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Able Pauline Lcimportance Du Diagnostic Financier Dans Une Entreprise 28.02.10!11!37 Am O2
Able Pauline Lcimportance Du Diagnostic Financier Dans Une Entreprise 28.02.10!11!37 Am O2
LISTE DES ABREVIATIONS
AC Actif circulant
BF Besoin de financement
CA Chiffre d'affaires
CP Capitaux permanents
ED Emplois durables
FR Fonds de roulement
n Exercice en cours
TA Total actif
TP Total passif
RE Résultat d'exploitation
RN Résultat Net
RS Ressources stables
VA Valeur ajoutée
LISTE DES TABLEAUX
INTRODUCTION
Les difficultés apparaissant et peuvent être corrigées très vite si les dirigeants
s’avisent tôt.
Le diagnostic s’effectue au niveau de chaque fonction de l’entreprise et à tout
moment de sa vie.
Il existe plusieurs formes de diagnostic qui diffèrent suivant l’objectif poursuivi
et les normes que se fixent les dirigeants.
Le présent travail va se pencher uniquement sur une seule forme de ces
diagnostics qu’est le diagnostic financier.
A toutes les étapes de la vie d'une entreprise, son dirigeant doit donc prévoir,
et faire des choix qui reposent sur une bonne appréciation de sa situation.
I. LES NOTIONS D’ENTREPRISE
1.2. Classification selon la forme juridique
Les entreprises peuvent être classées selon le critère juridique de la
propriété des moyens de production.
a. Le secteur public
b. Le secteur privé
Dans la catégorie du secteur privé, coexistent des entreprises
individuelles, agricoles, artisanales, commerciales qui appartiennent à
une seule personne physique, et des entreprises sociétaires appartenant
à plusieurs personnes. Aussi distingue-t-on :
- Les sociétés de personnes, il s’agit des sociétés en nom collectif
et les sociétés en commandite simple.
Les sociétés à responsabilité limitée(SARL) : dans ces sociétés, les
associés ne sont responsables des dettes sociales qu’à concurrence de
leurs apports et dont les droits sont représentés par les parts sociales. Le
capital social doit être d’au moins un million (1 000 000) de francs CFA. Il
est divisé en part sociale dont la valeur nominale ne peut être inférieure à
cinq mille (5 000) francs CFA.
Une variante de la SARL est l’entreprise unipersonnelle à
responsabilité limitée (EURL), avec un associé unique. La
responsabilité est limitée à l’apport des capitaux.
Les sociétés anonymes : sociétés dans lesquelles les actionnaires ne
sont responsables des dettes sociales qu’à concurrence de leurs apports
et dont les droits des actionnaires sont représentés par les actions. Le
capital social doit être de dix millions (10 000 000) de francs CFA. Il est
divisé en part sociale dont la valeur nominale ne peut être inférieure à
cinq mille (10 000) francs CFA.
Les entreprises peuvent être classées suivant des indicateurs quantitatifs tels
que la puissance commerciale à travers le chiffre d’affaire, la puissance
financière mesurée par le capital social, les capitaux propres et les résultats et
la force du travail par l’effectif du personnel et ses rémunérations. Ainsi on
distingue :
Quelque soit le type de société, sa survie et son développement ne peut se
faire que par une bonne organisation interne et la mise en place de méthodes
de gestion efficace et efficiente.
La structure se compose de trois éléments que sont les tâches à effectuer, les
rôles des acteurs et les liens entre tâches et rôles.
Les tâches au par avant liées à la seule production s’élargie à toutes les
fonctions. Les rôles étaient aussi uniquement associés à l’exécution mais de
plus en plus les travailleurs participent au processus de prise de décisions. Les
liens entre tâches et rôles deviennent de plus en plus complexe autant que des
formes structurelles. Aussi se pose le problème du choix de la structure.
Ces objectifs peuvent être atteints à des degrés divers à travers plusieurs
formes d’organisation. Des formes d’organisations traditionnelles, il en existe
cinq : l’organisation hiérarchique ou pyramidale, l’organisation fonctionnelle,
l’organisation hiérarchico-fonctionnelle, l’organisation divisionnelle
(décentralisée) et l’organisation matricielle.
Cependant, toute prise de décision, passe par l’établissement de diagnostic
général de l’entreprise ou des diagnostics fonctionnels, dont le diagnostic
financier.
Au départ mis en place par les banquiers, car cela leurs permettaient de
connaître le degré de solvabilité de leurs clients en vue du crédit à allouer. Les
investisseurs aussi tels que les boursiers, s’intéressent à la performance des
entreprises, c'est-à-dire au résultat financier et économique.
Le diagnostic financier consiste donc à étudier l’évolution de la structure
financière et des résultats de l’entreprise afin de répondre aux questions
fondamentale suivantes:
- La structure des ressources est elle adaptées aux besoins
d’exploitation de l’entreprise ?
- L’entreprise dispose t’elle d’une autonomie suffisante ?
- Le profit dégager est il suffisant pour permettre à l’entreprise de
prospérer ?
Ainsi donc, diagnostiquer, c’est procéder à l’analyse de la situation financière,
des performances bonnes ou mauvaises de l’entreprise.
Lorsque la situation est bonne, l’objectif sera de la maintenir et de l’améliorer.
Par contre une mauvaise situation emmène les dirigeants à y remédier et
trouver des solutions.
Quels peuvent être les sources des difficultés ou de la mauvaise situation de
l’entreprise?
La chute des ventes, des parts de marché, donc de la demande, est source de
défaillance. Cela aura des effets sur la production, les prévisions de ventes, et
surtout la gestion financière et comptable qui se trouve face à une situation
d’accumulation de stocks et d’absence d’entrées de ressources.
Il peut dans le cas des obstacles accidentels s’agirent des troubles sociaux, des
cas de grèves, de catastrophes naturels, de litiges avec quelques partenaires,
ou des malversations internes.
Le diagnostic financier est réalisé à partir d’un ensemble de techniques
dénommées analyse financière.
L’analyse statique permet d’établir à partir du bilan, les principes sur les
quels repose l’équilibre financier de l’entreprise ainsi que les différents ratios
servant d’indicateurs pour juger la situation patrimoniale.
Le bilan est à un moment donné (généralement en fin d’exercice comptable)
la situation active et passive (biens et dettes) d’une entreprise. Le bilan
donne des informations sur la situation financière et sur la valeur de
l’entreprise. Il permet de mesurer deux risques fondamentaux :
Le risque d’illiquidité c'est-à-dire l’incapacité de l’entreprise à régler ses
dettes, et le risque financier de rentabilité lié à l’endettement et à l’effet de
levier.
L’analyse statique du bilan permet de faire l’étude de l’équilibre financier, la
solvabilité et la liquidité ou l’indépendance de l’entreprise.
1. L’EQUILIBRE FINANCIER
Le besoin en fonds de roulement(BFR) correspond au besoin de
financement d’exploitation (BF) généré par l’activité courante de
l’entreprise et hors activités ordinaires (BFHAO):
BFR = BF + BF HAO
Puisque tout comme dans le bilan, total actif est égal au total
passif :
T = FR – BFR
Le bilan peut être présenté par les trois valeurs ci-dessus illustrant
l’équilibre ente les ressources et les emplois.
Emplois Ressources
FR
BFR
T+
Total Total
Cela revient à déterminer l’évolution du FR, du BFR sur trois, quatre, voir
cinq années écoulées.
Si par exemple le FR a connu des augmentations ou des diminutions, il
serait indispensable de rechercher et expliquer les causes.
En cas d’augmentation du FR, deux situations peuvent se présenter :
- d’une part, il s’agit d’augmentation des dettes financières dont le
volume peut dépasser les capitaux propres, cela peu remettre en cause
l’indépendance financière de l’entreprise ;
- d’autre part, il s’agit d’apports des associés, entrainant
l’accroissement des dividendes ou la cession des immobilisations.
En cas de diminution du FR, deux situations peuvent aussi se
présenter :
- il peut s’agir d’acquisition de nouveaux investissements qui vont plus
tard générés de nouvelles ressources ;
- ou de réduction des capitaux propres due au déficit connu par
l’entreprise.
égale à l’augmentation du BFR et que le FR doit permettre de financer
l’augmentation du BFR.
Plus la CAF est élevé, plus les possibilités financières de l’entreprise sont
importantes ; par contre une CAF dont le niveau est faible, augmente les
difficultés financières de l’entreprise.
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Le tableau financier des emplois et ressources (TAFIRE)
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Tableau N°2 : VARIATION DU BESOIN DE FINANCEMENT (BF)4
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13
Tableau N°3 :TAFIRE 2ième partie
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T = FR-BFR.
Au cours d’un exercice, cette variation qui est la différence entre les
encaissements et les décaissements représente le flux net global de trésorerie.
%$
Tableau N°4 : L’EXCEDENT DE TRESORERIE D’EXPLOITATION
(ETE)
%)
(
Le ratio est un rapport entre deux masses du bilan qui donne une information à
un instant précis. Il est un outil de sécurité, d’alerte, d’incitation à la réflexion
et à l’analyse. Il illustre une information et permet à un instant donné de
visualiser son évolution.
On distingue :
**
- les ratios d’activité : ils mettent en rapport des postes de bilan et du
compte de résultat pour analyser l’évolution de l’activité ;
- les ratios de rentabilité : ils mettent en rapport les résultats, le chiffre
d’affaire, les capitaux afin de mesurer les rentabilités économiques et
financières.
Actif immobilisé :
Actif Total
Il traduit l’importance de l’équipement nécessaire à la production
Créances :
Actif Total
Il indique la nature des relations de l’entreprise avec sa clientèle et les délais
moyens de règlements des clients.
Capitaux Permanents :
Passif Total
Il traduit l’importance des capitaux permanents et la stabilité de financement.
Dettes Totales :
Passif Total
Il précise le niveau d’endettement de l’entreprise.
Capitaux Propres :
Passif Total
Il mesure la capacité de l’entreprise à s’endetter et précise le niveau
d’autonomie financière.
Capitaux Propres :
Dettes financières
Il mesure l’indépendance financière et doit être > à 1.
Les ratios de structure du bilan :
Il mesure la couverture des emplois stables par les ressources ; il doit être
proche de 100% pour éviter les concours bancaires.
Il traduit les conditions dans lesquelles sont effectués les règlements des
fournisseurs par l’entreprise.
Dettes fournisseurs x 360j
Consommations en provenance des tiers TTC
Toute fois l’analyse des postes de bilan ne suffit pas à cerner certains
indicateurs qui permettent de prendre des décisions de gestion, il est
nécessaire de faire l’analyse de l’activité et du résultat.
- Marge commerciale
La marge brute est l’écart entre le chiffre d’affaire et le coût des
marchandises vendues pour les entreprises commerciales ; ou la
différence entre le chiffre d’affaire c'est-à-dire la vente de la production
et le coût de la production vendue.
Taux d’intégration = =
3 LES INDICATEURS DE RENTABILITE
Les indicateurs de rentabilité prennent en compte l’excédent brut
d’exploitation (EBE) et le résultat d’exploitation.
- EBE
L’EBE est le solde de la valeur ajoutée après règlements des impôts, taxes,
versements assimilés des charges de personnel.
DEUXIEME PARTIE : LE DIAGNOSTIC
FINANCIER DE LA SOCIETE TRANS
LOGISTIQUES (TL)
Chapitre 1 : LA PRESENTATION DE LA SOCIETE
I. PRESENTATION GENERALE
Le transit et la consignation ;
II. STRUCTURE
TRANS LOGISTIQUES a une structure hiérarchico fonctionnelle (cf.
organigramme page suivante).
ORGANIGRAMME DE TL- SARL
Chapitre 2 : LE DIAGNOSTIC FINANCIER DE LA
SOCIETE TL
I. SITUATION FINANCIERE DE LA SOCIETE
Tableau n° 6 : Bilan financier
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Les capitaux propres ont connu une progression sur toute cette période. Ceci
provient de la constitution des réserves et du cumul du report à nouveau
chaque année et surtout à l’augmentation du capital social de l’entreprise en
2005 avec l’ouverture de capitaux aux nouveaux associés.
On constate sur la période d’étude que l’actif circulant est faible par rapport au
passif circulant dégageant chaque année des soldes négatif synonyme de
besoin de financement d’exploitation sauf en 2006.
51 969 482 48 944 116 47 356 098 24 249 958 22 996 250
34 925 180 25 467 310 25 194 462 13 617 250 8 035 126
17 044 302 23 476 806 22 161 636 10 632 708 14 961 124
11 353 176 19 543 132 7 373 048 28 950 000 28 784 680
13 437 690 14 029 566 11 858 980 56 924 582 77 297 906
-2 084 514 5 513 566 -4 485 932 -27 974 582 -48 513 226
19 128 816 17 963 240 26 647 568 38 607 290 63 474 350
On constate que les emplois stables sont entièrement financés par les
ressources durables, dégageant un fonds de roulement nécessaire au besoin de
financement d’exploitation. Cela peut amener à avancer l’existence d’un
équilibre financier.
L’actif circulant essentiellement composé de crédits clients est largement
inférieur au passif circulant, composé en grande partie des dettes fournisseurs
et des crédits à court terme pour financer l’exploitation, ce qui explique un
besoin en fonds de roulement négatif sauf en 2006. D’où une trésorerie nette
positive mais décroissante de 2003 à 2006.
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L’évolution de la CAF s’identifie à celle du résultat net. D’une progression de
13% entre 2003 et 2004, elle est passée à 48% entre 2004 et 2005. De 2005
à 2006, elle connaît une décroissance de 37%. Entre 2006 et 2007, il y a une
nouvelle progression de 47%. Puisque c’est la CAF qui détermine les
possibilités d’autofinancement de l’entreprise, on constate que la société ZIL
jouit d’une santé financière qui n’est pas toujours stable. La meilleure
performance se situe en 2005.
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Tableau n°12 : Les ratios
RATIO Norme 2007 2006 2005 2004 2003
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Les capitaux propres en R4 par rapport au total du passif sont dans les normes
et donnent la possibilité de faire appel aux emprunts.
Les délais négociés auprès des fournisseurs au cours de l’année (R7) dépassent
bien ceux accordés aux clients(R6).
III. ANALYSE DU COMPTE DE RESULTAT
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Tableau n °15 : Evolution de l’EBE
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Le résultat financier est la marge dégagée par les activités financières réalisées
par l’entreprise.
Les produits financiers sont constitués par les intérêts des placements de
l’entreprise auprès des établissements financiers.
Les charges financières sont les intérêts payés sur les concours contractés
auprès de ces établissements financiers.
La société TL n’étant qu’à ses débuts n’a pas encore bénéficié des emprunts à
long terme auprès des institutions financières par contre s’est penchée sur les
crédits à court terme dont les taux d’intérêts élevés sont à l’origine des frais
financiers élevés, ajoutés à l’inexistence de produits financiers. C’est en 2006
qu’elle a commencé par des prises de participations dans le capital social
d’autres entreprises.
Le résultat hors activités ordinaires est le résultat dégagé sur les opérations
exceptionnelles aux activités de l’entreprise.
Le résultat hors activités ordinaires est négatif de 2003 à 2005 ceci à cause
des sortie d’éléments d’actifs devenus obsolètes ou défectueux. Les produits de
cessions d’immobilisation enregistrés en 2006 ont permis de dégager un
résultat HAO excédentaire. Mais il est nul en 2007, aucune charge ni aucun
produit n’ayant été constaté en cette période.
RECOMMANDATIONS
Constats : la récession progressive de la trésorerie de 2004 à 2006 cela étant
probablement due au financement des investissements ;
CONCLUSION
Pour survivre de façon durable, une entreprise doit optimiser ses facteurs de
production et en tirer des excédents et des avantages ; cela passe par la
recherche de la rentabilité économique, commerciale et financière.
Ainsi donc, la situation financière d’un entreprise se retrouve dans son aptitude
à maintenir un degré de liquidité suffisant afin d’assurer en permanence sa
solvabilité et sa croissance.
Aussi pourrait-on dire que la société TL est une société dont la croissance et le
développement est sur une bonne voie. Grâce au dynamisme de ses dirigeants
et du personnel, des performances sont enregistrées d’année en année.
Apportant ainsi sa part de contribution au développement du pays, où il est
indispensable d’encourager les projets et initiatives du secteur privé en vue de
l’intégration du continent dans le système de la globalisation.
ANNEXES1 : BILANS 2003 à 2007
BILAN AU 31 DECEMBRE 2003
Exercice
ACTIF Exercice2003 2002
Brut Amort./Prov. Net Net
ACTIF IMMOBILISE
Charges immobilisées
Frais d'établissement et charges à
répartir 308 836 308 836 287 500
Installations et agencements 1 414 916 259 402 1 155 514 1 744 306
Matériel 10 326 268 5 124 492 5 201 776
Matériel de transport 0 0
Avances et acomptes versés sur
immobilisations
Immobilisations financières
Titres de participation 0 0 0
Autres immobilisations financières 1 369 000 0 1 369 000
TOTAL ACTIF IMMOBILISE (I) 13 419 020 5 383 894 8 035 126 2 031 806
ACTIF CIRCULANT
TOTAL ACTIF CIRCULANT (II) 28 784 680 0 28 784 680 3 357 082
TRESORERIE -ACTIF
Banques, chèques postaux, caisse 63 474 350 0 63 474 350 19 148 742
TOTAL TRESORERIE -ACTIF (III) 63 474 350 0 63 474 350 19 148 742
Ecarts de conversion - Actif (IV)
0
TOTAL GENERAL (I+II+III+IV) 105 678 050 5 383 894 100 294 156 24 537 630
BILAN AU 31 DECEMBRE 2003
BILAN AU 31 DECEMBRE 2004
TRESORERIE -ACTIF
" " +0.(/*1( ( +0.(/*1( .+,/,+-(
TOTAL TRESORERIE -ACTIF (III) 38 607 290 0 38 607 290 63 474 350
Ecarts de conversion - Actif (IV)
#
$
TOTAL GENERAL (I+II+III+IV) 90 518 232 9 343 692 81 174 540 100 294 156
,1
BILAN AU 31 DECEMBRE 2004
-(
BILAN AU 31 DECEMBRE 2005
Exercice
ACTIF Exercice2005 2004
Brut Amort./Prov. Net Net
ACTIF IMMOBILISE
(
Immobilisations corporelles
Terrains
Batiments
.14/4,1 3,,.33 -33.0-3 ,222+--
,-1-3/.1 3-41+.- /..-/+/ /-3/231
3-/304+ 0/44+1+ -2/40.+ 1,31//-
Avances et acomptes versés sur
immobilisations
Immobilisations financières
32+++++ + 32+++++
10-4+++ 10-4+++ ,.14+++
TOTAL ACTIF IMMOBILISE (I) 39 800 942 14 606 480 25 194 462 13 617 250
ACTIF CIRCULANT
Actif circulant H.A.O.
Créances et emplois assimilés
%!! +
,-4,04,1 03,.,3+ 2,+-2.1 -32,,1./
-2+.,- + -2+.,- -.3.11
TOTAL ACTIF CIRCULANT (II) 13 186 228 5 813 180 7 373 048 28 950 000
TRESORERIE -ACTIF
0,
BILAN AU 31 DECEMBRE 2005
"
1.
BILAN AU 31 DECEMBRE 2006
TRESORERIE -ACTIF
0.
BILAN AU 31 DECEMBRE 2006
TRESORERIE -PASSIF
#
.-
BILAN AU 31 DECEMBRE 2007
Exercice
ACTIF Exercice2007 2006
Brut Amort./Prov. Net Net
ACTIF IMMOBILISE
Charges immobilisées
'
Immobilisations corporelles
-/,**** +*2-,/* ,.-01/* ,13+000
+,21.21* 3,,*.,. -0/...0 -,3.+22
++*/,.1, 0-2,.22 .00332. 033,./0
Immobilisations financières
,*.1/*** * ,*.1/*** 21*****
-023*** * -023*** -023***
TOTAL ACTIF IMMOBILISE (I) 51 611 342 16 686 162 34 925 180 25 467 310
ACTIF CIRCULANT
Créances et emplois assimilés
$
*
+00+12.. /2+-+2* +*2*.00. +3,3-+0.
/.2/+, * /.2/+, ,.3302
TOTAL ACTIF CIRCULANT (II) 17 166 356 5 813 180 11 353 176 19 543 132
TRESORERIE -ACTIF
$
!$
+3+,22+0 * +3+,22+0 +130-,.*
TOTAL TRESORERIE -ACTIF (III) 19 128 816 0 19 128 816 17 963 240
//
BILAN AU 31 DECEMBRE 2007
"
12
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0044751
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Total des charges d'exploitation 60 878 076
ACTIVITE FINANCIERE
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Total des charges financières 0
Total des charges des activités ordinaires 60 878 076
HORS ACTIVITES ORTINAIRES (H.A.O.)
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Total des charges H.A.O 60 000
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! 1 467 390
Total participation et impôts 1 467 390
TOTAL GENERAL DES CHARGES 62 405 466
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0-.1+11.
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Total des produits d'exploitation 65 244 216
'
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ACTIVITE FINANCIERE
+/1/**
Total des produits financiers 157 500
%2$& *.0.))
Total des produits des activités ordinaires 0/.*+1+0
HORS ACTIVITES ORDINAIRES (H.A.O;)
(
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Total des produits H.A.O. 0
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" $/))))
! +11/+.)
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TOTAL GENERAL DES PRODUITS 65 401 716
/2
ACTIVITE FINANCIERE
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Total des charges financières 6 000 000 0
Total des charges des activités ordinaires 79 867 188 60 878 076
HORS ACTIVITES ORTINAIRES (H.A.O.)
" !
,
! 002057
((( 5////
!
! (((
Total des charges H.A.O 113 168 60 000
!
! !
#
"
! " "!
! 1 369 138 1 467 390
Total participation et impôts 1 369 138 1 467 390
TOTAL GENERAL DES CHARGES 81 349 494 62 405 466
5/
#
,**.
!#
3+0/22-- 1./2,22/
&
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,22-//-
(!
,33++++
Total des produits d'exploitation 2,.,11,, 0/,..,+0
'
2/0*/-. .-00+.*
%3& %$&
ACTIVITE FINANCIERE
,20/3+ ,020++
Total des produits financiers 175 480 157 500
%3$& $/2,./,* +/1/**
Total des produits des activités ordinaires 82 603 202 65 401 716
1,
ACTIVITE FINANCIERE
34///// 5//////
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!
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"$
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Total des charges financières 4 500 000 6 000 000
Total des charges des activités ordinaires 95 583 896 79 867 188
HORS ACTIVITES ORTINAIRES (H.A.O.)
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! 002057
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Total des charges H.A.O 687 382 113 168
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#
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! 4 337 800 1 369 138
Total participation et impôts 4 337 800 1 369 138
TOTAL GENERAL DES CHARGES 100 609 078 81 349 494
51
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ACTIVITE FINANCIERE
'&$#$ 397222 3976:2
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Total des produits financiers 175 000 175 480
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Total des produits des activités ordinaires 175 000 175 480
53
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3/4+3,2- ,+./02.,3
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(!
3-4++
Total des produits d'exploitation 84 908 172 103 540 218
%
2 114 752 12 456 322
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ACTIVITE FINANCIERE
,20403 ,20+++
Total des produits financiers 175 958 175 000
#2"$ )/-1-0 ",+*-(((
Total des produits des activités ordinaires 85 084 130 175 000
10
55
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3.,-0.+3 3/4+3,2-
&
'&5%'
(!
Total des produits d'exploitation 83 125 308 84 908 172
#
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! " 90 032 2 114 752
ACTIVITE FINANCIERE
12,34,- ,20403
Total des produits financiers 6 718 912 175 958
Sambe Oumar & Mamdou Ibra Diallo, Comptable SYSCOA, Le Praticien Editions
Comptables et Juridiques, 2ième Edition 1999.
!
Pages
Introduction : 4-5
Chapitre 1 : L’entreprise :
"
I. Présentation générale : 30
II. Structure : 31
Les recommandations : 44
Conclusion : 45
Annexes : 46-67
Bibliographie : 68