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A- Médicale
I- Ictère
Q1- Quelle affection se traduit par une coloration jaune des téguments et des muqueuses par
élévation de la concentration plasmatique de Bilirubine ?
Rep : Ictère
Q2- Quel type d’ictère est dû soit à une hyperproduction de bilirubine libre soit à un déficit en
glucoruconjugaison ?
Rep : Ictère à bilirubine libre ou indirect
Nb. Ictère à bilirubine conjugué ou direct dû à une cholestase, c’est-à-dire à une diminution
ou absence de la sécrétion biliaire dans le duodénum
Q3- Parmi ces signes cliniques suivants, lequel n’est pas retrouvé dans l’ictère cholestatique ?
A- Coloration jaune cutanéomuqueux
B- Urines foncées mousseuses de volume normal
C- Diarrhées en jus de melon
D- Bradycardie
E- Prurit tenace insomniante avec lésions de grattage
Rep : C – Diarrhées en jus de melon (retrouvées dans la fièvre typhoïde)
Nb. Les autres signes sont : Hépatomégalie ferme sensible à bord inférieur mousse – Préciser
l’existence ou non d’une grosse vésicule – La loi de Courvoisier et Terrier
Q4- Quel syndrome est caractérisé par une Hyperbilirubinémie à prédominance conjuguée
avec une augmentation des GGT, des PAL, du cholestérol T, un TP bas avec un test de koller
positif ?
Rep : Syndrome de cholestase
Nb. Test de koller positif : taux de prothrombine bas mais se normalisant à l’injection
parentérale de vitamine K
Q5- Dans l’ictère à bilirubine non conjugué, comment est l’aspect des urines ?
Rep : Urines foncées non mousseuses
Q6- Dans l’ictère à bilirubine conjugué, comment est l’aspect des selles ?
Rep : Selles décolorés
Q7- Quels sont les éléments qui constituent la triade de chauffard ?
Rep : Ictère, splénomégalie et pâleur des muqueuses
Nb. Triade de chauffard retrouvée dans l’hémolyse chronique
Q8- Quel type d’anémie a-t-on à la biologie dans l’ictère à bilirubine non conjugué ?
Rep : Anémie normochrome normocytaire régénérative
Q9- Dans quel type d’hémolyse souvent mal toléré retrouve-t-on une pâleur des muqueuses,
des douleurs abdominales ou lombaires, des urines rouges porto ?
Rep : L’hémolyse aigue
Q10- Dans l’ictère cholestatique ou rétentionnel, comment est le bord inférieur du foie ?
Rep : Mousse
V- Douleurs biliaires
Q1- Par quel terme désigne-t-on cette douleur de l’hypochondre droit, d’installation brutale,
rapidement maximale, Intense, continue, sans position antalgique, Irradiant « en bretelle »,
durant 2 à 4H accompagnée de vomissements ?
Rep : Colique hépatique
Q2- Quel signe caractéristique de la douleur biliaire résulte de l’association d’une douleur
provoquée de la région vésiculaire et d’une inhibition respiratoire ?
Rep : Signe de Murphy
Q3- Dans quelle pathologie retrouve-t-on une succession en 48H de douleur, fièvre, puis
ictère ?
Rep : Angiocholite
Q4- Par quel terme désigne-t-on une inflammation aiguë de la vésicule biliaire, souvent liée à
une obstruction prolongée du canal cystique ?
Rep : Cholécystite aigüe
Q5- Dans la cholécystite aigue dans sa forme typique, à part la douleur biliaire > à 6 heures
associée à une fièvre entre 38-39°C, quel autre signe peut-on avoir ?
Rep : défense de l’hypochondre droit
Nb. La défense de l’Hypochondre droit traduit une nécrose voire perforation de la vésicule
biliaire
Q6- Quelles complications doivent-on évoquer devant une douleur biliaire qui dure plus de
6h ?
Rep : cholécystite aiguë, angiocholite, Ou pancréatite aiguë
VI- Douleurs abdominales
Q1- Quelle douleur de siège épigastrique à type de brûlure d’irradiation ascendante, rétro
sternale, traçante jusqu’à la base du cou d’intensité variable, habituellement modérée, durant
quelques secondes ou mois, déclenchée par l’antéflexion et s’accompagnant de régurgitations
acides et d’éructations ?
Rep : reflux gastro-œsophagien
Q2- Quelle douleur de siège épigastrique à type de crampe ou torsion, habituellement sans
irradiation, d’intensité variable, parfois très intense, postprandiales durant 30 mn à 2h sans
position antalgique et calmée par les aliments et les alcalins ?
Rep : Douleur ulcéreuse
Q3- Quelle douleur de siège épigastrique, sus-ombilical, parfois dans l’hypochondre gauche à
type de crampe, d’irradiation dorsale, transfixiante, souvent prolongée, déclenchée par la prise
d’alcool et d’aliments et Calmée par l’antéflexion (position penchée en avant), le plus souvent
sans horaire précis pouvant s’accompagner de diarrhée et amaigrissement rapide ?
Rep : Douleur pancréatique
Q4- Quelle douleur de type épigastrique, en cadre, dessinant le côlon, ressentie aux 2 fosses
iliaques, paroxystique à début brutal (crampe ou distension), brève et à sédation rapide par
l’émission de gaz ou de selles d’irradiation descendante le long du cadre colique, d’intensité
très variable dont la durée est de quelques minutes à quelques heures s’accompagnant de
gargouillis abdominaux, ballonnement, troubles du transit?
Rep : Douleur de type colique
Q5- Par quel terme désigne-t-on l’association d’une douleur ou un inconfort épigastrique
associé à d’autres symptômes sans rapport avec le transit digestif survenant au moins 12
semaines dans une année écoulée?
Rep : La dyspepsie fonctionnelle
VIII- Dysphagie-Vomissement-Pyrosis-Régurgitation
Q1- Par quel terme désigne-t-on la sensation d’arrêt sur le trajet de l’œsophage lors de la
déglutition ?
Rep : Dysphagie
Q2- Quel type de dysphagie indolore, progressive, survenant d’abord pour les aliments
solides, puis elle devient de plus en plus importante touchant les liquides et même la salive
s’accompagne d’un amaigrissement progressif intense ?
Rep : Dysphagie au cours du cancer
Q3- Quel type de dysphagie est généralement intermittente et s’accompagne souvent de
signes de RGO ?
Rep : Dysphagie dans l’œsophagite
Q4- Citez 3 diagnostics différentiels d’une dysphagie ?
Rep : Anorexie, Déshydratation intracellulaire, angine, Boule œsophagienne
Q5- Comment appelle-ton le brusque rejet d’une partie ou de La totalité du contenu
gastrique ?
Rep : Vomissement
Q6- Par quel terme désigne-t-on sont des reflux de liquides ou d’aliments provenant de
l’œsophage ou même de l’estomac et survenant sans effort, sans nausées ?
Rep : Régurgitations
Q7- Quelle est cette expression clinique la plus complète du syndrome de reflux
gastroœsophagien est une douleur épigastrique, à type de brûlure rétro sternale ascendante et
traçante habituellement post prandial ?
Rep : Pyrosis
IX-Hépatomégalie
Q1- Comment appelle-ton cette mesure sur la ligne médio claviculaire, ou encore ligne
mamelonnaire par repérage du bord supérieur à la percussion, et par repérage du bord
inférieur à la percussion ou à la palpation ?
Rep : Flèche hépatique
Vrai ou faux
Q2- Chez l’enfant et en particulier chez le nourrisson, un débord hépatique de 1 à 1,5 cm doit
être considéré comme pathologique, s’il est souple et régulier ?
Rep : Faux
Q3- Quel est l’examen d’imagerie de première intention, systématique quand on suspecte une
hépatomégalie ?
Rep : Echographie abdominale
Q4- Quelle cause fréquente d’hépatomégalie se traduisant par une hyperéchogénicité à
l’échographie, avec anomalies biologiques limitées à une élévation de la gamma-GT, et à une
élévation modérée des transaminases est liée à une surcharge en graisse au niveau du foie ?
Rep : Stéatose
Q5- Le diagnostic de quelle maladie génétique liée à une surcharge en fer au niveau hépatique
repose sur l’élévation du fer sérique, de la ferritinémie, du coefficient de saturation de la
transferrine et de la quantification du fer hépatique par IRM ?
Rep : Hémochromatose
Q6- Dans la cirrhose, cause fréquente d’hépatomégalie, comment est le bord inférieur du
foie ?
Rep : Tranchant
Q7- Quelle tumeur développée aux dépens des hépatocytes, représente 90 % des cancers
primitifs du foie ?
Rep : Carcinome Hépatocellulaire
Q8- Mis à part un foie très dur et une élévation de l’alpha-foeto-protéine (AFP) à plus de 25
fois la valeur supérieure de la normale, quel est l’autre élément clinique en faveur du
diagnostic d’un CHC ?
Rep : L’existence d’une cirrhose préexistante (85 à 90 % des CHC se développent sur un foie
cirrhotique)
Q9- Quelle tumeur développée à partir des voies biliaires intra-hépatiques se présente
cliniquement comme une tumeur dure, volontiers massive, plus rarement multifocale avec un
ictère en cas d’infiltration hilaire et une élévation du CA 19.9 à la biologie ?
Rep : Le cholangiocarcinome intrahépatique
X- Hémorragies Digestives
Q1- Par quel terme désigne-t-on une défaillance cardio- circulatoire aiguë, non spontanément
réversible, accompagnée d’une TA systolique < 90 mm Hg et d’une souffrance tissulaire ?
Rep : Etat de choc
Q2- Quelle molécule biologique dont l’augmentation est le meilleur témoin d’un état de choc
est produit au cours d’un effort musculaire intense ?
Rep : Lactate
Q3- Par quel terme désigne-t-on une émission par la bouche de sang rouge ou noir au cours
d’efforts de vomissements ?
Rep : Hématémèse
Q4- Dans le méléna, émission par l’anus de sang, Comment est l’aspect de ce dernier ?
Rep : sang digéré, noir, fétide
Q5- Comment appelle-ton l’émission par l’anus de sang rouge non digéré témoignant d’une
hémorragie basse ?
Rep : Rectorragie
Q6- Comment appelle-t-on un saignement sans extériorisation visible, à l’origine d’une
anémie ferriprive ?
Rep : Saignement occulte
Q7- Citez 3 diagnostics différentiels d’hématémèse ?
Rep : Hémoptysie -Epistaxis dégluti -Ingestion de certains produits : betteraves ; vin etc.
Q8- Devant une hémorragie digestive, quels sont les critères hémodynamiques à surveiller ?
Rep : tension artérielle - rythme cardiaque- état de la peau et de la conscience
Q9- En cas d’hématémèse et/ou de méléna, l’interrogatoire du patient ou de ses proches
cherche :
A- Un antécédent d’ulcère gastrique ou duodénal
B- Des douleurs épigastriques d’allure ulcéreuse
C- la prise de médicaments gastro-toxiques (AINS +++)
D- Douleur brutale – diarrhée sanglante (colite ischémique)
E- Des vomissements ayant précédé le saignement (syndrome de Mallory Weiss)
Rep : D (En cas de rectorragie)
Q10- En cas d’hémorragie digestive haute, quel examen est essentiel pour identifier la lésion
qui saigne et apprécier le risque de récidive hémorragique ?
Rep : l’endoscopie oeso-gastroduodénale
XI- Ascites
Q1- Par quel terme désigne-t-on la présence de liquide sérofibrineux, non sanglant dans la
cavité péritonéale ?
Rep : Ascite
Complétez
Q2- Dans l’ascite de moyenne abondance, à l’inspection, les parois latérales sont affaissées
quand le patient est en décubitus dorsal réalisant ce qu’on appelle abdomen de…… ?
Rep : batracien
Q3- Dans l’ascite de moyenne abondance, à l’inspection, comment appelle-t-on cet aspect de
l’abdomen qui se projette en avant quand le patient est en position debout ?
Rep : L’aspect « ventre en obusier »
Q4- Il s’agit de quel signe ?
On pose une main sur le flanc gauche (par exemple) et on donne des chiquenaudes à l’aide de
l’autre main sur le flanc opposé. On peut demander à un aide de mette sa main sur la partie
médiane à hauteur de l’ombilic. Cela met en mouvement la masse liquidienne, donc on
perçoit l’onde de choc qui se propage jusqu'à la main posée passivement.
Rep : Signe du flot latéro-latéral
Q5- Il s’agit de quel signe ?
Quand on donne une impulsion dans la région abdominale, sous costale droite en cas
d’hypertrophie du foie par exemple, le foie hypertrophié ou toute masse hypertrophiée, plonge
dans le liquide et remonte à la surface en percutant la pulpe des doigts ; exactement comme
réalisé sur un glaçon placé dans un verre d’eau.
Rep : Signe du glaçon
Q6- Dans quelle pathologie retrouve-t-on à la percussion une matité déclive à concavité
supérieure mobile des flancs qui contraste avec le tympanisme péri ombilical du fait de l’air
contenu dans les organes creux ?
Rep : L’ascite
Q7- En cas d’ascite, la recherche d’un souffle notamment en cas de circulation veineuse
collatérale péri ombilicale nous oriente vers quel syndrome ?
Rep : syndrome de Cruveilhier-Baumgarten
Q8- A part les infections du liquide d’ascite, les désordres hydro-électrolytiques
(hyponatrémie) et un Syndrome hépatorénal, quel est l’autre complication de l’ascite
cirrhotique ?
Rep : Hernies ombilicales
Q9- A la percussion, une matité hypogastrique à limite supérieure concave vers le bas et non
mobile oriente vers quel diagnostic différentiel de l’ascite ?
Rep : Globe vésical
Q10- Quelles sont les 3 principales causes d’ascite ?
Rep : La cirrhose, l’insuffisance cardiaque droite et la carcinose péritonéale
Q11- L’ascite se développe que lorsque deux conditions sont réunies ; Lesquelles ?
Rep : Une hypertension portale et une rétention hydro sodée liée à l’insuffisance
hépatocellulaire
XIV- Cirrhose
Q1- Quel syndrome anatomopathologique se définit comme une atteinte diffuse du foie par un
processus associant fibrose annulaire, nodules de régénération et modification de
l’architecture vasculaire ?
Rep : Cirrhose
Q2- Quelles sont les principales conséquences liées à la cirrhose ?
Rep : insuffisance hépatocellulaire, hypertension portale, état précancéreux
Q3- Dans la cirrhose, quelles est la proposition fausse :
La palpation retrouve :
A- Un foie de consistance dure, généralement régulière
B- Un foie douloureux
C- Un bord inferieur régulier, dur et surtout tranchant
D- Une surface antérieure lisse ou irrégulière
Rep : B
Vrai ou faux
Q4- La ponction biopsie hépatique est théoriquement indispensable pour affirmer le
diagnostic de cirrhose même lorsque le diagnostic de cirrhose est cliniquement évident.
Rep : Faux
Q5- Citez deux complications d’une Ponction biopsie hépatique ?
Rep : l’hémopéritoine, le cholépéritoine, le pneumothorax, le malaise vagal
Q6- En cas de cirrhose, quel score clinico-biologique est utilisé pour évaluer la réserve
hépatique ?
Rep : Score de Child Pugh
B- Chirurgicale
I-Orientations diagnostiques devant une douleur abdominale aigue de
l’adulte
Q1- Quels sont les 4 syndromes abdominaux avec état de choc ?
Rep : L’infarctus mésentérique, La pancréatite aigüe, La rupture d’un anévrysme de l’aorte et
la Grossesse Extra-Utérine (GEU) rompue
Q2- Quel syndrome abdominal se présente habituellement sous l’aspect d’un syndrome à
début brutal, avec : une douleur diffuse à tout l’abdomen, accompagnée de vomissements,
avec état de choc. L’examen clinique est PAUVRE (+++), reste à étayer le diagnostic.
L’interrogatoire recherche: la notion de crises douloureuses abdominales postprandiales, les
ATCD cardio-vasculaires (+++): IDM, artériopathie, valvulopathies, phlébites et l’existence
d’un méléna au TR (+++), C’est l’imagerie qui fournit le diagnostic avec la TDM+++ ?
Rep : l’infarctus mésentérique
Q2- Dans quel syndrome abdominal retrouve-t-on une douleur épigastrique violente,
transfixiante, irradiant dans le dos s’accompagnant de nausées et de vomissements. A
l’examen clinique: nous avons des signes de choc, un météorisme et défense abdominale
diffuse ou localisée à l’épigastre. La discrétion des signes physiques contraste avec
l’importance des signes fonctionnels ?
Rep : Pancréatite aigue
Q3- Dans quel syndrome retrouve-t-on une douleur abdominale et dorso-lombaire brutale
avec état de choc chez un malade âgé et athéromateux. La clinique Recherchera une masse
abdominale battante et soufflante et vérifiera les pouls fémoraux. L’ASP montre des
calcifications vasculaires à concavité interne, en avant du rachis lombaire et le diagnostic est
confirmé par le scanner ?
Rep : La rupture d’un anévrysme de l’aorte
Q4- Dans quel syndrome abdominal retrouve-t-on une douleur ayant débuté dans le pelvis
pour rapidement diffuser à tout l’abdomen avec un état de choc hémorragique et contracture
et un retard des règles. Le TV met en évidence une masse latéro-utérine sensible et Le
diagnostic repose sur : les béta-HCG et l’échographie pelvienne qui montre une masse latéro-
utérine et un utérus vide ?
Rep : la Grossesse Extra-Utérine (GEU) rompue
Q5- Citez 4 douleurs abdominales avec fièvre ?
Rep : L’appendicite aigue, L’ulcère perforé bouché, La lithiase biliaire, La sigmoïdite
diverticulaire, L’abcès hépatique, La pyélonéphrite, La salpingite, La prostatite
IV- Proctologie
Q1- Par quel terme désigne-t-on une dilatation anormale de formations vasculaires
normalement présentes dans le canal anal ?
Rep : Hémorroïde
Q2- Les hémorroïdes internes peuvent être classées en 4 stades ; Lesquels ?
Rep :
- Stade 1 : hémorroïdes internes congestives non procidentes
- Stade 2 : procidence à la poussée et réintégration spontanée
- Stade 3 : procidence à la poussée et réintégration manuelle
- Stade 4 : procidence permanente non réductible
Q3- Quel stade des hémorroïdes internes correspond à une procidence permanente non
réductible ?
Rep : Stade 4
Q4- Quel stade des hémorroïdes internes correspond à une procidence à la poussée et
réintégration manuelle ?
Rep : Stade 3
Q5- Quel stade des hémorroïdes internes correspond à une procidence à la poussée et
réintégration spontanée ?
Rep : Stade 2
Q6- Quel stade des hémorroïdes internes correspond à des hémorroïdes congestives non
procidentes ?
Rep : Stade 1
Q7- Par quel terme désigne-t-on une ulcération siégeant au fond d’un pli radié de l’anus
responsable de douleurs intenses et de contracture sphinctérienne qui l’entretiennent ?
Rep : Fissure anale
Q8- Quel syndrome est caractérisé par une douleur anale déclenchée par les selles puis
disparait quelques minutes pour réapparaitre et durer plusieurs heures ?
Rep : Syndrome fissuraire
Q9- Quelle pathologie anale se manifeste par des douleurs anales vives, permanentes, souvent
pulsatiles s’accompagnant de fièvre et frissons variables et l’examen retrouve: une masse
anale, rouge tendue, luisante, douloureuse ou une douleur anale profonde, intense à la
palpation ?
Rep : Abcès anal
Q10- Quelle pathologie anale pouvant succéder à l’abcès ou s’installer d’emblée se manifeste
par un écoulement anal purulent et l’examen recherche l’orifice externe anal ou périanal, le
trajet induré et l’orifice interne au toucher ?
Rep : Fistule anale