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- Sémiologie Digestive

A- Médicale
I- Ictère
Q1- Quelle affection se traduit par une coloration jaune des téguments et des muqueuses par
élévation de la concentration plasmatique de Bilirubine ?
Rep : Ictère
Q2- Quel type d’ictère est dû soit à une hyperproduction de bilirubine libre soit à un déficit en
glucoruconjugaison ?
Rep : Ictère à bilirubine libre ou indirect
Nb. Ictère à bilirubine conjugué ou direct dû à une cholestase, c’est-à-dire à une diminution
ou absence de la sécrétion biliaire dans le duodénum
Q3- Parmi ces signes cliniques suivants, lequel n’est pas retrouvé dans l’ictère cholestatique ?
A- Coloration jaune cutanéomuqueux
B- Urines foncées mousseuses de volume normal
C- Diarrhées en jus de melon
D- Bradycardie
E- Prurit tenace insomniante avec lésions de grattage
Rep : C – Diarrhées en jus de melon (retrouvées dans la fièvre typhoïde)
Nb. Les autres signes sont : Hépatomégalie ferme sensible à bord inférieur mousse – Préciser
l’existence ou non d’une grosse vésicule – La loi de Courvoisier et Terrier
Q4- Quel syndrome est caractérisé par une Hyperbilirubinémie à prédominance conjuguée
avec une augmentation des GGT, des PAL, du cholestérol T, un TP bas avec un test de koller
positif ?
Rep : Syndrome de cholestase
Nb. Test de koller positif : taux de prothrombine bas mais se normalisant à l’injection
parentérale de vitamine K
Q5- Dans l’ictère à bilirubine non conjugué, comment est l’aspect des urines ?
Rep : Urines foncées non mousseuses
Q6- Dans l’ictère à bilirubine conjugué, comment est l’aspect des selles ?
Rep : Selles décolorés
Q7- Quels sont les éléments qui constituent la triade de chauffard ?
Rep : Ictère, splénomégalie et pâleur des muqueuses
Nb. Triade de chauffard retrouvée dans l’hémolyse chronique
Q8- Quel type d’anémie a-t-on à la biologie dans l’ictère à bilirubine non conjugué ?
Rep : Anémie normochrome normocytaire régénérative
Q9- Dans quel type d’hémolyse souvent mal toléré retrouve-t-on une pâleur des muqueuses,
des douleurs abdominales ou lombaires, des urines rouges porto ?
Rep : L’hémolyse aigue
Q10- Dans l’ictère cholestatique ou rétentionnel, comment est le bord inférieur du foie ?
Rep : Mousse

II- Insuffisance Hépatocellulaire


Q1- Quel syndrome est définit par l’ensemble des signes cliniques et biologiques résultant
d’un dysfonctionnement plus ou moins complète des hépatocytes ?
Rep : Le syndrome d’insuffisance hépatocellulaire
Q2- Par quel terme désigne-t-on l’ensemble des troubles neuropsychiques en rapport avec
l’insuffisance hépatocellulaire ?
Rep : Encéphalopathie Hépatique
Q3- Mis à part l’angiome stellaire et l’hippocratisme digital, citez deux autres signes
cutanéomuqueux du syndrome d’insuffisance hépatocellulaire ?
Rep : Erythrose palmaire et ictère
Nb. On peut avoir aussi : Peau fine et fragile
Q4- Lequel de ces signes n’est pas retrouvé dans le syndrome d’insuffisance
hépatocellulaire ?
A- Gynécomastie
B- Constipation
C- Ascite
D- Epistaxis
E- Aménorrhée
Rep : B – Constipation
Q5- La pathogénie de l’encéphalopathie hépatique est en partie liée à quel trouble
métabolique ?
Rep : Hyperammoniémie
Nb. L’Hyperammoniémie provient de la dégradation des protéines dans le côlon par la flore
digestive, le cycle de l’urée étant déficient.
Q6- Quel signe caractéristique de l’encéphalopathie hépatique au stade II est une odeur
douceâtre de l’haleine comparée à l’odeur de pomme pourrie ?
Rep : le foetor hepaticus
Q7- Par quel terme désigne-t-on une interruption brusque et brève de la contraction
musculaire souvent désigné improprement sous le nom de flapping tremor ?
Rep : Astérixis
Q8- Dans quel stade de l’encéphalopathie hépatique retrouve-t-on ces éléments : des crises
convulsives, une rigidité de décérébration, une hyperventilation fréquente, une abolition des
réflexes ostéotendineux et une mydriase ?
Rep : Stade IV
Q9- En cas d’insuffisance hépatocellulaire, on note une altération de la synthèse de quels
facteurs de la coagulation synthétisés par le foie ?
Rep : facteurs I (fibrinogène), II, V (pro-accélérine), VII, et X
Q10- Dans l’insuffisance hépatocellulaire, quel signe non spécifique, mais presque constant
peut être si marqué dans certains cas que le malade reste immobile dans son lit ?
Rep : Asthénie

III- Abcès du foie


Q1- Quelle pathologie est caractérisée par une hépatite aigüe inflammatoire souvent non
cytolytique réalisant une collection suppurée au sein de la glande et dont les causes les plus
fréquentes sont bactériennes ou parasitaires ?
Rep : L’abcès du foie
Q2- Quel examen morphologique est l’examen clé du diagnostic d’un abcès du foie
permettant aussi de guider la ponction pour identifier le ou les germes responsables ?
Rep : L’échographie
Q3- Quels sont les éléments constitutifs de la triade de Fontan ?
Rep : Hépatomégalie douloureuse et fébrile
Q4- Mis à part la Baisse de l’albuminémie, l’augmentation de la bilirubine, le taux
d’hémoglobine inférieur à 10g/100 ml et une insuffisance rénale, Quel est l’autre facteur de
gravité en cas d’abcès hépatique ?
Rep : La présence d’un choc
Q5- Parmi les signes physiques suivants, lequel peut être retrouvé dans l’abcès du foie ?
A- Angine de Duguet
B- Subictère ou ictère franc
C- Langue saburrale
D- Raideur de la nuque
E- Rougeur des plans superficiels
Rep : B- Subictère ou ictère franc

IV- Hypertension Portale


Q1- Quelle pathologie est définie soit par une augmentation de la pression portale au-delà de
15 mm Hg, soit par une élévation du gradient de pression porto-cave au-delà de 5 mm Hg ?
Rep : Hypertension portale
Q2- Quel syndrome se traduisant par d’importantes dilatations veineuses péri-ombilicales en
"tête de méduse" peut être retrouvé dans l’hypertension portale ?
Rep : Syndrome de Cruveilhier-Baumgarten
Q3- Quelles sont les 3 complications les plus fréquentes en cas d’hypertension portale ?
Rep : Ascite, hémorragie digestive et encéphalopathie hépatique

V- Douleurs biliaires
Q1- Par quel terme désigne-t-on cette douleur de l’hypochondre droit, d’installation brutale,
rapidement maximale, Intense, continue, sans position antalgique, Irradiant « en bretelle »,
durant 2 à 4H accompagnée de vomissements ?
Rep : Colique hépatique
Q2- Quel signe caractéristique de la douleur biliaire résulte de l’association d’une douleur
provoquée de la région vésiculaire et d’une inhibition respiratoire ?
Rep : Signe de Murphy
Q3- Dans quelle pathologie retrouve-t-on une succession en 48H de douleur, fièvre, puis
ictère ?
Rep : Angiocholite
Q4- Par quel terme désigne-t-on une inflammation aiguë de la vésicule biliaire, souvent liée à
une obstruction prolongée du canal cystique ?
Rep : Cholécystite aigüe
Q5- Dans la cholécystite aigue dans sa forme typique, à part la douleur biliaire > à 6 heures
associée à une fièvre entre 38-39°C, quel autre signe peut-on avoir ?
Rep : défense de l’hypochondre droit
Nb. La défense de l’Hypochondre droit traduit une nécrose voire perforation de la vésicule
biliaire
Q6- Quelles complications doivent-on évoquer devant une douleur biliaire qui dure plus de
6h ?
Rep : cholécystite aiguë, angiocholite, Ou pancréatite aiguë
VI- Douleurs abdominales
Q1- Quelle douleur de siège épigastrique à type de brûlure d’irradiation ascendante, rétro
sternale, traçante jusqu’à la base du cou d’intensité variable, habituellement modérée, durant
quelques secondes ou mois, déclenchée par l’antéflexion et s’accompagnant de régurgitations
acides et d’éructations ?
Rep : reflux gastro-œsophagien
Q2- Quelle douleur de siège épigastrique à type de crampe ou torsion, habituellement sans
irradiation, d’intensité variable, parfois très intense, postprandiales durant 30 mn à 2h sans
position antalgique et calmée par les aliments et les alcalins ?
Rep : Douleur ulcéreuse
Q3- Quelle douleur de siège épigastrique, sus-ombilical, parfois dans l’hypochondre gauche à
type de crampe, d’irradiation dorsale, transfixiante, souvent prolongée, déclenchée par la prise
d’alcool et d’aliments et Calmée par l’antéflexion (position penchée en avant), le plus souvent
sans horaire précis pouvant s’accompagner de diarrhée et amaigrissement rapide ?
Rep : Douleur pancréatique
Q4- Quelle douleur de type épigastrique, en cadre, dessinant le côlon, ressentie aux 2 fosses
iliaques, paroxystique à début brutal (crampe ou distension), brève et à sédation rapide par
l’émission de gaz ou de selles d’irradiation descendante le long du cadre colique, d’intensité
très variable dont la durée est de quelques minutes à quelques heures s’accompagnant de
gargouillis abdominaux, ballonnement, troubles du transit?
Rep : Douleur de type colique
Q5- Par quel terme désigne-t-on l’association d’une douleur ou un inconfort épigastrique
associé à d’autres symptômes sans rapport avec le transit digestif survenant au moins 12
semaines dans une année écoulée?
Rep : La dyspepsie fonctionnelle

VII- Diarrhée-Syndrome dysentérique-Constipation


Q1- Par quel terme désigne-t-on une augmentation de la fréquence (plus de 3 selles / j) mais
surtout du poids des selles des 24h (supérieur à 300mg/24h) ?
Rep : Diarrhée
Complétez
Q2- La diarrhée est aigue lorsqu’elle dure moins de ………. ?
Rep : 8 à 10 jours
Nb. On parlera de diarrhée chronique lorsqu’elle dépasse 2 à
3 semaines
Q3- Quel syndrome est défini par l’ensemble de symptômes du à l’inflammation du colon et
qui associe des douleurs abdominales aboutissant à l’émission de selles très nombreuses
afécaloïdes ?
Rep : Syndrome dysentérique
Q4- Par quel terme désigne-t-on cette sensation douloureuse de tension, de corps étranger
rectal provoquant le besoin incessant d’aller à la selle ?
Rep : ténesme
Q5- Par quel terme désigne-t-on ces douleurs siégeant dans tout l’abdomen suivant plus ou
moins le trajet du côlon, permanentes avec des renforcements paroxystiques et
s’accompagnent d’une envie impérieuse d’aller à la selle ?
Rep : épreintes
Q6- Par quel terme désigne-t-on le retard de l’évacuation du bol fécal qui est en outre de
consistance dure et se traduit par la diminution de la fréquence des selles (normalement entre
1 à 2 par 24h) ?
Rep : Constipation
Complétez
Q7- La constipation est dite chronique lorsqu’elle dure au moins ……. ?
Rep : 6 mois

VIII- Dysphagie-Vomissement-Pyrosis-Régurgitation
Q1- Par quel terme désigne-t-on la sensation d’arrêt sur le trajet de l’œsophage lors de la
déglutition ?
Rep : Dysphagie
Q2- Quel type de dysphagie indolore, progressive, survenant d’abord pour les aliments
solides, puis elle devient de plus en plus importante touchant les liquides et même la salive
s’accompagne d’un amaigrissement progressif intense ?
Rep : Dysphagie au cours du cancer
Q3- Quel type de dysphagie est généralement intermittente et s’accompagne souvent de
signes de RGO ?
Rep : Dysphagie dans l’œsophagite
Q4- Citez 3 diagnostics différentiels d’une dysphagie ?
Rep : Anorexie, Déshydratation intracellulaire, angine, Boule œsophagienne
Q5- Comment appelle-ton le brusque rejet d’une partie ou de La totalité du contenu
gastrique ?
Rep : Vomissement
Q6- Par quel terme désigne-t-on sont des reflux de liquides ou d’aliments provenant de
l’œsophage ou même de l’estomac et survenant sans effort, sans nausées ?
Rep : Régurgitations
Q7- Quelle est cette expression clinique la plus complète du syndrome de reflux
gastroœsophagien est une douleur épigastrique, à type de brûlure rétro sternale ascendante et
traçante habituellement post prandial ?
Rep : Pyrosis

IX-Hépatomégalie
Q1- Comment appelle-ton cette mesure sur la ligne médio claviculaire, ou encore ligne
mamelonnaire par repérage du bord supérieur à la percussion, et par repérage du bord
inférieur à la percussion ou à la palpation ?
Rep : Flèche hépatique
Vrai ou faux
Q2- Chez l’enfant et en particulier chez le nourrisson, un débord hépatique de 1 à 1,5 cm doit
être considéré comme pathologique, s’il est souple et régulier ?
Rep : Faux
Q3- Quel est l’examen d’imagerie de première intention, systématique quand on suspecte une
hépatomégalie ?
Rep : Echographie abdominale
Q4- Quelle cause fréquente d’hépatomégalie se traduisant par une hyperéchogénicité à
l’échographie, avec anomalies biologiques limitées à une élévation de la gamma-GT, et à une
élévation modérée des transaminases est liée à une surcharge en graisse au niveau du foie ?
Rep : Stéatose
Q5- Le diagnostic de quelle maladie génétique liée à une surcharge en fer au niveau hépatique
repose sur l’élévation du fer sérique, de la ferritinémie, du coefficient de saturation de la
transferrine et de la quantification du fer hépatique par IRM ?
Rep : Hémochromatose
Q6- Dans la cirrhose, cause fréquente d’hépatomégalie, comment est le bord inférieur du
foie ?
Rep : Tranchant
Q7- Quelle tumeur développée aux dépens des hépatocytes, représente 90 % des cancers
primitifs du foie ?
Rep : Carcinome Hépatocellulaire
Q8- Mis à part un foie très dur et une élévation de l’alpha-foeto-protéine (AFP) à plus de 25
fois la valeur supérieure de la normale, quel est l’autre élément clinique en faveur du
diagnostic d’un CHC ?
Rep : L’existence d’une cirrhose préexistante (85 à 90 % des CHC se développent sur un foie
cirrhotique)
Q9- Quelle tumeur développée à partir des voies biliaires intra-hépatiques se présente
cliniquement comme une tumeur dure, volontiers massive, plus rarement multifocale avec un
ictère en cas d’infiltration hilaire et une élévation du CA 19.9 à la biologie ?
Rep : Le cholangiocarcinome intrahépatique

X- Hémorragies Digestives
Q1- Par quel terme désigne-t-on une défaillance cardio- circulatoire aiguë, non spontanément
réversible, accompagnée d’une TA systolique < 90 mm Hg et d’une souffrance tissulaire ?
Rep : Etat de choc
Q2- Quelle molécule biologique dont l’augmentation est le meilleur témoin d’un état de choc
est produit au cours d’un effort musculaire intense ?
Rep : Lactate
Q3- Par quel terme désigne-t-on une émission par la bouche de sang rouge ou noir au cours
d’efforts de vomissements ?
Rep : Hématémèse
Q4- Dans le méléna, émission par l’anus de sang, Comment est l’aspect de ce dernier ?
Rep : sang digéré, noir, fétide
Q5- Comment appelle-ton l’émission par l’anus de sang rouge non digéré témoignant d’une
hémorragie basse ?
Rep : Rectorragie
Q6- Comment appelle-t-on un saignement sans extériorisation visible, à l’origine d’une
anémie ferriprive ?
Rep : Saignement occulte
Q7- Citez 3 diagnostics différentiels d’hématémèse ?
Rep : Hémoptysie -Epistaxis dégluti -Ingestion de certains produits : betteraves ; vin etc.
Q8- Devant une hémorragie digestive, quels sont les critères hémodynamiques à surveiller ?
Rep : tension artérielle - rythme cardiaque- état de la peau et de la conscience
Q9- En cas d’hématémèse et/ou de méléna, l’interrogatoire du patient ou de ses proches
cherche :
A- Un antécédent d’ulcère gastrique ou duodénal
B- Des douleurs épigastriques d’allure ulcéreuse
C- la prise de médicaments gastro-toxiques (AINS +++)
D- Douleur brutale – diarrhée sanglante (colite ischémique)
E- Des vomissements ayant précédé le saignement (syndrome de Mallory Weiss)
Rep : D (En cas de rectorragie)
Q10- En cas d’hémorragie digestive haute, quel examen est essentiel pour identifier la lésion
qui saigne et apprécier le risque de récidive hémorragique ?
Rep : l’endoscopie oeso-gastroduodénale

XI- Ascites
Q1- Par quel terme désigne-t-on la présence de liquide sérofibrineux, non sanglant dans la
cavité péritonéale ?
Rep : Ascite
Complétez
Q2- Dans l’ascite de moyenne abondance, à l’inspection, les parois latérales sont affaissées
quand le patient est en décubitus dorsal réalisant ce qu’on appelle abdomen de…… ?
Rep : batracien
Q3- Dans l’ascite de moyenne abondance, à l’inspection, comment appelle-t-on cet aspect de
l’abdomen qui se projette en avant quand le patient est en position debout ?
Rep : L’aspect « ventre en obusier »
Q4- Il s’agit de quel signe ?
On pose une main sur le flanc gauche (par exemple) et on donne des chiquenaudes à l’aide de
l’autre main sur le flanc opposé. On peut demander à un aide de mette sa main sur la partie
médiane à hauteur de l’ombilic. Cela met en mouvement la masse liquidienne, donc on
perçoit l’onde de choc qui se propage jusqu'à la main posée passivement.
Rep : Signe du flot latéro-latéral
Q5- Il s’agit de quel signe ?
Quand on donne une impulsion dans la région abdominale, sous costale droite en cas
d’hypertrophie du foie par exemple, le foie hypertrophié ou toute masse hypertrophiée, plonge
dans le liquide et remonte à la surface en percutant la pulpe des doigts ; exactement comme
réalisé sur un glaçon placé dans un verre d’eau.
Rep : Signe du glaçon
Q6- Dans quelle pathologie retrouve-t-on à la percussion une matité déclive à concavité
supérieure mobile des flancs qui contraste avec le tympanisme péri ombilical du fait de l’air
contenu dans les organes creux ?
Rep : L’ascite
Q7- En cas d’ascite, la recherche d’un souffle notamment en cas de circulation veineuse
collatérale péri ombilicale nous oriente vers quel syndrome ?
Rep : syndrome de Cruveilhier-Baumgarten
Q8- A part les infections du liquide d’ascite, les désordres hydro-électrolytiques
(hyponatrémie) et un Syndrome hépatorénal, quel est l’autre complication de l’ascite
cirrhotique ?
Rep : Hernies ombilicales
Q9- A la percussion, une matité hypogastrique à limite supérieure concave vers le bas et non
mobile oriente vers quel diagnostic différentiel de l’ascite ?
Rep : Globe vésical
Q10- Quelles sont les 3 principales causes d’ascite ?
Rep : La cirrhose, l’insuffisance cardiaque droite et la carcinose péritonéale
Q11- L’ascite se développe que lorsque deux conditions sont réunies ; Lesquelles ?
Rep : Une hypertension portale et une rétention hydro sodée liée à l’insuffisance
hépatocellulaire

XII- Douleurs pancréatiques


Q1- Quel syndrome est caractérisé par une douleur aiguë paroxystique épigastrique, très
intense, à irradiation postérieure, calmée par l’antéflexion ?
Rep : Syndrome solaire
Complétez
Q2- Dans les cancers du pancréas, on dit que la tête est ictérique, le corps est douloureux et la
queue est…………. ?
Rep : Palpable ou tumorale
Q3- Quelle pathologie se définit par une autodigestion de la glande et, éventuellement, des
organes de voisinage par activation prématurée des proenzymes pancréatiques ?
Rep : Pancréatite aigue
Q4- L’association d’un syndrome douloureux abdominal aigue intense et d’une élévation de
la lipasémie supérieure à 3 fois la normale dans les 48h suivant le début des symptômes sont
le gold standard du diagnostic de quelle pathologie ?
Rep : Pancréatite aigue
Q5- Quel examen morphologique est l’examen de référence pour le diagnostic et l’évaluation
de la gravité dans la pancréatite aigüe permettant de mettre en évidence des lésions
pancréatiques et des Coulées nécrotiques péri-pancréatites ?
Rep : Scanner abdominal

XIII- Biologie Hépatique


Q1- Quels sont les 4 grands syndromes biologiques hépatiques ?
Rep : le syndrome de cytolyse, le syndrome de cholestase, le syndrome d’insuffisance
hépatocellulaire, le syndrome mésenchymateux.
Q2- Quelles enzymes hépatocytaires permettent d’apprécier l’existence et l’intensité de la
cytolyse ?
Rep : Les transaminases (ASAT = Aspartate Amino Transferase et ALAT = Alanine Amino
Transferase)
Q3- Le foie contient plus d’ALAT que d’ASAT, ainsi la cytolyse qui accompagne les
maladies de foie prédomine habituellement en ALAT exceptée dans deux cas ; lesquels ?
Rep : Hépatite alcoolique (la cytolyse prédomine en ASAT et Le rapport ASAT/ALAT est
> 1) et la Cirrhose (ceci quelle que soit l’étiologie de la maladie hépatique, la cytolyse peut
devenir prédominante en ASAT)
Q4- En cas d’élévation modérée des transaminases prédominant sur les ASAT, quelles sont
les deux étiologies à évoquer ?
Rep : Cytolyse hépatique (provoquée par l’alcool ou survenant sur une maladie au stade de
cirrhose) et Cytolyse musculaire (les cellules musculaires, notamment myocardiques
contiennent plus d’ASAT que d’ALAT)
Q5- En cas de doute, quelle enzyme spécifique des cellules musculaires doit-on doser afin
d’évoquer la nature musculaire d’une cytolyse lors des élévations modérées des transaminases
qui prédominent en ASAT ?
Rep : la créatine kinase (élevée dans les maladies musculaires et normale dans les atteintes
hépatiques)
Vrai ou faux
Q6- Le syndrome de cholestase ne témoigne pas d’une atteinte de la membrane hépatocytaire
mais d’une atteinte des mécanismes d’excrétion biliaire ?
Rep : Vrai
Nb. Le syndrome de cytolyse traduit une atteinte de la membrane hépatocytaire
Q7- Les enzymes de cholestase sont les enzymes dont l’activité sérique augmente en cas de
cholestase. Elles sont au nombre de 3, lesquelles ?
Rep : Phosphatases alcalines (PAL), 5’ Nucléotidases et Gamma-glutamyl-transpeptidases
(gGT).
Q8- En pratique, Le dosage conjoint de quelles enzymes est utilisé pour rechercher une
cholestase ?
Rep : gGT et PAL
Nb. Il faut faire attention en cas d’élévation isolée de l’une des deux enzymes : • Une
élévation isolée des phosphatases alcalines est habituellement en rapport avec une maladie
osseuse (car l’élévation des gGT est plus sensible dans la cholestase que celle des
phosphatases alcalines) • Une élévation isolée des gGT doit faire rechercher une induction
enzymatique (consommation excessive non reconnue de boissons alcoolisées ou prise
médicamenteuse).
Q9- Quels sont les facteurs de la coagulation Vitamine K dépendant ?
Rep : II, VII, IX et le X
Q10- La cholestase provoque une carence en vitamine K. Ainsi, lorsque les réserves en
vitamine K sont épuisées, il y a une diminution de la synthèse des facteurs hépatiques (qui
épargne le facteur V) et donc une diminution du TP. L’administration sous-cutanée de
vitamine K corrige le défaut de coagulation et donc normalise le TP en 48 heures. Comment
appelle-t-on ce test ?
Rep : Test de Koller positif
Q11- Dans quel syndrome retrouve-t-on un allongement du temps de Quick et donc une
diminution du TP, Le facteur V abaissé comme les autres facteurs et l’injection de vitamine K
qui n’a aucun effet ?
Rep : Le syndrome d’insuffisance hépatocellulaire
Q12- En pratique clinique, une forte hypergammaglobulinémie prédominant en IgG est un
signe qui oriente vers quelle pathologie ?
Rep : Hépatite auto-immune
Q13- En pratique clinique, une hypergammaglobulinémie polyclonale prédominant en IgA est
un signe qui oriente vers quelle pathologie ?
Rep : cirrhose alcoolique
Q14- Parmi les signes suivants, lequel n’est pas retrouvé dans le syndrome d’insuffisance
hépatocellulaire ?
A- Hypoalbuminémie
B- Chute du TP, non corrigée par la vitamine K
C- Hyperbilirubinémie mixte
D- Hypoglycémie
E- Hypercholestérolémie
Rep : E
Q15- Quel syndrome est caractérisé par une atteinte des cellules inflammatoires hépatiques
telles que les cellules de kupffer avec des stigmates de conflits immunologiques entrainant
une libération dans le sang d’anticorps et une possible gamma-globulinémie polyclonale (IgA
dans l’alcoolisme, IgG pour les viroses et hépatites auto-immunes et IgM pour la BCP)
Rep : Le syndrome mésenchymateux ou syndrome inflammatoire

XIV- Cirrhose
Q1- Quel syndrome anatomopathologique se définit comme une atteinte diffuse du foie par un
processus associant fibrose annulaire, nodules de régénération et modification de
l’architecture vasculaire ?
Rep : Cirrhose
Q2- Quelles sont les principales conséquences liées à la cirrhose ?
Rep : insuffisance hépatocellulaire, hypertension portale, état précancéreux
Q3- Dans la cirrhose, quelles est la proposition fausse :
La palpation retrouve :
A- Un foie de consistance dure, généralement régulière
B- Un foie douloureux
C- Un bord inferieur régulier, dur et surtout tranchant
D- Une surface antérieure lisse ou irrégulière
Rep : B
Vrai ou faux
Q4- La ponction biopsie hépatique est théoriquement indispensable pour affirmer le
diagnostic de cirrhose même lorsque le diagnostic de cirrhose est cliniquement évident.
Rep : Faux
Q5- Citez deux complications d’une Ponction biopsie hépatique ?
Rep : l’hémopéritoine, le cholépéritoine, le pneumothorax, le malaise vagal
Q6- En cas de cirrhose, quel score clinico-biologique est utilisé pour évaluer la réserve
hépatique ?
Rep : Score de Child Pugh

XV- Ulcère Gastroduodénal


Q1- Quelle maladie est caractérisée par une perte de substance de la paroi gastrique ou
duodénale amputant la totalité des plans musculaires et limité au fond par une réaction
inflammatoire ?
Rep : Ulcère gastroduodénal
Q2- Par quel terme désigne-t-on les lésions limitées à la muqueuse et des ulcérations qui
atteignent la sous-muqueuse sans la dépasser ?
Rep : Erosions
Vrai ou faux
Q3- L’ulcère duodénal est, deux à trois fois plus fréquent que l’ulcère gastrique ?
Rep : Vrai
Q4- Parmi ces facteurs suivants, lequel n’est pas un facteur de risque de l’ulcère
gastroduodénal ?
A- Infection par Helicobacter pylori
B- Médicaments : Aspirine, Anti-inflammatoires non stéroïdiens (AINS)
C- Le tabac double le risque de survenue de l’ulcère gastrique ou duodénal
D- Facteurs génétiques
E- une exposition à l’amiante
Rep : E (facteur de risque de l’ascite)
Q5- Dans le syndrome ulcéreux typique, qu’est ce qui calme les douleurs ?
Rep : l’ingestion d’aliments ou d’antiacides
Q6- Citez 3 diagnostics différentiels de l’ulcère avant endoscopie ?
Rep : adénocarcinome gastrique ou lymphome gastrique, douleur pancréatique ou biliaire,
insuffisance coronarienne, péricardite, ischémie mésentérique, douleur vertébrale projetée,
dyspepsie non ulcéreuse
Q7- Citez 3 diagnostics différentiels de l’ulcère au stade endoscopique ?
Rep : adénocarcinome gastrique ulcériforme, ulcère gastrique lymphomateux, maladie de
Crohn gastrique ou duodénale
Q8- Quelles sont les 4 complications de l’ulcère ?
Rep : Hémorragie digestive, perforation, sténose et cancérisation

XVI- Reflux Gastroœsophagien et Hernie Hiatale


Q1- Par quel terme désigne-t-on le passage, à travers le cardia, d’une partie du contenu
gastrique dans l’œsophage ?
Rep : Reflux Gastroœsophagien
Q2- Par quel terme désigne-t-on la protrusion, permanente ou intermittente, d’une partie de
l’estomac dans le thorax à travers le hiatus œsophagien du diaphragme ?
Rep : Hernie Hiatale
Q3- Quels sont les deux symptômes quasi pathognomoniques de RGO permettant de poser le
diagnostic avec une quasi-certitude ?
Rep : Pyrosis et Régurgitations
Q4- Quels sont les deux examens complémentaires à réaliser pour poser le diagnostic d’un
RGO ?
Rep : la fibroscopie œsogastroduodénale et la pHmètrie des 24H
Q5- Quelles sont les 3 complications d’un RGO ?
Rep : Sténose peptique, Hémorragies digestives et Endobrachyœsophage ou muqueuse de
Barrett

B- Chirurgicale
I-Orientations diagnostiques devant une douleur abdominale aigue de
l’adulte
Q1- Quels sont les 4 syndromes abdominaux avec état de choc ?
Rep : L’infarctus mésentérique, La pancréatite aigüe, La rupture d’un anévrysme de l’aorte et
la Grossesse Extra-Utérine (GEU) rompue
Q2- Quel syndrome abdominal se présente habituellement sous l’aspect d’un syndrome à
début brutal, avec : une douleur diffuse à tout l’abdomen, accompagnée de vomissements,
avec état de choc. L’examen clinique est PAUVRE (+++), reste à étayer le diagnostic.
L’interrogatoire recherche: la notion de crises douloureuses abdominales postprandiales, les
ATCD cardio-vasculaires (+++): IDM, artériopathie, valvulopathies, phlébites et l’existence
d’un méléna au TR (+++), C’est l’imagerie qui fournit le diagnostic avec la TDM+++ ?
Rep : l’infarctus mésentérique
Q2- Dans quel syndrome abdominal retrouve-t-on une douleur épigastrique violente,
transfixiante, irradiant dans le dos s’accompagnant de nausées et de vomissements. A
l’examen clinique: nous avons des signes de choc, un météorisme et défense abdominale
diffuse ou localisée à l’épigastre. La discrétion des signes physiques contraste avec
l’importance des signes fonctionnels ?
Rep : Pancréatite aigue
Q3- Dans quel syndrome retrouve-t-on une douleur abdominale et dorso-lombaire brutale
avec état de choc chez un malade âgé et athéromateux. La clinique Recherchera une masse
abdominale battante et soufflante et vérifiera les pouls fémoraux. L’ASP montre des
calcifications vasculaires à concavité interne, en avant du rachis lombaire et le diagnostic est
confirmé par le scanner ?
Rep : La rupture d’un anévrysme de l’aorte
Q4- Dans quel syndrome abdominal retrouve-t-on une douleur ayant débuté dans le pelvis
pour rapidement diffuser à tout l’abdomen avec un état de choc hémorragique et contracture
et un retard des règles. Le TV met en évidence une masse latéro-utérine sensible et Le
diagnostic repose sur : les béta-HCG et l’échographie pelvienne qui montre une masse latéro-
utérine et un utérus vide ?
Rep : la Grossesse Extra-Utérine (GEU) rompue
Q5- Citez 4 douleurs abdominales avec fièvre ?
Rep : L’appendicite aigue, L’ulcère perforé bouché, La lithiase biliaire, La sigmoïdite
diverticulaire, L’abcès hépatique, La pyélonéphrite, La salpingite, La prostatite

II- Masses palpables de l’abdomen


Q1- Par quel terme de deux mots désigne-t-on toutes tuméfactions solides ou liquidiennes
développées aux dépens d’un organe ou d’une structure intra abdominale ?
Rep : Masse palpable
Q2- Toute masse dure, pierreuse avec des signes digestifs hauts à type d’épigastralgies,
lenteur à la digestion et une AEG doit faire penser à quelle tumeur ?
Rep : Tumeur gastrique
Q3- Toute masse de l’hypochondre droit mobile avec la respiration doit-faire évoquer quoi ?
Rep : Une hépatomégalie
Q4- Toute masse située au bord inferieur du foie, piriforme, mobile avec la respiration doit
faire évoquer quoi ?
Rep : Grosse vésicule
Q5- Toute masse de l’hypochondre gauche s’abaissant à l’inspiration avec un bord antérieur
crénelé doit-faire évoquer quoi ?
Rep : Splénomégalie
Q6- Toute masse de siège axial, du quadrant ombilical, battante, synchrone au pouls,
expansive avec un souffle à l’auscultation doit faire évoquer quoi ?
Rep : Anévrysme de l’aorte
Q7- On reconnaît un gros rein à l’examen physique grâce à deux caractères ; lesquels ?
Rep : Contact lombaire et ballottement rénal

III- Hémorragies Internes


Q1- Par quel terme désigne-t-on tout saignement non extériorisé susceptible d’entraîner des
signes plus ou moins francs de choc hémorragique ?
Rep : Hémorragie interne
Q2- Quels sont les trois étapes successives qu’on peut distinguer au cours du choc
hémorragique ?
Rep : Une phase de choc compensé, une phase de choc décompensé et une phase de choc
irréversible
Q3- Quelle est la principale cause d’hémorragie interne chez la femme jeune et doit être
systématiquement évoquée et recherchée chez toute femme en activité génitale présentant :
une anémie aiguë, une notion de retard des règles, une douleur ayant débuté dans le pelvis
pour rapidement diffuser à tout l’abdomen, avec défense abdominale et un toucher vaginal qui
met en évidence une masse latéro-utérine sensible ?
Rep : La grossesse extra-utérine rompue
Q4- Dans quelle forme étiologique des hémorragies internes secondaire aux traumatismes
ouverts ou fermés du thorax retrouve-t-on des signes de choc hémorragique associés aux
signes respiratoires tels qu’une asymétrie ventilatoire, Matité d’un hémithorax, un détresse
respiratoire, une diminution ou disparition du murmure vésiculaire, une abolition de la
transmission des vibrations vocales et la recherche de signes de compression avec la déviation
des bruits du cœur ?
Rep : L’hémothorax post-traumatique
Q5- Dans quelle forme étiologique des hémorragies internes secondaire aux plaies et
contusions de l’abdomen ou le plus souvent de la rupture d’un organe plein : rate, foie, rein
retrouve-t-on à la clinique des signes de choc hémorragique associés aux signes abdominaux
tels qu’une douleur abdominale aigue, un abdomen distendu, une défense abdominale, une
matité déclive, mobile avec conservation de la matité hépatique, un silence abdominal à
l’auscultation et aux Touchers pelviens : cul-de-sac douglas est plein et douloureux ?
Rep : L’hémopéritoine post-traumatique
Q6- Devant un patient qui présente une soif intense, un chute de la tension artérielle surtout la
maxima avec un pincement de la différentielle, un pouls filant à 120-140 battements/min, une
tachycardie, des marbrures, une oligurie, et une désorientation ; la prise en charge en urgence
doit débuter avec quelles mesures d’urgence ?
Rep : Hospitaliser le patient, Mettre en position latérale de sécurité, Oxygénation par voie
nasale, Mettre une voie veineuse de gros calibre et faire un Bilan biologique :
- NFS, GS-RH
- Bilan hémostase (TP, TCK, plaquettes)
- Ionogramme sanguin
- Urée-créatinine
- Bilan hépatique

IV- Proctologie
Q1- Par quel terme désigne-t-on une dilatation anormale de formations vasculaires
normalement présentes dans le canal anal ?
Rep : Hémorroïde
Q2- Les hémorroïdes internes peuvent être classées en 4 stades ; Lesquels ?
Rep :
- Stade 1 : hémorroïdes internes congestives non procidentes
- Stade 2 : procidence à la poussée et réintégration spontanée
- Stade 3 : procidence à la poussée et réintégration manuelle
- Stade 4 : procidence permanente non réductible
Q3- Quel stade des hémorroïdes internes correspond à une procidence permanente non
réductible ?
Rep : Stade 4
Q4- Quel stade des hémorroïdes internes correspond à une procidence à la poussée et
réintégration manuelle ?
Rep : Stade 3
Q5- Quel stade des hémorroïdes internes correspond à une procidence à la poussée et
réintégration spontanée ?
Rep : Stade 2
Q6- Quel stade des hémorroïdes internes correspond à des hémorroïdes congestives non
procidentes ?
Rep : Stade 1
Q7- Par quel terme désigne-t-on une ulcération siégeant au fond d’un pli radié de l’anus
responsable de douleurs intenses et de contracture sphinctérienne qui l’entretiennent ?
Rep : Fissure anale
Q8- Quel syndrome est caractérisé par une douleur anale déclenchée par les selles puis
disparait quelques minutes pour réapparaitre et durer plusieurs heures ?
Rep : Syndrome fissuraire
Q9- Quelle pathologie anale se manifeste par des douleurs anales vives, permanentes, souvent
pulsatiles s’accompagnant de fièvre et frissons variables et l’examen retrouve: une masse
anale, rouge tendue, luisante, douloureuse ou une douleur anale profonde, intense à la
palpation ?
Rep : Abcès anal
Q10- Quelle pathologie anale pouvant succéder à l’abcès ou s’installer d’emblée se manifeste
par un écoulement anal purulent et l’examen recherche l’orifice externe anal ou périanal, le
trajet induré et l’orifice interne au toucher ?
Rep : Fistule anale

V- Traumatismes abdominaux : contusions et plaies pénétrantes de


l’abdomen
Q1- Par quel terme désigne-t-on les lésions traumatiques du contenu abdominal sans solution
de continuité pariétale ?
Rep : Les contusions
Q2- Quel terme correspond aux plaies de la paroi abdominale dans lesquelles il existe une
effraction du péritoine pariétale avec ou sans lésion viscérale ?
Rep : Plaies pénétrantes
Q3- Par quel terme désigne-t-on l’association de plusieurs lésions d’organe dont une au moins
engage le pronostic vital ?
Rep : Le polytraumatisme
Vrai ou faux
Q4- le sondage urinaire est formellement interdit en cas de suspicion de lésion urétrale.
Rep : Vrai

VI- Sémiologie de la sténose du pylore de l’adulte


Q1- Par quel terme désigne-t-on l’ensemble des manifestations liées à un rétrécissement du
pylore entravant l’évacuation gastrique et entrainant une stase gastrique ?
Rep : Sténose du pylore
Q2- La sténose du pylore évolue en 2 phases ; Lesquelles ?
Rep : Une phase de lutte ou phase sthénique ou phase tonique et une phase d’atonie gastrique
ou phase asthénique
Q3- Dans la sténose du pylore, quelle phase est observée au début du processus pendant
laquelle l’estomac tente de surmonter l’obstacle ?
Rep : phase de lutte ou phase sthénique ou phase tonique
Q4- Dans la sténose du pylore, quelle phase est caractérisée par une dilatation monstrueuse de
l’estomac avec stase gastrique importante ?
Rep : une phase d’atonie gastrique ou phase asthénique
Q5- Dans la sténose du pylore à la phase de lutte, quels signes physiques sous forme de
reptations de siège sus ou péri ombilicales spontanées ou déclenchées par des chiquenaudes,
traversent l’épigastre de gauche à droite ?
Rep : Les ondulations péristaltiques
Q6- Comment appelle-t-on ce signe ?
Lorsque l’on secoue le patient à jeun à l’aide des 2 mains placées sur les flancs, on perçoit à
l’oreille nue ou à l’auscultation des bruits hydro-aériques.
Rep : Le clapotage à jeun
Q7- Dans la sténose du pylore, dans quelle phase retrouve-t-on les signes suivants :
Des douleurs épigastriques postprandiales survenant plus de 3heures après le repas,
d’intensité et de durée croissantes, des vomissements postprandiaux alimentaires survenant
tardivement après les repas, un état général conservé, des ondulations péristaltiques sous
forme de reptations et un clapotage à jeun ?
Rep : phase de lutte ou phase sthénique ou phase tonique
Q8- Dans la sténose du pylore, dans quelle phase retrouve-t-on les signes suivants :
Des douleurs épigastriques moins importantes, sourdes, continues et ont tendance à
disparaitre, des vomissements plus abondants, espacés, dits « en tombereau », l’absence
d’ondulations péristaltiques, le clapotage à jeun plus marqué, un état général altéré avec
amaigrissement net, asthénie mais appétit conservé, Soif, sécheresse des muqueuses, pli
cutané, TA basse, yeux enfoncés qui traduit la déshydratation intra et extracellulaire, une
dénutrition, parfois une anémie (pâleur des muqueuses) et une insuffisance rénale qui est
longtemps fonctionnelle ?
Rep : phase d’atonie gastrique ou phase asthénique
Q9- Dans quelle phase de la sténose du pylore le transit oeso-gastro-duodénal montre une
dilatation gastrique importante parfois monstrueuse atteignant le pelvis avec absence
d’incisure pariétale et de passage de la baryte à travers le pylore ?
Rep : phase d’atonie gastrique ou phase asthénique
Q10- Dans quelle phase de la sténose du pylore le transit oeso-gastro-duodénal montre une
dilatation gastrique +/- importante avec la baryte qui tombe en flocon de neige, des incisures
verticales +/- profondes sur la grande courbure et un passage tardif de la baryte qui est lent et
incomplet ?
Rep : phase de lutte ou phase sthénique ou phase tonique
Q11- Dans quelle phase de la sténose du pylore le bilan biologique est très perturbé avec des
troubles hydro électrolytiques à type d’hyponatrémie, d’hypokaliémie et d’hypochlorémie,
une hémoconcentration avec hématocrite élevé, une anémie, une hypoprotidémie, une
Hypoalbuminémie, une augmentation de l’urée et de la créatininémie et une alcalose
métabolique ?
Rep : phase d’atonie gastrique ou phase asthénique
Q12- Dans quelle phase de la sténose du pylore l’état général est très altéré avec un
amaigrissement net, une asthénie mais appétit conservé, une Soif, la sécheresse des
muqueuses, un pli cutané, une TA basse, des yeux enfoncés qui traduit la déshydratation intra
et extracellulaire, une dénutrition, parfois une anémie (pâleur des muqueuses) et une
insuffisance rénale qui est longtemps fonctionnelle ?
Rep : phase d’atonie gastrique ou phase asthénique
Q13- Dans quelle phase de la sténose du pylore l’état général est conservé et le bilan
biologique peu perturber ?
Rep : phase de lutte ou phase sthénique ou phase tonique
Q14- Dans quelle forme clinique de la sténose du pylore de l’adulte retrouve-t-on des
douleurs qui sont moins fréquentes, des vomissements plus constants associés parfois à des
hématémèses, une AEG précoce avec amaigrissement, anorexie, des signes de dénutrition et
déshydratation nette et la palpation peut d’emblée retrouver une masse épigastrique
irrégulière, dure, indolore, une hépatomégalie nodulaire dure et un ganglion de Troisier ?
Rep : Sténose pyloroduodénale d’origine tumorale
Q15- Dans quelle forme clinique de la sténose du pylore de l’adulte, la fibroscopie oeso-
gastro-duodénale retrouve une tumeur bourgeonnante ou ulcérée de l’antre gastrique saignant
facilement au contact qu’il faudra biopsier pour un examen histologique ?
Rep : Sténose pyloroduodénale d’origine tumorale

VII- Appendicite aigue


Q1- Comment appelle-t-on l’inflammation aigue de l’appendice iléo-caecale ?
Rep : L’appendicite aigue
Q2- Dans l’appendicite aigue, quels sont les éléments qui constituent la triade caractéristique
de Dieulafoy ?
Rep : hyperesthésie cutanée, douleur provoquée de la fosse iliaque droite, défense localisée à
la fosse iliaque droite
Q3- Quel est le diagnostic le plus probable devant des douleurs d’apparition brutale ou
rapidement progressive avec des nausées, vomissements, constipation, pouvant être remplacée
diarrhée, une fièvre modérée à 38°, 38°5C, un pouls accéléré, une langue saburrale et la
Triade de Dieulafoy ?
Rep : L’appendicite aigue
Q4- Dans l’appendicite aigue, L’ASP très peu utile au diagnostic peut retrouver un niveau
hydro-aérique à la Fosse iliaque droite. Comment appelle-t-on ce dernier ?
Rep : Anse sentinelle
Q5- Il s’agit de quel signe ?
La décompression brutale de la Fosse iliaque droite déclenche une douleur.
Rep : Signe de Blumberg
Q6- Il s’agit de quel signe ?
La décompression de la Fosse iliaque gauche déclenche une douleur à la Fosse iliaque droite.
Rep : Signe de Rovsing
Q7- Comment appelle-t-on cette douleur provoquée en plaçant le patient en décubitus latéral
gauche et en réalisant une hyperextension de la hanche droite ?
Rep : Psoïtis
Q8- Dans quelle forme évolutive des appendicites aigues retrouve-t-on une douleur de la fosse
iliaque droite intense, une fièvre, une défense nette avec présence d’un empâtement dans la
fosse iliaque droite. A la paraclinique, la NFS montre une hyperleucocytose franche et
l’échographie abdominale une Collection purulente à la fosse iliaque droite avec des anses
agglutinées ?
Rep : Abcès appendiculaire
Q9- Dans quelle forme évolutive des appendicites aigues retrouve-t-on des douleurs de la
fosse iliaque droite, des nausées, une constipation, une fièvre à 38-38,5 °C et une masse
douloureuse, ferme, mal limitée, blindant la paroi abdominale, souvent retrouvée au toucher
rectal à bout de doigt ?
Rep : Plastron appendiculaire
Q10- Dans quelle forme évolutive des appendicites aigues retrouve-t-on des douleurs
abdominale diffuses, une fièvre à 39°, une défense généralisé ou contracture, un cri de
l’ombilic et du Douglas et à l’ASP, une grisaille diffuse avec des niveaux hydro-aériques ?
Rep : Péritonite appendiculaire
Q11- Dans quelle forme topographique des appendicites aigues retrouve-t-on une douleur
lombaire droite, parfois empâtement lombaire avec une attitude en psoitis, douleur provoquée
en plaçant le patient en décubitus latéral gauche et en réalisant une hyperextension de la
hanche droit ?
Rep : Appendicite rétrocæcale
Q12- Quelle forme topographique des appendicites aigues réalise un tableau d’occlusion
fébrile précédée de douleurs de la fosse iliaque droite, d’installation progressive avec un
appendice qui flotte au milieu des anses grêles ?
Rep : Appendicite méso-cœliaque
Q13- Quelle forme topographique des appendicites aigues réalise une douleur haut située avec
défense pouvant simuler une cholécystite aigue ?
Rep : Appendicite sous hépatique
Q14- Quelle forme topographique des appendicites aigues réalise une douleur basse,
accompagnée de signes pelviens urinaires (pollakiurie, dysurie) et rectaux (ténesme, faux
besoins) et une défense pelvienne ?
Rep : Appendicite pelvienne

VIII- Occlusions Intestinales


Q1- Comment appelle-t-on l’arrêt complet et persistant du transit des matières et des gaz au
niveau d’un segment quelconque du tube digestif par obstacle ou par paralysie ?
Rep : Occlusion Intestinale
Q2- Le diagnostic positif de l’occlusion intestinale est clinique devant la tétrade
sémiologique, ou « carré de l’occlusion » constituée de quels éléments ?
Rep : Douleur abdominale, vomissements, arrêt des matières et des gaz, météorisme.
Q3- Quel signe précoce dans les occlusions coliques ou basses définit le syndrome occlusif ?
Rep : L’arrêt des matières et des gaz
Q4- Dans l’occlusion intestinale, à l’ASP, comment appelle-t-on ces opacités basales à limite
supérieure horizontale, surmontées d'une hyperclarté ?
Rep : Niveaux hydro-aériques
Q5- Dans quel type d’occlusion les niveaux sont centraux, multiples, plus larges que hauts,
disposés en terrasses étagées, en tuyaux d'orgue, en marche d'escalier ou en damier, en arceau
avec des valvules conniventes formant des plis rapprochés et parallèles allant d’un bord à
l’autre de la paroi ?
Rep : occlusions grêliques
Q6- Dans quel type d’occlusion les niveaux sont périphériques, peu nombreux, volumineux,
et plus hauts que larges, avec des haustrations coliques formant des plis épais, espacés,
n’allant pas jusqu’à l’autre bord de la paroi et disposés en quinconce ?
Rep : Occlusions coliques
Q7- Dans les occlusions grêliques, comment sont les niveaux hydro-aériques ?
Rep : centraux, multiples, plus larges que hauts, disposés en terrasses étagées, en tuyaux
d'orgue, en marche d'escalier ou en damier, en arceau.
Q8- Dans les occlusions coliques, comment sont les niveaux hydro-aériques ?
Rep : périphériques, peu nombreux, volumineux, et plus hauts que larges disposés en cadre
Q9- Dans quel type d’occlusion intestinale retrouve-t-on à l’ASP des haustrations formant des
plis épais, espacés, n’allant pas jusqu’à l’autre bord de la paroi et disposés en quinconce ?
Rep : Occlusions coliques
Q10- Dans quel type d’occlusion intestinale retrouve-t-on à l’ASP des valvules conniventes
formant des plis rapprochés et parallèles allant d’un bord à l’autre de la paroi ?
Rep : Occlusions grêliques
Q11- Selon le mécanisme, quel type d’occlusion de début progressif souvent après des signes
inauguraux en rapport avec l’étiologie est caractérisée par un météorisme diffus, immobile,
silencieux, une distension radiologique gazeuse globale du grêle et du côlon et la présence
d’air dans le rectum ?
Rep : Occlusion fonctionnelle
Q12- Selon le mécanisme, quel type d’occlusion mécanique de début brutal est caractérisée
par une douleur importante, fixe, permanente et d’intensité croissante, des vomissements en
général précoces, un météorisme localisé et immobile et l’auscultation abdominale retrouve
un abdomen silencieux ?
Rep : Occlusion mécanique par strangulation
Q13- Selon le mécanisme, quel type d’occlusion mécanique de début progressif est
caractérisée par des douleurs intermittentes, évoluant par crises correspondant aux ondes
péristaltiques qui luttent contre l’obstacle, des vomissements par accumulation de liquide de
stase, un météorisme localisé au début, puis à l’ensemble du tube digestif d’amont et
l’auscultation abdominale retrouve des bruits de lutte ?
Rep : Occlusion mécanique par obstruction
Q14- Selon le siège, quel type d’occlusion est caractérisée par des vomissements précoces, un
arrêt du transit retardé, des signes généraux marqués, un météorisme central et peu
volumineux et l’ASP montre des niveaux hydro-aériques centraux, nombreux, plus larges que
hauts ?
Rep : Occlusions du grêle ou haute
Q15- Selon le siège, quel type d’occlusion est caractérisée par des vomissements tardifs, un
arrêt du transit précoce, des signes généraux peu marqués en dehors d’une complication
(perforation +++), un météorisme volumineux et l’ASP montre des niveaux hydro-aériques
peu nombreux, périphériques, disposés en cadre, plus hauts que larges ?
Rep : Occlusions du côlon ou basse
IX- Péritonites
Q1- Par quel terme désigne-t-on une inflammation aigue de la séreuse péritonéale ?
Rep : Péritonite
Q2- Quel est le signe clinique essentiel de la péritonite généralisée ?
Rep : La contracture
Q3- Quels sont les caractères de la contracture dans la péritonite aigue généralisée ?
Rep : tonique, rigide, invincible (Irréductible), douloureuse, Involontaire, permanente et
Généralisée
Nb. TRI/DIP G mnémotechnique pour retenir les caractères de la contracture dans la PAG
Q4- Quel est le diagnostic le plus probable devant un abdomen qui ne respire pas avec saillie
des muscles grands droits, un classique ventre de bois à la palpation, une disparition de la
matité pré-hépatique, un météorisme et une matité déclive des flancs et au toucher rectal, un
cri de Douglas ?
Rep : Péritonite
Q5- Un croissant gazeux inter-hépato-diaphragmatique ou sous diaphragmatique gauche sur
le cliché de l’ASP centré sur les coupoles témoigne de quelle pathologie ?
Rep : Pneumopéritoine
Q6- Dans quelles formes cliniques des péritonites s’observant chez le sujet âgé ou chez le
patient sous corticothérapie au long cours retrouve-t-on des signes généraux intenses, une
absence de contracture, un abdomen météorisé, sans bruit hydro-aérique, une défense
localisée ou généralisée, voire une simple douleur avec abdomen souple et une douleur au cul-
de-sac de Douglas au toucher rectal ?
Rep : Formes asthéniques
Q7- Dans quelles formes cliniques des péritonites, la symptomatologie débute par une douleur
épigastrique brutale en coup de poignard puis se généralisent et une défense. L’interrogatoire
retrouve souvent une notion de maladie ulcéreuse ou la prise de médicaments (AINS,
corticoïdes). A la percussion, il existe une disparition de la matité pré-hépatique et la
radiographie de l’abdomen sans préparation retrouve un pneumopéritoine en inter-hépato-
diaphragmatique ?
Rep : Péritonite par perforation d’un ulcère gastroduodénal
Q8- Par quel terme désigne-t-on l’étape intermédiaire entre une infection limitée à un organe
intra péritonéal et un abcès intra-péritonéal localisé autour de cet organe avec un foyer
infectieux cloisonné par les organes de voisinage se rencontrant plus volontiers après une
appendicite, une cholécystite, ou une diverticulite ?
Rep : Plastron
X- Hernie inguinale, crurale et ombilicale
Q1- Par quel terme désigne-t-on l’issue spontanée de viscères abdominaux hors de la cavité
abdominale à travers un point de faiblesse naturel de la paroi abdominale ?
Rep : Hernie
Q2- Par quel terme désigne-t-on issue d'une partie du contenu de l’abdomen à travers un point
de faiblesse iatrogène (cicatrice opératoire) de la paroi abdominale ?
Rep : éventration
Q3- Par quel terme désigne-t-on l’extériorisation des viscères à travers une brèche de la paroi
abdominale ?
Rep : éviscération
Q4- Par quel terme désigne-t-on l’issue de viscères abdominaux recouverts de péritoine
pariétal à travers cet orifice, situé au-dessus de l’arcade crurale (ligne de Malgaigne) ?
Rep : Hernie inguinale
Q5- Quels sont les caractères de la tuméfaction d’une hernie inguinale non compliquée ?
Rep : Indolore ; Impulsive à la toux (elle fait saillie au moment d'un effort de toux) ;
Expansive à la toux (le maintien d'une certaine hyperpression abdominale permet de la voir
augmenter de volume jusqu'à son maximal, en refoulant la peau) et Réductible (la pression
douce permet de la faire disparaître)
Q6- Quelle forme compliquée de la hernie inguinale se traduit par une hernie difficile à
réduire : la douleur augmente, il existe des petits troubles du transit avec nausées, et
vomissements ?
Rep : L'engouement herniaire
Q7- Quelle forme compliquée de la hernie inguinale est caractérisée par l’apparition brutale
d’une douleur paroxystique, de vomissements et d’un arrêt du transit et à l’examen clinique,
une tuméfaction douloureuse, non expansive, non impulsive et non réductible ?
Rep : L’étranglement herniaire
Q8- Par quel terme désigne-t-on l’issue de viscères abdominaux recouverts de péritoine
pariétal à travers l’anneau crural ?
Rep : Hernie crurale
Q9- Quel type d’hernie souvent méconnue, régulièrement révélateur à cause de la rigidité de
son orifice qui est à l’origine d’étranglements fréquents est une hernie de faiblesse acquise qui
ne se voit que chez l’adulte ?
Rep : Hernie crurale
Q10- Par quel terme désigne-t-on l’issue de viscères abdominaux recouverts de péritoine
pariétal à travers l’orifice ombilical ?
Rep : Hernie inguinale

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