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27ème promotion
Décisions Financières
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Un produit est fabriqué par une machine qui a été achetée 30 000 dinars cinq ans auparavant.
Sa durée de vie était estimée à quinze ans. L’entreprise pratique l’amortissement linéaire.
L’année précédente, 1000 unités ont été produites et vendues à 20 dinars l’unité. On suppose
que le prix et la demande se maintiendraient au même niveau au cours des dix ans à venir.
Autres renseignements:
- Le taux de l’impôt sur les bénéfices et les gains (ou pertes) en capital est de 35. %.
- Les produits et les charges d’exploitation relatifs à une période donnée sont supposés être
effectués durant la même période.
- Le coût de capital de l’entreprise est de 13%.
1 - (1.13)-10
1742.5 ──────────── = 9455.22926
. 0.13
Par suite, l’entreprise a intérêt à remplacer l’ancienne machine puisque cette opération se
traduit par un enrichissement (une VAN) de (9455.22926 – 9300) 155.2292568.
INSTITUT DE FINANCEMENT DU DEVELOPPEMENT DU MAGHREB ARABE
26ème promotion
Décisions Financières
Une société projette de réaliser un investissement de 100 000 dinars dont les cash-
flows nets estimés sur sa durée de vie de 10 ans sont les suivants :
Les primes d’émission et de remboursement ainsi que les frais d’émission ont amortis
proportionnellement aux nombres de titres remboursés. L’impôt est supposé être payé en fin
de période.
Questions
4- Application numérique
5- Le coût (après impôt) des capitaux propres s'exprime en fonction du levier financier
L (Dettes à Long et Moyen Terme / capitaux propres) par :
2) la différence entre les deux annuités effectives consécutives (celles constatées aux
dates t et t+1 ) s’écrit :
µt+1 = µt[ 1+ r’ ] ce qui signifie que les nombres de titres remboursés au cours des différentes
périodes forment une progression géométrique de raison 1+ r’ avec:
c(1 - τ)
r’ = ---------------------------------------
[ R - [(R – E) + f ]τ]
(1+ r’ )n - 1
N = µ1 + ……….+ µt + ………+ µn = µ1----------------------------
r’
r’
d’où µ1=N -----------------------------
(1+ r’ )n - 1
Les annuités effectives étant constantes, on peut comme valeur de référence celle de la
première annuité.
( 1 + r’ )n
a = Nc(1- τ )------------------------------
( 1+ r’ )n - 1
3) Le coût effectif de la dette kd est le taux qui égalise la valeur des flux d'entrée
(encaissements) et la valeur des flux de sortie (décaissements), soit formellement dans le cas
particulier des annuités constantes:
1 -(1+kd)-n ( 1 + r’ )n 1 -(1+kd)-n
N(E-f) = a.⎯⎯⎯⎯⎯⎯⎯⎯ = Nc(1- τ ⎯⎯⎯⎯⎯⎯⎯⎯* ⎯⎯⎯⎯⎯⎯⎯⎯
kd ( 1+ r’ )n - 1 kd
1 -(1+kd)-n ( 1 + r’ )n 1 -(1+kd)-n
N(E-f) = a.⎯⎯⎯⎯⎯⎯⎯⎯ = Nc(1- τ ⎯⎯⎯⎯⎯⎯⎯⎯* ⎯⎯⎯⎯⎯⎯⎯⎯
kd ( 1+ r’ )n - 1 kd
( 1 + r’ )n 1 -(1+kd)-n
(E-f) = c(1- τ ⎯⎯⎯⎯⎯⎯⎯⎯* ⎯⎯⎯⎯⎯⎯⎯⎯
( 1+ r’ )n - 1 kd
Cette écriture montre que le coût effectif de la dette obligataire kd ne dépend pas du nombre
de titres émis N.
1 -(1+kd)-n (E-f)*[( 1+ r’ )n - 1 ]
f(kd) = ---------------------- - -------------------------------------- = 0
kd c(1- τ)∗( 1 + r’ )n
Application numérique
C 10
c(1-τ) 6
c(1−τ)/R 0.059405941
[R -[(R-E)+f]τ 100.12
r' 0.059928086
(1+r')n 1.789633101
n
(1+r') - 1 0.789633101
E-f 98.8
[(1+r')n - 1](E - f) 78.01575033
n
c(1-τ)(1+r’) 10.7377986
n n
[(1+r') - 1](E - f)/[c(1- τ)(1+r') ] 7.265525571
1 -(1+kd)-10
f(kd) = ---------------------- - 7.265525571 = 0
kd
Une simple lecture dans la table financière indique le taux recherché kd est situé dans
L’intervalle [kd1=6% kd2=7%]
kd2 - kd1
kd ≈ kd1 - -------------------------------*f(kd1)
fkd2) - f(kd1)
kd1 0.06
f(kd1) 0.09456148
kd2 0.07
f(kd2) -0.24194403
kd2 - kd1 0.01
f(kd2) - f(kd1) -0.33650551
[kd2 - kd1)/[f(kd2) - f(kd1)] -0.0297172
([kd2 - kd1)/[f(kd2) - f(kd1)])*f(d1) -0.0028101
k ≈kd1 - ([kd2 - kd1)/[f(kd2) - f(kd1)])*f(d1) 0.0628101
5)
1 L
k = kc ⎯⎯⎯⎯⎯ + θ ⎯⎯⎯⎯⎯
1+L 1+L
⎡ ┐ 1 L
k = ⎢α + β (L - 1)2 │ ⎯⎯⎯⎯⎯ +θ ⎯⎯⎯⎯⎯
⎣ 1 +L 1+L
⎡ ⎤ 1 L
k* = ⎢α + β(L*-1)2 ⎢ ⎯⎯⎯⎯⎯ + θ ⎯⎯⎯⎯⎯
⎣ ⎦ 1 + L* 1 + L*
Application numérique:
α 0.15
β 0.03
θ 0.062738616
∆' 0.006217842
racine(∆' ) 0.078853291
L∗= 1.628443036
k*= 0.100445198
6)
La Valeur actuelle nette étant positive, l’entreprise doit réaliser le projet si elle a pour objectif
l’enrichissement des actionnaires.
INSTITUT DE FINANCEMENT DU DEVELOPPEMENT DU MAGHREB ARABE
Examen Final
Décisions Financières
Fin N, l’entreprise a un PER de 6.Elle a distribué 50% de ses bénéfices, soit un dividende de
2 D par action. Elle assure un taux de croissance constant des dividendes de 5%et les distribue
à clôture de l’exercice.
Les frais d'émission s’élèvent à 1840 Dinars et sont déductibles l'année même où ils sont
engagés.
Question 3 : Quel doit être le taux de rendement interne du projet pour qu’il soit réalisé.
Corrigé de l’examen final - Semestre I- 25ème promotion
Pour que le projet soit accepté, il doit procurer un taux de rendement interne ≥ ou coût moyen
pondéré des deux sources de financement, à savoir :1/2( kc + kd ) ≈ 0.10425
INSTITUT DE FINANCEMENT DU DEVELOPPEMENT DU MAGHREB ARABE
Examen Final
Décisions Financières
___________________________________________________________________________
Exercice I ( 8 points )
Deux investisseurs ( Mrs X et Y ) sont intéressés par les deux projets d'investissements A et B
dont les caractéristiques sont résumées dans le tableau suivant :
Projet A Projet B
n° de la VAN VANi Probabilité n° de la VAN Valeur ( VANi) Probabilité
1 5 0.09 1 18 0.06
2 84 0.12 2 175 0.18
3 242 0.09 3 334 0.06
4 227 0.15 4 106 0.1
5 306 0.2 5 264 0.3
6 464 0.15 6 423 0.1
7 360 0.06 7 284 0.04
8 439 0.08 8 442 0.12
9 597 0.06 9 600 0.04
2) Les deux investisseurs possèdent le même niveau de richesse et ont des fonctions d'utilité
appartenant à la même famille de forme générique:
1
⎯⎯⎯⎯W(1 - θ) si θ ≠ 1
U(W) = (1 - θ )
Log(W) si θ = 1
3) Quel est le projet qui sera retenu par chacun des deux investisseurs en fonction de son
attitude vis à vis du rendement et du risque? Leurs choix sont-ils convergents?
Expliquez. (5 points)
Exercice II (12 points )
- Valeur nominale = C
- Prix d'émission = E
- Valeur de remboursement = R
- Taux d'intérêt nominal = i
- Nombre de titre (d’obligations) émis = N
- Durée de vie de l'emprunt = n
- Taux d'impôts sur les bénéfices = τ
- Frais d'émission d'un montant global de F soit fe par titre. Ils sont décaissés à la date
d'émission et amortis proportionnellement aux nombres de titres remboursés et déduits de
l'assiette fiscale l'année de remboursement.
- Frais de paiement des coupons représentant fc% du montant des coupons à payer et
déductibles fiscalement l'année de paiement des coupons.
- Frais de remboursement des titres: fr par titre. Ils sont déduits de l'assiette fiscale l'année
de remboursement.
La société bénéficie d'un délai de grâce de m années pendant lesquelles elle ne paie que les
intérêts. Dès la fin de cette période de grâce, elle commence à rembourser le principal. Pour
cela, elle compte décaisser chaque année une annuité effective constante tenant compte à la
fois:
Questions:
2- En faisant la différence entre deux annuités effectives consécutives, montrer que les
nombres de titres remboursés au cours des différentes périodes forment une progression
géométrique dont déterminera la raison. En déduire le nombre de titre µ1 remboursés la
première année (m +1) et le montant de l'annuité effective a. (5 points)
3- Etablir l'équation qui permet de calculer le coût effectif kd de l'emprunt obligataire pour
l'entreprise émettrice (1 point)
- C= 100 D
- E = 97 D
- R = 102
- i = 7%
- N = 100 000 titres
- n = 5 ans
- τ = 0.4
- m = 1 an
- fc = 0.02
- fe= 0.1d par titre
- fr =0.1 d par titre
Corrigé de l’examen final - Semestre I- 24ème promotion
Exercice 1
Question 1)
La réponse est évidente et ne nécessite aucun calcul: Le Projet A est plus rentable et plus
risqué que le Projet B
Question 2)
L'investisseur le plus sensible au risque est Mr Y car son aversion vis à vis du risque est plus
forte comme l'indique le tableau suivant.
Aversion Mr X Mr Y
Absolue = AAR(W) θ/W 1/W
Relative = ARR(W) θ 1
( θ = 1/5 < 1)
Question 3)
Choix de Mr X
Choix de Mr Y
Les choix sont divergents parce que X et Y ont des degrés d'aversion au risque assez éloignés
(Le paramètre θ vaut 1/5 pour Mr X et 1 pour Mr Y)
Exercice 2
2)
at= Nt-1c(1+fc)(1-τ) + µt[R+fr -[fe+fr +(R-E)]τ]
at+1 =Ntc(1+fc)(1-τ) + µt+1[R+fr -[fe+fr +(R-E)]τ]
c(1+fc)(1-τ)
µt+1 =µt + µt ⎯⎯⎯⎯⎯⎯⎯⎯⎯⎯⎯⎯⎯⎯⎯⎯⎯⎯⎯⎯
[R+fr -[fe+fr +(R-E)]τ]
c(1+fc)(1-τ)
µt+1 =µt [ 1 + ⎯⎯⎯⎯⎯⎯⎯⎯⎯⎯⎯⎯⎯⎯⎯⎯⎯⎯⎯⎯ ]
[R+fr -[fe+fr +(R-E)]τ]
Cette dernière écriture montre que les nombres de titres remboursés forment une progression
géométrique de raison ( 1+ r' ) avec:
c(1+fc)(1-τ)
r ' = ⎯⎯⎯⎯⎯⎯⎯⎯⎯⎯⎯⎯⎯⎯⎯⎯⎯⎯⎯⎯
[R+fr -[fe+fr +(R-E)]τ]
3) En appelant kd, le coût effectif de la dette obligataire pour l'entreprise émettrice, l'équation
qui permet de calculer kd est celle qui consiste à dire que kd est le taux d'actualisation qui
égalise la valeur des encaissements et des décaissements, soit formellement:
1 - (1 kd)-m 1 - (1 kd) -(n-m)
N(E- fe) = Nc(1fc)(1-t)⎯⎯⎯⎯⎯⎯ + a⎯⎯⎯⎯⎯⎯(1+ kd )-m
kd kd
1
a= Nc(1+fc)(1-τ) 1 + ⎯⎯⎯⎯⎯⎯⎯⎯⎯⎯⎯⎯⎯⎯
(1 + r')( n-m) -1
1 - (1 kd)-m 1 1 - (1 kd) -(n-m)
N(E-fe)=Nc(1fc)(1-t)⎯⎯⎯⎯⎯ + Nc(1+fc)(1-τ) 1 + ⎯⎯⎯⎯⎯ ⎯⎯⎯⎯⎯(1+ kd )-m
kd (1+r')(n-m) -1 kd
- C= 100 D
- E = 97 D
- R = 102
- i = 7%
- N = 100 000 titres
- n = 5 ans
- τ = 0.4
- m = 1 an
- fc = 0.02
- fe= 0.1d par titre
- fr =0.1 d par titre
p= n =m 4
coupon = c 7
c(1+fc)(1-t)= 4.284
[R+fr -[fe+fr+(R-E)]t] 100.02
taux apparent r'= 0.042831434
(1+r')(n-m)= 1.182650593
µ1=Nr'/(1+r')n-m-1) = 23449.92862
n-m
a= Nc(1+fc)(1-τ)[1+ 1/[(1+r') -1]= 2773861.86 = annuité effective constante
Détermination directe
Examen Final
Décisions Financières
Exercice I ( 5 points)
On se place dans le cadre théorique de la thèse de Modigliani Miller en l'absence d'impôts sur
les bénéfices et on considère deux entreprises U et L appartenant à la même classe de
risque. La première est libre de dettes alors que la seconde est endettée.
Exercice II ( 1 0 points)
On se place dans le même cadre théorique que l'exercice précédent et on considère deux
sociétés U et L ayant les caractéristiques suivantes :
Société U L
Questions
1- déterminer le coût des capitaux propres et le coût du capital des deux entreprises.
2- Un investisseur qui détient 500 titres de l'entreprise L a-t-il intérêt à les arbitrer contre
des actions de l'entreprise U '? Si oui, évaluer le gain d'arbitrage.
3- En supposant que le cours de l'entreprise U est un cours d'équilibre, évaluer le cours
d'équilibre de l'entreprise L ainsi que le coût de ses capitaux propres de l'entreprise L.
4- En supposant que le cours de l'entreprise L est un cours d'équilibre, évaluer le cours
d'équilibre de l'entreprise U et le coût de ses capitaux propres.
Exercice III ( 5 points) :
θ si 0 < L < h
kd =
θ + n t (L — h) 2 si L > h
ρ si 0 < L < h
kc =
ρ + [ ρ - ρ m (L — h) 2 ] L si L > h
Exercice 1
On a par définition: VL = SL + D et VU = SU
Considérons un investisseur possédant une fraction α des capitaux propres de la
Société endettée L La valeur marchande du portefeuille qu’il détient est de αSL. Ce
portefeuille procure à son détenteur un revenu représentant une fraction α du revenu
disponible pour les actionnaires de la société L, soit yl = α ( X – kd D)
L’investisseur peut poser la question s’il a intérêt à investir dans l’autre société U.
Pour répondre à cette question, supposons que l’investisseur ait vendu ses actions de la
société L pour αSL et acquis à la place des actions de la société libre de dette U pour un
montant égal à
α(SL + D ) αVL. C’est ce qu’il peut faire en emprunt, à titre personnel, la somme αD au taux
du marché kd ( supposé le même pour tous les agents.)
Ces opérations financières constituent le processus d’arbitrage. Celui-ci est avantageux si le
revenu procuré par le nouveau portefeuille est supérieur à celui du précédent portefeuille.
Le revenu du nouveau portefeuille est égal à :
( SL + D ) VL
Vu = α⎯⎯⎯⎯⎯⎯⎯⎯X - αkdD =α ⎯⎯⎯⎯⎯⎯⎯ X - αkdD
SU VU
VL
yu - yl = α ⎯⎯⎯⎯⎯⎯⎯ X - αkdD - α ( X – kd D)
VU
⎡ VL ⎤
Envisageons maintenant l’autre situation possible au départ, c’est à dire VU > VL.
Supposons qu’il va échanger les titres composant son portefeuille pour un autre, valant lui
aussi αVU, mais composé d’actions de la société L et d’obligations dans les proportions
suivantes :
SL
• Pourcentage en actions de la société L = ⎯⎯⎯⎯⎯⎯⎯
VL
D
• Pourcentage en obligations = ⎯⎯⎯⎯⎯⎯⎯
VL
VU VU
yl = α ⎯⎯⎯⎯ (X – kdD ) + αkd ⎯⎯⎯⎯D
VL VL
VU ⎡ ⎤
yl = α ⎯⎯⎯⎯ ⎢ (X – kdD ) + kdD ⎥
VL ⎣ ⎦
VU
yl = α ⎯⎯⎯⎯ X
VL
VU
Gain d’arbitrage = yl - yu = = α ⎯⎯⎯⎯ X - α X
VL
⎡ VU ⎤
Gain d’arbitrage = yl - yu = α ⎢⎯⎯⎯⎯ -1 ⎥ X
⎣ VL ⎦
Nous constatons que le gain d’arbitrage s’exprime de façon identique quelle que soit la
situation initiale. En
Exercice 2
Société U L
Nombre d'actions 2500 2000
Cours unitaire des actions 100 125
Valeur de la dette 0 50000
Résultat d'exploitation Avant impôt et frais financiers 20 000 20 000
Coût de la dette Kd = 0.06
1) Détermination des capitaux propres et du coût du capital des deux entreprises
Société U L
Nombre d'actions 2500 2000
Cours unitaire des actions 100 125
Valeur des capitaux 250000 250000
Valeur de la dette 0 50000
Valeur de l'entreprise 250000 300000
Résultat d'exploitation Avant 20 000 20 000
impôt et frais financiers
Intérêts de la dette 0 3000
Revenus des actionnaires 20 000 17 000
Coût de la dette kd= 0.06
Coût des capitaux propres 0.08 0.068
Coût du capital 0.08 0.066666667
1)
Société U L
Nombre d'actions 2500 2000
Cours unitaire des actions 100 125
Valeurs des actions 250000 250000
Valeur de la dette 0 50000
Valeur de l'entreprise 250000 300000
Résultat d'exploitation 20 000 20 000
Coût de la dette 0.06
Charges financières 0 3000
Résultat disponible pour les actionnaires 20 000 17 000
Coût des capitaux propres 8.00% 6.80%
Coût du capital de l'entreprise 8.00% 6.67%
2) L’entreprise L est sur-évalué, l’investisseur qui détient une partie de son capital a intérêt
l’arbitrer contre des actions de l’entreprise U.
⎡ VL ⎤ ⎡ 300 000 ⎤
4)
Exercice 3)
► 0 ≤L ≤ h
1 L
Coût global du capital = k =[ρ + (ρ - θ)L]⎯⎯⎯⎯ + θ⎯⎯⎯⎯ = ρ
1+L 1+L
►L≥h
1 L
2 2
Coût global du capital = k =[ρ + [ρ -θ -m(L-h) )]L]⎯⎯⎯ + [θ + m(L – h) ]⎯⎯⎯ = ρ
1 +L 1+L