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introduction

BIOGRAPHIE DE Poullain De la Barre à vous de faire une recherche

Situation de l’extrait

Après avoir démontré que les femmes sont aptes à exercer des métiers considérés comme masculin, il
s’attaque dans cet extrait au plus fort des préjuges. Les femmes et leur place dans le domaine militaire.

Problématique : Comment le lecteur déconstruit-il un préjugé qui stipule que les femmes ne peuvent
pas être générales D’armée.

Mouvement

MVT1 : du début ….. +e voir » PDB renverse les stéréotypes sur la femme

MVT 2 : L 5 a 11 : Art militaire a la portee des femmes

Mvt 3 : Ligne 12 a la fin : Eloge des femmes guerrieres.


Analyse

MVT 1

Phrase 1

Apres avoir parler de plusieurs fonction que les femmes pourraient occupées, il évoqué celle qui est la plus
polémique et les plus improbable au 18es « Elles peuvent être générales d’armée ».

Dans la seconde ligne il déploie une phrase de 3 à 4 lignes dans lesquelles il s’affirme en donnant son opinion et sa
vision personnelle « pour moi », sous entendant ainsi que la majorité pense que les femmes ne peuvent pas
prétendre à ce métier.

Champ lexical du pouvoir lorsqu ‘il évoque « casque, couronne, guerrière, présider » les femmes peuvent mener et
être au pouvoir et prendre des décisions.

Utilisation du conditionnel dans « serais » qui évoque ici la possibilité réalisable que les femmes puissent exercer
ce métier. Ceci est corroborer par la juxtaposition de groupes verbaux à l infinitif « présider, exercer, ranger,
partager » ce sont des verbes d’actions qui servent à montrer que la femme est capable d’autorité et
décisionnaire. Le rythme de la phrase lui-même mime cette endurance et les capacités de la femme à maitriser
tout cela.

Présence d’un vocabulaire Militaire « soldat, armée en bataille, corps » , P de la Barre emploie explicitement ce
vocabulaire réserver au monde masculin en les attribuant à la femme pour écarter les préjuges sur la douceur et la
sensibilité de la femme qui l’empêcherait d’être militaire.

Pour P de la Barre les femmes réussiraient brillamment dans ce métier qui serait facile pour elle et qu’elle
maitriserait au point de se divertir « elle se divertirait à le voir faire ».

Le premier mouvement commence déjà à ébranler les stéréotypes.


MVT2

A la ligne 5 il développe son deuxième argument qui invite à relativiser la suprématie de l’Art militaire par rapport
aux autres. La négation restrictive « il n’a rien » le met au même niveau que les autres, il n’a rien d’exceptionnel »
pour que les femmes ne puissent pas l’exercer au même titre que les autres arts. P De la Barre va même le
désacraliser dans la phrase déclarative « art militaire qui n’a rien par-dessus les autres ».

Il continue son raisonnement en utilisant une concessive « sinon qu’il est plus rude et qu’il fait plus de bruit » qu’
il souligne par un adv. d’intensité « plus » répète 3 fois cette concessive fait office de réponse voire d’une
objection a ceux qui prétendrait que c’est un art difficile pour les femmes vu sa sensibilité. Cela ne serait pas un
obstacle à l’exercice de cette fonction car selon lui « les yeux suffisent » qui est une restriction lexicale. Les
« yeux » sont une synecdoque qui ferait allusion à la tête et au cerveau de l’être humain. On assiste ici à la Volonté
de B de banaliser ce métier qui se résumerait a de l’observation de « cartes ». Dédramatisation, stratégie
argumentative qui fait appel à la logique mise en place par B.

Redéploiement du lexique de guerre « il n’y a de guerre … » ici De la B met l’accent sur l’esprit stratège et non pas
sur la force physique » d’où l’emploi d’expression et de verbe qui nécessite réflexion « préalable, occuper, régler,
inventer, ruses, dessein ». Approche didactique pour déjouer les préjugés.

MVT 3

Poulain de la B se laisse emporte une tonalité différente apparait. Il fait l’éloge des femmes guerrières. Le
démonstratif « cela » reprend toute la démonstration précédente qui conclut le passage précèdent.

« une femme » indéfini généraliser a toute les femmes elles sont toutes capables. Cela revalorise la femme et la
met en avant chose qu’elles n’avaient pas l’habitude de recevoir.

P de la Barre est enthousiaste exagère il utilise des verbes qui mettent en avant leur courage « mettre, attirer
dans une embuscade, livrer bataille » mais qui font toutefois l’éloge de la femme.

Il envisage la femme allant au combat et se comportant comme une Cheffe « livrer une bataille » Dirigeant ses
troupes de soldat soulignes pare le possessif « ses soldats ».

La dernière phrase du texte est à prendre dans deux sens « persuasion et la passion » la volonté de B de persuader
l’opinion publique.

« Les femmes ne témoignent pas moins d’ardeur et de résolution « litote la femme témoigne autant d’ardeur et de
résolution que les hommes.

« lorsqu’il y a de l’honneur, qu’il en faut… » Proposition subordonne de temps les femmes ont les qualités requises
qui se doivent chez les soldats : l’honneur.

Les deux dernier verba a l infinitif « attaquer et défendre » clôture le texte, la femme est une héroïne douée
d’intelligence et de courage autant que les hommes.

Conclusion

Poulain Barre utilise une stratégie argumentative pour convaincre que la femme peut être générales d’armée. Il
énumère les qualités requises dont elle dispose pour exercer ce métier comme l’intelligence et le courage au
même titre que l’homme. Il désacralise, banalise et dédramatise l’art de la guerre afin de montrer qu’il est a la
portee de la femme.

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