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Gestion de la trésorerie
Réalisé par :
Encadré par :
Mr.
Année universitaire2021/2022
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REMERCIEMENTS
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Sommaire
Introduction générale………………………………………………..…-6-
Partie I. Description de La trésorerie : …………………………....……… -7-
Chapitre 1 : Fonctionnement de la trésorerie : …………………….....................-8-
Section 1 : Définition et principes de base :……………………………………………………. -8-
A. Définition de la trésorerie : ……………….…………………………………….……….….. -8-
B. Les recettes et les dépenses : ……….………………………………………………….…..... -8-
C. Le cash-flow………………………………………………………………………….……… -10-
Section 2 : Equilibre de la trésorerie et prévisions :……………..…………………………… -11-
A. Equilibre……………………………………………………………………………………... -11-
B. Prévisions de trésorerie……………………………………………………………………… -12-
Chapitre 2 : Organisation comptable de la trésorerie (cas de l’ONCF) :…..... -16-
Section 1 : Principe de comptabilisation des opérations de trésorerie :…………………...... -16-
A. Cas des retraits…………………………………………………………………………….… -16-
B. Cas des dépôts………………………………………………………………………………... -16-
Section 2 : Journaux auxiliaires :…………………………………………………………........ -16-
A. Tenue des journaux auxiliaires…………………………………………………………… ...-17-
B. Arrêt des journaux auxiliaires…………………………………………………………….....-17-
Section3 : Vérifications …………………………………………..……………………...…….. -18-
A. Vérification des opérations et justification des soldes…………………………………….. -18-
B. Vérification des intérêts et des livres auxiliaires…………………………………………... -19-
Conclusion………………………………………………………..……………........ -73-
Bibliographie. ………………………………………………………………….......-74-
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Introduction générale
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Suivant l'importance qu'accorde le dirigeant de l'entreprise à la trésorerie, la
place de celle-ci varie dans l'organigramme de l'entreprise. Ainsi la trésorerie
peut être un service, une division ou même une Direction.
front-office (opérationnel)
back-office (administrative)
middle-office (control)
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et quasi immédiatement (le temps seulement de débloquer ses placements à
court terme).
L’entreprise est animée par des flux de recettes et de dépenses qui peuvent être
classés en quatre grandes catégories:
- flux d’exploitation qui proviennent des opérations courantes :
Encaissement des ventes,
Décaissements des achats,
Salaires et des autres consommations de l’entreprise.
-flux d’investissement et de désinvestissement : paiement des acquisitions d’outils
industriels (usines, machines) ou commerciaux (magasins, campagnes publicitaires)
ou de participations financières (achats de titres), encaissements liés à la vente des
mêmes éléments.
- flux purement financiers liés aux opérations d’emprunts ou de prêts de l’entreprise
et plus exceptionnellement à l’apport de fonds par les actionnaires ou associés.
- flux annuels de « répartition » du bénéfice : lorsque l’entreprise dégage un
supplément de richesse, elle doit en allouer une partie à l’Etat et aux salariés (impôt
sur les sociétés et participation) et elle peut en distribuer une partie à ses actionnaires
ou associés.
En ce qui concerne les recettes les plus utilisées dans la fonction de la trésorerie :
Les recettes de l'activité principale de l'entreprise :
Elles sont encaissées soit par des caisses régionales soit par la trésorerie. Le
règlement en caisse se font : en espèces, par chèque ou encore par inscription à un
compte courant faisant l'objet d'un règlement périodique.
Le principe de l'unité de trésorerie nécessite le versement par les caisses à la
trésorerie de leur fonds disponibles. Le versement s'effectue aux banques ou à la
poste. Ces fonds sont centralisés à des comptes gérés par la trésorerie.
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résolu par l'utilisation des comptes "Avis de recettes" tenus au bureau des Clients et à
la trésorerie qui ont pour charge de reconnaître la nature des recettes.
Parmi ces produits on trouve « les produits financiers hybrides », ils sont à base
d’option (bon, obligation convertible) ou sans option (obligation remboursable en
action, certificat d’investissement) et qu’on ne peut pas toujours classer
immédiatement en capitaux propres ou en dette.
Les impôts :
Les entreprises sont assujetties à plusieurs impôts dont :
Impôts précomptés sur les salaires et les pensions.
Impôts sur l'activité (exemple : transport…)
Impôts fonciers
Les patentes et les taxes diverses.
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Les charges financières comprennent les charges afférentes aux avances consenties
par le gouvernement ou les établissements bancaires et les charges des emprunts à
moyen et long terme.
C. Le cash-flow :
On distingue généralement entre le cash-flow brut (la somme des impôts sur
bénéfices industriels et commerciaux, des bénéfices distribués [dividendes] et non
distribué [réserves, report à nouveau], des dotations aux provisions et des dotations
aux amortissements) et le cash-flow net (cash-flow brut diminué des impôts
industriels et commerciaux).
La politique de trésorerie passe en générale par trois étapes, tout d’aborda recherche
de l’équilibre de chacun des comptes bancaires que possède l’entreprise en orientant
les encaissements et les décaissements, puis l’étude du déséquilibre global en faisant
la somme algébrique des différents soldes, enfin la compensation entre les comptes
bancaires pour finalement avoir recours au crédit en cas de manque de liquidités ou
au placement lorsque des liquidités excédentaire s’apparaissent.
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L'entreprise dispose donc d'une certaine masse de recettes que la trésorerie réalise
elle-même ou reçoit des caisses régionales et, d'autre part, doit faire face à un certain
nombre de paiements directs et de ravitaillement des caisses.
Toutes ces opérations se font par l'intermédiaire de comptes bancaires et postaux. Sur
ce plan le problème consiste à approvisionner chaque compte bancaire ou postal de
manière à ce que, compte tenu des recettes qui sont venues à ce compte, il dispose de
fonds pour un montant au moins égal à celui des tirages effectués.
De plus, les comptes bancaires ne produisent pas toujours les mêmes intérêts, il
convient donc de procéder périodiquement et au besoin chaque jour à un travail
d'ajustement et de mouvements de fonds pour que certains comptes ne soient dotés
que des fonds strictement nécessaires. Ce travail est réalisé par le trésorier.
Ces situations indiquent le montant des fonds disponibles à chaque compte bancaire
ou postal. Elles servent de point de départ pour les mouvements de fonds à effectuer
et permettent de dégager soit l’augmentation, soit la diminution des disponibilités
dans les banques.
2. Situations hebdomadaires :
B. Prévisions de trésorerie :
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En effet, il est évident que pour prendre à temps les mesures nécessaires en vue de
disposer à toute époque des fonds suffisants, il faut dresser des prévisions de
trésorerie.
Etape 1 : Examiner les recettes et ne les inscrire qu'une fois la somme reçue en
guise de paiement. C'est un critère fondamental qu'il faut toujours appliquer en
cas de doute, pour savoir quoi inscrire et quand l'inscrire.
Etape 2 : Examiner les dépenses de façons à ce que pour tous les mois, le plan
doit seulement faire état des sommes d'argent attendues à verser aux
fournisseurs; cependant il faut lier l'état des mouvement de trésorerie pour
chaque mois à l'état des mouvements de trésorerie et à l'activité pour les mois
antérieurs et ultérieurs : c’est le "rapprochement".
Etape 3 : Rapprochement des recettes et des débours.
Il montre d'abord le solde reporté en rapport avec les opérations du mois précédent. À
cela, il faut ajouter le total des recettes du mois courant, puis y soustraire les le total
des dépenses du mois courant. Ce solde rajusté est reporté sur la première ligne de la
partie «rapprochement » de la feuille du mois suivant, pour servir de« point de
départ » auquel on ajoute et on soustrait des mouvements de trésorerie.
Les prévisions servent aussi à mettre en place un budget de trésorerie. Il est établi,
pour une durée d’un an, afin de fournir une description des recettes et des dépenses
liées ou non à l’exploitation. Pour la réalisation de ce budget, le trésorier dispose de
trois types d’information :
- des informations certaines et connues d’avance comme la réalisation d’un emprunt ;
- des informations importantes mais difficilement accessibles.
Par exemple le décalage entre les données comptables et les dates de réalisations
effectives des dépenses
- de simples estimations comme les flux liés au cycle d’exploitation et pour obtenir ce
type d’information le trésorier doit nécessairement prendre contact avec les services
de production et les services commerciaux.
Le budget de trésorerie devra être réactualisé sur des périodes d’autant plus courtes
que l’activité est soumise à des aléas. Il permet de préciser l’enveloppe et la nature
des crédits de trésorerie à court terme à négocier auprès des intermédiaires financiers.
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Chapitre 2 : Organisation comptable de la trésorerie (cas de l’ONCF)
Section 1 : Principe de comptabilisation des opérations de Trésorerie
A. Cas des retraits :
Cela importe peu puisque seule intervient la date à laquelle la banque a effectué, dans
ces livres, l’opération de dépôt (date de valeur).
Dépôt :
Ce virement, le fichet d’imputation, les copies ainsi que les pièces justificatives et les
bandes correspondantes sont remises au bureau « contrôle des comptabilités ».
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Section 3 : Vérifications :
1. Banques :
Les banques adressent mensuellement, à leurs clients, un relevé de compte
reproduisant les opérations du mois dont elles tirent le solde.
Ce solde ne correspond généralement pas au solde des opérations passées au livre
auxiliaire, cela pour diverses raisons :
Déduction des frais non effectuée dans les écritures de l’entreprise(en l’attente
des avis de débit) ;
Ce pointage est effectué par rapprochement des sommes portées au relevé et des
sommes portées sur les journaux auxiliaires et donne lieu à l’établissement d’une
concordance qui permet de relever les sommes constituant la différence entre le solde
bancaire et le solde comptable correspondant. Cela donne naissance à un état établi
par banque, appelé « état de rapprochement ».
Le bureau de la trésorerie vérifie les dates de valeur figurant sur le relevé bancaire en
se basant sur les conditions bancaires en vigueur.
2. Chèques postaux :
Le centre des chèques postaux n’adresse pas à ses clients de relevé mensuel, par
contre, il leur adresse journellement un «extrait de compte». Cela permet :
Un état de rapprochement est établi pour les « chèques postaux » en fin de chaque
mois.
B. Vérification des intérêts et des livres auxiliaires :
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1. Les intérêts :
1. L’agent comptable:
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L’agent comptable et soit contractuel soit relevant du statut d’un établissement
public. Sa fonction essentielle réside au fait de contrôler la régularité des recettes et
des dépenses et leur exécution.
La loi édicte simplement une responsabilité pour exécution matérielle des opérations
de trésorerie sans mentionner leur contrôle.
Cette responsabilité peut être engagée à raison des mouvements de fonds et de
comptes de disponibilités. Il s’agit là des fonds envoyés par un agent comptable à un
autre pour lesquels l’expéditeur doit prouver qu’ils sont transférés au destinataire en
vue de reçus ou d’avis d’opération. Le dépositaire des avoirs ou espèces devient
responsable de leur conservation.
2. L’ordonnateur:
Un numéro de série
L'identification du bénéficiaire à savoir :
Nom et prénom s'il s'agit de personne physique.
Raison sociale s'il s'agit de personne morale.
Son adresse (cas de règlement par chèques postaux d'assignations) ou son
numéro de compte bancaire (cas de règlement par lettre de virement).
Le montant à régler.
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La date comptable.
La signature du responsable du service de la comptabilité et celle de l'agent
comptable.
Une fois arrivés à la trésorerie, ces mandats font l'objet d'une saisie comptable avec
l'imputation comptable appropriée. Cette action est du ressort d'un poste de travail
appelé « règlements Maroc », elle donne lieu à l'établissement de l'outil de règlement
(virement bancaire, chèque bancaire ou chèque postal…) dûment signé par l'agent
comptable et un responsable de la direction financière (Le Directeur ou son suppléant
notamment le trésorier). Une lettre d'avis de paiement et adressée au tiers
bénéficiaire. Les mandats traités sont pris en situation journalière de trésorerie et
classés dans des journaux mensuels triés par banque. A la clôture comptable de
chaque mois, les mandats sont retournés payés aux bureaux mandateurs qui procèdent
à la justification de leurs comptes.
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Section 2 : Règlements sur l'étranger :
Une transaction avec l’étranger est généralement réalisée suite à une importation de
matériel. Elle se fait par le moyen d’un contrat commercial.
A. Le contrat commercial
C’est le document qui justifie la transaction « achat – vente ». Parmi ses closes on
trouve le mode de livraison.
Exemple : Exworks – à l’usine, cela dit : mettre la marchandise, non chargée sur
quelconque véhicule d’enlèvement, à la disposition de l’acheteur au lieu de livraison
convenu, à la date et dans les délais stipulés et ce sans accomplissement des
formalités douanières à l’exportation.
La connaissance de l’incoterm retenu renseigne sur la manière dont les coûts sont
répartis à la charge des contractants.
Cas Exworks
De plus, chaque incoterm énumère toute une série de documents nécessaires aux
contractants, et particulièrement pour l’acheteur pour se procurer de la marchandise
et la dédouaner à l’importation.
Mode Exworks :
C. Le titre d’importation :
La domiciliation bancaire est le moyen par lequel la banque s’engage à effectuer pour
le compte de l’importateur des opérations et les formalités bancaires prévues par la
réglementation du commerce extérieur et des changes.
D. Le règlement financier :
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Une caution est un engagement, par signature émise en général par un établissement
financier au profit d’un tiers, qui permet de garantir la solvabilité de sa contrepartie
cliente de l’établissement financier.2
a) Ouverture de l’accréditif :
Suivant le besoin, une demande de matière est établie et adressée au service « achat ».
Après avoir procédé à un appel d’offre et avoir retenu le moins disant, une commande
est établie et adressée au fournisseur. Une copie de la commande est adressée au
magasin général qui s’occupe du dédouanement, de la réception du matériel et du
contrôle technique.
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Cette demande doit préciser, outre le bénéficiaire de l’accréditif et son montant, les
conditions dans lesquelles cet accréditif devra être réalisé.1
b) Réalisation de l’accréditif :
- Paiement par négociation : se distingue de celui « par acceptation »par le fait que la
banque étrangère adresse la traite du fournisseur à la banque de la place. Celle-ci
adresse à son correspondant les fonds nécessaires pour le paiement.
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Figure n° 4 : la réalisation de l’accréditif.
Frais de la douane :
Droit à l’importation
Prélèvement Fiscal à l’Importation (PFI)
TVA
Taxe parafiscale pour le financement de la promotion et de l’inspection des
exportations « sauf les investissements ».
Frais d’informatisation de la douane (100,00 MAD)
Frais de transport (en faveur des transitaires)
Frais de l’office d’exploitation des ports (ODEP)
Frais d’assurances
Frais de réception en usine
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c) Types de crédits documentaires :
- Crédit irrévocable :
Engagement ferme de la banque (de la place) de payer la valeur des documents
présentés, sous réserve du respect des termes et des conditions du contrat.
- Crédit révocable :
Emis en faveur du bénéficiaire sur instruction du donneur d’ordre. Il peut être annulé
sans consentement du fournisseur tant que la banque notificative (auprès de laquelle
la banque émettrice a rendu le crédit réalisable) n’a pas effectué le paiement.
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d) Les différents types de documents :
On peut énumérer:
Facture commerciale : c’est le document comptable par lequel le vendeur
requiert l’acheteur de payer la somme due pour les marchandises (ou services)
fournies.
Certificat d’origine : donne des précisions sur l’expédition et sur l’origine des
marchandises.
Document d’assurance : sert à couvrir les risques. Il indique que la
couverture d’assurance prend effet, au plus tard, à la date de mise à bord ou
d’expédition ou de prise en charge des marchandises.
Documents de transport :
- connaissement maritime
- document de transport multimodal
- document de transport aérien
- document de transport par rail-route
- récépissé de la poste et des sociétés de courrier express.
e) Opérations comptables :
- au débit : accréditifs
- au crédit : banques
Comme toutes les caisses régionales, la caisse centrale effectue des encaissements et
des paiements.
Les paiements sont très importants étant constitués généralement par des paiements
en faveur du personnel (salaire, prestation sociale…) ; néanmoins, la tendance
actuelle c’est d’alléger les opérations de caisse et les transférer sur la trésorerie.
Le principe de l’organisation1 des travaux est basé sur tenue de journaux de caisse des
« paiements » et des « encaissements ». La justification de l’existant encaisse se
traduit par l’établissement d’un relevé journalier des opérations effectuées par la
caisse centrale et la tenue d’un relevé d’inventaire des espèces. Ces deux relevés
constituent « la situation journalière de la caisse ».
A. Paiements :
Le caissier est tenu de n’effectuer un paiement que s’il lui est remis un document
régulier qui peut être :
Les bons de caisse émis au titre d’acompte sur salaire sont récupérés sur le salaire du
mois en cours.
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B. Encaissements :
Généralement, ces encaissements sont : des virements de fonds (suite à une demande
de ravitaillement) et des avis de recettes (achat de dossier appel d’offre).
Le caissier ouvre un état des menues dépenses, il le tient au jour le jour au fur et à
mesure des paiements effectués contre remise du titre de paiement par le bénéficiaire.
Les titres de paiements sont joints à cet état.
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Chapitre 2 : Réalisation d’autres tâches de la Trésorerie
Section 1 : A travers la relation avec les banques
Afin de financer des projets précis, une entreprise peut ouvrir des comptes bancaires
spéciaux :
L’obtention d’un prêt par une entreprise est soumise à des conditions qui sont
composées du taux d’intérêts, des commissions et de la prise en compte des de
valeurs.
Le principe de jour de valeur donne naissance à ce que l’on appelle le float qui
correspond au volume de fonds à la disposition d’une banque et qu’elle peut placer
entre la date d’opération et la date de crédit dans les comptes de l’entreprise. Il faut
ajouter que le décompte des jours de valeur suit une procédure particulière. En effet,
les banques considèrent que toute opération réalisée après« l’heure de caisse » est
prise en compte le lendemain. Par ailleurs les jours sont exprimés en jours ouvrés ou
en jours calendaires. Les jours ouvrés excluent le samedi, dimanche et les jours fériés
; les jours calendaires regroupent tous les jours de la semaine.1
Après réception des relevés retraçant les opérations passées aux différents comptes
ouverts au nom de l'entreprise, auprès des banques, le trésorier procède à une analyse
rigoureuse de l'ensemble de ces écritures bancaires. Il contrôle les dates de valeurs
suivant les conditions convenues, effectue le rapprochement et si nécessaire, rédige
des réclamations aux banques pour effectuer le redressement adéquat.
Aussi, à la clôture de chaque trimestre, le trésorier contrôle les agios prélevés sur le
compte bancaire. Pour cela il se sert des échelles d'intérêts lui parvenant des banques.
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En outre, les règlements de ces importations donne lieu à des opérations de changes
dont le contrôle est effectué par "l'office des changes", organisme autonome agissant
par délégation du Ministère des Finances. Toute opération de change doit avoir reçu
accord de cet organisme.
Aussi, pour permettre aux responsables de l'entreprise de partir en mission à
l'étranger, il faut établir, auprès du Ministère des finances, des demandes
d'autorisation permettant de faire sortir des devises du territoire national. Le montant
en devise couvre les frais engendrés par ces missions.
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Conclusion
La gestion de la trésorerie a connu d’importants développements depuis
1974.
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Bibliographie
I. Ouvrages :
« Finance d’entreprise 1.exploitation et trésorerie », édition ESKA,
ALAINCHEVALIER et autres.
« Gestion », presses universitaires de France, DOMINQUE ROUX et
DANIEL SOUL.
« L’agent comptable au Maroc », 1ère édition 1998, ABDELFETTAH
BENNANI.
« Moyens et techniques de paiement internationaux », 2ème édition remaniée,
édition ESKA, DIDIER-PIERRE MONOD.
« Gestion de portefeuille », Département de Boeck Université, 3ème édition,
De Boeck & La rcier, BROQUET, COBBAUT, GILLET et VAN DEN
BERG.
« Finance d’entreprise, Les essentiels de gestion », édition EMS 1997,
GERARD CHARREAUX.
www.gpf-France.com/metiers/tresorier.htm
http://financesNews.casanet.net.ma/Financesnews/Bourse.asp
http://encyclo.voila.fr
http://www.rcsec.org/alpe/cashflow.html
www.yahoo.fr
http://www.agetresorerie.com/articles (revue de la semaine), le 04/12/01.
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