Académique Documents
Professionnel Documents
Culture Documents
Elle a d’abord été un ensemble de manière de gérer le personnel (c’est-à-dire suivi des
dossiers du personnel, paie, documents légaux, etc.) avant d’étendre son champ d’action à :
2ème Modèle est celui de l’école des relations humaines : les ressources
humaines ne sont pas seulement un coût à minimiser à cela doit s’ajouter
la satisfaction du salarié. Ce dernier doit se sentir aimé et valorisé pour écarter son
aversion à l’autorité. (image : le personnel a un « cœur » : affectif)
1
ses objectifs propres. Bref, ils veulent négocier leur coopération et la GRH doit être
en mesure d’apporter des éléments de négociation. (image : le personnel est «
calculateur et intelligent)
2
La gestion territoriale prévisionnelle des emplois et des compétences
Elle met en cohérence les besoins d’emplois et les ressources en identifiant les besoins en
compétences, en prenant en considération les évolutions technologiques, réglementaires et
économiques.
1-Dans un 1er temps, il convient d’analyser les missions en les classant dans 3 catégories :
3. Propositions d’actions pour réduire les écarts entre les ressources existantes et
attendues.
3-Les coûts de personnel et leurs prévisions doivent ensuite être discutés avec l’exécutif et la
direction générale afin de planifier avec le service financier l’impact budgétaire et/ou de
prendre des mesures correctives.
Les enjeux de la démarche GPEC pour les ressources humaines résident sur le qualitatif plus
que le quantitatif.
3
Des résultats attendus
clarifier les missions et valoriser les compétences (individuelles et/ou collectives) des
agents,
insister sur le fait que les personnes ont des ressources à développer et leur proposer un
cadre d’évolution professionnelle (via la mobilité notamment),
accompagner le changement
4
Management interculturel et la GRH
Lorsqu’une entreprise souhaite développer son activité internationale, il lui est souvent
indispensable de délocaliser ses activités de production, de gestion et de marketing.
Pour ce faire, l’entreprise développe des filiales à l’étranger, et le problème des différences
culturelles apparaît alors entre les employés de la filiale, qui sont pour la plupart indigènes.
Externalisation
La durée est nécessaire tant pour l’entreprise que pour le prestataire. Puisque, si on veut en
tirer tous les avantages, quand on externalise, on le fait pour longtemps.
L’externalisation a pour objectif de créer de façon prolongée une valeur ajoutée. Elle peut
être partielle ou total, varie en fonction des entreprises et de l’activité externalisée.
La délocalisation
La sous-traitance
Est une relation entre un donneur d’ordre et une entreprise de production. L’objectif du
sous-traitant est de faire exactement ce que lui demande de créer le donneur d’ordre. En
général avec une surveillance du donneur d’ordre sur l’application des directives.
5
Une réduction globale des coûts dépendant des avantages listés ci-dessous:
• Permettre d'éviter l'embauche d'une personne pour cette fonction et donc ne pas
alourdir les charges fixes de personnel de l'entreprise.
6
Évolution du besoin
Les besoins évoluent en fonction de facteurs individuels ou sociaux. Les facteurs individuels
témoignent du fait que les besoins ne sont pas identiques pour tous les individus.
7
Facteurs influençant l’acte d’achat :
Rationnelle : achat raisonné basé sur critères objectifs (acheter un lave-linge économique,
peu encombrant, etc.)
Auto-expression : désir d’exprimer au travers des produits ce que l’on est ou ce que l’on
voudrait être (achat de marque)
3) physiques
4) financiers (prix).
8
3) les risques : incertitudes portant sur l’achat : risque financier (perte d’argent), risque
technique (mauvaise fonctionnement du produit), risque psychologique (déception en
recevant le produit), d’un risque sociale (produit qui ne correspond à l’image de soi) ou d’un
risque physique (conséquences négatives sur la santé liées à l’utilisation du produit).
9
Marchéage ou marketing-mix
Il s’agit donc de l’ensemble des moyens dont dispose une organisation pour concevoir l’offre
qu’elle présentera sur le marché.
1. Le produit
L’objectif de ce premier élément du mix est de créer de la valeur à la fois pour la cible visée,
mais aussi pour l’entreprise vendeuse.
Pousser la réflexion un peu plus loin. Quel est le produit ? A quel besoin il répond ? En
prenant en compte toutes les variétés du produit (les différentes couleurs pour un
vêtement), la qualité du produit (tissu, coupe, …), le design, le packaging et la marque. Tout
ce qui rajoute de la valeur au produit et qui pourrait créer de la préférence chez les
prospects (PVA).
2. Le prix :
4) les plans de paiement et les termes de crédit qui prennent en compte les modalités de
paiement.
La stratégie de prix est toujours définie en fonction du marché ciblé ; stratégie d’alignement
(aligner ses prix sur la concurrence), stratégie de prix psychologiques (2,99€ au lieu de 3€),
D’une manière générale, la fixation du prix de vente d’un produit est une décision majeure
en raison de l’influence que ce prix exerce à la fois sur le volume des ventes et sur la
rentabilité du produit.
3. La communication :
10
Donc 3 objectifs d’une action de communication :
4. La distribution :
Définir une politique de distribution repose sur des choix et actions qui visent à créer,
développer, animer et assurer le suivi du réseau de distribution de l’entreprise.
La politique de distribution est une composante essentielle du marchéage car : les décisions
en matière de distribution sont souvent difficiles à modifier du fait des liens entre
l’entreprise et les distributeurs (engagements contractuels, relations de confiance,
etc.) et le délai de constitution d’un réseau nécessite un investissement en temps et
financier.
11