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Action collective

Le droit du travail en France repose sur :

- Le capitalisme est sinon légitime, légal


- Mais progressivement, c’est is en place des inégalité

« l’emploi, explique alain supiot, est né de ce grand pacte, issu des luttes syndicales de ‘ere
industriele, qui a consister a echanger l’alienation au travail, le renoncement a dire son mt sur la
production, contre des limitations du temps de travail et de la séurité physique et économique ». Cet
echange s’inscrit ans une legislation sociale de plus en plus fournie tout au long des décennies pour
proteger les salariés. Le code du travail s’est épaissie au fil du temps :

- Création de la commission du grouvernement pour les travailleurs en 1848


- Loi sur le travail des enfnts, et des filles mineures dans l’industrie en 1874
- Loi emile olicvier qui met en place le droit de greve
- Loi waldeck rousseau en 1884 droit des organisation syndicales
- 1892 loi sur le travail des enfants, filles mineures et des femmes dans les industries, avec une
inspection du travail
- Loi sur l’hygiene dans les etablissements industriel
- Loi martin nadaud 1898 sur les accidents du travail loi clé
- 1900 le contrat de subordination : objet d’intention,
- 1906 loisur le repos hebdomadaire
- 1910 : loi sur les retraites ouvrieres et paysannes

Au fil du 20ème, cette legislation se diversifia et devint de plus en plus protectrice pour les salarié du
fait :

 Des conquetes sociales des travailleurs à la faveur


- Du front populaire de 1936
- De la greve generale de 1968
- Des luttes sociales des années 70
 De situations politiques exemptionnelles
- Progrramme du conseil national de resistance, programme d’une société qui se voulait en
rupture totles avec le monde d’avant la guerre
- libération
 De penseurs considerant que la paix sociales et l’équilibre économique passe par une
redistribution
- Keynésiens
- Beveridgiens

Pendant plus d’un siecle, cette legislation s’ameliore du point de vue des salaris. PRappeons que
cette evolution ne compte pas pour rien dans le pull et la legitimation de l’instituttion du travail au
point que nous sommes entrés dans la société du travail et une société de travail. Progressivement,
du fait de l’etoffment de la legislation de la protection des salariés, travailler signifia de moins en
moins etre quasiment sans droit comme cela avait été le cas jusqu’aux années 1860-1880 depuis le
decrets d’allerd et la loi le chapelier de 1791 (qui retirait le droit de se regrouper).
En résument, si l’on exepte la periode de vichy qui interdit le droit de greve et le droit syndical,ces
droits de salariés n’ont cessé de s’etendre jusqu’au bout des années 1980. Une des quatre lois
Auroux (1982) portera ateinte a ce mpipveùent historique. Au nom de la lutte en faveur de l’emploi,
elle indique que, si une loi le prevoit, le principe de hierarchie des normes peut etre mis en cause.

La hierarchie des normes

C’est un concept , un syntagme crée par Hans KELSEN (1881 1973), un theoricien majeur du droit.
Dans le domaine du droit du travail, cela supprose un double principe

- Le principe du favr laborise (en cas de conflit de normes de droit, celle qui sera retenue sera
la plus favorable au travail)
- Une regle de niveau inférieur ne peut etre moins favorable aux salariés qu’une norme de
niveau supérieur

C’est à partir de 1982 qu’il y a des transformation dans la hierarchie des normes. Il est donc dit que

- L’obligation de negocier chaque année dans les entreprises dotées d’une section syndicale :
les salaires Et la durée du travail
- L’obligation de renegocier tous les 5 ans

Le debat est : la loi doit elle proteger le plus possible ceux qui sont en position d’inferioriter ou doit
elle se borner a fixer des minimum et laisser la negociation d’entreprise améliorer ces minimas. Quel
est donc le role de la loi, de la negociation, et a quel niveau doit on mettre le plancher. Or
traditionnellemet et globalement, les organisation syndicales sont plus fortes au niveau des branches
qu’au niveau des entreprises ou la pression patronale et le chantage a l’emploi se fait plus durement
ressentir. Derriere ce debat apparemment tres technique se cachela question clé des rapports de
forces dans la condradiction capital/travail.

La loi supplétive ?

Il arrive que la loi se declare elle-même suppletive par rpport a un accord collectif de travail. Ainsi, la
loi du 17 janvier 2003 a modifié la loi : desormais, le taux de majoration des heures supplémentaires
doit etre fixé par accord collectif. A degaut d’accord, ce taux est fixé à 25% par la loi. Rien n’interdit a
l’accord collectif de fixer un taux different, a condition toutefois qu’il reste supérieur a 10%.

Conclusion intermediaire : au nom de l’emploi, combien de crise

Ce changement de paradigme et cela des la loi auroux de novembre 1982, serait justifié par
l’imperatif de favoriser ou de défendre l’emploi. Au nom de la defnse de ‘emploi, les pouvoirs publics
affaiblissent le travail et reciproquement, l’affaiblissement du travail rend les pouoirs publics, forts de
l’appui de certaines choses syndicales, toujours plus offensifs dans l’affaiblissement de la loi de
protection des salariés. C’est assurément le symptome d’un affaiblissement des rapports de forces
sociaux depuis les années 1980 par rapport ax nombreuses decennies interieures.
Un code du travail a transformer en profondeur
Des voix de plus en plus nombreuses et puissantes se font entendre, le code du travail comme
l’ennemie voire le pire ennemi de l’empoi. Aux dire du patronat, il serait aussi trop lourd et trop
complexe. C’est une idée de droite à la base, devenu un leitmotiv de la vie publique. L’idée emane de
la droite de l’échiquier politique puis a irrigué la gauche de gouvernement. Le code du travaill serait :

- Trop lourd
- Trop complexe
- Impraticable
- Genere une insécurité juridique

Le code du travail n’a cessé et ne cesse d’évoluer pour differentes raison :

 Sa dynamique interne aussi ancienne que le code lui-même


- Creation de lois
- Modification
- abrogations
 Exigences par le patronat d’introduire des exeptions a la norme legale
 Multiple initiatives de restructurations

Restructurations et recodification

Sur ce dernier points :

- En 1973, une recodification est intervenu


- En 2004, proposition de simplification du code du travail

En 2004, il y a une loi de simplification du droit qui habilite le gouvernement a promulguer un


nouveau code du travail par ordonnance dans un delai de 18 mois. Il s’agissait, a droit constant,
d’harmoniser la legislation et d’integrer dans le code des lois qui en sont encore absentes. Mais ce
travail n’a pas aboutit et on a donné un nouveau délai de 9 mois. En 2007, la partie legislative est
publié. C’est encore au nom d’une necessaire simplification et pour favoriser l’emploi qu a été
déposé l’avant projet de loi El Khomri. Révélé par des fuites parvenues au quotidien le Parisien, il a
d’emblée susciter une levée de bouclier.

C’est donc de ce conflit entre partisans et adversaire de ce projet de loi dont nous aimerions rendre
compte a partir d’ici. Qui sont les protagonistes, les enjeux, les arenes, les regimes argumentaires, les
interactions.

Les inspirateurs de la reformes : le medef, les instances européenne, la commission, la BCE, Robert
Badinter et Antine Lyon Caen. Dans leur livre « la loi et le travail », isl plaident en faveur d’un code du
travail réduit a une cinquantaine d’articles. Cette obésité crée une sorte de méfiance dans la loi,
éprouvées par les salariés et les petits entrepreneurs.Le rapport de Badinter, préconise le respect de
61 principes essentielles.

Les concepteurs : ministre du travil, ministre de l’interieur, ministre de l’economie, le president


Les soutiens de la réforme : le medef, les partis de droite (droite et extreme droite), universitaire,
économiste, libéraux, les classes jacassantes se transformant en porte parole de la bourgeoisie de
gouvernement

Les adversaires de la réforme : loitravail.lol, syndicat, militant politique, pétition

Les initiateurs : il est d’abord question de la pétittion. Il y a eu une petite vingtaine de personne, avec
Caroline De Haas, Sophie Binet, Elliot Lepers, des juristes dusyndicat des avocats de France, des
syndicalistes, des responsables d’organisation de jeunesse.

Les adversaires plus ou moins determinés de la réformes : il y a des organisation syndicales :

- Le pôle modéré : vise une modification en profondeur du texte afin de le réequilibrer en


faveur des salariés
- Les mouvements de jeunes
- Gerard filoche
- Des universitaires
- Un ps divisé

Du coté des adversaire du projet : simplification outranciere, projet concocté par le medef,
accroissement de la précartié des jeunes

Quel sont les enjeux : c’est de savoir si le code du travail doit proteger plus ou moins les salariés. Le
code du travai etant trop protecteur pour les salaries, les employeurs rechignent a embaucher car en
cas de réduction d’activité ou d’incompétence du salarié, ils en parviendraient plus a s’en débarasser.
Le phenomenee n’est pas que français. Il faudrait faciliter les licenciements pour encourager les
embauches. Il y a pourtant une logique de ceux qui sont hostiles a cette réforme est d’évoquer
plusieurs criteres.

L’enjeux de fond, c’est est ce en accentuant la fleibilité interne et la flexibilité externe du travail que
les patrons reprendront confiance, embaucheront et que le chomage reculera ou est en protégeant
le travail et tous ceux qui souffrent cruellement de la misere, de la précaritéé que le chomage
reculera ? Deux analyses et deux conceptions de la société actuelle et de ses maux

Les arenes : internet, la rue, fac et lycée, le parlement

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