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FACULTÉ TRAVAUX DIRIGÉS DROIT ADMINISTRATIF

SÉANCE N°1 -

SÉANCE N°2 -

SÉANCE N°3 - Volontaires et bénévoles 14/10

PARTICIPATION > I I I I (Passage au tableau pour le plan)

Forme les plus anciennes du service public au sens large : service militaire

La parciticipation un fait public n’est pas une création de notre époque ni d’un autre pays. Le
monopole de la violence légitime (Weber) à été pris en charge dès les sociétés les plus
anciennes par des soldats et des juges. Mais cette conception très marxiale est vite apparue
insuffisante et d’autre structure sont arrivés trèstôt autour d’une acceptation plus large d’un
service public.

Exemple La Grèce antique, Egypte antique, l’Empire romaine avec les « empires publicis »
qui était des esclaves qui devait faire des actes publics. La Chine à une capacité
d’organisation impréssionnante, il y a encore de trace écrite dans les bibliotèque du régime,
les mandarins.

Quoiqu’il en soit, quelque soit le tature sociale (esclavage à nov), iy avait dans chaque
société des individus qui avait pour mission de répondre à des besoins collectifs osus la
direction du pouvoir politique. L’organisation du fait public dans chaque pays dépend
toutefois de son hitoire et de son organisation politique plus ou moins centralisé.

La fonction publique française s’organise sur 3 versants ne peuvent pas êtrecomparer à


d’autre pays sauf à prendre en compte les différentes formes d’organisation et de meo des
actions publiques. En outre, la parcitipation au fait public ce développen en corrélation avec
les bureaux et avec la complexifité des tâches

Sénéchau et baillis étaient les premier repréentatns en France sous le M-Â, cela est
intéréssant car c’est là qu’on voit que la tradition française était la stricte dépendance à une
politique centrale.

La fonciton pub territoriale s’est dvlp avec l’essort des communes notamment avec
l’acquisition du PV de policie du maire ppar la loi du 5 avril 1937. L’époque de « l’âge d’or
des communes ».

En 70’s, on voit naître certains projet réformatteur, la se construit la distinction entre les 3
versants, on prévoit les statuts de la fonction publique.

La décentralisation renforce les libertés et puvoirs des collectivités face aux service décontré
de l’ÉTAT, dans le même temps, les AP (agents publics) locaux vont bénéfcier de protection
supplémentaire.
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Les termes fonction publique font d’abord songes aux personnes pub. Les FPUB (fonction
publique) au sens larges sont confié à ces personnes par la Constitutn, par les lois, par les
réglements qu’elles doivent accomplir pour l’intérêt public.

Le terme des fonction pub n’existe plus aujou, on préfère « LE SPUB » ou « LES MISSIONS
DE SPUB ».

COMPOSITION ACTUELLE DE L’ADMINISTRATION

AP ce sont des personnes physiques oeurant au nom de personnes pub dans le cadre
d’une activité administratif. Ils contribuents pour leurs parts à la FAD à titre professionnel.
Effectivement, on peu trouver les fonctionnaires, et les contractuelles.

Fonctionnaire est titularisée dans un grade à la suite d’un concours administratif. 3


catégories : À (licence) / B (bac) / C
Contractuelle n'a pas passé les concours. Soumis au JAD.
Agent de droit privé Soumis au DCONTRAT. La nature du lien entre l’employé et
l’employeur n’est pas la même. Soumis au JJUD. Ils y à aes agents qui vont avoir une
mission de nature industrielle et commerciale car la nature du SPUB est privé même si c’est
un SPUB. Pour les agents de droit privé La poste (hybride des salariés fonctionnaires,
contractuels), EDF, SNCF, RATP…
Volontaire, bénévoles, collaborateurs occassionnels Il y à la réserve citoyenne de
l’éducation nationale, les sapeurs-pompiers, les lieutenants de louvetrie, les conseillers du
commerce extérieur… Les appelations divergent, comme les statuts, les sources. Il y à des
statuts qui sont juridictionnels… Toutes ces fonctions ont un point commun, elles associent
toutes partiellement citoyens au FAD sans que ces derniers ne relève d’une catégorie de
DPUB.

On peut dire « Le participant en éclipse du droit public. »

Ce sujet invite à mettre en relation les agents du SPUB et la spécificité des agents privés du
régime juridique qui leurs est applicable. Cette séance invite à réfléchir sur les éléments
organiques (le fonctionnaire, le bénévole, l’élus) à un éléments à un système juridique
(régime).

Régime est la spécificité du droit applicable à une catégorie de personne ou à une


institution. Autrement dit, le cadre dans lequel ces agents sont amenés à remplir leurs
missions. l’idée est de mettre en perspective l’élément organique avec son régime juridique
afin d’être en mesure d’observer en réalité, malgré une diversité apparente l’ensemble du
personnel amené à exercer des missions de SPUB le font sur le principe de service
commun. Ils ont des obligations et des droits similaires.

SÉANCE N°4 - Les recours contentieux devant le juge administratif

Participation : I I
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Recours > C’est une réclamation, une demande qui à pour but de régler un litige entre deux
ou plusieurs personnes. En droit administratif, la particularité des recours il y aura un
personne privée VS personnes publiques ou deux personnes publiques. Possible que cela
soit que des personnes privées.

Il y à des recours administratifs et recours contentieux. Les recours administratifs sont pour
l’administration,

Recours administratif Va faire une demande à l’AD ou une formalité procédurale qu’un
particulier va faire. L’objectif est de lier le contentieux, càd ouvrir la voie à un recours
contentieux.

Recours contentieux Il y à le plein contentieux (plein contentieux objectif…), et il y à le


recours pour excès de pouvoirs,

Excès de pouvoir C’est à l’encontre d’un JAD, requérant n’obtient pas de réparation. C’est
un recours objectif c’est à dire que ce n’est pas lié à la personne. Excès de pouvoir c’est
recours objectif à l’encontre d’un acte administratif qui ne s'intéresse pas à la personne. Le
juge va analyser la qualité de l’acte sur des causes juridiques (la légalité externe d’un acte et
la légalité interne).

Légalité externe l’ensemble des formalités qui vont permettre de produire de l’acte. C’est la
compétence de l’auteur, la forme de l’acte et la procédure qi à permis la formation de l’acte.

Légalité interne C'est l'appréciation de faits, l’erreur de droit par l’AD. Est-ce que l’AD à
correctement appliqué le droit, le détournement de pouvoir.

Le détournement de pouvoir On trouve devant le JAD, plusieurs de recours qui se divisent


selon l’objectif du requérant, càd celui qui porte l’action devant le juge. Les recours se
divisent en deux branches : les demandes d’annulation d’un acte administratif et les recours
qui vont demander au JAD le versement d’une indemnité. La réalités est plus complexe que
cela, au sein du plein on trouve plusieurs types de recours : plein contentieux objectif c'est
un recours hybride entre l’excès de pouvoir car on demande l’annulation d’un acte, toutefois
le JAD disposera de PV plus important qu’un simple contentieux de légalité. Cette division
ne recouvre pas d’autre types de procédures qui existent devant le JAD.

Un référé, le JAD peut prendre une mesure provisoire en principe mais surtout dans un
situation d’urgence, pour protéger les libertés d’un requérant. En matière pénitentiaire, ce
sont les référés libertés et le référé suspension, Il y à 3 un référé : liberté, mesure utilisé et
suspension

Il y à deux manière de voir les choses :

Pendant longtemps le sort des détenus était gardé sous silence. Il y avait une critique
récurrente de l’administration qui était celle de l'opacité. Le premier intérêt de ce sujet est un
angle liberté fondamentale. Le juriste, l’homme de science va être amené à «??? qui permet
aux détenus de faire valoir leur droit, tant que l’organisme qui lui offre par la voie
juridictionnelle. Il faut ensuite aborder un second angle, qui va peut-être en droit administratif
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nous intéresser. Ce sujet nous permet de voir l’évolution du JAD qui est un objet à part
entière. Le DA est un droit prétorien, c’est l’endroit où le juge se tient dans le tribunal, c’est
un droit principalement jurisprudentiel, la construction de l’office du juge d’analyse par
l’étude de l’évolution de ses pouvoirs mais également les voies de droit ouvert à lui. Ce
sujet, il nous permet enfin d’aborder des questions étranger du DA, ce qui nous invite à
s'intéresser aux actes et à leurs propriétés.Un acte AD peut suspendre, régulariser à
postériori… Cette question nous permet d’aborder la notion de justiciabilité des actes AD,
càd la possibilité pour un administré un recours AD.

C’est important pour les détenus car

CE - Arrêt Marie et Hardouin 1995

Pourquoi les décisions prises par le ? n'était pas justiciable ?

Il. y à des décisions de mesures d’ordre d’intérieur qui ne concernait que l’administration
pénitentiaire et que cette décision n’avait que très peu d’influence sur les conditions de nos
prisonniers.

PB > LA DIGNITÉ DES CONDITIONS DE DÉTENTION DES PERSONNES DÉTENUS


PEUT-ELLE ÊTRE EFFICACEMENT DÉFENDU DEVANT LE JAD ?

CORRECTION DE LA DISSERTATION

ID GÊN > Prime abord, on remarque que le contentieux pénitentiaire relève en bonne partie
relève de la cmpt du JAD. Les recours classiques tel que l’excès de pouvoir on montrer dans
l’histoire récente une certaine efficacité. Cette efficacité à été renouveller, par l’apparition
des procédures d’urgences. Toutefois, l’influence grandissante de la JP EUR, à permis
d’éclairer les limites de certains mécanismes de sorte que le contentieux AD à pu se montrer
défaillant voire incompétent à érpondre efficacement à la problématique des conditions de
détention. Cela à eu pour conséquence l’apparition de nouveaux recours qui viennent
concurrencer l’office du JAD.

I - LE JAD UN JUGE À PRIORI EFFICACE POUR DÉFENDRE LES CONDITIONS DE


DÉTENTION

Cette efficaceité va transparaite d’une part avec les recours ordinaire et avec les utilisation
de procédure de référés.

A/ L’efficacité avéré des recours ordinaires devant le JAD en matière pénitentiaire

B/ L’efficacité renouvelé de l’office du JAD par l’utilisation des procédures d’urgences

II - LE JAD UN JUGE EN RÉALITÉ LIMITÉE POUR DÉFENDE LA DIGNTITÉ DES


CONDITIONS DE DÉTENTION
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Òn explique que sous l’influence de la JP EUR, on peut rapidement observé les limites de
l’office AD tant au regard du contentieux ordinaires que des référés. La juridiction judiciaire à
dû donc pallier les carences de son homologue AD.

A/ La défaillance constatée du contentieux AD an matière pénitenciaire

B/ L’office du JAD désormais concurrencé par la JJUD

SÉANCE N°5 -
Abs

SÉANCE N°6 - Dématérialisation du SP

Participation I I I

Ne pas confondre le JAD et l’AD :


JAD C’est une juridiction. Il rends ses décisions dans un tribunal. Son champ de
compétence est administratif, non parce qu’il y à un lien avec l’AD.
Administration C’est simplement, l’État, les collectivités terr

On parle de l’AD active.


Tout ce qui n’est pas la juridiction on parle AD active.

PAD + PAJ ce sont les mêmes personnes, mais c’est la mission qui va différer. Avant qu’il y
a une infraction, on est dans le maintien de l’ordre, qui est une mission administrative. La
PAJ, c’est dès lors qu’il y à une infraction, on va rechercher l’auteur de l’infraction.

La numérisation du SP :

Tout ce qui concerne le SP (les lois du service public : mutabilité, continuité, égalité). Ces
des lois du services : Les lois de Rolland. Mais ce ne sont pas les lois du législations.

Mutabilité : Le principe de mutabilité est lié au fait que le SP poursuit un but d’IG. Ce but de
l’IG est interpellé et définissable car cela dépend d’une époque donnée. Aujourd'hui on à
pas les même objectif. On doit s'adapter à une if tout le temps constant.L’adaptabilité du SP.
La capacité d'adaptabilité de la société, pour satisfaire l’intérêt général. Pour que le SP soit
connecté au réel. Le SP ne doit pas être des institutions vieillottes.

Obligation de la mutabilité :
> L'administration est tenu en théorie de faire évoluer le SP de façon à ce qu’il correspond à
l’IG e
> Usager ne peut relativement à l’AD qui vise à s'adapter du SP qui vise à s'adapter à l'iG.
Autrement dit, les usagers n’ont pas de droit acquis au maintien du SP, qui le même qui peut
être donné dès lors que la modification des conditions du SP est justifiée par des cornes
crédibles du SP.

Cette notion de mutabilité à des conséquences sur les usagers et les agents du SP et l’AD
au sens large.
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Les usagers attendent des prétentions auxquelles il à le droit, et pour le


fonctionnaires/contractants la mutabilité est la modification éventuelle de la mutabilité du SP.

Le principe de continuité : Prolonge s’agissant des SP la continuité de l’État lui-même (au


sens large). Cette continuité de l’État, la C° fait référence dans son article 5. Donc, il n’à pas
donc seulement à assurer la satisfaction pérenne de l'État, mais à manifester la continuité
de l’action publique elle-même. En droit, il. la continuité du SP, le JAD sera compétent pour
prononcer des injonctions, quand il y aura une entrave du SP, l'urgence est caractérisée
dans le cadre de certaines mesures d'urgences lorsqu’il sera constaté une atteinte du SP.

Dans cette dissertation : combinaisation ces deux principes

Leur combinaison peut amener à des notions de contradiction noire. Comme la


« dématérialisation » avec les principes M/C indique que l’État doit évoluer le SP avec des
notions sociétales et technologiques car désormais la plupart des administrés bénéficient
d’un accès à internet plutôt efficace. De plus, certaines démarches sont bien plus facile à
faire chez soi.
À l’inverse implique que les administrés puissent bénéficier du SP quelque soit leurs
conditions sociales ou économiques. C’est là que vient l'accès du SP et de la fracture
numérique.

L'accès au SP est un corollaire du principe de l’égalité, mais également des principes des
citoyens devant la loi issus de la DDHC et donc présent au sein du bloc de constitutionnalité.
L’égalité du SP implique que chacun puisse avoir accès au SP. C’est à cette condition
seulement que le prince?? de l’équilibre du territoire et des citoyens. L'égalité et son
corollaire l'accessibilité peuvent être décliné par exemple, on peut en tirer le principe de
gratuité du SP. Mais au-delà de la gratuité c’est l’absence de l’accès direct/Indirect donc un
bon fonctionnement du SP.

Cette question peut nous renvoyer aux handicaps. La loi va prendre des mesures pour
assurer l'égalité des droits entre tous les types de citoyens, notamment pour la loi du 11
février 2005 sur la légalité des chances.

La fracture numérique. En 2018, 20% des français rencontrent des difficulté à utiliser les
outils numériques soit pour un manque de connaissance soit parce qu'ils n'ont pas de
connexion. La fract« Elle décrit le manque d'homogénéité de l’accès et de leurs impact », on
parle de fracture numérique de premier degré et de second degré. La fracture des inégalités
d'accès aux outils numériques. Les diversités des modes d’usages et les compétences
nécessaires à avoir sur l’utilisation.

Arrêt Cimade

Faits Les administrés qui sont les plus susceptibles d' avoir des inégalités. Certaines
mutations du SP peuvent générer à l’égard des personnes vulnérables de grave incertitude.
Quand la loi génère des incertitudes, cela peut entraîner un contentieux. Ce phénomène
s’est illustré en matière du SP, dès l’entrée en vigueur du décret de 24 mars 2001 relatif à la
mep d’un téléservice pour le dépôt du titre de séjour. Donc on peut faire un recours pour
excès de pouvoir (revoir très important, droit commun du JAD). Les décrets ne peuvent être
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contestés que devant le CE, on demande l’annulation du décret. Il y a plusieurs associations


d’aide aux étranger qui ont intenté un recours pour excès de pouvoir sur les fondements que
les nouvelles méthodes et modalités d’accueil des personnes en difficulté n’ont pas été
précisées.

Question de droit : L’obligation d’avoir recours à un téléservice pour faire une démarche
administrative …. ?

Solution de l’arrêt : Annulation partielle du décret, pour de substitution

Portée de cette solution : CE demande aux législateurs de tenir compte des complexité
des démarches administratives et de prendre en compte les problèmes des usagers
vulnérables. Si un usagers ne parvient pas à affronter ces obstacles alors une substitution.

CORRECTION DE LA DISSERTATION

Peut-on s’opposer à la dématérialisation du SP?

Idée générale : Si il est clairement admis que l’AD peut boliger à recourir au téléservice, ele
ne peut néanmoins, rencontrer Elle doit alors prorposer des olution d’accompagnement ou
de susbitition. Par conséquent, les usagers ne peuvent pas ‘opposer à la dématérilaisaiton
par principe. à moin qu’un dysfoncionnement structurelle numérique empêchement l’accès à
cette dernière.

I - L’OPPOSITIONÀ À DÉMA AU SP EXCLUT PAR PRINCIPE

A/ ADMINTION JURISPRUDENTIELLE DE L’INSTARUATION DE TÉLÉSTRUCTURE


OBLG PAR LE PV RÉGLEMENTAIRE

B/ UN CARACTÈRE OBL TRIBUTAIRE DE LA CAPCITÉ DU PV REGLEMENTAIRE DE


GARANTIR AUX USAGERS L’EXERCICE EFFECTIF DE LEURS DROITS

II - UNE OPPOSIITON À LA DÉMA AU EXLCUT PAR EXCEPTION

A/ L’OLBG PR L’AD DE PRÉVOIR UNE SOLUTION DE SUBSTITUTION FACE AU PB


STRUCTUREL

B/ UNE SOLUTION DE SUBSTITUTION DEMEURANT TOUTEFOIS SUBSIDIAIRE ET


ENCADRER
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SÉANCE N°7 - Principe de neutralité

Participation I (passage au tableau)

Cas pratique n°1

Fait des salariés de l’association portent des signes religieux. Le maire envisage de changer
de règlement.

Qualification juridique (problématique de droit général qui se pose) L’application du principe


de neutralité à une personne morale de droit privé

Problématique Est- possible de modifier le règlement chargé de la gestion de la crèche


municipale, afin d’interdire le port de signes religieux au nom du principe de neutralité ?

Il faut préciser la question de droit.

Majeur

I - Activité d’une personne morale de droit privé

> TC 1918 Feutry - Traditionnellement, seul les administrations publiques


> CE 1935 Établ. Vésia - Pers morale droit privée peuvent avoir une mission d’intérêt
général
> Caisse primaire - Des activités de SP peuvent être prise en charge
> Arrêt Bougon 2 avril 1943 - Confirme l’arrêt caisse primaire
> Arrêt Narcy CE 1963 - Grille d’identification
1er - Le législateur à entendu qualifié que tel ou tel activité est une perso`
2er - En l’abs de qulté législatif, je retombe - une mission d’intérêt général, contrôler sous
une personne publique, une prérogative de puissance publique (contrat de droit public, il y à
pas de consentement, il y à un déséquilibre).
> Les activités de garde d’enfant CCASS 24 JUIN 2014 Babyloo
> Arrêt APREI CE 2007 - Même en l'absence de prérogative de puissance publique, une
personne morale de droit privé peut être réputée de faire une mission publique.
> Arrêt Ville de Melun -
int géné, création conti de fonction, obligation imposé, mesure de d’obligation.
>C’est une appréciation in concreto.

Mineur En l’espèce, rien dans la loi ne peut affirmer que la garde d’enfant est une activité de
service public. La commune exerce un contrôle important sur l’association, elle à donc
manifester la volonté de ?? de l’activité, confiée à une personne de droit privé. D’abord on
parle de l’arrêt Narcy > puis de l’arrêt Aprei. Applique l’arrêt APREI.

Conclusion L’association gère une activité de service public.

II -
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Majeur

> Expliquer le principe de neutralité : Implique de la part de l’AD qu’elle ne donne pas
l’impression de prendre des parties ris sur religieux. Ce principe s’applique à toutes les
personnes où le service public est présent.
> Cccas CPAM de St denis,
> Art 1er de la Loi 2021
> Arrêt Marteaux 3 mai 2000

Mineur En l’espèce, les salariés de l’association sont chargés d’une mission de service
public. Il ne peuvent arborer de signe religieux dans le cadre de leurs services.

Conclusion Le maire peut demander au conseil d’administration de modifier son règlement


intérieur afin d’interdire le port de signe religieux.

Cas pratique n°2

Fait Le maire souhaite interdire le port de signe religieux au sein de l’Espace Jeune au sein
de la commune suite à diverses tensions dûes au principe de neutralité.

Problématique On s’interroge sur l’application du principe de neutralité, au sein de l’espace


public.

Problème Est-il possible de légalement interdire le port de signe religieux au sein de


l'Espace jeune au nom du principe de neutralité ?

Majeur

I-
> Principe de neutralité est un prolongement du principe de laïcité : 18 sept 1986 CC. Ce
principe garantit le respect du prncipe de non-discrimination entre les agents du SP d’abord
et également vis-à-vis des usagers. Au nom du P de neutralité, le personne publique en tant
qu’employeur public ne doit pas prendre en compte les motifs religieux ou philosophiques…
> CE « Barrel » 1954
> Arrêt CE 12 fév 2020
> Ordo 21 juin 2022 invalide le nouveau règlement intérieur (port du burkini).
> art L141-5-1 code de l’éducation, cette solution est justifiée par le caractère influençable
des jeunes. Il s'est fondé sur un » arrêt querroi » pour interdire tout signe religieux mais en
manière religieux. 15 mars 2004
> Pour autant, en principe les usagers ne sont pas soumis au principe de neutralité, car ils
n’engagent pas l’image du SP. Mais il y à des exceptions, comme l’école
> L du 11 octobre 2010 - Introduction la dissimulation du visage qui est destiné aux
personnes/sagers du SP
> La notion d’espace publique concerne à la fois le SP mais en dehors du SP. Dès lors
l'interdiction de tout port religieux peut être justifiée par des troubles à l’ordre public. Cette loi
à été validée tant par le CC dans une décision du 7 octobre 2013 et par la CECH dans une
décision SAS c/ FR. La CEDH se fonde à la sécurité, à l’égalité h-f…
> Arrêt « Abbé olivier » 1909
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> arrêt Ligue des droits de l’homme 2016

Mineur En l’espèce, la commune à créer un espace commun qui permet aux jeunes d’avoir
des informations ou pour la gestion diverses. Dans le caractère général ne fait aucun doute.
Ces jeunes sont donc pas des usagers, ils ne sont pas par principe soumis au principe de
neutralité. L’article du code de l’éducation ne s’applique que dans le milieu scolaire. Donc
l’argument du maire ne semble pas valable en l’espèce. Le maire évoque aussi l’argument
selon lequel la décision sur la piscine de Grenoble aurait été prise au sein de tout principe.
Cette décision ne s'appel pas aux usagers mais aux gestionnaires des piscines municipales.
Le maire ne peut donc pas interdire le port de signes religieux aux signes de neutralité.
Cependant, l’espace jeune est un espace public donc possibilité d’interdire la dissimulation
du visage sur le fondement de trouble à l’ordre public.S’il peut y avoir interdiction ce n’est
que sur la considération du maintien de l’ordre. En l’espèce, il semble avoir une réelle
nécessité : la tranquillité et la ??? sont en péril car il y à eu des bagarres entre les jeunes.
Cette idée est encore renforcée. Le maire en tant qu'autorité de police administrative peut
donc sur le fondement de l’article du code général CT interdire le port de signe religieux.

Conclusion Le maire ne pourra pas légalement interdire le port de signe religieux au nom du
principe de neutralité, mais au nom du maintien de l’ordre public.

SÉANCE N°8 -

SÉANCE N°9 -
Participation I I I

l’administration de la ville de Bordeaux, qui est le chef-lieu. Pour faire parler des troubles
générés par des tirs de feux d'articles. Ces troubles sont un trouble à la sécurité publique.

Il y à eu une notification des autorités de police par l’association, les autorités de police ont
refusé d’intervenir.

Notes

CT = EPCI + Commune + Région + Département

Cas pratique n°1

Problème de droit : Peut-elle obtenir l’annulation de la décision d’agir ? Le juge peut-il


enjoindre … ?

> Quelle est l’autorité administrative compétente ?


> Quelle autorité de police compétent ?
Car si le maire ou le préfet est compétent cela va avoir une influence sur le recours. Puis de
savoir si le recours était illégal ou pas.
> Savoir s’il est possible d’enjoindre ?

Comment contester un refus ?


FACULTÉ TRAVAUX DIRIGÉS DROIT ADMINISTRATIF

Faire une association pour avoir la capacité d' agir devant le juge, le juge ne conteste pas à
avoir un réel intérêt à agir contre les nuisances qui sont fait dans le quartier.

Dans le cas, il y à pas d’acte administratif. effectivement, il existe en droit administratif, il


existe des décisions implicites.

En l’absence de réponse née du silence de l’administration, il né une décision implicite de


rejet.
Cette décision implicite est un acte administratif fictif quand on peut donner au JAD.

Majeur

QUI EST L’AUTORITÉ COMPÉTENTE ?


> Définir police administrative : Prévenir des troubles à l’ordre public.
> Définir l’ordre public matériel : tranquillité, salubrité, sécurité
> Définir l’ordre public immatériel : principalement les atteintes de la dignité de l'humain.
Arrêt Morsang sur « sang » 1995
> Distinguer les polices spéciales et générale, autorité locale (maire et préfet).
> Maire tient de son autorité de police de la loi du 5 avril 1984
> Le préfet c’est l'article 2215-1 pour l'autorité de police
> Dire la Répartition de leurs compétences
> Mair à une autorité de police général limité à sa commune, sur l'ensemble de la commune
> Préfet peut intervenir dans différentes situations : en cas de carence de l'autorité de police
municipale du maire, quand la compétence dépasse le maire car les troubles à l’OP se
situent sur plusieurs communes.
> Le préfet pourra se substituer au maire en cas de carence de celui-ci. D'abord il met une
mise en demeure au maire qui doit rester sans réponse. Au-delà de ces substances
subsidiaires. Les compétences exclusives du maire. Le préfet peut procéder à des
réquisition soit en cas d’urgence (pas de le cadre de l’É d’urgence) ou pour l’organisation de
secours en cas de crise.
> Détaillé la police d’État : Le préfet bénéficie de compétence normalement dévolue au
maire dans le cadre de l'autorité publique (troubles anormaux). Le maire reste compétent de
tout ce qui relève à savoir les troubles ordinaires comme les troubles de voisinage CA
PARIS FransA 27 janvier 2011.
> Trouble de voisinage : Durée d’un acte, répétition, proximité des troubles… Avec un
faisceau d'indices. On peut se baser sur l’arrêt de TA de Marseille 3 août 2020..

SAVOIR LES OBLIGATIONS DE CHACUN ?


> Le maire et le préfet ont l’obligation d’agir car c’est un principe à valeur constitutionnelle
cette obligation. Arrêt Conseil Constitutionnel 1982 dans le « Conseil d’audiovisuelle ». puis
c’est un principe posé par le JP avec les arrêts Doublet. Dans le cadre de ces arrêts, le juge
estime que les autorités administratives générales ont l’obligation d’agir lorsque les troubles
mettent gravement en cause la préservation de l’op, leur inaction des autorités sera
considérée comme fautive. Afin d’apprécier si cette abstention est fautive, le juge prend en
compte la gravité des risques, le fait que les autorités étaient informées, la difficulté de la
police et les initiatives prises par les autorités de police. Arrêt Doublet 1962 + CA de
Marseille 25 février 2005
FACULTÉ TRAVAUX DIRIGÉS DROIT ADMINISTRATIF

Cette identification est importante : Cette uniquement dans le cas d’une carence du maire
que le préfet pourra se substituer. et c’est important pour définir dans un cadre indemnitaire
si dans le cadre ??? d’un dommage. Avant 2003, le JAD disait qu’une ? était une faute
lourde commise par l’AD. Depuis l’arrêt du CE de 2003 Commune Croisy…???
> Maintenant lorsque l'autorité compétente n’à pas agit et qu’elle devait agir quelle sont les
voies de recours ouvertes : Face à une carence de l'autorité de l’AD il est loisible à l’asso :
recours en annulation, un recours indemnitaire. Dans le cadre indemnitaire, on considère
qu’il est obligatoire pour le requérant de chiffrer son préjudice, donc ???? de payer le
préjudice chiffré du requérant.
> Arrêt CE 27 juillet 2015 Madame Baey : admet le procédé d’une injonction dans le cadre
indemnitaire.

Mineur
> En l'espèce, les troubles sont bien établis. On trouve des troubles à la tranquillité publique
et des troubles à la sécurité publique et notamment à l’intégrité physique et matérielle qui
aurait pu être occasionnée par une mauvaise manipulation de feux d’artifice. = POLICE AD
COMPÉTENTE
> L’assos s’est adressé au maire et au préfet, tous deux représentants de la police générale.
Il convient de dire que Bordeaux est le chef-lieu du département donc à ce titre la commune
de Bordeaux est soumise aux régimes de la police d’État. Le maire est donc compétent en
matière de trouble du voisinage et d’atteinte à l'insalubrité publique et sécu, alors que le
Préfet est compétent pour tous les autres faits.
> En l’espèce, le maire et/ou le préfet car il y à la proximité, récurrente et anormalité
(plusieurs fois par semaine dans le quartier avec le des feux d’artifice qui sont anormaux.)
> En l'espèce les troubles relatifs à l’OP peuvent être qualifiés de troubles de voisinage.
Donc le maire de Bordeaux, apparaît comme l’autorité de police compétente en la matière,
ce n’était pas le compétence du Préfet même dans un chef-lieu.
> Est-ce qu’il y à eu carence, le maire de Bordeaux à refuser d'intervenir, Il faut caractériser
l'abstention du maire. Donc il y à carence fautive du maire, car le maire était dans l’obligation
d’agir car il est compétent du fait de la proximité et qu’il à été informé de ces troubles. Or, il
n’à pas pris d’initiative pour répondre aux besoins des administrés.
> La conséquence de tout cela, le préfet aurait dû intervenir du à cette carence fautive du
maire, pourtant mise en demeure. Le préfet n’à pas agi en l’espèce, il est donc fautive de
carence. Il est loisible en l’espèce à l’assos de faire un recours auprès d’une juridiction
administrative par une annulation du refus opposé par le préfet et le maire et ainsi assortir
sa demande d’annulation avec une demande d’injonction et/ou un recours indemnité

Reprendre tous les points de droit dans la mineur.

SÉANCE N°10 - Les mesures de l’autorité administrative

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