Vous êtes sur la page 1sur 11

INTRODUCTION : (Pas encore saisie)

Beaucoup de bonnes idées mais ton travail souffre d’un sérieux


problème de méthodologie. Quel est le plan que vous suivez ??? Quel
est votre thématique ??? J’ai même du mal à te proposer un plan en
bonne et due forme, puisque je ne connais pas le thème de ton
travail.

Je vous suggère :

Introduction

1. Détermination de sens terminologique ( qui n’est autre que la


clarification conceptuelle).
2. La conception du bonheur chez les antiques
a. Socrate
b. Platon
c. Aristote
d. Le stoïcisme
e. L’épicurisme

CHAPITRE I : QUESTION DU BONHEUR

Etymologie
D’après l’approximation étymologique du concept bonheur, celui-ci dérive de deux
mots latins, « bonum » et « augurum », qui se sont lentement transformés en « bon eűr »
en ancien français. Le concept latin Bonum signifie « bon », « positif » ou encore
« favorable ». Et Augurum est celui qui observe et interprète les auspices, qui devient
L’« heur » en français, désignant le fait d’un hasard, d’une chance.

A cet effet, ce dernier renvoi donc à l’idée d’un état de contentement non seulement
durable, permanent, mais pouvant aller croissant. Ainsi, un inversement peut se faire
remarquer dans la mesure ou le malheur pourrait intervenir et être vu comme une carence
de chance et donc un manque de contentement.

Conception du bonheur chez Aristote

La question du bonheur chez Aristote traverse totalement une bonne partie de son
œuvre, Ethique à Nicomaque1. Cette dernière est composée de dix livres notés en chiffre
romains dont le premier Tome lance la problématique du bonheur qui se fait répondre au
troisième Tome avec l’idée selon laquelle : Le bonheur est une fin qui que poursuit tout
homme, mieux le bien suprême. En effet, dans ce fameux ouvrage d’Aristote, ce dernier au
tout début clarifie une problématique en voulant montrer plusieurs thèmes qui font son
intégralité dont la politique, hiérarchie des biens dans la mesure ou tout homme le poursuit(
c’est vague cette idée..

Mais dans cette hiérarchie d’Aristote, le bien est tantôt noble notamment celui de la
table et de la maison qui sont profitable pour l’homme. Vous n’avez pas lu Aristote. Pour lui,
le bien le plus suprême c’est le Bonheur. A cet effet, le bonheur d’après Aristote est une
chose qui vient couronner la vertu c’est-à-dire c’est l’exercice de la pratique dans la vie
raisonnable à laquelle la vertu nous dispose. Le bonheur devient quelque chose qui est de
loin plus noble que le bien qui n’est juste que périssable ou encore quelque chose que l’on
peut perdre en clin d’œil. Ainsi, le bonheur se tient de loin plus grand que le bien. En guise
de cela, dans l’Ethique à Nicomaque Aristote nous dit que le bien reste toujours inactif et le

1
Nicomaque : Prénom du Père et du Fils ainé d’Aristote est l’un des livres pour lesquels un
murissement personnel est requis avant d’en entreprendre la découverte.
bonheur, un souverain bien c’est-à-dire le bien ultime celui qu’on recherche pour lui-même
et non en vue d’un autre bien.2 Tout à fait.

Cependant pour Aristote, le bonheur ne peut qu’être recherché pour lui-même et


non en vue d’une autre chose. Donc, pour découvrir quel est le bonheur de l’homme, il faut
s’interroger sur la nature et la fonction spécifique de l’être humain. Notamment, en se
posant plusieurs questions dont celle de savoir : la fin ultime de l’homme. Or si l’on compare
l’être humain aux autres êtres vivants, l’on constate que ce qui fait sa nature spécifique est
qu’il est doué de raison. de mener la vie active de l’être doué de raison. Mais Aristote ne se
limite pas là, et constate qu’il est possible de distinguer en trois (3) grandes façons
d’entendre le bonheur, selon le type de vie que l’on mène dont : une vie matérialiste, une
politique ou une vie intellectuelle.3

Conception du bonheur chez le commun des mortels qui est-ce le commun


des mortels ?

Le commun des mortels mauvais expression loin d’une conception rejoignant celle
d’Aristote, ceux-ci considèrent le bonheur comme étant un plaisir sensible et limité, qui ne
serait que celui d’un cardeur ou d’un temps, voulant rendre à l’homme dans la mesure du
possible le sourire. En effet, dans cette perspective d’idée que Taha-hassine FERHAT affirme
ce qui suit : « Le bonheur, ce sont tous les instants de la vie où l’homme oublie ses malheurs
passés, présents ou à venir. »4 A cet effet, ces derniers limiteront le bonheur à un simple
plaisir, une richesse, une gloire, un honneur, une vertu et une contemplation des biens de la
nature et seront très loin d’adopter cette vision d’un bien suprême chez Aristote. Pour ce
faire, le commun des mortels pense que le bonheur sur la conformité à la raison et la vertu
comme soulignée préjudice.

2
René Antoine Gauthier et Jean Yves Jolf., Ethique à Nicomaque, Publication Universitaires 2,
place Mgr LADEUZE. Louvain, 1970. 24p.
3
Ibid., p.26.
4
Http://WWW.WIKIPEDIA/ citations sur le bonheur avec Taha-Hassine. Consulté le
30/12/2023 à 15h30
Cependant, oubliant très souvent que la vertu ne suffit pas au bonheur, Car le
bonheur exige en effet un corps en bonne santé, des biens extérieures et une élévation vers
le bien suprême. Ainsi-dit, certains autres courants aussi tenteront de définir ou apporter
leur vision sur le bonheur contrairement à la pensée d’Aristote parmi lesquels nous avons :
Stoïcisme, Epicurisme et Scepticisme.

CHAPITRE II : VISION DU BONHEUR CHEZ LES POST-SOCRATIQUE

Après l’ère Platon et Aristote dans la pensée philosophique, les disciples qui continuèrent à
enseigner au lycée (Ecole d’Aristote) et à l’Académie (Ecole de Platon) non pas su
approfondir la haute doctrine métaphysique héritée de leur maitre. Cette doctrine n’est,
cependant, pas privée des valeurs philosophiques, car elle a un second caractère celui de la
transition. Ces philosophes sont appelés des post-socratiques et sont inspirés par les petits
socratiques dont : les Cyniques, les Cyrénaïques et les Mégariques. Parmi les petits
socratiques nous avons le Stoïcisme, l’Epicurisme et le Scepticisme qui tenteront aussi
d’étaler une élucidation sur le bonheur.

Stoïcisme sur le bonheur :

Cette Ecole philosophique fondée par Zénon de Citium 5 est reconnue d’un caractère
noble. Sur la question du bonheur, elle enseigne que pour l’atteindre, l’homme doit mener
une vie raisonnable qui consiste à la domination des passions et la conformité aux lois de la
nature. En effet, d’après leur maxime qui est celui de vivre conformément à la nature l’on
atteint la sagesse ou le bonheur que quand il respecte cette dernière, et cette sagesse se
trouve dans le bien. Cette doctrine est subdivisée en trois sortes de Stoïcismes dont : Le
5
Zénon de Citium : Né vers 334 av. J.C et mort en 262, est un philosophe grec d’origine
phénicienne, fondateur en 301 de Stoïcisme. Il est originaire de Kition (ou Citium en latin),
actuelle Larnaca, le foyer principal de la colonisation phénicienne à Chypre. Sa doctrine a
ceci de nouveau qu’elle joint deux traditions jusqu’alors séparées, à savoir la théorie de la
sagesse et la physique : Zénon tente de concilier les thèses naturalistes Académiciens
successeurs de Platon avec la théorie cynique de la sagesse, et pose ainsi les bases d’un
système matérialistes, moniste et déterministe dont le rayonnement est considérable.
Stoïcisme ancien avec représentant Zénon, Cléanthe et Chrysippe. Et ensuite, le Moyen
Stoïcisme qui est celui de la Transition avec Panétios de Rhodes. Et enfin, le nouveau
stoïcisme avec Marc Aurèle, Epictète et Sénèque.

Mais, notre attention se stagne sur l’ancien stoïcisme qui se préoccupe sur l’inspection
anthropologique en se penchant au profil du sage. A cela, nous répondons que c’est celui
qui vit en respectant la nature pour mieux vivre.

Epicurisme sur le bonheur :

C’est une doctrine et aussi une école philosophique fondée par Epicure 6 et
représentée par Lucrèce. Sur la question du bonheur comme ces prédécesseurs, elle
enseigne que l’homme doit rechercher le bonheur dans les plaisirs sensibles. En effet, pour
trouver ce bonheur, l’homme doit vouloir le bien de tous, car le plaisir est commun aux
hommes et aux animaux7. De cette école il faut retenir que : Le plaisir est le souverain bien,
c’est le bien suprême, dans la mesure ou le plaisir et le bonheur vont ensemble. A cela il
affirme que : « Le plaisir est le principe et la fin de la vie heureuse ».8 Car, c’est un sentiment
ou une sensation de bien-être qu’on éprouve. A cet effet, Epicure exige une sage
modération dans la recherche du plaisir. Et pour lui, le plaisir est un moyen d’accéder au
bonheur et il enseigne que le plaisir est le bien suprême et face à ce plaisir il nous parle de
trois verbes dont : Favoriser, Admettre et Fuir.

Scepticisme sur le bonheur : la notion du bonheur chez les sceptiques

6
Epicure : Né à la fin de l’année 342 av. J-C ou au début de l’année 341 av. J-C et mort en
270 av. J-C., de l’épicurisme l’une des plus importantes écoles philosophiques de l’Antiquité.
Cette école a parfois été appelée Jardin en raison du lieu, hors des murs d’Athènes, où il
vivait avec sa famille et ses amis-disciples qui comprenaient, fait assez rare à l’époque, des
femmes et des esclaves, à partir des années 306-307 av. J-C.
7
Cf cours d’Introduction à la philosophie 2023-2024
8
Epicurea, H. Usener, Leipzig, 1887, c’est l’édition de référence, en grec à Ménécée, P.129.
Le scepticisme est une doctrine fondée par Pyrrhon d’Elis 9. Elle enseigne que pour
atteindre le bonheur, il faut philosopher en pratiquant le doute éternel en vue de la
suspension du jugement, car l’homme ne peut pas atteindre la vérité. En effet, pour cette
doctrine le doute est primordial dans l’activité philosophique dans la mesure où l’on doute
sans apporter une solution. C’est à lors que l’on parle du doute sceptique qui se diffère du
doute cartésien de Descartes qui doute en faisant un dépassement et en apportant une
solution. Dans le sens courant de cette doctrine, le sceptique est celui qui refuse l’adhésion à
des croyances généralement admises. Il se contente de voir et refuse de juger, d’affirmer ou
de nier l’existence d’objet correspondant à ces représentations.

A cet effet, le scepticisme contredit le dogmatisme. C’est ainsi que Timon rapporte la
définition du scepticisme qui selon lui est un « indifférentisme généralisé » en affirmant
que : « Rien n’est plutôt ainsi ou que l’un ni l’autre ». Le bonheur pour eux comme les
stoïciens on l’atteint dans l’Ataraxie10.

CHAPITRE III : FINALITE DU BONHEUR

Bonheur comme fin ultime de nos activités :

A la lumière de ce qui précède la fin du bonheur dans les activités courantes de


l’homme ; c’est qu’on cherche pour notre propre bien et non autre bien extérieur. En effet,
la fin ultime de l’homme, ce qui consiste son essence spécifique, est l’activité rationnelle

9
Pyrrhon d’Elis : Né vers 365-275 av. J-C est un philosophe Sceptique originaire d’Elis, ville
provinciale du nord-ouest du Péloponnèse. Son activité philosophique se situe vers 320 av J-
C., avec, pour disciples, Onésicrite, Philon d’Athènes et Timon de Philonte (à ne pas
confondre avec Timon d’Athènes), un brillant poète-philosophe qui vécut dans sa familiarité
pendant vingt ans et l’on en a appelé le pyrrhonisme.
10
Ataraxie : Ce mot apparait d’abord chez Démocrite et désigne la tranquillité de l’âme ou
encore la paix de cette dernière résultant de la modération et de l’harmonie de l’existence.
L’ataraxie devient ensuite le principe du bonheur (eudaimonia) dans le stoïcisme, Epicurisme
et le scepticisme. Elle provient d’un état de profonde quiétude, découlant de l’absence de
tout trouble ou douleur. http://WWW.wikitionnaire/ Ataraxie.fr consulté le 13/01/2024 à
22h00.
dans la mesure ou Aristote signifie que le bonheur n’est pas un état stable et passif ou
l’activité de penser serait suffisante pour apporter le bonheur11.

Au contraire, le bonheur est l’action, activation permanente de la fonction propre de


l’individu. Le bonheur survient quand on agit selon la raison. Agir selon la raison, c’est donc
agir de façon raisonnée, selon un certain nombre de principes et de valeurs. Ainsi, l’homme
conscient de cette réalité se pose certaines questions dont de savoir : En vue de quoi j’agis ?
Quelle est la raison pour laquelle je pose cette action ? Nous nous apercevons que ces
questions relèvent d’ordre éthique tout comme dans les trois dimensions kantiennes
d’Emmanuel Kant dans la mesure où elles surgissent de la rencontre avec autrui et manifeste
l’effort d’un sujet humain qui veut élucider jusqu’au bout le sens de ses actes. L’homme
s’interroge sur ce qu’il doit faire et sur la valeur de son agir12.

Différence entre bonheur et plaisir :

Plusieurs réflexions ont été portée sur ces deux concepts philosophiques dont le
bonheur et le plaisir. Ce vouloir de distinguer le bonheur au plaisir naquit l’hors d’un débat
scientifique dans l’académie avec Speusippe, son neveu, dans le livre de Philipe et Aristote
dit expressément ici même que « Speusippe lui-même n’oserait dire que le plaisir est le mal
dans son essence même. Si l’on avoue comme il faut le faire, que c’est bien de Speusippe
que parle ici Aristote, on aboutit à une contradiction, puisque, d’après la théorie qu’on lui
prête, Speusippe aurait dit précisément ce que Aristote dit qu’il n’aurait pas osé dire, à
savoir que le plaisir est un mal. »13Aristote nous dit qu’il ne saurait identifier le plaisir au
bonheur car nous trouvons plusieurs sortes de plaisirs. Il affirme que : « La vertu n’est pas le
souverain bien, le bonheur ne saurait consister dans une simple aptitude ou disposition, si
excellente soit-elle ; Il suppose, l’exercice de cette fonction excellente. »14 En effet, le plaisir
pour Aristote est quelque chose essentiellement indéterminé, oscillant entre le plus et le
moins et pourtant le bonheur est la détermination du juste mesure.

11
Ibid., p.27.
12
Cf cours de philosophie Antique année propédeutique 2023-2023.
13
Ibid., p.801. Tome II
14
Joseph Moreau., Aristote et son Ecole, Presses Universitaires de France, 218p.
Mais cette détermination est quelque chose qui est sans mélange comme la joie du sage.
En guise de cela, le bonheur est quelque chose de parfait, d’achevé par rapport au plaisir qui
est toujours à l’état d’inachèvement et dont le devenir est ignoré a-t-il dit. A cet effet, le
plaisir a similitude avec le bien, qui, vu sous autre ongle comme étant quelque chose de
temporaire et que le bien est parmi les constitutions du plaisir.

Différence entre bonheur et vertu :

Dans le même vouloir d’établir une différence de ces deux concepts que va
s’engendrer un débat entre maitre et élève en illustrant Aristote et Platon, le maitre de
celui-ci pour qui la vertu est la contemplation du monde des idées 15. En effet, Aristote
poussera toujours ses justifications dans le but de faire comprendre et différencier pour
exposer son point de vue en disant que la vertu de la contemplation est une chose qui est
loin de la conception de l’être mais plutôt la contemplation et la sagesse est exclusivement
réservée aux dieux, c’est une condition presque surhumaine16.

A cet effet, Aristote exclut le fait que la vertu soit un bien suprême pas plus que le
bonheur car dit-il que : « Le souverain bien, le bonheur, ne consiste pas proprement dans la
vertu, amis dans l’exercice de la vertu, dans la vie raisonnable, à laquelle la vertu nous
dispose ; l’âme humaine trouve dans la pratique des vertus, dans l’exercice de ses facultés
raisonnables, sa satisfaction la plus haute ; l’activité vertueuse porte en elle-même son
prix.»17 Insistant à vouloir faire comprendre, Aristote ne sépare pas n’en plus le bonheur au
plaisir dans la mesure où ce dernier s’identifie toujours au bonheur dans la mesure où
Aristote affirme : « A la vertu elle-même, il manque quelque pour être la fin dernière ; on
peut supposer, en effet, que celui qui la possède dorme ou reste dans l’inaction toute sa vie
durant… Or nul ne voudrait passer ainsi sa vie à dormir, à la façon d’Endymion ; il serait
paradoxal de trouver là le bonheur… De même qu’aux Jeux Olympiques, ce ne sont les plus
beaux et les plus forts qui sont couronnés, mais ceux qui combattent…, de même, dans la
vie, ce sont ceux qui agissent bien qui remportent les honneurs et les prix. » 18 Aristote, lui,

15
Ibid., p.850. Tome II
16
Ibid., p.851. Tome II
17
Ethique à Nicomaque., 5, I095 b 3I-33 ; 8, I009 a 3-7 cité par Joseph Moreau., Aristote et
son Ecole, Presses universitaires de France, 219p.
18
Ibid., I 9, I099 a I3-I6 cité par Joseph Moreau., Aristote et son Ecole, Presses Universitaires
de France, 219p.
soulèvera encore une notion qui fera appel à la sagesse en disant que la vertu : « Un état
habituel qui dirige la décision, consistant en un juste milieu relatif à nous, dont la norme est
la règle morale, c’est-à-dire celle-là même que lui donnerait le sage. »19

Ainsi-dit, les hommes se posent plusieurs pour trouver un moyen pour l’atteindre.

Moyen pour atteindre le bonheur :

Le bonheur que veut atteindre les hommes, est un bien le plus désirable de tous.

(PAS ENCORE SAISIE)

Ce qui nous a réjouis dans ce travail :

Ce travail scientifique et philosophique portant sur le bonheur selon Aristote a été


une grande joie pour nous de l’avoir traité car le bonheur depuis l’antiquité a été l’idéal des
plusieurs recherches humaines et philosophes comme il a été dit supra dans l’introduction.
En effet, nous nous réjouissons d’avoir puisé de la source scientifique qui est la bibliothèque,
une idée propice du savoir Aristotélicien et de certains courants philosophiques abordant
sur ce sujet du bonheur. Mais aussi, comme le but de tout travail scientifique, nous nous
réjouissons d’avoir saisi de cette opportunité pour maitriser un point de cette doctrine
philosophique d’Aristote plus particulièrement encore le bonheur.

Difficultés dans le travail :

Dans toute réalisation d’un travail scientifique, les difficultés ne sauront être
épargnées. En effet, dans celui portant sur le bonheur chez Aristote nous nous sommes
confrontés à un manque d’ouvrage à l’enceintre de la bibliothèque du séminaire de Mayidi
sur le fameux livre d’Ethique à Nicomaque qui normalement est composé de dix ouvrages

19
Ibid., p.435. Tome II
écrit en chiffres romain. Mais malheureusement que quatre d’entre elles dont le premier et
deuxième tome.

CONCLUSION OU APPORT

Au bout de ce travail scientifique et philosophique, Il sied de rappeler qu’il n’a pas


apporté attention à un seul point dont celui de dévoiler la conception du bonheur chez
Aristote mais aussi sur plusieurs autres pensées comme les Stoïciens, Epicurisme et
Scepticisme. Mais toutes ces réflexions ne font pas l’unanimité des philosophes. Car pour
certains comme Aristote, le bonheur est le bien suprême ; Et d’autres comme les
présocratiques limitent le bonheur à un plaisir sensible.

Cependant, nous avons compris que le bonheur est parmi les primordialités
recherchées par tous les hommes.
BIBLIOGRAPHIE

OUVRAGE DE BASE

1. René Antoine Gauthier et Jean Yves Jolf., Ethique à Nicomaque, Publications


Universitaires 2, place Mgr LADEUZE, Louvain, 1970, Tome I et II, p. 24-851.

AUTRES OUVRAGES

2. Joseph Moreau., Aristote et Son Ecole, Presses universitaires de France, 1962, p.218-
226.

3. Epicurea, H. Usener, Leipzig, 1887, c’est l’édition de référence, en grec à Ménécée,


P.129.
4. André Comte Sponville

DICTIONNAIRES

5. NNNN

WEBOGRAPHIE

6. Http/ W.W.W. Wikipédia. Com.

Vous aimerez peut-être aussi