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Contextes et justifications
Ampleur de la concurrence sur les marchés nationaux et internationaux ;
Accélération des changements des organisations et des métiers (technologie) ;
Compétences des salariés considérées comme une source d’avantages concurrentiels ;
Management du changement devenu un des défis majeurs des dirigeants d’entreprise.
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5/ Principaux domaines du MRH
Le MRH comprend deux horizons (management stratégique et management opérationnel) et
deux volets (management des hommes et management des volets). Les responsables des RH
peuvent actuellement se consacrer à des tâches plus stratégiques.
Le manager en RH doit œuvrer à optimiser la compétitivité de leur entreprise :
Il doit maîtriser une double compétence : connaissance du secteur d’activité de
l’entreprise et des organisations ;
Il doit établir un double lien : vertical (entre la Direction et les salariés) et horizontal
(entre les différentes fonctions présentes dans l’entreprise) ;
Il doit être plus ouvert sur l’avenir, plus visionnaire ;
Il intervient sur le plan hiérarchique pour donner des orientations et des conseils sur
les nouvelles politiques à prendre.
PRINCIPAUX DOMAINES DU MRH
DEUX HORIZONS
Management stratégique Management opérationnel
(MT –LT) (CT)
Mobilisation des hommes
Motivation et implication au travail ;
Management
Coaching ;
des hommes Vision, stratégies,
Culture entrepreneuriale ;
objectifs ;
Animation d’équipe ;
Conduite du changement
Négociations et gestion des conflits ;
DEUX
Communication au quotidien
VOLETS
Management instrumental Management instrumental
Choix des structures ;
Description de fonctions ; Pilotage et tableaux de bord ;
Management Gestion Prévisionnelle Entretien annuel d’activité ;
des moyens des emplois, des effectifs Gestion du temps.
et des compétences
(GPEEC) ;
Plan de formation.
MANAGEMENT STRATEGIQUE
C’est la façon dont l’entreprise investit ses ressources humaines pour modifier son avantage
ou stabiliser une situation concurrentielle, en fonction des changements présents ou futurs de
son environnement. L’objectif est d’arriver à prendre des décisions stratégiques.
Décision stratégique
Choix des objectifs à CMLT
Identification des options stratégiques
Elaboration d’un plan stratégique
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Le diagnostic stratégique est une démarche d’analyse qui conduit à l’identification d’une
orientation ou une direction appropriée face à une vision, une politique, des perspectives,
c’est-à-dire un changement souhaité par l’entreprise.
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Diversification.
Question : Comment je vais assurer ma pérennisation, mon développement ?
Pour développer des stratégies RH, il s’agit d’esquisser de nouvelles directions qui aident à
accroître la compétitivité par le management des hommes. Toutes les stratégies RH ont les
mêmes caractéristiques : elles doivent fixer une direction globale, impliquent de multiples
programmes ou activités, concernent de multiples fonctions et doivent s’étaler sur plus
d’année (moyen et long terme).
Exemples de stratégies
Utiliser la formation comme moyen de promouvoir le changement ;
Prévoir les besoins futurs de personnel en se basant sur les missions du personnel et en
projetant les changements sur leur charge de travail ;
Conduire un audit de toutes les activités RH et déterminer lesquelles sont valables,
quelles nouvelles activités sont à développer, quelles autres activités sont à
abandonner ;
Augmenter l’efficacité et la productivité avec l’aide de la technologie.
MISE EN ŒUVRE DE LA STRATEGIE
Stratégies Pistes d’actions Management
Recruter des jeunes ; GPEEC ;
Sensibiliser le départ à la retraite Recrutement ;
Rajeunir les RH anticipée ; Gestion des carrières (plan de
Recourir à l’affectation, au carrière)
redéploiement.
Planifier un recrutement ; GPEEC ;
Disposer des RH Organiser une formation ; Management des
compétents Proposer des orientations. compétences ;
Formation.
Instaurer un système d’appréciation ; Evaluation ;
Accroître la Offrir une rémunération incitative ; Management des
productivité des Développer la motivation ; organisations ;
salariés Promouvoir la coopération. Audit organisationnel ;
Management des hommes.
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Outils d’analyse des emplois et des compétences
On peut trouver : Outils de suivi (Bilan professionnel ou bilan de compétence ou entretien
professionnel) - Analyse de poste – Profil de poste – Emploi-type – Référentiel emploi –
Evaluation de la performance – GPEEC.
Outils de suivi : Bilan professionnel ou Bilan de compétence ou Entretien
professionnel
C’est un outil de gestion individuelle des compétences. Ce support fournit des informations
détaillées concernant chaque travailleur sur les formations, les affectations, les promotions…
durant sa carrière dans l’entreprise. Il permet d’analyser l’évolution des compétences
individuelles afin de définir un projet professionnel dans le cadre de la gestion de carrière de
chaque salarié (formation, promotion, mutation…). Pour le réaliser, on recense, analyse et
évalue ses compétences dans l’entreprise, puis on élabore un projet professionnel, et on valide
celui-ci avant de lui remettre un document écrit.
Le document est appelé « Bilan de compétences» comportant : postes successivement
occupés, date, raisons – compétences nécessaires à chaque poste – mode d’acquisition des
compétences à chaque stade – Evaluation des compétences à chaque stade (aspects positifs et
aspects négatifs) – projet professionnel envisagé – opportunités et contraintes.
Analyse de poste
L’analyse de poste a pour but d’avoir une connaissance précise de chaque poste de travail
dans l’entreprise : mission, activité principale, activité secondaire, rattachement
hiérarchique… Pour ce faire, plusieurs méthodes existent : observation directe, entretien,
évaluation… Le document est appelé « Fiche d’analyse de poste ».
Profil de poste
C’est l’ensemble des qualifications requises pour tenir un poste (formation, expériences,
qualité professionnelle…). Le document est appelé « Fiche de profil de poste ».
Emploi-type
Il a un sens plus large que le poste. Il désigne un regroupement sous un même intitulé de
plusieurs postes suffisamment similaires en termes de contenus d’activités et de compétences
pour être traités de façon globale. Il est souvent connu par simplification par le mot
« emploi ». Il est indispensable de les disposer pour avoir une base de référence en cas de
formation ou de gestion de carrière. Le document est appelé « Fiche d’emploi-type».
Référentiel-emploi
Il représente une liste complète des activités correspondant à chaque emploi-type. Il offre
plusieurs avantages : facilite l’organisation interne des services, clarifie le rôle de chacun,
rend possible des réflexions prospectives (recrutement, formation, redéploiement…).
Evaluation de la performance
L’évaluation de la performance consiste en un ensemble de procédures systématiques
destinées à juger les qualifications, les mérites des membres de l’organisation, la performance
passée et présente ainsi que sur le potentiel futur d’un subordonné en regard de
l’environnement de son travail. Le but ainsi visé consiste éventuellement à augmenter les
responsabilités d’un salarié, voire à lui accorder une promotion.
Le document est appelé « Fiche d’évaluation» comportant : date d’embauche – date
d’occupation du poste actuel – points forts – points faibles au niveau de – points à améliorer –
orientation carrière.
L’évaluation informelle est une évaluation que l’employeur ou son représentant effectue à
tout instant durant lequel le salarié accomplit son travail, et cela sans programme, ni critères,
ni techniques d’évaluation établis officiellement.
L’évaluation formelle se traduit par un programme d’évaluation de la performance établi
officiellement par l’organisation.
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Quand évaluer ?
Les évaluateurs (Intervenants)
Les autres évaluateurs que le supérieur immédiat sont :
le comité d’évaluation : le jugement de plusieurs personnes risque d’être plus
complet que le jugement d’un seul individu ; il est préférable que le supérieur
immédiat fasse partie du comité ;
les pairs ou collègues de travail : l’évalué a un comportement plus naturel avec ses
pairs qu’avec ses supérieurs. Les pairs peuvent porter plusieurs jugements différents et
complémentaires sur l’évalué ;
l’auto-évaluation : le salarié fait lui-même son évaluation, il est le mieux placé pour
rendre compte de sa performance et pour identifier ses forces et ses faiblesses ;
les subordonnés : cette évaluation permet aux cadres de savoir comment ils sont
perçus par leurs subordonnés et les rendent plus conscients de leurs comportements à
leur égard.
OBJECTIFS DE L’EVALUATION DE LA PERFORMANCE
A l’avantage du salarié A l’avantage de l’employeur
Faire savoir au salarié comment il peut Etablir une base pour la recherche et la construction de
progresser dans l’organisation. programmes en GRH afin de rendre les RH plus
efficaces.
Servir à justifier les décisions de transferts, de
Permettre au salarié de s’ajuster à son
suspensions, de licenciements, de rétrogradations et
travail.
d’attributions de statut permanent.
Accroître le sens de la responsabilité du Favoriser la promotion et l’augmentation des salaires
salarié. fondée sur les résultats de l’évaluation.
Permettre au salarié d’obtenir une Connaître l’efficacité des RH et les besoins en matière de
rétroaction au sujet de la façon dont il divers programmes de formation et de perfectionnement.
s’acquitte de son travail.
Intégrer les besoins du salarié et les Identifier les salariés les plus performants afin de les
buts de l’organisation. récompenser plus justement.
Aider la Direction Générale à se procurer des éléments
Faire l’inventaire des points forts et
nécessaires pour juger de l’équité, du séreux ou de
faibles du salarié par rapport à la
l’indulgence à partir desquels les supérieurs immédiats
fonction qu’il exerce.
évaluent leurs subordonnés.
Permettre à chaque subordonné d’être Vérifier la qualité du développement et de la sélection, de
au courant de ce que son supérieur l’analyse et de l’évaluation des emplois.
immédiat pense de lui.
Déceler les besoins individuels et Assurer à l’organisation la main d’œuvre compétente qui
identifier les services nécessitant une lui permettra de faire face à la concurrence dans son
aide spécifique. secteur d’activité.
Fournir un outil au salarié pour l’aider à Fournir la possibilité à l’organisation de vérifier
s’améliorer lui-même. l’efficacité du processus établi en évaluation des RH.
Notifier à certains salariés qu’ils Valider toute la procédure de sélection.
doivent absolument faire mieux.
Fournir l’occasion de créer une
communication entre les supérieurs et
les subordonnés.
Permettre de découvrir les éléments qui
affectent le salarié et qui nuisent à un
rendement satisfaisant.
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FORMULAIRE D’EVALUATION DE LA PERFORMANCE
Consigne : Pour chaque sous-critère, effectuer un choix de 1 à 6. Légende : 1= exceptionnel / 2=excellent /
3=très bon / 4=bon / 5=amélioration nécessaire / 6=insatisfaisant
Identification
Nom __________________ Matricule du salarié : ___ Titre du poste : ______Service : ________________
Préparé par (notateur) : __________ Titre du poste : ___________
Période ouverte par l’évaluation : _______ Date : ______________
Sous-
Critères Sous-critères 1 2 3 4 5 6
total
Rendement par rapport aux exigences du poste
Quantité de
Productivité en volume
travail
Efforts soutenus
Précision et fiabilité du travail fourni
Qualité de
Qualité du travail
travail
Minutie et soin apporté au travail
Prend de l’initiative
Initiative Entreprend d’autres travaux une fois le sien fini
Travaille avec un minimum de supervision
Organisation Capacité d’organiser son travail
Autonomie Degré d’autonomie
Organise le travail des autres au besoin
Aptitudes à Conseille et entraîne ses collègues au besoin
diriger Fait preuve de qualité de chef
Les autres lui demandent volontiers conseil et aide
Arrive à l’heure ou même avant
Respecte l’heure des repas et de sa pause-café
Ponctualité
Quitte toujours à l’heure
Ne bavarde pas au travail sur ses affaires personnelles
Possède des connaissances pour accomplir son travail
Connaissanc Se tient au courant des changements
e du travail Comprend et applique ses connaissances
Capable d’assimiler de nouvelles connaissances
Juge avec justesse
Jugement et
Est capable de prendre des décisions
exécution du
Suit les instructions
travail
Respecte les échéances et les délais
Collabore avec ses collègues
Coopération Collabore avec la direction
et Coopère en périodes occupées et exceptionnelles
adaptabilité Maîtrise ses émotions
S’adapte à des conditions nouvelles et en évolution
Tenue propre et soignée
Conduite
Comportement et langage convenant au milieu de travail
Suggère des changements et des améliorations
Ingéniosité Trouve les renseignements et l’aide nécessaire au besoin
Organise son temps de façon efficace et productive.
Evaluation globale
37 à 49 Exceptionnel Promotion possible Total
50 à 79 Excellent Formation
80 à 129 Très bon Licenciement possible
130 à 179 Amélioration nécessaire
180 à 222 Insatisfaisant
Signature de l’évalué : ____________________ Signature du chef de service _____________
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Quoi évaluer ? Ses traits de personnalité, ses comportements, son niveau d’atteinte
d’objectifs fixés. En principe, l’évaluation doit porter sur les points forts et faibles de
l’individu et sur l’ensemble de sa performance.
LA MOTIVATION
« Motivation » est le terme général employé pour désigner l’ensemble des impulsions, des
désirs, des besoins, des préférences et autres concepts similaires qui incitent une personne à
agir. La théorie du psychologue Abraham MASLOW est l’une des théories de la motivation
les plus connues : la hiérarchie des besoins.
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1. Besoins physiologiques : ce sont les besoins fondamentaux de survie : eau, chaleur,
abri, primes, vacances, pause, paie, sommeil et satisfaction sexuelle. MASLOW
affirme que si ces besoins ne sont pas satisfaits, les autres besoins ne se manifesteront
pas.
2. Besoins de sécurité : ce sont les besoins d’être à l’abri des dangers physiques et de la
crainte de perdre son emploi ou d’être privé de nourriture ou de toit, régime
d’assurance, ancienneté.
3. Besoins sociaux : affiliation ou acceptation, clubs, activités extra. Les hommes ont
besoin d’appartenir à un ou plusieurs groupes et de sentir qu’ils sont acceptés des
autres.
4. Besoins d’estime : aussitôt que les hommes commencent à satisfaire leurs besoins
d’appartenance, ils viseront l’estime de soi. Ce type de besoins est satisfait par
l’acquisition du pouvoir, du prestige, des titres, de la reconnaissance, des éloges, de
distinctions hommages, du statut et de la confiance en soi.
5. Besoin de réalisation : ce besoin se situe au sommet de la hiérarchie. C’est la volonté
de se réaliser, d’utiliser tout son potentiel et d’accomplir quelque chose, de créativité,
d’innovation, d’autonomie, d’enrichissement des tâches.
Les études portant sur la hiérarchie des besoins de MASLOW soulèvent que si les besoins
fondamentaux sont complètement satisfaits, cela peut avoir une influence importante sur la
motivation. Les besoins varient d’une personne à l’autre. Des recherches ont prouvé que
même l’employé le plus humble a des besoins d’estime et d’autoréalisation. Un cadre
inférieur, par exemple, sera très fier de posséder son propre bureau, même s’il est petit et
modeste, tandis qu’un cadre supérieur ne se contentera de rien de moins qu’un grand bureau
bien meublé.
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Après avoir étudié toutes les théories de motivation, il nous est permis de nous demander de
quelle utilité elles peuvent être pour les gestionnaires. Quels sont les principales techniques et
les moyens de motivation qu’un dirigeant peut utiliser ? Il ne suffit pas de recruter les plus
motivés, mais aussi de gérer leur motivation. La gestion de motivation est une partie
importante du MRH. Même si la motivation est à ce point complexe, particulière à chaque
individu et qu’il ne peut y exister de réponse parfaite, il est quand même possible de définir
quelques unes des techniques de motivation importantes :
1. l’argent ;
2. le renforcement positif ;
3. les critiques efficaces ;
4. la participation,
5. l’enrichissement du travail ;
6. l’efficacité de l’enrichissement des tâches ;
7. la gestion par les objectifs ;
8. les horaires flexibles ;
9. le zéro défaut ;
10. la récompense.
Entre autres, il y a d’autres facteurs de motivation comme : ambiance de travail, les
avantages sociaux, les sanctions positives, les heures supplémentaires…
GESTION DE CHANGEMENT
Pourquoi une entreprise peut être amenée à se réorganiser ?
L’environnement du succès de demain est nécessairement différent de
l’environnement actuel ;
Pour réussir demain, l’entreprise doit accepter de changer de façon significative, voir
radicale ;
Conduire le changement, c’est exploiter le présent tout en préparant un avenir très
différent et faire un lien entre les changements perçus dans l’environnement et ceux
réalisés dans l’entreprise.
Pour comprendre le changement organisationnel, nous en abordons successivement les
sources, les étapes, les forces en présence ; puis, nous présentons les typologies de
changement, son acceptation, la résistance au changement et les modalités de son pilotage.
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Kurt LEWIN propose de décrire le processus de changement en trois (3) étapes :
Le dégel correspond à la prise de conscience par les acteurs de l’entreprise (dirigeants,
actionnaires…) de la nécessité de changer. C’est une phase de maturation.
Le mouvement traduit la mise en œuvre du changement au sein de l’entreprise et se
caractérise par une instabilité forte intermédiaire entre deux phases de stabilité. Cette
phase constitue une rupture, un déracinement par rapport à la situation précédente.
Le regel marque l’ancrage du changement au plan du fonctionnement quotidien de
l’entreprise, le retour à une nouvelle situation stable et à son enracinement.
La phase d’enracinement est la plus délicate car elle nécessite de transformer en routines les
nouveaux modes de fonctionnement de l’entreprise concernée. Or, si l’attention de la
Direction est naturellement portée sur les deux premières phases, la dernière est bien souvent
oubliée.
Mineure Correction
Rapide
Progressif
Adaptation
Rythme du changement
L’acceptation du changement
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Pour comprendre l’acceptation du changement au sein d’une entreprise, il faut à la fois
analyser les freins au changement sur un plan général et plus spécifiquement, ce que l’on
appelle les résistances au changement. Concernant l’analyse des résistances au changement,
le sociologue français M. CROZIER a montré que les phénomènes de résistance au
changement n’avaient rien de pathologique, qu’ils étaient normaux.
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