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Synthèse de la journée 2 du module 1 :

Groupe 1, Sous-groupe 2 :
Salimata KANTE
Cheick Oumar TRAORE
Sidi SIDIBE
Mohamed FOMBA
Thème principal : « S’approprier son environnement ».
A travers les différentes phases de cette journée, nous allons nous
intéresser à la question suivante :
« Par quels moyens la confiance se maintient-elle au sein du
système financier ».
La journée 2 du module 1 « s’approprier son environnement » nous enseigne à travers les
aventures d’Anatole MERCIER dans « sacré challenge », campus manager junior au sein de la
banque Utile démarre ses nouvelles missions.
Une question lancinante le taraude l’esprit encore : A-t-il fait le bon choix en entrant dans la
banque ? Il est bien décidé à saisir toutes les occasions et toutes les rencontres pour essayer
d’en savoir plus sur son environnement et conforter son choix. Sa mission est d’organiser le
salon étudiant des métiers de la Banque placé sous l’égide de « La banque d’aujourd’hui et
de demain » ainsi que son lot de conférences sur la thématique bancaire. Petit à petit, il
obtient des réponses, qui appellent d’autres questions.
Cette aventure nous éclaire sur la relation entre la banque et son environnement
économique et financier ainsi que les acteurs externes qui influent sur ses activités.
Cette journée nous donne une compréhension hiérarchisée des informations
règlementaires, juridiques et fiscale de l’environnement bancaire afin de pouvoir mesurer sa
portée et son impact sur son quotidien.
Elle est caractérisée par l’étude du lien entre banque et risque, des ratios mesurant le risque
bancaire d’une part et des acteurs du maintien de la confiance dans le système bancaire
ainsi que des outils dont ils disposent pour la surveillance des risques d’autres part.
Cette deuxième journée a aussi porté sur le rôle d’intermédiation de la banque.

I. Banque et Risques
Anatole Mercier lors de sa rencontre avec Claire la directrice des engagements, lui fait part
de la relation intime entre banque et risque ce qui nous a conduit à l’étude des différents

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types de risques et des ratios ainsi que de la réglementation prudentielle qui a pour rôle
d’assurer la solvabilité et la stabilité du système financier en imposant aux banques de se
constitués des fonds propres et gérer leurs réserves de liquidité.
Cette réglementation au niveau international est érigée par une instance appelée « Comité
BALE ».

Les ratios de mesure des risques selon Bale I, de Bale II et de Bale III
Cette étude nous a permis de nous faire une idée des différents types de risques :
- Risque de crédit : perte potentiel résultant d’une défaillante d’une contrepartie perte
potentiel
- Risque opérationnel : risque de perte résultant de la défaillance dans le processus
d’information d’erreur humaine ou d’évènements extérieurs
- Risque de marché : risque de perte résultant de prise de position au bilan et hors
bilan.
- Risque de l’liquidité : risque pour un établissement de ne pas pouvoir honorer ses
engagements par suite de l’inadéquation entre ses liquidités courts terme et ses
exigibilités court terme.
Ainsi que les différentes sortes de ratios a savoir :
- Ratio de liquidité LCR (Liquidity Creage Risting)
- Ratio de solvabilité
- Ratio de liquidité NSFR (: Net Stable Fund Ratio)
Les tableaux 1 et 2 ci-dessous représente une synthèse de la règlementation prudentielle et
des risques dans le système financier

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Tableau 1

Tableau 2

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II. Les Acteurs du maintien de la confiance et les moyens dont ils
disposent
Pour renforcer leurs stabilités et leurs crédibilités, les acteurs de la supervision tels que la
BCE, la banque de France, le ministère de l’économie et des finances, l’AMF, l’ACPR, etc…
soumettent les banques à certaines contraintes afin de conserver leurs agréments :
- Le respect de l’environnement juridique législatif et règlementaire
- Le respect des réglementations prudentiels
Les tableaux 3 et 4 donnent une représentation des acteurs de la supervision et du
processus de conservation des agréments.

Tableau 3

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Tableau 4

Cette réglementation prudentielle a été mis en place et a évoluée en fonction des crises
financières comme matérialisé dans le tableau 5

Tableau 5

5
Lors de l’entretien d’Anatole avec Inès la Directrice financière celle-ci associe banque et
confiance, malgré tout le risque inhérent à l’activité bancaire elle génère de la confiance
grâce aux acteurs de la supervision bancaire à l’aide de moyens de pressions (audit des
banques et compagnies d’assurance)
Pour que cette confiance demeure les acteurs de la supervision du système bancaire
imposent des obligations règlementaires à travers le respect des mesures prudentielles
(surtout ratios de solvabilité 8% dans Bâle II, de liquidité et de crédit) pour une stabilité du
secteur, la sécurité des déposants et une maitrise des risques.

III. Le rôle d’intermédiaire financier de la banque


La banque remplit des rôles irremplaçables dans l’allocation des ressources regroupés en 3
arguments :
1. Le traitement de l’information Les banques et leurs clients entretiennent des relations de
long terme. Les banques ne divulguent pas cette information au tiers et les concernent pour
elle-même. Lorsqu’une banque accorde un crédit à un client, cette opération peut être
analysée comme une signalisation à destination des tiers : le banquier estime que
l’emprunteur est un bon risque et la réputation de l’établissement est confortée.
2. L’expertise de la banque en matière d’évaluation et de suivi des risques Maitrise des outils
d’évaluation des risques qu’elles remettent aux agents à capacité de financement.
3. La banque est l’assurance de liquidité : Les dépôts bancaires, les crédits bancaires

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