Vous êtes sur la page 1sur 58

DIFFERENTS TYPES DE REPONSES IMMUNITAIRES

Naturelle = innée Adaptative


Non spécifique Spécifique
1 2 3
... 1 2 3
.
Immédiate
Qlqs jours
Barrière cutanéo-muqueuse
mémoire I°
Substances bactéricides
+efficace lors du 2ème contact
pH
base des vaccinations
Equilibre de la flore
Interférons
Lymphos T
Syst. Complément
Lymphos B
Phagocytes (PN, mono)
Anticorps
Cellules NK
Cellules dendritiques
Le système du complément

• Introduction
• Les composants
• Voie classique
• Voie alterne
• Voie des lectines
• Complexe d’attaque membranaire
• Régulation
• Conséquences biologiques
• Déficits congénitaux
Introduction

plasma (5% protéines totales)


~ 30 protéines interactions
membranaires
• Capable d’intervenir rapidement et de façon localisée
« urgence »
• Régulations fines et indispensables
• Activations en cascade
• 3 voies d’activation distinctes, parallèles clivage du C3
• 1 seule voie commune effectrice terminale
• Nombreux effets biologiques
- étapes intermédiaires
- fin de la cascade
Les composants du complément

• Protéines synthétisées par les hépatocytes

• ½ vie courte ~ 24h (consommation permanente)

• Défécits héréditaires de la plupart des composants

• Circulent sous forme inactive

A inactif A actif

clivage protéolytique B inactif B actif….

• Fragments actifs rapidement inactivés s’ils ne réagissent pas avec


le fragment suivant de la cascade
Nomenclature

• voie classique et CAM : C1…. C9

• 3 sous-unités du C1 : C1q C1r C1s

• fragment de clivage protéolytique : a, b (C3a, C3b…)

• i: molécule inactivée (C3bi…)

• voie alterne et voie des lectines : lettre majuscule (D, MBL…)

• composant : composant à activité enzymatique


VOIE CLASSIQUE VOIE DES LECTINES

C1q MBL
Liaison aux immuns complexes Liaison aux carbohydrates des
surfaces microbiennes
C1r, C1s
MASP
Activation de C4 puis de C2
C4b2a
VOIE ALTERNE

Activation de C3 C3, B, D
Liaison aux surface des
micro-organismes
C5-C9
Voie finale commune
Activation de la voie classique

C1r C1s

Activateurs du C1 :
C1q • Complexe Ag/Ac
via 2 IgG1, 2, 3 ou 1 IgM
Ig • CRP, paroi bactérienne,LPS,
enveloppe de virus (VIH)

Membrane cellulaire • Ca++


= Ag
C1s
C4a
C4
C4b
fixation covalente sur Ag/AC
C1s
C2a
C2 C4b2a = C3 convertase classique

C2b C3a
C3
C3b
C4b2a3b = C5 convertase
C5a
C5
C5b
Activation de la voie alterne

• Immunité innée : le complexe Ag/AC n’est pas nécessaire

• Système « en veille » permanente

• Boucle d’amplification de la production de C3b

• Activateurs : LPS, paroi des bactéries gram+ et gram-,


de levures, de parasites …….
Ig agrégées
Hydrolyse spontanée
de la liaison thioester
C3a
C3 B
Stabilisation par la
C3b
properdine P
D
Ba
C3bB
C3bBb: C3 convertase
alterne

• clivage de C3, autoentretien, amplification


• Génération de C3bB3b : C5 convertase alterne
C5a
C5
C5b
Activation par la voie des lectines

• Immunité innée (~ voie alterne) – mécanisme ~ voie classique


• Activateurs : résidus mannose de glycoprotéines ou de sucres à la
surface des microorganismes
• Protéine de reconnaissance : protéine de liaison du mannose (MBP ou
MBL); famille des collectines (collagène – lectine); synthétisée par le
foie au cours de l’inflammation, structure proche du C1q
• Fixation de MBL activation de deux sérine protéases
MASP1 et MASP2 (proches de C1r et C1s)

Clivage de C2 et C4

C4b2a: C3 convertase clivage de C3

C4b2a3b: C5 convertase
Le complexe d’attaque membranaire (CAM)

C5 convertase (classique, alterne, lectines)


C5a
C5

C5b + C6, C7, C8, C9 (10 à 15 polymères)

CAM stable, inséré dans la mbrane


Le complexe d’attaque membranaire

• Création de pores (10 nm de diamètre)


• Désorganisation de la couche lipidique mb

• Destruction de la cellule cible (GR++, cellules nuclées +/-)


• Stimulation de la libération de médiateurs
Voie classique Voie des lectines Voie alterne
Ag/Ac Paroi des agents microbiens

C1q, C1r, C1s MBL, MASP


C4 C2 C3

C4a C2b C3a


C4b C2a C3b
C3 B, D

C4b2a C3bBb
C3a

C3b

C5 C5b C5b-9
CAM
Régulation des différentes voies

Régulations fines indispensables pour éviter l’auto-entretien,


l’hyperconsommation et la destruction des cellules de l’hôte.

2. Mécanisme général : de nombreuses protéines des 3 voies


d’activation sont labiles, inactivables spontanément à distance de
leur cible

3. Mécanismes spécifiques : présence de protéines inhibitrices de


différents composants (solubles ou membranaires)
Régulation des différentes voies (1)

1. Voie classique
• C1-Inhibiteur (C1-Inh) : dissocie le complexe C1rC1sC1q

• Protéine de liaison du C4 (C4BP) :


se lie à C4b
empêche la formation
de la C3convertase classique (C4b2a)
Régulation des différentes voies (2)

2. Voie alterne
• Facteur H : - se fixe au C3b et empêche la formation de la
C3convertase alterne par compétition avec le facteur B
- cofacteur du facteur I qui inactive le C3b
Régulation des différentes voies (3)

3. Complexe d’attaque membranaire


• Protéine S ou vitronectine Se fixent au complexe
trimérique C5b-7
• Clusterine

Ne peut pas attaquer les


cellules voisines
Inhibiteurs membranaires
= Capables d’inactiver les convertases et le CAM

• Decay accelerating factor (DAF) (CD55) :

dissocie les C3

et C5 convertases

• Membrane cofactor protein (MCP) (CD46) :

cofacteur dans le clivage de C4b et C3b par le facteur I

• Récepteur du complément de type 1 (CR1) (CD35) :

dissocie les convertases à distance


Conséquences de l’activation du complément

C5b-9 Lyse cellulaire,


neutralisation virale

C3a, C5a Dégranulation des mastocytes et


anaphylatoxines basophiles libération d’histamine
perméabilité vasc
Réponse
Chimioattractant et inflammatoire
C5a
activateur des phagocytes

C3bi, C3b Opsonisation et phagocytose


opsonines

C4, C2 Modification/épuration des complexes immuns

C1q Elimination des cellules apoptotiques

C3b Présentation de l’Ag aux L. B par les C. dendritiques


Conséquences de l’activation du complément
Exploration du Complément:

Mesure fonctionnelle
Voie classique Mesure des protéines
CH50
+ CAM du complément

GR de mouton + Ac anti GR de mouton


C3- C4..:Néphélémétrie
Sérum du sujet contenant le complément Dosage fonctionnelle

Activation de la voie classique et du


complexe terminal
DO
50%
Lyse du GR
Mesure de l’hémoglobine libérée
[C]
1 unité CH50 = la + petite quantité de sérum qui hémolyse 50% des GR
sensibilisés par les AC anti-GR de mouton
Oedème angioneurotique: déficit en C1-Inh

• Oedèmes localisés, à répétition de la peau et des muqueuses (larynx,


intestin); notion de crises
• Mécanisme: pas de limitation de l’autoactivation spontanéedu C1.
• Transmission: - Héréditaire (AD) 1/50 000 naissances en France
Quantitatif (absence) ou qualitatif (non fonct)
- Acquise: Auto AC anti-C1inh
• Diagnostic biologique
Dosage du C1inh: antigénique et fonctionnel
Signes indirects par dosage d’autres protéines : C4, C2, CH50
Recherche d’autoAC
Etudes génétiques, familiales
Cellules phagocytaires

• Origine et devenir du Polynucléaire neutrophile (PN)


• Contenu des granulations du PN
• Principales étapes fonctionnelles
- Adhérence à la cellule endothéliale
- Migration
- Reconnaissance de l’agent pathogène
- Phagocytose
- Destruction de l’agent pathogène
Mécanismes indépendants de l’oxygène
Mécanismes dépendants de l’oxygène
• Conséquences de l’activation des phagocytes
• Régulation du fonctionnement des cellules phagocytaires
- Priming
- Désensibilisation
• Production de cytokines par le PN
Agent Pathogène

Complément N-formyl- peptides Endotoxines


C3a C5a
PN LTB4 Macrophage
PAF
IL - 8 Organes
MCP - 1 lymphoïdes
TNF
IL - 1
IL - 6
GM - CSF
G -CSF Ag
Monocyte
IL - 10
IL - 12

IFN γ

NK C. Dendritique
GRANULOPOIESE

Moelle osseuse

8 2% 5% 12% 22% 20%


PN/107/Kg/h

Zone marginale
Pool

Zone marginale
4 Tissulaire
S

2 Métamyélocyte
Polynucléaire A Jours?
Myélocyte neutrophile N
Promyélocyte G
Myéloblaste
0
10
0 5 10 Heures
Jours
CONTENU DES GRANULATIONS DU PN

Azurophiles Spécifiques/ Secrétoires


Gélatinase
Cyt b 558/Rap1
Mb H + -ATPase
Récepteurs: Récepteurs
fMLP-R
Myéloperoxydase CR1
M CR3
Lysosyme CR3
a TNF-R
BPI Fibronectine-R
t Défensines
r Elastase Cytokines Phosphatase
i Cathepsine G Lactoferrine alcaline
c Pr3 Lysosyme
Gélatinase
e Hydrolases acides Collagénases
Gélatinase
PN TISSU Microorganismes
. . . CE
1 ère ligne
Chimioattractants
. . .
. _
. ....
...
. .. O 2°, H 2 O 2 ,

SANG ... .. OH°

.. Cytokines
2 ème ligne
MONOCYTES Enzymes
MIGRATION TRANSENDOTHELIALE DES PN

L-sélectine soluble
roulement
liaison de forte affinité
IL- 8
PAF

x x
L- sélectine / Le ;Sialyl- Le (PN) L- sélectine
E et P- sélectines ( Endothélium) CD11b/CD18

IL- 1, TNF, LPS....

FOYER INFLAMMATOIRE
Dégranulation
métalloprotéase GélatinaseB=MMP9
Elastase
Adhérence

VE-
Cadherin

Collagène IV

Borregaard, Blood, 1997


CIBLES

PN
GRADIENT DE
CHIMIOATTRACTANTS
fMLP, C5a, LTB4, PAF, IL-8….

Matrice extra-cellulaire
Adhérence Déformabilité
Chimiotactisme Chimiocinèse
PRINCIPAUX FACTEURS CHIMIOATTRACTANTS

• Peptides signaux des protéines bactériennes:


N-formyl-peptides : fMLP
• C5a produit par activation du complément
• Médiateurs produits par les cellules du foyer inflammatoire:
 PAF (C. endothéliales, PN, monocytes)
 Leucotriène B4 (PN, monocytes, mastocytes)
 Chimiokines : IL-8, GRO, NAP-2..

(PN, mono/macroφ, CE, fibroblastes, lymphocytes...

amplification de la migration phagocytaire


FACTEURS CHIMIOATTRACTANTS
Récepteur à 7 domaines transmembranaires couplé
aux protéines G hétérotrimériques

x
xx
Modification du cytosquelette xxx
Polymérisation/dépolymérisation xxxx
des filaments d’actine xxx
xx
x
Reconnaissance des agents pathogènes (1)
« Toll-Like-Récepteurs »
peptidoglycane LPS flagelline
PAMPs*
lipoprotéines
TLR2 TLR4 TLR5

TLR1 TLR6 MD-2


Membrane du PN

TIR TIR TIR TIR TIR TIR TLR9

endosome

CpG DNA

TLR7 ss RNA
TLR8
*
Pathogen-Associated Molecular Patterns
Reconnaissance des agents pathogènes (2)
Adhérence facilitée par les opsonines

Immunoglobulines de classe G (IgG1 et IgG 3)

Fc
B
Fc γ RI
Fc γ RII, Fc γ RIII

Les protéines dérivés du C3 du Complément

C3b CR1
B
C3bi CR3

CR3= CD11b/CD18
ADHERENCE ET ENGLOBEMENT

C3bi
C3b
CIBLE
IgG 1 et 3
TLR
DESTRUCTION DE L’AGENT PATHOGENE

I- Phénomènes indépendants de l’oxygène


A- Dégranulation dans le phagosome

Enzymes : hydrolases acides


Lysosyme
Protéines cationiques à activité bactéricide
- BPI : bactericidal permeability increasing protein
- Défensines
- Sérine protéases (élastase, PR3, cathepsine G..)

B- Dégranulation à la membrane
expression des récepteurs (fMLP, CD11b/CD18)
TNF
Dégranulation
Membrane
Fusion granulation à la mb
du Cyt b558 à la mb
Cytosol

Phagosome

Rap1A
O2- ° O2
Rap1A
91
22 22 91 Rac 2
67
47 40 Rac 2
Rap1A
91
22
22 67
47 40

Granulation
spécifique/gélatinase
NADPH OXYDASE PHAGOCYTAIRE

O2 O2.-

p22-phox gp91-phox

Membrane Fe Fe

Rap 1A
Rac p47-phox p
p
GTP p
p67-phox p40-phox
p

NADPH NADP+

Rho Rac p p40-phox


Cytoplasme GDI GDP p67-phox
p47-phox

p p p
EXPLOSION OXYDATIVE DU PN

Protéases T
OCL -
I
MPO
H2O2 B Protéases O 2 -. FRO
S
O2 -. O2 S
O2 U
S
NADPH oxydase
O2 O2-° H2O2 + Cl- OCL-
Défense immunitaire
anti-bactérienne
anti-fungique
GRANULOMATOSE SEPTIQUE CHRONIQUE (CGD)
Déficits d’origine génétique
des différents composants de la NADPH oxydase

1/2x105 – 1/5x105 naissances

Composant Gène Transmission Fréquence


affecté génétique

gp91phox CYBB X 70%-75%

p22 phox CYBA AR <5%

p47 phox NCF-1 AR 20%


p67 phox NCF-2 AR 5%
SIGNES CLINIQUES DE
LA GRANULOMATOSE SEPTIQUE CHRONIQUE

• Déficit immunitaire avec infections graves


et/ou répétées à bactéries et champignons
(S Aureus, P. aeruginosa , Serratia, Nocardia, Aspergillus….
Salmonella, BCG, Mycobactéries atypiques....)
Abcès cutanés, hépatiques, pulmonaires, ostéomyélites

Lymphadénopathie, hépatomégalie, splénomégalie

Atteintes granulomateuses intestinales


Manifestations auto-immunes : lupus systémique
ou discoïde (chez les mères vectrices)
DIAGNOSTIC DE
LA GRANULOMATOSE SEPTIQUE CHRONIQUE

• Dépistage: Très faible production de formes réactives de l’O2

• Typage:
Dosage spectroscopique du cytochrome b
Western Blot des composants de la NADPH oxydase
(gp91phox, p22phox, p47phox, p67phox, rac2)
Séquençage du gène et recherche de la mutation
EXPLOSION OXYDATIVE DU PN

Protéases T
OCL -
I
MPO
H2O2 B Protéases O 2 -. FRO
S
O2 -. O2 S
O2 U
S
NADPH oxydase
O2 O2-° H2O2 + Cl- OCL-
Défense immunitaire
anti-bactérienne Lésions tissulaires
anti-fungique Inflammation pathologique
Régulation fine et précise du fonctionnement du PN

Cytokines pro- et anti-inflammatoires


Cytokines et régulation des PN

Adhérence: CD11b, CD62L Effet chimioattractant


de d’IL-8

SANG TISSU FRO


Enzymes
Microorganismes
LTB4
PAF
IL-8 Macrophage
MCP-1
PN MIP-1α
MIP-1β
G-CSF IFNγγ
GM-CSF
TNF Lymphocyte
IL-1
Monocyte IL-10
IL-12
Modulation de la Production de FRO
Modulation de l’apoptose Priming
Inhibition Désensibilisation
Induction
Régulation de l’explosion oxydative
des PN par les cytokines (1)

Priming

« Priming » = prétraitement par un 1er agoniste


augmente la réponse à un 2ème stimulus
appliqué ultérieurement.
Neutrophile Cytokines
Proinflammatoires Chimioattractants
IL-8
TNF α
C5a
GM-CSF
PAF
IL-8
fMLP

O2

°-
O2 ROS
sang Tissu
« Priming » = prétraitement par un 1er agoniste
augmente la réponse à un 2ème stimulus appliqué
ultérieurement.

Rôle physiologique
Régulation de l’explosion oxydative des PN par les
cytokines (2)

Désensibilisation

= Un 1er contact avec un agent pharmacologique


diminue la réponse ultérieure

- Action inhibitrice de certains médiateurs


anti-inflammatoires: IL-10
PN Microorganismes
Cytokines
Pro et anti-inflammatoires
Chimioattractants
TNF α
GM-CSF fMLP
IL8
IL-10 R C5a
IL-10
PAF

O2°-

O2

Sang Tissu
Inter-relations cytokines/PN

TNF IL-10
IL-8 PN IL-8 faibles
GM-CSF concentrations

« Priming » Désensibilisation

Activation excessive Insuffisance fonctionnelle

Lésions tissulaires Susceptibilité aux infections


PRODUCTION DE CYTOKINES ET
DE LEURS RECEPTEURS PAR LE PN

• Cytokines proinflammatoires:
IL-8, GROα
α, IP10, MIP1α
α et β,
β MCP1, TNFα
α, IL-1β
β
G-CSF, M-CSF, IL-3, IL-12

• Cytokines antiinflammatoires
IL-1 Ra, TNF Rs, TGFβ
β
PRODUCTION DE CYTOKINES ET
DE LEURS RECEPTEURS PAR LE PN

- Processus de dégranulation :
Libération dans le milieu extracellulaire

• VEGF
• Oncostatine M

HGF

- Relais par synthèse protéique


Le PN est un acteur cellulaire pivot de l’immunité innée

Rapidité d’intervention :
• Rapidité de migration sur le site infecté
• Stockage de molécules « prêtes à l ’emploi » libérées
très rapidement sous l ’effet des stimuli:
(protéases, médiateurs lipidiques, cytokines)
• Assemblage rapide d ’un système multimoléculaire:
NADPH oxydase

Production de FRO: Explosion oxydative

• Destruction de l’agent pathogène


• Remodelage tissulaire et cicatrisation
• Régulation de l’engagement des réponses immunitaires
Le PN est une arme à double tranchant

Stimulé de façon excessive ou dans un lieu inappropriée

Lésions tissulaires sévères dans le cadre de


maladies inflammatoires aiguës ou chroniques
systémiques ou d ’organe
SDRA
Ischémie reperfusion
BPCO
Vascularites
Polyarthrite rhumatoïde
….

Vous aimerez peut-être aussi