INFORMATION COMPTABLE ET

MANAGEMENT FINANCIER
Université Chouaib Doukkali
Faculté des sciences juridiques, économiques

JALOUAJA A
et sociales d’El Jadida

 Professeur : Abderrazak JALOUAJA

 Cours en faveur de : Etudiants MASTER CCA M1

 Année Universitaire : 2023/2024

1
 II /LES UTILISATEURS DE L'INFORMATION
COMPTABLE
Les utilisateurs sont les dirigeants d’entreprise, les actionnaires,
le personnel de l’entreprise, les créanciers sociaux, les pouvoirs
publics, les clients, les fournisseurs, les organisations
professionnelles, les intermédiaires de justice….

JALOUAJA A
Utilisateurs = destinataires = parties prenantes
Pourquoi les utilisateurs demandent il l’IC?
Les utilisateurs ont besoin de l’information comptable pour
mener à bien trois grandes activités :
 L’examen rétrospectif, de manière à comprendre les actes et
les évènements des exercices passés de l’entreprise et à tirer
parti de ces connaissances.
 La formulation des prédictions, de manière à réduire les
incertitudes des directeurs et des investisseurs
 La passation des contrats, de manière à faciliter le contrôle
et l’exécution des contrats accordés à l’intérieur ou à l’extérieur
de l’entreprise ;
2
 L’information comptable s’inscrit dans une
perspective historique, rétrospective ou courante,
tandis que la prise de décision repose sur une

JALOUAJA A
estimation des résultats des évènements et
situations à venir

3
« l’information appartient à celui qui sait

JALOUAJA A
l’exploiter »

4
Résultats du domaine de recherche:
 l’enquête conduite par PAGE :les principaux
utilisateurs des états financiers des PME sont les
dirigeants eux-mêmes, les autorités fiscales et les
banquiers dans les proportions respectives de 41%, 26% et 17%.
 Lavigne (2000), pense que les dirigeants des PME

JALOUAJA A
sont les principaux utilisateurs de l’ICF contenue
dans les états financiers et les documents comptables
externes, pour satisfaire un besoin d’outils d’aide à la
prise de décision de gestion interne;
 Lépineux (2003), en privilégiant les acteurs suivants :
 les actionnaires;
 les parties prenantes internes;
 les partenaires opérationnels;
 La communauté sociale.
5
La destination de l’IC selon la norme générale
comptable
 La norme générale comptable marocaine est conçue de
façon à satisfaire les deux objectifs de la normalisation
comptable qui sont de:
1. Servir de base à l’information et gestion de

JALOUAJA A
l’entreprise;
Information comptable destinée aux fonctions internes de l’entreprise
L’entreprise elle même
1. De fournir une image aussi fidèle que possible de ce
que présente l’entreprise à tous les utilisateurs des
comptes privés ou publics
Information comptable destinée aux utilisateurs externes
Grande diversité de destinataires
6
UTILISATEURS DE L’INFORMATION COMPTABLE
 Destination interne:
 l’entreprise elle-même: dirigeants, Comités et personnel…
 Destination externe:
 Les fournisseurs;

JALOUAJA A
 Les clients;
 Les établissements de credit et organismes assimilés;
 Les associes , actionnaires et investisseurs (actuels ou
potentiels);
 Les pouvoirs publics:
• Au niveau fiscal (DGI);
• Au niveau économique (comptabilité nationale);
• Au niveau financier (contrôle de credit…).
 Autres
Utilisateur= destinataire= partie prenante= cible 7
Les cibles de l’information financière peuvent être
regroupées en trois catégories :
 les acteurs institutionnels (conseil d’administration
et ses comités, commissaires aux comptes,

JALOUAJA A
institutions de surveillance),
 les acteurs économiques (actionnaires, analystes
financiers, investisseurs institutionnels…) et
 les acteurs éthiques (syndicats, société civile, ONG)

8
 L’entreprise et ses utilisateurs internes et externes de l’information
comptable.

L’entreprise et Ses Partenaires Partenaires sociaux

dirigeants commerciaux (personnels et syndicats et
(clients et comité d’entreprise)
public fournisseurs
OMPIC , BAM (Centrale de
l’information financière)

JALOUAJA A
Etat et organismes
publics /
CAC
autorité du marché
des capitaux Information
(AMMC) comptable concurrents
autorités de et
surveillance, financière Actionnaire et obligataire
DGI, (actuels)
Tribunal (Registre
Actionnaire, obligataire et
central du
investisseur potentiels
Commerce) …
Divers:
Analystes financiers Professeurs ; Partenaires financiers (Ets de 9
Les agence de Universitaires credit et organismes assimilés,
notation, Presse et chercheurs
Cette diversité de destinataires conduit à une diversité
des utilisations de l’information comptable et
financière.
 Chaque utilisateur de l'information comptable se
renseigne sur l'entreprise pour des raisons et des
objectifs qui leur sont propres.

JALOUAJA A
 Les utilisateurs de l’ICF ont des objectifs différents:
 La démarche suivie sera différente selon que l’objectif de
l’analyse financière est d’évaluer les capitaux propres
d’une entreprise pour une introduction publique en
bourse, d’évaluer une entreprise en situation de conflits ou
de difficultés, de mettre en place un montage financier et
fiscal au profit d’un repreneur….
 Les outils d’analyse qu’ils privilégient ne sont pas les
mêmes, les méthodes d’évaluation non plus.
10
A-UTILISATEURS INTERNES

1- Les dirigeants de l’entreprise :

JALOUAJA A
 les états financiers sont conçus pour répondre
d’abord aux besoins propres des dirigeants
d’entreprises, en leur fournissant une
information sur elles-mêmes. Ils occupent ainsi à
la fois la fonction de producteur et d’utilisateur
d’information comptable et financière.

11
2- Partenaires sociaux :
 le personnel de l’entreprise et leurs représentants,
les syndicats et le comité d’entreprise.
 L’évolution économique et sociale des sociétés rend
de plus en plus nécessaire l’information des salariés
sur leur propre entreprise.

JALOUAJA A
 L’information des salariés, qui partagent avec les
apporteurs de capitaux les risques de l’entreprise,
est une obligation incontournable de l’entreprise
moderne, dans un esprit de participation.
(Augmentation du capital par les salaries)
 Les états de synthèse sont donc aussi destinés à ce
type d’information, très orientée vers l’économique et
le social.
12
B- UTILISATEURS EXTERNES

1-Partenaires commerciaux
a. Les fournisseurs et autres créditeurs
(d’équipements ; d’exploitation…) qui ont
besoin d’informations économiques et financières
sur l’entreprise avant de lui consentir d’éventuels

JALOUAJA A
crédits. C’est la solvabilité de l’entreprise-client qui
les intéresse au premier lieu. Ils sont intéressés par
l’entité pour une période plus courte que les
prêteurs;
b. Les clients qui, a priori, semblent moins concernés
par la solvabilité de l’entreprise-fournisseur, mais
qui ont le plus souvent besoin d’être rassurés quant
à la pérennité de l’entreprise. Ils sont eux aussi
intéressés par les états financiers du fournisseur, a
fortiori s’ils lui versent des avances.
13
2- Partenaires financiers : Ils peuvent être classés par
catégories :
a. Actionnaires et investisseurs (actuels ou potentiels) sont les
demandeurs classiques d’informations financières. Considérés
comme les premiers utilisateurs de l’information financière, ils
ont besoin d’informations pour les aider à déterminer quand

JALOUAJA A
ils doivent acheter, conserver ou vendre les actions de telle ou
telle entreprise.
b. Les actionnaires sont également intéressés par des
informations qui leur permettent de déterminer la capacité de
l’entité à payer des dividendes.
c. Font aussi partie de ce groupe les analystes financiers, les
agences de notation et l’autorité des marchés financiers
(AMMC…) qui ont plus ou moins les mêmes besoins
d’information que les investisseurs ;

14
3- AMMC
Pour les entreprises cotées, les ICF sont disponibles au siège de la
société cotée, dans les journaux d’annonces légales ainsi que dans le
site web de l'AMMC.
 L’AMMC est habilitée a demander aux personnes et organismes
relevant de son contrôle, communication de tout document et tout
renseignement nécessaires à l’accomplissement de ses missions.
 L’AMMC contrôle l’information financière des émetteurs et vise les
notes d’information, L’objectif de ce contrôle est de veiller à ce que le

JALOUAJA A
public ait une information régulière sur les émetteurs .
 Elle s’assure que les émetteurs respectent leurs obligations de
publication des états financiers annuels et semestriels
 Elle veille à ce que l’information soit précise, sincère, exacte et
diffusée, à temps, à l’ensemble de la communauté financière.

4- Prêteurs :
 il peut s’agir des particuliers, mais, le plus souvent, des
obligataires. Leur attente en matière d’information comptable se
situe principalement au niveau de la solvabilité de l’entreprise
(immédiate et à terme) et à celui de sa pérennité sur un horizon au
moins égal à la durée des prêts consentis ;
15
5- Les établissements de credit et organismes
assimilés, (loi 103-12: 2014) Quelques établissements de crédit et organismes
assimilés sont des principaux partenaires financiers des entreprises, ce sont des demandeurs privilégiés
d’informations comptables.

Banques
Etablissements de credit Organismes assimilés
16 participatives

Stes de financement Banques Banques offshores

• Stes de credit cons • Cies financières

F Ass
• Stes credit bail
Les intermédiaire N Prof
• Stes d’affacturage Ets
en opérations • Ets de paiement A
• Stes de Paiement
effectuées par les • ASS micro credit M
cautionnement
• Stes de gestion de ETS Crédit • CDG
moyens de • CCG
paiement
• Ste de financement
Groupement Professionnel des Banques du Maroc (banques, banques
s/nantissement
offshores, banques participatives)
M/SES .
SMGFGDB (regroupant tous les Ets de crédits agrées pour recevoir des
APSF
fonds du publics + banques participatives)

Centre marocain de médiation bancaire

BANQUES PARTICIPATIVES
 Norme comptable :
 Charia islamic
 Plan comptable des établissement de crédit ,

JALOUAJA A
 Accounting & Auditing Organization for Islamic
Financial Institutions (organisation de la comptabilité
financière pour les banques et les institutions financières
islamiques (AAOIFI)
 IFRS
 Les états de synthèse de BQ PART sont établis
conformément aux dispositions du Plan Comptable des
Etablissements de Crédit tel qu’amendé par le comité des
établissements de Crédit (PCEC) en date du 30 janvier
2017
17
 Les banques offshore tiennent leur comptabilité
conformément aux dispositions applicables aux
établissements de crédit. cir bam 2/w/2018

JALOUAJA A
18
On peut citer par exemple:
A/ Banques (banques au sens de l’article 10 de loi 103-12 , banques
offshores, banques participatives) et organismes assimilés (Stes de
credit bail, Stes d’affacturage, CDG,CCG…)
Les besoins de ces établissements en la matière sont généralement centrés sur
les paramètres de la solvabilité et de liquidité de l’entreprise.
 Apprécier le risque et prendre une décision à travers la collecte et l’analyse
de:

JALOUAJA A
 L’ICF qui présente des qualités majeures pour l’analyse de la santé
financière des entreprises car elle est disponible, lisible et objective. Elle est
le meilleur moyen pour appréhender en profondeur une entreprise que l’on
a jamais approchée auparavant. L’analyse financière est nécessaire mais
elle reste insuffisante pour la connaissance de l’entreprise;
 L’information économiques reste la discipline reine de la connaissance de
l’entreprise : sont des données précieuses de sélection de risque (secteur
d’activité , identification ESE, dirigeants et associes, concurrence etc…Elle
peut, à elle seule, suffire à classer une ESE parmi les mauvais risques.
 L’essentiel de ses informations peut être recueillie auprès des sources
publiques ou autres (RCC,BAM, INFORISK, chambre de commerce ,
informations quotidiennes données par les journaux spécialisés, des études
des analystes financiers…) 19
 la notation des entreprises nécessite la collecte de:
 Informations quantitatives

 Informations qualitatives.
Ses objectifs:
 une meilleure sélection et un meilleur suivi du risque
sur les contreparties;
 une tarification ajustée par le risque, sur la base de la

JALOUAJA A
perte anticipée.
La note obtenue (A,B,C,D,E,F,G,H et défaut) pour une
entreprise traduira sa capacité à honorer ses crédits envers la
banque et sa probabilité à faire défaut.
Qui note? Quels sont les critères de la notation? Cas
pratique?
Conclusion: pour prendre une décision:
 L’ICF est une information nécessaire mais insuffisante
 L’IE est une information nécessaire mais insuffisante
 La notation n’est qu’une information parmi d’autres
Pour prendre une décision finale il faut combiner information générale et
information spécifique
20
B- Les compagnies financières: sont des structures
juridiques qui prennent et gèrent des participations,
directement ou indirectement, au sein du capital d'un
ou de plusieurs établissements de crédit, entreprises
d'investissement ou établissements financiers
 La demande d’information comptable formulée par
les CF tend à devenir plus « économique » et plus
proche de la gestion.

JALOUAJA A
 Les compagnies financières analysent les entreprises
en vue de prises de participation et/ou montage
d’opérations d’ingénierie financière.
EXEPMLES :
 AfricInvest ,
 CDG Capital Infrastructures ,
 Upline
 Saham Management Company
 etc…
Etats de synthèse Etats économiques Valeur 21
Entreprise
6- Etat et organismes publics : l’Etat est également une
importante partie prenante à l’information comptable, au moins à
trois titres :
1. Du point de vue fiscal, l’Etat est directement intéressé par la
conception et le contenu des états de synthèse et, en amont,
par la fiabilité des enregistrements et des procédures
le résultat imposable est déterminé à partir du résultat comptable qui

JALOUAJA A
fait cependant l’objet de certains retraitements (réintégrations /
déductions) afin de tenir compte des spécificités fiscales
2. Du point de vue statistique, l’Etat est un utilisateur direct des
informations fournies par les états synthèse tant pour la
statistique générale que pour la comptabilité nationale;
3. Du point de vue de son action économique, l’Etat a besoin de
connaître, à travers les états de synthèse, la réalité
économique des entreprises des différents secteurs, avant de
définir sa politique économique et budgétaire.
Liasse fiscale à consulter notamment l’ETIC : 22
7- AUTRES UTILISATEURS
 Tous les utilisateurs attendent une information
comptable et financière « directe » dans les états de
synthèse de chaque entreprise, mais aussi «indirecte»
et « sectorielle » à partir de l’agrégation de ces états

JALOUAJA A
par secteurs ou branches d’activité;
 Quelques « organisme centralisateurs d’ICF »
diffusent une information indirecte ;
 Cette information permet aux entreprises de faire des
analyses comparatives indispensables à la
formulation d’opinions fondées sur la qualité de leur
gestion et, partant, à des prises de décisions
pertinentes.
 Parmi ces organismes on peut citer:
23
A- BANK Al MAGHRIB) :

 BAM gère la Centrale de l’information financière qui tiendra

compte des études macroéconomiques et des résultats des
sondages semestriels de conjoncture effectués par les agences
de BAM.
 la Centrale de l’information financière ne délivrera pas de
données brutes émanant des documents comptables des

JALOUAJA A
sociétés. Son travail consistera à récupérer, sous forme
numérisée, et à retraiter pour en tirer une information
qualitative synthétisée, les états de synthèse (bilans, CPC…)
auprès de l’OMPIC , qui continuera, quant à lui, à recevoir ces
documents des tribunaux de commerce.
 L’institution publiera des études qualitatives sectorielles ou
régionales mettant en exergue plusieurs ratios financiers
comme le taux d’endettement, le fonds de roulement, les ratios
de trésorerie ou de productivité.
 Elle est concernée par le contenu et la qualité des états de
synthèse des entreprises qui reçoivent l’essentiel des crédits
distribués par les établissements de credit .
 BAM doit pouvoir apprécier la qualité des bénéficiaires des
crédits et en conséquence, celle des crédits accordés par les 24
divers établissements de credit et organismes assimilés
B- SOCIETE INFORISK: utilisateur de l’ICF : Créée en 2007,
Son métier est la collecte , traitement et commercialisation des
informations financières, légales et commerciales concernant l’ensemble
des sociétés marocaines .
 Les informations contenues dans la base Inforisk sont d’ordres légaux,
financiers, judiciaires et commerciaux. Elles permettent de:

JALOUAJA A
 Accéder aux états de synthèse, Scoring et ratios financiers de
toutes les sociétés qui déposent leurs états de synthèse. .
 Suivre la vie d’une entreprise à travers divers événements :
augmentation de capital, changement de dirigeant, ouverture de
succursales, redressement judiciaire, liquidation, etc.
 INFORISK propose à ses clients des services pouvant être à la fois :

 Des outils commerciaux/prospection ;

 De sélection des partenaires commerciaux ;
 De gestion du portefeuille Clients .

25
Rapport Inforisk à consulter
C- L’Office Marocain de la Propriété Industrielle et Commerciale
(OMPIC) est l’organisme chargé de:
 La protection de la propriété industrielle (marques, brevets
d’invention, dessins et modèles industriels)
 La tenue du registre central du commerce au Maroc sur lequel
sont inscrites les entreprises personnes morales et personnes
physiques ayant des activités commerciales sur le territoire
national.

JALOUAJA A
 La collecte , le traitement et la diffusion de l’information :
• Informations financières : fiches financières, Etats de
synthèse , rapport commissaires aux comptes, ratios
financiers simplifiés,…
• Information légales : fiches légales, Statuts, Procès-Verbaux,
Certificats,…
• Information technique : Etat technique issu des brevets
d’invention,
• Information commerciale : Créations d’entreprises…

 Ces informations sont disponibles via la plateforme des

services en ligne de l’OMPIC : www.directinfo.ma.... 26
D- les Agences de notation (credit rating agencies)
 Standard and Poor’s, (1941 )) Moody’s (1909) et Fitch rating…
 Se sont des entreprises privées qui apprécient le risque de
solvabilité financière d'une entreprise de l’Etat… via la
notation
 la notation est une information générale. Elle intègre tous les
aspects sur l’entreprise à noter y compris l’ICF notamment une
série de ratios financiers bien sélectionnés;
La notation est très utile pour les autorités de tutelle; les

JALOUAJA A
investisseurs ; les émetteurs (entreprise à noter) .
 La notation permet une meilleure connaissance de la qualité de
l’entreprise à noter (émetteur),
 Elle est considérée comme un label international
 Elle est un complément précieux à l’ ICF existante
 Une bonne notation permet l’ accès facile aux marchés
financiers
 La notation fait l’objet d’une large diffusion auprès de la presse
spécialisée
 De manière générale, plus la note est élevée, plus le risque est
faible.
 Exemple d’entreprises à noter (Bâle 2): banque, Cie
d’assurance, OPCVM fonds de pension,,, 27
La liste n’est pas exhaustive

JALOUAJA A
28
DOCUMENTS A REMETTRE + TAF

1. Notation (information quantitative et qualitative)

2. Rapport Sté inforisk

JALOUAJA A
Travail à faire:
1. Les Sociétés qui font appel public à l’épargne (APE)
2. Communication de l’IC
 Cadre juridique
 Objectif de la communication financière
 Avantages et inconvénients
 Communication exigée par AMMC concernant les Sté APE
 Type d’information à communiquer par les Stes faisant APE
 Type de documents à publier par les sociétés faisant APE
 Lieu de dépôt de ces documents
 Etc,… 29