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15 imageries clés à

l’ECN / EDN

MIYARA Ghita
Interne de radiologie, 3e semestre
Notre préparation
Objectif

Comprendre ce que l’on apprend pour


retenir plus facilement
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docimologie pris en compte)

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Contenu de la conférence

- Aspects radiologiques typiques de 15


pathologies à connaitre

- Rappels de sémiologie radiologique

- Anatomie radiologique
Cas clinique n° 1

Un patient de 63 ans se présente aux urgences pour


douleurs abdominales et vomissements depuis 3 jours. Il
rapporte également une absence de selles. Il a pour
antécédents une HTA et une appendicectomie à l’âge de
20 ans.
Vous décidez de réaliser un scanner abdomino-pelvien.
Cas clinique n° 1

Que pouvez-vous dire sur cette imagerie ?


A. Il s’agit d’un scanner abdominal sans
injection.
B. Il s’agit d'une occlusion mécanique
colique.
C. On peut voir la zone de transition.
D. Il s’agit d’une occlusion mécanique du
grêle.
E. Le colon gauche est fin sur cette
coupe.
Cas clinique n° 1

Que pouvez-vous dire sur cette imagerie ?


A. Il s’agit d’un scanner abdominal sans
injection.
B. Il s’agit d'une occlusion mécanique
colique.
C. On peut voir des signes de gravité.
D. Il s’agit d’une occlusion mécanique du
grêle.
E. Le colon gauche est fin sur cette
coupe.
Syndrome occlusif

Clinique
- Douleurs abdominales
- Vomissements, arrêt des matières et des gaz
- Météorisme abdominal

Imagerie : Scanner abdomino-pelvien injecté

Signes radiologiques :
- Dilatation des anses grêles > 25 mm ou coliques > 80 mm
- Niveaux hydroaériques

Signes de gravité :
- Absence de rehaussement de paroi
- Épaississement de la paroi pariétale
Syndrome occlusif

Clinique
- Douleurs abdominales
- Vomissements, arrêt des matières et des gaz
- Météorisme abdominal ☛ Où se situe l’occlusion ?
Imagerie : Scanner abdomino-pelvien injecté

Signes radiologiques :
- Dilatation des anses grêles > 25 mm ou coliques > 80 mm
- Niveaux hydroaériques

Signes de gravité :
- Absence de rehaussement de paroi
- Épaississement de la paroi pariétale
Syndrome occlusif

Clinique
- Douleurs abdominales
- Vomissements, arrêt des matières et des gaz
- Météorisme abdominal ☛ Où se situe l’occlusion ?
Imagerie : Scanner abdomino-pelvien injecté

Signes radiologiques :
HAUTE
- Dilatation des anses grêles > 25 mm ou coliques > 80 mm
=
- Niveaux hydroaériques
Dilatation grêlique
Signes de gravité :
- Absence de rehaussement de paroi
- Épaississement de la paroi pariétale
Syndrome occlusif

Clinique
- Douleurs abdominales
- Vomissements, arrêt des matières et des gaz
- Météorisme abdominal ☛ Où se situe l’occlusion ?
Imagerie : Scanner abdomino-pelvien injecté

Signes radiologiques : BASSE


HAUTE
- Dilatation des anses grêles > 25 mm ou coliques > 80 mm =
=
- Niveaux hydroaériques Dilatation colique
Dilatation grêlique
+/- grêle
Signes de gravité :
- Absence de rehaussement de paroi
- Épaississement de la paroi pariétale
Syndrome occlusif

Clinique
- Douleurs abdominales
- Vomissements, arrêt des matières et des gaz
- Météorisme abdominal ☛ Où se situe l’occlusion ?
Imagerie : Scanner abdomino-pelvien injecté

Signes radiologiques : BASSE


HAUTE
- Dilatation des anses grêles > 25 mm ou coliques > 80 mm =
=
- Niveaux hydroaériques Dilatation colique
Dilatation grêlique
+/- grêle
Signes de gravité :
- Absence de rehaussement de paroi
- Infiltration du mésentère
- Épaississement de la paroi pariétale
- Caecum > 13 cm

VALVULE DE BAUHIN
Syndrome occlusif

Clinique
- Douleurs abdominales
- Vomissements, arrêt des matières et des gaz
- Météorisme abdominal ☛ Où se situe l’occlusion ?
Imagerie : Scanner abdomino-pelvien injecté

Signes radiologiques : BASSE


HAUTE
- Dilatation des anses grêles > 25 mm ou coliques > 80 mm =
=
- Niveaux hydroaériques Dilatation colique
Dilatation grêlique
+/- grêle
Signes de gravité :
- Absence de rehaussement de paroi
- Infiltration du mésentère
- Épaississement de la paroi pariétale
- Caecum > 13 cm

ANGLE DE TREITZ
Syndrome occlusif

☛ Où se situe l’occlusion ?
Syndrome occlusif

☛ Où se situe l’occlusion ?
- Plusieurs anses de localisation centrale
- Colon droit ou gauche dilaté ?
Syndrome occlusif

☛ Où se situe l’occlusion ?
- Plusieurs anses de localisation centrale
- Colon droit ou gauche dilaté ?

☛ Où dans le grêle ?
Syndrome occlusif

☛ Où se situe l’occlusion ?
- Plusieurs anses de localisation centrale
- Colon droit ou gauche dilaté ?

☛ Où dans le grêle ?
→ Feces Sign (55 % des occlusions du
grêles)
Syndrome occlusif

☛ Où se situe l’occlusion ?
- Plusieurs anses de localisation centrale
- Colon droit ou gauche dilaté ?

☛ Où dans le grêle ?
→ Feces Sign (55 % des occlusions du
grêles)
→ Zone de transition
Syndrome occlusif

☛ Où se situe l’occlusion ?
- Plusieurs anses de localisation centrale
- Colon droit ou gauche dilaté ?

☛ Où dans le grêle ?
→ Feces Sign (55 % des occlusions du
grêles)
→ Zone de transition
Focus : Colon / Grêle

1 1 - Colon transverse
4 3 2 - Colon gauche
3 - Angle colique gauche
4 - Angle colique droit
5 2 5 - Duodénum
Focus : Colon / Grêle

1 - Colon transverse
1 2 - Colon gauche
4 3 - Angle colique gauche
3
4 - Angle colique droit
5 - Duodénum
5 2
Focus : Colon / Grêle

1 2

2
Focus : Colon / Grêle
Focus : Colon / Grêle
Focus : Colon / Grêle

- Colon contient + de matières fécales et souvent + de gaz


- Pas de niveau liquidien sauf quand dilaté
- Valvules conniventes du grêle et haustruation colique du colon

A l’étage hépatique :
- Colon transverse sur tout l’axe longitudinale
- Angle colique gauche (T11) et angle colique droit plus en dessous
(L1)

Sous l’étage hépatique :


- Colon droit et colon gauche fixes sur les côtés
- Au milieu = grêle
Syndrome occlusif

Clinique
- Douleurs abdominales
- Vomissements, arrêt des matières et des gaz
- Météorisme abdominal

Imagerie : Scanner abdomino-pelvien injecté

Signes radiologiques :
- Dilatation des anses grêles > 25 mm ou coliques
> 80 mm
- Niveaux hydroaériques

Signes de gravité :
- Absence de rehaussement de paroi
- Infiltration du mésentère
- Épaississement de la paroi pariétale
- Caecum > 13 cm
Cas clinique n° 2

Patiente de 20 ans consulte aux urgences pour une douleur


abdominale fébrile en fosse iliaque droite.
Pas d’antécédents.

Que demandez-vous en premier avant tout chose ?


Cas clinique n° 2

Patiente de 20 ans consulte aux urgences pour une douleur


abdominale fébrile en fosse iliaque droite.
Pas d’antécédents.

Que demandez-vous en premier avant tout chose ?

→ BHCG
A. Masse utérine à paroi épaissie
B. On peut visualiser un stercolithe
C. Épaississement pariétal de l’appendice
D. Phlegmon appendiculaire
E. Epanchement péritonéal
A. Masse utérine à paroi épaissie
B. On peut visualiser un stercolithe
C. Épaississement pariétal de
l’appendice
D. Phlegmon appendiculaire
E. Epanchement péritonéal
Appendicite aigüe

Clinique Imagerie :
- Douleur en fosse iliaque droite - Echographie abdominale (jeune, femme en âge
- Fièvre de procréer)
- SIB, hyperleucocytose - Scanner abdomino-pelvien injecté

Signes radiologiques :
- Diamètre > 6 mm
- Epaississement pariétal > 3 mm
- Stercolhite (50 %) : pas spécifique
- Prise de contraste en cocarde

Signes de gravité :
• Perforation appendiculaire
❑ Abcès péri-appendiculaire (collection hypodense renfermant le plus souvent des bulles d’air)
❑ Péritonite appendiculaire (épanchement liquidien +++, prise de contraste et épaississement de la graisse)
• Plastron appendiculaire (accolement des viscères adjacent : limite l’extension du foyer )
Appendicite aigüe
Appendicite aigüe

Abcès appendiculaire
Appendicite aigüe
Appendicite aigüe

Péritonite appendiculaire
- Densification de la graisse mésentérique
- Prise de contraste et épaississement péritonéale diffus
- Epanchement péritonéale
Appendicite aigüe

Péritonite appendiculaire

- Densification de la graisse mésentérique


- Prise de contraste et épaississement péritonéale diffus
Plastron appendiculaire

- Cliniquement : masse en fosse iliaque droite


- Inflammation de la graisse péri-appendiculaire
Appendicite aigüe

Plastron appendiculaire Abcès appendiculaire Péritonite appendiculaire

ATB IV ATB PO Appendicectomie en urgence


+ + lavage péritonéale
Drainage

Petite taille Volumineux


Appendicectomie à
froid 2-4 mois plus
tard
Appendicectomie Appendicectomie
à chaud à froid
Cas clinique n° 3

Patiente de 63 ans, consulte pour douleurs abdominales à


début brutal avec fièvre. Sensibilité à la palpation de
l’hypochondre droit.

A. Épaississement pariétal en feuillet


B. Absence de calculs biliaires au sein de la vésicule
C. La flèche désigne le rein droit
D. Sludge vésiculaire
E. Il s’agit d’une cholécystite aigüe
Cas clinique n° 3

Patiente de 63 ans, consulte pour douleurs abdominales à


début brutal avec fièvre. Sensibilité à la palpation de
l’hypochondre droit.

A. Épaississement pariétal en feuillet


B. Absence de calculs biliaires au sein de la vésicule
C. La flèche désigne le rein droit
D. Sludge vésiculaire
E. Il s’agit d’une cholécystite aigüe
Cholécystite aigüe

Clinique
- Douleurs aigues hypochondre droit > 6h
- Fièvre
- Signe de Murphy : douleur inhibant l’inspiration profonde

Imagerie : Echographie abdominale

Signes radiologiques :
- Calculs intra vésiculaires : cônes d’ombres +++
- Signe de Murphy radiologique
- Epaississement paroi > 3 mm
- Distension vésiculaire
- Sludge vésicualire

Signes de gravités :
- Abcès
- Perforation vésiculaire
- Péritonite
Le sludge ?

= boue vésiculaire
Stagnation des sédiments de cristaux de cholestérol, de
pigments et d’autres sels de calcium.

- Post-grossesse après perte de poids rapide


- Chirurgie gastrique
- Nutrition parentérale

Peut évoluer vers la formation de calculs biliaires.

→ Si découverte fortuite : pas de prise en charge


→ Si découverte dans un contexte de colique hépatique :
cholécystectomie
Sludge
Cas clinique n° 3

Après traitement médicamenteux, la patiente consulte à nouveau pour


aggravation douloureuse brutale.
Cas clinique n° 3

Après traitement médicamenteux, la patiente consulte à nouveau pour


aggravation douloureuse brutale.

A. Scanner injecté au temps portal


B. On voit la dilatation des voies biliaires
intra-hépatique
C. On peut voir les surrénales sur l’une des
deux images
D. La flèche désigne le colon transverse
E. Il y’a un épanchement péri-hépatique
Cas clinique n° 3

Après traitement médicamenteux, la patiente consulte à nouveau pour


aggravation douloureuse brutale

A. Scanner injecté au temps portal


B. On voit la dilatation des voies biliaires
intra-hépatique
C. On peut voir les surrénales sur l’une des
deux images
D. La flèche désigne le colon transverse
E. Il y’a un épanchement péri-hépatique
Cas clinique n° 3

Après traitement médicamenteux, la patiente consulte à nouveau pour


aggravation douloureuse brutale

Péritonite sur perforation vésiculaire


Cas clinique n° 4

Patiente de 69 ans présentant des douleurs intenses en


hypochondre droit depuis 48 h. Le bilan biologique
retrouve : cytolyse hépatique 10N, GB 8000 et CRP à 1.
Elle rapporte des urines foncées et des selles décolorées.
L’échographie abdominale retrouve un signe de Murphy
positif et des macro calculs.
Un scanner injecté est réalisé.

A. Dilatation des voies biliaires intra et extra hépatiques


B. Dilatation du canal de Wirsung
C. Calcul enclavé dans l’ampoule de Vater.
D. La flèche désigne la VCI
E. Il s’agit d’une angiocholite
CPRE et sphinctérectomie
Cholécystectomie

A. Dilatation des voies biliaires intra et extra hépatiques


B. Dilatation du canal de Wirsung
C. Calcul enclavé dans l’ampoule de Vater.
D. La flèche désigne la VCI
E. Il s’agit d’une angiocholite

→ Calcul enclavé dans VBP responsable d’une dilatation


des voies biliaires intra et extra hépatique
Colique hépatique

= douleur brutale et intense de l’épigastre ou hypochondre droit.


Elle inhibe la respiration.
Possible signe de Murphy à l’examen

- Migration lithiasique simple : calculs dans la VBP sans angiocholite. ↑ ASAT/ALAT


- Cholécystite : + défense, + fièvre, + signes radiologiques Bilan hépatique normal
- Angiocholite : + fièvre + ictère + cholestase + SIB

Imagerie : Echographie abdominale ++


Scanner en 2e intention

➔ Cholécystectomie à froid
- Si compliqué d’une cholécystite : en urgence
- Si compliqué d’une angiocholite : CPRE et sphinctérectomie puis cholécystectomie
- Si calcul VBP non septique : soit CPRE et sphinctérectomie puis cholécystectomie
soit en un temps cholécystectomie avec désobstruction peropératoire
Focus : péritonite

Péritonite
- Epanchement péritonéal +/- collectée
- Epaississement et prise de contraste des feuillets péritonéaux
- Infiltration de la graisse mésentérique
- Pneumopéritoine
Focus : péritonite

Péritonite
- Epanchement péritonéal +/- collectée
- Epaississement et prise de contraste des feuillets péritonéaux
- Infiltration de la graisse mésentérique
- Pneumopéritoine Douleur abdominale provoquée
→ majorée lors de la décompression
brutale d’une fosse iliaque.
Péritonite
Péritonite par perforation Péritonite appendiculaire Contracture
diverticulaire
Début Brutal Progressif Progressif
Maximum des Epigastrique Fosse iliaque gauche Fosse iliaque droite
signes péritonéaux

Fièvre / Non au début Oui Oui


Hyperleucocytose
Pneumopéritoine Parfois, discret Présent, volumineux Non
Traitement Chirurgie en urgence Chirurgie en urgence Chirurgie en urgence
Contre-indication formelle à
l’endoscopie digestive haute
Péritonite
Péritonite
Cas clinique n° 5

Patiente de 40 ans consulte pour une toux sèche


persistante depuis 2 mois et légère altération de
l’état général. Elle n’a aucun antécédent.
Vous réalisez une radiographie du thorax.
Que constatez-vous ?

A. La radiographie est en inspiration correcte.


B. Il existe un émoussement du cul de sac gauche.
C. On retrouve des opacités hilaires bilatérales.
D. Il existe un syndrome interstitiel.
E. La radiographie est normale.
Cas clinique n° 5

Patiente de 40 ans consulte pour une toux sèche


persistante depuis 2 mois et légère altération de
l’état général. Elle n’a aucun antécédent.
Vous réalisez une radiographie du thorax.
Que constatez-vous ?

A. La radiographie est en inspiration correcte.


B. Il existe un émoussement du cul de sac gauche.
C. On retrouve des opacités hilaires bilatérales.
D. Il existe un syndrome interstitiel.
E. La radiographie est normale.
Focus : la radiographie de thorax bien réalisée

1 1. Face stricte
2 → Extrémités internes des clavicules symétriques
3 2. Debout
4 → Poche d’air gastrique
5
3. Totalité du thorax
→ Culs de sac diaphragmatique
→ Apex pulmonaires
6

4. Inspiration profonde
→ 6 arcs antérieurs intercostaux
5. Omoplates dégagées
Cas clinique n° 5

• Adénopathies hilaires bilatérales non


compressives.

• Pas d’atteinte parenchymateuse

• Pas d’épanchement pleural.

Sarcoïdose stade I
Le diagnostique de sarcoïdose est posé. Au cours du
suivi, cette radiographie est réalisée.
Sarcoïdose de stade III
Sarcoïdose : classification radiologique

Polyadénopathies
☞ Médiastinales : Latéro-trachéale droite (70 %)
☞ Hilaires non compressives et symétriques
+
Micro nodulation diffuse
☞ Lobe supérieur droit
☞ Régions sous-pleurales et péribronchovasculaires

Stade I Stade II Stade III Stade IV

ADP
Atteinte parenchymateuse Fibrose
ADP seules + atteinte parenchymateuse
Focus : syndrome interstitiel

Syndrome interstitiel
= Atteinte d’un ou plusieurs compartiments du
tissu interstitiel.

- Espace péri bronchovasculaire et


centrolobulaire
- Sous pleural et cloisons interlobulaires
- Cloisons intra-lobulaires
Focus : syndrome interstitiel

3 espaces interstitiels
- Espace péri broncho vasculaire et centro-
lobulaire
- Sous pleural et cloisons interlobulaires
- Cloisons intra-lobulaires
Différentes formes d’atteintes

- Linéaires et réticulaires
- Micronodulaire
- Verre dépoli
- Fibrose
→ Aspect en rayon de miel
→ Bronchectasies de traction
Focus : syndrome interstitiel

1. Lignes et réticulations

Septas interlobulaire Septas intralobulaires Réticulations sous pleurales


Focus : syndrome interstitiel

1. Lignes et réticulations

Septas intra lobulaires

Septas interlobulaire

Epaississement bronchovasculaire

Réticulations sous pleurales


Focus : syndrome interstitiel

2. Micronodules

Atteinte asymétrique des lobes


et champs pulmonaires

Souvent associés à des


épaississement global des espaces
péri-broncho- vasculaires ou lignes
septales

SARCOIDOSE
LYMPHANGITE
CARCINOMATEUSE
Onclepaul.net
Focus : syndrome interstitiel

2. Micronodules

Réaction inflammatoire de la
paroi bronchiolaire

Zone avasculaire sous pleurale

BRONCHIOLITE INFECTIEUSE
ASTHME
BPCO

Onclepaul.net
Focus : syndrome interstitiel

2. Micronodules

Réaction inflammatoire de la
paroi bronchiolaire

Zone avasculaire sous pleurale

BRONCHIOLITE INFECTIEUSE
ASTHME
BPCO

Onclepaul.net
Focus : syndrome interstitiel

2. Micronodules

Suit la distribution du flux


sanguin.
Aléatoire.

MILIAIRE TUBERCULEUSE
MILIAIRE MÉTASTATIQUE

Onclepaul.net
Qu’est-ce que c’est ?

3.

?
SARCOIDOSE TUBERCULOSE
Syndrome interstitiel

3. Verre dépoli
Augmentation de la densité du parenchyme
N’efface pas les vaisseaux et les paroi de bronches

Epaississement de l’interstitium
Remplissage incomplet des alvéoles
(dépôts de liquide, cellules, fibrose des
cloisons inter alvéolaires...)
Syndrome interstitiel

4. Fibrose

2 signes élémentaires :
- Rayons de miel = destruction parenchymateuse responsable d’espaces
aériens dilatés à parois fibreuse définis
Sous pleurales +++
- Bronchectasies par traction
Syndrome interstitiel à la radio
Syndrome interstitiel à la radio

Lignes et réticulations
(Lignes de Kerley)
Syndrome interstitiel à la radio

Lignes et réticulations
Micronodules
(Lignes de Kerley)
Syndrome interstitiel à la radio

Lignes et réticulations Opacités diffuses :


Micronodules
(Lignes de Kerley) Macro nodules
Verres dépoli
Syndrome interstitiel à la radio

Lignes et réticulations Opacités diffuses :


Micronodules
(Lignes de Kerley) Macro nodules
Verres dépoli
Syndrome interstitiel à la radio

Lignes et réticulations Opacités diffuses :


Micronodules
(Lignes de Kerley) Macro nodules
Verres dépoli

A retenir :
Opacités non systématisés Fibrose : rayon de miel
Contours net
Non confluent
Focus PID

PID AIGUE PID SUBAIGUE / CHRONIQUE


Focus PID

PID AIGUE PID SUBAIGUE / CHRONIQUE

► Œdème aigue du poumon


Focus PID

PID AIGUE PID SUBAIGUE / CHRONIQUE

► Œdème aigue du poumon


Focus PID

PID AIGUE PID SUBAIGUE / CHRONIQUE

► Œdème aigue du poumon

► Pneumopathies infectieuses (Tuberculose,


Pneumocystose, CMV…)
Focus PID

PID AIGUE PID SUBAIGUE / CHRONIQUE

► Œdème aigue du poumon

► Pneumopathies infectieuses (Tuberculose,


Pneumocystose, CMV…)

► SDRA
Focus PID

PID AIGUE PID SUBAIGUE / CHRONIQUE

► Œdème aigue du poumon

► Pneumopathies infectieuses (Tuberculose,


Pneumocystose, CMV…)

► SDRA

► Acutisation de PID
Focus PID

PID AIGUE PID SUBAIGUE / CHRONIQUE

Primaire Secondaire
► Œdème aigue du poumon

► Pneumopathies infectieuses (Tuberculose,


Pneumocystose, CMV…)

► SDRA

► Acutisation de PID
Focus PID

PID AIGUE PID SUBAIGUE / CHRONIQUE

Primaire Secondaire
► Œdème aigue du poumon
► Sarcoïdose
► Pneumopathies infectieuses (Tuberculose,
Pneumocystose, CMV…)

► SDRA

► Acutisation de PID
Focus PID

PID AIGUE PID SUBAIGUE / CHRONIQUE

Primaire Secondaire
► Sarcoïdose

► Idiopathique
→ PINS

A.Nicolas et al, JDI 2019

- Verre dépoli bilatéral et symétrique ++


- Basale
- Evolution vers PINS fibrosante (Bronchectasies par traction proximales)
Focus PID

PID AIGUE PID SUBAIGUE / CHRONIQUE

Primaire Secondaire
► Œdème aigue du poumon
► Sarcoïdose
► Pneumopathies infectieuses (Tuberculose,
Pneumocystose, CMV…) ► Idiopathique
→ PINS
► SDRA → FPI

► Acutisation de PID

A.Nicolas et al, JDI 2019

- Rayons de miel basal


- Réticulations sous-pleurales et basales
- Bronchectasies par traction
Focus PID

PID AIGUE PID SUBAIGUE / CHRONIQUE

Primaire Secondaire
► Œdème aigue du poumon
► Sarcoïdose ► Connectivites
► Pneumopathies infectieuses (Tuberculose, → Polyarthrite rhumatoïde
Pneumocystose, CMV…) ► Idiopathique → Sclérodermie
→ PINS
► SDRA → FPI ► Atteintes malignes

► Acutisation de PID ► Pneumoconioses

► Secondaire à des médicaments


Focus : PID

ID Pneumocystose
CMV
Verre dépoli bilatéral OAP

IC Covid-19
Aigue Micronodules de distribution Tuberculose
aléatoire
Syndrome interstitiel Idiopathique = FIP
- Linéaires et réticulaires Rayons de miel
- Micronodulaire Bronchectasies par traction Evolution fibrosante de PID chronique
- Verre dépoli
- Fibrose
→ Aspect en rayon de miel Idiopathique = PINS
→ Bronchectasies de traction Chronique Verre dépoli bilatéral

PR, PHS …
ADP médiastinale
Sarcoïdose
+ Micronodules péri lymphatiques
Cas clinique n° 6

Patiente de 46 ans, se présente aux urgences pour


fièvre, douleur thoracique et toux depuis 48h. Vous
réalisez une radiographie de thorax.

A. Il existe un
épanchement pleural

B. Pneumopathie
lobaire inférieure
droite
1
C. Pneumopathie
lobaire moyenne
2
D. La crosse de l’aorte
est représenté en 1

E. Le ventricule droit
est représenté en 2
Cas clinique n° 6

Patiente de 46 ans, se présente aux urgences pour


fièvre, douleur thoracique et toux depuis 48h. Vous
réalisez une radiographie de thorax.

A. Il existe un
épanchement pleural

B. Pneumopathie
lobaire inférieure
droite
1
C. Pneumopathie
lobaire moyenne
2
D. La crosse de l’aorte
est représenté en 1

E. Le ventricule droit
est représenté en 2
Focus : la silhouette cardiaque
A. Pneumopathie
lobaire inférieure
gauche

B. Pneumopathie
lobaire supérieure
gauche

C. Pneumopathie
bilatérale
A. Pneumopathie
lobaire inférieure
gauche

B. Pneumopathie
lobaire supérieure
gauche

C. Pneumopathie
bilatérale
Focus : les lobes pulmonaires

LIG
Focus : les lobes pulmonaires

LSG
Focus : les lobes pulmonaires

LSG
Focus : les lobes pulmonaires

Lingula

LSG
Focus : les lobes pulmonaires

LID
Focus : les lobes pulmonaires

LSD

LM
LID
Signe de la silhouette

Si efface le bord droit


du cœur
= lobe moyen Si efface le bord
gauche du cœur
= Lingula

Si efface le bord de
la coupole
diaphragmatique
= lobe inférieur
Signe de la silhouette
Focus : syndrome alvéolaire

= Comblement intra-alvéolaire complet ou incomplet


- Contours flous
- Confluent
- Présence de bronchogramme aérien
- Systématisation
Focus : syndrome alvéolaire

= Comblement intra-alvéolaire complet ou incomplet

Condensation parenchymateuse
Focus : syndrome alvéolaire

= Comblement intra-alvéolaire complet ou incomplet

Verre dépoli
Focus : syndrome alvéolaire

= Comblement intra-alvéolaire complet ou incomplet


Syndrome alvéolaire ou interstitiel ?

A
B
Syndrome alvéolaire ou interstitiel ?

Miliaires tuberculeuse
Bronchopneumonie à Staphylococcus aureus
Imagerie des infections pulmonaires

Infection aigue

Condensations systématisés Réticulations


Opacités confluentes Verre dépoli
Micronodules

Pneumopathie en foyer Pneumopathie interstitiel


Syndrome alvéolaire
Pneumocoque Virales
Légionellose Pneumopathie de
l’immunodéprimé
Germes atypique : Mycoplasme,
Chlamydia…
Cas clinique n° 6

Patient de 55 ans, greffé rénal en 2013,


présentant un tableau de toux sèche,
dyspnée avec désaturation à l’effort, perte
3 de 9 kg en 1 mois
1
2
A. On peut voir du verre dépoli bilatéral
B. Des réticulations intralobulaires
C. 1 désigne la veine cave supérieure
D. 2 désigne la veine azygos
E. 3 désigne l’aorte
Cas clinique n° 6

Patient de 55 ans, greffé rénal en 2013,


présentant un tableau de toux sèche,
dyspnée avec désaturation à l’effort, perte
3 de 9 kg en 1 mois
1
2 A. On peut voir du verre dépoli bilatéral
B. Des réticulations intralobulaires
C. 1 désigne la veine cave supérieure
D. 2 désigne la veine azygos
E. 3 désigne l’aorte

Pneumocystose
Malgré́ traitement, aggravation clinique et transfert en
réanimation. Contrôle à J21.

Quelle signe vous oriente vers de la fibrose ?


Malgré́ traitement, aggravation clinique et transfert en
réanimation. Contrôle à J21.

Bronchectasies par traction


Cas clinique n° 7

Patient de 45 ans consulte aux urgences pour


2
une douleur thoracique brutale.

1
Cas clinique n° 7

De quoi s’agit-il ?

A. Embolie pulmonaire bilatérale


B. 1 représente le tronc de l’artère pulmonaire
C. Pneumopathie du lobe supérieure gauche
D. 2 représente l’oreillette droite
E. On peut voir l’œsophage sur cette coupe
Cas clinique n° 7

De quoi s’agit-il ?

A. Embolie pulmonaire bilatérale


B. 1 représente le tronc de l’artère pulmonaire
C. Pneumopathie du lobe supérieure gauche
D. 2 représente l’oreillette droite
E. On peut voir l’œsophage sur cette coupe
Focus : embolie pulmonaire

Infarctus pulmonaire

- Proximal et bilatéral : PAS DES SIGNES


DE GRAVITE

- Condensation souvent triangulaire à base sous pleural


- Centre clair = parenchyme aéré
- Entouré de verre dépoli = hémorragie intra-alvéolaire
Anatomie médiastin
Anatomie médiastin
Anatomie médiastin
Anatomie médiastin
Anatomie médiastin
Cas clinique n° 8

Patient de 65 amené par le SAMU après avoir été retrouvé au sol par sa
fille. L’examen retrouve déficit de l’hémicorps droit avec paralysie faciale,
aphasie et héminégligence

4
1 2 3
Cas clinique n° 8

A. La séquence en injection retrouve une occlusion de


l’artère sylvienne gauche
B. Il faut réaliser une thrombolyse en urgence
C. AVC sylvien droit superficiel
D. La 2er séquence est la séquence FLAIR
E. Il existe des remaniement hémorragique de la zone
ischémié
Cas clinique n° 8

A. La séquence en injection retrouve une occlusion de


l’artère sylvienne gauche
B. Il faut réaliser une thrombolyse en urgence
C. AVC sylvien droit superficiel
D. La 2er séquence est la séquence FLAIR
E. Il existe des remaniement hémorragique de la zone
ischémié
Focus : séquences IRM cérébrales

T1 T2
=
Séquence anatomique
Focus : séquences IRM cérébrales

T1 T2
=
Séquence anatomique

FLAIR Diffusion
T2*
+ Gadolinium
Focus : séquences IRM cérébrales

T1 T2
=
Séquence anatomique

FLAIR Diffusion
T2*
+ Gadolinium
Focus : séquences IRM cérébrales

T1 T2
=
Séquence anatomique

FLAIR Diffusion
T2*
+ Gadolinium
Focus : séquences IRM cérébrales

T1 T2
=
Séquence anatomique

FLAIR
T2*
+ Gadolinium
Focus : séquences IRM cérébrales

T1 T2
=
Séquence anatomique

FLAIR Diffusion
T2*
+ Gadolinium
Focus : séquences IRM cérébrales

J’injecte du PDC

T1 T1 GADO
En P1 je bosse l’anatomie
→ Séquence anatomique
Je bois du café
→ LCR noir

Je supprime le signal du LCR

FLAIR
T2 Inhomogénéité du champs magnétique
En P2 je bosse pas l’anatomie
Je bois du pastis
T2* Hémosidérine + calcification
→ LCR blanc

Séquence basé sur la restriction du


DIFFUSION mouvement des molécules d’eau
IRM AVC

Infarctus cérébral : - Zone centrale : nécrose immédiate


- Zone périphérique de « pénombre »

Vasodilatation artérioles
Maintien DSC
↖︎

EO2

↘︎ Consommation
cellulaire
Seuil de défaillance membranaire
(dysfonction pompes membranaires
cellulaires Na/K ATP dépendantes
par perte de la production
énergétique neuronale)
IRM AVC

Infarctus cérébral : - Zone centrale : nécrose immédiate


- Zone périphérique de « pénombre »

Vasodilatation artérioles
Maintien DSC
↖︎

EO2

↘︎ Consommation
cellulaire
Seuil de défaillance membranaire
(dysfonction pompes membranaires
cellulaires Na/K ATP dépendantes
par perte de la production
énergétique neuronale)
IRM AVC

Dysfonction pompes membranaires cellulaires Na/K

Na+ reste en intracellulaire

ŒDÈME CYTOTOXIQUE

Onclepaul.fr
IRM AVC

H0 H3-6

ŒDÈME CYTOTOXIQUE → Rupture de la BHE ŒDÈME VASOGENIQUE


DIFFUSION FLAIR T2*

TOF
- Transformation
Zone de nécrose Se positive dans hémorragique
Dès les 1er minutes les 3-6h Polygone de Willis
- Caillot
Cas clinique n° 9

Patient de 80 ans, malaise sans perte de connaissance,


hémiplégie et perte de sensibilité de tout l’hémicorps
gauche.

A. Hydrocéphalie
B. Hypodensité sylvienne
droite
C. Hyopdensité sylvienne
gauche
D. Spots hémorragique au
sein des ventricules
E. On peut voir les sinus
frontaux
Cas clinique n° 9

Patient de 80 ans, malaise sans perte de connaissance,


hémiplégie et perte de sensibilité de tout l’hémicorps
gauche.

A. Hydrocéphalie
B. Hypodensité sylvienne
droite
C. Hyopdensité sylvienne
gauche
D. Spots hémorragique au
sein des ventricules
E. On peut voir les sinus
frontaux
Cas clinique n° 10

Traumatisme crânien chez une patiente de 65 ans sous anticoagulant pour


une ACFA.
Vous réalisez un scanner cérébral

A. Le scanner est injecté


B. On note un hématome extra-dural
C. Hématome sous dural
D. Engagement sous falcorielle
E. La flèche désigne le noyaux caudé
Cas clinique n° 10

Traumatisme crânien chez une patiente de 65 ans sous anticoagulant pour


une ACFA.
Vous réalisez un scanner cérébral

A. Le scanner est injecté


B. On note un hématome extra-dural
C. Hématome sous dural
D. Engagement sous falcorielle
E. La flèche désigne le noyaux caudé
Cas clinique n° 11

Patiente de 55 ans,
céphalée brutale
ayant duré 5 min.
Depuis patiente
confuse, sans déficit
sensitivo-moteur.
A. Hématome sous
cutanée temporal droit
B. Hémorragie sous
arachnoïdienne diffuse
C. La flèche désigne un
méningiome calcifié.
D. On peut voir une
hyperdensité des
citernes de la base
E. Il faut réaliser une
séquence injecté
Cas clinique n° 11

Patiente de 55 ans,
céphalée brutale
ayant duré 5 min.
Depuis patiente
confuse, sans déficit
sensitivo-moteur.
A. Hématome sous
cutanée temporal droit
B. Hémorragie sous
arachnoïdienne diffuse
C. La flèche désigne un
méningiome calcifié.
D. On peut voir une
hyperdensité des
citernes de la base
E. Il faut réaliser une
séquence injecté
Focus : hématomes intra crâniens

Hématome extra-dural Hématome sous-dural Hématome sous-arachnoïdien


1 à 4 % des TC
10 % de décès
- Entre l’os et la dure-
mère
- Forme lenticulaire

→ Localisation
temporo-pariétale
due à une
déchirure de
l'artère méningée
moyenne est la
plus fréquente

→ 95 % fracture
fracture de la
voute crânienne
Focus : hématomes intra crâniens

Hématome extra-dural Hématome sous-dural Hématome sous-arachnoïdien


1 à 4 % des TC 20 % des TC
10 % de décès 50-80 % de décès
- Entre l’os et la dure-
- Décollement de
mère
l’arachnoide
- Forme lenticulaire
- Forme en croissant

→ Localisation → Lacération des veines


temporo-pariétale corticales traversant les
due à une espaces méningés
déchirure de
l'artère méningée
moyenne est la
plus fréquente

→ 95 % fracture
fracture de la
voute crânienne
Focus : hématomes intra crâniens

Hématome extra-dural Hématome sous-dural Hématome sous-arachnoïdien


1 à 4 % des TC 20 % des TC
10 % de décès 50-80 % de décès
- Entre l’os et la dure-
- Décollement de
mère
l’arachnoide
- Forme lenticulaire
- Forme en croissant

→ Localisation → Lacération des veines


temporo-pariétale corticales traversant les
due à une espaces méningés
déchirure de
l'artère méningée → Rarement de
moyenne est la fractures associés
plus fréquente

→ 95 % fracture
fracture de la
voute crânienne
Focus : hématomes intra crâniens

Hématome extra-dural Hématome sous-dural Hématome sous-arachnoïdien


1 à 4 % des TC 20 % des TC
10 % de décès 50-80 % de décès
- Entre l’os et la dure-
- Décollement de
mère
l’arachnoide
- Forme lenticulaire
- Forme en croissant

→ Localisation → Lacération des veines


temporo-pariétale corticales traversant les
due à une espaces méningés
déchirure de
l'artère méningée → Rarement de
moyenne est la fractures associés
plus fréquente

→ 95 % fracture
fracture de la
voute cranienne
Focus : hématomes intra crâniens

Hématome extra-dural Hématome sous-dural Hématome sous-arachnoïdien


1 à 4 % des TC 20 % des TC 50 % des TC
10 % de décès 50-80 % de décès 50-80 % de décès
- Entre l’os et la dure-
- Décollement de
mère
l’arachnoide
- Forme lenticulaire
- Forme en croissant

→ Localisation → Lacération des veines


temporo-pariétale corticales traversant les
due à une espaces méningés
déchirure de
l'artère méningée → Rarement de
moyenne est la fractures associés
plus fréquente

→ 95 % fracture
fracture de la
voute cranienne
Focus : hématomes intra crâniens

Hématome extra-dural Hématome sous-dural Hématome sous-arachnoïdien


1 à 4 % des TC 20 % des TC 50 % des TC
10 % de décès 50-80 % de décès 40 % de décès
- Entre l’os et la dure-
- Décollement de
mère
l’arachnoide
- Forme lenticulaire
- Forme en croissant

→ Localisation → Lacération des veines → Citerne de la base,


temporo-pariétale corticales traversant les vallées sylviennes, sillons
due à une espaces méningés corticaux, scissure inter-
déchirure de hémisphérique
l'artère méningée → Rarement de
moyenne est la fractures associés
plus fréquente. → TC, Rupture
d’anévrisme ou sans
→ 95 % fracture cause
fracture de la
voute cranienne
Hématome sous dural chronique

Aspect non homogène


Cloisonné par membranes sous durales
fibreuses
Focus : Scanner cérébral -> Ce qu’on peut
trouver
Focus : Scanner cérébral -> Ce qu’on peut
trouver

1- Espaces péri-cérébraux

Normal Atrophié
Focus : Scanner cérébral -> Ce qu’on peut
trouver

2- Ventricules
Focus : Scanner cérébral. Ce qu’on peut
trouver

2- Ventricules

Après injection PDC → Plexus et veines

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