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ISTA-KOLWEZI
ISTA-KOLWEZI
EPIGRAPHE
DEDICACE
A toi éternel Dieu tout puissant, qui donne la sagesse, l’intelligence ainsi que le
vouloir, toi qui nous a créé dans ta souveraineté a ton image et prédestiné aux études
d’ingénieur technicien, je présente ma gratitude pour le souffle de vie et la grâce que tu
m’accordes.
Pour tant d’amour et affection pour des nombreux sacrifices consentis des souffrances
endurcies, pour des privations et votre éducation qui a produit, devenu aujourd’hui graduée
en sciences que ce travail soit un cadeau de profonde gratitude.
IV
AVANT PROPOS
La fin de nos études en géologie minier est marquée par le présent travail qui est le fruit des
beaucoup des sacrifices, d’efforts et de courage, et nous nous voyons dans l’obligation
d’exprimer notre gratitude envers tous ceux qui de loin ou de près ont contribué par leur
volonté en se faisant de la peine pour nous transmettre l’enseignement nécessaires a notre
formation intellectuelle ainsi qu’à la réalisation de ce présent travail qui sanctionne la fin de
notre premier cycle a l’institut supérieur des techniques appliquées (ISTA/Kolwezi)
Durant cette longue marche plusieurs personnes ont contribué à nous transmettre
leurs connaissances compétences, énergie afin de nous permettre d’atteindre notre objectif.
Ainsi, comme toute œuvre scientifique n’a jamais été essentiellement le résultat d’une réflexion
individuelle, elle est souvent bénéficiaire du concours de plusieurs personnes dans le sens de
sacrifices, d’encouragement des conseils et soutient tant moral, spirituel que matériels que nous
exprimons notre profonde gratitude si bien que notre merci devient trop petit, car il n’ya pas
dit-on une meilleure célébrité collective d’anonymat.
Que tous ceux qui ont prêtes une main forte et dont les noms ne sont pas repris
dans ce travail par modestie ne se croient pas être oubliés mais qu’ils trouvent néanmoins dans
ces lignes la profonde gratitude de notre dévouement et nos remerciements.
INTRODUCTION
Problématiques
-La mine souterraine de Kakula Nord prévoit à maximiser sa production avec les engins des
transports de la distance fond mine vers les points de déversements qui cause des problèmes
du Target planifier.
-Mauvaise état des pistes des roulages affecte la production suite au mauvais rendement des
bennes SANDVIK.
-L'embouteillage perpétuel et croisement des se deux engins lors du voyage effectué par la
benne augmente son temps de cycles.
Tous scientifique, du point de vue technique de l’ingénieur, se doit d’apporter temps sois peu
une valeur à ajouter à la science, raison pour laquelle notre portant sur une évaluation de
l’attelage des certains engins de la mine souterraine de KAKULA-NORD. Comme dit-on, ne
prétendons-nous pas à fournir toutes les réalités du terrain, ni résoudre le problèmes y affairant,
mais cherchons plutôt à ouvrir une voix aux future chercheurs de l’ingénieries à découvrir à
améliorer toutes nos recherches de manière à apporter un plus à l’évolution de la science de
l’ingénieur, il est de commun accord que l’exploitation minière souterraine ne poursuit qu’un
but, celui d’extraire le minerais utile d’un gisement de façon économique en garantissant la
sécurité du matériel et du personnelle. Les quatre opérations pouvant aider l’ingénieur à
matérialiser ses but étant l’abattage, chargement plus transport, l’extraction métallurgique,
sortie du produit brute, faisant par ailleurs l’objet de nos recherche nous a poussent à constater
que lors d’une exploitation minière, il est du devoir de l’exploitant de choisir avec précaution.
Les engins qui pourrons l’aider à arriver à ces fin en toutes sécurité, raison pour laquelle les
présent sujet nous proposée par l’exploitant de la mine souterraine de KAKULA-NORD a été
traite à travers ces lignes de manière succincte.
But et Intérêt du Sujet
Comme mentionnée ci-haut, le présent travail s’inscrit dans le cadre d’une évaluation du
rendement moyens de benne SANDVICK affectée au transport de minerais de la mine
souterraine de KAKULA-NORD (cas de la section 103)
Ainsi faudra-t-on noté qu’il nous a été primordial de recueillir des informations sur les différents
heures de travail des camions benne SANDVICK TH663i œuvras dans la mine souterraine de
KAKULA-NORD, de prélevé le temps que ces dernière mette pour accomplir un cycle est faire
en fin une analyse statistique pouvons-nous aider à calculer leur rendement.
Subdivision du travail
Mis à part l’introduction et la conclusion ce travail est subdivisé en trois chapitres qui sont
2
occurrences de minéralisation les plus fortes peut être rattachées à la vaste pénéplaine de
Lubumbashi où les reliefs résiduels ont été conservés en raison de leur résistance à l’érosion.
Le site se trouve au bord d’une crête qui s’étend du Nord-Est au Sud-Ouest et qui est traversée
par de nombreux bassins des drainages mal à bien développés faisant partie du grand bassin
versant de Lualaba. Ainsi en est-il de la rivière Lufupa au Sud, de la Lulua qui prend sa source
dans la région même, de la Lukanga et de la Kamoa au Nord.
I.1.3. Climat
Le climat du Katanga méridional est de type subtropical humide avec une saison humide
comprise entre octobre et avril et une saison sèche de mai à septembre. La pluviométrie annuelle
moyenne se situe autour de 1 250 mm, dont la moitié tombe durant les mois de décembre à
février. La température moyenne annuelle est d’environ 20 °C avec la plus basse en saison
sèche (15-17 °C en juillet) et la plus élevée (25-28 °C) en octobre. L’altitude moyenne du
plateau à 1200 m tempère ces variations climatiques.
Dans le périmètre de Kamoa-Kakula, la saison sèche s’étend du 15 avril au 15 octobre avec une
température relativement basse dont les minimales varient entre 10- 15°C ; mais elles peuvent
également descendre jusqu’à 8º C la nuit, pendant les mois de juillet et d’août.
La saison des pluies débute du 15 octobre et se termine à mi – avril, avec des températures
relativement élevées oscillant entre 22 et 36°C. Cette saison se caractérise également par des
records pluviométriques surtout en novembre et Décembre.
La forte pluviométrie soumet les sols du Katanga à une hydrolyse totale en provoquant le
phénomène de latéritisation, c’est-à-dire que les éléments chimiques légers, a faible rayon
ionique (Ca, Cl, Mg, K, P, …) passent en solution dans les eaux de lessivage, tandis que les
éléments lourds (métaux, principalement le fer) restent en place.
Par ailleurs, l’alternance des deux saisons au Katanga accentue le phénomène de latéritisation
conduisant par endroits à la formation d’une cuirasse latéritique.
5
Le phénomène de latéritisation est surtout observé sur les crêtes et à hautes altitudes. Dans les
plaines alluviales du Katanga, on observe les sols détritiques dont la richesse en humus leur a
conféré la couleur noire. (Duvignaud, 1958)
I.1.5. Végétation
La flore dominant la région est la formation boisée typique de la forêt de Miombo L’étude
géobotanique menée par la société sur terrain a permis de ressortir les formations végétales
suivantes :
Savane boisée ;
Foret claire ;
Pelouse sèche.
Les principales espèces ont été répertoriées selon les groupements floristiques suivants :
Dambos ;
Arbuste naine ;
Foret marécageuse ;
Foret type Miombo.
I.2. GEOLOGIE REGIONALE
I.2.1. La Lithostratigraphie du Katanguien
Le Super groupe Katanguien fait partie du Panafricaine daté du Néo protérozoïque et situé entre
le craton du Congo et celui du Kalahari. Il comprend les groupes de Roan, de Nguba et de
Kundelungu. (Cailteux, 1994).
dolomie à stratification fine (D. Strat. '' Dolomie Stratifiée ''), dolomie stromatolitique silicifiée
formant des laminites alternant avec des lits minces silteux dolomitiques (RSF).
Les roches hôtes de l’Orebody supérieur comprennent les shales dolomitiques (S.D.). Reposant
sur une dolomie stromatolitique de type récifal généralement « stérile » (R.C.C. Roches
Siliceuses Cellulaires), se trouvant entre les deux corps minéralisés. (Cailteux et al., 2005a).
Figure II.2. Carte montrant la zonation de la tectonique dans l'arc Lufilien (USGS, 2013
cité par SELLEY et al., 2005)
8
L'arc lufilien comprend une succession de plis, failles et de structures de poussée convexes vers
le Nord. Le courant tectonique de l'arc Lufilien a été formé sous un régime de compression
pendant l'inversion de la tectonique extensionnelle vers la tectonique de compression dans le
bassin du Katanguien (François, 1973 ; Kampunzu et Cailteux, 1999 ; Key et al., 2001 ; Selley
et al., 2005 cité dans Twite, 2016). La ceinture Lufilienne est divisée en quatre domaines
différents du nord au Sud : le pli externe et la ceinture de chevauchement, la région des Dômes,
la ceinture synclinoriale, et le haut Katanga (Porada et Berhorst, 2000; Key et al., 2001; Selley
et al., 2005 cité dans Twite B. 2016).
I.3. GEOLOGIE LOCALE DU SITE DE KAMOA-KAKULA
I.3.1. Lithostratigraphie en vigueur
Les formations géologiques locales de Kamoa-Kakula sont représentées par le groupe de Nguba
et une partie du groupe du Roan (le sous-groupe de Mwashya). Dans la zone, les couches de
couverture ont subi l’altération météorique et sont constituées par les formations de sable de
Kalahari, de sol résiduel et de saprolite par endroit. Ces formations de Kamoa-Kakula ont été
mises en évidence grâce à des forages carottés.
I.3.1.4. Le Ng 1.1.3
Cette unité est généralement de teinte gris à gris foncé, avec 20 à 40% de claste dimensionnés
de 5 cm à 1 m. L'épaisseur du Ng 1.1.3 varie de 150 à 250 m. L'assemblage de clastes est
composé de quartzites, de quartz, d'argilites, de roches ignées mafiques. Le Ng 1.1.3 contient
souvent des couches minces de siltites pyriteuses et à galets sablonneux retravaillés.
9
Les effets de la West Scarp Fault (au milieu de ces trois failles) et d’une seconde faille à environ
150 m à l'ouest, sont observables sur les carottes de forages. Ces deux failles sont des failles
10
normales à forte inclinaison (environ 75˚ W) (bloc ouest vers le bas) et des rejets de 150 m à
200 m. Environ 350 m à 400 m à l'est de West Scarp Fault, une troisième faille a été reconnue.
Elle a un pendage d’environ 75˚ vers l'ouest. Il s’agit d’une faille inverse dont le rejet est
d’environ 10 m.
Les autres structures observées sont comblées de brèche et de gouge chaotiques à forte
inclinaison, comportant des fragments séparés par des plans de rupture mais montrant peu ou
pas de déplacement. La structure utilisée dans l'estimation des ressources minérales de Kakula
est divisée en quatre blocs miniers. Dans l'ensemble du projet, couches descendent avec un
pendage de 5° à 20° Les parties les plus abruptes du dépôt s’observent dans Kansoko Nord, où
les couches plongent vers le sud ou le sud-est entre 15 ° et 40 °.
I.3.3. La Minéralisation
I.3.3.1. Distribution des minerais
Le gisement de Kamoa – Kakula est un dépôt morainique datant de la fonte des glaciers du
Grand Conglomérat dans la vallée de la Lufupa, à l'Ouest de Kolwezi. Les glaciers auraient
érodé un gisement faiblement minéralisé en chalcopyrite et pyrite. Les éléments minéralisés
sont enrobés dans une pâte argilo– gréseuse.
Les galets de dolomie siliceuse observés par Intiomale (2014) présentent un remaniement de
cette minéralisation ayant engendré des auréoles de chalcopyrite dans la zone bordière plus
silicifiée. Elles ne pénètrent pas dans la pâte argilo-gréseuse de la diamictite. Dans les zones
cémentées, la bornite, la chalcosite et la malachite remplacent la chalcopyrite au sein d'agrégats
de débris atteignant 4% Cu.
La minéralisation du projet Kamoa-Kakula a été définie sur une superficie de 27 km x 15 km.
Elle présente généralement une zonalité verticale de bas vers le haut en chalcocite (Cu2S), la
bornite (Cu5FeS4) et la chalcopyrite (CuFeS2). Ce qui implique une plus grande perméabilité
vers le bas. À Kakula la teneur de coupure est de 1,0% Cu. Le minerai s’étend de 2,9 m à 36,0
m.
Disséminations de
Couronne de chalcopyrite
chalcopyrite
Pour se faire, il y a deux opérations fondamentales qui sont le chargement et le transport afin
de faire quitter le minerai de la mine. Ces deux opérations occupent une place importante dans
les mines à ciel ouvert ainsi que les mines souterraines, fait du coût très élevés pour leur
réalisation, ainsi que du sérieux qu’ils demandent dans leur réalisation quotidienne vu que tous
les projets miniers sont évalués par la quantité de minerai transporté qui est également appelée
production de la mine.
Ce mode de transport est employé par exemple dans les conditions favorables ci-après :
• Le chargement ;
• Le parcours aller benne chargée ;
13
Ces séquences se succèdent l’une après l’autre, prenant chacune un temps nécessaire à sa
réalisation. Ainsi donc à chaque séquence on peut associer un temps t nécessaire à sa réalisation.
Ce qui nous permettra de calculer le temps de cycle de travail d’un camion benne qui peut se
traduire par l’expression ci-après :
Dans un fonctionnement normal le temps d’attente à la chargeuse doit tendre toujours vers zéro
; et cela relève du bon attelage des bennes sur la chargeuse.
La plus grande préoccupation de l’exploitant minier est de réduire le plus possible le temps de
cycle de travail de l’unité de transport. Celui-ci est inversement proportionnel au rendement
horaire de l’unité de transport. Si le temps de cycle augmente, le rendement horaire décroit et
s’il diminue le rendement s’accroit. Vue la succession des séquences composant le temps de
cycle de l’unité de transport, ce temps peut être réduit en prenant les quelques dispositions ci-
après :
- Réduire ou même éliminer le temps d’attente à la chargeuse en lui affectant un
nombre des bennes à la juste mesure de sa capacité de chargement ;
- Aménager des plates-formes assez suffisantes, au front et au remblai pour permettre
aux bennes d’effectuer les manœuvres dans un temps réduit ;
14
- Les opérateurs bennes devraient être bien formés et avoir une bonne habileté pour
mettre à profit leur expérience dans l’exécution du transport pour réduire au mieux
le temps de cycle ;
- Le temps des parcours peut être amélioré par l’aménagement des pistes, le reprofilage
par les graders, ballastage des pistes de roulage, arrosage adéquat des pistes pour
éviter les poussières ;
Avoir dans la mesure du possible des profils en ligne droite des pistes en évitant dans la mesure
du possible les courbures ;
Un faible poids, une capacité de charge utile de 63 tonnes et des vitesses de rampe élevées sont
conçus pour augmenter la productivité.
Conçu avec la sécurité de l’opérateur et de la maintenance à l’esprit, le camion est équipé d'une
cabine de pointe offrant une ergonomie de l’opérateur supérieure et de multiples solutions
numériques pour une maintenance et un dépannage faciles.
Le moteur Volvo de 565 kW Stage II/Tier 2 à faible consommation de carburant pour camion
Toro" TH663i offre une longue durée de vie et un faible coût d’exploitation.
Le DPF en métal fritté disponible en option réduit les émissions de particules diesel de plus de
99% (nombre de particules) dans la plage de taille de 20à 300 nm.
Toro" TH663i propose plusieurs solutions intelligentes telles que le système de contrôle
intelligent Sandvik ainsi que la collecte de données OptiMine et la disponibilité AutoMine en
standard. Des fonctionnalités supplémentaires telles qu'un système de levage intégré et un
système de pesage intégré (\Ws) sont disponible en option.
Tous les camions souterrains Sandvik sont conçus pour fonctionner en pleine charge et à
vitesses élevées sur de longues voies de roulage en spirale inclinées à 20% maximum.
15
La Toro" TH663i1i fait la paire avec la chargeuse Toro" LH621i pour le chargement en trois
passes.
Poids propre faible, capacité élevée et vitesses de rampe rapides, Ergonomie de cabine haut de
gamme pour le confort de l'opérateur, Système de commande Sandvik Intelligent, Control
permettant des solutions numériques multiples, notamment AutoMine et OptiMine, Facilité
d'entretien grâce à l'emplacement judicieux des zones de service clés et de l'accès au service
De l’état de benne
De la souplesse d’attraction
Du type de benne
De la capacité du bac
Et de la vitesse de circulation etc
Avec :
Etant donné que nous travaillons dans une mine souterraine, le rendement s’exprime en tonne
sèche par heure soit multiplié la valeur par la densité de 2,5
Partant des indications de tonnage que les bennes affichent pour chaque tonnage transporté,
nous avons eu à prélever les tonnages de plusieurs voyages effectués par les bennes qui ont
17
donné en moyenne 49 tonnes pour les minerais. Ce tonnage comparé aux 63 tonnes
théoriques, nous donne un coefficient de remplissage de 0,777 %.
Il est très important de distinguer les différents temps pendant lesquels l’engin est passé sous
diverses responsabilités ou divers statuts.
HMTN = HP - HMAD
HMAD = HP - HMTN
Elles représentent les heures pendant lesquelles l’engin est effectivement aux mains de
l’exploitant entrain de produire ou en situation d’attente à cause des aléas du chantier.
C’est le temps pendant lequel l’engin est aux mains de l’exploitation, tout en bon état ; mais
est à l’arrêt ou tout simplement pas prêt pour production. Elle est généralement fixée par la
direction c’est entre autres, les heures de :
Changement de poste
Minage
Pause (lunch)
Manque de courant
Pluie, accident
Ce sont les heures pendant lesquelles l’engin est effectivement entrain de produire. On peut
encore appeler ces heures, heures de travail ou de production.
Elles représentent les heures pendant lesquelles l’engin est aux mains de l’exploitation prête
pour produire mais en utilisation d’attente. Ce sont les heures sur lesquelles l’exploitant peut
agir ; c’est entre autres les temps de : préparation de chantier, déplacement intempestif
Cependant quand on va au-delà des temps prévus pour le minage, changement de poste, la
pause, ce sont des temps de perte d’utilisation.
C’est le rapport entre les heures de mise à disposition et les heures possibles.
HMAD
TMAD = X 100
HP
19
Le taux d’utilisation mesure le degré d’utilisation des heures de mise à disposition. C’est le
rapport entre les heures d’utilisation effective d’engin et les heures de mise à disposition
HUT
TUT = HMAD X 100
Le service de dispatch doit surveiller le taux d’utilisation, car il est de totales responsabilités
de la mine. Surveiller cet indicateur signifie pratiquement.
Ce rapport montre la portion des heures théoriques qui a été réellement consacré au travail de
production minière. On le calcul de façon ci-après
HUT
TUA = X 100
HP
20
III.1.1. Hypothèse
Le rendement s’évalue en fonction des éléments suivants :
La capacité du bac
Le coefficient d’utilisation effective
Le coefficient de remplissage
Le temps de cycle moyen
Ainsi, faudra-t-il qu’à l’issu de ce chapitre, regrouper les différentes variables par classes afin
d’en déduire la valeur du rendement moyen de chaque benne SANDVIK prise comme
échantillon.
Li = 0,67625
6) La limite supérieure (Ls) est donné par :
Ls = Li + d* = 0,67625 + 0,2375
Ls = 0,91375
22
LRC Xi Ni Ni/Xi
[0,67 - 0,71[ 0,7 1 1,428
[0,71 - 0,75[ 0,7475 1 1,337
[0,75 – 0,79[ 0,795 1 1,257
[0,79 - 0,83[ 0,8425 0 0
[0,83 - 0,87[ 0,89 3 3,37
[0,87 - 0,91[ 0,93 0 0
4,905 6
𝑁𝑖
X = ∑𝑁𝑖 => d’où X vaut
𝑖 𝑁𝑖/𝑋𝑖
6 6
X= 6 = 1,223 = 4,90
4,905
Li = 0,17
6. La limite supérieure (Ls) est donnée par la
Ls = Li + d* = 0,17 + 0,83
Ls = 0,97
24
LRC Xi Ni Ni/Xi
[0,17 - 0,31[ 0,24 1 4
[0,31 - 0,45[ 0,38 1 3
[0,45 – 0,59[ 0,52 1 2
[0,59 - 0,73[ 0,66 2 3
[0,73 - 0,87[ 0,80 1 6
6 18
𝑁𝑖
X = ∑𝑁𝑖 => d’où X vaut
𝑖 𝑁𝑖/𝑋𝑖
6
X = 18 = 0,3
Li = 0,3125
6. Détermination de la limite supérieure (Ls) est donnée par la formule
Ls = Li + d* = 0,3125 + 0,575
Ls = 0,8875
LRC Xi Ni Ni/Xi
[0,3125 - 0,4275[ 0,37 3 8,108
[0,4275 - 0,5425[ 0,485 3 6,185
[0,5425 – 0,6575[ 0,6 4 6,666
[0,6575 - 0,7725[ 0,715 6 8,391
[0,7725 - 0,8875[ 0,83 3 3,614
19 32,964
La valeur moyenne coefficient d’utilisation absolue est déterminée à l’aide de la formule
𝑁𝑖
X = ∑𝑁𝑖 => d’où X vaut
𝑖 𝑁𝑖/𝑋𝑖
19
X = 32,964
En nous référant au tableau ci-haut, nous avons N = 50 ; Xmax = 58 ; Xmin = 22 nous pouvons
calculer les différents valeurs intervenant dans le groupement des données en classe de la
manière suivante :
LRC Xi Ni Ni/Xi
[19 - 25[ 22 2 0,0909
[25 - 31[ 28 1 0,0357
[31 – 37[ 34 1 0,0294
[37 - 43[ 40 2 0,05
[43 - 49[ 46 1 0,0217
[49 - 55[ 52 1 0,0192
[55 - 61[ 58 1 0,0172
9 0,2641
29
𝑁𝑖
X = ∑𝑁𝑖 => d’où X vaut
𝑖 𝑁𝑖/𝑋𝑖
9
X = 0,2641 = 34,078
Le temps de cycle moyen de la benne SANDVICK TH663i D17 est 34,078 secondes
En nous référant au tableau ci-haut nous avons N = 50 ; Xmax = 2402 ; Xmin = 14 nous
pouvons calculer les différents valeurs intervenant dans le groupement des données en classe
de la manière suivante :
LRC Xi Ni Ni/Xi
[185 - 583[ 14 1 0,071
[583 - 981[ 412 2 0,0048
[981 – 1379[ 810 2 0,0024
[1379 - 1777[ 1208 1 0,00082
[1777 - 2175[ 1606 1 0,00062
[2175 - 2573[ 2004 0 0
[2573 - 2971[ 2402 0 0
7 0,07964
La valeur moyenne est déterminée à l’aide de la formule
𝑁𝑖
X = ∑𝑁𝑖 => d’où X vaut
𝑖 𝑁𝑖/𝑋𝑖
7
X = 0,07964 = 87,7 ≈ 88
En nous référant au tableau ci-haut nous avons N = 50 ; Xmax = 62 ; Xmin = 14 nous pouvons
calculer les différents valeurs intervenant dans le groupement des données en classe de la
manière suivante :
LRC Xi Ni Ni/Xi
[10 - 18[ 14 1 0,07
[18 - 26[ 22 2 0,09
[26 – 34[ 80 7 0,23
[34 - 42[ 38 1 0,026
[42 - 50[ 46 0 0
[50 - 58[ 54 1 0,018
[58 - 66[ 62 0 0
12 0,434
𝑁𝑖
X = ∑𝑁𝑖 => d’où X vaut
𝑖 𝑁𝑖/𝑋𝑖
𝑁𝑖 12
X= 𝑁𝑖 = 0,434 = 27,64 ≈ 28 sec
𝑋𝑖
Moyenne statistique du temps de cycle Temps allé Benne SANDVICK TH663i DT17
En nous référant au tableau ci-haut nous avons N = 50 ; Xmax = 1842 ; Xmin = 780 nous
pouvons calculer les différents valeurs intervenant dans le groupement des données en classe
de la manière suivante :
1062
a= = 177
7−1
LRC Xi Ni Ni/Xi
[780 - 957[ 780 4 0,0051
[957 - 1134[ 957 2 0,0020
[1134 – 1311[ 1134 1 0,00088
[1311 - 1488[ 1311 1 0,00076
[1488 - 1665[ 1488 1 0,00067
[1665 - 1842[ 1665 0 0
9
En nous référant au tableau ci-haut nous avons N = 50 ; Xmax = 1482 ; Xmin = 480 nous
pouvons calculer les différents valeurs intervenant dans le groupement des données en classe
de la manière suivante :
𝑑
a=
𝑘−1
1002
a= = 167
7−1
LRC Xi Ni Ni/Xi
[397 - 564[ 480 1 0,0020
[564 - 731[ 647 1 0,0015
[731 – 898[ 814 1 0,0012
[898 - 1065[ 981 2 0,0020
[1065 - 1232[ 1148 0 0
[1232 - 1399[ 1315 1 0,00076
[1399 - 1566[ 1482 0 0
6 0,00746
𝑁𝑖
X = ∑𝑁𝑖 => d’où X vaut
𝑖 𝑁𝑖/𝑋𝑖
6
X = 0,00746
Le temps de cycle moyen de la benne SANDVICK TH663i D17 est 804,2 secondes
34
En nous référant au tableau ci-haut nous avons N = 50 ; Xmax = 40 ; Xmin = 16 nous pouvons
calculer les différents valeurs intervenant dans le groupement des données en classe de la
manière suivante :
LRC Xi Ni Ni/Xi
[14 - 18[ 16 1 0,0625
[18 - 22[ 20 5 0,25
[22 – 26[ 24 4 0,166
[26 - 30[ 28 3 0,107
[30 - 34[ 32 4 0,125
[34 - 38[ 36 3 0,083
20 0,7935
35
𝑁𝑖
X = ∑𝑁𝑖 => d’où X vaut
𝑖 𝑁𝑖/𝑋𝑖
20
X = 0,7935
Le temps de cycle moyen de la benne SANDVICK TH663i D17 est 25,20 secondes
En nous référant au tableau ci-haut nous avons N = 50 ; Xmax = 2160 ; Xmin = 720 nous
pouvons calculer les différents valeurs intervenant dans le groupement des données en classe
de la manière suivante :
LRC Xi Ni Ni/Xi
[600 - 840[ 720 4 0,005
[840 - 1080[ 960 4 0,004
[1080 – 1320[ 1200 2 0,0016
[1320 - 1560[ 1440 1 0,00069
[1560 - 1800[ 1680 0 0
[1800 - 2040[ 1920 1 0,00052
[2040 - 2280[ 2160 3 0,0013
15 0,01311
La valeur moyenne est déterminée à l’aide de la formule
𝑁𝑖
X = ∑𝑁𝑖 => d’où X vaut
𝑖 𝑁𝑖/𝑋𝑖
15
X = 0,01311 = 1144,1 ≈ 1144
Le temps de cycle moyen de la benne SANDVICK TH663i D17 est 1144 secondes.
En nous référant au tableau ci-haut, nous avons N = 50 ; Xmax = 2040 ; Xmin = 720 nous
pouvons calculer les différents valeurs intervenant dans le groupement des données en classe
de la manière suivante :
LRC Xi Ni Ni/Xi
[610 - 830[ 720 4 0,0055
[830 - 1050[ 940 3 0,0031
39
𝑁𝑖
X = ∑𝑁𝑖 => d’où X vaut
𝑖 𝑁𝑖/𝑋𝑖
15
X = 0,01288 = 1129,5 sec = 18min 50sec
Le temps de cycle moyen de la benne SANDVICK TH663i D11 est 18min 50 sec.
En nous référant au tableau ci-haut, nous avons N = 50 ; Xmax = 47 ; Xmin = 17 nous pouvons
calculer les différents valeurs intervenant dans le groupement des données en classe de la
manière suivante :
LRC Xi Ni Ni/Xi
[17 - 22[ 17 5 0,294
[22 - 27[ 22 5 0,227
[27 – 32[ 27 3 0,111
[32 - 37[ 32 1 0,031
[37 - 42[ 37 4 0,108
[42 - 47[ 42 1 0,023
19 0,794
𝑁𝑖
X = ∑𝑁𝑖 => d’où X vaut
𝑖 𝑁𝑖/𝑋𝑖
15
X = 0,01288 = 23,9 sec ≈ 24
En nous référant au tableau ci-haut, nous avons N = 50 ; Xmax = 47 ; Xmin = 19 nous pouvons
calculer les différents valeurs intervenant dans le groupement des données en classe de la
manière suivante :
28
a= = 4,6 ≈ 5
7−1
LRC Xi Ni Ni/Xi
[17 - 22[ 19 3 0,157
[22 - 27[ 24 4 0,166
[27 – 32[ 29 3 0,103
[32 - 37[ 34 4 0,117
[37 - 42[ 39 2 0,051
[42 - 47[ 44 0 0
16 0,594
𝑁𝑖
X = ∑𝑁𝑖 => d’où X vaut
𝑖 𝑁𝑖/𝑋𝑖
16
X = 0,594 = 26,9 sec ≈ 27 sec
En nous référant au tableau ci-haut, nous avons N = 50 ; Xmax = 1540 ; Xmin = 1240 nous
pouvons calculer les différents valeurs intervenant dans le groupement des données en classe
de la manière suivante :
𝐿𝑜𝑔𝑁 𝐿𝑜𝑔50
K = 1+10 d’où K = = 6,6 ≈ 7
3 3
LRC Xi Ni Ni/Xi
[1215 - 1265[ 1240 2 0,0016
[1265 - 1315[ 1290 0 0
[1315 – 1365[ 1340 4 0,0029
[1365 - 1415[ 1390 4 0,0028
[1415 - 1465[ 1440 3 0,0020
[1465 - 1515[ 1490 2 0,0013
[1515 - 1565[ 1540 0 0
15 0,0106
𝑁𝑖
X = ∑𝑁𝑖 => d’où X vaut
𝑖 𝑁𝑖/𝑋𝑖
15
X = 0,0106 = 1415 sec
43
Le temps de cycle moyen de la benne SANDVICK TH663i D11 est 1415 sec.
En nous référant au tableau ci-haut, nous avons N = 50 ; Xmax = 50 ; Xmin = 21 nous pouvons
calculer les différents valeurs intervenant dans le groupement des données en classe de la
manière suivante :
LRC Xi Ni Ni/Xi
[19 - 24[ 21 3 0,142
[24 - 29[ 26 2 0,076
[29 – 34[ 31 2 0,064
[34 - 39[ 36 0 0
[39 - 44[ 41 0 0
[44 - 49[ 46 2 0,043
44
[49 - 54[ 50 0 0
9 0,261
𝑁𝑖
X = ∑𝑁𝑖 => d’où X vaut
𝑖 𝑁𝑖/𝑋𝑖
9
X = 0,261 = 34,4 sec ≈ 35 sec
En nous référant au tableau ci-haut, nous avons N = 50 ; Xmax = 1500 ; Xmin = 720 nous
pouvons calculer les différents valeurs intervenant dans le groupement des données en classe
de la manière suivante :
LRC Xi Ni Ni/Xi
[655 - 785[ 720 1 0,0013
[785 - 915[ 850 2 0,0023
[915 – 1045[ 980 4 0,0040
[1045 - 1175[ 1110 0 0
[1175 - 1435[ 1240 3 0,0024
[1435 - 1565[ 1370 2 0,0014
12 0,0114
𝑁𝑖
X = ∑𝑁𝑖 => d’où X vaut
𝑖 𝑁𝑖/𝑋𝑖
12
X = 0,0114 = 1052,6 sec ≈ 1053 sec
Le temps de cycle moyen de la benne SANDVICK TH663i D11 est 1053 sec.
En nous référant au tableau ci-haut, nous avons N = 50 ; Xmax = 1302 ; Xmin = 240 nous
pouvons calculer les différents valeurs intervenant dans le groupement des données en classe
de la manière suivante :
𝑎
Li = Xmin -
2
177
Li = 240 - = 151,5
2
LRC Xi Ni Ni/Xi
[1515 - 3285[ 240 4 0,0166
[3285 - 5055[ 417 1 0,0023
[5055 – 8595[ 594 0 0
[8595 - 10365[ 771 1 0,0013
[10365 - 12135[ 948 0 0
[12135 - 13905[ 1125 0 0
6 0,0202
𝑁𝑖
X = ∑𝑁𝑖 => d’où X vaut
𝑖 𝑁𝑖/𝑋𝑖
6
X = 0,0202 = 297 sec
Le temps de cycle moyen de la benne SANDVICK TH663i D11 est 297 sec.
En nous référant au tableau ci-haut, nous avons N = 50 ; Xmax = 91 ; Xmin = 19. Nous pouvons
calculer les différentes valeurs intervenant dans le groupement des données en classe de la
manière suivante :
LRC Xi Ni Ni/Xi
[13 - 25[ 19 1 0,05
[25 – 37[ 31 3 0,09
[37 – 49[ 43 2 0,04
[49 - 61[ 55 2 0,03
[61 - 73[ 67 2 0,02
[73 - 85[ 79 2 0,02
[85 - 97[ 91 1 0,01
13 0,26
𝑁𝑖
X = ∑𝑁𝑖 => d’où X vaut
𝑖 𝑁𝑖/𝑋𝑖
13
X = 0,26 = 50 sec
Tc (temps chargement)
En nous référant au tableau ci-haut, nous avons N = 50 ; Xmax = 1683 ; Xmin = 9. Nous
pouvons calculer les différentes valeurs intervenant dans le groupement des données en classe
de la manière suivante :
LRC Xi Ni Ni/Xi
[-1305 – -1026[ 9 1 0,11
[-1026 – -747[ 28 2 0,006
[-747 – - 468[ 567 4 0,007
[-468 – -189[ 846 3 0,003
[-189 – 90[ 1125 2 0,0017
[90 – 369[ 1404 2 0,0014
[369 – 648[ 1683 2 0,0011
16 0,1302
𝑁𝑖
X = ∑𝑁𝑖 => d’où X vaut
𝑖 𝑁𝑖/𝑋𝑖
16
X = 0,1302 = 122 sec
Le temps de cycle moyen de la benne SANDVICK TH663i DT14 est 122 sec.
Ta (temps d’aller)
En nous référant au tableau ci-haut, nous avons N = 50 ; Xmax = 1800 ; Xmin = 720. Nous
pouvons calculer les différentes valeurs intervenant dans le groupement des données en classe
de la manière suivante :
LRC Xi Ni Ni/Xi
[630 - 810[ 720 4 0,005
[810 - 990[ 900 5 0,0055
[990 - 1170[ 1080 6 0,0055
[1170 - 1350[ 1260 2 0,0015
[1350 - 1530[ 1440 2 0,0013
[1530 - 1710[ 1620 2 0,0012
[1710 - 1890[ 1800 1 0,0005
22 0,021
𝑁𝑖
X = ∑𝑁𝑖 => d’où X vaut
𝑖 𝑁𝑖/𝑋𝑖
22
X = 0,021 = 1047,61 sec ≈ 1048
Le temps de cycle moyen de la benne SANDVICK TH663i DT14 est 1048 sec.
52
En nous référant au tableau ci-haut, nous avons N = 50 ; Xmax = 44 ; Xmin = 20. Nous pouvons
calculer les différentes valeurs intervenant dans le groupement des données en classe de la
manière suivante :
LRC Xi Ni Ni/Xi
[18 - 22[ 20 4 0,2
[22 – 26[ 24 4 0,16
[26 – 30[ 28 2 0,071
[30 - 34[ 32 4 0,125
[34 - 38[ 36 2 0,055
[38 - 42[ 40 4 0,1
[42 - 46[ 44 2 0,045
22 0,756
53
𝑁𝑖
X = ∑𝑁𝑖 => d’où X vaut
𝑖 𝑁𝑖/𝑋𝑖
22
X = 0,756 = 29,1 sec ≈ 29
En nous référant au tableau ci-haut, nous avons N = 50 ; Xmax = 57 ; Xmin = 22. Nous pouvons
calculer les différentes valeurs intervenant dans le groupement des données en classe de la
manière suivante :
LRC Xi Ni Ni/Xi
[5 - 10[ 22 4 0,181
[10 – 15[ 27 4 0,148
54
𝑁𝑖
X = ∑𝑁𝑖 => d’où X vaut
𝑖 𝑁𝑖/𝑋𝑖
17
X = 0,537 = 31,6 sec ≈ 32 sec
Tr (temps de retour)
En nous référant au tableau ci-haut, nous avons N = 50 ; Xmax = 1680 ; Xmin = 720. Nous
pouvons calculer les différentes valeurs intervenant dans le groupement des données en classe
de la manière suivante :
LRC Xi Ni Ni/Xi
[640 - 800[ 720 4 0,0055
[800 – 960[ 880 2 0,0022
[960 – 1120[ 1040 1 0,00096
[1120 - 1280[ 1200 4 0,0033
[1280 - 1440[ 1360 3 0,0022
[1440 - 1600[ 1520 1 0,00065
[1600 - 1760[ 1680 2 0,0011
17 0,01591
𝑁𝑖
X = ∑𝑁𝑖 => d’où X vaut
𝑖 𝑁𝑖/𝑋𝑖
17
X = 0,01591 = 1068,5 sec ≈ 1069 sec
Le temps de cycle moyen de la benne SANDVICK TH663i DT14 est 1069 sec.
Ta (temps d’attente)
En nous référant au tableau ci-haut, nous avons N = 50 ; Xmax = 2340 ; Xmin = 300. Nous
pouvons calculer les différentes valeurs intervenant dans le groupement des données en classe
de la manière suivante :
2040
a= = 340
7−1
LRC Xi Ni Ni/Xi
[130 - 470[ 300 3 0,01
[470 – 810[ 640 4 0,00625
[810 – 1150[ 980 3 0,00306
[1150 - 1490[ 1320 1 0,00075
[1490 - 1830[ 1660 1 0,00060
[1830 - 2170[ 2000 0 0
[2170 - 2510[ 2340 2 0,00085
14 0,02151
𝑁𝑖
X = ∑𝑁𝑖 => d’où X vaut
𝑖 𝑁𝑖/𝑋𝑖
14
X = 0,02151 = 650,8 sec ≈ 660
Le temps de cycle moyen de la benne SANDVICK TH663i DT14 est 660 sec.
Apres avoir faire plusieurs calcules et analyses statistiques de différents temps de cycle, nous
arrivons à les regrouper dans le tableau ci-dessous
57
9890
Tcy mg = = 3296,6 ≈ 3297 sec
3
Tableau : Regroupement des moyens statistiques des CUA des trois bennes DT17, DT14,
DT11
Benne CUA
DT 17 4,90
DT 14 0,576
DT 11 0,33
4,90+0,576+0,33
CUAmoy = 3
CUAmoy = 1,93
III.7.1. Calcul de Kr
Les bennes SANDVIK sur lesquelles ont portées nos études ont une capacité theorique de 63
tonnes. Mais pratiquement, et compte tenu de l’experience de l’opérateur, le chargement
atteint 49 tonnes ainsi peut-on ecrire la relation
58
𝐶𝑟 𝑐𝑎𝑝𝑎𝑐𝑖𝑡é 𝑟é𝑒𝑙𝑒
Kr = =
𝐶𝑡ℎ 𝑐𝑎𝑝𝑎𝑐𝑖𝑡é 𝑡ℎ𝑒𝑜𝑟𝑖𝑞𝑢𝑒
54
Kr = 63 = 0,85
63 . 0,85
Rendmoy = 60. .1,93 = 1,88
3297
59
Conclusion
Apres une étude assez approfondie sur terrain dans la mine souterraine de KAKULA-
NORD portant sur, d’une part le prélèvement des données ayant trait à l’attelage des camions
bennes SANDVICK TH663i avons constaté que hormis l’état des piste et les accidents de
circulation, ces derniers fournissent un rendement bon, alors que le temps d’aller et de retour
étaient assez-long.
Ainsi peut-on conclure en faisant remarquer que ces bennes sont robustes et valent
mieux en lieu et placé de cette mine et que leur gabarit leur permet d’être le plus performant
que possible.
Dans ce travail le but primordial était celui de faire une étude d’évaluation du
rendement moyen de bennes SANDVICK TH663i affectée au transport de minerais dans la
mine souterraine de KAKULA-NORD mine appartenant à Kamoa.
Les résultats obtenues au cours des calculs, nous ont fait remarquer que pour la benne
DT 11 le temps de cycle est de 4061 secondes, pour DT 14 le temps de cycle est de 3010
secondes et pour DT 17 le temps de cycle est de 2813 secondes. Connaissant le coefficient
d’utilisation absolu moyen est de 0,81 nous avons calculé le rendement théorique 53m3/h et le
rendement reel et de 43m3/h de toutes les trois bennes, il nous a donné un rendement moyen
Au vu des résultats obtenus.
60
BIBLIOGRAPHIE
I. OUVRAGES
3. Mt. TSHIYEY KANIK TESH (2013). Les machines minières tome 1. ISTA KOLWEZI
2. KAKUDII NGOY Fabien, L. impact du temps d'attente des camions bennes sur le cout
de transport: cas de la mine à ciel ouvert de KAMFUNDWA. ISTA KOLWEZI 2019-
2020
III. COURS
Documents inédits
61
1. KALENDA MADIKA Séraphin (2018): cours d'exploitation des mines à ciel ouvert,
premier graduat Geomines 1STA/ Kolwezi
2. Jean Pierre MWAMBA NGOY, cours d'exploitation des mines à ciel ouvert, deuxième
graduat Géomines 1STA/ Kolwezi
3. Jean Pierre MWAMBA NGOY Cours de projet des mines à ciel ouvert, ISTA Kolwezi