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Le texte soumis à notre analyse est extrait l'œuvre manon lescaut écrite par Antoine Prévost

appelé aussi l'Abbé prévost . C’est à partir de 1828 que l’auteur commence à publier l'œuvre
et finit par paraître intégralement en 1731 en sept volumes .
L’oeuvre de manon lescaut est intégré à une oeuvre plus grande et plus importante nommé
“Mémoires et aventure d’un homme de qualité qui s’est retiré du monde”

Ce roman d’aventure est fortement critiqué lors de sa première parution , il s’organise en


deux parties où Manon Lescaut une jeune fille aux mœurs fortement critiquée et dont le
Chevalier De Grieux tombe follement amoureux .
Dans cet extrait le Chevalier De Grieux rencontre Manon pour la toute première fois qui
s'apprête à devenir religieuse.

Axe 1 : les conditions de la rencontre.

-> à la ligne 1 , l'interjection “hélas” suivie d’une exclamation laisse le lecteur penser à une
rencontre regrettable ce qui crée également un effet d’attente qui pousse le lecteur à
s'interroger pour les raisons d’un tel regret , c’est aussi par un temps solennel marqué dans
l'expression “ Que ne le marquais-je un jour plus tôt” à qui s’ajoute le conditionelle passé
“j’aurais porté” à la ligne 2 .

-> C’est à la ligne 2 à travers le mot innocence qui est connu la raison de se regret ,
l’évocation de la rencontre est donc retardée / différée par l’introduction d’un personnage
assez important “Tiberge” l’ami qui le sortira de ses difficultés .

-> 3e ligne - par l’emploie de la première personne du pluriel , le narrateur se montre


désintéressé , et accuse la simple curiosité pour les avoir amené à ce lieu de rencontre
c’est donc la curiosité et non pas le désir ou le besoin de rencontrer des femmes qui motive
ses déplacement du moins c’est ce que l’auteur essaie de nous faire comprendre.

Axe 2 : le coup de foudre/la rencontre visuel

-> ligne 5 la rencontre visuel s’annonce par la conjonction de coordination “Mais” comme
pour marquer une certaine perturbation à fin de distinguer la jeune femme de toute les
autres “Mais il en reste une” l’apparition de la jeune femme qui se fait par l’effet d’un
raprochement visuel par l’éffet d’un zoom qui nous donne l’impression que De Grieux ne voit
plus que Manon .

-> ligne 7 l’auteur commence à faire la description de la jeune femme qui se fait de manière
assez subjectives cela peut se voir dans l’utilisation de la première personne “moi” , “ je” ,
“me” suivie du verbe “paraître” , c’est la locution verbale “me parue”

-> aux début du texte ligne 7 et 8 , souligne le changement qu’on remarque chez De Grieux :
de garçon timide et réservé , il devient amoureux et courageux et ce seulement par un
regard , un coup de foudre

-> à la ligne 11 la conjonction de cordination “Mais” sépare la phrase entre ce qu’il était et ce
qu’il est entrain de faire
- (tjr ligne 11) le sentiment de passion et de transoport sous l’éffet de ce coup de foudre ,
l’amène à désigné par le biais de la periphrase “Maîtresse de mon coeur” ce qu’on le
remarque en particulier dans ce passage c’est que De Grieux ne fait aucun portrait physique
de Manon , mais ne la décrit que par l’impression qu’elle laisse sur lui comme le sugèrre
l’hyperbol “Si charmante “ cependant nous ne savons pas ce que ressent la jeune fille en
retour

Axe 3 : le dialogue entre Manon et De Grieux

-> ligne 12 le jeune âge de la jeune femme contraste avec son éxpérience avec les hommes
comme le suggère la litothe “elle reçu mes politesse sans paraître embarassé”

-> ligne 13 le dialogue entre De Grieux et Manon est raporté dans un discours indirect à fin
d’évoquer dans un style narrativiser leur échange dans le but de retranscrire les paroles de
chacun d’entre eux , c’est une façon très inhabituel de rapporter un échanger aussi
important pendant une scène de rencontre

-> ligne 13-14 l’adverbe de manière “ingénument” nous renseigne sur le caractère franc et
sincère celon l’intèrpretation de De Grieux , dès lors qu’elle évoque son devenir de
religieuse , elle annonce un des obstacles que le jeune homme va devoir dépassé et
annonce un amour impossible ,les péripécies et les aventures qu’attendent les amants sont
annoncé à partir de la ligne 18 lorsqu’on découvre un certains “penchant aux plaisirs” de
Manon que l’auteur évoque avec euphémisme , c’est donc par l’éffet d’une prolepse que
l’auteur fait de cette rencontre un début de malheur comme le suggère la proposition
subordonné relative “qui a causé par la suite tout ses malheurs et les miens”

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