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DU HAUT KATANGA
Septembre 2023
UNIVERSITÉ PROTESTANTE DE LUBUMBASHI
FACULTÉ DES SCIENCES ECONOMIQUES ET MANAGEMENT
FILIERE FINANCE ET BANQUE
DU HAUT KATANGA
Tout homme doit sa contribution à la société. Son travail, sin revenu, son patrimoine doivent
supporter une part de l’impôt
A notre père tout puissant qui par sa grâce nous a donné la vie qui est la source de
ce que nous sommes aujourd’hui. Notre achèvement jusqu’à ce stade actuel reste la
preuve éclatante que nous nous sommes fixé des objectifs et nous avons décidé à les
atteindre.
Nous disons merci à l’Éternel Dieu tout puissant notre père. Lui qui soutient
toutes choses par sa grâce divine et sa bonne infinie qu'il nous a accordée tout au long de
notre sublime voyage sur cette terre des humains ainsi que son soutient sans limite durant
nos études de premier cycle de licence Au sein de l'université protestante de Lubumbashi.
Nous remercions aussi notre directeur le professeur Pascal SEM MBIMBI, pour
tous ces conseils et sa disponibilité dans la rédaction du mémoire sans oublier la personne
qui nous a poussé à aller plus loin dans notre rédaction de mémoire ,une personne très
comptent Mr Héritier KATEBULA.
Nos remerciements s’adressent aussi d’une manière particulière à mes très parents
Célestin MUTOMBO NSENDA et Monique SAMBA MUTUBILE, pour ces conseils,
son éducation ainsi que son amour à notre égard, sans oublier mon très cher ami Alban
LUNGANGA KITEBA.
Enfin toutes ces personnes qui n'ont aidé au cours de ces études universitaires et
qui n'ont cessé de me dire que c'est normal et tout ira mieux, je vous remercie.
LISTE DES ABREVIATIONS
RESUME
L’objectif de cette étude est de comprendre les facteurs qui expliquent le non
maximisation des recettes à la DGRAD.
Pour atteindre cet objectif nous avons recouru à la technique par question d’enquête,
technique d’observation directe, technique d’interview, l’approche qualitative, l’analyse
de contenu, ces méthodes et techniques nous ont été d’une importance capitale en nous
permettant bien traiter les données automatiques via logiciel TROPES. Il ressort que la
stratégie utilisée par DGRAD. N’atteint toujours pas les assignations.
Les résultats de cette étude montrent que les facteurs qui expliquent la non maximisation
des recettes fiscale sont les suivants : L’incivisme fiscal 33,3%, La corruption 26,7%,
Faible capacité institutionnelle 16,7%, La communication insuffisante 16,7% et Les
réalités socio-économiques 6,7%.
Figure 1: CARTOGRAPHIE………………………………………………………………41
Figure 2 : Graphe à aires : niveau relationnel entre les thèmes……………………………
42
DÉDICACE................................................................................................................................II
REMERCIEMENT...................................................................................................................III
RESUME....................................................................................................................................V
INTRODUCTION GENERALE.............................................................................................1
1. PHENOMENE OBSERVE..............................................................................................1
1. REVUE DE LITTÉRATURE.......................................................................................2
Théorie de la corruption.................................................................................................11
3.1. INTRODUCTION........................................................................................................24
3.1 HISTORIQUE...............................................................................................................24
3.3 LA VISION....................................................................................................................25
3.4 VALEUR........................................................................................................................25
1.2 LA NATURE.................................................................................................................25
3.6 MISSIONS.....................................................................................................................27
3.11.3 LE DELAI.................................................................................................................31
3.13 ORGANIGRAMME.........................................................................................................33
4.4. DISCUSSIONS..................................................................................................................45
CONCLUSION GENERALE...................................................................................................48
REFERENCES BIBLIOGRAPHIQUES..................................................................................50
INTRODUCTION GENERALE
1. PHENOMENE OBSERVE
Sachant à l’avance ce qui entraine l’un ou l’autre moyen de financement, nous estimons
que de ce deux possibilités qui s’offrent à l’Etat, l’impôt et la taxe restent les ressources
essentielles, étant donné que leurs sommes ne sont pas à rembourser, un intérêt particulier
devrait être accorder à leur mode de perception afin de maximiser dans la mesure du
possible les recettes y afférentes. Au regard de ce qui précède, l’Etat congolais attribue
aux différentes régies financières la mission fiscale, celle de perception des droits et taxes
ce le cas de la Direction Générale des douanes et accises (DGDA), Direction Générale de
Recette Administrative et Domanial (DGRAD), Direction Générale des Impôts (DGI).
Dans le souci de vouloir maximiser les recettes pour pouvoir répondre efficacement au
financement du Budget Public et le bien-être de la population congolaise en
Particulier, nous avons observé depuis l’année 2018 à l’année 2021 que la Direction
générale des recettes administratives et domaniales est confrontée aux difficultés de ne
pas pouvoir maximiser ces recettes tel que prévu et c’est à travers ces écarts produits par
les recettes et les prévisions de ces dernières années d’étude que nous avons pu à
démontrer grâce au tableau ci-dessous
Question de départ
Selon Sem et Cornet (2017), la question de départ constitue un fil conducteur du travail
de recherche et va donc guider l’étape exploratoire de ce fait, les approches théoriques
donnent des orientations scientifiques sur la question suivante :
Pourquoi la DGRAD n’arrive pas à réaliser les assignations ?
1. REVUE DE LITTÉRATURE
SEM et CORNET (2017), La revue de littérature c’est l’ensemble des études théoriques
et empiriques qui traitent de la question étudiée. L’élaboration de tout travail scientifique
est fonction d’une série de connaissances accumulées que le chercheur met à la
disposition de la recherche à titre démonstratif ou d’expérimentation en vue de montrer
que les faits alignés, variables applicables peuvent aboutir aux résultats souhaités.
De ce qui précède plusieurs auteurs ont parlé sur le crédit accordé dans les banques
commerciales, pour plus d’analyse nous nous contenterons de cité quelques-uns à l’instar
de :
15
Susan Rose- "Corruption et Gouvernement: Susan Rose-Ackerman, dans son Cet ouvrage nous a permis de comprendre L'idée
Ackerman Causes, Consequences, and ouvrage " Corruption et principale est de souligner l'importance de la
(1999) Reforme", Gouvernement: Causes, transparence, de la responsabilité et de la participation
Consequences, et Reforme ", citoyenne dans la lutte contre la corruption
examine les causes, les conséquences
et les possibilités de réforme liées à
la corruption. Elle explore les
différentes formes de corruption dans
les secteurs public et privé, ainsi que
les mécanismes de prévention et de
lutte contre ce fléau..
(Raymond, FINANCES PUBLIQUES L’impôt est au cœur même de Ceci nous fait comprendre que l’Etat doit lever et
2013) l’existence de la puissance publique ; recouvrer les impôts, impliquant aussi celui des
la possibilité donnée à l’Etat de lever véhicules, qui est notre cas sous examen pour assurer la
l’impôt pour assurer la couverture de couverture de ses charges.
ses charges constitue très
certainement l’une des
16
manifestations susceptibles
d’illustrer au mieux son pouvoir, un
pouvoir qui ne sauront se partager ou
se déléguer.
(Jaouad, 2003) La fiscalité La fiscalité n’est pas exclusivement Cet ouvrage nous permis à comprendre l’intérêt de la
appliquée à une affaire de fiscalistes, elle culture fiscale. De ce fait, pour y arriver l’Etat doit
l’entreprise marocaine préoccupe tout le monde. Le système convaincre le contribuable le plus vil à payer les
fiscal marocain est de plus en plus impôts et lui faire comprendre le bien fondé des impôts
composé d’impôts déclaratifs et en sensibilisant ce dernier.
payables spontanément pour
accomplir son devoir d’abord
comprendre les règles de base qui lui
permettant de s’acquitter en bon et
due forme ses obligations. Les Lois
relatives au diffèrent prélèvement
Restent de portée générale et très
difficile à décrypter. L’adage « Nul
n’est censé ignorer la loi » est très
controverse en cette matière. La
vulgarisation des dispositions
fiscales est d’en grand intérêt pour
permettre au citoyen profane
d’accomplir ses devoirs fiscaux et de
connaitre ses droits.
(Fernoux, Gestion fiscale du Qu’importe l’économie de l’impôt, si Ceci nous a permis de comprendre que l’Etat
2010) patrimoine pour l’obtenir on a dû dépenser plus doit mettre un moyen raisonnable pour
que l’impôt il n’y a pas d’économie inculquer dans les contribuables la culture
17
(Al, 1999) Les taxes L’auteur nous montre le rôle du Ceci nous a permis de comprendre que le
niveau de développement de la comportement de la corruption comme
démonstration, de l’ouverture contrainte du développement de l’économie
commerciale et la composition en générale et des finances publiques en
sectorielle « ont un impact sur la particulier.
détermination du niveau des recettes
publiques.
James Impôt et la L’ouvrage met en évidence l’importance L’auteur examine comment une communication
andreoni communication d’une communication transparente et inadéquate autour des politiques fiscales peut
insuffisante efficace de la part des gouvernements et avoir un impact sur la perception public et
(1990) des autorités fiscales pour garantir une influence leur de se conformer à l’obligation
compréhension claire des enjeux fiscaux. fiscale
Gabriel La richesse cachée des Gabriel Zucman, dans son livre "La Ceci nous a permis de dire aussi que l’Etat
Zucman, nations Richesse cachée des nations", aborde doit former les agents de pouvoir éduqué ou
(2013) enseigner la matière sur la fiscalité pour avoir
la question de l'incivisme fiscal à atteindre les objectifs fixé.
travers l'analyse de l'évasion fiscale et
des paradis fiscaux. Il expose l'idée
18
(Yaich, 2010) La méthodologie de L’emploi des procédés légaux dans le Ceci montre qu’importe l’initiation à la culture fiscale si
l’optimalisation fiscale but de minimiser la charge fiscale que l’élévation des taux d’imposition, les entrées fiscales
l’impôt consiste à minimiser principalement s’accroissent jusqu’à une certaine limite. D’où plus la
l’impôt direct afin de maximiser le taxation hausse, cela décourage l’activité économique de
résultats net après l’impôt, (trop l’entité ce qui rend la tâche dure, d’où le manque à
d’impôt tue l’impôt) il est appelé de gagner pour l’Etat.
minimiser le taux pour maximiser les
résultats de l’entreprise pour
encourager l’activité économique, la
pression fiscale excessive détruit
l’assiette imposable ; par suite le
montant du produit de l’impôt est
moins élevé que ce qu’il serait si le
taux de fiscalité était moins élevé.
(Jez, 2010) Finances publiques Les idées de l’auteur convergent ont En rapport avec la matière qu’on traite, l’ouvrage nous a
une définition plus classique en ce qui permis d’exhiber que l’impôt (le prélèvement de l’import
concerne l’impôt. A cet effet, la sur les véhicules, cas sous examen) étant du sans
définition qui réunit toutes les contrepartie direct, l’Etat doit exercer son autorité de
caractéristiques de l’impôt. Selon recouvrer ses recettes fiscales afin de couvrir ses charges
l’auteur, l’impôt est une prestation publiques.
pécuniaire requise des personnes
physique ou morales par voie
d’autorités, à titre définitif et sans
Contrepartie, en vue de la couverture
des charges politiques et permettre à
l’Etat d’effectuer certaines
interventions dans le domaine
20
économique et social.
(beltrame, Science et technique Les impôts comme moyens Compte tenu de l’importance croissante du
1984) fiscal d’accroitre les recettes de l’Etat prélèvement que la fiscalité opère sur les
par la période de recouvrement. contribuables et les redevables, cet ouvrage nous a
Les ressources de l’Etat sont les permis de montrer le prélèvement des taxes sur les
seuls moyens de développement véhicules occupe une place essentielle dans la vie
de la communauté. économique de la province.
21
(KATHY, 2014), dans son mémoire intitule : « Impact de la réforme fiscale dans une
entité décentralisée » ISC/Lubumbashi, montre que les prélèvements fiscaux sont
généralement pécuniaires appuyé par l’intervention économique et social de la direction
générale de finance le changement de loi fiscale doit être manifesté à l’intention de la
maximisation des recettes.
(KALASA, 2016), dans son mémoire intitulée : « l’évasion fiscale et son impact sur la
maximisation des recettes fiscales » Economie/UNILU, explique que le système fiscal
d’un pays doit être obligatoire c’est-à-dire fondée sur soubassement des lois les
règlements, les procédures et les pratiques administratives doivent être effective.
(SAMONA, 2015), dans son travail de fin de cycle intitule « Etude descriptive de la
fraude et de l’évasion fiscale sur le système fiscal congolais dans une régie financière »
lui montre que la fiscalité doit être comprise comme un fait politique comme une chose
de l’homme, il est en effet lié si intimement lié à l’évolution de la société, le citoyen
moderne considère l’impôt comme une institution matérielle indispensable.
Les points de convergence entre notre travail et celui de nos prédécesseurs est qu’on
poursuit l’objectif de maximisation des recettes fiscales de l’Etat face à différentes
contraintes
Problématique se définit comme étant l'ensemble des problèmes qui suscitent une
science, un sujet d'étude. Elle peut être passée de façon affirmative ou interrogatoire.
Voilà pourquoi dans le cadre de cette étude nous allons nous concentrer sur les
recettes prélevées par la Direction générale des recettes administrative et domaniale. Eu égard
à ce qui précède, notre problématique se résume autour des questions suivantes :
Quels sont les sont les facteurs qui expliquent la non maximisation des recettes au
sein de la Direction générale des Recettes administrative et domaniale ?
C’est sous cet angle d’idées que nous orientons nos réflexions scientifiques
dans la mesure du possible.
1. L’incivisme fiscal
2. La corruption
3. Les réalités socio-économiques
4. La faible capacité institutionnelle.
5. Communication insuffisante
23
L'incivisme fiscal
Le non maximisation
La corruption
Communication insuffisante
Source : nous-même
24
Identifier les facteurs qui bloquent la maximisation des recettes au sein de la régie
financière DGRAD.
Approche qualitative : cette approche repose sur les collectes des données
exclusivement qualitatives.
Méthode d'observation directe : cette méthode nous a permis de faire une
observation directe des faits tels que vécu dans l’entreprise.
Technique d'enquête par questionnaire : grâce à cette technique nous avons élaboré
un questionnaire d’enquête que nous avons distribué dans différentes directions au
sein de la DGRAD.
Technique documentaire : ces techniques consistent à apporter un jugement sur les
titres, c’est observation qui porte sur les titres et l’analyse des archives des documents
des ouvrages.
Dans notre travail nous avons rassemblé différentes informations secondaires d'origine
interne à l'entreprise et d'origine interne concernant les problèmes posés.
Cette technique appeler autrement interview a été utilisé par nous pour collecter les
données en échangeant avec les différentes personnes qui ont répondu aux questions qui
ont leur été posé.
Cette méthode permet de faire une interprétation des discours diversifié collecté par les
billets des entretiens organisés avec les agents de la Direction générale des recettes
administratives et domaniales la DGRAD d'une part et d'autre part faire une analyse des
données.
Logiciel tropes
Il n’aurait venu des grâce à cette analyse de faire une étude bien approfondie sur la
manière à y proposer une solution appropriée. Cette étude servira donc de complément
aux travaux déjà réalisé, elle pourra éventuellement les enrichir et servira d’un outil entre
les mains de prochains chercheurs.
Ce travail servira et attirera grandement l’attention des fiscs de la Direction générale des
recettes administratives et domaniales car la stratégie fiscale permettra à ce cette régie
financière de pouvoir maximiser ces recettes pour son bon fonctionnement et celui du
financement de budget public et du bien-être de la population congolaise.
En vue d’une meilleure rédaction de notre travail, nous avons pris comme cible la
Direction générale des recettes administratives et domaniales (DGRAD). Etant l’une des
régies financières de la République démocratique du Congo, pour la collecte des données
pendant une période allant de 2018 à 2021.
Dans ce chapitre, nous allons nous atteler à expliquer les différents concepts qui serviront
constamment de cadre de référence dans ce travail et les théories qui s’y rapportent. Des
idées claires bien conçues et logique peuvent provenir que des concepts clairs et bien
définis. Un concept est un mot ou un groupe de mots pouvant designer un ensemble des
phénomènes. Dans cette optique de permettre une lecture aisée de notre travail et éviter
des interprétations contradictoires, nous allons définir des concepts clés sur base desquels
notre travail se fonde.
Le deuxième chapitre de notre travail est consacré aux notions générales, les quelles
portent d'une part sur la définition des concepts opératoire et d'autre part, le cadre
théorique.
Pour José M. WAKOSIA, il définit les recettes non fiscales comme étant des recettes
provenant des participations de l’Etat actionnaire (dividendes perçues) ou les loyers
recouvrés par l’Etat propriétaire, et autres du domaine de la justice, des mutations
immobilières…
Les recettes administratives sont constituées des droits, taxes et redevances dus par
les usagers des Administrations et services publics de l'Etat. Elles sont payées en
contrepartie des actes administratifs ou des documents administratifs.
Les recettes judiciaires sont constituées de droits, taxes et redevances générés par les
Cours, Tribunaux et Parquets ainsi que l'Administration du Ministère de la Justice et la
Police Nationale Congolaise.
Ce sont des recettes constituées essentiellement des amendes pénales, des frais de production
de jugement, des droits proportionnels et tant d'autres qui soient des recettes ayant trait aux
dossiers judiciaires des différents cours et tribunaux ainsi que d'autres instances judiciaires.
Les recettes domaniales sont des ressources que l'Etat fixe dans les domaines publics
et privés suivants :
a. Domaine public
Il s'agit de tous les biens par nature ou par leur destination, qui ne sont pas susceptibles
d'appropriation privée, c'est-à-dire, l'Etat les détient en qualité du pouvoir souverain et
comprend les biens affectés au service public pour usage public.
Les recettes domaniales sont constituées de droits, taxes et redevances dus par les usagers des
Administrations et services publics de l'Etat s'occupant principalement des matières relevant
des domaines publics et privés de l'Etat, notamment :
- l'environnement ;
- la pêche ;
- les hydrocarbures ;
, nous avons des routes, des plaines d'avions, des immobiliers, les pâturages, les droits de
navigation, etc.
b. Domaine privé
Il s'agit de tous les biens qui ne sont pas directement affectés à un service public e peuvent
être vendus ou loués. Des biens analogues constituant les fortunes des privées gérés comme
telles et constituant une source de revenu pour l'Etat. Nous avons les ventes des immeubles
privés, le droit de coupe des bois des domaines privés...13
4
François LUAMBO MAKANZU, L'apport des recettes judiciaires dans la mobilisation des
recettes non fiscales en République Démocratique du Congo, de 2002 à 2006, Mémoire de
Licence en Sciences Commerciales et de Gestion, Université Ouverte, Campus de Matadi,
Année Académique 2008 - 2009
Les recettes de participations sont pour leur part, constituées, d'une part, des
dividendes dus à l'Etat du fait de sa participation exclusive dans une entreprise
publique ou partielle, dans une société d'économie mixte et, d'autre part, du produit de
la vente de ses participations.
C’est le fait d’atteindre le maximum des recettes dans l’élaboration d’un projet contenu
d’une élaboration d’un budget des prévisions.
• Régie financière
Une régie financière est défini comme étant l'ensemble des directions générales du
ministre des finances chargé de percevoir les différentes recettes de la province en
particulier et de la nation en générale.
• Fiscalité
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José M. WAKOSIA (2020) définit la fiscalité comme étant la principale source des
recettes
Publiques, elle est l’ensemble des modes de perception d’impôts actuellement en vigueur
dans un pays déterminé.
Parafiscalité
Fraude fiscale
Pour Maurice DUVERGER, la fraude fiscale n'est qu'une des formes de l'évasion fiscale.
En réalité, la notion d'évasion est plus large que celle de la fraude : la fraude n'étant qu'un
cas particulier de l'évasion. En effet, on peut échapper à l'impôt en violant les lois, c'est la
fraude. Mais on peut y échapper aussi en s'appuyant sur les lois : il y a évasion légale.
Evasion fiscale
Budget Pour Maurice DUVERGER, Le budget est compris comme étant « l'acte par
lequel sont prévues et autorisées les recettes et les dépenses de l'Etat et des autres services
que les lois assujettissent aux mêmes règles ».
Fait générateur
La théorie fiscale sur la communication insuffisante a été formulée pour la première fois
par le professeur James Andreoni et publiée en 1990 dans l'article intitulé "Impôt et
communication insuffisante : une théorie de l'incertitude perçue".
Cette théorie suppose que les gens ne sont pas suffisamment informés sur les politiques
fiscales et, par conséquent, ils ne comprennent pas comment leurs impôts sont utilisés. La
communication insuffisante peut rendre les gens incertains quant à l'impact de leur
contribution fiscale sur la société et leur donner une impression que leur contribution ne
fait pas de différence. Cela peut également provoquer des malentendus ou des inquiétudes
au sujet des politiques fiscales, qui peuvent conduire à des comportements d'évitement ou
de non-respect.
Pour remédier à cela, Andreoni suggère que les gouvernements devraient mettre en place
des mécanismes de communication plus efficaces pour informer les contribuables de
32
l'utilisation de leurs impôts. Cela pourrait inclure la diffusion d'informations claires par le
biais de médias de masse ou de sites web gouvernementaux, ainsi que de nouvelles
initiatives pour accroître la transparence fiscale.
La théorie de l'incivisme fiscal, également connue sous le nom de "taxe morale", a été
développée par Erich Weede et publiée pour la première fois en 1995.
Selon cette théorie, l'incivisme fiscal peut être expliqué par des attitudes morales et
sociales. Les individus qui ne paient pas leurs impôts peuvent le faire parce qu'ils ne se
sentent pas obligés de contribuer au bien public, ou peuvent croire que l'État utilise leur
argent de manière inappropriée.
Weede affirme également que l'incivisme fiscal peut être alimenté par des sentiments de
ressentiment envers les groupes qui bénéficient davantage des dépenses de l'État, tels que
les pauvres et les minorités. Ces sentiments peuvent être exacerbés par un manque de
transparence dans le processus budgétaire et fiscal.
En termes de remédier à l'incivisme fiscal, Weede suggère de créer des institutions et des
mécanismes qui encourageront les individus à payer leurs impôts, tels que des audits
fiscaux ou des sanctions pour non-paiement. De plus, l'éducation morale et civique doit
être renforcée de manière à inculquer un sens du devoir civique et moral, ce qui peut
inciter les citoyens à respecter leurs obligations fiscales.
En résumé, la théorie de l'incivisme fiscal d'Erich Weede suggère que les attitudes
morales et sociales peuvent expliquer pourquoi les individus ne paient pas leurs impôts.
Elle souligne également l'importance de mettre en place des institutions efficaces et de
renforcer l'éducation morale et civique pour remédier à ce problème.
Théorie de la corruption
33
Susan Rose-Ackerman est une économiste américaine connue pour ses travaux sur la
théorie de la corruption. L'une de ses contributions les plus importantes est la théorie des
"coûts de la corruption", publiée pour la première fois en 1975.
Dans cette théorie, Rose-Ackerman soutient que la corruption a des coûts économiques
élevés, notamment en termes de perte d'efficacité et de distorsion des marchés. Elle
affirme que la corruption peut entraîner une augmentation des coûts de production, une
réduction de la qualité des produits et une perturbation des mécanismes de marché.
Rose-Ackerman note également que la corruption peut avoir un impact négatif sur la
confiance dans les institutions et sur la protection de la propriété intellectuelle. Elle
affirme que la corruption peut détourner les ressources financières des projets les plus
importants et les mieux nécessaires, et que cela peut avoir des conséquences négatives
pour le développement économique à long terme.
2.1. INTRODUCTION
Le présent chapitre concerne essentiellement la direction générale des recettes
administrations et domaniales qui est notre champ empirique sur lequel porte notre étude.
Ce chapitre situera la direction générale des recettes administrations, judiciaires,
domaniales et de participations.
Les différents services que nous retrouvons au sein de cette régie financière dans le
temps et reprendra les points suivants : Bref aperçu historique de la DGRAD, éléments
stratégiques, la structure organisationnelle, Analyse de l’environnement et la conclusion.
2.2 HISTORIQUE
La direction générale des recettes administratives, judiciaires, domaniales et de
participation a été créée par le décret présidentiel N°0058 du 27 décembre 1995 portant
création, organisations et fonctionnement de la DGRAD en sigle par le feu président
MOBUTU sous premier commissaire d’Etat KENGO et le commissaire d’Etat des
finances PAYPAY y compris quelques experts de ministère de finances notamment :
Monsieur BULAMBO
Monsieur ELONGO ONGONA Jean et
Monsieur TALANGAI Fernand
Avant cette date, il existait un service appelé la comptabilité publique qui s’occupait à
percevoir les recettes non fiscales et fiscales, mais ces recettes n’étaient pas bien
encadrées du fait que les chargées à ces fonctions ne faisaient que remplir leurs poches au
détriment du trésor public en faisant d’autres carnets de perception.
35
Au niveau national, elle est installé dans l’immeuble du site informatique des finances qui
se situé sur le boulevard Tshatshi à Kinshasa dans la commune de la Gombe, à côté de la
banque centrale du Congo et du building de la fonction publique et en face du palais de
la nation
2.4 LA VISION
La direction générale des recettes administratives, judiciaire, domaniale et de
participations en sigle DGRAD a comme vision de remplir les caisses de l’Etat.
2.5 VALEUR
2.6 LA NATURE
La direction générale des recettes administratives, judiciaires, domaniales et de
participations en sigle DGRAD est une structure placée sous l’autorité du ministre des
transports finances.
36
Et les infractions perçues auprès de ces secteurs nous citons par exemple :
Le vol
Le meurtre
L’homicide volontaire ou involontaire
Le viol etc.
c) Les recettes domaniales
37
Ce sont les recettes qui proviennent de la gestion du sol, du sous-sol et des eaux
naturelles. Par exemple le secteur des mines, de l’agriculture, de l’environnement,
pêche etc.
2.8 MISSIONS
Les dispositions du décret N°0058 du 27 Décembre 1995 portant création, organisation et
fonctionnement de la direction générale des recettes administratives, judiciaires,
domaniales et de participations précise que la mission principale est l’ordonnancement et
le recouvrement des recettes non fiscales dues au trésor public ou encadrent les recettes
non fiscales en vue d’atteindre une maximisation des recettes au profit du trésor public et
exercée sur toute l’étendue du territoire national
Donc cette régie financière rempile les caisses de l’Etat jusqu’à déborder, car elle a le rôle
d’une police permanente du trésor public.
En effet, ces quatre opérations permettent de réaliser une recette à la direction générale
des recettes administratives, judiciaires, domaniales et de participation. A ce stade, les
deux premières opérations se passent dans les services taxateurs et les deux dernières
opérations sont pratiquées a cette régie financière donc ce sont les compétences
essentielles de la direction générale des recettes administratives, judiciaires, domaniales
et de participations en sigle DGRAD.
a. Les divisions
Nous trouvons :
Division de l’administration et des services généraux(ASG)
Division des finances
39
b. Les ressorts
Le ressort de Kipushi
Le ressort du Haut Lomami ou Kamina
Le ressort de Tanganyika ou Kalemie.
De ce fait, cette régie financière élabore une facture qu’on appelle la note de perception et
celle-ci comprend 3 phases notamment :
La rétrocession de 5%
Le Bon à Payer
L’ordonnancement d’office
41
2.12.3 LE DELAI
Le délai pour payer la note de perception a cette régie financière est de 8 jours. En cas de
retard pour le paiement, il y’a des pénalités. Sont fixées dans les arrêtés interministériels.
Nous citons :
Il y’a :
3.14 ORGANIGRAMME
44
Dans ce chapitre, nous présenterons les données issues de nos entretiens réalisés avec
certains agents de cette régie financière qui est la DGRAD les facteurs explicatifs du non
maximisation des recettes.
Après collecte des données, ces dernières nous permettrons de saisir et de dégager les
facteurs retenus dans nos entretiens qui expliquent les causes du non maximisation des
recettes de la DGRAD.
Nous présenterons aussi dans un premier cas les résultats de l’étude qualitative avec la
stratégie ou procédure suivie pour sa réalisation. D’où pour nous, les procédures ont été
les suivantes : approche qualitative, les différents entretiens avec certains travailleurs
DGRAD. Ensuite, nous présenterons les résultats qualitatifs obtenus après nos analyses.
traité en vue d’obtenir les idées de nos sujets enquêtés en rapport avec notre
problématique en étude.
Agent 6 : je suis agent de la DGRAD depuis 2 ans selon la non formation des agents et la
communication insuffisante sont la cause de la non maximisation des recettes dans cette
régie financière.
47
Agent 7: je suis travailleur à la DGRAD il y a de cela 7 ans, je suis chef de cellule taxe et je
constate que si la DGRAD n'a pas encore atteint toutes les couches de la province faible
communication insuffisante et l’incivisme fiscal
Agent 8 : je suis agent à la DGRAD depuis 4 ans je constate que la non maximisation de
recettes est expliqué par la corruption et les réalités socio-économique
Agent 9 : je travaille à la DGRAD il y a de cela 6 ans Au service de cette régie financière fait
face a beaucoup de problème pour recouvrer ses recettes, il y a l'insuffisance de matériel
informatique appropriés pouvant nous permettre de répertorier tous les contribuables,
l’incivisme fiscal et communication insuffisante
Agent 10 : je suis agent de la DGRAD depuis 7 ans en tant que vérificateur, selon moi je crois
que la non maximisation de recette est causé par la fraude fiscale, l’incivisme fiscal et la faible
capacité institutionnelle
Agent 11 : je suis travailleur à la DGRAD il y a de cela 5 ans la non maximisation de recette
est expliquée par la corruption, communication insuffisante et l’incivisme fiscale.
Agent 12 : je suis agent de la DGRAD depuis 6 ans, selon moi la non maximisation de recette
au sein de cette régie est causer par corruption, la faible capacité institutionnelle et l'incivisme
fiscal pouvant nous permettre d'identifier tous les contribuables de la province.
Agent 13 : je suis agent à la DGRAD depuis 4 ans je constate que la non maximisation de
recettes et causer par la corruption.
Facteurs déclencheurs
La présente phase consiste à donner un langage aux données récoltées, en reliant les
données recueillies à l’hypothèse formulée au départ et à la problématique de recherche,
tout en ressortant l’influence de certains facteurs sur le phénomène étudié.
La corruption 8 26,7%
Total 30 100 %
Les variables prises en compte dans nos entretiens avec les agents de la DGRAD sont :
L’incivisme fiscal, La corruption, Faible capacité institutionnelle, La communication
insuffisante et Les réalités socio-économiques.
Après la technique analytique du contenu des thèmes, les déterminants qui expliquent la
non maximisation de recettes les plus représentés sont : Le 37% ; L’incivisme fiscal
33,3%, et la corruption 26,7%.
De ces résultats, nos trois sont les hypothèses qui ont été vérifiée et confirmée d’où elles
stipulaient que « Nous estimons que les déterminants qui expliquent la non maximisation
de recettes de la DGRAD sont : Faible capacité institutionnelle, La communication
insuffisante et Les réalités socio-économiques. ». Tels sont les indicateurs retenus sur
lesquels nos analyses d’inefficacité ont été menée.
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Figure 1: CARTOGRAPHIE
FACTEURS DECLANCHEURS
35.00% 33.30%
30.00% 26.70%
25.00%
20.00% 16.70% 16.70%
15.00%
10.00% 6.70%
5.00%
0.00%
l e n le e ue
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Source : Réalisé à l’aide du logiciel Ms Excel à partir des données du tableau n°2.
Facteurs déclencheurs indiquent une influence des indicateurs retenus sur déterminants
qui expliquent la non maximisation des recettes fiscal de la DGRAD sont : L’incivisme
fiscal 33,3% , La corruption 26,7% , Faible capacité institutionnelle 16,7% , La
communication insuffisante 16,7% et Les réalités socio-économiques 6,7%.
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Dans notre cadre, La non maximisation des recettes est classé au centre, car
c’est elle que nous cherchons à expliquer à travers les variables explicatives retenues dans
notre travail (l’incivisme fiscal, la corruption, la communication insuffisante, la faible capacité
institutionnelle et les réalités socio-économiques), avec l’aide du logiciel tropes. Comme nous
pouvons remarquer sur les graphes des airs, l’incivisme fiscal et la corruption sont celles qui
ont beaucoup de relations car elles sont plus proches ; suivi de la communication insuffisante,
la faible capacité institutionnelle et les réalités socio-économiques.
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Interprétation : Ce graphe nous permet d’analyser et de comprendre les relations qui existent
entre les variables explicatives et la variable expliquée. Les résultats fournis par le graphe étoilé
nous montrent que les facteurs qui expliquent le non maximisation des recettes de la DGRAD
sont l’incivisme fiscal et la corruption qui sont respectivement de 36,7% et 20%. D’autres
variables expliquent le non maximisation des recettes de la DGRAD à des pourcentages réduits,
il s'agit Du la communication insuffisante (16,7%) ; la faible capacité institutionnelle (13,3%) et
les réalités socio-économiques (13,3%).
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Après avoir récolté les informations à la DGRAD le moment est arrivé ou nous sommes
censés vérifier nos différentes hypothèses si nous devons les affirmés où les infirmés.
Notre thématique étant intitulée : Les facteurs explicatifs du non maximisation des recettes
de la DGRAD
A été confrontée aux facteurs retenus explicatifs pendant notre période d’étude telle
que l’incivisme fiscal, la corruption, la communication insuffisante, la faible
capacité institutionnelle et les réalités socio-économiques. Ces paramètres retenus
donnent une situation à jour sur le niveau de la non atteinte des assignations et seront
analysés un par un pour comprendre leurs influences sur la maximisation.
Après la technique analytique du contenu des thèmes, les facteurs explicatifs de La non
maximisation des recettes à la DGRAD sont : : L’incivisme fiscal 33,3% , La corruption
26,7% , Faible capacité institutionnelle 16,7% , La communication insuffisante 16,7% et
Les réalités socio-économiques 6,7%.
De ces résultats, notre seconde hypothèse a été vérifiée et confirmée d’où elle stipulait
que « Nous estimons que les facteurs explicatifs de la non maximisation des recettes
sont liées au l’incivisme fiscal, la corruption; la communication insuffisante, la
faible capacité institutionnelle ainsi que les réalités socio-économiques. Tels sont
les indicateurs retenus sur lesquels nos analyses ont été menée.
3.4. DISCUSSIONS
Cette partie du mémoire vise à discuter et expliquer les resultats de notre recherche, au
regard de la revue de littérature presentée dans le premier chapitre. Cette discussion est
jugée importante pour pouvoir se positionner par rapport à la littérature sur la
maximisation des recettes par une regie financière.
JACQUE AMURI quand a lui la difficulté de recouvrement des IF sont causer par : la
manque de culture fiscale, la demotive de contribuables, ains aux insuffisance de moyen
de transport et personnel.
La théorie de l'incivisme fiscal, également connue sous le nom de "taxe morale", a été
développée par Erich Weede et publiée pour la première fois en 1995.
Selon cette théorie, l'incivisme fiscal peut être expliqué par des attitudes morales et
sociales. Les individus qui ne paient pas leurs impôts peuvent le faire parce qu'ils ne se
sentent pas
Obligés de contribuer au bien public, ou peuvent croire que l'État utilise leur argent de
manière inappropriée.
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Weede affirme également que l'incivisme fiscal peut être alimenté par des sentiments de
ressentiment envers les groupes qui bénéficient davantage des dépenses de l'État, tels que
les pauvres et les minorités. Ces sentiments peuvent être exacerbés par un manque de
transparence dans le processus budgétaire et fiscal.
En termes de remédier à l'incivisme fiscal, Weede suggère de créer des institutions et des
mécanismes qui encourageront les individus à payer leurs impôts, tels que des audits
fiscaux ou des sanctions pour non-paiement. De plus, l'éducation morale et civique doit
être renforcée de manière à inculquer un sens du devoir civique et moral, ce qui peut
inciter les citoyens à respecter leurs obligations fiscales.
La théorie fiscale sur la communication insuffisante a été formulée pour la première fois
par le professeur James Andreoni et publiée en 1990 dans l'article intitulé "Impôt et
communication insuffisante : une théorie de l'incertitude perçue".
Cette théorie suppose que les gens ne sont pas suffisamment informés sur les politiques
fiscales et, par conséquent, ils ne comprennent pas comment leurs impôts sont utilisés. La
communication insuffisante peut rendre les gens incertains quant à l'impact de leur
contribution fiscale sur la société et leur donner une impression que leur contribution ne
fait pas de différence. Cela peut également provoquer des malentendus ou des inquiétudes
au sujet des politiques fiscales, qui peuvent conduire à des comportements d'évitement ou
de non-respect.
Pour remédier à cela, Andreoni suggère que les gouvernements devraient mettre en place
des mécanismes de communication plus efficaces pour informer les contribuables de
l'utilisation de leurs impôts. Cela pourrait inclure la diffusion d'informations claires par le
biais de médias de masse ou de sites web gouvernementaux, ainsi que de nouvelles
initiatives pour accroître la transparence fiscale.
CONCLUSION GENERALE
Nous sommes arrivés au terme de notre travail qui a porté sur les stratégies fiscales
Candela direction des recettes du haut Katanga en sigle DGRAD 2018 à 2021
Il nous est ainsi indispensable de résumés et des données suggestion, les préoccupations
majeures de notre étude s’articulaient sur une question de départ et une question de
recherche de la manière suivante :
Quels sont les facteurs qui expliquent le non maximisation des recettes à la DGRAD ?
L'objectif de notre étude était celui de comprendre les déterminants ou les facteurs qui
sont à la base de La non maximisation des recettes mais aussi d’évaluer les difficultés qui
prouvent la DGRAD provenant en guise des hypothèses, les difficultés de la non
maximisation des recettes c'est réduit au facteur endogène et exogène
La corruption
La faible capacité institutionnelle
L'incivisme fiscal
La communication insuffisante
Les réalités socio-économiques
Le résultat nous montre la DGRAD doit travailler sur les matériels les managements, le
milieu, la main d'œuvre, la méthode, matière et matériel.
Un travail de chercheur sur 4 ans ne peut pas approfondir l’ensemble des thèmes abordés
par les sujets proposés il faut les considérer comme une contribution à un ou plusieurs
domaines de recherche fournissant des résultats pertinents et permettant d’alimenter des
nouveaux travaux dans le même voie ou dans devoir connexe nous espérons à travers
notre travail, à avoir apporté une contribution qui permettra à d'autres explorer plus en
détail certaines enjeux scientifiques et d’apporter à leur retour leur contribution.
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REFERENCES BIBLIOGRAPHIQUES
KALASA, K. (2016). L'Evasion fiscale et son impact sur la maximisation des recettes
fiscales. Lubumbashi: edition universitaire.