaux propres, à la couverture des besoins de
financement durable de l'entreprise.
L'entreprise emprunte ces sommes importantes avec les banques avec qui elle est en relation,
c'est-à-dire où ses comptes sont domiciliés. Ce qui lui permet d'avoir plus aisément ces prêts.
L’escompte commercial.
C’est l'opération par laquelle une entreprise cède des effets de commerce avant leur échéance
à la banque pour obtenir sa contrepartie. L’escompte permet de mobiliser les créances
commerciales ne dépassant en principe pas 90 jours. Les effets sont cédés en plein propriété
et servent de garantie à la banque.
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Le financement par cession de créance à court terme
C’est un type de financement par mobilisation de créances professionnelles, son objectif est de
pallier les limites et la lourdeur de l'escompte. Le financement se fait sur la base de la cession
de toute créance professionnelle à la banque. Il est possible de mobiliser toute créance
professionnelle sur une personne du droit privé ou public ou sur une personne physique dans
l'exercice de son activité professionnelle. Contrairement à l'escompte, la cession peut être
réalisée dès l'émission de la facture.
L’affacturage est une technique financière permettant à une entité de sous –traiter son poste
clients à une société spécialisée, relevant en général de la catégorie des établissements de
crédit. Cette société, subrogée à l’entité :
- Verse à l’entité le prix d’achat convenu des créances (montant inférieur au total
nominal de ces créances), lui assurant ainsi une mobilisation de cet en-cours clients.
Conclusion
La fonction de la gestion de trésorerie est d'assurer la solvabilité de faire face aux dettes au
moindre coût et d'assurer le financement des activités ; avec des disponibilités, dont
l’entreprise dispose, soit en banques, aux centres de chèques postaux ou dans les caisses. La
trésorerie est au centre de toutes les opérations menées par l’entreprise qu’elles concernent
l’exploitation ou les autres activités. Elle est la traduction en termes monétaires de toutes les
décisions et opérations de l’entreprise.
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Ainsi, l’analyse de la gestion de la trésorerie, gestion prévisionnelle et la prévision de
trésorerie, nécessite de mettre en relief son rôle dans l’étude approfondie de la situation
financière. Ceci fera l’objet du deuxième chapitre.
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Chapitre 2 : La trésorerie dans l’analyse financière
La notion de trésorerie est aisée à percevoir, mais beaucoup plus délicate à mesurer. Ainsi le
trésorier doit comprendre, maitriser, et avoir recours aux activités de marché afin de pouvoir
poursuivre les fluctuations de l’environnement externe de son entité et mesurer les risques
offerts par ce dernier.
D’une autre part, le calcul de la trésorerie ne vise pas seuls les éléments liquides mais aussi
leurs équivalents (compte de caisse, compte à vue, compte à terme, VMP, soldes créditeurs de
banque).
L’analyse par le bilan est une analyse statique, La trésorerie d’une entreprise peut se calculer
à partir du bilan qui est l’image de ces emplois et ces ressources à un moment donné.
Le bilan fonctionnel sert à analyser d’où vient l’argent et comment il est utilisé. Cette
présentation de bilan permet de classer les opérations par fonction (exploitation, financement
ou encore investissement). Le bilan fonctionnel permet de déterminer comment est financé
l’investissement et l’exploitation.), et il est devisé en deux parties :
L’actif : C’est la partie gauche du bilan, elle regroupe les emplois stables et actifs
circulants ;
Le passif : C’est la partie droite du bilan, elle regroupe les ressources durables et les
dettes circulantes
Définition : Le bilan fonctionnel est un bilan comptable avant répartition du résultat, retraité
en masse homogène selon les trois fonctions (investissement, financière et exploitation).
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Tableau 1: Le bilan fonctionnel
Bilan au …/…/ N
ACTIF PASSIF
Ce qui nous intéresse dans le bilan fonctionnel présenté au-dessus est la trésorerie
décomposée en deux parties comme suit :
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- Trésorerie active : comprenant les disponibilités de l’entreprise et les valeurs mobilières de
placement dont le montant est liquide et sans risques de perte en capital ;
Dans ce cas la trésorerie se détermine à partir de deux agrégats : le fonds de roulement net
global (FRNG) et le besoin en fonds de roulement (BFR), et ces deux paramètres sont calculés
de la manière suivante :
FR > 0 Un FR positif (+) signifie que l’entreprise arrive à financer l’intégralité de ces
immobilisations par ces capitaux permanents, et de dégager un excédent des
ressources qui lui permet de couvrir une partie de son cycle d’exploitation.
FR < 0 Un fonds de Roulement qui est négatif (-), signifié que les capitaux permanents
n’arrivent pas à financer l’intégralité des immobilisations, autrement dit l’entreprise
finance une partie de ces immobilisations par ces dettes à court terme (DCT), dans ce
cas la situation de l’entreprise est délicate (difficile).
22
1.5. Les ratios liés à la trésorerie
Pour analyser la trésorerie d’une entité, on peut utiliser plusieurs ratios liés à la trésorerie.
Le ratio est un rapport entre deux valeurs financières ou économiques d’une entreprise établis
la comparaison entre une situation et une norme
Les ratios donnent une image de l’entreprise à un moment donné de sa vie (la fin de l’exercice
comptable). De ce fait, il faut les interpréter avec prudence. Par ailleurs, leur principal intérêt
est de favoriser des comparaisons dans l’espace afin de prendre les décisions adéquates.
Le ratio de liquidité générale : Ce ratio mesure la capacité de l’entreprise à faire face ces
dettes à court terme. Il doit être supérieur ou égale à 1. Il se calcul comme suit :
Ratio de Liquidité Réduite = (Valeur Disponible + Valeur Réalisable) / Dettes à Court terme
❖ Ratio d’endettement total : Ratio d’endettement est un indicateur qui permet d’analyser
de façon précise la structure du capital permanant, grâce à la comparaison entre le montant
des capitaux permanents et celui des capitaux empruntés. Ce ratio doit être inférieur à 0.5.
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Section2 : Analyse de la trésorerie par les flux
L’analyse du bilan doit être complétée par une analyse des flux de trésorerie qui ont conduit à
la formation du résultat de l’entreprise et surtout à son évolution dans le temps. L’analyse par
les flux permet d’expliquer les variations passées de la trésorerie et d’appréhender son
évolution future à partir des flux d’encaissement et de décaissement.
- Participation
- Dividendes
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Variation de la disponibilité
La troisième partie s’ouvre avec le solde courant (SC) qui est égal à la somme des soldes
financiers et économiques. Elle regroupe ensuite tous les autres flux pour aboutir à la
variation du disponible.
=Valeur ajouté
- Impôts et taxes
- Frais personnels — — —
= Excédent brut d’exploitation
- Variation du BFR
= Excédent de trésorerie d’exploitation (ETE) - - -
+ Produits de cession
+ Réduction d’immobilisations financières
+ Autres produits et pertes exceptionnels - - -
+ Augmentation de capital
+ Transfert de charges
- Acquisition d’autres valeurs immobilisées(b) - - -
Le tableau des flux nets de trésorerie (TFT) retrace les flux de trésorerie d’une période en les
regroupant selon trois fonctions différentes : Exploitation, investissement et financement ; Son
objectif est d’identifier les sources des entrées de trésorerie et les éléments qui ont fait l’objet
de sorties de trésorerie pendant l’exercice comptable.
Les flux de trésorerie liés à l’activité opérationnelle C’est l’ensemble des encaissements
et décaissements résultant de l’activité opérationnelle de l’entreprise et toutes les
autres activités qui ne sont pas des activités d’investissement ou de financement.
Les flux de trésorerie liés à l’activité d’investissement Elle recense l’ensemble des
opérations d’acquisitions et de cession d’immobilisations corporelles, incorporelles ou
financières. Ce flux permet d’évaluer les conséquences de la politique d’investissement
ou désinvestissement sur la situation financière de l’entreprise.
26
Tableau 3: La forme du Tableau des Flux de Trésorerie.
DESIGNATION N N-1
Flux de trésorerie liés à l’activité
Résultat de l’exercice
* Elimination des éléments sans incidence sur la trésorerie ou non liés à - -
l’exploitation
+ Amortissement et provision - -
+ Valeur comptable des éléments d’actif cédés - -
- Produit de cession d’éléments d’actif - -
- Quote-part des subventions d’investissement virées au résultat - -
- Augmentation des frais d’établissement - -
- Transfert de charges au compte de charges à repartir - -
= Marge brut d’autofinancement - -
- Variation de BFR lié à l’activité - -
= Flux net de trésorerie lié à l’activité(A) - -
Flux de trésorerie liés aux opérations d’investissement
+ Cessions d’immobilisations incorporelles
+ Cessions d’immobilisations corporelles - -
+ Cessions ou réductions d’immobilisations financières - -
- Acquisition d’immobilisations incorporelles - -
- Acquisitions d’immobilisation corporelles - -
- Acquisitions d’immobilisation financières - -
* Incidence de la variation des décalages de trésorerie sur les opérations - -
d’investissement
+ Variation des dettes sur immobilisations - -
= Flux net lié aux opérations d’investissement (B) - -
Flux de trésorerie lié aux opérations de financement
+ Augmentation du capital
- Réduction du capital - -
- Dividendes versés - -
+ Augmentation des dettes financière - -
- Remboursement des dettes financières - -
+ Subventions d’investissement reçues - -
* Incidence de la variation des décalages trésorerie sur les opérations de - -
Financement
- Variation de capital souscrit non appelé - -
- Variation de capital souscrit appelé, non versé - -
= Flux net de trésorerie lié aux opérations de financement (C) - -
Variation de trésorerie (A + B + C) - -
Trésorerie à l’ouverture (D) - -
Trésorerie à la clôture (A + B + C + D) - -
Source : Tableau réalisés par nous même à partir de la recherche bibliographique.
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2.3. Le tableau de financement
Première partie : le tableau des emplois et des ressources qui a pour objectif
d’expliquer la variation du fonds de roulement net global.
28
Tableau 4: La partie (I) du tableau l’explication de la variation du fonds de roulement net global
29
Tableau 5: Partie II Tableau Structure simplifiée d’un tableau de financement
Total
Variation du BFRE (A)
Hors Exploitation
V. Autre actif courant - - -
V. Autre dettes
Total
Variation du BFRHE (B)
Trésorerie
V. Trésorerie
V. V.M.P
V. Concours bancaire - - -
TOTAL
Variation du Trésorerie (C)
VARIATION DE FRNG A+B+C
La gestion prévisionnelle de trésorerie fait partie d’une démarche globale par laquelle
l’entreprise s’efforce simultanément de synchroniser au mieux ses décisions à long terme
et à court terme.
3.1.Définition
La gestion de trésorerie est une discipline au même titre que les autres disciplines de la
gestion au sein d’une entité. Elle consiste à prévoir à faire des choix qui engagent l’entreprise
pour plusieurs années. Les prévisions de trésorerie s’emboitent en fonction d’un horizon
glissant qui doit être à plusieurs niveaux.
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Mettre les responsables de l’entreprise dans une situation de prévenir les événements
éventuels au lieu de les subir ;
Constater des écarts entre une situation réelle et celle préétablie, pour ensuite prendre
les décisions correctives qui s’imposent.
Le plan de financement est un état prévisionnel permettant de mesurer la trésorerie dans les
années à venir, dans le but de négocier des prêts pour financer les projets d’investissement ou
de prévenir d’éventuelles difficultés. Son horizon est compris entre 3 à 5 ans. Il se décompose
en deux parties ; les prévisions des emplois et les prévisions des ressources.
4.1.1. Définition :
31
l’exercice à venir, ainsi que d’anticiper les évolutions probables de la structure
financière et de la trésorerie ;
Le tableau fait apparaitre les ressources durables et les emplois stables de l’exercice.
Coté ressources :
- La capacité d'autofinancement (CAF) ;
- L’augmentation de capital en numéraire ;
- Les produits de cessions d'actif immobilisé ;
- Des emprunts bancaires ;
- Des subventions d’investissement.
Coté emplois :
- Le besoin de financement généré par l'activité (capacité d'autofinancement lorsqu'elle
est négative) ;
- Le paiement de dividendes ;
- Les dépenses d'investissement (nouvelles immobilisations) ;
- L'augmentation du besoin en fonds de roulement (augmentation des stocks, des crédits
aux clients et des autres actifs circulants nets des dettes d'exploitation) ;
-Les remboursements d'emprunts (et éventuellement, le rachat d'actions pour réduire le
capital.
32
Tableau 6: Structure du plan de financement
Eléments N N+1 N+2 N+3 N+4
Ressources
- Capacité d’autofinancement
- Augmentation de capital
- Prix de cession d’élément d’actif
- Subvention d’investissement
- Emprunt à long et moyen terme _ _ _ _
- Autres ressources
Total de ressources (1)
Emplois
- Dividendes
- Remboursement des emprunts
- Variation du BFR (augmentation)
- Investissements nouveau
- Autres besoin à financer _ _ _ _ _
Il ne suffit pas de constater un équilibre financier et une certaine rentabilité pour être assuré
de la bonne santé de l’entreprise. Il faudrait visualiser son état dans le futur pour permettre
une anticipation permettant d’apporter une correction et éviter certains risques futurs.
4.3.1. Définition
33
Figure 4: Le schéma si dessous résumera l’articulation budgétaire
Choisir le ou les modes de financement ou de placement les plus adéquats, dans le but
de disposer des financements nécessaires, aux meilleurs conditions possibles, et d’optimiser le
résultat financier de l’entreprise ;
Déterminer les dates optimales auxquelles doivent avoir lieu certaines opérations
exceptionnelles (pour lesquelles l’entreprise dispose d’une marge de manœuvre) de manière a
évité de trop grands déséquilibres.
34
o Le budget de TVA.
TVA collectée
TVA déductible
TVA à décaisser
35
Tableau 10: Le budget de trésorerie
Désignation Janvier Février Mars
Total
Le solde mensuel négatif : Ceci traduit la présence d’un déficit de trésorerie. Il faut,
dans ce cas, prendre les mesures nécessaires pour couvrir ce besoin de financement.
Conclusion :
L’analyse financière permet de faire une évolution pertinente de l’entreprise, qui a pour but de
déterminer sa santé financière et de guider la prise de décision tendant à améliorer sa
situation, elle repose sur l’examinassions du bilan par l’analyse statique et dynamique.
L’objectif principal de l’analyse financière statique est de faire une étude du bilan à la clôture
de chaque exercice. Donc, on constate que l’analyse d’une entreprise passe par l’étude des
principaux éléments-clés du bilan dont les trois soldes significatifs qui sont le FR, BFR et la TN.
En effet, le fonds de roulement net peut couvrir le besoin en fonds de roulement et toute
différence entre ces deux grandeurs engendre un déséquilibre du bilan et la trésorerie de
l’entreprise (positive ou négative) qui permet de rétablir l’équilibre du bilan. Par contre
l’analyse dynamique constitue un complément indispensable à l’analyse statique.
36
Par ailleurs nous constatons que la gestion de trésorerie est essentiellement prévisionnelle. Il
s'agit, donc de prévoir les insuffisances et les facilitées de trésorerie en rapport avec l'activité
de l'entreprise, afin d’avoir une vision crédible sur la situation de la trésorerie, et d’avoir une
situation excellente de cette dernière. Une fois la prévision est déterminée, la gestion de
trésorerie au quotidien (au jour le jour) permette aussi à l’entreprise de faire un suivi au
mouvement de la trésorerie et de la rendre plus proche de zéro.
37
Chapitre I : LA GESTION DE TRESORERIE DANS UNE SOCIETE COMMERCIALE ET SERVICE,
CAS DE L’ENTREPISE COMMERCE GENERALE ET SERVICE(CGS)
Comme il a été déjà précisé sur l’introduction générale, la gestion de la trésorerie est devenue
une composante stratégique de la chaîne de valeur financière et indispensable à toutes les
entreprises, quelle que soit leur forme ou leur activité.
L’acquisition de notions théoriques à propos de la gestion de trésorerie demeure insuffisante
pour détenir le pouvoir de gérer une trésorerie.
A cet effet, il faut mettre les mains dans la patte pour se confronter à la réalité qui reste
toujours différente à la théorie. Cette ainsi que notre projet de fin d’étude incite sur une étude
sur le terrain, à travers laquelle nous nous rapprocherons de plus en plus de cet indicateur de
santé financière de l’entreprise.
Notre étude portera la forme d’une analyse des outils de gestion de trésorerie adoptés par les
entreprises maliennes. Ce pendant notre étude se dirigera vers l’entreprise Commerce
Générale et Service (CGS).
L’entreprise CGS est une société leader dans son domaine à savoir la vente, location, entretien
et réparation de véhicule, elle a été créée le 1 Avril 2010 du numéro RCCM N° : MA.BKO.2010.
B.15208. KALABAN COURA, RUE : 145 PORTE : 120. TEL : (+ 223) 70 10 32 32. NIF :
081135910 J, COMPTE BANCAIRE : ML 043 01400 400001258731 96 BNDA MALI, sous la
dénomination de commerce général et service, en abrégé « CGS ».
Dans la perspective de son développement, la « CGS » s’est engagée dans la voie de son
adaptation à satisfaire les exigences de ses clients par une écoute permanente de son
environnement. Elle s’est attelée à :
L’entreprise CGS est une société sur le marché de la vente, entretien et location des véhicules
au Mali.
Directeur
Responsable
comptable
Technique
E : entretien, R : réparation
Figure 5: L’organigramme de la société CGS
39
Section 2 : Gestion et l’analyse de la trésorerie
Au long, de ce chapitre, nous calculerons le bilan fonctionnel pour les 02 années, les
indicateurs de l’équilibre financier et les ratios.
40
Après avoir effectué des retraitements et des rectifications sur le bilan comptable de l’année
2019 et 2020, nous avons pu dégager une présentation du bilan fonctionnel.
• Emplois stables :
- Immobilisation brut
- Immobilisations incorporelles 6 196 000 5 196 000
- Immobilisations corporelles 45 884 000 58 884 000
- Immobilisations en cours - -
- Immobilisations financière 18 000 000 20 000 000
Total emplois stables 70 080 000 84 080 000
41
Tableau 12: Bilan fonctionnel de passif
PASSIF EXERCICE
• Ressources durables :
- Capitaux propres 60 000 000 62 000 000
- Dettes financière 15 463 000 8 463 000
- Amortissements et provisions 25 350 000 10 350 000
Total TP - -
42
2.2.3. Calcul des indicateurs de l’équilibre financiers
2.2.3.1. Le fonds de roulement net
Le FRNG à partir du haut de bilan :
FRNG = Ressources stables - Emplois stables.
Tableau 13: Le fonds de roulement net
Désignations Exercice 2019 Exercice 2020
Ressources stable 100 813 000 80 813 000
Emplois stable 70 080 000 84 080 000
FRNG= RS-ES 30 733 000 -3 267 000
PCE + PCHE + TP(2) 46 290 000+4 725 000+0 68 955 000+3 560 000+0
=51 015 000 =72 515 000
FRNG=(1)-(2) 30 733 000 -3 267 000
Nous remarquons que l’entreprise dégage un FRNG positif de 30 733 000 pour
l’exercice 2019, dans ce cas les ressources durable (RD) de l’entreprise sont
supérieure à l’actif immobilisé constitués, c’est-à-dire les RD couvrent les besoins de
l’entreprise, mais en exercice 2020 l’entreprise dégage un FRNG négatif de
-3 267 000. Cette dernière doit donc financer une partie de ses emplois à long terme
à l’aide des ressources à court terme, ce qui lui fait courir un risque d’insolvabilité.
Nous observons que la variation du FRNG est négative de -34 000 000
43
2.2.3.2. Le Besoins de fonds de roulement
BFR = (ACE + ACHE) - (PCE + PCHE)
= (70 348 000+1 300 000) - (46 290 000+4 725 000)
= (58 348 000+2 500 000) – (68 955 000+3 560 000)
Nous remarquons que le BFR est positif pour le premier exercice 2019 qui est :
20 633 000. Mais il est négatif au second exercice pour une valeur de –
11 667 000, car les actifs circulant sont inférieurs aux ressources circulantes,
donc l’entreprise n’as aucune marge de sécurité.
TN = FRNG - BFR
44
= 10 100 000- 0
TN = 10 100 000
= 8 400 000- 0
Nous remarquons une diminution de TN en 2020 (8 400 000 FCFA) par apport à l’exercice 2019
qui est de : (10 100 000), ce qui signifie que les décaissements au cours de l’exercice 2020, sont
supérieurs aux décaissements de l’exercice 2019.
L’analyse de l’équilibre financier lui seul ne suffit pas pour étudier la situation
financière de l’entreprise. Pour cela, on procède à une analyse par les ratios comme
moyens de juger la santé financière de l’entreprise.
Ce type de ratio vise à vérifier que les actifs à moins d’un an (qui peuvent être
transformés rapidement en liquidité) dépassent les dettes à moins d’un an (les plus
rapidement exigibles) dans ce cas, le risque de faillite est faible à court terme.
Observation :
Le RLG est égal à 1.63 en 2019 c'est-à-dire que les dettes à court terme sont couvertes
1.63 fois par les actifs à court terme.
Le ratio de liquidité générale est inférieur à 1 pour exercices 2020 donc l’entreprise
n’est pas capable de payer ses dettes à court terme en utilisant ses actifs a court termes.
45
2. 3.2. Les ratios de l’autonomie financière
C’est un indicateur qui apprécie la capacité de l’entreprise de rembourser ses dettes par
ses capitaux propres. Sa valeur doit être supérieure à 0.5.
Ce ratio doit être supérieur à 1 pour que l’entreprise soit jugée capable de payer ses dettes
cependant, l’entreprise solvable peut présenter des risques de liquidités, d’où l’intérêt de
compléter l’étude par les ratios de liquidité.
Observation :
Nous remarquons que le ratio de solvabilité générale est supérieur à 1 pour les deux
exercices 2019(2.28) et 2020(1.89), cela indique que la CGS est solvable ainsi que ces
résultats est due principalement à un total des actifs trop élevé par apport au total des
dettes.
46
Section 3 : Les difficultés et les recommandations
Dans la dynamique de mieux cerner tous les aspects de notre étude, qui abordait la
gestion de trésorerie de l’entreprise. A l’issue de l’exploitation des informations reçues
par le service de la trésorerie durant notre stage, nous avons décelé aussi bien des
faiblesses même s’il y’a des forces, toutes découlant du système de gestion de trésorerie
de l’entreprise.
I. Les difficultés
La première faille que nous avons décelée dans le système de gestion de trésorerie de
l’entreprise est l’absence d’un logiciel de gestion des moyens de paiement. L’entreprise
utilise plutôt des supports papier pour traiter les données liées aux moyens de
paiement. Ce qui constitue une faiblesse dans la mesure ou l’absence d’un traitement
automatisé des moyens de paiement peut causer des lenteurs et des pertes (à causes des
jours de valeur, des erreurs, etc.)
La principale difficulté à laquelle nous nous sommes heurté a été le choix d’un cas
pratique et l’obtention d’information n’ont pas été faciles en raison de la forte
concurrence dans laquelle évoluent les entreprises et qui fait que les données sont
confidentielles
Travailler avec une banque étrangère : L’entreprise aurait intérêt à travailler avec un
partenaire financier étranger pour faciliter ses transactions à l’international. Ceci
pourrait entériner sa notoriété et son image de marque et donc renforcer la confiance de
47
ses autres partenaires (banques locales, les fournisseurs, les clients, etc.). L’entreprise
pourra aussi exploiter les offres de produits et services financiers proposés par ces
banques étrangères et ainsi optimiser sa gestion de trésorerie.
III. Conclusion
Cette dernière possède un équilibre financier à long terme caractérisé par un FR positif
sur toute la période étudiée (2019 et 2020). C'est-à-dire que l’entreprise finance la
totalité de ses actifs stables avec ses ressources stables.
48
PARTIE2 : DOSSIER PEDAGOGIQUE
49
Introduction
Les hommes ont toujours cherché des facteurs de développement pour mieux vivre en
communauté. Parmi ces facteurs on peut citer entre autres l’éducation, la santé, le
reboisement, la substance. Il faut noter ici, que c’est l’éducation qui nous concerne parmi
ces facteurs ci-dessus-cités. De nos jours, elle devient incontournable, pour le
développement de tout peuple. Vu sa nécessité, les autorités de l’éducation malienne ont
créée le 04 août 2010 par l’ordonnance N°10-032/P-RM et ratifiée par la loi n°042 du 15
juillet 2011, l’Ecole Normale d’Enseignement Technique et Professionnel (ENETP) est
un établissement public caractère scientifique et technologique. Elle a pour vocation
primaire de former les formateurs au niveau de l’Enseignement secondaire général, de
l’enseignement technique et professionnel et niveau l’enseignement postuniversitaire.
C’est dans le souci d’atteindre ce but que la Direction de l’ENETP a introduit dans ces
programmes un stage pédagogique, exige à tous les étudiants, C’est une période
d’apprentissage, d’acquisition de compétence du stagiaire par une formation adaptée à
emploi qu’il sera appelé à occuper. Il doit faire preuve d’aptitude professionnelle,
sanctionné par un suivi pédagogique aboutissant à la rédaction de la deuxième partie du
mémoire de fin d’études qui est le Dossier pédagogique.
I. Présentation du Lycée
Le Lycée Kankou Moussa est un hommage à celui qui a propagé le nom du Mali à
l’extérieur surtout dans le monde arabe, puis à l’occident à cause de sa richesse minière
(or) et son patrimoine culturel très diversifié.
En effet la pose de la première pierre de l’établissement a été faite le 06 avril 1996 par
son Excellence Mr le premier ministre Ibrahim Boubacar KEITA, la création de ce lycée
50
répondait donc aux soucis du département de rapprocher l’école des populations et les
apprenants.
Le Lycée Kankou Moussa est situé sur la rive droite du Niger, dans le quartier de
Daoudabougou en commune V, le Lycée est à 400 m de l’auto route de l’O.U. A, après la
station totale.
Son accès est facile, et c’est un beaucoup sollicité à cause du sérieux et de ses succès au
bac. Le Kankou Moussa est mixte et compte de nos jours deux mille vingt-huit (2028)
apprenants.
51
1.2. Organisation administrative (Organigramme)
Proviseur
Surveillance
Censeur Secrétaire Economie
Gardien
Elèves
Bibliothèques
Profess
eurs
L’Administration du L. K. M.D est composée comme suit :
52
1.2.3. La Direction
Le Lycée Kankou Moussa a pour mission, la formation des élèves titulaires du diplôme
d’étude fondamentale (DEF) dans les différentes séries en vue de leur donner les
moyens d’acquérir le baccalauréat Malien (Bac) afin qu’ils puissent poursuivre les
études universitaires. L’administration du Lycée est composée de :
Les professeurs sont organisés selon les disciplines. Ils encadrent 2028 élèves dont 886
garçons et 1142 filles. Ils sont les principaux responsables des activités pédagogiques. A
ce titre, ils sont tenus d’assurer les cours, les travaux pratiques et les évaluations
conformément aux objectifs définis par les programmes officiels. Ils sont responsables
de l’ordre et de la discipline pendant les cours. A ce titre ils sont tenus de respecter les
horaires en vigueur. Ils doivent informer le surveillant général de tout acte d’indiscipline
intervenu pendant les cours.
53
1.2.4. Le conseil des maîtres
54
Tableau 18: Le tableau du corps professoral par discipline et par genre
DISCIPLINES H F TOTAL
Anglais 8 4 12
Arabe 5 2 7
Art 5 1 6
Comptabilité 3 1 4
Dessin 6 0 6
Droit 3 2 5
Economie 6 1 7
EPS 5 0 5
Français 10 1 11
Histoire-géographie 12 3 15
Informatique 2 2 4
Langue nationale 2 3 5
Mathématiques financière statistiques 2 0 2
Mathématiques générale 12 3 15
Physique – chimie 8 3 11
Philosophie 12 3 15
Russie 6 1 7
Sociologie 2 1 3
S.V.T 8 2 10
TOTAL 117 33 150
Source : Rapport de la rentrée scolaire 2018-2019 de LKMD.
1.3.2. La pédagogie et didactique appliquées
La pédagogie appliquée et recommandée à LKMD est l’approche par compétence (APC3).
Approche Par Compétence
55
1.3.3. Les filières de formation
Au Lycée Kankou Moussa après la formation de 10ème commune générale, le lycée divisé
en 3 filières sachant que l’élève a le choix entre ces filières sont :
- 11ème année Science Economie Sociale
- 11ème Lettre
- 11ème Science
Le LKMD comporte notamment les filières terminales aboutissant au baccalauréat telles
que :
- 12ème Terminale Science Exacte (TSE)
- 12ème Terminale Lettre et Langue (TLL)
- 12ème Terminale Science Economie (TS Eco)
- 12ème Terminale Science Expérimentale (TS Exp)
- 12eme Terminale Science Sociale (TSS)
- 12ème Terminale Art Lettres (TALL)
1.3.4. Les emplois
Dès la rentrée de classe, le Censeur a remis les emplois du temps aux professeurs.
Tableau 19: EMPLOIS : 10ème CG
N° MATERES HORAIRES COEFFICIENT
1 EPS 2 1
2 Anglais 2 2
3 Histoire-Géographie 2 2
4 Français 4 3
5 Physique-Chimie 3 2
6 Economie 2 2
7 Informatique 1 1
8 MATHS 4 3
9 Langue Nationale 1 1
10 Arts 2 2
11 ECM 1 1
12 LV2 2 2
13 SVT 3 2
TOTAUX 39 24
56
Tableau 20: EMPLOIS 11èmes SES
N° MATIERES HORAIRES COEFFICIENT
1 Philosophie 3 2
2 Français 4 3
3 EPS 2 1
4 MATHS 3 2
5 Economie 4 4
6 Histoire-Géographie 4 4
7 ECM 1 1
8 Comptabilité 2 1
9 Anglais 3 2
TOTAUX 26 20
Tableau 21: EMPLOIS 11ème Lettre
N° MATIERES HORAIRES COEFFICIENT
1 Français 6 4
2 Philosophie 2 2
3 Langue Nationale 1 1
4 Anglais 4 3
5 EPS 2 1
6 ARTS 3 3
7 LV2 4 3
8 ECM 1 1
9 MATHS 2 2
10 Histoire-Géographie 2 2
TOTAUX 27 22
57
Tableau 23: EMPLOIS 12ème TLL
N° MATIERES HORAIRES COEFFICIENT
1 Anglais 4 3
2 ECM 1 1
3 Philosophie 4 3
5 MATHS 2 1
6 LV2 4 3
7 Histoire-Géographie 2 2
8 Français 6 4
9 Informatique 2 1
10 Langue Nationale 2 1
TOTAUX 27 19
Tableau 24: EMPLOIS : 12ème TSS
N° MATIERES HORAIRES COEFFICIENT
1 Philosophie 5 4
2 Histoire 4 3
3 Informatique 1 1
4 MATHS 2 1
5 Géographie 4 3
6 Sociologie 4 3
7 Anglais 2 2
8 ECM 1 1
TOTAUX 23 18
Tableau 25: EMPLOIS 12ème TSECO
N° MATIERES HORAIRES COEFFICIENT
1 Economie 4 4
2 Géographie 4 3
3 MATHS 6 3
4 ECM 1 1
5 EPS 2 1
6 Comptabilité 4 2
7 Philosophie 2 2
8 Anglais 2 2
9 Informatique 1 1
TOTAUX 26 19
58
Tableau 26: EMPLOIS : 12eme TSEXP
N° MATIERES HORAIRES COEFFICUENTS
1 Mathématiques 5 3
2 Phy-chimie 6 4
3 Biologie 5 4
4 Géologie 2 2
5 Anglais 2 2
6 Philosophie 2 2
7 Informatique 1 1
8 EPS 2 1
TOTAUX 25 19
Les emplois du temps sont élaborés en fonction du volume horaire et des textes qui
régissent.
Enfin l’emploi du temps définitif des classes (voir annexe) est dressé par le censeur.
59
1.3.5. Les effectifs
A la rentrée scolaire 2018-2019, LKMD comptait deux mille vingt-huit (2028) élèves.
Ce nombre a varié courant l’année scolaire avec les cas de transfert, d’abandon etc.
Dans cet établissement, les élèves sont formés dans systèmes éducatifs : APC
Tableau 28: Répartition par classe, par système éducatif et par sexe des élèves.
CLASSES Filles Garçons TOTAL
10ème CG 610 492 1102
11ème Science 25 40 65
11ème SES 71 78 149
11ème L 40 13 53
12ème TLL 63 56 119
12ème TSS 45 27 72
12ème TSECO 185 120 305
12ème TSEXP 56 32 88
12ème TAL 26 18 44
12ème TSE 21 10 31
60
Le contrôle de connaissances (interrogation écrite ou orale, devoirs) fait partie
intégrante des cours. Aucun élève ne saurait se soustraire à ce contrôle sous peine
d’avoir un zéro à moins que l’absence ne soit justifiée à la surveillance générale qui
informe le professeur. Les élèves sont sous la responsabilité du chef d’établissement
durant les heures de cours. Au Lycée les cours sont dispensés du Lundi au Vendredi et
de 7heure 00mn à 14heure avec une pause de 15 mn à 09h 45mn et 12heure. Les cours
d’EPS commencent à 16heure 00mn et cela dépend de l’emploi de temps de chaque
classe.
L’objectif vise pendant mon stage était de mettre en pratique les connaissances
théoriques apprises à l’´école pour compléter ma formation. De ce fait, on m’a confié une
classe de la 10eme année commune générale, 11 science économique et sociale et 12eme
année Terminale Science économique. J’ai débuté le cours sous la supervision et le guide
de mes encadreurs, M. Mamadou B COULIBALY et Adama KEITA. J’ai aussi participé à la
surveillance de certains devoirs, des deux compositions de l’année et ainsi que les
examens du Brevet de Technicien (BT).
En somme je n’avais que 13heures de cours dans la semaine. La méthode que j’utilisais
pour la conduite mes activités pédagogiques est l’A.P.C (l’approche par compétence).
C’est une méthode mise en œuvre par le ministère de l’Education Nationale comme
programme officiel. La raison du choix de cette méthode est une consigne de l’Etat. A la
fin de chaque chapitre je faisais un contrôle écrit.
61
2.3. Activités parascolaires :
En dehors des heures de travail, j’échangeais avec des collègues et d’autres personnes de
l’établissement, ces échanges m’ont permis de comprendre et de connaître mieux la
société. En plus j’ai acquis des connaissances sur le passé et des conseils pour le futur.
Ces expériences vécues m’aideront certainement dans l’avenir.
J’ai assisté également les activités sportives organisées, qui sont généralement le match
de football inter-filière ou interclasse, le ou les vainqueurs sont récompensés par
l’Administration.
Tout métier sérieux et noble ne peut s’apprendre sans difficultés. De ce fait, les
difficultés que j’ai rencontrées, je retiens :
Durant mon stage, l’objectif fixé était de vérifier ce que j’ai appris à l’Ecole Normale
Enseignement Technique et Professionnel, mon savoir-faire et savoir être avec les
élèves.
De mettre en jeu l’éthique et déontologie du métier, la psychologie et la pédagogie ainsi
que la didactique enseignée durant le cursus de l’ENETP.
Les défis auxquels L.K.M.D doit faire face sont entre autres :
- L’accès aux technologies de l’information et de la communication (TIC) ;
- La qualité et l’efficacité de la formation ;
- L’adaptation au marché de l’emploi et à la demande d’éducation et de la
formation ;
- L’accessibilité d’un nombre croissant de demandeurs ;
- Développer le partenariat.
Afin de faire face aux défis, les perspectives peuvent se définir autour de quelques
éléments :
- Améliorer la gestion des instituts de formation des formateurs
- Renforcer la qualité de la formation ;
- Développer l’utilisation des TIC ;
- Développer du partenariat ;
- Adapter la formation au marché de l’emploi.
63
IV. Leçon tirée du stage
4.1. Intérêts
Le stage fut très important pour moi. Il m’a permis de tester mon aptitude à la
profession enseignante, de prendre contact avec des habitants d’autres milieux.
Ce stage a contribué à mon perfectionnement en matière de psychopédagogie. La
consolidation des acquis en didactique m’a permis de faire le lien entre la théorie et la
pratique dans l’enseignement. Je me suis rendu compte que le fait de transmettre un
message pédagogique n’est vraiment pas une chose facile.
Le stage est le début d’une nouvelle vie. Après le stage, il est possible de pronostiquer
sur la carrière du futur enseignant en déduisant que seul le travail paye.
4.2. Motivation
Le stage a été une leçon de vie pour moi (apprendre et partager des connaissances),
l’autonomie de soi, être unique responsable de soi. Comme autre motivation, je citerai
les relations de fraternité qui existent entre les enseignants et le milieu. En plus, j’ai été
motivé par le contact avec les enfants qui a développé en moi l’amour, la volonté et le
besoin de les rendre utile à eux même, à la société qui les entoure et au pays tout entier.
Lors de ce stage, j’ai eu à faire des remarques sur certains points qui m’ont satisfait,
parmi lesquels nous avons :
- L’existence d’un sens de responsabilité et de respect mutuel qui règnent au sein
du personnel ;
- L’´Egalite est bien respectée entre garçons et filles dans les responsabilités et les
tâches qui leur sont confiées ;
- Le respect mutuel ;
- L’échange d’idées entre les enseignants de l’établissement et les stagiaires ;
- Les professeurs sont surveillés et notés en cas d’absence.
64
V. Recommandations
Pendant mon stage, j’ai remarqué qu’il y a une nuance entre le stage et la formation à
l’E.N.E.T. P, c’est-`a-dire la théorie et la pratique. La pratique est plus formative que la
théorie. Donc il faut que les autorités de l’état aient le courage et la volonté de revoir le
rapport entre la théorie et la pratique, car la théorie est facile mais la pratique est
difficile.
Pour améliorer mon travail de stage, j’aurai besoin de faire plus de formation en
économie et renforcer le module Méthodologie de la recherche tout en expliquant le
CANEVAS mis place par l’Administration.
5.4. Suggestion
Dans l’optique de trouver des solutions durables aux différents problèmes énumères, je
suggère des pistes pour redresser la pente :
Le suivi et la formation continue des enseignants,
Multiplier des séminaires de formation sur l’approche par compétence (L’A.P.C)
Inciter les élèves à faire des recherches dans la bibliothèque et sur internet,
Doter les enseignants en matériels didactiques adéquats,
Axer la formation scientifique sur la pratique en recrutant des laborantins
qualifiés,
Réviser le volume horaire et le programme dans les différentes séries pour éviter
l’accumulation des lacunes par les élèves,
65
Les parents d’élèves quant à eux devront investir pour la réussite de leurs
enfants en les motivant, en les sensibilisant,
En fin, les élèves quant à eux devront être courageux et déterminés pour se dire,
que vouloir c’est pouvoir (à cœur vaillant rien d’impossible). Ils doivent élaborer
un plan de travail bien pensé et exécuté dans le temps pour affronter les études
Objectif pédagogique : A la fin de la leçon l’apprenant doit être capable d’appliquer les
formules de l’intérêt simple d’un placement.
66
Bibliographie :
Patrice Poncet ; Portait ; Serge Hayat ; Mathématiques financières ; 2e édition ;
Dalloz
Jean-Pierre Lecca ; Naïla Hayek ; Mathématiques pour l’économie ; 1ère édition ;
Dunod
Aboubacar Traoré ; Mathématiques financières ; Brochure ; 2013-2014
67
6.1. PREAMBULE MOTIVANT
Activité : les apprenants seront motivés à travers les questions réponses.
Moussa prête 10 000f à son ami amadou et Amadou doit ajouter 1000f en
remboursant l’argent.
Comment appel-t-on ce 1000 f ?
- L’intérêt
Objectif pédagogique : il s’agit pour l’apprenant d’être capable de déterminer le titre de
la leçon à travers ce questionnaire.
DÉROULEMENT
68
MICRO-OBJECTIF I PRODUCTION ELEVE
Définition de la
notion d'intérêt A. DEFINITION DE LA NOTION D’INTÉRÊT :
Soit un capital C mis à la disposition d'un débiteur au cours d'une
période n à un taux de rémunération par un créancier delta. Cette
somme placée va rapporter à delta un bénéfice appelé Intérêt I.
En somme l'intérêt se définit comme le loyer ou la rémunération d'un
capital prêté ou placé.
DUREE : 10 min
Nous venons de voir la définition de la notion d’intérêt. Maintenant nous passons à l’étape
suivante qui est la définition de l’intérêt simple
Durée : 10 min
Après avoir définir l’intérêt simple, nous passons à la détermination algébrique
MICRO-OBJECTIF C.DETERMINATION ALGEBRIQUE :
III I = C*T/100*N Si n est en année
Détermination
algébrique de I = intérêt
l’intérêt simple C = capital ou somme placé(e)
T = taux d’intérêt périodique
N = durée de placement
Durée : 10 min
La formule de l’intérêt déjà connu vient le décompte de la durée
69
MICRO-OBJECTIF D. LE DECOMPTE :
IV La durée exprimée en jours : Compter les mois suivant leur durée
Le décompte réelle. C’est le nombre de jours qui sépare le jour de placement
(qui n’est pas compté) et l’échéance (qui est compté). Le mois de
février est compté 28 jours sauf le cas de l’année bissextile (où il
est compté 29 jours).
BISSEXTILE : Si l’année considérée est divisible par 4.
La durée exprimée en mois : On considère tous les mois comme
30 jours. Par exemple 6 mois =6*30 =180 jours
La durée exprimée en années : On considère l’année comme 12
mois de 30 jours. Par exemple 2 ans 3 mois 20 jours =
360+90+20=470 jours
Durée : 20 min
Maintenant nous allons voir comment calculer l’intérêt après avoir su comment faire le
décompte
MICRO-OBJECTIF V E. CALCUL DE L’INTERET :
Durée : 1 h
Et c’est la fin de la séquence.
70
DOCUMENTS ELEVES
Soit un capital C mis à la disposition d'un débiteur au cours d'une période n à un taux de
rémunération par un créancier delta. Cette somme placée va rapporter à delta un
bénéfice appelé Intérêt I.
En somme l'intérêt se définit comme le loyer ou la rémunération d'un capital prêté ou
placé.
On dit que l'intérêt est simple lorsque le capital reste invariable durant la période de
prêt.
Généralement cette durée est à court terme c'est à dire moins d'un an.
C) DETERMINATION ALGEBRIQUE :
I = intérêt
C = capital ou somme placé
T = taux d’intérêt périodique
N = durée de placement
D) LE DECOMPTE :
La durée exprimée en jours : Compter les mois suivant leur durée réelle. C’est le
nombre de jours qui sépare le jour de placement (qui n’est pas compté) et
l’échéance (qui est compté). Le mois de février est compté 28 jours sauf le cas de
l’année bissextile (où il est compté 29 jours).
BISSEXTILE : S I l’année considérée est divisible par 4.
71
La durée exprimée en mois : On considère tous les mois comme 30 jours. Par
exemple 6 mois =6*30 =180 jours
La durée exprimée en années : On considère l’année comme 12 mois de 30 jours.
Par exemple 2 ans 3 mois 20 jours = 360+90+20=470 jours
E) CALCUL DE L’INTERET :
EVALUATION
EXERCICE 2 (par table) : Du 20/02/17 au 03/06/17 une somme de 5 00 000 FCFA est
placée au taux de 8 %. Calculer cet intérêt.
EXERCICE 3 (individuel) : Du 20/02/20 au 03/06/20 un capital de 5 00 000 FCFA est
placé au taux de 8 %. Calculer cet intérêt.
6.2. Conclusion
Ce stage a été d’un très grand apport pour moi dans la mesure où il m’a permis d’avoir
une idée sur des notions telles que :
- L’esprit d’équipe ;
- La méthode de recherche ;
- Le sens de responsabilité.
Sur le plan académique, il m’a permis d’acquérir des connaissances non seulement sur
ma spécialité mais aussi dans d’autres domaines. Il m’a permis d’avoir des notions de
72
relations interpersonnels, et d’´échange mutuel avec les personnes extérieures. Ce stage
m’a formé psychologiquement pour faire face aux différentes tâches et missions qui
m’attendent désormais sur le terrain. En effet j’ai appris également le sens de
responsabilité en termes de : la ponctualité, l’assiduité, la discrétion et la courtoisie. Je
ne saurais terminer sans attirer l’attention des autorités administratives et politiques du
pays, qu’ils œuvrent en étroite collaboration afin de mettre en application les
résolutions d’accord avec les enseignants. Si rien n’est fait dans un proche avenir dans
l’amélioration des conditions de travail des enseignants, aussi d’avoir une bonne
politique en matière de système éducatif de l’enseignement fondamental, toute une
génération serait sacrifiée. Cela va affecter davantage l’administration publique en ce qui
concerne les ressources humaines qualifiées.
73
Conclusion générale
Dans le présent mémoire nous avons constaté que le domaine de la gestion de trésorerie
a connu une forte évolution au cours de ces dernières années. Sa maîtrise contribue
fortement à l’amélioration de la santé financière de l’entreprise, car comme le dit l’adage
: « L’entreprise qui ne fait pas de profits se meurt lentement, mais l’entreprise qui n’as
pas de liquidités disparaît rapidement ». Les méthodes et outils utilisés pour gérer à bien
la trésorerie sont diverses et aussi bien efficaces les unes que les autres, donc c’est à
l’entreprise de décider pour le meilleur outil auquel il lui convient de faire recours.
Comme le disait Philippe KNEIPE, « Il serait regrettable que l’entreprise ne continue pas
à garder au trésorier la place légitime qu’il s’est attaché à conquérir en son sein pour son
plus grand profit. Car ce qu’il apporte quotidiennement comme profit ou diminution de
coûts dans son inlassable recherche de meilleures conditions de marché reste encore
très peu connu (ou calculé)
Durant notre stage pratique au sein de l’entreprise C.G.S, on a constaté que l’entreprise
ne donne pas de grande importance à la gestion de trésorerie, tant dit que le rôle du
trésorier est très limité, la mission principale de cet agent est de gérer et contrôler les
flux de trésorerie, c'est-à-dire les encaissements et les décaissements.
Le stage pédagogique m’a permis d’approfondir mes connaissances sur les préparations
d’une leçon. J’affiche une grande satisfaction après cette période passée à l’école L.K.M.D
Enfin nous pouvons dire que ce mémoire nous a apporté de nombreux enrichissements
personnels que nous mettrons à profit dans notre vie professionnelle et nous espérons
que notre travail a pu apporter des éclaircissements au sujet de notre mémoire.
74
Bibliographie
75
Tables de Matière
Dédicace ........................................................................................................................................................................... i
Remerciements............................................................................................................................................................. ii
Résumé .......................................................................................................................................................................... iii
Table des sigles............................................................................................................................................................ iv
Liste des figures et tableaux .................................................................................................................................... v
Avant-propos................................................................................................................................................................ vi
SOMMAIRE .................................................................................................................................................................. vii
INTRODUCTION GENERALE ................................................................................................................................... 1
PARTIE 1 : DOSSIER TECHNIQUE ........................................................................................................................ 4
Chapitre 1 : Généralité sur la trésorerie ............................................................................................................. 5
Section 1 : Notions générales sur la trésorerie La gestion de trésorerie......................................... 6
1.1. La gestion de trésorerie ...................................................................................................... 6
1.2. La trésorerie ........................................................................................................................ 7
1.3. Les objectifs de la gestion de trésorerie ............................................................................ 7
1.4. La procédure de la gestion de trésorerie .......................................................................... 8
1.4.1. La prévision ................................................................................................................ 8
1.4.2. Les ajustements nécessaires ...................................................................................... 8
1.5. Les missions et les qualités requises du trésorier ............................................................ 8
1.5.1. Les missions du trésorier ........................................................................................... 9
1.5.2. Les qualités du trésorier ............................................................................................ 9
Section2 :Les origines des problèmes de la trésorerie et les causes des crises de la trésorerie ...... 10
2.1. Les problèmes de la trésorerie ......................................................................................... 10
2.1.1. Les problèmes structurels de trésorerie : ............................................................... 10
2.1.2. Les problèmes conjoncturels ................................................................................... 11
2.1.3. Les problèmes organisationnels .............................................................................. 12
2.2. Les causes des crises de la trésorerie .............................................................................. 12
Section3 : Les enjeux de la gestion de trésorerie............................................................................ 13
3.1. Optimisation du niveau d’encaisse et la réduction des frais financiers......................... 13
3.2. Trois erreurs à éviter en gestion de trésorerie ............................................................... 13
3.2.1. L’erreur de l’équilibre ................................................................................................ 13
Figure 1: L’erreur d’équilibrage ................................................................................................. 14
3.2.2. L’erreur de sur-mobilisation ............................................................................................ 14
3.2.2. L’erreur de sous-mobilisation.................................................................................... 14
Section 4 : Les sources de financement de la trésorerie ................................................................ 15
76
4.1. Le financement interne .................................................................................................... 15
4.2. Le financement externe.................................................................................................... 17
Section1 : Analyse de la trésorerie par le bilan fonctionnel........................................................... 20
1.1. La notion du bilan fonctionnel ......................................................................................... 20
1.2. La Structure du bilan fonctionnel .................................................................................... 20
1.3. L’avantage du bilan fonctionnel....................................................................................... 21
1.4. La détermination de la trésorerie.................................................................................... 22
1.4.1. Par le haut du bilan................................................................................................... 22
1.4.2. Par le bas du bilan .................................................................................................... 22
1.5. Les ratios liés à la trésorerie ............................................................................................ 23
1.5.1. Définition d’un ratio ................................................................................................. 23
1.5.2. L’objectif d’une analyse par les ratios ..................................................................... 23
Section2 : Analyse de la trésorerie par les flux ................................................................................. 24
2.1. Tableau des flux financiers ............................................................................................... 24
2.2. Le tableau des flux de trésorerie ..................................................................................... 26
2.3. Le tableau de financement ............................................................................................... 28
Section 3 : La gestion prévisionnelle de trésorerie ........................................................................ 30
3.1. Définition .......................................................................................................................... 30
3.2. L’avantage de la gestion prévisionnelle .......................................................................... 30
Section 4 : Prévision de trésorerie .................................................................................................. 31
4.1. Le plan de financement .................................................................................................... 31
4.1.1. Définition : ................................................................................................................ 31
4.1.2. Les objectifs du plan de financement ...................................................................... 31
4.2. Structure du plan de financement ................................................................................... 32
4.3. Le budget de trésorerie .................................................................................................... 33
4.3.1. Définition .................................................................................................................. 33
4.3.2. L’utilité du budget de trésorerie .............................................................................. 34
4.3.3. L’élaboration du budget de trésorerie ...................................................................... 34
1.1. Historique et la création....................................................................................................... 38
1.2. Le domaine d’activité de CGS ............................................................................................... 39
1.3. L’organigramme de la société .............................................................................................. 39
Section 2 : Gestion et l’analyse de la trésorerie ............................................................................................ 40
2.1. Gestion de la trésorerie de C G S................................................................................................................. 40
2.2 Etude et analyse de la trésorerie........................................................................................... 40
2.2.1. Etude de l’équilibre financier....................................................................................... 40
77
2.2.2. Calcul du bilan fonctionnel....................................................................................... 41
2.2.3. Calcul des indicateurs de l’équilibre financiers ...................................................... 43
2.2.3.1. Le fonds de roulement net ................................................................................... 43
2.2.3.2. Le Besoins de fonds de roulement ....................................................................... 44
2.2.3.3. La trésorerie nette (TN) ....................................................................................... 44
2.3. Analyse par les ratios ....................................................................................................... 45
2. 3.1. Le ratio de liquidité générale ........................................................................................ 45
2. 3.2. Les ratios de l’autonomie financière............................................................................. 46
2.3.3.Les ratios de solvabilités : ............................................................................................... 46
Section 3: Les difficultés et les recommandations ....................................................................................... 47
I. Les difficultés ............................................................................................................................ 47
II. Les recommandations .............................................................................................................. 47
III. Conclusion ............................................................................................................................ 48
PARTIE2 : DOSSIER PEDAGOGIQUE ................................................................................................................. 49
Introduction ................................................................................................................................................................ 50
I. Présentation du Lycée.................................................................................................................................... 50
1.1. Historique, Structure............................................................................................................ 50
1.2. Organisation administrative (Organigramme) ...................................................................... 52
1.2.1. L’organe suprême de gestion scolaire ......................................................................... 52
1.2.2. L’association des parents d’élèves............................................................................... 52
1.2.3. La Direction .................................................................................................................. 53
1.2.4. Le conseil des maîtres .................................................................................................. 54
1.3. Organisation pédagogique ................................................................................................... 54
1.3.1. Les groupes pédagogiques ........................................................................................... 54
1.3.2. La pédagogie et didactique appliquées ....................................................................... 55
1.3.3. Les filières de formation .............................................................................................. 56
1.3.4. Les emplois ................................................................................................................... 56
1.3.5. Les effectifs ................................................................................................................... 60
1.3.6. Le fonctionnement des classes.................................................................................. 60
II. Activités menées .............................................................................................................................................. 60
2.1. Activités Pédagogiques ........................................................................................................ 60
2.2. Les activités menées : ........................................................................................................... 61
2.3. Activités parascolaires : ....................................................................................................... 62
III. Les difficultés rencontrées....................................................................................................................... 62
3.1. Au plan matériel .................................................................................................................... 62
78
3.2. Au plan pédagogique ............................................................................................................. 62
3.3. Au plan socioculturel ............................................................................................................. 62
3.4. Solutions apportées............................................................................................................... 63
3.5. Initiatives personnelles et apport au développement de l’école ....................................... 63
3.6. Les défis et perspectives........................................................................................................ 63
IV. Leçon tirée du stage.................................................................................................................................... 64
4.1. Intérêts .................................................................................................................................. 64
4.2. Motivation ............................................................................................................................. 64
4.3. Points de satisfaction ............................................................................................................ 64
V. Recommandations ........................................................................................................................................... 65
5.1. Points de convergence entre le stage et la formation à l’ENETP .......................................... 65
5.2. Points de Divergences entre le stage et la formation à l’ENETP ........................................... 65
5.3. Besoins en formation pour rendre votre travail plus efficace .............................................. 65
5.4. Suggestion ............................................................................................................................. 65
VI. La leçon modèle ........................................................................................................................................... 66
6.1. PREAMBULE MOTIVANT ..................................................................................................... 68
6.2. Conclusion ............................................................................................................................. 72
Conclusion générale ................................................................................................................................................ 74
Bibliographie .............................................................................................................................................................. 75
Annexes…………………………………………………………………………………………………………………………………………xxi.
Tables de matière……………………………………………………………………………………………………………………………xxii
79