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PHYSIOLOGIE DIGESTIVE

I. PHYSIOLOGIE DE LA BOUCHE
II. P. PHARYNX ET OESOPHAGE
III. P. ESTOMAC
IV. P. L’INTESTIN GRELE
V. P. DU COLON
VI. ? DES GLANDES ANNEXES (foie, voies biliaires et pancreas)
VII. PROCESSUS DIGESTIF

0. INTRODUCTION
L’appareil digestif comporte le tube digestif proprement dit et des organes
accessoires. Ceux-ci sont : les glandes salivaires, le pancréas exocrine, le
foie et la vésicule biliaire. Ils sont situés en dehors des parois du tube digestif
et déversent leurs sécrétions par des canaux excréteurs dans la lumière du
tube digestif.

Le TD est pour l’essentiel une canalisation de 9m de long allant de la bouche


à l’anus. Cette longueur est prise sur un cadavre. Chez un vivant, cette
longueur est de moitié à cause des contractions des muscles lisses.
Il est constitué des organes suivants : la bouche, le pharynx, l’oesophage,
l’estomac, l’intestin grêle : duodénum(fixe), jéjunum et iléon, le gros intestin :
caecum(mobile), appendice attaché au cæcum, colon ascendant (fixe), colon
transverse(mobile dans sa plus grande totalité), colon descendant (fixe),
colon sigmoïde (mobile), le rectum.

Ces organes sont en continuité les uns avec les autres et ne sont décrits
séparément qu’en raison des particularités régionales qui, sous tendent leurs
activités spécialisées.

L’appareil digestif remplit les fonctions primordiales :


- la motilité (motricité)
- la sécrétion
- la digestion
- l’absorption
La motilité et les secrétions digestives sont ajustées avec précision de facon à
optimiser la digestion et l’absorption des aliments ingérés. 4 facteurs
interviennent dans ces ajustements :
1) Le fonctionnement autonome du muscle lisse :
Il existe des cellules pacemaker au niveau des muscles lisses qui induisent
une activité électrique sous forme d’ondes lentes de potentiel appelée rythme
électrique de base.

2) Le plexus nerveux intrinsèque :


- le plexus myentérique situé entre les couches longitudinales et
circulaires des muscles lisses
- le plexus sous muqueux situé sous la muqueuse.

Ces 2 plexus forment ensemble le système nerveux entérique.


Le TD peut faire son autorégulation (réflexes locaux), mais leur activité est
influencée par l’innervation extrinsèque. Ces plexus influencent toutes les
activités du tube digestif.

3) L’innervation extrinsèque
Assurée par les 2 subdivisions du système nerveux autonome : le
sympathique avec un effet inhibiteur et le parasympathique avec un effet
stimulateur. Au repos le tube digestif travaille et à l’effort il ne travaille pas.
4) Les hormones digestives

La paroi du TD contient 3 variétés des récepteurs sensoriels qui répondent à


des stimuli locaux chimiques ou physiques. Il s’agit :

1) Des chimiorécepteurs sensibles à des substances chimiques présentes


dans la lumière.
2) Des mécanorécepteurs sensibles à l’étirement ou la tension pariétale.

3) Des osmorécepteurs  sensibles à l’osmolarité du contenu.

La stimulation de ces récepteurs déclenche des réflexes nerveux ou la


sécrétion d’hormones qui modifient l’activité des cellules effectrices du TD.
En conclusion
Le contrôle du fonctionnement de l’appareil digestif est très complexe et sous
l’influence de nombreux facteurs synergiques, interdépendants et ayant pour
but de promouvoir la réponse la plus efficace pour digérer et absorber les
aliments ingérés.

C’est l’exemple du système de contrôle le plus hiérarchisé et intégré de


l’organisme.

I. PHYSIOLOGIE DE LA BOUCHE

I.A. RAPPEL

La bouche ou cavité buccale donne accès au tube digestif. Elle comporte 3


structures importantes dans le processus digestif :
- La langue (ayant un épithélium formé de papilles gustatives) :elle joue
son rôle dans la déglutition.
- Les dents : jouent leur rôle dans la mastication
- Les glandes salivaires : jouent leur rôle dans la salivation.

I.B. MOTILITE OU MOTRICITE

Elle se résume à la mastication au niveau de la bouche.


La 1ere étape du processus est la mastication par laquelle les aliments sont
broyés et fragmentés par les dents et mélangés à la salive.
A ce moment les bourgeons du goût sont stimulés. Ce qui donne naissance à
la sensation gustative et est le point de départ de la stimulation réflexe de la
sécrétion salivaire et aussi par anticipation des sécrétions gastriques,
pancréatiques et biliaires.

La mastication peut être volontaire mais elle est accomplie de facon


automatique durant un repas par une contraction réflexe des muscles
masticateurs et de ceux des joues, des lèvres et de la langue en réponse à la
pression exercée par les aliments sur les tissus de la bouche.
D’un point de vue physiologique, la bouche exerce 2 rôles :
- Un rôle mécanique qui est la mastication, la salivation et la déglutition
- Un rôle chimique digestif par l’hydrolyse deux hydrates de carbone
(amidon) par l’amylase salivaire. La digestion des glucides commence
dans la bouche.

I.C. SECRETION SALIVAINE

a. Rappel
Il existe 3 paires de glandes salivaires majeures (les parotides, les sous
mandibulaires et les sublinguales) situées à l’extérieur de la cavité buccale
mais qui y déversent leurs sécrétions, et des glandes salivaires mineures ou
glandes orales qui sont disséminées sur l’ensemble de la muqueuse de la
cavité buccale.
Ces glandes salivaires sont composées dans des proportions variables de 2
types des cellules sécrétrices : les cellules séreuses (produisent une sécrétion
aqueuse contenant des enzymes et des ions) et les cellules muqueuses
(sécrètent du mucus, des glycoprotéines et des glycosaminoglycans).

Les glandes parotides ne contiennent que des cellules séreuses. Les grandes
sous mandibulaires et les glandes salivaires mineures sont constituées des 2
types de cellules à un nombre à peu près égal. Les sublinguales contiennent
surtout des cellules muqueuses.

Les glandes sublinguales, contrairement aux autres, sont constituées de 10 ou


12 conduits s’ouvrant dans le plancher de la bouche ; tandis que la parotide a
le canal de Stenon s’ouvrant devant la 2è molaire supérieur, la sous maxillaire
a le canal de Wharton s’ouvrant au niveau au niveau du frein lingual.

Ces glandes salivaires produisent et sécrètent la salive qui assure plusieurs


fonctions :
- elle nettoie la bouche,
- elle dissout les constituants présents dans la nourriture pour qu’ils
puissent être goûtés,
- elle humecte les aliments et permet leur compression en bol alimentaire,
- elle contient les enzymes qui amorcent la digestion des féculents
(amidon).

b. Composition de la salive
La salive est une « mixture » constituée de :
- l’eau (99,5%) ;
- électrolytes et oligo éléments ( K+, Na+, Ca++, HPO4-, I-, thiocyanate,
Cl-, HCO3-, F-, Cu+, Fe++). Le pH buccal est de 6,7 à 8,5. La salive est
en général légèrement acide mais son pH est variable ;
- substances organiques (amylases salivaires, mucines, défensines,
lysozymes, protéines et IgA) ;
- Facteurs de croissance et hormones (NGF = nerve growth factor, EGF=
epithelial growth factor, TGFß = Transforming growth factor beta,
Insulin-like, kallicréines);
- déchets métaboliques (urée et acide urique).
La salive est faite de 99,5% d’eau et de 0,5% des protéines et d’électrolytes.
Les protéines importantes dans la salive sont :
L’amylase, les mucines (mucus) et les lysozymes
La salive est la sécrétion digestive qui contient le taux le plus élevé de
potassium.

c. Mécanisme de la sécrétion

La sécrétion salivaire est assurée respectivement par les 3 paires de glandes


salivaires majeures (parotide 40-60%, sous mandibulaire 30-50%, sublinguale
5%) et par les glandes orales 5-20%.
La production moyenne est de 1000 à 1500 ml par jour.
La composition de cette sécrétion varie selon le débit sécrétoire, le type de
cellules sécrétrices en activité et la nature du stimulus ayant déclenché la
salivation.

d. Régulation de la salivation
Les glandes salivaires mineures sécrètent continuellement une quantité de
salive suffisante pour maintenir l’humidité de la bouche, estimée à 750 ml.
Les glandes salivaires majeures sont activées par l’arrivée des aliments dans
la bouche ce qui apporte une importante quantité de salive.
La salivation est la seule sécrétion digestive régie exclusivement par un
mécanisme nerveux avec un rôle prédominant du système nerveux para
sympathique.

La sécrétion salivaire augmente grâce à 2 types de réflexes :


1. Le réflexe simple non conditionné déclenché par la stimulation des
chimiorécepteurs et des mécanorécepteurs de la cavité buccale par la
présence d’aliments.
2. Le réflexe acquis conditionné déclenché en l’absence des stimulations
de la cavité buccale. Par le fait de penser à un aliment, d’en sentir
l’odeur ou d’être témoin de leurs préparations.

L’arrivée de la nourriture dans la bouche active les chimiorécepteurs et les


barorécepteurs (mécano) de la bouche qui envoient des signaux au noyau
salivaire du tronc cérébral (bulbe). Cela aboutit à un accroissement de
l’activité du SNPS.

Les neuro fibres de nerfs faciaux (7)et glosso-pharyngiens (9) vont déclencher
une sécrétion abondante d’une salive aqueuse, séreuse et riche en enzymes.
Plusieurs facteurs peuvent déclencher la stimulation para sympathique :
1. la présence des aliments dans la bouche
2. la vue ou l’odeur d’aliments
3. l’idée d’un repas imminent
4. l’irritation des régions < du TD par des toxines bactériennes
5. des aliments épicés ou l’hyperacidité gastrique.

Les chimiorécepteurs sont les plus activés par des substances acides
(vinaigre, jus d’agrume, citron : puissant stimulant de la salivation, 0,5 ml/min à
5 ml /min).

Les barorécepteurs peuvent être activés par n’importe quel stimulus même un
élastique.

La stimulation sympathique provoque une sécrétion plus abondante d’une


salive épaisse riche en mucines pour la défense.
Mais en cas de très forte stimulation il y aura une vasoconstriction aboutissant
à un arrêt de la production salivaire et la bouche devient sèche.

La déshydratation inhibe également la salivation parce qu’un faible volume


sanguin s’accompagne d’une pression de filtration réduite dans le lit capillaire.

Id. Digestion

La digestion dans la bouche est limitée par l’hydrolyse des polysaccharides en


disaccharides par l’amylase salivaire. Mais l’essentiel de l’action de cette
enzyme a lieu dans l’estomac après la déglutition des aliments mélangés à la
salive.

L’acidité inactive l’amylase mais cette enzyme continue à agir pendant


quelques temps au sein du bol alimentaire, tant que l’acidité n’y a pas pénétré.

I.e. Absorption

Il n’y a pas d’absorption d’aliments dans la bouche. Il y en a seulement pour


quelques médicaments qui sont : la trinitrine, le dinitrate d’isosorbide
(CEDOCARD), la nifédipine (ADALATE).

II. PHYSIOLOGIE DU PHARYNX ET DE L’ŒSOPHAGE

II.A. RAPPEL

Le pharynx est un corruption des voies diegstives et des voies lesvirotoires et


ons trouvé l’epiglotte qui empêche le pénitration des somme alimentaire des la
trachée et le reflux de ce même bol.

L’oesoperage est un conduit ne rien etise rectiriyne qui va du perarynx et qui


est situé dernière la traché et qui esst situé dernière la traché.
Ce mesure 25cm de long dont 5cm au niveau cervical, 17cm theracique, 3cm
abdomlinal sous diaphysymatique en regard d’ 10 et 11).

Am est de 12 à 3cm à un l’état de distension il est oploti au repos d’avent en


arrière dans la region ceuricall. Il comporte 3 retrecima plus siody ques et 2
specinctirs :
Le sperincter oesophogiun > ou pharynzo desophanguin et le splincher
osophopgénic un gastro dosophongnèrn.

II.B. MOTRICITE

Au niveau du pharynx et de l’œsophage de russime à la déglutition les rôles


de l’œsophage sont :
- d’assurer la progression des aliments
- de s’opposer au reflux du bol alimentaire ou du coutume gastrique
- de intrinsèque le bol grâce à la salive.

* Déglutition
Elle englobe l’ensemble des plunomines qui sont passer les aliments de la
souche à l’estomac.

Elle est decanché quand un sol alimentaire est passé volontairement par la
longue de l’arrière de la cavité buccale dans le pharynx.

L’arrivés du boc alimentaire dans le pharynx stimule des mecanorecpteurs qui


envaint dees meaages au cuitre de la diglutition situé dans le bulbe de la
diglutition situé dans ne bulbe rachidien. Ce centre met en route le progressive
d’antication sequentielle des muscles responsables de la déglutition des
muscles tion. La digretition est un reflexe se deroulent silon est un programme
du type tout-ou-rum dans lequel des multiples effets sont declenchés dans une
ordre fixé decront un temps donné de façon très coordonnée.

La déglutition est déclenchée volontairement, une fois declenchés, elle ne


peut plus s’arrêter un fragil accide nello d’aliments poussi accide ……… dans
le pharynx sero de toute façon déglutition.
Le digrution est decissi ambitoirement en 2 étapes :
1° L’étape oro peraryngée
Dure environ une seconde, elle correspond au transfert du bol de e ne souche
à l’oso phagyl en passant par la pharynx.

D sol de arrivé dans le pharynx, il doit prendre le direction de l’œsophage et


empechi d’entrer dans les hômmes cavités communiquement avec la pharynx.

La prevention des toussis gouttes est assurié par des phenomènes bien
coordonnés :
- l’accocelement de la langue au poids osseux = fermeture de l’aritif
arophorymgien
- le moitié du vile du parois et de la lutte aisni que leur application contre
la paroi postérieure au pharynx = permettre de l’arifice maso
pereryngien
- la moitié du rorynx, et l’accoliment des cordes vovcales des l’orifice et
du lorunx appelé grotte = fermature de l’aritime loryngophrorynguin.

Ceci fait que l’accès ou la voie diminue est bloqué durant la depentation. Les
autres respiratoires sont brivement inhibis ce qui avité qu’ici se produise des
morts respiratoires futiles.

Voir après cette prevention pharynx, la contraction reflexe des muscles du


poussent le bol. Des dans l’œsophage.

2° L’Etape oesoperagienne

Le centre de la degntition commande l’onde peristactique primaire qui


parcoure toute la longueur de l’œsophage et proprrese la boc alimentaire
jusqu’à l’estomac. Leur vitese est de 2 à 4cm par seconde.

L’onde perispoltique sont de 5 à 9 seconds pour aller de l’extra > à l’extr. < de
l’œsophage elle est commandé par un centre de la dignatition et est due à la
contraction des muscles striés dans le ¼ > de l’œsophage relayé par celle du
muscle lisse dans le reste de cet organe.
Le nert moteur est le…. Pneumogrostrique

L’un trayment d’acide n’avance pas normalement sous l’action de l’onde


peristotrique aine et reste vincé dans l’obsoperomy, ici stimule des macenos
recepeteurs de la paroi, ceux qui declenchent les ondes peristatique zaïres
par l’ilumé diarire des flexus nerveux intrinsèque. Ces ondes ne dependent
pas du centre de la de l’oesophagistimule aussi la secretion solidaire. L’effet
combiné de la nubritirotion par la salive et de l’onde pristosecique zaire delage
l’odit coincé.

Les ondes perispetiques zaires sont un rôle dans le reflux acide, dans
l’œsophage en chassant l’acide choix de l’œsophage vers l’estomacs, ce qui
réduit le risque de lésions de la magnose oesophagienne dans au contract
prolongé avec l’acide.

Le spérincter de l’œsophage se relache quand l’onde peristoltique arrive à


l’extrémité de l’œsophage. Ce qui permet le passage du bol al dans l’estomac.
Une tois ce bol passé esemphincers se refume le temps de passage dans
oliment dans l’œsophage est compris entre 5 et 9 secondes. Il ne peut pas se
produire, dans nouvelles digestions tout qyi ce transit oesophagien n’est
pasterminé.

CENTRE BULBAIRE

Voies afférentes Voies efferentes

- nerf maximaire > - nerf V


- nerf larynge > - nerf IX
- nerf X

Recepeturs Effecteurs
- Pharynx - muscles de la longue
- Base de la langue - du pharynx
- de l’oesophage

II.C. LA SECRETION

L’œsophage secrète uniquement du mucus sur toute sa longueur. Ce mucus,


a un rôle lubrifiant facilitant la progression du bol al dans l’œsophage, il
protège se muqueuse en cas de riflux d’acide et d’enzymes protrolytiques
gastriques (pepsine).

II.D. DIMESTION ET ABIOMPTION

La durée totale de la traversé de l’oesophage (6 à 10 secondes) est trop


briève pour que progresse dans l’oesophage. La digestion par l’emylose
solivaire. Pas du digestion dans l’oesophage et il n’ y a pas d’absorption.

III. PHYSIOLOGIE DE L’ESTOMAC

III.A. RAPPEL

L’estomac est un soc en pome de situé entre l’oesophage et l’inetstin grile.


25cm de long 10 à 12 cm d’epaisseur de large.
Situé à l’épigastre et à l’hypachondre gauche
Décisé en 3 partie sur la soe des parti cucarités de structure et de fx=
- la grosse tubrosité ou fondus
- le corps
- l’autre

La caucune musculaire lisse du fondus et du orps est assez mince deors que
celle de lautre est bcq ? plus importantes.

Il existe un spenvciter pylorique qui supose l’autre au duodimum.

III.B. MOTILITE MASTRIQUE

Les fx ou l’estomac sont :


- la digestion mécanique et la propulsion
- la digestion chimique = la pepsine commence 10 digesttion des
proteines
- l’absorption : des (tissus liposolubles astiruiné, alcool et tomedicaments)
- les stokage et le brassage des aliments.

( ) La nourriture dans l’estomac s’appele le chyme


la molitilité gastrique a ce composantes :
- le remplissage
- le stockage
- le brassage
- la vidange ou évacuation

 le remplissage est facilité par le relachement de la musculature


commandez par le nerf pneumogastrique. Volume a vide est de
60ml et grand l’estomac est plein son volume atteint 1500ml
 le stockage a lieu dans le corps de l’estomac dont le musculaire
pariétole est trop mince pour malaxer les aliements. Ceci a lieu
malaxer les dont la mises eclature est épaisse gràace à es fortes
contraction pristactiques à une prequince de 3/min malaxage =
brassage
 chaque contraction peristactique pousse le cusme vus le pylore.
Normale a le phylore est maintenant presque formé par le
contraction du splincter pyrocique.

Il reste recu aventure suffisante pour un passage facile des liquides mais trop
petite pour celle au clusme epais sauf d’une forte contraction rentracer force le
passage.

( ) Le distension de l’estomac stimule le vidange et la distension du duodenum


incride la vidange.
Le duodenum recoit 30ml pour fixer quand cette qualité est dépassé il y a
incubition du passage du chyme de l’aritrevees la duodenum.
La vidange gastrique depend aussi des contractions puisto et que de l’autre.
Cette force de contraction varie bcq sous l’influence des ........ signaux
provenant de l’estomac et du duodenum.

Les faceturs influencent la vidange sont :


1) Les facteurs intragastriques
+ qualité (volume) du chyme des l’estomac
Plus imp est le volume plus imp est la distension et plus rapide sera lavidange.

10 distribution de l’estomac stimule le motilité gastrique par l’effet direct de


l’itirement du muscle lisse et par l’intermédiaire du plisies nerveux intrinsique,
d’un reflexe vagol et d’une hormone (la gastrine).

+ le fluidité du clasme
Un repas liquide est évacué plus vite qu’un repas solide

2) les facteurs intra duodenaux


+ la présence des lipides
+ la présence d’acides
+ l’hypiosmolarité du coutime duodinal
+ la distension dudodenal

Ces facteurs induisent une diminition (rolentissement) de la vidange gestrique


parstimulation du reflexe enterrogastrique ne pas libinotion des lutero
gastrones.
L’ocidité la neutraliser les enzymes au niveau au duodenum et de la vidange.

3) Les facteurs extra digestifs


 les émotions :
Elles peuvent retentir sur le moticité gastrique par l’intermediaire de l’oction du
SNA sur l’excitabilité du muscle lisse ces effets sont .....d’un individu à
l’hômme et sont quelque peu impérisible. .... la peur et la tristesse etndent à
reduire la motilitté gestrique tandis que la colère et l’aggresivité tendent à la
stimuler
 la douleur
D’où qu’elle procivine tend à demuculs (incriter) non seulement la motilité
gastrique mais celle de tout la tube digestif. Ceci est lié à le stimulation
sympatique et à la iminution con committante de l’activité du para
sympathique.

III.C. SECRETION GASTRIQUE

L’estomac contribue à toutes les activités digestives par le suc gastrique à


l’exception de l’ingestion et de 10 defécotion.

Dans...... condition normales la muqueuse gastrique produit jusqu’à 3 litres de


suc gastrique par jour.

Les principaux ......... au suc gastrique la delions de 3 iols chés à l’estomac


sont :
- le maintien d’une relative sterité du contenu numinale du tractus
digestifs superiseur un raison de la présencx e d’et cl dans le liquide
gastrique et
- la facilitation de l’absorption de varitomine B12 au unie de l’interminal,
grâce à la secrétion du facetur l’internsèque (seulle fx vraiment vitale).
Au total 6tx du suc gastrique.

a) Composition du suc gastrique


C’est un liquide clair, inodore dont le volume procidien est de 1 à 1,5l peut
altnan en tx de l’alimentation 3 litres.

Il est composé :
- l’eau 99,4%
- les electrorytes (Na+, K+, Hcl, Mg, Ca, HCO3-)
- des composants organiques (pepsinogène, las ferments, des
mucophysocclueridus, lipose gastrique, facteur intrinsèque)
- les mucus

b) Regularisation de la secrétion gastrique


Le secrétion gastrique est règne par des mecansime à la fois nerveux et
hormonaux
La régulation nerveuse est assurée par le reflexe long (médiation par un
vague) et par le reflexe court (reflèxes) enterinque locaux.

Le SNPS a un effet recitotruir


Le SNS a un effet inhubiteur

Le regulation hormonale est assurée par la gastrisse qui stimule la secrétion


d’un zymes et de Hcl et son des hormones produites par l’intestin grèle
appelées les enterogastrones que nous citrons la secretine, la cholicysta
kinine (CCK), les peptide intestinales raso-activité (VIP), les peptide inhibuteur
gastrique (GIP) secrétés par la muqueuse duodenale.

Cette secrétion gastrique comprend 3 phases ayant chacune 2 composantes


l’une excitatrice 1/6 inhibitrice.

1er phase
Phase ciphalique un commence avant l’arrivée des aliments, des l’estomac
elle ne dure qu’une ou deux heures la optité de suc qui inresult constitu 45%
du total.
 facteurs de stimulation : l’arôme, le jout ou l’idée de la nourriture.
C’est un réflexe canditissire
 facteurs d’inhibition : la dipréme, le manque d’appetit.

2ème phase :
Phase gastrique
Le 2/3 tiers du suc gastrique libué sont produits durent cette phase
 facteurs ou stimulation : l’etirement de l’estomac (discusion),
présence des peptides et des catrines dans la nourriture (le
présence dans proteines dans l’estomac et le stimulus ne plus
puissant de la secrétion gastrique), la faible acidité ou
l’augmentation du ph.
 L’uterio de l’estomac active les neconor rcp de sa pervi et
declencher les refuxes myenterique, locaux, et les refuxes longs
raso vagaux (dont les influx se rendent à l’estomac par les neuro-
fibres des vague)
Ces 2 types de ruflexe declenchent la liguation d’acit hylchocive
qui accroit encore la libération du suc grastrique par les cellules
secrétrices
 le stimulus climq produits par les proprimes partiellection dignées
(peptides), la cafeïne (presente dans les boissons à base de cela,
le ...... les café) et l’.... du pH activent directement les cellules
secrétrices de gestrime (des cellules G).
Le gastrine stimule les cellule pariebles à secuter l’Hcl et de
cluchée egalement la situation d’enzymes (pepsine).

Facteurs d’inhibition
- l’excès d’acidité Ph < 2 inhibité cogastrine
- le problème imotionnel = active le symptothique nutracisant l’activité du
parasympathique sur la digestion.

3ème phase
Phase intestinale
 Facteurs de stimulation :
- l’intéré des le duodenum s’alito perticulement dignés
- un pH bas dans le duodenum

Ces facteurs stimulent la lituration de gastrique intestinale (hormone ayant les


même effets que la postrine) qui stimule en son tour mois de façon brève la
secrétion gastrique.

 Facteurs d’inhibition
- l’itirement du duodenum
- la présence d’un ducme gras, acide ou lympertonique ou d’agents
initont dans le duodenum
- presence d’aliment particulement aigirés gros ou recides dans le
duodenum.
Les 2 premiers facteurs inerible le secrétion gastrique par la mise en branche
du reflexe entero-gastrique.
Les 1 et 3° facteurs l’inhibulité par la risuation des enteuro gastrones.

III.D. DIGESTION GASTRIQUE

IL se 2 phénomène digestip dans l’estomac :


- le poursuite de la digestion des glucides dnas le camp de l’estomac
- l’amorce de la digestion des protrines dans l’autre.

III.E. L’ABSORPTION

Il n’y a pas d’absorption d’eau, ni des nutriments au niveau de l’estomac.


L’absorption n’est possible que pour cettes abcès iposolubles (ospinive, alcool
et (ts medicaments).
L’absorption de l’alcool est tyde dans l’intestin qui des l’estomac.

V. PHYSIOLOGIE DE L’INTESTIN

V. RAPPEL

L’instestin grèle est une tube pelotonné dans la cavité asocominale et


remissant l’estomac au repos intestin.

Il mesure 5 à 6m de long avec un ......de 4cm duodenum à 2cm ilion. Il se


divise en 3 sigo = le duodenum qui s’incure autour de la tèle du pancréas, il
mesure 30cm et comprend 4 parties : D1  5cm, D2  10cm, D3  9cm, D4 
6cm le cause choudoque et le coude de wirsing s’ouvre au vi de D2 dans
l’ampoule lupato pouncuatique vu empoule de vatir dont l’ouverture est reglée
par le specisonctu d’ODDI.
 le jejunum = mesure 2,5m
 l’ilion = qui de souche dans le gros l’intestin par la volvure illo coicale
Deux structures histologiques sont importantes au micron de l’intestin ......
pour la digestion et l’absorption qui sont :
Les microciccosités et les volumes cannivantes.

V.B. MOTILITE INTESTINALE

La motilité intestinale assure ou x 3 fonctions :


- le melange des oligo et des secretion digistives
- l’amélioration du contact entre intra luminal
- la amelioration du continue in testinal en direction aborale (Amus)

Il existe donc au niveau l’IG 2 + ..... de mots :


1) La segmentation contraction segmentaire
Ce.... permetant le ......... et une propulsion ...... du chyme ces contraction
symentoires sont causés par l’activité des cellules pocee maker qui produisent
un rythme mictrique de chose anologue à celui qui est à l’origine au
puistoctisme de l’estomca.

Le mactivité du muscle lisse circulaire et par conséquent la force de la


contraction annulaire sont influancés par la distension de l’intestin par la
gastrine et par l’intervention extrinsèque. Le augmentation est peu importante
entre les repos mais demaint très intense juste après la symvnetion du
duodenum, et de l’élin commence simultanément des que du chysme entre
dans l’intestin. Celle du duodenum est du essentiellement à sa distension par
du cleyme, celle de l’ilion est plutôt due à la gastrique dont le secrétion est
declenchée par la présence d’aliment dans l’estomac. C’est le reflexe gastro-
intestinal.

L’nnervation extrinsèque est capable de modifier la face de contraction :


- le parasympathique renforce la syncutotion dons que le sympothique s’y
oppose
le propulsion entre du chyme induite par le symencation est liée des
faoit que la frequence de contraction diminue le long de l’intestin grêle.
Elle est de 12/min dans le duodenum et de 9/min dans l’ilion terminal.
De ce foit plus de chyme est poussé vus l’aval au début de l’IG que vers
sa terminaison. Cette lute progression donne le temps à la digestion et à
l’absorption de se produire.
Le chyme met 3 à 5 heures pour parcourir l’intestin grèle.

2) La propulsion
Dans la quasi totalité du repos a été absorbé la symultation cesse et
remplacer par entre un repas par le complexe moteur migrant. Celui-ci est fait
d’une distance de long de l’intestin dont de mourir et d’e recevées par l’onde
peristoetique suite un peu plus du aval.

Ce complexe parcourt l’IG à un 120-150min et s’arrête à l’extremité de l’ilion.


Une fois celle-ci atteinte les cycle recommence et ceci jusqu’au repas suivant.

Chaque mois persistane que netto l’IG en expulsiont dans le ….. le reste du
repas précidant, le debuts des muqueuses et des germes.

Avec l’absorption du repas sont le complexe moteur suivant l…….et la


segmentation reprend.

 Jonction ilio caecale


Cette jonction s’alume aisement quand le contenu de l’ilio est poussé dans le
caecum mais s’oppose au reflux du coutume local vers l’ilion.
Cette violvaire contient un sphincter qui est pour la plupart du temp faible
contractée. La contraction est un forcée quand la pression augmente dans le
caecum alors qu’elle se relache est sous le de période du pleius nerveux
intrinsèque vaginal ………empêche la contamination de l’IG par les bacteries
du colon.

Le relachement du splincter est accrue par la gastrique scrutée debut d’un


repas quand l’activité gastrique est forte.
Ceci facilité l’évacuation des fibres nous degeres et des resides non absorbés
d’un precidant repas quand arrive dans l’IG le contenu du nouveau repas.
V.C. SECRETION INTESTINALE

L’IG est le lieu où les nutriments sont tinolit preparés ….. de leur transpart vers
les cellules de l’otganisme. Cette fx nitou ne peut s’accomplir par le suc
intestinal seul vu sa relative pauvreté en enzymes. Les secrétions du tronc (la
bieu) et du ponnéas (enzymes digestives) sont essentiels.

1. Composition du suc intestinal


Les ……………. Intestinales secretent normalement de 1 à il de suc intestinale
le secrétion intestinale est sont de la secrétion propre de l’intestin grèle suc
intestinal et des secretions diversités dans la lumière de l’IG (bile et suc
pancriatique).

Cette secrétion propre de l’IG est assurée par les grandes de BRUNNEN
localisées dans la sous muqueuse duodenale et par les grandes de
LIEBERKUHN sur le reste de l’intestin grèle et la des quamations des cellules
intestinales.

Les gl de Brunner secretent un mucus decolin (réclu la HCO3-), du HC03-,


des entero gastrones et la gastrine intestinale.
 les gl. De LIEBEN WHUN secretent du mucus par les celle-ci calice
formes des rectrolytes, quelque hormones (serotonine, histomine), les
lysonyme
 par les cellules de PANETH, des IgA et quelque enzymes.
 La desuamation cellulaire est respnsable de la majeur partie des
enzymes.
Ces enzymes sont repartis en 3 groups :
- les enzymes protolytiques (enterokinase remino polyptidose,
tripeptidose, dipeptidase, nuclease
- les enzymes glycoltiques (disacharidose), maltaase, lactase, sacchrase
de inventosion sucrase
- les enzymes lipocytiques : liposes, estérases, perosphatases
Normalement le suc inastemae est légèrement alcalin pH = 7,4 – 7,8 et
isotomique avec le perosima sanguin. Il contient beaucoup d’eau.

Le principal stimucus qui declenche la production du suc l’intestinal est


l’etirement ou l’irritation de la muqueuse de l’IG par un chyme hypertonique ou
acide.

V.D. LA DIGESTION INTESTINALE

Elle est faite par les enzymes pavicratiques, labile facilitant celle des visides.
Les lipides sont reduit, par des enzymes un monoglycerides et acides gras
absorbables, les protrines le sont en petits peptides et en quelques AA. Et les
glucides en disa chrarides et un quelques monosaaccharides.

Au bout au compte la digestion des lipides est mené à terme dans la lumière
intestinale alors que celle des gluides et des proitrines est incomplète cfr
tableau.

V .E. L’ABSORPTION INTESTINALE

L’IG assure la totalité dans l’assoption digestive; il est suicidement adapté à


cette fx par l’existence des vollures comminications et des linosites qui
agrandissent la surface de la muqueuse à environ 200m2 (l’equivalent de la
sceptique totale des plancher d’un maison à 2 stages ou la surface d’un terrain
de tenis, le facteur de multiplication est de 600.

Normale seule l’absorption du Fer et calcuim est ajustée aux besoins de


l’organisme plus il y a d’aliment ingérés plus il en sera digéré, et absorbés.

Le majeure partie de l’absorption se posse dans la partion proximale de l’IG


‘duodenum et jejunum) et sumodification sont moins accentuées vers
l’extremité distale de l’intestin.
…… 2 vois d’absorption :
- la voie sanguine, le sang des villosités au foie par la veine porte
- la voie lesmphotique

Le voie sanguin est empruntée par l’eau, les suc niveaux, le glucose, les sa et
les accides gros àcourte chaine (un dessous de C10).
Le voi les m photique est empreintée par une partie d’eau, les ac gras à
longue (chaine et les graisses finement émulsionnées).

1. ABSORPTION DES GLUCIDES

Le siège est la portion proximale de l’IG le glucose et le galatose qui sont des
monosaccroi des pénétrent dans les cellules de l’epithelium grâce à des
transporteurs pratiques de la masse glasmique puis il passe dans le sang des
capilaires par diffusion facilitée.

Les transporteurs situés tres près des disaccharidases sur des microcicosités
dès sicombinent aux monosacchorides dès que les disaccharides sont
degradés.
Ce transport est couplé à celui des Na+ par transport actif 2 aire (cotransport)
Par contre l’absorption du fructose est independante de l’ATP setait
lutrinement par duffusion facilitée.

2. ABSORPTION DES PROTEINES

Le siège na portion proximale de l’IG. Les …. De la serie (……………..) sont


plus rapidement absorbés que ceux de la série D (dextrozyre).
Les protrines sont absorbées essentielle à ….. d’oa par un mecanisme de à
celui transport actif 2 aire simblablur par lequel le glucose et le galactose le
sont.

Les …., le glucose et le galactose ……………d’un « transport gratuit » grâce à


l’énergie consommée pour le transport actif du Na.
Les petits peptides sont absorbés grâce a un transporteur dufferent et sont
scindés en leurs a constitutifs par une aminoseptidose de la bordure en
brosse.

3. ABSORPTION DES LIPIDES

Siège portion proximale de l’IG les sels biliaires necessaires à leur absorption
sont absorbés au niveau de l’ilion.
L’absorption des lipides qui sont insolubles dans l’eau pose un problème
particulier et très diffent de celle des glucides et des protrines.

Les lipides contenu dans un milieu aqueux, le clusme doivent transiter dans le
milieu aqueux des villosités bien qu’ils ne sont pas hydrosolubles. Ils doivent
subir une serie de transformation pour vaincre cette difficulté au cours de leur
digestion et de leur absorption.

Ces 2 transformation sont :


* le formation des micelles grâce aux sels biliaires qui sumettent le transport
vers la muqueuse intestinale
* la constitution des chulomicrons qui sont expulsés des cellules epithiales
vers les Vx chylifères.
Les chylossibons ne peuvent pas posser dans les capiciables anguins car
ceux ci ont vecu une sodole faite des polyso ccharides qui s’opposent au
passage de chylimicrons alors un les Vx crigétius en sont dépourvus.

Les miculis sont des aggregats des lipides associés à des sels biliaires et
contienet = des molecules de cholestenol le des vitamines lipolubles.
Ce sont en fait des gouttephyttes d’emulsions qui diffusent facilement entre
ces illosités pour entrer en contact avec la membrane phasmique des cellules
absorbantes.

Les clusdomicions sont des gouttelettes enydrasoluble des lipoprotrines. Les


ac. Gros libres et les mono suscerides passent dans le lit capillaire.

4. ABSORPTION DES ACIDES NUCLEIQUES


Les peutoses, les boses azotées et les ions perosperotes qui proviennet de la
aigestion des ac. Nuchiques traversent l’épithelium par transport actif grâce à
des transporteurs spéciaux situés dans l’epithelinion des illosités, suis ils
passent dans le sang.

5. ABSORPTION DES VITAMINES

L’IG absorbé les citamines des aliments mais c’est ce gros intestin qui abdobé
les vitamines K et B elaborée perdis bactéries intestinales, ses biotis.

Les vitamines lipolublis (A,D,E,K) se dissolvent dans les graisses alimentaires,


s’incorporent aux micelles et traversent l’epithelium des cillosités par diffision
passive. Pour les pendre sit des coprimés et faut manger.

Le plupart des nitomives lusdrosolubles (B,C) sont facilement assorbés par


diffusion. La vit B12 est une reception parce que c’est une molécule très
grasse et chargée cele se lie au facteur intrinsèque produit par l’estomac puis
recomplexe vit B12 – facteur intrinsèque sur ce fixe au site spécifique situé sur
la muqueuse de l’iléon terminal, ce qui provoque son endo-cytose.

 le sodium (net)
Il est absorbé en association avec le glucose et les aa. Après etre entré dans
les 4 expliciales par diffusion, il est transporté activement vers l’extérieur de
celles-ci par ne pompe Na+ / K+
 le chlorure (cl- )
Ces ions sont aussi transporté activement et à l’extremité de l’IG. Cas des
HCO3- sont secrétés activement dans la lumière en echange d’ions Cl-
 le potassium (K+ )
le traverse la muqueuse intestinale par diffusion sous l’effet du produit
osmotique. Aufux t à mesure que l’eau de la lumière est absorbé la
concentration du K+ dans le chysme aumente ce qui lié un produint de ( - )
entrainant son absorption.
Conséquent, tout ce qui entrave l’absorption d’eau c……. le diarrhée en plus
de reduire l’absorption du K+ attirent le K de l’espace intensticées vers la
lumière intestinale.
 le Fer
le fer ionique essentiel à la production d’H3 est transporté activement vers
l’interileur des cellules de la muqueuse où il se lie à une protrine (temitine). Ld
complexe fer territire forme une resreve de Fer à l’interieur de la cellule.
Lorsque l’organisme contient du Fer en quantité suffisante sang des très
petins …. Passent dans le sang au syst. Porte mois la plus grande partie de
cette resive finie par etre perdue pendant les cellules epit celliales se
detachent de la muqueuse (desquamation).
Lorsque l’organisme manque du ter (hemorragie aigue un chimique)
l’absorption des quantités présences dans l’IG s’accélire. Chez la femme les
pertes mustrucles ex--------- une force dimunie de réserve de Fer et les 4
epipluciales de l’intestin contiennent cuiron 4 fois plus les protrines transport
du fer que chu3 l’homme.

Dans le sang le fu si lié à la transterime (proteine presmatique qui le transport


dans un sont cardiavasculaire).
 le calcium
l’Absorption du Ca++ est ……………associée à la ( ) sanguine du Ca++
ionique.
Elle est locale réglée par la forme active de la vitamine D qui agit …..
cofecteuer facilitant l’absorption au calcium.
Toute dimunie de la ( ) sanguine au calcuim ionique  la fibration de la
parathormone par les parathyroides cette hormone, un plus de faciliter la
libération des ions calcium de trame osseuse et de stimuler la riobsorption du
la par les …., stimule l’activation par les reins de la Vit D qui a son tour
accélérer l’absorption des ions Ca++ par l’intestin grèle.

1. ABSORPTION DE L’EAU

L’IG revoit tous les jours ……9 litres d’eau  …. Des secrétion du TD.
C’est la abcè la plus azondaite du chysme et de IG en absorbé 95% par
osmose.
Le taux normal d’absorption est de 300 à 400ml par heure.

L’eau traverse librement le muqueuse intestinale dans les deux suis mais rein
osmose nette se produit chaque fois que le transport actif des soucités (………
du Na+ ) vers les celleule de la muqueux lié …. Graduit de ( ). Par conséquent
l’absorption de l’eau est activité couplée à celui des solutis et celle influe elle
même sur le taux d’absorption des abcès qui passent normalement par
diffusion.

A mesure qe l’eau pénétre dans les cellule de la muqueuse, ses abcès suivent
leur graduit de ( ).
De façon générale le quantité des nutriment qui est absorbé est celui qui a
alteint l’intestin quel que soit l’Etat nutritionnel de l’organisme. En récanclu
l’absorption du fu et du Ca++ de peux bcq des sesons immédiats.

VI. PHYSIOLOGIE DU COLON

VI.A. RAPPEL

Le colon est cony de 1,20 à 1,50m en x Clu 3 l’adulte, et son …..carie de 7cm
dans sa santé droite à 3cm dans sa partie gauche.
Le colon ayant des dimensions supérieurs :
Par rapport à la longueur
Par rapport au …… megacolon

Il se decompose en stusicus myo :


- le calcum et l’oppludice
- le colon subdivisé le colon escudant, transverssé descu dont, signon de
rectum (qui est intirement retroperitoneal) fusiforme, long d’une
quinzaire de cm et qui si termine a par le canal anal de  3cm de long
avec lequel il forme un droit suivent la aricine.

Le canal anal est suivie des sphincters spérincter norme de l’anustorme des
muscles de fibres musculaires involontaires.
- sphincter retenu de l’envers formé des fibres musculaires squecttiques
(striées)
Sur la plu grande partie de sa longueur de colon a bandiettes et des
haustrations caractéristiques.

Le paroi du cela diffère de celle de l’intestin opère le muqueuse du colon a un


esi……… simple nismotique excepté dans le canal ande, il ne possède des
cillosités mais il est plus épaisse et ses pondes soont plus profondes grandes
dans risqueur on trouve une multitude dans l’acalliformes qui produisant du
mucus lubrifiant.

Il existe dans le colon une activité electrique de base et de potentiel de pointe


qui coincident avec les contractions musculaires, le musculature du gros
intestin est irecive la plus port du temps ; lors qu’elle est rective ses
contractions sont lentes du très courte durée.

VI.B. MOTILITE

Les mincisos fx du colon sont :


- l’absorption de l’eau et des cts ilectrocytes voir même des vitamines
produits par dans bactéries intestinales
- la difécation si existe 2 types de mots au niveau du colon ;
- les contractions haustrales voie lisustrations = ce sont au mots ens non
propulsifs qui convie nent au stockage et de l’absorption. Il sont dues à
l’activité cyclimique propre des celules musculaires lisses. Ces
contraction sont analogue aux contraction nymutaires de l’intestin grèle
mais bcq moins prequentes jusqu'à une fois toutes les 30 minutes au
lieu de 9 à 12 par minute.
Le siège dans transtations se déplace, un segment dilaté se contracte
se relache. Ces mots permettent le brassage du contenu dont ils fairon
sont lecontact avec le muqueuse absorbante. Les contractions
dépendant en grande partie des reflexes locaux mettant en jeu le flexus
nerveux intrinsèque.
- les mouvements de masse : ce sont des mots, qui se produisent 3 à 4
fois un général après le répas, durant lesquels des longs segments du
locaux respendenant et du colon transmise si contractent
simuctanément, ce qui propulse les selles sur 1/3 à ¾ de la longueur du
colon.

A l’arrivé d’aliment dans l’estomca les mots de masse du colon sont


declenchés son le reflexe gastro colique des laquel interviennent le système
nerveux extrinsèque qui est aussi la gastrine.

Chez de nombreux sujets ce reflexe existe surtout après le premier repas de


ce journées et entraine le bessoin de déléguer.

Des reflexes contribuent donc à la propulsu le contenu du TD à la suite des


repas, faisont aisni de la grace pour l’arrivée de nouveaux aliments :
1) le reflexe gastro iléoae ou gastro intestine propulse vers le colon ce qui
est encore dans l’intestin jute
2) le reflexe gastrocolique pousse le contenu du colon vers le rectum de
clenchant ainsi le reflexe de defécation.

Le mesure au temp de transite (acique est l’un des nombres d’isolement à


côté du touche rectal, de leur constitution.

Cette mesure se font de plusucus maarrives ‘méthode :


- la méthode ………………utilisé sont la méthode de CHAUSSADE ETAL
= elle consiste a faire ingèrer pat ce sous concentents à la radio
oparleur 10 margeurs morceau de plustique imbisé de surface de
baresrum). Une radiographie osdomun à blanc est malisée au 70 jour.
Il siffit en suite sur le clichent de compter les nombres des marqueurs
présents et de les multipliers par 2,4 pour obtenir le temps de transit
colique par heure.
Les limites > pour les coleurs normales du TTC sont

CD CG RS TOTAL
Homme 19H 16H 22H 77H

Femme 22H 48H 38H 91H


Le total n’est pas une addition des valeurs du CD, CG et nous le transit est
plus court chez 3 l’homme que celui de la femme

VI.B.a. LA DEFECATION OU L’EVALUATION DU BOL FECAL

Elle se duonale en 3 étapes :

 le 1er temp ou étape consiste au redresement du simpide dans l’axe du


rectum et au remplissage de l’empoule rectale :
le disntension de l’empoule rectale duclenche le reflexe recto anal
incubiteur qui le relache du sphincter inarve, ce qui permet le contact
entre recepteurs sensibles ensuites du canal anal et ce contenu de
l’ampoule recatle permettant aisni d’analyse sa nature (matière ou gaz)
le sphincter externe de l’anus et le muscle fubo rectal (faisciaux du
muscle receveur de l’anus qui insures à la face postruine du pubis
passe comme une fronde à la face post de la sanction ana-rectal,
determinant l……anarectal
se contractiont ressurant le continence. Immocontoire et reflexe au
début, ce 1er temps durement volontaire lorsque le sphincter externe se
contyracte.

Ensuite =
- soit la dification est volontairement différée : le sphincter interne et
externe ne se relachent pas la pression dans l’ampoule dimunue par
basse de sa tomicité ; le volume de l’ampoule s’adapte transitoirement à
son coutume. Rutericurement une nouvelle contraction rappelément à
l’ordre et la sensantion des bessoins rapparait.
Normalement il araive un mment où la pussion dans l’ampoule ne se
relache plus et où le contrôle sphincterrum depassé ne peut mointrine la
continanence.
 soit il y a poursuite de la défécation c’est le temp
 1° temps = etape = consiste à augmentation de la pression intra
abdominale sous l’effet de la contraction au diaperogne et des
muscles de la paroi abdominale, associée à celle du releveur de
l’anus. Ce temps est volontaire.
 Le 3° temps = étape consiste au reclemdement densa périnter
interne et externe de l’anus et du faisceau pubo rectal du
releveur, ce qui ouvre l’angle recto anal.

Sous l’effet de la pression osdominale contenu. Ce 30 temps est escotaine


dans son diclenhcment et reflexe dans son déroulement.

VI.C. SECRETION COLIQUE

La secretion du colon est faite essentiellement des mucus alcalines dont le


rôle est de protéger la muqueuse colique contre les aggréssions clinique et
mécaniques. le colon ne secrète pas d'enzyme digestif (pas de digestion)

il existe une flore microbienne dont le rôle est d'accuver l'hydrolyse de certains
composants alimenatires, ayant echappés à la digestion des cette flore est
composée de 1011 bactéries par gramme de continu

elle est cosntitué de façon diminnante des gumes anoeucentes stricts comme:
- les bactéroides (bacille gramm negatif 30%
- les eubacterium (gram+
- les bifidobactirium (gram+ 25%
- les pepto streptococcus et les Ruminococcus (coquis positifs)

Il existe aussi une population sous dominante (107 à 10% bactérie par
gramme des sucus fraiclus):
- Enterobactéries
- Enterococcus
- Lactobacillus
- Clostridium

C'est dans cette forme sous dominante qu'on trouve des germes à potentialité
paterogène.
ON a aussi des levures dans la flore microbienne.

* ACTION DE LA FLORE MICROBIENNE

1) Sur les lipides, l'action est minime, incapable, d'unités une stratorenée en
cas d'insuffisance des lipases au stranhée diarrhée graissesse niveau du
grèle proximal
2) Sur les glucides
Les enzymes bactériennes attaquent les residues alimentatires non digérés au
niveau du grèle surtout la cellulose. cette lusaroryse microbienne se poursuite
jusqu'à la promotion d'acide bactique ou de C02.
3) Sur les proteines
IL y a production d'ammoniac (NH3) et d'amines toxiques par décarboxulation
des aa.
4) Sur les vitamines
Les bactéries intermunent dans la synthèse dans vitameines du groupe
B ........l'acide folique (B9), la biotine (B8) 10 riboflavine (B2), l'acide
nicotinique (B3) ou PP preventive de la lelabre et de la vitamine K.
5) Sur la bilirubine
cfr metabolisme de la bilirubine dans le foie
Tretes les cations de permettant et de futraction librement et quantité de gaz
(100-500ml/24h).

Normalement il y a très peu de gaz dans l'IM en raison de son assoption ne de


son passage rapide dans le colon.
L'essentiel du gaz continue dans le colon est produit par l'activité bactérienne,
l'abannement et le type dependant de l'alimentation et de la flre bactérienne.
A quelques aliments ... les feculents contunent des glucides qui se sont pas
attaqués par les enzymes digestives pas attaqués par les enzymes digestives
humaines la fumentation bactérienne de ces guicide dans le ceau produit du
gaz dont la plupart est absorbé à travers la muqueuse mais dont le restees
chassé par l'anus.

Le quantité des gaz iciminés peut ête plus imple > 500ml lorsque les aliments
ingéres comme les haricots sont riches en gluicides.

Les gaz intestinal a une double origine:


1) De l'air avalé au cours de repas ... aérophage dont le volume peut atteindre
500ml/repas
2) Du gaz par la ferméntation bactérienne dans le colon

Parmis ces nez m 0....le C02, CH4, H2, N2, .....SH2 (....................valer,
hydrogène sulfuré)
L'expulsion selective du gaz quand il y a aussi des matières dans le rectum
met la jeu la contraction simulatanée des muscles abdominaux et du sphincter
externe de l'anus.

Sous l'effet de l'augmentation la presion intradominalae qui en résute, le gaz


est expulsion se travers un orifice anal trop petité pour raison passer les
matières fécales.

Le passage du gaz à garnde vitesse fait librer lesbords son grave


caractéristique quand le gaz sont avec une faible vitesse, la sortie est non
accompagnée de son.

VI.D. ABSORPTION COLIQUE

Normalement le colon absorbe de l'eau et du sel.


* L'eau le colon recoit 500ml d'eau provenant de l'IG l'absorption se tout
surtout au niveau colon droit par osmose.
* Le sodium 98% du Na ingéré sont absorbés. cette absorption à ;lieu au
niveau du colon droit et une se soit par un mécanisme de transport actif
necéssitant une présence du glucose.
* Le potassium 190% du K+ ingéré sont absorbés. le plus grande partie du K+
absorbé dans l'IG problablement par un mécanisme de simple diffusion. au
olon il se produit une faible sécrétion du opotassium
* Le chlore 99% du chlore ingére sont absorbés. l'absorption est iléale mais
également colique. le chlore suit passivement le long du gradient electrique
crée par l'absorption du Na.
L'absorption d'eau et des sels aboutit à la formation des FECES (selles)
fermes le colon absorbe normalement 350ml des 500ml d'eau qui dans entre
quotidiennement. ceci raisse environ 150g de selles eliminé. ce matériel fecal
est constitué normalement de 100g d'eau et de 50g des solides dont la
cellulose indigestible, la bilirubine, des bactéries iliminé dans les sellus est la
biliribine, le reste est fait des residus non digérés de l'alimentation et des
bactéries qui n'ont jamais fait réellement partie de l'organisme.

VII. PHYSIOLOGIE DES MLANDES ANNEXES


VII.A. FOIE ET VESICULE BILIAIRE

1. RAPPEL
Le toie est le plus volumineux et ne plus important des organes ayant un rôle
dans les metabolismes. IL merite d'être considéré comme la principale resine
métabolique de l'organisme. il est important pour la digestion du fait de la
sécrétion des nes biliaires. son poids est de 1,5kg chez lecadvre et 60% de
son poids de sang chez le vivant.

Socouleur est violane, sa consistance élastique et il mesure 30cm


transversoument et 15cm d'avant en arrière.

IL est recouvert d'une capsule de GLISSON il a 3 faces aut, post et inf.


A la face int il y a 3 sellons qui delimittent 410bis ....le robe droit gauche carré
et de spigel
il a 2 ..... antero int et post int.
le foie est irrigné par l'activité hépatique il est interposé inter 2 systèmes
nerveux:
la veine porté et la veine cave inférieure
En cas d'hypertension portale ....... dilatation de la veine coronaire
spomachique aracines oesophagins. Le foie contunt aussi des coies biliaires
destinés à partir des voies biliaires destinées à partir dans le TD la bile
secrétée par le foie.....les voies biliaires intra hépatiques et les VB extra
héptiques

Le colon hépatique est l'unié fx elle du fou. il accompte plusieurs fôclus vu


fx ........et à la richesse de ses enzymes. Ces fx sont:
* la sécrétion biliaire
* le métabolisme des princiapaux nutriments glicide, lipides, poitrines)
* le métabolisme de la bilirubinedes protines plasmati
* la syntèse des protrines plasmatique et s copris celles necéssaires à la
coagulotion du sang et celle qui véhiculent les hormones teryroiduemres et ce
chocesterol dans la circulation
* le stockage du glysogène, des ripides du fer, du cuivre et de nombreuses
vitamines.
* l'activation de la Vit D en partenariat avec les reins et la feau
* la detoxitixation des déchets, dess hommes des médicaments et d'hômme
composés organiques
* l'élimination des bactéries et des MR vitlus grâce aux macrophages
résidants

Malgré la diversité et la complexité de ses activités, il n' y a pas une variété


des cellules spécialisées dans le foie chaque cellule hépatique ou en patocyte
est apte à accomplir.
L'ensemble des tâches métaboliques et sécrétrices à l'exception de la
phagocytose qui est le fait des macrophages residents (cellules de Kripffer).
Cette polycolince est due au dit considérable des organistes des ensotocytes.
l'orgemisation du foie est telle que le sang au contact immédiat de chaque
hépatocyte a une double origine :
- sang veiveux venant directement du
- sang TD artériel venant de l'aorte.

2. SECRETION BILIAIRE
Chez l'homme adulte le foie produit 0,5 à 1,2 litre de bile par jour. Une
distinction doit être faite entre la bile hépatique et la bile, visiculaire.

En la bile est ...... .. son sejour dans la vésucule bilaire.


Si jusqu''a s'il debite en politique sontsicutés cenq sour, le volume qui est
tinolument ..... si dans le duadement peut n'etre que si 0,25 l/ jour les fx
principes sont essentielles:
- l'imulxsifification des groisses par les acides biciaires pour sa permettre leur
digestion parv du gymes parcreatiques
- le solubilisation des produits de digestion des produits de ndes .....par les
ocèdes biliaires pour faciliter leur obsortion.
- la solubilisation des vitorines liposolubles ( A.D.EK) par les ocides biliaire
pour faciliter une des ...........
- c'est une voie d'excrétion du cholesterol, à la bilarubine, divers metaboltes.
l'execrétion du cholesterol est facilité par les aq liciaires
- la contribution à la veurtrolisation de l'

Signe, lieu, post …………. Directe…………… passe dans la bile, dans les
urines prés toxique pour le SNC

4. META BOLISME DES ………….. LIPIDES ET PROTEINES

1. SUR LES ………………….

Le …….joue un ……….. qui est la requation du ………………, le grescoge ne


est un sous ……………stocke……………….repouce dans anus

- dans les muscles ………………. Fournir de l’énergie pour le controduction


musculaire
- dans le foie ducogine transfortion la glucose le maintient de la glicimie à un
taux normal le tri accuse une place particulierement aux autre ………quii
………………………………………à partir du glucose.

Le tri est compose d’un ……….l…………………….non silance à partir d’autres


ses (truction……………….. mais fc à patir ……………c’est la moyens
………….
La glescoginolyse est possible dans …………..cellules, c’est une source
importante et d’énergie mains, c’est patique et source aboucit à la possition
du glucose.

L’énergie nécessaire au texte patique est tirée


…………………………………….

En conclusion un rôle du ……..dans metabolisme le stockage du ……………et


à partir de celui ci délibérer le glucose.

…….. est considéré comme notre glucostat

2. SUR LES LIPIDES

…….dans le metabolisme l’intervention de secondaire mais important


quantitativement du fait de la masse du ………., le……….. à des rôle nono
……….es spécifique dans ce metabolisme

- déprédation ………. des.gras j…….usqu’à ll’………


- la ………………………gras à partir de …………………………..A
- ………………………………………………………………
- ………………………..lipides complexes

…………………………..

- production des corps cetomique pendant le jeûne ou le jeun


- l’hypaghycémie ou la cetose diabétique
- conversion et élimination du …………….
- Le ……………………………………. Des lipides dans le plasme

N.B : le ……. Tire à l’état basae 75% du l’énergie qu’il consomme de


ll’oxydation des ……..gras ceux ci constituent les substrat …………………pour
la celui …………..

3. SUR LES PROTEINES

Le …….sources un rôle dans

- le stockage et la distribution
- la détoxication ou protéines ……………des
- le…………….des protéines ……………….. 40 g des du protéines
sont…………..du …… dans ce sang ……………….le infection de
cogralation les protéines inflammatoires et les protéines de transport
plasmetique, des …………)

VII. B PANCREAS

1. RAPPEL

Le est un organe droite la ………………………….par le ………… et


dont le corps ………….est situé en et en ……………..l’estomac

Il s’agit d’une grande mixte …………………..dans anus exacine et


……………… lle ttimu……………..est le plus ……………. Et consiste un
………… dans celulles……………………des ……….qui communiquent avec
des a …………… excutions qui, conferent pour former le canal …………….
Du ………..qui de bouche dans le ……………….

Le tissu……………moins abondant forme les ilots du ………………..qui sont


…… dans tout le veries se et secret………………………..le glucagm.

Barmis lieu anatomie les personnes axamine et ondocine n’ont ………….de


commun, le poids d’un ………………….es de 80 gr et comprend……..
2. SECRETION PANCREAS EXOCRINE

Le pour……..est un organe degits annexe qui un ……………important dans la


digestion parce qu’il ……………… et diver dans le …………………un large
inventaire d’……………….eauu 20) qui digrade tous les +…………présicites
dans les aliments.

Un rôles du …………………………………..sont

- la digestion du divers aliments amidon, protéines, graisis, acide ……….)


- la ventralisation de l’acide……………….par le HCO3.

Seule dela digestive est considérés essentielle une destruction du ……………


exocine aboutit à un syndrone au mal absoption

 composition des suc

lle ………………….. produits ……………….de 1200 - me du


suc………………………….. consiste d’eau et contenat dans les ………..et
dans …………………sur tout lles HCO3)

- les calculs acineusis …………………..llle traction du suc ……………………


des
- calculs ……………………. …………des conduits …………..les peu petits

2. SECRETION BILIAIRE

Chez l’homme adulte le foie produit 0,5 à 1,2 litre de bile, par jour.
Une distinction doit être faite entre la bile hépatique et la bile vésiculaire.
En la bile est ( ) ée pour son sejour dans la vésicule biliaire.
Si jusqu'à 1,2 l de bile hépatique sont sucretés cheque jour, le volume qui est
finalement ouver si dans le duodenum peut n’être que de 0,25l/jour. Les fx
principales de la bile sont les sortes et plusieurs sont essentielles :
- l’émulsification des graisses par ces acides biliaires pour sa permettre leur
digestion par les enzymes pancréatiques
- le solubilisation des produits de digestion des graisses par les acides
biliaires pour tecinitre leur absorption
- le solubilisation, des vitamines liposolubles (A, D, E, K) par les acides
biliaires pour faciliter une observation
- c’est une voie d’excrétion du cholestrol, de la biliribise, d’hormones et, des
médice et des divers metabolites. L’excrétion du cholesterol est facilitée par
les de biliaires.
- La contribution à la neutralisation de l’Hcl gastrique au niveau intestinal par
le HCO3-
- La protection du système biliaire extra hépatique (VB) en les l’encont avec
une solution accaline.

2.a. Composition de la bile

La bile est une solution accolise veut soumettre continant des sels biliaires,
des pigements biliaires (bilirubine…) du cholestuve, des graisses neutres, des
plus pholi pédées (eucethine et autres) et divesr …………..

Si nous ces cpsés seuls les sels biliaires et les phopolipides contribuent au
processus de la digestion.

Les sels biliaires pcopolCe l’oc. cholique, et les oc crheno desoxy choliques
sous centome d’avions sont des dérivés du cholestéol. Ils sont des dérivés du
cholestéol. Ils ont pour fx d’emulsion les graisses c’est-à-dire de les dispersion
dans l’eau contenue dans l’intestins des firmes gouttelettes, exposent ainsi
une surface importante à l’action des enzymes digestives qui s’attaquent aux
lipides.

Ceci correspond à l’activité déterynte des sels biliaires.

2.b. Mécanisme de la sécrétion biliaite


Sécrétion B – cholerise

 Mécanisme de la sécrétion de la bile hépatique :


La composition un contituants inorgraniques de la bile hépatique est la
résultante de 3 sécrétion différentes :
- la sécrétion canaliculaire l’indépendante des oe. Biliaires (cho…. Non
cholalo dépendante).
Eelle prédomine à l’Etat de repos et sa composition imique est voisine du
plasma.
- La sécrétion canaliculaire dépendante des oc biliaires (choleusie-chololo
déperdante) cette choderise fait augmenter les ( ) s du cholestrol et de la
léciterine dans le secretat.
- La secrétion canalaire, elle striche en HC03 et est les fait d’une stimulation
par la sécrétine lation par la secrétion contrinue pour 1/3 au volume
hépatique.
La composition en constituants organiques de la bile hépatique faite par la
sécrétion des hépatocytes dans les cacalomécanisme divisé en 3 étapes :
1. l’UPTAKE à partir du plasma
2. Métabolisme et ou conjugaison dans les hépatocetus
3. Transport actif dans les canalicules biliaires.

 Mécanisme de la concentration biliaire

Au rein de la VB le bile se ( ) fortement jusqu’au dizième de son volume initial


à la suite des phenomènes d’absorption :
- Absorption complée de Nacl, NaHCO3 avec flux zaire d’eau cette
absorption est intribué par les VIP et l’AMPC
- Absorption active du glucose et de cts aa (glestine, lysine)
- Absorption par diffusion des sobles organiques, l’epifulium vesicules étant
plus priméable aux molecules faiblement imisés (bilirubine non confuguré,
l’oc arachidomique, ac desoxès cholique). Qu’aux molécules fortement
ionisées (bilirubine conjuguée, produit de contraste iodé).

Le degré de ( ) nom selon la durée du séjour vésiculaire de la bile.


Le mécanisme de ( ) explique la diminution du chlore et du HC03-
Le Na ne diminuea pas parce que les mi celles contiennet de grandes
quantités de Na par rapprot à la qualité réabsorbée au cours du processus de
( ).

2.c. Régulation de la sécrétion Biliaire

- Régularisation de la sécrétion de la bile hépatique

Les hépaticetes produisent de 500 à 1000ml de cile / jour et cette production


s’accroit lorsque le TD contient un chysme gras.

 Les services biliaires constituent le principal stimulus faisant augmentation


scientin biliaire ; lorsque le cycle entero hépatique rédusme des grandes
quantités des ses biliaires au foie, le taux de sécrétion biliaires de ces
derniers s’élève de façon marquée.
 La sécrétine synthétisée, par les 4 intestinales en présence d’un chisme
acidé tait liberer à son tour leur secrétion aqueuse riche en HC03- et
depourvu des services biliaires, par les cellules topissant les conduits
biliaires du toie.
 La stimulation parasympathique augmente la composition de la sécrétion
canalaire de la sécrétion de service hépatique durent la phase ce phatique,
de la digestion avant ssi l’arrivé d’aliments des l’estomac et l’intestin. ce
mecanisme régulateur n’intervient qui de façon très accessoire.

- Regulation de l’evacuation vesicrelaire

La vidance vésiculaire dans le duodenum est la conséquence de 2 flucomènes


simultanés :

 le contraction de la paroi vesiculaire et ne relaxation du sphincter d’ODDI

En dehors des prévoies digestives le spenncter d’ODDI est hématiquement


fumé. Labile produite reflue dans les conduits gestiques et des la vésicule
biliaire où elle est emmogesinée jusqu’à ce qu’elle derrivé necéssaire.
Le foie produit de la bile de façon, continue mais celle-ci n’entre génération
des l’IG que lorsque la VB se contracté.

Le principe stimules de la contraction vésiculaire et de la relaxation du


sphincter d’ODDI est la cholésystokinésie.

Rébué dans le sang quand un chusme acide et gros entre dans la sécrétion
du celle stimule en plus les influx du SNPS suc pancréatique. Les influx du
SNPS provenant des sierts vagues exercent une stimulation que importante
sur la contraction visiculaire.

N.B : Siège de la lithiase B ou vésiculaire suite au mecanisme de ne ( ) de la


bite.

2.d. Métabolisme des acides biliaires

Les ac biliaires qui sont dosés habituellement dans le milieu biologique sont
des ac. Biliaires primaires (ABP) syntentisés par le foie à partir du cholesterol
et des ac biliaires zaïres (ABS) produits par l’action de la fibre intestinale sur
les ABP.

Dans le milieu biologique les ac. B sont seulement de sils

 Les ac. Biliaires primaires


L’acide cholique et l’ac. a chenodésoxy cholique.
Les ABP dans le foie subissent une tourino conjugaison dans 1/3 des cas et
une glycesno conjugaison dans 2/3 des cas ils sont secrétés d’une façon
continue dans la bile et ils subissent un cycle entéra hépatique qui se produit
des moins 2 fois au cours d’un seul repas, le cycle entérohépatique concerve
30% des sels biliaires arrivés à l’IG.

CEH des sels biliaires


 Les ac. Biliaires secondaires
Ils proviennent des ABP son héabsorbés qui au micron du calcium et du quelle
stiminal sont soumis à l’action des enzismes bactériennes.
- l’ac désoxy cholique de l’ac cholique
- l’ac litho cholique
- l’ac cersodésoxes cholique

Pour l’ac désoxix cholique


50% de cet acide subist le CEHI ô proitée est eliminée avec l’excrétion
fécaliselles)

Pour l’ac litho choliuqe les 4/5 de cet acide sont elimines dans les selles 1/5
seulement subit un CEH mais différent des autres du fait qu’il subit une
secréto-conjugaison qui est essentielle car elle empèche la réabsorption des
dérévés sulfatés de l'ac l’tho cholique au niv intestinal qui sontt toxiques.

Il existe donc leur seul passage dans le foie des dérivés de l’ac héthochorique.
Il n’ y a pas de cycle enterahépatique pour les dérévés sulfates du lithaa
chorate. Dès qu’il est sulfocom surgé il ne subit pas le CEH d’où excrétion.

Pour l’ac resordésoxy cholique

Il subit un cycle EH à 100% ceci permet à cet acide à pourvoir dissoudre chez
l’homme les calculs biliaires du cholestérol.
- abcè qui stimule la contraction de la VB en vue de l’injection de la bile :
abcè sorbitol ®, belogoque, question
- abcè qui stimule la synthèse de la bile au ni drépatique.

3. META BOLISME DE LA BILI RUBINE

Ce métabolisme à un dolible intérêt :


- il permet de faire comprendre les modalités, d’élimation par le foie d’un go
nombre des abcès :
Les opacifiants biliaire
Les médicaments
La BSP (Bromosulpo pertaliune)
Cette élimination si fait en 3 étapes : la captation, litransfut et métabolisme
intra hépatique, l’excrétion dans la bile
- il ne fait comprendre la plysiopathologie des ictères
Le métabolisme si déroule en tsileurs étapes :
1) la synthèse
il existe 3 sources de synthèse de la bilirubine
- bilirubine humoglobinique provenant des hemoties viellies : 75 – 85%
- bilirubine hemaglobiniuqe pavement de la moelle osseuse : 10 – 15%
Elle provient par l’avortement d’une petite proportion des 4 histhi
certaines ...... : les normablastes
- bilirubine luminique non hemoglobinique 5 – 10%

Cette fraction hemique dérive d’un synthèse de bilinebine par le foie ici même
a partir des précurseurs qui sont des cista chromes et la cotase.

Le total de blbne formé par 24 le est  de 200 – 350 mg

2) Le transport plasmatique
La blome non consuguée, non hyaro soluble est transportés dans la plasma
liée à des protines phosmatique principalement l’albumine. cette liaise qui est
commune à la blbne et à des nombreux ô anoms organiques a pour effet
d’empecher la diffusion intra tissulaire de la blbne.

Cela permet d’éviter l’encephalopathie bilirubinique ou ictère nucléaire.


Conjugaison : transformation d’une abcè à liposuble en abcè hydrosoluble
pour qu’il soit éliminé de l’organisme.
Certains drogues comme les solicylotes et la plu part des suite miolés se lient
de façon préférentielle à l’albumine et peuvent donc en de placer la blbne.

Il faut les éviter par exemple chez le nouveau né en cas d’ictère à bilsme hom
conjuguée.
3) Le transport hépatique
- Captation hépatocestaire :
Après s’il dissociée de l’albumine la blbn est la ptée par diffusion facilitée
grâce à un ou peunillus avons porteurs dont l’oatp : organic auion transporting
poles peptide.

Si l’hepatacyte la bebn est liée à d’ô protrines ou ligandines (proteines y et z)


ce sont 2 protéïnes douces d’un très grand pouvoir de liaison avec ne blbne.
Y >>> Z

Ces duel sont cebi quitaires (cosmopolites) la synthèse de la proteine Y est


augmentée après administration du phheno barbital pour prevenir les rechutes
des convulsions : anticonvulce médicat est utilisé chez l’enfant en cas d’ictère.

- la phase de conjugaison
La blbne non conjugué stocké dans l’hépatocyte sera conjugué à l’acide
glucuronique de l’uridine diphosphate glucose (UDPG)
La blbne nouvellement conjuguée est beaucoup plus soluble dans l’eau et
peut à secretée dans la bile pour .. éliminée dans les selles.

- l’excrétion biliaire
Après la conjugaison est excrété dans la bile à forte concentration ( à peu près
200mg de blbne/litre de bile humaine ) alors que le ( ) seingue normale est < à
10mg/litre de sang.

Cette excrétion dans les canocicules biliaires se fait par transport actif
dependant de l’ATP grâce à l’un des transporteurs suivants : CMOAT 
canalicular multiple organique anion transporter MNP2  multidring relatid
protein ces transporteurs synt toutes de ceux des acides biliaires.

4) Transport post hépatique


Leblsne consmopré est d’abord stocké dans la VB dont la fx est de ( ) les
divers constituants de la bile par léabsorption d’eau.
Après cette phase de ( ) vésiculaire, le blbne se rend dans le duodenéem
posséra.

L’arriver de la blbne dans l’IG ainsi que l’hydrolyse enzymotique bactérienne


constituent un tournant capital pour l’avenir de ce pigment.

Dans l’IG le blbni subit 3 destinées après l’attauqe enzymatique :


1) la transformation en stercobilinogène puis en stucobiline plus predominante
qui colore les selles enbrun.
2) Le transformation en eurobilinogène absorbé par la veine porte et excrété
dans la bile (cycle entero hépatique) 10 – 15%
3) La transformation d’une petite quantité d’inobilinogène en urobirine
excrétée dans les urines (0,5 à 33mg/24h)
Urine  zoune pôle  urobiline.

En pothalogie
- avec un obstacle au niveau du choledroque (tumeur vuu calcul)
- si cet obstacle est complet  rien n’arrive dans l’IG  d’où services
mastiques ou blanches  pas de CEH et bcq de bilirubine dans les urines 
bilirubinéerie au lieu d’une urobilinierie
- si cet obstacle est partiel  selles suont un peu brune urobiline en grande
quantité dans les rerines
- une humdeses se messive en cas de poludisme  hemolysi excès de blbne
non conjuguée dans le sang transport hépatique sera exogérée bcq de
blbne conjuguée ce, cas les 3 destinées vont debordées
* selles très foncées
* CEH augmente
* bcq urobiline dans les urines  jaune foncée
( ) blbne non conjuguée  liposoluble hydrophobi, pe passe dans la bile et
dans les arrivés.
Blbne sa li produbilité e rend toxiquée conjuguée ou indirecte  hydrosoluble,
ne passe dans les selles, ni les urines

Blbne consignée, liée, post, hépatique  directement hydrosoluble, passe dans


la bile, dans les urines pestoxique pour le SNC
4. METABOLISME DES MLUCIDES, LIPIDES ET PROTEINES

1. Sur les mlucides


Le foie joue un rôle moseur qui est la requeation de la grandes cémie. Le
grescogéne est un polysacchoride stocké pepalement dans 2 tissus 
- dans les muscles : la glycogénoles se suit à fournir de l’énergie pour
locontraction musclaire
- dans le foie  le glucogène assure par sa transformation la glucose le
maintient de la glycémie à un taux normal.

Ce foie occupe une place particulière dans le synthèse du particulière dans la


synthèse du glycogène contrairément aux autres tissus qui synthétisent le
glycogène uniquement à partir du glucose.

Le foie est capable d’un faire la synthèse non seulement à partir d’autres oses
(tructon des abcès non glucidiques (protides et lipides). C’est la
néoglycogènese la gluscogènolyse est possible des soutés les cellules, c’est
une source importante d’énergie mias c’est pratiquement seulement dans le
foie que ce catabolisme abocecit à la formation du gludose.

L’énergie necéssaire au fx hépatique est tirée essentielement de la digne


dation des lipides.

En conclusion en rôle du foie dans le métabolisme li stockage du plycogène à


assuru de celui-ci de liberer le glucose.

Le foie est consideré comme notre glucostat.

2. Sur les lipides


L’intervention de foie dans le métabolisme lipidique est sécondaire mais
important quantitativement du fait de la masse du foie. Le foie a des rôles non
spécifiques et spécifiques dans ce métabolisme.
Rôles non spécifiques du foie :
- déogradation des ac. Gros  oxydation jusqu’à l’actyl coenzyme A
- la synthèse des ac. Gros à partis de l’acetyl coenzyme D
- la synthèse du cholestérol
- la synthèse des lipides complexes

Heles spécifiques
- Production des corps cetoniques fait le jeûne ou le jeun l’hypaghycémie ou
la cetose diabétique
- Conversion et élimination du cholestérol
- Le régulation de la ( ) des lipides dans le plasma
N.B. Le foie tire à l’état basal 75% de l’énergie qu’il consomme de l’oxydation
des ac. Gras ceux-ci constituent le substant péterentiel pour la cellule
hépatique.

3. SUR LES PROTEINES

Le foie sont un rôle dous :


- le stockage et la distribution
- la detoxication de l’anmoniac
- la synthèse des proteines hepatocestaires
- la synthèse des plasmatiques : 40g des proteines dans le sang chaque
souce (le facteur de coagulation les proteines inflammatoires et les protines
de transport plasmatque, des hormones)

VII.B. PANCREAS

1. RAPPEL

Le pancréas est un organe dont la fête est entourée par le duodenum tête est
le corps allongé est situé en arrière et en dossisis de l’estomac.

Il s’agit d’un galnde mixte faise des tissus exocrine et emaacrine.

Le tissu exocrine est le plus asondant et consiste un grappes des cellules


épithciales samoant des acini qui communiquent avec des conaux excriturs
qui cobfluent pour former le canal pancréatique ou cursung qui débauche dans
le duodenum.

Le tissu hudacrine moins abondant forme les ilots de congherans qui sont
dispusés dans tous le pancréas et secrete l’insulline et le glucagon.

Hormis leur anatomie les pancrés exacrise et endocrise n’ont rien de commun.
Le poids d’un pancréa est de 80 si il comprend : tête, col, corps et queue seule
la queue est mobile.

2. Secrétion pancréas exocrine

Le pancréas est un organe digestif annexe que sont un rôle important dans la
digestion parcequ’il sécrète et diverse dans le duodenum un large vivesitariel
d’enzymes. (eau 20), qui dégrade tous les types de bles présentes dans les
aliments.

Les rôles du suc pancréatique sont :


- la digestion de divers aliments (amidon, proteine, garisse, acides
nucliques)
- le neutramisation de l’acide chloridrique gastrique le HC03-.
Seule le fx digestive est considérée comme essentielle.
Une destruction du pancréas exocrine abollit à leur syndrome de mal
absorption.

 Composition de suc pancréatique


Le pancréas produit chaque jour de 1200 – 1500 ml de suc pancréati enne
…..pcpe issté d’ale et contenant des enzymes et des euctrolytes (surtout les
HC03-).
- les cellules acineuses ceaborent la fraction du suc pancréatique riche en
enzymes.
- Les cellules epitheléales tapissont des conduits pancréatique les plus petits
libèrent des ions HCO3- qui rendent le suc alcalin. (ph  8).

Les enzymes digestives sont réparties en 3 groresis :


1) les enzymes glycolytiques  amylase pancréatique
2) les enzymes lipolestiques  lipase p-lipose, cholestériol-esterase
3) les enzymes proteolestiques ou pratases pancréatiques  chymo
trypsinogène, trypsimoyène, procarboxes pepti dase et pro elastase.

Les enzymes glycolestiques et cipolestiques sont secrétés sous luer forme


active mais necessitent la présence d’ions vue de bile as la lumière intestinale
pour avoir une activité optimale.

Tout comme la pepsine dans l’estomac, les prothasis, pancréatiques sont


produites et libérée s’il inactive (précurseurs) et sont ensuite activées dans le
duodenum où elles doivent agir.
Ce mécanisme protège le pancréas de l’auto digestion car les cellules
pencréatiques, contrairement aux cellules intestinales n’élaborent pas du
mucus qui a un effet cytoprotecteur l’ectination.

- le trypsinarine est activé en trypsise par l’euteropinase (enzyne de la


bordure en brosse) des cellules absorbantes de l’IG
La trypsine vatolyse la conversion du aryposinogine (auto-catalyse) et des
autres précurseurs qu’elle transforme en chymotryssive et en
carboxyseptidase
Le suc pancrétaique continuent en plus un polyseptide imbriteur de la
trypsise qui proteger egalement le pancréans contre l’action des petites
qualités de trypsive qui pouraient être formées avant la secrétion.
Le ptt alcain du suc pancréatique permet de neutraliser un hyne acide qui
amice dans le duodenum et crée un milieu optimal pour l’activité des
enzymes inestinales et pancréatiques.

3. Mecanisme et memulation de la secrétion pancréatique

Le sécrétion du suc pancréatique est réglée à la fois par des hormones


locales et par le SNPS.
 Le regularisation hormone (la plus imp) est effectuée par les hormones
intestinales :
- la sécrétine, llibérée en reponse à la présence d’HCl des Intestin, stimule
les cellules des conduits à sécrétion un suc pancréatique aqueux et riche
en HC03-
- La cholécystokinine (CCK)  libérée un reponse ô l’arrivée des protrines et
des graisses, stimulle des acinus à secreter un suc pancréatique riche en
enzymes. Les effets de ces 2 hommes si potentialisent mutuellement.
 le SNPS stimulée par le n. vague provoque la libération du suc
pancréatique riche en enzymes et de gastrique

Des phases cephalique, gastrique et intestinal intervennent aussi dans le


declenchement de la secrétion pancréatique.

Le phon intestinales est de loin preonderante responsable en toit de 65 à 70%


de la réponse sécrétoire pnacréatique à leur repas.

Le secrétion pancréatique commence 2 à 3 minutes après le diout du repas et


atteint le maximum en 2 à 3 heures puis decroit et cesse en 7 à 10 heures.

VIII. PROCESSUS DIGESTIF (RECAPITULATIF)

VIII.A. SEQUENCE DE LA DIMENTION CHIMIQUE (cfr tableau)


VIII.B. ROLES DE ……, HORMONES DANS LA DIGESTION (cfr
VIII.C. CONDITIONS NECESSAIRES A UNE ACTIVITE DIMESTIVE
OPTIMALE DANS L’INTESTIN …..

Ces conditions sont au nombre de 2 


1° Le fx … normal du foie ou du pancréas et la libuté des voies biliaires et du
canal pancréatique
2° Un l’écoulement cent mesuré du chysme provenant de l’estomac.
Il a été que l’IG ne peut traiter que des petites qualités de chyme à la fois.
Cela est dû au fait que lorsqu’il arrive dans l’IG, le chyme est habituellement
enyprotonique. Si l’IG, recevait d’un coup des grandes quantités de chyme, la
quantité d’eau qui passerait par omose du sang à la lumière intestinale serait
telle qu’elle provoquerait une diminution dangereuse du volume sanguin.
De plus l’acidité du nouveau chysme doit être neutralisée.

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