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Contrats
Incontournab
les
Transactions à
risques
SOMMAIRE
1. Généralités
2. Risques en Entreprise
3. Arbitrages et décisions
4. Contrats incontournables
5. Transactions à risque
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1. GÉNÉRALITÉS
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1. GÉNÉRALITÉS
L’entreprenariat implique :
Formalisation:
Internes : avec les associés (statuts, pactes,…etc.), les salariés
(contrats de travail), ….etc.
Externes : avec les clients (contrats de vente), les fournisseurs
(contrats d’achat, contrats de bail,..etc.), avec les banques (contrats
de crédits, contrats de leasing, …etc),….
Exposition :
Risque de liquidité
Risque de non recouvrement ;
Risque social ;
Risque fiscal ;
…etc.
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SOMMAIRE
1. Généralités
2. Risques en Entreprise
3. Arbitrages et décisions
4. Contrats incontournables
5. Transactions à risque
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2. RISQUES EN ENTREPRISE
La prise de risque est inhérente à toute société.
S’ils ne sont pas correctement gérés et maîtrisés, ces risques peuvent affecter
la capacité de la société à atteindre ses objectifs.
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2. RISQUES EN ENTREPRISE
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2. RISQUES EN ENTREPRISE
Selon l’Association pour le Management des Risques et des Assurances de
l’Entreprise (AMRAE), le risque se définit comme « la combinaison de la
probabilité d’un évènement et des conséquences de celui-ci »
Le COSO 2 considère le risque comme une incertitude qui peut être un aléa
positif comme négatif, susceptible de créer ou de détruire de la valeur
Les risques d’entreprise sont tous les évènements pouvant survenir et qui
sont de nature à réduire sa rentabilité, voire à remettre en question son
existence. Il peut s’agir de menaces qui se réalisent, d’erreurs de gestion ou
de prévisions ou encore de la survenance d’aléas défavorables » (Bressy,
2004)
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2. RISQUES EN ENTREPRISE
Risques
financiers
Risques
Risques juridiques
opération et
nels réglemen
taires
Entreprise
Risques Risques
stratégiq technolog
ues iques
Risques
environne
mentaux
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2. RISQUES EN ENTREPRISE
Risques Opérationnels
L’article 13 de la Directive Solvabilité II définit le risque opérationnel comme « le
risque de perte résultant de procédures internes, de membres du personnel ou de
systèmes inadéquats ou défaillants, ou d'événements extérieurs ». C’est un risque
que l’entreprise subit. Cela dit, il est parfois compliqué à étudier et analyser par cause
de la multitude de formes qu’il peut prendre.
Personnes Processus
Eléments
Systèmes
extérieurs
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2. RISQUES EN ENTREPRISE
Risques Opérationnels
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2. RISQUES EN ENTREPRISE
Risques Financiers
Risque de Liquidité
Selon VERNIMMEN, la liquidité de l'entreprise est son aptitude à faire face à ses
échéances financières dans le cadre de son activité courante, à trouver de nouvelles
sources de financement, et à assurer ainsi à tout moment l'équilibre entre ses recettes
et ses dépenses.
Le risque de liquidité comme étant l’incapacité, à un instant donné, d’une entité à
vendre un actif financier qu’elle détient sur le marché. Cette incapacité se traduit soit
par l’impossibilité de trouver un acquéreur, soit par le fait d’être obligé de supporter
une moins-value ou une décote de la valeur du titre afin de pouvoir le vendre. Ce
risque peut aussi se présenter comme une absence d’actifs financiers au sein de
l’entité transformables rapidement en liquidité.
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2. RISQUES EN ENTREPRISE
Risques Financiers
Risque de Contrepartie
Le risque de contrepartie est le montant que le créancier peut perdre sur son
investissement. Cette perte est due par la défaillance de l’emprunteur. La
défaillance de l'emprunteur peut correspondre au montant intégral de l'emprunt
ou seulement à une partie de ce montant.
Le risque de contrepartie est différent selon le type d’entreprise:
Pour une banque: La banque prête de l’argent et s’expose au risque de perdre l’argent
si l’emprunteur fait défaut
Pour une entreprise: Elle peut engager des dépenses afin de livrer un produit à son
client et s’expose au risque que ce dernier ne paie pas une partie ou la totalité du
montant dû pour le produit/Service.
Pour un investisseur: En achetant une obligation, il fait face au risque que la société
émettrice ne soit plus en mesure de payer.
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2. RISQUES EN ENTREPRISE
Risques Financiers
Risque de Contrepartie
Ainsi le risque se compose du :
Risque de défaut (Default Risk) : Le débiteur ne peut pas rembourser sa dette.
Risque de recouvrement : le taux de recouvrement (recovery rate) est fixé à priori.
Il permet de calculer le montant récupéré sur l’actif de référence à l’issue de la
défaillance.
Risque de dégradation de la qualité du crédit par le marché : le risque se traduit
par la hausse de la prime de risque appelée la marge de crédit (credit spread). La
marge de crédit correspond à l’écart entre le rendement (yield) exigé par le
créancier et le taux sans risque
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2. RISQUES EN ENTREPRISE
Risques Financiers
Risque de marché
Les risques de marché sur les marchés de capitaux sont liés à la variation de cours des
actifs et valeurs financières. Le risque de marché est le risque de perte qui peut résulter
des fluctuations des prix des instruments financiers qui composent un portefeuille. Deux
éléments doivent coexister pour en faire un risque: Une exposition (Détenir un
portefeuille) et une incertitude (qui réside dans l’évolution future)
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SOMMAIRE
1. Généralités
2. Risques en Entreprise
3. Arbitrages et décisions
4. Contrats incontournables
5. Transactions à risque
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3. ARBITRAGES & DÉCISIONS
Personne physique ou Personne morale
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3. ARBITRAGES & DÉCISIONS
Fonds propres ou Endettement
Les besoins financiers ne sont pas les mêmes selon que vous choisissez de créer une
SARL dans le secteur du BTP ou une auto-entreprise pour proposer des prestations de
conseil. Toute la difficulté réside dans votre capacité à évaluer vos besoins
financiers sur une échelle de plusieurs mois, voire de plusieurs années.
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3. ARBITRAGES & DÉCISIONS
Contrat de Bail ou Domiciliation
Le créateur d’entreprise doit trouver un siège social pour sa société, il a ainsi le choix
entre :
Louer un local et donc conclure un contrat de bail : ce contrat doit obligatoirement être
établi au nom de la société en cours de constitution, représentée par son gérant ;
après signature légalisée du propriétaire et du gérant de la société en cours de
constitution, le contrat de bail doit être enregistré ;
Se faire domicilier par une personne morale et donc conclure un contrat de
domiciliation : afin de minimiser les charges en début d’activité, la société en cours de
constitution peut recourir à la domiciliation, qui est une technique par laquelle une
entreprise dénommée domiciliée déclare comme domicile privé le siège social d’une
autre personne morale dénommée domiciliataire ; sur la base de ce contrat de
domiciliation, la société domiciliataire fournit une attestation de domiciliation en
faveur de la société en cours de constitution.
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3. ARBITRAGES & DÉCISIONS
Autres
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SOMMAIRE
1. Généralités
2. Risques en Entreprise
3. Arbitrages et décisions
4. Contrats incontournables
5. Transactions à risque
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4. LES CONTRATS INCONTOURNABLES
Les statuts
Ils sont obligatoirement écrits. Leur dépôt au greffe du Tribunal de commerce permet
d'immatriculer la société et de lui conférer la vie juridique encore appelée la personnalité
morale.
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4. LES CONTRATS INCONTOURNABLES
Les statuts
Les statuts comportent généralement les mentions suivantes (certaines sont obligatoires
et d’autres optionnelles) :
L’identité des associés (cas de la Sarl par exemple) ;
La forme juridique (SA, SNC, SCA, SARL, SARL AU,….etc) ;
La dénomination ;
Le siège social ;
Le capital social et les apports ;
Les modalités de variation du capital (augmentation, réduction,
amortissement,…etc) ;
Les règles de cession et de transmission des parts sociales ou actions ;
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4. LES CONTRATS INCONTOURNABLES
Les statuts
Les statuts comportent généralement les mentions suivantes (certaines sont obligatoires
et d’autres optionnelles) :
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4. LES CONTRATS INCONTOURNABLES
Les statuts
STATUTS :
XX SARL
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4. LES CONTRATS INCONTOURNABLES
Le pacte des associés
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4. LES CONTRATS INCONTOURNABLES
Le pacte des associés
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4. LES CONTRATS INCONTOURNABLES
Le pacte des associés
Exemples de clauses :
• Les clauses d’agrément :
Ces clauses ont pour objet de filtrer l’arrivée de nouveaux associés en subordonnant
l’accès au statut d’associé à certaines qualités, consacrant ainsi le caractère intuitu
personae des relations. La transmission des actions est soumise à l’agrément préalable
des associés. En cas de refus d’agrément, les actionnaires s’engagent à faire acquérir
par un tiers l’ensemble des titres objets de l’opération aux prix et conditions figurant
dans la notification, ou à les acquérir eux-mêmes. Ils disposent a cette fin d’un délai pour
répondre. A défaut, l’opération projetée sera considérée comme agréée.
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4. LES CONTRATS INCONTOURNABLES
Le pacte des associés
Exemples de clauses :
La clause d’inaliénabilité :
L’actionnaire majoritaire s’engage à ne pas céder tout ou partie des titres qu’il détient ou
qu’il viendra a détenir dans la Société tant que l’actionnaire minoritaire demeurera
actionnaire, sauf accord préalable de celui-ci.
Elle n’est valable que si elle est temporaire et justifiée par un intérêt légitime et sérieux.
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4. LES CONTRATS INCONTOURNABLES
Le pacte des associés
Exemples de clauses :
• La clause de sortie conjointe :
Cette clause a pour objet de permettre aux coassociés d’un associé cédant de céder
concomitamment leurs titres, généralement au même prix et mêmes conditions, au
cessionnaire des titres de l’associé cédant.
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4. LES CONTRATS INCONTOURNABLES
Le pacte des associés
Exemples de clauses :
• La clause de non-concurrence :
Interdiction de s’intéresser directement ou indirectement ou par personne interposée, à
quelque titre que ce soit, à une activité de même nature ou susceptible de concurrencer
celle de la société et de ne pas prendre, ensemble ou individuellement, directement ou
indirectement, sauf par l’intermédiaire de la société une participation excédant un
certain pourcentage du capital d’une société existante ou nouvelle qui exercerait des
activités similaires, concurrentes ou complémentaires de celle de la société.
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4. LES CONTRATS INCONTOURNABLES
Le pacte des associés
Application : analyse d’un cas réel de pacte d’actionnaires suite à l’entrée d’un fond
d’investissement dans le capital d’une société.
PACTE D’ACTIONNAIRES
XX.
ENTRE
[XX]
ET
[XX]
[XX]
[ACTIONNAIRES MINORITAIRES]
EN DATE DU []
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4. LES CONTRATS INCONTOURNABLES
Le contrat de travail
Période d’essai :
• La période d'essai est la période pendant laquelle chacune des parties peut
rompre volontairement le contrat de travail, sans préavis ni indemnité.
• Toutefois, après au moins une semaine de travail, la rupture de la période d'essai non
motivée par la faute grave du salarié, ne peut avoir lieu qu'en donnant l'un des délais
de préavis suivants :
deux jours avant la rupture s'il est payé à la journée, à la semaine ou à la quinzaine
huit
; jours avant la rupture s'il est payé au mois.
• Si, après l'expiration de la période d'essai, le salarié vient à être licencié sans qu'il ait
commis de faute grave, celui-ci doit bénéficier d'un délai de préavis qui ne peut être
inférieur à huit jours.
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4. LES CONTRATS INCONTOURNABLES
Le contrat de travail
Période d’essai :
• La période d'essai en ce qui concerne les contrats à durée indéterminée est
fixée à :
trois mois pour les cadres et assimilés ;
un mois et demi pour les employés ;
quinze jours pour les ouvriers.
• La période d'essai peut être renouvelée une seule fois. La période d'essai en ce qui
concerne les contrats à durée déterminée ne peut dépasser :
une journée au titre de chaque semaine de travail dans la limite de deux
semaines lorsqu'il s'agit de contrats d'une durée inférieure à six mois ;
un mois lorsqu'il s'agit de contrats d'une durée supérieure à six mois.
• Des périodes d'essai inférieures à celles mentionnées ci-dessus peuvent être prévues
par le contrat de travail, la convention collective ou le règlement intérieur.
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4. LES CONTRATS INCONTOURNABLES
Le contrat de travail
Il peut être conclu un contrat de travail à durée déterminée pour une période
maximum d'une année renouvelable une seule fois. Passée cette période, le contrat
devient dans tous les cas à durée indéterminée.
Le contrat de travail à durée déterminée prend fin au terme fixé par le contrat ou par
la fin du travail qui a fait l'objet du contrat. La rupture avant terme non motivée par la
faute grave donne lieu à dommages- intérêts équivalent au montant des salaires
correspondant à la période allant de la date de la rupture jusqu'au terme fixé par le
contrat.
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4. LES CONTRATS INCONTOURNABLES
Le contrat de travail
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4. LES CONTRATS INCONTOURNABLES
Le contrat de travail
Il est expressément reconnu par le salarié que cette condition est substantielle, en ce
sens qu'à défaut de son engagement de non rétablissement, le présent contrat n'aurait
pas été consenti par la Société.
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4. LES CONTRATS INCONTOURNABLES
Le contrat de travail
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4. LES CONTRATS INCONTOURNABLES
Le contrat de travail
De la même manière si il venait à résilier de façon unilatérale son contrat de travail, les
frais de formation engagés durant les douze derniers mois seront retenus sur son solde
de tout compte.
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4. LES CONTRATS INCONTOURNABLES
Le contrat de travail
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4. LES CONTRATS INCONTOURNABLES
Le contrat de travail
Les clauses qui nécessitent une attention particulière lors de la conclusion d’un
contrat de bail par un nouvel entrepreneur sont :
• La nécessité de l’établissement du contrat par écrit (article 3 de la loi
n°49-16) ;
• Vérifier si la faculté de domiciliation de sa société est permise
au locataire en vertu du contrat de bail ;
La durée du contrat de bail :
• Le droit au renouvellement du bail commercial (le « droit au bail »)
s’acquiert après deux ans d’occupation seulement
• sauf en cas de versement d’un « pas de porte », constaté par écrit dans
le bail ou dans un acte séparé (droit au bail automatique)
Rappel : le bail commercial doit avoir une durée initiale prévue de moins de 10 ans, faute de
quoi il sera réputé être un bail emphytéotique (Art. 121 du Code des droits réels) et, par
conséquent, exclu du champ d’application de la nouvelle loi n°49-16.
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4. LES CONTRATS INCONTOURNABLES
Le contrat de bail
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4. LES CONTRATS INCONTOURNABLES
Les contrats d’achat et de vente
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SOMMAIRE
1. Généralités
2. Risques en Entreprise
3. Arbitrages et décisions
4. Contrats incontournables
5. Transactions à risque
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5. TRANSACTIONS À RISQUE
• Le chèque est payable à vue. Toute mention contraire est réputée non écrite.
• Le chèque présenté au paiement avant le jour indiqué comme date d’émission est
payable le jour de la présentation.
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5. TRANSACTIONS À RISQUE
Utilisation abusive des chèques
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5. TRANSACTIONS À RISQUE
Utilisation abusive des chèques
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5. TRANSACTIONS À RISQUE
Utilisation abusive des chèques
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5. TRANSACTIONS À RISQUE
Utilisation abusive des effets
• Les effets de cavalerie : deux entités économiques tirent réciproquement des effets
de commerce l’une sur l’autre et les escomptent auprès d’un banquier, bien qu’ils ne
vaillent rien.
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5. TRANSACTIONS À RISQUE
Fraude fiscale
• Indépendamment des sanctions fiscales édictées par le Code Général des Impôts, est
punie d'une amende de cinq mille (5.000) dirhams à cinquante mille (50.000)
dirhams, toute personne qui, en vue de se soustraire à sa qualité de contribuable ou
au paiement de l'impôt ou en vue d'obtenir des déductions ou remboursements indus,
utilise l'un des moyens suivants :
• délivrance ou production de factures fictives ;
• production d'écritures comptables fausses ou fictives ;
• vente sans factures de manière répétitive ;
• soustraction ou destruction de pièces comptables légalement exigibles ;
• dissimulation de tout ou partie de l'actif de la société ou augmentation frauduleuse
de son passif en vue d'organiser son insolvabilité.
• En cas de récidive, avant l'expiration d'un délai de cinq (5) ans qui suit un jugement
de condamnation à l'amende précitée, ayant acquis l'autorité de la chose jugée, le
contrevenant est puni, outre de l'amende prévue ci- dessus, d'une peine
d'emprisonnement de un (1) à trois (3) mois.
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5. TRANSACTIONS À RISQUE
Fraude fiscale
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5. TRANSACTIONS À RISQUE
Autres risques
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