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Introduction …………………………………………………………………….……………..…….page 4
1.Definition du concept……………………………………..........................................................…page 5
Partie pratique………………………………………………………………………..…………....page 31
I.Methodologie de recherche………………………………………………………………...…..page 31
2.Methodologie retenue(qualitative)…………………………………………………………….page 31
Conclusion………………………………………………………………...……………………..….page 36
Bibliographie………………………………………………………..………………………….…..page 37
REMERCIEMENT
Selon l’auteur Mark Manson « le chien le plus petit aboie le plus », ce travail de recherche est
le fruit d’une longue dédicace dont j’ai connue des hauts et des bas. Cette mémoire à
commencer de façon désordonnée et a nécessité plus de mes propres mains pour en faire
sortir quelque chose de compréhensible.
Primo, merci a ma belle et magnifique mére ,Nabiha , qui a jamais hésiter de dire non a moi
qu’on j’avais le plus envie de l’entendre. Pas simplement de me rendre une meilleure
personne, mais ton amour inconditionnelle et tes feedback régulier pendant l’écriture de
cette mémoire.
Secondo, merci à mon amie Ayanleh , un grand cerveau qui conspire a rendre mon cerveau
apparaitre plus large qu’il l’est. Ton travail dur et ta brillance continue de me mettre dans le
sol.
Troisio, a mon professeur docteur Warsame Osman eleyeh pour être mon test intellectuel du
stress et pour m’avoir toujours forcé à dépasser mes limites.
Et finalement, au milliers des gens qui, quel que soit la raison, on décider de lire un gas de
Djibouti qui écrit a propos de ca mémoire.A ce point de ma vie j’ai dépensé des heures à lire
et étudier ce sujet. Mais vous tous continuer d’être ma vraie éducation. Merci
INTRODUCTION
Une bonne gestion de son entreprise est devenue primordial face au marché mondial unifié 1.
Le contrôle de gestion est un système d’information fournissant des outils d’aide à la
décision et permettant : le calcul et la maitrise des couts, le contrôle et le suivi de l’activité, la
mesure de la performance, le pilotage en continu de l’organisation 2.
Ce terme de contrôle est né avec la révolution industrielle il est imposé dans l’entreprise lors
de l’application de la division du travail et de la répartition des taches. La mise en place
systématique d’un système de contrôle des activités de chaque fonction s’est avéré
indispensable pour piloter l’entreprise à atteindre les objectifs prévus. Dans sa forme initiale
le contrôle de gestion a un caractère quantitatif basé sur le contrôle budgétaire, la
comptabilité analytique et le reporting. Ce modèle a été adopté par les entreprises
américaines, européennes et internationale 3. La problematique sera : es que le contrôle de
gestion est apparue a Djibouti et es qu’il contribue au sein des organisations Djiboutienne ?
Djibouti est un pays de transit pour la grande majorité du commerce extérieure de l’Ethiopie
qui représente près de 70% du trafic portuaire. Le commerce de réexportation constitue une
activité économique majeure, principalement parce que Djibouti ne dispose pas
d’importantes ressources naturelles et que son niveau d’industrialisation demeure modeste.
Les services axés sur les activités portuaires, de même que le transport par route et par rail,
avec l’appui du secteur financier, constituent la principale source de croissance économique
du pays
1
Cairn.info/revue-comptable-contrôle-audit-2009-2page-113.htm
2
Dunod.com/thématique/entreprise et économie/ gestion et administration / contrôle de gestion
3
Mémoireonline.com/04/11/4404/le contrôle de gestion au service de la performance de l’entreprise.html
Partie Theorique
C’est entre deux guerre au états unis que l’on peut situer la naissance de la fonction de contrôle
de gestion, qui reste pourtant une discipline récente par rapport aux autres fonction au sein de
l’entreprise. En effet, la création du Controller institut of America depuis cette époque, il s’est
développé dans ce pays après la seconde guerre mondiale –ainsi que ce développement a
caressé l’apparition en Europe ou il prend une grande place dans les entreprises. La jeunesse du
contrôle de gestion en fait un concept en constante évolution, qui trouve son origine dans la
comptabilité, au début le rôle du contrôleur était celui d’un comptable au sein des entreprises
au états unis, mais après 15 a 20 ans de pratique, nous avons constaté une extension du rôle de
contrôleur de gestion comme suit : -la fonction comprend l’enregistrement et l’utilisation de
tous les faits pertinents liées à une entreprise pour :
Le contrôle est aussi compris, sans doute de manière plus récente en raison de l'évolution
Des organisations et de leurs modalités de fonctionnement, comme le processus
Par lequel les managers influencent d'autres membres de l'organisation pour mettre
En œuvre les stratégies décidées à leur niveau. On peut, par exemple, se référer aux
Définitions suivantes :
• R.N. Anthony, 1 9881 : Le contrôle de gestion est le processus par lequel les managers
Influencent d'autres membres de l'organisation pour mettre en œuvre les stratégies
De l'organisation.
• H. Bouquin, 1 9982 : Le contrôle de gestion aide les managers à comprendre l'avenir
Et à agir en conséquence . . . ; il aide (aussi) les managers à orienter, sinon à maîtriser,
Les actions de leurs collaborateurs et partenaires, y compris, dans les grandes structures,
De ceux qu'ils ne peuvent côtoyer directement.
• R. Simons, en 1 9953, présente le contrôle de gestion comme l'ensemble des processus
Et des procédures fondées sur l'information que les managers utilisent pour maintenir
Ou modifier certaines configurations des activités de l'organisation (R. Simons,
1 995). Insistant plus sur l'implication des responsables et sur l'usage des systèmes
De contrôle de gestion qui différent selon les entreprises, que sur les différences entre
Les systèmes de contrôle eux-mêmes, sans doute assez similaires, R. Simons décrit
Des systèmes de contrôle « diagnostique » qui, sur la base d'indicateurs de mesure,
Visent le contrôle des résultats et le respect des standards. Il décrit aussi des systèmes
« Interactifs » représentés par des systèmes d'informations que les managers utilisent
Pour interagir avec leurs subordonnés et pour s'impliquer dans leurs décisions
1-objectifs technico-économique
Comparer périodiquement les êtas observés des systèmes aux objectifs, aux normes et
prendre des mesures correctives en cas d’écarts, dans un environnement qui change
rapidement est difficile d’atteindre. Des normes et standards fiables rapprochent la
direction. Ce processus d’apprentissage consiste a avancer a tâtons grâce au essaie et les
erreurs, on aprons de l’expérience et on se souvient des connaissance acquises.
-stratégie d’alignement : le contrôle de gestion permet la conversion des cibles pour traduire
la stratégie de l’entreprise en objectifs stratégiques et opérationnels quantifié sous forme
d’indicateur de performance et les rejeter. Cela permet d’aligner les objectifs de
responsabilité a tous les niveaux de décision
Anticiper et alerter
Les entreprises doivent se focaliser sur leurs objectifs et leurs actions en raison du caractère
imprévisible de l’environnement. Le pilotage des performances peut être définie comme
l’accord entre la flexibilité aux conditions externes et la sauvegarde d’une cohérence au sein
de l’organisation pour une bonne exploitation des ressources et compétences. Le contrôle
de gestion ne cherche pas à contrôler des individus mais de contrôler la maitrise de certains
éléments nécessaire à l’atteinte des objectifs de l’organisation (bénéfice, équilibre financier,
création de valeur de l’actionnaire). Exemple : Pour un marin le contrôle du bateau signifie
que ce dernier l’amène au bon port. Ainsi, à l’instar, du contrôle de gestion il va métriser la
force du vent, et la force du courant.
Il est impératif de s’informer sur les risques liés à l’atteinte des objectifs
Dans les grandes entreprises, la fonction est plus spécialisée et, en synthèse, on peut
Concevoir son activité comme celle aidant autant les responsables fonctionnels à
Prendre des décisions que les responsables opérationnels à contrôler leurs activités.
Sa position dans l'organisation, dans l'organigramme, dépend de la taille de l'organisation,
de son mode de fonctionnement, de sa structure, etc. Ainsi, il peut être rattaché
Rattaché à la direction générale, à la direction financière, ou encore rattaché à une usine, à
un Secteur d’activité. Cela oriente la forme et le degré de ses interventions.
Les contrôleurs de gestion assurent une fonction de support, un rôle d’appui aux
responsables opérationnels dans la mise en œuvre de la démarche : leur mission est de
favoriser, d’animer, souvent d’aider à concevoir, les éléments du système de contrôle. Ils ont
aussi un rôle à jouer en matière de stratégie :
Contribuer à faire remonter les idées d’inflexion de la stratégie qui peuvent naitre a
n’importe quel endroit de la structure.
Contribuer à la bonne mise en œuvre de la stratégie choisies dans le suivi des
opérations
S’assurer de l’adéquation des systemes de contrôle de gestion par rapport a la
stratégie
Faire comprendre aux différents interlocuteurs ce qui est recherché par la direction
Jouer un rôle dans la réflexion stratégique, comme tout un chacun dans
l’organisation
Construire un tableau de bord de la direction générale comportant des indicateurs
stratégiques
D’améliorer les processus en terme de performance
Participera la planification stratégique
Réaliser différents études
Animation conception
Aide à la décision
La mise en place d’un système de contrôle de gestion fait appel à des modes de gestion qui
utilisent des outils de prévisions, de mesure de la performance et de pilotage. On distingue
principalement : les méthodes de calculs des couts (1), la gestion budgétaire(2) et les
tableaux de bord(3).
Selon la méthode des coûts complets, il est possible d’évaluer le montant des charges
cumulées à chaque stade du cycle d’activité ou du processus de production de biens et de
services et de leur distribution soit : • les coûts d’achat, • les coûts de production, • les
coûts hors production, • les coûts de revient.
LES COÛTS D'ACHAT. Les coûts d’achat ou coûts d’acquisition se situent au premier stade
du cycle d’activité de l’entreprise, qu’elle soit : • commerciale avec calcul du coût d’achat de
chaque marchandise, • industrielle avec calcul du coût d’achat de chaque matière première
et de chaque fourniture consommable, • de services avec calcul du coût d’achat de chaque
fourniture ou prestation utilisée.
. Charges directes. Elles comprennent : • les prix d’achat nets des réductions commerciales
obtenues des fournisseurs de matières premières ou de marchandises ; • les frais
accessoires d’achat : transports, commissions, emballages, assurances, • les charges de
main d’œuvre directe (MOD) : rémunérations des réceptionnaires, des magasiniers, des
responsables d’achats, …
Méthodes de calcul. Les calculs sont présentés sous forme de tableaux avec un tableau
pour chaque élément acheté (nature d’achat, éléments de charges directes, éléments de
charges indirectes, coût unitaire, quantité, montant)
LES COÛTS DE PRODUCTION. Les calculs de coûts de production concernent les entreprises
industrielles qui transforment des matières premières en produits intermédiaires ou produits
semi-finis ou en produits finis. Il s’agit le plus souvent de composants ou d’éléments entrant
dans la fabrication de produits. Les éléments de coût se situent au stade de la fabrication
dans le cycle d’activité de l’entreprise. Les calculs de coût peuvent être effectués pour des
produits en cours de fabrication, des produits semi-finis, des produits intermédiaires, des
produits finis, … mais aussi pour des commandes spécifiques, des projets de lots de
fabrication, des séries à fabriquer, certains chantiers, … Les évaluations des coûts de
production sont de plus en plus effectuées pour les activités de services du secteur tertiaire
(banques, assurances, hôtels, transporteurs, agences de voyages, …) 3.2. Composition. Les
coûts de production incluent selon le degré d’avancement de la fabrication :
. Méthodes de calcul. Les calculs sont présentés sous forme de tableaux pour chaque
élément de coût de production (charges directes, charges indirectes) avec coût unitaire,
quantité, montant.
Coût de production total = Coût d’achat des matières premières utilisées (CAMPU) ou
consommées (CAMPC) + Charges de main d’œuvre directe de production + Charges
indirectes de production imputées Coût de production unitaire = Coût de production total /
Quantité fabriquée
. LES COÛTS HORS PRODUCTION. Les coûts hors production se situent en fin de cycle
d’activité, dans une entreprise industrielle ou de production de services. Ils comprennent : •
Les coûts de la distribution, • Les autres charges hors production. 4.1. Les coûts de la
distribution. Ils comprennent : • les charges de main d’œuvre directe : rémunérations des
vendeurs, des représentants, des livreurs, des commerciaux, … • les charges de distribution
: dépenses de publicité, frais d’emballages, frais de transports, • les charges indirectes du
centre d’analyse « distribution » imputées aux marchandises ou aux produits vendus. 4.2. Les
autres charges hors production. Elles comprennent : • les charges indirectes du centre «
administration », • les charges indirectes du centre « gestion financière », • les autres
charges incorporables éventuelles : assurances, les commissions d’intermédiaires, les frais
de courtages, les dépenses du Service Après Vente,
LES COÛTS DE REVIENT. Un coût de revient regroupe, selon la nature de l’activité : • toutes
les charges engagées pour la vente de marchandises dans une entreprise commerciale
(hypermarché, vente par correspondance, net market,…), • toutes les charges engagées
pour la fabrication et la vente de produits dans une entreprise industrielle (constructeur
d’automobiles, fabricant de porcelaine, fabricant de vêtements, …), • toutes les charges
engagées pour des activités agricoles (élévage, production de céréales, …), • toutes les
charges nécessaires à la production de services dans une entreprise prestataire (pressing,
salon de coiffure, entreprise de nettoyage de locaux, services informatiques, entreprise
spécialisée dans l’entretien d’espaces verts, … Le coût de revient doit être évalué selon les
situations : • pour les marchandises vendues, • pour les produits finis vendus, • pour les
prestations de services fournies. Le coût de revient peut être calculé : • soit globalement, •
soit par unité de marchandise vendue, • soit par produit fini vendu, • soit par prestation
réalisée. 5.2. Cas de l'entreprise commerciale. Le coût de revient comprend : • le coût
d’achat des marchandises vendues (coûts des achats + SI –SF), • les coûts de la distribution,
• les autres charges. 5.3. Cas de l'entreprise industrielle. Le coût de revient comprend : • le
coût de production des produits finis vendus au CUMP le plus souvent, • le coût de la
distribution, • les coûts hors production. 5.4. Cas de l'entreprise prestataire de services. Le
coût de revient comprend : • les charges de personnel, • les coûts des fournitures, • les
dépenses de publicité
LES VENTES (ou chiffre d'affaires ou recettes). Selon l’activité de l’entreprise, il s’agit : • des
ventes de marchandises dans une entreprise commerciale : Chiffre d’affaires (HT) = Prix de
vente unitaire x Quantité vendue de marchandises • des ventes de produits finis (ou
production vendue) dans une entreprise industrielle : Chiffre d’affaires (HT) = Prix de vente
unitaire x Quantité vendue de produits finis • des prestations de services pour une
entreprise prestataire : Chiffre d’affaires (HT) = Prix d’une prestation x Nombre de
prestations réalisées
. LES RESULTATS ANALYTIQUES. Il s’agit des résultats globaux ou unitaires réalisés sur la
vente de chaque catégorie de marchandises, de chaque catégorie de produits finis, de
chaque prestation de service. Résultat de Gestion = Chiffre d'Affaires (CA) - Coût de revient
des quantités vendues ou des prestations réalisées (CR) Ce résultat peut être : • nul : CA =
CR • positif : bénéfice : CA > CR • négatif : perte : CA < CR
Matiere A Matiere B
Cout de Production Y
METHODE DES COÛTS DIRECTS. Cette méthode présente un intérêt pour les entreprises
industrielles dont la fabrication se diversifie autour de plusieurs produits. Elle permet de
préciser les calculs de coûts de revient et d’évaluer des marges par produit. Le coût direct
d’un produit est composé : • des charges directes qui lui sont directement affectées (le plus
souvent variables : matière première, main d’œuvre directe, …), • des charges indirectes
rattachées sans ambigüité. Ces charges peuvent être variables (énergie, entretien, …) ou
fixes (amortissements, assurances, ...). Après évaluation du chiffre d’affaires réalisé pour
chaque produit et après déduction du coût direct, il sera possible de faire apparaître une
marge sur coût direct, traduite ensuite par un taux exprimé par rapport au prix de vente. 1.2.
Pour évaluer et vérifier le résultat global, il restera à prendre en considération les charges
communes variables (téléphone, …) et fixes (rémunérations des administratifs, …) non
affectées aux différents produits. Ce sont des charges financières, charges générales
d’administration et de gestion.
- CHIFFE D’AFFAIRE
= MARGE/COUT DIRECT
- -
= =
MARGE SUR COUT VARIABLE MARGE SUR COUT VARIABLE MARGE SUR COUT VARIABLE
- -
= =
RESULTAT GLOBAL(+/-)
2.La gestion budgétaire et l’analyse des écarts
Budgets Objectifs
Q.Ps=(25200-24000)*20 = 24000
P.Qr=(20-20.25)*24000 =-6000
Ecart global(70*10500)-756800=-21800
Eb = -16800
Ea =300000*10%=+300000
Er =350((10500*0.2)-2200) =-35000
Deuxieme methode
Er=70(10500-11000)=-35000
Verification
-16800+30000-35000=-21800
Par définition, le tableau de bord est un outil de gestion qui présentant synthétiquement les
activités et les résultats de l’entreprise par processus, sous forme d’indicateur qui
permettant de contrôle la réalisation des objectifs fixé et de prendre des décisions
nécessaires, selon une périodicité appropriée et dans un délai limité. Le tableau de bord vise
plusieurs objectifs :
– constituer un outil de pilotage réactif, qui délivre une information rapidement et de façon
ciblée ;
– fournir une information aux différents responsables d’une entreprise, et non seulement à
la direction générale ;
– donner à chacun les informations dont il a besoin pour piloter la performance de son
entité, tout en garantissant une cohérence globale des informations.
Le tableau de bord est donc un outil de suivi des reslisations, en les confrontant avec des
objectifs pour degager des ecarts.Parmi les outils de suivi des realisations, le tableau de bord
est le plus rapide puisque il se situe a tres court terme,il, peut meme recourir a l’estimation
des résultats pour sauvegarder cette caracteristique de rapidité de génération ou d’edition.
Cependant il faut preciser que meme si le tableau de bord est un outils dédié au suivi des
realisations,il reste ouvert au suivi des previsions.
En conparant, le tableau de bord aux autre outils on peut degager d’autre caracteristiques
specifiques :
Nature des données : Alors que la comptabilité generalene presentent que des donées
exclusivement monetaires ; le tableau de bord présente des données de nature
diverses :monetaires,physiques et memes qualitatives.
Les indicateurs phisiques ont l’avantage d’anticiper les futures resultats financieres tout en
indiquant ou agir.ceci permet d’apprehender la performance sous ses aspects autre que
financier et d’etre ainsi beaucoup plus proche de l’activité et donc plus reactif.
Delais de parution réduits : Le tableau de bord est édité dans un delai maximum de 10
jours,on peut meme estimer les resultats pour respecter le delai.Ceci fait le tableau de bord
est un moyen d’action rapide permettant plus de reactivité.
En conclusion,on peut dire que le tableau de bord de part sa coherence avec le coupage
organisationnel,sa prrsentation pertinente,dans des delais réduits,d’une informationnon
exclusivement financiere,permet une maitrise de la gestion beaucoup plus reactive,car plus
rapide et plus rapide de l’action.
PARTIE PRATIQUE
I :Methodologie de recherche
Cette partie presente les elements méthodoligique nécessaire pour valider notre hypothese
de recherche.
Il s’agit d’une méthode de recherche plus descriptive et qui se concentre sur des
interprétations, des expériences et leur signification.
Ce type d’étude s’appuie sur une collecte de données obtenues grâce à deux méthodes
principales :
Observations.
Entretiens.
Ces données, qui ne sont pas mesurables statistiquement, doivent être ensuite interprétées
de façon subjective.
Les résultats d’une étude qualitative se concentre sur des interprétations et leur
signification. Ils sont en général exprimés avec des mots.
Pour une mémoire qui porterait sur l’efficacité du metro a Paris :l’auteur pourrait effectuer
une etude qualitative en interrogeant les utilisateurs a travers un entretien pour ensuite
interpreter les resultats.
Les resultats serait presenté sous cette forme : certains parisiens se plaignent des travaux de
renovation qui perturbent certains lignes pendant des mois : « malheureusement,ca fait 3
mois que la ligne 3 ne s’arrete plus a la station opera. Je doit faire un detour de 30 minutes
chaque jour »(Monsieur dupont).
Nous avons concue notre questionnaire en plusieures etapes.D’abord il était question d’analyser la
littérature pour savoir qu’est ce que les autres chercheurs ont fait. D’apres diverses lectures qui ont
constitué notre revue de littérature,nous avons organisé des idées pertinentes qui nous ont aider a
formuler nos questions.Nous avons donc constitué entierement notre questionnaire pour qu’il réponde
aux objectifs de la recherche. Les questions ont été formulées dans le but d’obtenir les informations qui
vont nous permettre de comprendre comment le contrôle de gestion contribue dans les etablissement
djiboutienne,quand a-t-il apparue,pourquoi et par qui. La premiere serie de questions(1 a 3) porte sur la
description et les caracteristiques du repondant et son organisation. La deuxieme partie (question 4 a 5)
vise a verifier l’apparition du contrôle de gestion.la troisieme partie (6 a 9) concerne la contribution du
contrôle de gestion.
Dés l’obtention d’un accord de participation a la recherche, les disponibilités sont alors discuté entre le
responsable du projet et le repondant. Ainsi, un creneau est choisi par les deux parties permettant de
participer au questionnaire.
Apres avoir collecté les informations susceptibles de verifier notre hypothese de recherche nous
entamons dans le chapitre suivant l’analyse et la discussion des resultats de cette collecte.
2.2L’echantillon des entreprises retenues
Ci-dessous la liste des etablissements qui on constitué notre echantillon A travers cet echantillon,notre
but est de :
Nous entamons dans ce chapitre l’analyse des données collectés par le biais du questionnaire.dans
un premier temps , nous allons présenter les resultats des differents analyses que nous avons
faites.Ensuite,nous procederons a l’interpretation et a la discussion des dits resultats.
Rappelons que l’objectif principale de notre recherche est d’examiner l’emmergence et les
enjeux du contrôle de gestion a Djibouti.
Tableau de Frequence Q4 : Es que le contrôle de gestion est apparue dans votre organisation ?
On observe que dans 80% des organisations questionné, le contrôle de gestion existe au detriment de
20% des organisations. La date la plus enciene de creation d’un tel service remonte au années 2000 au
sein de Djibouti Telecom.
Tableau de frequence Q5 : Es ce que cette discipline est t-elle plus visible que l’audit i ?
Valide Effectifs Pourcentage Pourcentage Pourcentage
Valide cumulé
OUI 7 70 70 100
NON 3 30 30 30
Total 10 100 100
Au regard des circonstances, on peut affirmer que le contrôle de gestion est plus visible que l’audit dans
70% de l’echantillon. Cela parait normale car le contrôle de gestion est une discipline plus encienne que
l’audit. On peut souligner que la plupart des organisations qui on repondue oui par cette question,
appartiennent au secteur privée.
On constate que le contrôle de gestion contribue dans 80% des organisation susvisé. Certains,tels que
les banque ou Djibouti Telecom affirme qu’il est indispensable a la gestion de la performance. Mais dans
les industries tels que Djibouti Steel Factory et L’imprimerie Nationale il permet de maitrisser les couts.
Tableau de frequence Q7 : Es- ce que vous utilisez les methodes des calculs des couts dans votre
entreprise ?
Valide Effectifs Pourcentage Pourcentage Pourcentage
valide cumulé
OUI 6 60 60 100
NON 4 40 40 40
TOTAL 10 100 100
Fort de ce constant, les données recolté penche en faveur des methodes de calculs des couts(60% des
organisation l’adoptent). La methode des cout complet et des couts partiels en le vent en poupe dans
Djibouti Steel Factory , Al Hamdani et Salaam Bank.
On peut affirmer que 70% des organisations realise leur budgets chaque années au detriment de 30%
des ses etablissement questionné. In medias res, on detecte que certains etablissements public(tels que
la CNSS) qui non pas de service de contrôle de gestion, realise les budgets alors que des entreprises (tels
que la Cimenterie d’Ali Sabieh) ne le font pas.Cela est contradictoire.
Tableau de frequence Q9 : Utilisez vous le tableau de bord dans votre organisation ?
Le tableau est un outils pertinent dans 70% des etablissements triées face a 30% de ses derniers.In fine,
le tableau de bord est surtout indispensable au banque car il observe dans ce dernier le taux du risque
concourus .
Nous avons déterminé avec une majorité presque absolue (80%) que tous les organisations interviewés
on mis en place un service de contrôle de gestion. De plus, 70% des repondant affirme que cette
discipline est plus ostensible que l’audit a Djibouti. Cest qui est normale car le contrôle de gestion est
plus encien que l’audit. Nous remarquons que le contrôle de gestion est née en 2000 avant d’étre
dissout pour reapparaitre en 2018, ce qui coincide avec notre hypothése.
D’autre part, Le contrôle de gestion contribue de manière efficace dans les organisations dhiboutienne.
Cent pour cent des répondants affirme qu’il a un impact positive. Cela est due au fait que les
gestionnaiire travaillent avec plusieurs outils. 60% utilisent les methodes des calculs des couts, 70%
utilisent les budgets et 70% utilisent le tableau de bord. Certains on méme recours a plusieurs tableau
de bord(ex cimenterie D’ali Sabieh). Nous pouvons avancer, avec precaution, qu’a l’instar des
entreprises privés, les organismes publics sont a la recherche de la performance. De ce fait , les
gestionnaires du secteur public ont un souci d’atteindre les meilleurs resultats possibles comme leurs
homologues dans le secteur privé.
Nous constatons que l’experience vécue par nos repondants est consideré comme un succées..Le
contrôle de gestion a bien emmerger a djibouti et a contribué a faconné le visage de la performance
recherhé par les gestionnaire. On est temoin d’un phase de lancement de cet discipline.La mise en place
du contrôle de gestion a des impacts positives sur les resultats financiers de ces organismes comme sur
leurs processus interne. Les controleurs de gestion on repondue qu’il contribue dans leurs organisations
respectives.une faible proportion n’ont pas opté pour le contrôle de gestion.
En guise de conclusion, tous nos resultats tendent a affirmer, l’emergence recente et populaire du
contrôle de gestion a Djibouti et sont impact positive sur la performance. Par consequent, nos deux
hypothése (H1) et (H2) semblent etre confirmé.
Dans les prochaines lignes, nous concluons notre travailen présentant un sommaire de nos résultats.
Nous présentons aussi les limites et les avenues possible de cette recherche.
Nous pouvons conclure que les organisations djiboutiennes du secteur public que privé sont imprégnées
d’une culture de performance qui influence grandement leurs manieres de gerer et decider. Ainsi, il ont
opté pour le contrôle de gestion. A cette stade, il n’est quon phase de lancement. Etant une assurance
de la bonne utilisation des ressource de l’entité, le contrôle de gestion contribue a la gestion de la
performance. La particularité de cet discipline c’est quelle est plus visible dans les secteur privé. Cest
pour cette raison que son apparition et sa contribution percu sur la performance semble etre
consequents.
Notre étude constitue un prolongement des recherches scientifiques qui ont mis l’accent sur
l’emmergence et les enjeux du contrôle de gestion a Djibouti. Dans les recherches précédentes, les
chercheurs se sont focalisé sur les pratiques du contrôle de gestion des entreprises a Djibouti(Moussa et
Francois 2019) et la nature et les enjeux du contrôle de gestion en afrique(Moussa Awaleh 2020) .
Ainsi dans notre étude, nous avons mis en evidence l’emergence ainsi que les enjeux du contrôle de
gestion a djibouti, en nous interrogeant sur l’emmergence et sur les elements qui se sont amelioré suite
a la mise en place d’un service de contrôle de gestion. Un autre apport réalisé par notre etude reside
dans le fait que notre recherche est realisé dans un contexte mixte englobant le secteur privées et pblic.
Nos resultats indiquent que le contrôle de gestion a emmerger pour la premiere a Djibouti et que ce
dernier semble avoir dss enjeux positives sur la performance percue par les répondants.
Cette étude contribuera a l’avancement des connaissances dans le domaine du contrôle gestion. Cela
peut etre possible a travers une meilheures comprehension de l’apparition de cet discipline dans les
organisme djiboutiennes ainsi que la facon qu’il contribue dans ses organismes tantot privée que public.
Toutefois, il importe de souligner que l’etude peut etre limité par un certain nombre de menace
conceptuelles et methodologique, meme si nos 10 repondants representent un grand nombre de
secteurs et d’activité differentes , leur nombre restreint limite la generalisation des resultats .
Les resultats obtenus offre des opportunités a des recherches futures. Nous proposons que d’autre
recherche tente d’examiner l’utilisation des outils du contrôle de gestion a Djibouti. Nous proposons
également de mettre plus de lumiere sur les entraves qui entourent la mise en place des outils du
contrôle de gestion.
BIBLIOGRAPHIE
Mémoire mise en place d’un tableau de bord au medi telecom ISCAE 2004/2005
https://revues.imist.ma/index.php/RAM/article/download/17057/11385
OUI NON
7. Est-ce que vous utilisé les méthodes de calculs des couts dans votre entreprise ?
OUI NON
OUI NON