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CONTRAT D’ADHESION

Introduction
la justice est classiquement représentée par le symbole d’une balance‫ ة‬dont les
deux plateaux sont au même niveau. De la même manière, le contrat peut être
entendu comme une convention librement conclue entre deux personnes de
même poids. Cette symbolique de l’équilibre parfait dans les relations
contractuelles ne correspond plus aujourd’hui à la réalité économique et
juridique
Cette réalité économique et juridique qui a donner un nouveau forme des
relations gouverné par le règles de capitalisme, ainsi que les règles posé par les
entités commercial qui semble posent leur loi n’en plus sur leur client mais aussi
sur les Etat.
Dans le cadre des relations contractuelle, l’autonomie de la volonté désignerait le
pouvoir qu’à la volonté de se donner sa propre loi, la chose qui a était changé
avec l’apparition d’une nouvelle technique de contracté qui est l’adhésion au
contrat, dont les terme et clauses sont imposé par un seul partie, dont le
deuxième partie n’est le choix que d’adhérer au contrat.
Cette technique d’adhésion était juste une exception de contracté dans un temps
ou le droit civil et ses règles ont était l’origine de droit. Mais après la propagation
des nouveaux règles sous le conduite de droit économique ou le droit des
affaires ou le capitale et le seul chose importante, l’adhésion au contrat semble
d’être le premier choix de conclure un contrat surtout dans le monde des affaires.
Historique :
Sur le plan historique, la fin du XIXème siècle constitue une étape décisive. La
société s’est profondément transformée du point de vue économique avec le
développement du capitalisme, le progrès technique et l’industrialisation, ce qui a
introduit l’adhésion au contrat comme une technique de contracté fondue par le
pouvoir économie et l’émergence de la société de consommation de masse. Au
Maroc le technique de l’adhésion à était toujours connue dans les relations
contractuelle avec l’Etat a sa qualité dominante, et ensuite par la transformation
de la société marocain à la consommation et la dépendance sur les services.
Intérêt de sujet :
L’intérêt de ce sujet se caractérise dans le fait d’étudier comment l’adhésion
affect d’une part le contrat en générale, et d’autre part la qualité des contractants
et finalement les règles nécessaires de conclusion d’un contrat instauré par le
principe de l’autonomie de volonté et la liberté de choix. Ainsi l’exploitation de la
réaction de législateur marocain contre cette technique de contracté, et de juge.
Tout ça dans le cadre dans une étude analytique parfois critique pour bien
connaitre le cadre général de l’adhésion en droit marocain et leur effet.

Problématique :
L’adhésion en droit marocains pose certains problèmes, soit au niveau juridique
ou au niveau éco-social, du fait qui est une technique n’est pas réglée par le
législateur marocain, et par cette absence de règlement de l’adhésion, les
pouvoirs économique présenté par les sociétés et ainsi les personnes physique
utilise l’adhésion pour leur propre intérêt sans aucun observance au loi, et sans
aucun protection-ou bien dire une protection timide- au personnes obligé de
s’adhérer au contrat.
Annonce du plan :
La problématique en cour d’étude dans cette analyse va être le sujet de certaine
question comme suit :

 Qui ce que veut dire l’adhésion?


 Qu’il est l’effet de l’adhésion sur les règles commun de la négociation?
 Qu’il est le champ d’application de l’adhésion en droit marocain ?
 Quelle protection contre l’adhésion en droit marocain ?

Et pour bien répondre à ces questions qui constitue le cœur et l’objet de cette
sujet en va deviser cette sujet en deux grand chapitre devisé en deux partie
comme suit :
Partie 1 : un cadre générale de l’adhésion en Droit Marocain.
Chapitre 1 :L’effet de l’adhésion sur la phase de négociation.
Chapitre 2 : le champ d’application de l’adhésion en droit marocain.
Partie 2 : les mesures protectrices de l’adhésion en droit marocain.
Chapitre 1 : intervention de la loi pour le règlement de l’adhésion.
Chapitre 2 : l’intervention du juge pour le règlement de l’adhésion.

Partie 1 : un cadre générale de l’adhésion en Droit Marocain.


La notion de l’adhésion s’attache très souvent à la notion du contrat pour former
un type unique des contrat. Cette dernier qui se caractérise par la simple
adhésion de l’un des contractant a un contrat qui est déjà préparé l’autre partie
qui bien évidement la partie forte du contrat.
L’adhésion au contrat change le cadre initial du contrat et affect ses composant,
mais la question et comment connaitre que un tel contrat et un contrat
d’adhésion? Ainsi que l’effet de l’adhésion sur la phase de négociation ou d’autre
terme, la phase de l’offre et acceptation.
A cette raison, on va étudier ce chapitre en deux partie, commençant par l’étude
l’effet de l’adhésion sur la négociation (chapitre1), afin d’étudier les éléments
nécessaires pour l’existence de l’adhésion (chapitre2).
Chapitre 1 :L’effet de l’adhésion sur la phase de négociation.
Connue par d’autre nom comme la phase de rencontre de l’offre et de
l’acceptation ou en générale la phase précontractuelle. C’est la phase ou les
partie du contrat se fait accord sur les clauses du contrat, mais de que le
caractère d’adhésion intervient au contrat cette phase se change.
Mais avant d’étudie l’effet de l’adhésion sur la phase de négociation (section 2), il
convient d’abord de parler sur le champ d’application de l’adhésion en droit
marocain (section1).
Section 1 : définition et nature juridique de l’adhésion.
Avant d’étudier la nature juridique de l’adhésion au contrat –ou le contrat
d’adhésion-, il est important en premier lieu de le définir pour mieux le
comprendre,
Paragraphe 1 : définition.
Au sens du terme, l’adhésion exprime l’action d’adhérer -joindre à un organisme,
association, projet ou idée…, ainsi qu’il est synonyme des mots accord, agrément,
consentement … ce qui exprime le consentement d’une personne appeler
adhérent d’être partie de quelque chose.
Cette expression de l’adhésion et souvent utilisé en droit public pour exprimer
l’entrée d’une telle Etat a un organisme international, et en droit privé s’utilise
pour exprimer l’accorde de l’une des partie d’être partie d’une contrat, c'est-à-
dire le contractant s’adhère à une contrat sous les condition et les clauses de
l’autre partie. Cette adhésion au contrat et connue en droit par le contrat
d’adhésion.
Cette dernier et définie par son comparaison au contrat de gré à gré par le fait
que le contrat de gré à gré est celui « dont les stipulations sont librement
négocier entre les parties », tandis que le contrat d’adhésion est celui « dont les
conditions générales, soustrais à la négociation, sont déterminées à l’avance par
l’une des parties » un autre définition et que « le contrat d’adhésion et celle ou
l’une des partie monop1ole la détermination des clauses, et l’autre partie n’est le
choix que d’adhérer ces clauses et joindre le contrat sans aucun droit de
négociation » ce qui parait que dès que l’adhésion entre sur un contrat il
supprime la négociation en faveur de l’une des partie.
En droit marocain d’après un recherche dans tous les loi qui régit les différents
types de contrat le législateurs marocain n’a fait aucun définition au règlement
de l’adhésion au contrat ou le contrat d’adhésion, tandis que le droit français a
fait de l’article 1110 du code civil français une définition du contrat d’adhésion
après reforme en 2018 ou le législateur français a vue l’importance de réglé cette
technique de conclusion de contrat au contraire du droit marocain qui vise
l’intérêt des personnes qui travaille avec ce type de contrat, tout fois l’article 1110
a défini le contrat d’adhésion « est celui qui comporte un ensemble de clauses
non négociables, déterminer à l’avance par l’une des parties[6], et dans le même
sens vient l’article 1379 du code civil du Québec qui définit Le contrat est
d’adhésion lorsque les stipulations essentielles qu’il comporte ont été imposées
par l’une des parties ou rédigées par elle, pour son compte ou suivant ses
instructions, et qu’elles ne pouvaient être librement discutées[7].

Paragraphe 2 : nature juridique.

1
L’adhésion comme un technique de conclusion des contrats n’pas fondus un
exact règlement juridique et surtout en droit marocain, pour la raison qui je
pense qu’il est utilisé par des personnes qui ont un poids lourde à l’économie et
qui monopole certain services et domaine.
Tout fois la doctrine a fait deux parti dans la détermination de la nature juridique
des contrats d’adhésion, dont le premier parti ne considère par le contrat
d’adhésion une contrat proprement dit car il marque l’absence de la négociation,
et c’est juste un loi et un technique que les grand société oblige les gens à suivre,
c’est pourquoi considère l’adhésion comme un institution plus que contrat. Et le
deuxième parti considère le contrat d’adhésion un vrai contrat comme tous les
autres, et la adhésion d’une partie n’est qu’un phénomène fondue par les intérêts
économique .
Section 2 : l’effet de l’adhésion sur la phase de négociation.
C’est une phase qui se caractérise par l’encontre de l’offre posé par le stipulant et
qui pose ses termes et ses clause et accepté par l’adhérant qui négocie ses
termes et clauses après de se met accorde et signé le contrat. Mais cette
négociation et initialement réservé au contrat dit normal, me dès que l’adhésion
s’ajoute au contrat, la négociation et la premier chose qui s’affect par cette
adhésion.
La négociation se compose de deux facteur, l’offre et acceptation, et tandis que la
négociation s’affect au mesure qu’il s’absenter, donc la manière de présenté
l’offre et exprimé l’acceptation se change dans les contrats d’adhésion. A cette
raison en va montrer comment l’adhésion change cette offre et acceptation.
Paragraphe 1 : l’effet de l’adhésion sur l’offre.
L’offre est une décision unilatérale de volonté dans laquelle l’une des personnes
fait savoir son intention de conclure un contrat dans des conditions déterminé ; à
un ou plusieurs autre[9], ainsi définie d’être la proposition ferme de conclure un
contrat a des conditions déterminé[10]. D’une part le droit marocain n’a pas
donne une définition précis à l’offre soit dans le dahir des obligations et contrat
soit au d’autre loi telle que la loi 31-08 sur la protection du consommateur.
Lorsque le caractère d’adhésion s’ajoute sur le contrat, l’offre devient non
négocier vue certainement la qualité économique et forte ainsi que le besoin de
l’adhérent de cette offre qui lui oblige de s’adhère au contrat son négociation. Ici
le stipulant donne à l’adhérent deux choit de ou de ne pas adhérer et signé
contrat, cette choix qui résulte certain effet sur les obligations de l’adhérent qui
va être étudié ultérieurement.
L’offre présenter dans ce type de contrat dite le contrat d’adhésion et très
souvent accompagné par le contrat déjà prépare par le stipulant qu’on a affirmé
qui est la partie forte contient les clauses déjà déterminé par cette parties
souvent son intérêt, ou accompagné par un contrat-type disponible à tous les
intéresse du l’offre de le signe son négociation. Tout fois, avec l’offre existe une
acceptation qui ce change dans le contrat d’adhésion.
Paragraphe 2 : l’effet de l’adhésion sur l’acceptation.
L’acceptation Scelle le contrat[11], aussi, il marque le moment ou se forme le
contrat et nait l’engagement contractuel[12].le droit marocain ni la jurisprudence
marocain n’ont pas donné une définie au terme de l’acceptation, tandis que qu’il
est définie par le droit civil français "d’être l’acte unilatérale par lequel le
destinataire de l’offre manifeste sa volonté lié dans les termes de celle-ci[13]",
d’autre manière, l’acceptation et le consentement d’une personne – l’adhérent
dans notre cas- à un offre de contrat qui lui était faite.
Cette acception qui se change dès que le caractère de l’adhésion s’ajoute, par le
fais que l’acceptant ou l’adhérent ne présente pas son consentement sur les
clauses du contrat proprement dit, mais il donne son consentement de juste
s’adhère au contrat son négociation.
Chapitre 2 : le champ d’application de l’adhésion en droit marocain.
Le droit marocain ne régit pas expressément l’adhésion soit au dahir des
obligations et contrat soit aux autres lois qui régit les différent types de contrat
conclus sous le droit marocain.
Et même cette absence de législation régit l’adhésion ou proprement dit le
contrat d’adhésion, les personnes soit physique ou moral, soit du droit public ou
prive profite l’absence de règlement de ce types de contrat pour utiliser pour leur
bien fait qui est l’exploitation des besoins des gens.
Et dans cette partie en va étudier les champs marquant qui utilise l’adhésion
comme un technique de conclusion des contrats, débutant par le domaine de
service (section 1), et aussi le domaine de consommation et du banque et
assurance (section 2).
Section 1 : l’adhésion dans le domaine de service.
Au Maroc, le domaine de service et occupé par les deux acteurs, l’Etat et ses
établissement d’une part, et les services présenté notamment par les sociétés
commercial qui exerce domaine le domaine de services.
Paragraphe 1 : l’adhésion dans les contrats de services conclus avec les
personnes de droit public.
L’Etat du Maroc comme tout le monde et un Etat de services, c'est-à-dire que
l’Etat d’après l’administration et dans le cadre du bien vouloir, fournit tous les
services nécessaires pour le bien fonctionnement de tout le corps de l’Etat. Et La
plupart de ses services son adressé aux citoyen par le biais des contrats que
l’administration monopole leur construction.
Ses contrat son des contrats d’adhésion déjà préparé par l’administration avec
des clauses non négocier par quiconque. Et par exemple, le bureau d’eau potable
et d’électricité pour qu’un citoyen bénéfice de leur services il est obligé de
s’adhérer au contrat avec des clauses et termes déjà préparé par le dit bureau
avec aucun négociation, et la même chose par tout l’administration même s’ils
ont était mandaté a l’exploitation ou autre personne telle les sociétés.
Tout fois pour que l’Etat conclus ses contrat d’adhésion il utilise la technique le
contrat-type, cette dernier qui est " simple formules établie par un organisme
professionnel ou une administration destinée à servir de modèle pour de futurs
contrats que les sujet de droit concluant éventuellement plus tard"[14], c'est-à-
dire que l’administration prépare un contrat-type qui les dispose dans tous les
administration concerné chacun selon son domaine pour que les intéressé vient
de s’adhère et l’applique avec aucun négociation.
L’administration preuve cette pratique de l’adhésion depuis les contrats type par
le fais de la rapidité et l’efficacité que l’administration doit avoir par sacrifie des
droit des citoyen et l’oblige de s’adhérer aux clauses et termes qui peut être ne
peut par l’appliqué en future.
Paragraphe 2 : l’adhésion dans les contrats de services conclus avec les
personnes de droit privé.
En vue de monopole que certain personne soit physique ou moral peut avoir sur
certain services notamment celle de caractère technique, ils visent a exploité le
besoin des gens de ses service pour les obligé à adhérer au contrat formé selon
leur intérêt.
Comme exemple, les contrats conclus avec les sociétés de communication et
d’internet son des contrats qui exige seulement l’adhésion des clients son
négocier ni les clauses ni le prix.
Section 2 : le domaine de consommation et la banque et assurance.
Un autre domaine qui utilise les contrats d’adhésion très fréquent et les contrats
conclus en domaine de consommation, et finalement les contrats conclus avec les
banques et assurance.
Paragraphe 1 : les contrats de consommation.
D’abord, le contrat consommation se présente très souvent sous forme
d’adhésion à des clauses prédigérées par le professionnel, c’est donc le
professionnel par sa position dominante impose sa loi contractuelle[15], mais le
législateur dans la loi 31-08[16] n’a pas régie l’adhésion comme un technique de
conclusion du contrat surtout que le consommateur est besoin de la protection
au niveau de l’adhésion aux clauses fait par le fournisseur vue son qualité
économique.
Toutefois le législateur marocain dans l’article 18 de la loi 31-08 a fait mentionné
l’adhésion du consommateur à des clauses dont il n’a pas eu, effectivement,
l’occasion de prendre connaissance avant la conclusion du contrat, comme une
condition de la réalisation d’une clause abusive que le juge peut l’interprété ou
le modifier en faveur du consommateur comme en va vue dans la partie de la
protection de l’adhérent au contrat.
Paragraphe 2 : les contrats conclus avec les banque et assurances.
Prise en compte de l’intérêt économiques de ses sociétés considère de grand
valeur dans l’économie marocain, le législateur marocain n’a pas régler le recours
de ses société a la conclusion des contrats d’adhésion dans tout leur relation
contractuelle avec leur clients, soit dans la loi 103-12[17] ou dans la loi 17-
99[18].
Pour les banques, les contrats conclus avec eux sont principalement des contrats
d’ouverture d’un compte bancaires, ou le client le seul rôle qui a dans cette
relation et la signature du contrat et d’adhérer à leur clauses, son aucun
protection de dommage qui peut résulte éventuellement par cette adhésion. Un
autre contrat et celle de crédit ou le client –l’adhérent- vue son besoin de
financement les banque les exige de s’adhérer son négociation.
Et pour l’assurance, c’est la même chose que les banques, et le code d’assurance
avec une absence totale de tout règlement de l’adhésion des clients dans les
contrats d’assurance.
En droit marocain, le législateur consacre tacitement dans l'article119 n°31-08 le
principe de l’adhésion obligatoire au contrat d’assurance et autorise le prêteur à
imposer à l'emprunteur d'adhérer au contrat d'assurance collective qu'il a
souscrit. A cet effet, l’article 119 indique que «Lorsque le prêteur offre à
l'emprunteur ou exige de lui l'adhésion à un contrat d'assurance collective qu'il a
souscrit en vue de garantir en cas de survenance d'un des risques que ce contrat
définit... »[19].
Partie 2 : les mesures protectrices de l’adhésion en droit marocain.
La conclusion du contrat avec le technique de l’adhésion produit certain effet sur
l’adhérer qui était obliger de consentir sur les termes et clauses du contrat sont
les négocier, c’est pourquoi que les contrats d’adhésion se caractérise toujours
par un déséquilibre significatif entre les contractants suivi par des clauses
abusives.
C’est pourquoi le législateur marocain comme tous les autres législations ont
fondue certain mesures protectrice pour régie l’adhésion au contrat est fondue
un équilibre contractuelle entre les partie pour une meilleure sécurité contractuel.
Ces mesures protectrices sont exercé par les deux la loi et le juge, c’est pourquoi
en va devise cette chapitre en deux partie, par l’étude intervention de la loi pour
le règlement de l’adhésion (chapitre 1), afin d’étudies la protection mis en œuvre
par le juge (chapitre 2).
Chapitre 1 : intervention de la loi pour le règlement de l’adhésion.
En droit marocain, il existe plusieurs règle qui peut jouer un rôle de protection
contre le déséquilibre contractuelle qui est le cause l’adhésion ainsi qu’un résultat
d’elle (section 1), et aussi la protection contre les clauses abusives (section 2).
Section 1 : le rôle de la loi contre un déséquilibre contractuel.
Dans cette sous-partie en va déterminer en premier lieu ce qui veux dire le
déséquilibre contractuel, afin d’étudier le rôle de la loi dans la protection du
partie faible qui est le résultat direct du déséquilibre contractuel.
Paragraphe 1 : la lutte contre le déséquilibre contractuel.
La solidarité contractuelle exigerait un équilibre dans la relation contractuelle que
l'on peut définir comme «la juste répartition des éléments d'un tout. » Le concept
d'équilibre est celui de justice. Un contrat équilibré est un contrat juste dans la
répartition des charges et profits. On considère que cette juste répartition est
atteinte lorsque les parties retirent du contrat l'intérêt qu'elles recherchaient au
moment de son établissement. Lorsque cette juste répartition est absente, un
déséquilibre contractuel se crée.[20]
Faut-il l'admettre, le contrat d'adhésion qui est tout d'abord apparu comme un
instrument d'exploitation du faible, un lieu de déséquilibre contractuel, devient
également un procédé facilitant les transactions économiques compte tenu de
l'exigence de célérité et de multiplication des échanges[21]. C'est-à-dire que
l’adhésion est une technique fondue pour conclus les relations surtout
commercial qui exiges la conservation de la qualité économique du personne qui
control le capital, et de conserver le soumettre du partie faible qui dans la plupart
un consommateur du point de vue économique, soit un consommateur des
services ou de produit.
Pour que la loi avoir une meilleur surveillance sur les pratique des professionnel
dans les contrats d’adhésion, ses professionnel ont l’obligation d’adapter les
modèles qu’ils utilisent –les contrats types- à l’évolution législative[22] qui
accompagne la protection des relations contractuelle.
Paragraphe 2 : l’intervention de la loi pour protégé la partie faible du
contrat.
En entend par la partie faible, la partie qui peut été dépourvue soit de vigueur, de
la force physique ou moral[23], mais la partie faible dans le contrat est celle
dépourvue par la puissance économique ou technique de l’autre parties. Dans ce
qui résulte l’adhésion au contrat c’est la puissance économique ou technique –
connue dans le langage juridique par le professionnel- qui oblige l’adhérent de
se consentie sans négociation.
Protection par le DOC : le dahir des contrats marocain donne une protection
très général du parties faible sous le thème d’ignorance d’après l’article 427 qui
consacre que les obligations faite par les personnes illettrés son non valide s’ils
ont était faite par un notaire ou officier publics, mais c’est une protection
contourné par les développent qu’on vive maintenant.
Protection par l’obligation d’information : la loi 31-08 sur la protection reste le
meilleur outil pour protège la partie faible, et notamment par l’obligation
d’information[24] qui oblige le professionnel d’informé le consommateur (qui est
un adhérent en principe) de tous ce qui concerne le contrat est son objet, ainsi
que les effets que le contrat va produit. Au sien de l’obligation d’information il
existe l’obligation du conseil qui oblige le professionnel de donne les conseils
nécessaires au partie faible afin de construire un consentement total et d’adhérer
au contrat avec toute connaissance de ses effets et ses droit.
Protection par le droit de rétractation : c’est une faculté reconnu par la loi à
l’une des parties au contrat de revenir de manière discrétionnaire, sur le
consentement qu’il a fourni lors de la conclusion du contrat[25]. c’est un droit
reconnu au consommateur par l’article 36 de la loi 31-08 sur la protection du
consommateur en faveur de ce dernier qui est toujours la partie faible du contrat,
et dans le cadre que le contrat de consommation et une contrat d’adhésion
d’excellence, dans les contrat d’adhésion qui relève du champs d’application,
l’adhérer a les droit d’une 7 ou 30 jours si le professionnel n’a pas honorer son
engagement jours après la conclusion du contrat de le quitté si cette dernier s’il
a senti que son consentement au contrat a était l’objet d’une exploitation de
l’autre partie.
Mais ses disposition son très limité car il protège une parte des personnes qui
entre dans le champ d’application du la loi 31-08, est en sais que l’adhésion et
utilisé dans un vaste domaine que de la consommation.
Section 2 : la relation entre l’adhésion et les clauses abusives.
L’adhésion et les clauses abusives son deux phénomène qui s’accompagne dans
quiconque le contrat ou le première existe, d’où le fait que la partie puissance qui
impose son clauses du contrat sur la partie faibles toujours utilise des clauses qui
ne sont pas tous en faveur du l’adhérer. C’est pourquoi en va étudier la
protection fondue par la loi contre les clauses abusives.
Paragraphe 1 : une introduction sur les clauses abusives en droit marocain
La doctrine marocain définie les clauses abusive par les clauses qui déséquilibre
les droit et obligation des contractant sur le consommateur[26], ainsi défini par
tout clause obligé sur le consommateur par le professionnel à causes de la
qualité économique de ce dernier[27], qui représente le cadre le fait d’adhérer au
contrat.
De point de vue judicaire, le cours de cassation française a défini les clauses
abusives dans l’un des arrêts d’être la clause qui peut d’après son objet ou son
effets d’annuler ou démineur le droit du consommateur de remboursement en
cas ou le professionnel n’exécute pas ses obligation[28].
Tout fois, Pour qu’il une clause soit qualifier abusives, le législateur marocain
d’après l’article 18[29] la loi 31-08 à déterminé certain condition qui doit être
présente dans le contrat le qualifier abusive.
Ses éléments qui peuvent être résumé en deux :
Puissance économique de l’une des parties nommées professionnel ou
fournisseur qui se caractérise par son expérience dans les contrats ainsi que son
monopole du produit ou services qu’il offre, en plus que leur connaissance dans
les domaines économiques et juridiques[30].
Un autre élément et le nombre des clauses que les professionnel imposent sur le
partie faibles et leur détailles ainsi que parfois l’utilisation du langage impératif,
et pour le professionnel il inscrit pour son faveur des clauses facile à interpréter
avec des effets très connue[31].
Et pour le moyen de preuve les clauses abusives, le législateur a donner un autre
mesures de protection dont le fais que la partie faible o l’adhérer n’est que de
dire qu’il a un clauses abusives, et l’articles 34[32] de la loi 31-08 incombe la
charge du professionnel de prive que le contrat ne contient aucun signe de
clause abusive.
Paragraphe 2 : Protection contre les clauses abusives :
Le droit marocain surtout dans la loi 31-08 n’a pas définie les clauses abusives,
mais il a porté une protection contre eux, c’est d’après l’article 18 de la loi de
consommation marocain édicte 17 conditions et formes cité par le législateur de
manière indicative et non exhaustive, qui peux être utilise lors de l’interprétation
des clauses des contrats pour les déterminé d’être abusives ou non.
Et si l’un des clauses son considéré abusive, donc vient l’article 19 de même loi
qui dispose « son nulles et nul les clauses abusives contenue dans les contrats
conclus entre fournisseur et consommateur », et sa ce qui appel à la loi
l’annulation prévu par la loi, et selon le même article, le contrat reste valide
même après l’annulation des clauses abusives. Mais c’est une protection pas
efficace car il s’applique sur un champ très petit du domaine d’application de
l’adhésion.
Chapitre 2 : l’intervention du juge pour le règlement de l’adhésion :
En plus de la loi, le juge a toute moment que la partie faible ou l’adhérant
cherche la justice pour protéger ses droits, il interfère avec des principes
différents du celle du droit commun. Cette dernier qui se caractérise par deux
règles stricte, le premier et que le contrat et la loi des partie, tant que le
deuxième et le contrat ne être modifie que par le consentement des parties.
Mais en ce qui concernes les contrats d’adhésion et de consommation,
l’intervention du juge et mis pour protège la partie faible et de protège les
relations contractuel afin de protégé la sécurité contractuel en générale.
Donc comment le juge mis son control sur le contrat d’adhésion ? Pour le
répondre en va devise cette partie en deux, commençant par l’intervention du
juge pour modifier le contrat (section), ainsi que son intervention pour
l’interprétation du contrat (section 2).
Section 1 : l’intervention de juge pour modifier le contrat.
L’intervention du juge pour la protection de la partie faible dans un contrat de
caractère d’adhésion se fait par le pouvoir décisionnaire du juge, mais il existe
certain moyen d’intervention comme la révision du contrat par exemples, et
l’annulation de certaine clause ou du contrat en total.
Paragraphe 1 : la révision des clauses.
L’un des clauses qui considère abusives et que l’adhérant se consentie très
souvent c’est les clauses compromissoires, ce dernier qui s’emploi par le
professionnel dans quelque contrat afin de garantie l’exécution du contrat. Et qui
résulté un dommage a l’adhérant dans qui était obligé de le consentie, a cette
raison le juge peut toujours interfère en faveur du partie faible ou l’adhérent pour
le protège.
Et comme exemple, le tribunal de premiers instance à Fès dans un jugement
prévoit « d’où la nature de la compensation conventionnel détermine par le
contrat come une sanction de la non-exécution du contrat, d’une part c’est un
moyen de réparation du dommage causé par la non-exécution du contrat […]
donc cette clauses peut changer la qualité des contractants et délimite le principe
de libre contractuelle prévu par l’article 230 du dahir du contrat, dont le fait que
l’un des partie peut donner son consentement sous certain condition avec des
clauses abusives, qui exige l’intervention du juge pour restauré l’équilibre entre
contractants … »[33].
C’est pourquoi le juge peut intervient afin de révisé les clauses abusives
notamment celle qualifier compromissoires afin de garantie l’exécution du
contrat avec tout justice et son dommage pour la partie faible, et dans ce cadre
vient un jugement de tribunal de premiers instance de Asfi qui dispose la
possibilité au juge d’intervient pour réviser la clause compromissoires »[34]
Paragraphe 2 : l’annulation des clauses.
L’article 19 de la loi 31-08 donne au juge le pouvoir d’annuler le contrat de
consommation (qui se caractérise par son caractère d’adhésion) à tout moment
quand cette contrat port une clause abusive. Cette nullité qui incombe la clause
qualifiée d’abusives ne donne aucun effet soit à l’égard des parties ou du contrat.
En revanche, cette nullité n’attaque que les clauses qualifier d’abusives, et le
contrat lui-même Le contrat restera applicable dans toutes ses autres dispositions
s’il peut subsister sans la clause abusive précitée[35].
Et dans le cadre du droit comparé, dans un affaires devant les tribunaux française,
notamment dans une décision n° 2017/050625[36] de tribunal de commerce de
paris, « cette dernier a jugé de la suppression et la modification de sept clauses
qualifier abusives qui ont créé un déséquilibre entre les parties et qu’est
profitable pour l’une des parties qu’est la grand société de vente par internet «
Amazon ». Toutefois le tribunal de commerce à statuer paiement d’une amende
de quatre millions d’euros»[37].
Et pour l’annulation du contrat en total, l’article 52 du dahir des contrats
marocain parle de l’annulation du contrat par le dol, et que la partie faible peut le
recours devant un juge vu son adhésion à un contrat qui comprend des clauses
qui peut certain élaboré au contrat par l’exploitation du l’ignorance ou le besoin
du l’adhérent, ce qui donne la possibilité de l’annulation totale du contrat.
Section 2 : l’intervention du juge pour l’interprétation du contrat.
Dans le contrat d’adhésion ou la partie faibles signe le contrat sans le négocier et
même sans le lire, le stipulant qui est la partie forte peut inclus au contrat des
clauses difficile à comprendre par un simple contractants et qui exige
l’intervention d’un partie expert pour l’interprété et la protection du partie faible.
Cette interprétation qui va être l’objet de l’étude de cette section comme suite.
Paragraphe 1 : les mesures d’interprétation.
A l’instar, le contrat dont les clauses sont claires, il n’est pas besoin de l’interprété
selon le porté de l’article 461 du dahir des contrats qui dispose « lorsque les
termes de l’acte sont formels, il n’y a pas lieu à rechercher quelle a été la volonté
de son auteur », d’autre part, le contrat claire peut être interpréter lorsque les
termes semble différent de la foi des contractants, comme le cas d’utilisation des
termes qui n’exprime pas le fond du contrat[38] selon l’article 462[39] du même
dahir qui détermine les cas d’interprétation.
Mais le législateur d’après la loi 31-08 sur la protection du consommateur a
fondue un règle unique en faveur de consommateur (qu’est toujours un
adhérant), c’est d’après l’article 16[40] du dite loi qui dispose que le juge lors de
l’interprétation du contrat peut à toute moment dépassé les règle instauré par le
dahir des contrats qui délimite cette intervention, notamment les articles du 461
à 473.
Ainsi et selon le même article le juge lors l’appréciation des clauses abusive peut
se référant au moment de la conclusion du contrat, avec tous les circonstances
qui entourent sa conclusion, ainsi et plus important le juge pour mais en
comparaison deux contrat pour interpréter l’une lorsque ses deux contrat ont
était conclus dans les mêmes conditions et leur effet juridique son le même selon
le même article précité.
Paragraphe 2 : Le recours à des critères objectifs d’interprétation.
Cela se voit clairement dans les dispositions des articles 230 et 231 du Dahir des
obligations et contrats qui prévoient que tout engagement valablement formé
doit être exécuté de bonne foi et oblige, non seulement à ce qui y est exprimé,
mais encore à toutes les suites que la loi, l'usage ou l'équité donnent à
l'obligation d'après sa nature.
Ce sont presque les mêmes dispositions prévues par le législateur français a
prévu dans l'article 1104 que l'engagement qui a comme source le contrat doit
s'effectuer de bonne foi...
L'article 1194 dispose : que les contrats non seulement à ce qui y est exprimé,
mais encore à toutes les suites que leur donnent l'équité, l'usage ou la loi.
Du coup on peut dire que ce n'est pas le contenu contractuel qui s'impose aux
parties lorsque l'ambiguïté fait face à son interprétation subjective tout en
cherchant de mettre en valeur la volonté exprimée par les détenus chacun envers
l'autre, mais le juge par ce moyen la peut se déroger aux principes généraux du
droit, voire, le principe de la bonne foi et l'équité contractuelle conformément à
ce que lui prescrit la loi.

Conclusion :

Les changement économique qui ont touché les relations contractuelle en


particulier ont donné naissance à des nouvelle technique de conclusion des
contrats, le plus souvent c’est le technique d’adhésion au contrat.
Cette dernier qui est le résultat d’existence d’une partie économiquement forte
face à une autre partie faible soit au niveau économique au juridique, le fait qui
donne au partie forte de force son terme de contracté sur l’autre partie.
Tout fois cette technique d’adhésion résulte certain problème soit au niveau de
conclusion du contrat et surtout au niveau de conclusion de cette contrat
caractérisé par l’adhésion, comme l’insertion des clauses abusives dans le contrat
en ce qui concerne la phase préparatoire du contrat, ou des difficulté d’exécution
à cause des clauses force sur la partie faible, el les problème sont nombreux.
En revanche, certain solution pour protégé la partie faible dans les contrat
d’adhésion. Ces solutions qui vient soit du part de la lois, dans le fait que certain
loi son dédier pour protège la partie faible. Ou des solution judicaire par certain
technique donner au juge afin de protégé le partie faibles dans les relation
contractuel.

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