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DEDICACE……………………………………………………..……………3
REMERCIEMENT……………………………………………..………….. 4
INTRODUCTION GENERALE.........................................................…...5
1) Définition de benchmarking………………..……………………….9
2) L’historique de benchmarking………….………………………….10
3) Typologie de benchmarking......................…...….....11 ; 12 ; 13 ; 14
4) Objectifs de benchmarking...............................................…...15 ; 16
1) Le benchmarking privée…………………………….….……..……..29
2) Le benchmarking public…………………………….…….…………30
a) Avantage :………………………………………..……….….31
1) Avantage de benchmarking pour l’entreprise ………..…..31
2) Avantage de benchmarking pour le client………….…….32
b) Limite :……………………………………………………….33
1) Limites de benchmarking pour l’entreprise……….…33 ; 34
2) Limites de benchmarking pour le client…………..…34 ; 35
CONCLUSION………………………………………………………..36
Introduction………………………………………………………………….38
Mieux vous connaitre……………………………………………...….39
Supply chain management……………………………………………44
Logistique, stratégie, management……………………………..……..52
Recommandation………………………………………………….….60
Conclusion de la partie………………………………………………..……..61
Conclusion générale…………………………………………………………62
Bibliographie…………………………………………………….…………..63
Webographie…………………………………………………….…………..63
Toutefois, dans le contenu de notre rapport, nous avons mis l’accent, en premier
lieu, le cadre théorique de benchmarking sur quatre volets tels que :
La présentation de benchmarking
Les étapes de sa réalisation
La différence entre benchmarking public et privée
Ses avantages et ses limites
Et dans un deuxième lieu, nous allons évoquer les cas des entreprises opérant au
Maroc, toute en répondant la question clé suivante : comment une entreprise
marocaine organise- t -elle ses stratégies de benchmarking ?
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(1) : J.BRILMAN ouvrage « les meilleurs pratique du management » chapitre 9 : benchmarking &
management, page 288-289.
(2) : JLENDRAVE, J. LEVEY et D. LONDON, dans l’ouvrage de « Mercator », page 1
(3) : XEROX, l’entreprise inventrice du concept de benchmarking
Les japonais ont pratiqué cette méthode depuis plusieurs décennies comme
un procédé aussi ancien que le monde, savoir ce que font les autres pour mieux
utiliser les processus qu’ils mettent en œuvre.
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(4) : G.J. BALM, « Evaluer Et Améliorer Ses Performances : Le Benchmarking », édition, AFNOR, 1992,
p.38
L'avantage est caractérisé par une plus grande possibilité à comparer les
résultats, puisqu'ils s'appliquent au même secteur, à lier les contacts et à effectuer
les visites. L'ajustement est également facilité, puisqu'elle porte sur le même
métier.
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(5) : Jacques ALEXANDRE - Marc BAZINET - Isabelle BONNEAU-BLAIRE - Guy CHADEBEC
Claude CORNEC - Jean-Claude COUSIN - Jean DURAND - Jacques GAUTRON - Bernard HAVRET
L’ouvrage « le guide de benchmarking » Chapitre-4 P.37
Rapport de projet de fin d’étude :
La notion de « BENCHMARKING » dans une entreprise 11
III.2 Le benchmarking concurrentiel : (6)
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(6) : Jacques ALEXANDRE - Marc BAZINET - Isabelle BONNEAU-BLAIRE - Guy CHADEBEC
Claude CORNEC - Jean-Claude COUSIN - Jean DURAND - Jacques GAUTRON - Bernard HAVRET
L’ouvrage « le guide de benchmarking » Chapitre-4 P.38
Rapport de projet de fin d’étude :
La notion de « BENCHMARKING » dans une entreprise 12
III.3 Le benchmarking fonctionnel : (7)
Il consiste de nous comparer avec les meilleurs au monde qui font ce que
nous faisons. En général, nous les découvrons dans les mêmes branches d’activité,
et il y a de fortes chances pour qu’ils soient prêts à échanger des informations
même confidentielles ; il est aussi sûr que nous pouvons découvrir des idées
d’améliorations ou de performance.
Les avantages sont du même ordre que ceux que l'on trouve en pratiquant le
benchmarking interne : facilité de relation et de comparaison, ajustement
relativement simple.
Les inconvénients sont celles du champ d'application, qui ne porte pas sur
des processus stratégiques ou tactique, et de l’absence de caractère créatif du fait
d'une culture liée au secteur de l'industrie. Par exemple dans les domaines comme
de la chimie/pharmacie, de l'énergie, de l'automobile, de l'informatique et des
télécommunications.
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(7) : Jacques ALEXANDRE - Marc BAZINET - Isabelle BONNEAU-BLAIRE - Guy CHADEBEC
Claude CORNEC - Jean-Claude COUSIN - Jean DURAND - Jacques GAUTRON - Bernard HAVRET
L’ouvrage « le guide de benchmarking » Chapitre-4 P.38-39
Les avantages sont donc variés tes : une coopération sans contrainte de
confidentialité, accès d'idées innovantes, relations durables et stables basées sur
un besoin mutuel et permanent d'informations.
en revanche certains difficultés qui subsistent sont relatées à une plus grande
difficulté à ajuster des pratiques qui viennent d'un secteur différent.
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(8) : Jacques ALEXANDRE - Marc BAZINET - Isabelle BONNEAU-BLAIRE - Guy CHADEBEC
Claude CORNEC - Jean-Claude COUSIN - Jean DURAND - Jacques GAUTRON - Bernard HAVRET
L’ouvrage « le guide de benchmarking » Chapitre-4 P.39
Contacts personnels
Visites et conversations
Téléphoniques
Avec le partenaire de
Benchmarking
COMMENTAIRE
Cette schéma (9) nous représente une brève description sur les différents
sources d’information pour l’entreprise désirant de trouver un partenaire à fin
d’appliquer un benchmarking externe (en dehors de l’entreprise) pour cela, elle a
la possibilité de consulter et de trouver un partenaire qui lui convient.
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(9) : INSTITUT D’INNOVATION INFORMATIQUE POUR L’ENTREPRISE (3IE) « LE
BENCHMARKING (Analyse comparative) CONCEPT ET MISE EN PLACE » P. 17
URL : www.3ie.org
• l‘entretien peut mener à des idées nouvelles, néanmoins aussi à des points
de tensions sur des points de confidentialité, bénéficiez au plus du temps
lors de votre entretien en :
guidant la visite.
Selon les écrivains (10), une entreprise peut s’auto évaluer à fin
d’entreprendre le benchmarking en plaçant le chiffre 1 en face de chaque question
et dans la colonne appropriée selon que son entreprise est : complètement,
partiellement, très peu ou pas du tout prête, et ensuite en multipliant le total de
chaque colonne par le coefficient de 6 à 0, il obtiendra un total pondéré par
colonne. Le résultat de l’addition des totaux pondérés est le score permettant de
positionner l’entreprise.
8 - L’engagement au changement
s’articule autour d’une planification
stratégique de l’entreprise
TOTAL DE LA COLONNE
COEFFICIENT 6 4 2 0
TOTAL PONDERE
SCORE GLOBAL
Méthodologie
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Il sera précisé auprès de qui pourront être diffusées toutes les informations
collectées, qui resteront confidentielles. Il sera aussi mentionné que toutes les
informations ne pourront pas être employées à d’autres fins que celles précisées.
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(12) : Hermel & P.Achard (2007) « 100 questions pour comprendre le benchmarking » édition AFNOR page 92
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(13) : Hermel & P.Achard (2007) « 100 questions pour comprendre le benchmarking » édition AFNOR page 92
(14) : INSTITUT D’INNOVATION INFORMATIQUE POUR L’ENTREPRISE (3IE) « LE BENCHMARKING
(Analyse comparative) CONCEPT ET MISE EN PLACE » P. 17
URL : www.3ie.org
Le benchmarking peut être l’option du propriétaire en cas d’une entreprise privée, comme il
peut provenir dans le secteur public, en vue de mener une amélioration organisationnelle
Le secteur privée eut benchmarker en vue d’obtenir des avantage sur a concurrence.
Toute en recherchant des solutions de changement au niveau organisationnel.
♦ Augmenter la productivité
Notre enquête montre que 76,92% des entreprises appliquant les stratégies
de benchmarking opèrent leurs activités en ayant un périmètre d’activité multi
site, contre 23% des entreprises de périmètre d’activité mono site.
transformateur de
matieres
Concepteur de 0%
produits Assembleur de
8% composants
service bancaire et 8%
revendeure
34%
Distributeur de
produits
50%
Notre enquête montre que 50% des entreprises appliquant le concept sont
des entreprises de distributions de produits , contre, 8 ,33% de concepteurs de
produits et assembleurs de composants, et 33, 33% de service bancaire et
revendeurs.
Cette situation est due par son apport de prospérité dans le secteur de
distribution notamment dans le secteur des automobiles.
Contrairement les entreprises ayant un secteur d’activité dans le domaine
d’emballage, de chimie, para chimie, pétrolier et bâtiment qui sont quasiment
absent sur le marché national.
Notre analyse nous montre que les entreprise benchmarkant ont une
maille de prévision de vente réparties comme suite : 43% des entreprises
benchmarkant effectuent leurs provisions de ventes à la famille du produit, 36%
à l’unité de vente consommateur et le reste 21% à la sous famille de produit.
A.4. Quelle entité est chargée à déterminer et à mettre à jour vos prévisions de ventes ?
0% 86% 0% 0% 14%
Commentaire et interprétation n° 8:
Commentaire et interprétation n° 13
A/ Stratégie
A.1.selon vous, le supply chain Mangement est-il compté comme un enjeu stratégique
par votre entreprise ?
OUI 70%
NON 30%
OUI 54%
NON 46%
Selon notre enquête, nous observons que 54% des entreprises connaissent
le supply chain management de leurs concurrents contre 46%.
Cette situation nous éclaircis que les entreprises ayant une connaissance
sur le supply chain management de leurs concurrents tentent de mieux connaitre
les menaces potentielles ou les meilleurs pratiques à fin de mettre en place une
stratégie adéquate et solide qui lui permettra de benchmarker une activité qui lui
semble par exemple faible ou en régression.
OUI 62%
NON 38%
Notre enquête nous montre que 62% des entreprises appliquant le concept
de benchmarking ont un manager qui centralise le supply chain management,
contre le reste 38% de ces entreprises qui ne le dispose pas.
Commentaire et interprétation n° 19
Cette situation nous exprime les principaux acteurs qui sont présents en
cas ou les entreprises ne centralisent pas leurs supply chain management avec un
responsable déterminé.
73 27
Commentaire et interprétation n° 21
avec d’autres sites de la avec des confrères du même avec des entreprises d’autres
même entreprise secteur secteurs
33,33% 33,33% 33,33%
cette situation nous démontre qu’il existe une partie qui néglige l’enjeu de
traçabilité en matière de facilité aux information qui sont généralement très
important pour l’analyse et la prise de décision ou pour les enquêtes qui seront
réalisée dans l’entreprise .
B) Les solutions :
Il s’agit d’un processus très rentables, car il est fondée sur les principes
des meilleurs pratique que normalement qui doit se confronter avec la violenté
de chaque entreprises, car pour gagner il faut trouver une meilleure pratique et
se présenter sur le terrain professionnelle.
Son enjeu est important car cette démarche est une forme d’étalonnage
concurrentiel cherchant à orienter la direction dans ses applications pour
contribuer des changements stratégiques (améliorer la compétitivité, réduire les
coûts, améliorer le niveau de satisfaction de la clientèle, …) et à valider le
progrès réalisé à l’intérieur d’une démarche d’amélioration continue de
l’efficacité.
Webographie
URL : www.3ie.org