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ENVIRONNEMENT ECONOMIQUE

TD1

(Feuille de cours)

CM1

LES GRANDS COURANTS DE LA PENSEE ECO

LE mercantilisme

Né au 15eme-16eme siecle : bouleversement Eco et sociaux

C’est l’émancipation par rapport a l’Eglise

En lien avec ces mvmts-> dvlppement dune doctrine eco au 17eme : le mercantilisme

-la prosperité(richesse) d’une nation = puissance pol et mil du souverain

- necessaire developpeme,t de l’activité commerciale du pays -> le commerce assure les


débouchés, not amment à l’industrie

Position défendu par Antoine de Montchrestien dans son traité d’economie politique ecrit en 1616.

L’etat doit stimuler la production et les echages afin d’exporter plus et accroitre les richesses

-les mercantilistes préconisent alors le dvlpment des X tout en limitant les M (X-M= solde
commerciale)

-un pays riche est un pays qui détient de la monnaie et des métaux précieux en abondance

-> pour disposer d’un afflux de métaux précieux, il est nécessaire d’avoir une balance commerciale
excédentaire, cad un solde commerciale positif

- l’état doit intervenir dans l’économie et favoriser la conquête de nv marchés, dans des régions
lointaines

Comme la demande metaux precieux augmentent, on assiste a la premiere inflation de l’europe

CHAPITRE 1 LA REVOLUTION INDUSTRIELLE 1780-1860

La revo indus apparait a cause de la revo agricole et demographique

I / LA GRANDE TRANSFORMATION

Plus une evolution qu’une revolution en 4 etaapes

1-Le « take off » : debut en angleterre dans les annees 1780 1800 puis reste de l’europe et enfin am
nord et japo.

Ce decollage se produit avec 2 mvmts clés (METALURGIE ET TEXTILE)

2- La revo agricole
Remplacement des jachères par les cultures fourragères (nourriture pour betail)

La productivité agricole augmente

-L’introduction des plantes fourragères ->augmentation de l’élevage -> augmentation de la


nourriture et du fumier (engrais)-> augmentation de la production agricole.

-En parallele, d’autres améliorations infimes (drainage des terres, semoir mécaniques,..) ->
accroissement de la productivité agricole - > fin des famines.

- Ces gains de productivité vont permettre de nourrir la masse croissante d’ouvriers absorbés
par le développement indus

3- la revo demographiques

- A partir du 18eme la population augmente


- Les guerres reculent, les famines et les epidemies ont tendance a disparaitre dan toute
l’europe
- Les gains de productivité agricole permettent une amelioration des conditions de
subsistances avec la fin de la sous nutrition et de la malnutrition + progés de l(hygiene
individuelle et de l’urbanisme
- La mortalité chute, alors que la natalité rest toujours aussi elevée = transition
demographique

La France connaitra une evolution diff : le taux de natalité y chutera bien avant celui des autres pays
europpeens , notamment en raison du recul des pratiques religieuses, du desir d’ascension sociale,
de la peur des paysans de partager leur exploitation entre une dépendance trop nombreuse

4- La revolution industrielle

Une vague d’inoovation techniques en europe au 18 19eme

->Dans le textile

-1738 LEWIS Paul depose le brevet de la machine a filer, reprise par arkwright en 1767

-En 1785, CARTWRIGHT invente le metier a tisser mecanique

->dans l’industrie siderurgique et metallurgique

-1709 abraham darby decouvre le proceder de fonte au coke

-1772 Wilkinson invente machine a aléser

- 1818 WHITNEY ivente la machine a fraiser

-> dans le domaine de la prod d’energie

-1769 WATT invente la machine a vapeur qui sera utilisée par stephenson

II/ LES TRANSFORMATION SOCIALES

Les campagnes se vident car on a besoin de moins de mains d’œuvre dans l’agriulture en raison des
PT
Ils partent ville, les premiere manufacture apparaissent. On change completement de paradigme
( travail libre -> salariat)

Dates iportantes :

- mecanisation – >le travail en usine se developpe – >recours au travail des femmes et des
enfants

-conditions de travail sont deplorables : salaires tres faibles, les journees de travail : 15heures

- La loi le chapelier de 1791 interdit toute forme de coalition, donc toutes revendications
collectives.

-Le rapport villermé de 1840 denonce la precarité des conditions de vie des ouvriers.

-La legislation sociale demeure rare et quasiment jamais appliquée :

-en 1841, une loi francasie interdit le travail en usine des enfants de moins de 8ans

-Il faudra attendre 1869 pour que le droit de greve soit reconnu

CHAPITRE II L’ECONOMIE CLASSIQUE

Intro

-Courant de pensée se situant au 18eme dans lequel on classe certains auteurs

- Les classiques defendent lidee selon laquelle des mecanismes naturels gouvernent l’economie et la
liberté des echanges est une condition au progres economique

- Ce sont des theoriciens de l’offre :


- Offre -> dema,de
- Pour encourager loffre cad la prod il faut liberer le marché de toute entrave
- Concurrence-> baisse des prix-> hausse de la consommation -> hausse de la production

I/ LES CLASSIQUES ANGLAIS

A/ Adam smith ( date)

Influence = ecole philo ecosse selon laquelle l’homme est guidé par deux grands types distincts :

-Les instincts egoistes qui poussent a la jouissance individuelle et developpent l’esprit de


conquete

- les instincts altruiste qui dotent l’homme dun sens moral inné et lui permettent de vivre en
société

-adepte du philosophe HUME (date) : selon lui ce sont les passions qui guident l’action humaine
( notamment la passion d’enrichissement) et non pas la raison.
-En 1759 smith publie la « theorie des sentiments moraux » -> sphère economique, dominée par
l’egoisme contraire a la vie sociale dominée par des sentiments moraux.

- En 1776, il publiera « recherche sur la nature et les causes de la richesse des nations ».

Leitmotiv = « le laisser faire »

Comment les hommes peuvent vivre ensemble en toute harmonie, alors que par nature, ils sont
egoistes ?

L’homme est egoiste, il agit en vue de satisfaire son interet perso, cependant, l’homme a presque tjrs
besoin de ses semblables

Ainsi les hommes travaillent et echangent les uns avec les autres, parce qu’ils ont besoin les uns des
autres pour satisfaire leurs interets propres

 « donnez moi ce dont jai besoin et vous obtiendrez de moi ce dont vous avez besoin »

-chacun cherche a ssouvir son interet personnel

- echanges -> l’harmonie collective

-les echanges se produisent sur un marché, donc, selon smith, l’efficacité du marché permettra
d’aboutir

a)

Chaque individu est egoiste :

- Un vendeur (offreur) egoiste cherchera forcement a vendre ses produits le plus cher
possible. Or, plusieurs vendeurs
- Un acheteur(demandeur) egoiste cherchera lui, forcément a acheter des produits le moins
cher possible. Or, plusieurs acheterus…

 Main invisible = magie de l’equilibre


 Cette confrontation va generer des negociations et donc un prix d’equilibre qui satisfera a la
fois les offreurs et les demandeurs.
 Les motif egoistes de l’homme, par le jeu de leurs interactions vont conduire au resultat le
plus inattendu : l’harmonie sociale.

b) Le marché a une fonction de regulation


- Les prix en variant a la hausse ou ala baisse -> ajustement des qttés offertes aux qttés
demandées
- Si qttés offertes > qttés demandées -> les prix baissent afin de pouvoir vendre la totalité des
biens.
- Si quantités demmandées > quantités offertes -> les prix augmentent afin que la totalité de la
demande puisse etre satisfaite.
2 / La divisio, du travail

La manufcature d’epingle : un ouvrier aussi adoit soit il, ne pourrait fabriqquer seul, guere plus d’une
epignle par jour.

(productivité= qté/ tps)

On peut alors decomposer ma fabrication d’une epingle en un grand nombre de taches occupant
chacune un ourvrier specialisé dans la realisation de celle-ci

- La division du travail= specialiser chaque ouvirer dans une tahce particuliere


- Specialisation -> d’eviter toute perte de temps lors du passage

3/ l’analyse de la valeur par smith

a) Les origines de la valeur chez smith


- Le prix naturel = cout de prod (K,L,T)
- > le prix naturel est donc un minimum : prix qui va inciter les producteurs a fournir une
marchandise donnée dans une economie concurrentielle.
- Le prix reel = correspond a la quantité de travail que l’on pourra acheter, une fois le produit
vendu
- Le prix nominal = quantité d’argent nécessaire pour obtenir un bien.
 Prix naturel < prix reel < a prix nominal
- A LT, le prix nominal d’un bien tend a osciller autour du prix reel de ce bien, en raison du jeu
de la concurrence.

4/ La question du libe echange et du role de l’etat

-Le libre echange :

Le libre echange est source de benefice pour tous

Cependant, led pays sont par nature inégalement dotés -> ils disposent d’avantages natuels pour
certaines productions et des desavantages pour d’autres ( cclimat, matieres premieres…)

=avantages absolus

 Abandon des production mediocres


TD2

CM2

B / David ricardo (1772-1823) : valeur travail et theorie du commerce international

DR premier a introduire la valeur de travail

1- Les biens reproductibles et non reproductibles

Les biens reproductibles = marchandises produites par l’industrie. Ces biens sont identiques les uns
aux autres, on peut en accroitre ou en réduire la production. La valeur de ces biens est déterminée
par la quantité de travail nécessaire à leur réalisation.

Les biens non reproductibles = objets uniques (œuvre d’art, livres, etc.). La valeur de ces biens est
déterminée par leur rareté

(Dans l’école classique la base c’est la production)

2- Travail direct et indirect

Valeur d’une marchandise = travail qu’elle incorpore

Or, les marchandises sont produites par des hommes (le travail), qui utilisent également des
machines (le capital).

 La valeur d’une marchandise = travail direct + travail indirect incorporé

-Travail direct= les h et f et participent directement a la réalisation de cette marchandise

-Travail indirect = les hommes et femmes qui ont construit les machines utilisées pour la
production de cette marchandise

Pour fabriquer un bien, on utilise machine et main d’œuvre, certains biens nécessitent + de machine
que de main d’œuvre et contraire. Certain nécessitent donc plus de K que de L et son contraire. DR
remaarque qu’il y a de plus en plus de revendiction salarial au 19eme siecle.

A= plus de L que de K

B= plus de K que de L

Si on augmente les salaires, le prix relatif de A va augmenter et devient > au prix relatif de B, les
consommateur vont reduire leur conso de A, le producteur va le voir donc il va augmenter la qtté de
K et baisser la qtté de L car le cout relatif du K est plus bas que L)

3- L’effet RICARDO

Production d’une marchandise = capital (travail indirect) + travail (travail direct).

Pour un producteur, une meme somme d’argent investit dans une machine et dans du travail n’a pas
la meme rentabilité.

 Cette somme rapporte plus lorqu’elle est investie dans du capital (car sur une plus longue
durée)
EFFET RICARDO = hausse des W -> le prix relatif des marchandises change

Le prix des marchandises produites par du capital fixe diminue comparativement au prix des
marchandises produites par du travail (prix relatif)

 L’augmentation des W (donc de la valeur d’un bien) va pousser les propriétaires de moyens
de production à investir dans du capital fixe (machines).

L’objectif d’un producteur etant dd’augmenter ses profits -> il aura interet a avoir plus de capital que
de travail, ricardo explique ainsi la substitution du K au L

C/ John stuart mill (1806-1873) transition vers le neoclassicisme et la justice sociale

1- La loi de l’offre et de la demande

JS Mill a formulé la loi de l’offre et de la demande sous forme d’equation : le marché sera en
equilibre lorsque O=D

En cas de sesquilibre, cad inegalité entre O et D -> la concurrence permettra le retour a l’equilibre.

Si l’offre est > a la demande = le prix baisse

Si la demande est > a l’offre = le prix augmente

2- Le role de la monnaie et de l’epargne


a. Le role de la monnaie
La monnaie a un role negligeable et n’influence pas la valeur des marchandises.

b. Le role de l’epargne

Tout accroissement (accumulation) du capital (cad des machines) -> creation d’emplois.

Augmentation K -> augmentation de la production et augmentation de la consommation (car


augmentation de salaire).

Prealablement a tout ca, pour créer du capital, il faut de l’epargne.

Epargne des menages -> es producteurs peuvent emprunter aux banques.

Y= C + S -> S= Y – C (S = renociation a consommer)

Pour mill, l’epargne est donc un sacrifice necessaire au bon fonctionnement de l’economie.

3- JS MILL un utilitariste liberal mais social


a. Le role de l’Etat

Mill est convaincu de l’utilité du libéralisme, mais il n’en neglige pas moins la dimension sociale.
L’action de l’Etat ne doit pas remplacer l’initiative individuelle, mais elle doit etre pedagogique et
incitative

 L’education est un element clé du progrès economique et social.


b. Une conception particulière de la justice sociale

Mill préfère la loiberté à l’égalité, car l’égalité est un frein à l’esprit de concurrence, donc à la
croissance économique.

Selon lui, si l’homme obtient une situation tolérable (ce serait le cas dans une logique d’egalitarisme)
alors il se laissera aller a la stagnation et il n’y aura plus de croissance economique.

Mill refuse l’assistance au pauvres car cela les met dans une situation de dependance. Il prefere les
inciter a s’associer, car cela les inciterait a en faire plus pour s’en sortir.

II/ L’école française

A/ les physiocrates (1756 – 1777) : une opposition a l’Etat tout puissant

- En grec, Physis = nature et kratos = puissance

Physiocrate = gouvernelent de la nature

FRANCOIS QUESNAY ( 1694-1774), le chef de l’ecole physiocratique

En observant la circulation sanguine -> Economie = vaste corps où circulent les marchadises et les
richesses.

Chaque classe sociale = organes d’un corps humain -> fonction indispensable à l’ensemble.

a. Seule la terre crée de la valeur

Pour les physiocrates, « la terre est mere de tous les biens »

Seule la terre crée de la valeur.

Grains semés => permettent à a celui qui a travaillé de se nourrir

b. Les classes sociales

3 classes fondamentales :

- La classe productive = les agriculteurs => crée plus de valeur qu’elle n’en consomme
(=surplus de valeur
- La classe des propriétaires = souverain, proprio fonciers et collecteurs d’impots. Cette classe
vit du surplus de valeur créé et consomme les biens produits par les autres classes.
- La classe stérile = tous les citoyens occupés à des travaux autres que l’agriculture, notement
les artisans.

 Toutes ces classes sont regroupées au sein d’un circuit : La production est vendue, des
revenues sont générés, répartis et distribués. Ces revenus seront dépensés et stimuleront
une nouvelle production.

c. Le circuit économique

Tout ce qui est consommé par celui qui cultive = subsistance.

Ce qu’il peut vendre = richesse.

- La classe productive va vendre ses marhcandises a la fois a la classe steril (achat de


marcahndises diverses) et aux proprio (paiement des loyers de lanterre)
- Les proprio, vont a leur tour acheter des substituances, a la classe productive et a la classe
sterile
- La classe sterile va egalement acheter des sub

B/ les classiques francais

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