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I. PHYSIOLOGIE DE LA BOUCHE
II. P. PHARYNX ET OESOPHAGE
III. P. ESTOMAC
IV. P. L’INTESTIN GRELE
V. P. DU COLON
VI. ? DES GLANDES ANNEXES (foie, voies biliaires et pancreas)
VII. PROCESSUS DIGESTIF
0. INTRODUCTION
L’appareil digestif comporte le tube digestif proprement dit et des organes
accessoires. Ceux-ci sont : les glandes salivaires, le pancréas exocrine, le
foie et la vésicule biliaire. Ils sont situés en dehors des parois du tube digestif
et déversent leurs sécrétions par des canaux excréteurs dans la lumière du
tube digestif.
Ces organes sont en continuité les uns avec les autres et ne sont décrits
séparément qu’en raison des particularités régionales qui, sous tendent leurs
activités spécialisées.
3) L’innervation extrinsèque
Assurée par les 2 subdivisions du système nerveux autonome : le
sympathique avec un effet inhibiteur et le parasympathique avec un effet
stimulateur. Au repos le tube digestif travaille et à l’effort il ne travaille pas.
4) Les hormones digestives
I. PHYSIOLOGIE DE LA BOUCHE
I.A. RAPPEL
a. Rappel
Il existe 3 paires de glandes salivaires majeures (les parotides, les sous
mandibulaires et les sublinguales) situées à l’extérieur de la cavité buccale
mais qui y déversent leurs sécrétions, et des glandes salivaires mineures ou
glandes orales qui sont disséminées sur l’ensemble de la muqueuse de la
cavité buccale.
Ces glandes salivaires sont composées dans des proportions variables de 2
types des cellules sécrétrices : les cellules séreuses (produisent une sécrétion
aqueuse contenant des enzymes et des ions) et les cellules muqueuses
(sécrètent du mucus, des glycoprotéines et des glycosaminoglycans).
Les glandes parotides ne contiennent que des cellules séreuses. Les grandes
sous mandibulaires et les glandes salivaires mineures sont constituées des 2
types de cellules à un nombre à peu près égal. Les sublinguales contiennent
surtout des cellules muqueuses.
b. Composition de la salive
La salive est une « mixture » constituée de :
- l’eau (99,5%) ;
- électrolytes et oligo éléments ( K+, Na+, Ca++, HPO4-, I-, thiocyanate,
Cl-, HCO3-, F-, Cu+, Fe++). Le pH buccal est de 6,7 à 8,5. La salive est
en général légèrement acide mais son pH est variable ;
- substances organiques (amylases salivaires, mucines, défensines,
lysozymes, protéines et IgA) ;
- Facteurs de croissance et hormones (NGF = nerve growth factor, EGF=
epithelial growth factor, TGFß = Transforming growth factor beta,
Insulin-like, kallicréines);
- déchets métaboliques (urée et acide urique).
La salive est faite de 99,5% d’eau et de 0,5% des protéines et d’électrolytes.
Les protéines importantes dans la salive sont :
L’amylase, les mucines (mucus) et les lysozymes
La salive est la sécrétion digestive qui contient le taux le plus élevé de
potassium.
c. Mécanisme de la sécrétion
d. Régulation de la salivation
Les glandes salivaires mineures sécrètent continuellement une quantité de
salive suffisante pour maintenir l’humidité de la bouche, estimée à 750 ml.
Les glandes salivaires majeures sont activées par l’arrivée des aliments dans
la bouche ce qui apporte une importante quantité de salive.
La salivation est la seule sécrétion digestive régie exclusivement par un
mécanisme nerveux avec un rôle prédominant du système nerveux para
sympathique.
Les neuro fibres de nerfs faciaux (7)et glosso-pharyngiens (9) vont déclencher
une sécrétion abondante d’une salive aqueuse, séreuse et riche en enzymes.
Plusieurs facteurs peuvent déclencher la stimulation para sympathique :
1. la présence des aliments dans la bouche
2. la vue ou l’odeur d’aliments
3. l’idée d’un repas imminent
4. l’irritation des régions < du TD par des toxines bactériennes
5. des aliments épicés ou l’hyperacidité gastrique.
Les chimiorécepteurs sont les plus activés par des substances acides
(vinaigre, jus d’agrume, citron : puissant stimulant de la salivation, 0,5 ml/min à
5 ml /min).
Les barorécepteurs peuvent être activés par n’importe quel stimulus même un
élastique.
Id. Digestion
I.e. Absorption
II.A. RAPPEL
II.B. MOTRICITE
* Déglutition
Elle englobe l’ensemble des plunomines qui sont passer les aliments de la
souche à l’estomac.
Elle est decanché quand un sol alimentaire est passé volontairement par la
longue de l’arrière de la cavité buccale dans le pharynx.
La prevention des toussis gouttes est assurié par des phenomènes bien
coordonnés :
- l’accocelement de la langue au poids osseux = fermeture de l’aritif
arophorymgien
- le moitié du vile du parois et de la lutte aisni que leur application contre
la paroi postérieure au pharynx = permettre de l’arifice maso
pereryngien
- la moitié du rorynx, et l’accoliment des cordes vovcales des l’orifice et
du lorunx appelé grotte = fermature de l’aritime loryngophrorynguin.
Ceci fait que l’accès ou la voie diminue est bloqué durant la depentation. Les
autres respiratoires sont brivement inhibis ce qui avité qu’ici se produise des
morts respiratoires futiles.
2° L’Etape oesoperagienne
L’onde perispoltique sont de 5 à 9 seconds pour aller de l’extra > à l’extr. < de
l’œsophage elle est commandé par un centre de la dignatition et est due à la
contraction des muscles striés dans le ¼ > de l’œsophage relayé par celle du
muscle lisse dans le reste de cet organe.
Le nert moteur est le…. Pneumogrostrique
Les ondes perispetiques zaires sont un rôle dans le reflux acide, dans
l’œsophage en chassant l’acide choix de l’œsophage vers l’estomacs, ce qui
réduit le risque de lésions de la magnose oesophagienne dans au contract
prolongé avec l’acide.
CENTRE BULBAIRE
Recepeturs Effecteurs
- Pharynx - muscles de la longue
- Base de la langue - du pharynx
- de l’oesophage
II.C. LA SECRETION
III.A. RAPPEL
La caucune musculaire lisse du fondus et du orps est assez mince deors que
celle de lautre est bcq ? plus importantes.
Il reste recu aventure suffisante pour un passage facile des liquides mais trop
petite pour celle au clusme epais sauf d’une forte contraction rentracer force le
passage.
+ le fluidité du clasme
Un repas liquide est évacué plus vite qu’un repas solide
Il est composé :
- l’eau 99,4%
- les electrorytes (Na+, K+, Hcl, Mg, Ca, HCO3-)
- des composants organiques (pepsinogène, las ferments, des
mucophysocclueridus, lipose gastrique, facteur intrinsèque)
- les mucus
1er phase
Phase ciphalique un commence avant l’arrivée des aliments, des l’estomac
elle ne dure qu’une ou deux heures la optité de suc qui inresult constitu 45%
du total.
facteurs de stimulation : l’arôme, le jout ou l’idée de la nourriture.
C’est un réflexe canditissire
facteurs d’inhibition : la dipréme, le manque d’appetit.
2ème phase :
Phase gastrique
Le 2/3 tiers du suc gastrique libué sont produits durent cette phase
facteurs ou stimulation : l’etirement de l’estomac (discusion),
présence des peptides et des catrines dans la nourriture (le
présence dans proteines dans l’estomac et le stimulus ne plus
puissant de la secrétion gastrique), la faible acidité ou
l’augmentation du ph.
L’uterio de l’estomac active les neconor rcp de sa pervi et
declencher les refuxes myenterique, locaux, et les refuxes longs
raso vagaux (dont les influx se rendent à l’estomac par les neuro-
fibres des vague)
Ces 2 types de ruflexe declenchent la liguation d’acit hylchocive
qui accroit encore la libération du suc grastrique par les cellules
secrétrices
le stimulus climq produits par les proprimes partiellection dignées
(peptides), la cafeïne (presente dans les boissons à base de cela,
le ...... les café) et l’.... du pH activent directement les cellules
secrétrices de gestrime (des cellules G).
Le gastrine stimule les cellule pariebles à secuter l’Hcl et de
cluchée egalement la situation d’enzymes (pepsine).
Facteurs d’inhibition
- l’excès d’acidité Ph < 2 inhibité cogastrine
- le problème imotionnel = active le symptothique nutracisant l’activité du
parasympathique sur la digestion.
3ème phase
Phase intestinale
Facteurs de stimulation :
- l’intéré des le duodenum s’alito perticulement dignés
- un pH bas dans le duodenum
Facteurs d’inhibition
- l’itirement du duodenum
- la présence d’un ducme gras, acide ou lympertonique ou d’agents
initont dans le duodenum
- presence d’aliment particulement aigirés gros ou recides dans le
duodenum.
Les 2 premiers facteurs inerible le secrétion gastrique par la mise en branche
du reflexe entero-gastrique.
Les 1 et 3° facteurs l’inhibulité par la risuation des enteuro gastrones.
III.E. L’ABSORPTION
V. PHYSIOLOGIE DE L’INTESTIN
V. RAPPEL
2) La propulsion
Dans la quasi totalité du repos a été absorbé la symultation cesse et
remplacer par entre un repas par le complexe moteur migrant. Celui-ci est fait
d’une distance de long de l’intestin dont de mourir et d’e recevées par l’onde
peristoetique suite un peu plus du aval.
Chaque mois persistane que netto l’IG en expulsiont dans le ….. le reste du
repas précidant, le debuts des muqueuses et des germes.
L’IG est le lieu où les nutriments sont tinolit preparés ….. de leur transpart vers
les cellules de l’otganisme. Cette fx nitou ne peut s’accomplir par le suc
intestinal seul vu sa relative pauvreté en enzymes. Les secrétions du tronc (la
bieu) et du ponnéas (enzymes digestives) sont essentiels.
Cette secrétion propre de l’IG est assurée par les grandes de BRUNNEN
localisées dans la sous muqueuse duodenale et par les grandes de
LIEBERKUHN sur le reste de l’intestin grèle et la des quamations des cellules
intestinales.
Elle est faite par les enzymes pavicratiques, labile facilitant celle des visides.
Les lipides sont reduit, par des enzymes un monoglycerides et acides gras
absorbables, les protrines le sont en petits peptides et en quelques AA. Et les
glucides en disa chrarides et un quelques monosaaccharides.
Au bout au compte la digestion des lipides est mené à terme dans la lumière
intestinale alors que celle des gluides et des proitrines est incomplète cfr
tableau.
Le voie sanguin est empruntée par l’eau, les suc niveaux, le glucose, les sa et
les accides gros àcourte chaine (un dessous de C10).
Le voi les m photique est empreintée par une partie d’eau, les ac gras à
longue (chaine et les graisses finement émulsionnées).
Le siège est la portion proximale de l’IG le glucose et le galatose qui sont des
monosaccroi des pénétrent dans les cellules de l’epithelium grâce à des
transporteurs pratiques de la masse glasmique puis il passe dans le sang des
capilaires par diffusion facilitée.
Les transporteurs situés tres près des disaccharidases sur des microcicosités
dès sicombinent aux monosacchorides dès que les disaccharides sont
degradés.
Ce transport est couplé à celui des Na+ par transport actif 2 aire (cotransport)
Par contre l’absorption du fructose est independante de l’ATP setait
lutrinement par duffusion facilitée.
Siège portion proximale de l’IG les sels biliaires necessaires à leur absorption
sont absorbés au niveau de l’ilion.
L’absorption des lipides qui sont insolubles dans l’eau pose un problème
particulier et très diffent de celle des glucides et des protrines.
Les lipides contenu dans un milieu aqueux, le clusme doivent transiter dans le
milieu aqueux des villosités bien qu’ils ne sont pas hydrosolubles. Ils doivent
subir une serie de transformation pour vaincre cette difficulté au cours de leur
digestion et de leur absorption.
Les miculis sont des aggregats des lipides associés à des sels biliaires et
contienet = des molecules de cholestenol le des vitamines lipolubles.
Ce sont en fait des gouttephyttes d’emulsions qui diffusent facilement entre
ces illosités pour entrer en contact avec la membrane phasmique des cellules
absorbantes.
L’IG absorbé les citamines des aliments mais c’est ce gros intestin qui abdobé
les vitamines K et B elaborée perdis bactéries intestinales, ses biotis.
le sodium (net)
Il est absorbé en association avec le glucose et les aa. Après etre entré dans
les 4 expliciales par diffusion, il est transporté activement vers l’extérieur de
celles-ci par ne pompe Na+ / K+
le chlorure (cl- )
Ces ions sont aussi transporté activement et à l’extremité de l’IG. Cas des
HCO3- sont secrétés activement dans la lumière en echange d’ions Cl-
le potassium (K+ )
le traverse la muqueuse intestinale par diffusion sous l’effet du produit
osmotique. Aufux t à mesure que l’eau de la lumière est absorbé la
concentration du K+ dans le chysme aumente ce qui lié un produint de ( - )
entrainant son absorption.
Conséquent, tout ce qui entrave l’absorption d’eau c……. le diarrhée en plus
de reduire l’absorption du K+ attirent le K de l’espace intensticées vers la
lumière intestinale.
le Fer
le fer ionique essentiel à la production d’H3 est transporté activement vers
l’interileur des cellules de la muqueuse où il se lie à une protrine (temitine). Ld
complexe fer territire forme une resreve de Fer à l’interieur de la cellule.
Lorsque l’organisme contient du Fer en quantité suffisante sang des très
petins …. Passent dans le sang au syst. Porte mois la plus grande partie de
cette resive finie par etre perdue pendant les cellules epit celliales se
detachent de la muqueuse (desquamation).
Lorsque l’organisme manque du ter (hemorragie aigue un chimique)
l’absorption des quantités présences dans l’IG s’accélire. Chez la femme les
pertes mustrucles ex--------- une force dimunie de réserve de Fer et les 4
epipluciales de l’intestin contiennent cuiron 4 fois plus les protrines transport
du fer que chu3 l’homme.
1. ABSORPTION DE L’EAU
L’IG revoit tous les jours ……9 litres d’eau …. Des secrétion du TD.
C’est la abcè la plus azondaite du chysme et de IG en absorbé 95% par
osmose.
Le taux normal d’absorption est de 300 à 400ml par heure.
L’eau traverse librement le muqueuse intestinale dans les deux suis mais rein
osmose nette se produit chaque fois que le transport actif des soucités (………
du Na+ ) vers les celleule de la muqueux lié …. Graduit de ( ). Par conséquent
l’absorption de l’eau est activité couplée à celui des solutis et celle influe elle
même sur le taux d’absorption des abcès qui passent normalement par
diffusion.
A mesure qe l’eau pénétre dans les cellule de la muqueuse, ses abcès suivent
leur graduit de ( ).
De façon générale le quantité des nutriment qui est absorbé est celui qui a
alteint l’intestin quel que soit l’Etat nutritionnel de l’organisme. En récanclu
l’absorption du fu et du Ca++ de peux bcq des sesons immédiats.
VI.A. RAPPEL
Le colon est cony de 1,20 à 1,50m en x Clu 3 l’adulte, et son …..carie de 7cm
dans sa santé droite à 3cm dans sa partie gauche.
Le colon ayant des dimensions supérieurs :
Par rapport à la longueur
Par rapport au …… megacolon
Le canal anal est suivie des sphincters spérincter norme de l’anustorme des
muscles de fibres musculaires involontaires.
- sphincter retenu de l’envers formé des fibres musculaires squecttiques
(striées)
Sur la plu grande partie de sa longueur de colon a bandiettes et des
haustrations caractéristiques.
VI.B. MOTILITE
CD CG RS TOTAL
Homme 19H 16H 22H 77H
Ensuite =
- soit la dification est volontairement différée : le sphincter interne et
externe ne se relachent pas la pression dans l’ampoule dimunue par
basse de sa tomicité ; le volume de l’ampoule s’adapte transitoirement à
son coutume. Rutericurement une nouvelle contraction rappelément à
l’ordre et la sensantion des bessoins rapparait.
Normalement il araive un mment où la pussion dans l’ampoule ne se
relache plus et où le contrôle sphincterrum depassé ne peut mointrine la
continanence.
soit il y a poursuite de la défécation c’est le temp
1° temps = etape = consiste à augmentation de la pression intra
abdominale sous l’effet de la contraction au diaperogne et des
muscles de la paroi abdominale, associée à celle du releveur de
l’anus. Ce temps est volontaire.
Le 3° temps = étape consiste au reclemdement densa périnter
interne et externe de l’anus et du faisceau pubo rectal du
releveur, ce qui ouvre l’angle recto anal.
il existe une flore microbienne dont le rôle est d'accuver l'hydrolyse de certains
composants alimenatires, ayant echappés à la digestion des cette flore est
composée de 1011 bactéries par gramme de continu
elle est cosntitué de façon diminnante des gumes anoeucentes stricts comme:
- les bactéroides (bacille gramm negatif 30%
- les eubacterium (gram+
- les bifidobactirium (gram+ 25%
- les pepto streptococcus et les Ruminococcus (coquis positifs)
Il existe aussi une population sous dominante (107 à 10% bactérie par
gramme des sucus fraiclus):
- Enterobactéries
- Enterococcus
- Lactobacillus
- Clostridium
C'est dans cette forme sous dominante qu'on trouve des germes à potentialité
paterogène.
ON a aussi des levures dans la flore microbienne.
1) Sur les lipides, l'action est minime, incapable, d'unités une stratorenée en
cas d'insuffisance des lipases au stranhée diarrhée graissesse niveau du
grèle proximal
2) Sur les glucides
Les enzymes bactériennes attaquent les residues alimentatires non digérés au
niveau du grèle surtout la cellulose. cette lusaroryse microbienne se poursuite
jusqu'à la promotion d'acide bactique ou de C02.
3) Sur les proteines
IL y a production d'ammoniac (NH3) et d'amines toxiques par décarboxulation
des aa.
4) Sur les vitamines
Les bactéries intermunent dans la synthèse dans vitameines du groupe
B ........l'acide folique (B9), la biotine (B8) 10 riboflavine (B2), l'acide
nicotinique (B3) ou PP preventive de la lelabre et de la vitamine K.
5) Sur la bilirubine
cfr metabolisme de la bilirubine dans le foie
Tretes les cations de permettant et de futraction librement et quantité de gaz
(100-500ml/24h).
Le quantité des gaz iciminés peut ête plus imple > 500ml lorsque les aliments
ingéres comme les haricots sont riches en gluicides.
Parmis ces nez m 0....le C02, CH4, H2, N2, .....SH2 (....................valer,
hydrogène sulfuré)
L'expulsion selective du gaz quand il y a aussi des matières dans le rectum
met la jeu la contraction simulatanée des muscles abdominaux et du sphincter
externe de l'anus.
1. RAPPEL
Le toie est le plus volumineux et ne plus important des organes ayant un rôle
dans les metabolismes. IL merite d'être considéré comme la principale resine
métabolique de l'organisme. il est important pour la digestion du fait de la
sécrétion des nes biliaires. son poids est de 1,5kg chez lecadvre et 60% de
son poids de sang chez le vivant.
2. SECRETION BILIAIRE
Chez l'homme adulte le foie produit 0,5 à 1,2 litre de bile par jour. Une
distinction doit être faite entre la bile hépatique et la bile, visiculaire.
Signe, lieu, post …………. Directe…………… passe dans la bile, dans les
urines prés toxique pour le SNC
…………………………..
- le stockage et la distribution
- la détoxication ou protéines ……………des
- le…………….des protéines ……………….. 40 g des du protéines
sont…………..du …… dans ce sang ……………….le infection de
cogralation les protéines inflammatoires et les protéines de transport
plasmetique, des …………)
VII. B PANCREAS
1. RAPPEL
Un rôles du …………………………………..sont
2. SECRETION BILIAIRE
Chez l’homme adulte le foie produit 0,5 à 1,2 litre de bile, par jour.
Une distinction doit être faite entre la bile hépatique et la bile vésiculaire.
En la bile est ( ) ée pour son sejour dans la vésicule biliaire.
Si jusqu'à 1,2 l de bile hépatique sont sucretés cheque jour, le volume qui est
finalement ouver si dans le duodenum peut n’être que de 0,25l/jour. Les fx
principales de la bile sont les sortes et plusieurs sont essentielles :
- l’émulsification des graisses par ces acides biliaires pour sa permettre leur
digestion par les enzymes pancréatiques
- le solubilisation des produits de digestion des graisses par les acides
biliaires pour tecinitre leur absorption
- le solubilisation, des vitamines liposolubles (A, D, E, K) par les acides
biliaires pour faciliter une observation
- c’est une voie d’excrétion du cholestrol, de la biliribise, d’hormones et, des
médice et des divers metabolites. L’excrétion du cholesterol est facilitée par
les de biliaires.
- La contribution à la neutralisation de l’Hcl gastrique au niveau intestinal par
le HCO3-
- La protection du système biliaire extra hépatique (VB) en les l’encont avec
une solution accaline.
La bile est une solution accolise veut soumettre continant des sels biliaires,
des pigements biliaires (bilirubine…) du cholestuve, des graisses neutres, des
plus pholi pédées (eucethine et autres) et divesr …………..
Si nous ces cpsés seuls les sels biliaires et les phopolipides contribuent au
processus de la digestion.
Les sels biliaires pcopolCe l’oc. cholique, et les oc crheno desoxy choliques
sous centome d’avions sont des dérivés du cholestéol. Ils sont des dérivés du
cholestéol. Ils ont pour fx d’emulsion les graisses c’est-à-dire de les dispersion
dans l’eau contenue dans l’intestins des firmes gouttelettes, exposent ainsi
une surface importante à l’action des enzymes digestives qui s’attaquent aux
lipides.
Rébué dans le sang quand un chusme acide et gros entre dans la sécrétion
du celle stimule en plus les influx du SNPS suc pancréatique. Les influx du
SNPS provenant des sierts vagues exercent une stimulation que importante
sur la contraction visiculaire.
Les ac biliaires qui sont dosés habituellement dans le milieu biologique sont
des ac. Biliaires primaires (ABP) syntentisés par le foie à partir du cholesterol
et des ac biliaires zaïres (ABS) produits par l’action de la fibre intestinale sur
les ABP.
Pour l’ac litho choliuqe les 4/5 de cet acide sont elimines dans les selles 1/5
seulement subit un CEH mais différent des autres du fait qu’il subit une
secréto-conjugaison qui est essentielle car elle empèche la réabsorption des
dérévés sulfatés de l'ac l’tho cholique au niv intestinal qui sontt toxiques.
Il existe donc leur seul passage dans le foie des dérivés de l’ac héthochorique.
Il n’ y a pas de cycle enterahépatique pour les dérévés sulfates du lithaa
chorate. Dès qu’il est sulfocom surgé il ne subit pas le CEH d’où excrétion.
Il subit un cycle EH à 100% ceci permet à cet acide à pourvoir dissoudre chez
l’homme les calculs biliaires du cholestérol.
- abcè qui stimule la contraction de la VB en vue de l’injection de la bile :
abcè sorbitol ®, belogoque, question
- abcè qui stimule la synthèse de la bile au ni drépatique.
Cette fraction hemique dérive d’un synthèse de bilinebine par le foie ici même
a partir des précurseurs qui sont des cista chromes et la cotase.
2) Le transport plasmatique
La blome non consuguée, non hyaro soluble est transportés dans la plasma
liée à des protines phosmatique principalement l’albumine. cette liaise qui est
commune à la blbne et à des nombreux ô anoms organiques a pour effet
d’empecher la diffusion intra tissulaire de la blbne.
Il faut les éviter par exemple chez le nouveau né en cas d’ictère à bilsme hom
conjuguée.
3) Le transport hépatique
- Captation hépatocestaire :
Après s’il dissociée de l’albumine la blbn est la ptée par diffusion facilitée
grâce à un ou peunillus avons porteurs dont l’oatp : organic auion transporting
poles peptide.
- la phase de conjugaison
La blbne non conjugué stocké dans l’hépatocyte sera conjugué à l’acide
glucuronique de l’uridine diphosphate glucose (UDPG)
La blbne nouvellement conjuguée est beaucoup plus soluble dans l’eau et
peut à secretée dans la bile pour .. éliminée dans les selles.
- l’excrétion biliaire
Après la conjugaison est excrété dans la bile à forte concentration ( à peu près
200mg de blbne/litre de bile humaine ) alors que le ( ) seingue normale est < à
10mg/litre de sang.
Cette excrétion dans les canocicules biliaires se fait par transport actif
dependant de l’ATP grâce à l’un des transporteurs suivants : CMOAT
canalicular multiple organique anion transporter MNP2 multidring relatid
protein ces transporteurs synt toutes de ceux des acides biliaires.
En pothalogie
- avec un obstacle au niveau du choledroque (tumeur vuu calcul)
- si cet obstacle est complet rien n’arrive dans l’IG d’où services
mastiques ou blanches pas de CEH et bcq de bilirubine dans les urines
bilirubinéerie au lieu d’une urobilinierie
- si cet obstacle est partiel selles suont un peu brune urobiline en grande
quantité dans les rerines
- une humdeses se messive en cas de poludisme hemolysi excès de blbne
non conjuguée dans le sang transport hépatique sera exogérée bcq de
blbne conjuguée ce, cas les 3 destinées vont debordées
* selles très foncées
* CEH augmente
* bcq urobiline dans les urines jaune foncée
( ) blbne non conjuguée liposoluble hydrophobi, pe passe dans la bile et
dans les arrivés.
Blbne sa li produbilité e rend toxiquée conjuguée ou indirecte hydrosoluble,
ne passe dans les selles, ni les urines
Le foie est capable d’un faire la synthèse non seulement à partir d’autres oses
(tructon des abcès non glucidiques (protides et lipides). C’est la
néoglycogènese la gluscogènolyse est possible des soutés les cellules, c’est
une source importante d’énergie mias c’est pratiquement seulement dans le
foie que ce catabolisme abocecit à la formation du gludose.
Heles spécifiques
- Production des corps cetoniques fait le jeûne ou le jeun l’hypaghycémie ou
la cetose diabétique
- Conversion et élimination du cholestérol
- Le régulation de la ( ) des lipides dans le plasma
N.B. Le foie tire à l’état basal 75% de l’énergie qu’il consomme de l’oxydation
des ac. Gras ceux-ci constituent le substant péterentiel pour la cellule
hépatique.
VII.B. PANCREAS
1. RAPPEL
Le pancréas est un organe dont la fête est entourée par le duodenum tête est
le corps allongé est situé en arrière et en dossisis de l’estomac.
Le tissu hudacrine moins abondant forme les ilots de congherans qui sont
dispusés dans tous le pancréas et secrete l’insulline et le glucagon.
Hormis leur anatomie les pancrés exacrise et endocrise n’ont rien de commun.
Le poids d’un pancréa est de 80 si il comprend : tête, col, corps et queue seule
la queue est mobile.
Le pancréas est un organe digestif annexe que sont un rôle important dans la
digestion parcequ’il sécrète et diverse dans le duodenum un large vivesitariel
d’enzymes. (eau 20), qui dégrade tous les types de bles présentes dans les
aliments.