Contexte générale : • Innovante, efficiente, réactive, évolue

constamment et durablement.
• L’e/se et mondialisation de
• Crée la valeur
l’économie.
• Bons indicateurs de performance
• L’entreprise face aux changements
• Intelligente financièrement
• L’accélération du progrès
• Les valeurs, motivation,
technologique
compétences…
• L’internation. (Production et
• Fidélise ses clients
échanges) ;
• Se projette dans le futur
• Nouvelles exigences
sociales/culturelles ; Entreprise et compétitivité :
• L’acharnement de la concurrence
• Capacité à faire face à la concurrence
• La digitalisation
en augmentant sa PM.
• Performances à LT, sa CCe selon 3
critères : prix, qualité, coût.
• Résultats supérieurs à la moyenne.
• Benchmarking : comparaison aux
meilleures entreprises dans le secteur.

L’entreprise doit évoluer. Entreprise et stratégie :

• Investir dans de nouvelles • S est l’expression d’un projet

technologies d’entreprise.
• Innover pour accroître la productivité • Réponse aux FF et aux OM.
• Gérer efficacement A retenir :
fonctions/ressources
La stratégie = l’art de diriger et de
Entreprise et performance : coordonner des actions pour atteindre un
objectif.
Entreprise performante est une entreprise :

• Entreprise pérenne
• Défit ses concurrents
 Spécificités : systématique, rigoureuse,
conduit à de nouvelles connaissances.

Activité intellectuelle, qui à partir des

informations, approfondit les
connaissances sur un sujet et le
Entreprise et innovation : communiquer.

Façon imaginative de faire face au

changement.
Une petite investigation sur un thème
spécifique que l’étudiant doit développer à
partir de son point de vue, en tenant
compte des sources d’information
• Domaine de recherche à grande
nécessaires.
ampleur.
• Application à tous les niveaux de
l’organisation et tous les aspects
organisationnels et décisionnels.
 Philosophie : manière de voir de
• Manière de conduire, de diriger, de
comprendre et d’interpréter.
structurer et développer une
 Epistémologie : domaine de la philo :
organisation.
l’étude critique des sciences et de la
• Le rôle conditionne le succès et le bon
con scientifique/l’étude de la con en
fonctionnement de l’organisation.
générale.
 La méthodologie : science des
méthodes.

L’ensemble des actions en vue de Approche méthodologique = orientation

produire de développer les connaissances méthodologique.
scientifiques.

Un processus dynamique ou démarche

La méthode = l’ensemble ordonné de
rationnelle qui examine des phénomènes.
manière logique de principes, de règles,
d'étapes, qui constitue un moyen pour  Cap à organiser le travail
parvenir à un résultat.

Un document réalisé dans le cadre d’un

processus de formation par une personne
sur un sujet proche du champ d’étude
choisi.

Le mémoire est une activité intellectuelle

et investissement personnel important qui
met en œuvre plusieurs aptitudes
d’analyse, de synthèse, d’organisation et
de rédaction.

La construction d’un projet de

 Capacité à mobiliser les recherche :

connaissances
 Cap à intégrer les différents
enseignements et problèmes.

Les grandes étapes :

1. Concevoir : objet ou problématique.

 Le mémoire de compilation
 Le mémoire de recherche
 Le mémoire analyse d’expérience
 Cap à délimiter le sujet
 Cap à définir un objectif
 Cap à consolider les connaissances
 Cap à explorer littérature pour
approfondir les connaissances
2. M en œuvre : les canevas de la
recherche
 Lier les concepts
 Collecter les données
 Choisir l’échantillon
 Traiter les données
3. Analyser et évaluer : interpréter
Processus de réalisation du mémoire :
 Sujet de recherche : Le point spécifique
que le chercheur souhaite aborder à
l’intérieur du thème.

L’objet de recherche : Il oriente sa

recherche de littérature, son plan de
Etape 1 : choix du sujet et délimitation de recherche et la méthodologie suivie
la problématique :
Cerner le sujet : La méthode QQQOCP ?
Trouver un bon sujet de mémoire :
Tester la pertinence d’un sujet : 2 pôles :
 Préparé par anticipation
 Les spécificités du chercheur
 Se fier des ouvrages académiques,
 Les spécificités de l’objet d’étude
des guides orientés…
 En relation avec le stage et la branche La présentation du test :

Importance de cette étape :

Les concepts choisis orientent la suite du

travail de recherche.

Grille d’aide au choix : Les critères

retenus :
Erreurs à éviter :
 Intérêt personnel
 Intérêt pour ma formation 1. Sujet déjà traité

 Intérêt théorique  Affinez encore votre recherche

 Intérêt managérial  Renseignez-vous sur l’état actuel de la

 Faisabilité recherche
 Connaître les sujets déjà soutenus
Quelques règles :
2. Sujet irréalisable :
 Exploration (discipline)  Ne choisissez pas un sujet trop vaste
 Identifier le thème  Ne vous acharnez pas si le sujet est
 Concerter avec l’encadrant vraiment intraitable
 Vérifier l’accessibilité de l’info 3. Sujet fastidieux Un sujet qui ne
 Des sources traitables vous dit vraiment rien.

La problématique de recherche :
Le problème général de la recherche, la
question générale et celles spécifiques.
Question et problème :
Une question : réponses parfois oui ou
non et immédiate
Problème : éléments connus et des
éléments inconnus. Mobiliser des
connaissances et un raisonnement.
A quoi sert de problématiser :
 Développer sa réflexion, son sens
critique, et ainsi de pouvoir répondre
plus facilement à des problèmes divers.
 Développer un raisonnement
personnel
Les critères essentiels :
 Questionnement général entrainant
des questions partielles
 Un problème qui semble important,
 Pas sur une solution immédiate
 Pas une réponse limitée à oui/non
 ni une définition, ni une démonstration,
ni un exposé
Recommandations :
 Ne pas se précipiter
 Choisir plusieurs sujets possibles
 Retenir provisoirement le sujet le
plus tenant
 Explorer le sujet sommairement
 Formuler par écrit le sujet en
quelques lignes et l’expliciter
 Confronter le sujet à une check
List :
Mind mapping :
Topo gramme, schéma heuristique ou
carte mentale, constitue d'extraction et de
mémorisation des informations.
Formuler le sujet :
 Une phrase courte :
 Des concepts clés :
 Une sélection de termes :
Formulation et précision de la
problématique :
On trouve généralement une question
centrale = la question fondamentale et des
sous-questions (qui aident en répondre)
La précision de la problématique est une
reformulation de la question centrale, en y
ajoutant des hypothèses, qui sont autant
de propositions de réponses qui seront
testées dans le mémoire.
L’hypothèse de recherche :
 Une hypothèse est une réponse
exprimant une relation entre deux ou
plusieurs concepts.
 Déclination en termes opérationnels
 Un énoncé qui prédit les résultats.
Caractéristiques de l’hypothèse :
  Précise : infos nécessaires
 Explicable : par des résultats
 Vérifiable : testable
Le choix de l’approche :
L’approche : C’est la Méthode qui permet
de cerner progressivement l'objet de la
recherche.
• Résolution de difficultés imprévues ;
• Vérification des procédures ;
• Contrôle du manuscrit, de la
pertinence des propos et des
illustrations
Etape 2 : la recherche documentaire :
Avant le lancement dans l’étude empirique.

Permet de collecter des données

informatives.

Définition :

Ensemble des étapes  de chercher,

identifier et trouver des documents relatifs
à un sujet.

Les étapes de la recherche documentaire :

La relation avec l’encadrant :

L’encadrant non un handicap, mais aide

 faciliter la tâche.

Les avantages d’un encadrement :

• Compétence
• Conseils de fond, de méthode et de
forme
• Participation à l’application de tests
• Fourniture de sources de
documentation, d’adresses utiles ; Constat :
• Orientations ;
• Evolution des NTIC
• Appui dans le cadre des démarches
• Infobésité
(lettre, coup de téléphone ..)
• Nécessité de recherche documentaire.
• Discussions, bilans...
Finalité :
• Analyses critiques constructives ;
Faciliter la production d’un travail Les corpus de textes
universitaire alliant richesse documentaire Les ressources web
et rigueur scientifique.
Chercher et localiser les documents :
La recherche documentaire s’articule
Interroger les différentes sources
autour de 6 étapes successives :
sélectionnées au moyen d’équations de
1) Définir les besoins recherche, enregistrer les résultats
2) Préparation de la recherche pertinents des requêtes et procurer la doc
3) Sélection des sources primaire.
4) Chercher et localiser les
Doc primaire : info originale, le doc
documents
lui-même.
5) Evaluer la qualité et la pertinence
Doc secondaire : signalétique et
des sources
analytique de la doc secondaire.
6) Veille documentaire
Ex : bibliographie, catalogues, index…
Les types de documents :
Notions de bruit et de silence :
• Les dictionnaires et encyclopédies
• Livres ou monographies dont : Silence : ensemble des documents
pertinents non affichés lors d’une
Les manuels, les mementos, les précis,
recherche documentaire.
les actes colloques ;
Bruit : ensemble de documents non
• Les périodiques généralistes ou
pertinents trouvés en réponse à une
spécialisés
question, lors d’une recherche
• Thèses, mémoires, rapports de
d’information.
recherche
• Documents spécifiques
• La documentation officielle Les techniques de recherche :

Types de ressources : Recherche précise

Les catalogues de bibliothèques Recherche très large

pluridisciplinaires. Recherche orientée

Les bases de données Evaluer la qualité et la pertinence des

bibliographiques sources :
Les bases de données factuelles
En fonction de la qualité et la pertinence.
Une exploration rapide peut suffire. Les moteurs de recherche
Les métamoteurs
Les éléments à analyser :
Les annuaires
Titre du document
Résumé
Table de matières a. Les moteurs de recherche :
Tableaux graphiques
Avantages :
Nature du document
Introduction et conclusion Grande masse d’informations
Informations rapides et précises
Mettre en place une veille documentaire :
Documents spécifiques
Il est recommandé de faire une VD Des sites récents
automatisée qui permet de : Des recherches complexes

Être alerté des nouvelles Inconvénients :

publications
Absence d’un contrôle
Recevoir des messages
Des résultats surprenants car
Profil de recherche : indexation automatique

L'utilisateur doit établir un profil de Tri par popularité des documents

recherche pour chaque outil sélectionné. Comment restreindre la recherche dans

Ce profil s'appuie généralement sur google :

l'enregistrement d'une équation de  Limiter au titre : INTITLE

recherche associée à des filtres qui en  Limiter la requête : INURL
précisent la portée et l'abonnement aux  Limiter à un domaine spécifique : site :
résultats de cette requête automatisée. www

Cette fonctionnalité, lorsqu'elle est b. Les métamoteurs :

disponible, requiert la création d'un Exemple : IXQUICK

compte utilisateur.
 Transforme la question en syntaxe de
chaque outil interrogé
 Élimine les doublons et donne les top
Internet : réservoir d’informations.
10
Les outils qui permettent d’y accéder : c. Les annuaires :
Un classement sélectif et raisonné de sites
selon le thème.
La fiabilité des informations sur internet :
Contraintes :
 Tout le monde peut publier
 Difficile de contrôler ce qui est
publié
 Informations peuvent être
modifiées
Des questions à se poser
Ressources en ligne de la bibliothèque :
Deux idées erronées sur le web :
 Tous les sites sont à accès gratuit
 L'objet de notre recherche se
trouvera sur le site lui-même.
Ressources électroniques :
Livres électroniques
 Safari, Numilog, Dictionnaire
Larousse
Bases en ligne web of knowledge
Revues électroniques
Une revue numérique:
Un type de publication périodique qui se
caractérise par son support de fabrication
et de lecture (le Web et un écran
d'ordinateur, à la place de l'imprimerie et
du papier)
Bases en ligne: WEB of knowledge:
Une base de données bibliographiques
(notices non liées au plein texte) – une
très grosse base américaine où la moindre
recherche ramène un grand nombre de
résultats.
Autres :
La recherche documentaire se différencie
de la recherche littéraire par le type des
documents qu’elle étudie :
 Les thèses ou mémoires d’autres
étudiants.
 Les périodiques spécialisés.
 Les documents statistiques,
graphiques.
 Les documents officiels.
Précision :
La recherche d’informations :
Objet : d’extraire un ensemble de
documents et d’informations voulues.
La recherche documentaire :
Objet : retrouver dans des fonds
documentaires les références des
documents pertinents.
Définition de la méthodologie
documentaire :
Savoir où et comment trouver l'information,
savoir poser les bonnes questions, quelle
information on a besoin, la lire, la
comprendre, la critiquer, évaluer si elle
répond à ses besoins et savoir la gérer.
 Où ? = Le sujet est-il circonscrit à une
zone géographique précise ?
 Comment ? = Quelles approches ou
points de vue faut-il considérer ?
(Historique, sociologique, économique,
politique, etc.)
 Pourquoi ? = Quelle est l'importance
du sujet dans le contexte actuel ?
iii. Formuler le sujet
 Une phrase courte
 Des concepts clés

Pourquoi la méthodologie documentaire ?  Une sélection de termes

Surabondance d'informations + les

processus de recherche  a mise en
application d'une méthodologie.

NB-Infobésité : Masse d'information facile

et rapide mais pas forcément fiable et
valide
Solution : délimiter le périmètre de
Etape 1 : préparer sa recherche : recherche.

i. Définir le sujet :
Connaissances préalables, intérêts
personnels, pertinence par rapport à
l'enseignement
 Guider notre choix.
ii. Cerner le sujet :
 Qui ? = Quels sont les acteurs, les Solution : Replacer le sujet dans un
personnes impliquées ? contexte plus large vous permettra
 Quoi ? = Quels sont les aspects qui d'aborder des aspects de la question
m'intéressent ? auxquels vous n'auriez pas pensé dans un
 Quand ? = Quelle est la période premier temps et ainsi d'élargir sa portée.
concernée ?
Etape 2 : Sélectionner les sources
d'information :
Identifier et de hiérarchiser les ressources
Les ressources bibliographiques :
 Les revues spécialisées,
 Les thèses de doctorat ou les
mémoires,
 Les brevets,
 Les données statistiques,
 Une infographie,
 Un document officiel (loi, décret,
règlement, marché public)
Les ressources issues d’internet
Des moteurs de recherche spécialisés :
 Google Scholar
(http://scholar.google.fr/) ➢ Google
Books (http://books.google.fr/)
 Economics Search Engine
(http://ese.rfe.org/)
 Theses.fr (http://www.theses.fr/)
 Isidore
(http://www.rechercheisidore.fr/)
Etape 3: chercher et localiser les
documents :
Les équations de recherche
Une formulation d'une question sous
forme de mots clés reliés par des termes
logiques
Etape 4: Evaluer les sources de
documentation
 La qualité :
• Crédibilité de l’information : l’auteur et
sa réputation
• Exactitude de l’information : vérifiabilité
de l’information
• Finalité de l’information : information
subjective ou objective.
• Fraîcheur de l’information : date de
publication.
La pertinence :  je me pose un
questionnement :
• Les informations collectées sont-elles
intéressantes dans le cadre de ma
recherche ?
• Me seront-elles utiles pour alimenter
mon argumentation ?
• Y a-t-il des citations ou exemples que
je pourrais mettre en avant ?
• Le niveau d’information correspond t-il
à mes attentes ? Est-il trop
élémentaire/spécialisé ? 1- L’approche qualitative :
• Les informations collectées me • Une recherche dont les
permettent-elles d’apporter réponses problématiques et les méthodes ont
aux questions posées ? été essentiellement développées par

Etape 5 : mettre en place une veille les Sciences Humaines.

• Informations non numériques
documentaire :
• Appréhender comportements des
• Elle permettra d'être alerté des
acteurs.
nouvelles publications
• Une démarche de recherche de sens.
• L'utilisateur reçoit des messages
• Le sens n’est pas « donné », il est «
provenant des divers outils
caché » : il s’agit d’une herméneutique.

Schéma :

L’approche : la Méthode qui permet de

cerner progressivement l'objet de la
recherche.

C’est la mise en évidence d'un ensemble

de méthodes rattachées ou non à des
disciplines déterminées et susceptible de
résoudre rapidement et efficacement le
plus grand nombre de problèmes de
Techniques de collecte de données :
l'entreprise.
Entretiens :
• Individuels (directifs, semi-structurés • Les études semi- quantitatives,
ou en profondeur). incluant des questions ouvertes.
• En groupe (semi-structurés) • Collecte centrée sur la quantification
de données.
Observations :
L’entretien semi-directif :
• Directes.
N’enferme pas le discours de l’interviewé
• Indirectes.
dans des questions prédéfinies, ou dans
L’entretien : un cadre fermé. Il lui laisse la possibilité

Une conversation avec un objectif, un de développer et d’orienter son propos.

dispositif de face-à-face où un enquêteur a Le rôle de l’interviewer consiste à effectuer

pour finalité de favoriser chez un enquêté les bonnes relances aux moments
la production d’un discours sur un thème opportuns afin de balayer tout le champ à
défini dans le cadre d’une recherche. explorer, sans pour autant influencer

Les formes d’un entretien varient selon : l’interviewé dans ses réponses ou lui
couper la parole.
• Le nombre de répondants
• L’explication ou non de l’objet de L’entretien non-directif :

l’étude (affiché ou masqué) L’interviewé n’est pas considèré comme

• L’objectif de la recherche un simple informateur, mais comme un
partenaire.

Il s’agit d’éviter les « réponses de surface

L’entretien individuel :
», et de chercher à dévoiler la complexité́,
Adaptés pour : le « vrai » sens.

• Processus individuels complexes. Le mode de la « conversation »

• Sujets confidentiels touchant à
L’entretien collectif :
l’intimité de l’individu ou encore tabous.
• Mettre en évidence des différences Taille du groupe : 4 à 8 personnes
individuelles Critères prédéterminés
Homogénéité à l ’intérieur du groupe
On en distingue 3 formes : directif, semi-
Possibilité de constituer les groupes
directif, non-directif :
par type de participants
L’entretien directif :
• Entretien en face à face
 Durée du groupe de discussion :
Jusqu‘ au moment où vous n’obtenez
plus de nouvelles informations
(saturation)
En moyenne 1h à 1h 30 mn
Unité de base est le groupe (par
critères)
Explorer les attitudes, perceptions,
impressions
Évaluer les concepts d ’un message à
élaborer, pré-tester des supports de
CCC
Identifier et définir des problèmes
Thèmes à discuter : décidés à l’avance
Le guide comporte une liste de
questions ouvertes
Discussions libres entre participants
Enregistrement si possible avec
magnétophone
Transcription sur papier/ordinateur
Nécessité d’un modérateur et d’un
rapporteur si possible
L’observation :
Un enquêteur se déguise en client
auprès d’un prestataire
Il se présente aux prestataires
avec des symptômes/besoins
précis
Après, Il note ses observations sur
une check-list portant sur son
interaction avec le prestataire
Sert à vérifier les données des
observations et entretiens avec les
clients
Peut dépister des problèmes
subtils
NB : le prestataire doit être informé de la
possibilité de recevoir sur une période
donnée un client mystérieux
2- L’approche quantitative :
Une investigation empirique systémique
des phénomènes observables par la
collecte de données numérique.
Techniques mathématique, statistique ou
informatique.
Un moyen pour généraliser des données
observées sur un échantillon.
But  obtenir des infos qui peuvent être
généralisées.
La rédaction des questions :
Une question fermée : les modalités de
réponse sont proposées au répondant.
Avantages :
Réponses aisées et rapides ;
Faciles à dépouiller
Résultats sont directement
quantifiables.
Inconvénients :
Difficile à formuler correctement ;
Moins grandes libertés de réponse.
Une question ouverte : les modalités de
réponse ne sont pas préétablies
Avantages :
Le recueil réel d’opinions et de
suggestions ;
Le libre choix de la réponse ;
Des réponses personnalisées
Inconvénients :
Demandent plus de temps à la
personne enquêtée ;
Le dépouillement est difficile, il
demande une analyse du contenu ;
Les résultats sont plus difficiles à
quantifier
Recommandations :
Vocabulaire facile, précis, éviter les
questions doubles.
Eviter la question qui induit à la
réponse
Eviter les questions longues
Demander un seul fait ou opinion par
question
Prévoir éventuellement une question
ouverte
Prévoir toujours :
 □ sans opinion et □ autre choix
 Lequel ?...................
Les types d’échelles de mesure :
 Échelle nominale : Permet seulement
l’identification
 Échelle ordinale : Mesure qui permet
à la fois l’identification et
l’ordonnancement,
 Echelle d’intervalles : Mesure qui
ajoute l’égalité des intervalles à
l’identification et l’ordonnancement
 Échelle de Likert : Les répondants
doivent indiquer leur niveau d’accord,
Les qualités d’une bonne échelle de
mesure :
3 dimensions majeures :
 Méthodologique ;
 En termes d’utilisation de l’échelle
sur le terrain ;
 En termes d’opérationnalité des
résultats issus de l’échelle
Le choix des modalités d’une échelle
de mesure :
Pour les répondants :
 Être compréhensible, simple.
 Être adapté aux différents types de
collecte
 Être éventuellement adaptée à un
recueil international.
Pour l’analyse :
 Être suffisamment sensible pour
permettre de mesurer les évolutions,
dans le temps
Pour la communication des résultats :
  Facile à expliquer et à traduire en
plan d’actions.
Organisation du questionnaire :
i. L’introduction du questionnaire
Titre/objet de l’enquête, nom d’organisme,
objectif, demander collaboration des
répondants et les informer sur les
dispositions en matière de confidentialité.
Importance du préambule :
 L’anxiété d’être évalué
 La simulation par la dissimulation de
l’objectif de l’enquête
ii. Le corps du questionnaire :
Les règles de confort à respecter sont les
suivantes :
 Regrouper les questions par
thèmes
 Un questionnaire comportant des
sections séparées, introduites par
un court texte
 Insérer des phrases de transition
entre thèmes
 Ne pas multiplier les questions «
filtres »
 Utiliser la technique de l’entonnoir
Importance du corps :
Influencer la qualité de tout le
questionnaire via son impact sur la
manière de répondre des enquêtés.
Ses effets de biais sont les suivants :
 Effets d’ordre
 Effets de répercussion
 Effets d’interaction
iii. Fiche signalétique :
Obtenir les données
sociodémographiques.
Objectifs :
 Utiliser une pondération pour
produire les estimations ;
 Apporter des nuances ou des
explications à certaines réponses ;
 Valider la représentativité de
l’échantillon ;
 Segmenter la population
iv. Conclusion :
Elle devrait contenir les éléments suivants :
 Une section de commentaires
permettant au répondant d’inscrire des
éléments qui ne figurent pas dans le
questionnaire ;
 Une invitation à poser les questions
souhaitées par le répondant ;
 Des remerciements
 Les explications sur la façon dont les
répondants peuvent avoir accès aux
résultats
Administration du questionnaire :
Le choix des répondants :
i. Les méthodes probabilistes :
L’Echantillonnage systématique : Repose
sur un taux de sondage égal à n/N ou
n=taille de l’échantillon et N= la taille de la
population, Le premier répondant est tiré
par hasard, le deuxième répondant est
répartition de la population d’études selon
les critères pertinents.
Les modes d’administration :
Face à face, téléphone, voie postale,

obtenu en ajoutant le taux de sondage au internet…

numéro du répondant précédant et le

processus se poursuit jusqu'à l’atteinte de
n.
3- L’approche mixte :
L’Echantillonnage par grappes : un
échantillon de sous-groupes de la Une meilleure compréhension des
population appelés grappes  raccourcir problèmes de recherche qu’aucune autre
les délais de l’enquête et à réduire le méthode unique.
budget alloué.
Les motivations des méthodes mixtes :
L’Echantillonnage stratifié : l’échantillon
est déterminé avec la répartition de la
population selon les critères pertinents qui
sont choisis parmi les variables qui
peuvent influencer les réponses.

ii. Les méthodes non probabilistes :

L’échantillonnage par itinéraire : repose

sur le même principe que l’échantillonnage
systématique sauf que le taille de la
population n’est pas reconnu alors le taux
de sondage est fixé au départ.

L’échantillonnage par jugement : repose

sur l’opinion des experts du secteur
d’activité.

L’échantillonnage par quotas : repose sur

le principe de retrouver sur l’échantillon la
 Entretiens individuelles approfondis, des
entretiens structurées et non structurées,
des groupes de discussion, des récits

 Type de données :

Des chiffres en forme de graphiques.

 Approches :
Classification des dimensions de la
méthode mixte : Caractère subjective comprendre le
comportement humain
Les méthodes mixtes sont généralement
classées selon trois dimensions : Approche quantitative :

La temporalité (simultané ou séquentiel),  But :

Le poids des méthodes (Statut Se concentre davantage dans les comptes

équivalent/dominant). et les classifications des caractéristiques

et la construction de modèles statistiques
La procédure de combinaison : (fusion,
et des figures pour expliquer ce qui est
intégration, connexion)
observé.
Les points de divergence entre
 Usage :
l’approche quantitative et qualitative :
La dernière partie du projet de recherche.
Approche qualitative :
 Instruments de collection des
 But : données :

Fournir une desription complète et Les questionnaires, les enquêtes,

détaillée mesures et autres équipements pour

Plus exploratoire. collecter des données numériques ou

mesurables.
 Usage :

Les premières phases de projets de

recherche.  Type de données :

 Instruments de collection des Des tableaux contenant des données sous

données : forme de chiffres et de statistiques.

 Approches :
une approche objective il ne cherche
qu'à des mesures précises et des
analyses de concepts cibles pour
répondre à sa demande.
La technique de l’enquête par le
3. Rédaction du questionnaire
1. Rédaction des questions
2. Mise en forme du questionnaire
3. Rédaction de l’introduction
4. Test du questionnaire

questionnaire (cours) 5. Présentation définitive du

questionnaire
Définition :
Les questions filtres
 Un outil méthodologique
Vous êtes-vous inscrite à un ou plusieurs
 Composé d’une série de questions
concours ? □ oui □ non
s’enchaînant de manière structurée
 Permet la collecte méthodique Les questions de fait :
d’informations dans le cadre d’une
Elles concernent des faits précis :
enquête, de façon directe ou par
l’intermédiaire d’un enquêteur  Fumez-vous ?

 Vise la vérification d’hypothèses  Combien de cigarettes fumez-vous par

théoriques jour ?

 Permet d’obtenir des renseignements

quantitatifs ou qualitatifs, précis et
exploitables, souvent présentés sous
forme de tableaux ou graphiques
 Présenté sous forme papier ou
électronique.
Les questions d’opinion:
Elles concernent les avis personnels, les
jugements : Pourquoi fumez-vous ?
□ par habitude □ par imitation □ par
ennui….

1. Définition de l’objet et l’objectif de La formulation des questions :

l’enquête
 La forme interrogative directe :
 Objet : problème étudié
Que pensez-vous de… Combien de …
 Objectif : hypothèse à vérifier
 La forme indirecte :
2. Délimitation de la population
Nommez… Citez… Classez ….
 Selon l’objectif
 Selon l’importance de la population  La forme affirmative :

 Selon les moyens disponibles

Vous avez obtenu le baccalauréat en _ _ _
_ Vous êtes demandeur d’emploi
Ce qui est à éviter :
 Les questions interro - négatives :
 Les questions qui induisent les
réponses :
 Les questions qui risquent d’entraîner
des réactions de rejet ou de gêne :
Lors des élections présidentielles, pour quel
candidat allez-vous voter ?
 Ou des réactions de conformisme :
Le problème de l’insécurité est-il un
phénomène important aujourd’hui ?
La mise en forme du questionnaire
 Regrouper les questions de même
type
 Eventuellement, mettre un titre à ces
rubriques
 Séparer les rubriques par un trait ou
un espace
 Placer au début les questions
d’identification
 Placer les questions difficiles ou
délicates entre des questions simples,
ou les placer à la fin
 Limiter le nombre de questions afin de
ne pas décourager la personne
enquêtée : 25 à 30 questions au
maximum.
Rédaction de l’introduction : (Règle du
CROIRE)
 Emetteur : organisme à l’origine de
l’enquête
 Objet de l’enquête et utilisation des
réponses
 Incitation à répondre
 Confidentialité : garantir l’anonymat si
c’est le cas, ou accès aux infirmations
si le traitement est automatisé
 Retour des questionnaires : délais à
respecter, mode et lieu de retour
 Remerciements
Test du questionnaire
Le test doit permettre les vérifications
suivantes :
 Termes compréhensibles, sans
équivoque
 Longueur correcte
 Ordre logique des questions
 Textes et consignes compréhensibles
 Mise en forme adaptée
 Questionnaire conforme à l’objectif
recherché
Présentation définitive
 Facile à lire
 Facile à remplir
 Facile à dépouiller

La collecte des données par
l’expérimentation :
La recherche correctionnelle vs
expérimentale :
Les relations causales :
• Variation concomitante de X et Y : une
variation simultanée.
• Ordre temporel d’occurrence : X
précède Y.
• Absence de toute autre cause : toutes
les autres variables maintenues
constantes.
Les critères de choix d’une méthode :
 Type de recherche :
descriptive/causale.
 La variabilité naturelle
 Facilité de manipulation des variables
explicatives
 Les coûts de chaque méthode
L’expérimentation :
Les caractéristiques :
 La manipulation d'une ou plusieurs
variables explicatives
 Le contrôle des variables externes qui
peuvent influencer la ou les variables à
expliquer
 La mesure ou observation rigoureuse
d'une ou plusieurs variables à
expliquer
Validité interne :
Savoir s’il y a une relation causale entre
les variables. Est-ce que les variables
explicatives sont bien à l'origine des
variations de la variable à expliquer ?
Le choix des variables explicatives :
Il doit être fondé sur la théorie, sur la
question de recherche investiguée et sur
les possibilités de manipulations des
variables explicatives.
Il faut au moins manipuler une variable
explicative
La manipulation des variables explicatives
Les variables explicatives sont, dans la
plupart des cas, des variables nominales à
deux modalités ou plus.
Ce type de manipulation n'exige pas la ne sont pas liées aux variables
réalisation de pré-tests ou de vérification explicatives.
des manipulations pour s'assurer de la
Le contrôle des variables externes est
différence des niveaux des modalités de la
important pour assurer la validité interne
variable explicative
de l'expérimentation.
Les méthodes de vérification
Les approches pour contrôler les variables
 Vérification des manipulations ça externes
consiste à poser des questions sur les
a) Maintenir la variable externe constante
manipulations.
pour tous les sujets parmi toutes les
 Prétest consiste à réaliser une étude
conditions
préliminaire qui a pour unique but de
b) L'affectation aléatoire des sujets aux
tester les manipulations
conditions expérimentales
Les questions sur les manipulations ont c) Inclure la variable externe comme un
pour objectif de vérifier l'existence d'une facteur dans l'expérimentation
vraie différence entre les modalités de la
Les trois approches  diminuer l'influence
variable explicative
de ces facteurs externes.
Le choix de la variable à expliquer :
Biais affectant la validité interne :
Privilégier celle qui présente une
Effet de test :
sensibilité élevée à la manipulation et
facilité de mesure. Lorsqu'on utilise les mêmes sujets pour le
pré-test et pour l'expérimentation, la
La sensibilité de la variable à expliquer est
familiarité avec la situation de test peut
importante car l'objectif est de vérifier
influencer la variable à expliquer.
l'existence d'une relation de causalité.
Effet d'instrumentation
Il est possible de manipuler plusieurs
variables explicatives à la fois et de Pour diminuer l'effet de l'instrument, les

mesurer plusieurs variables à expliquer questionnaires doivent être

systématiquement testés auprès des
Le contrôle des variables externes :
sujets représentant la population cible
Les variables externes sont des sources
Effet de régression statistique
de variation de la variable à expliquer qui
Lorsqu’il y a des différences initiales trop  SUJET COOPERATIF : “BON”
importantes entre les groupes. SUJET
 SUJET NEGATIF OU
Effet de contamination
CONTRADICTOIR
Lorsque les participants discutent entre  SUJET ANXIEUX
eux du sujet et de l'objectif d'une  SUJET NAIF OU LOYAL
expérience
Procédures pour augmenter la validité
Effet de sélection d'une expérience

La meilleure façon de prévenir l'effet de  EXPERIENCE EN AVEUGLE

sélection est l'affectation aléatoire des  EXPERIENCE CACHE
sujets aux groupes.  EXPERIENCE EN DOUBLE

Validité externe AVEUGLE

 SEANCE DE DISCUSSION
Concerne le degré de généralisation des
FINALE
résultats à d'autres contextes. Pour
évaluer le degré de généralisation des Types d’expériences :

résultats d'une expérience, le chercheur  EXPERIENCE EN LABORATOIRE

doit s'intéresser à l'interaction des  EXPERIENCE SUR TERRAIN
traitements expérimentaux avec d'autres
Les différents plans d'expérience :
facteurs.
Les plans d'expérience peuvent être
L’INTERACTION DES TRAITEMENTS :
classés en deux groupes :
 Entre le test et le traitement
 Entre la sélection et le traitement
 Entre le cadre de l'expérience et le
traitement
 Entre l'histoire et le traitement

Biais affectant la validité externe : Peu d'intérêt à utiliser un plan

expérimental classique car l'intérêt d'une
 Les attentes du chercheur : Effet
expérience réside très souvent dans
d’attente du chercheur
l'interaction entre deux ou plusieurs
 Les caractéristiques ou les artefacts
facteurs.
du questionnement : Types de sujets
Les plans pré-expérimentaux :
Il n'y a pas de groupe de contrôle “pas de Observer consiste avant tout à « voir » ce
groupe de comparaison” et/ou pour que des personnes, des objets ou des
lesquels les groupes expérimentaux ne phénomènes sont et/ou font.
sont pas formés aléatoirement.
Observer consiste ainsi à collecter les
Les plans quasi expérimentaux : paroles les sons, par l’entente de ce qui
peut être dit par les personnes observées
Comme les plans prés expérimentaux,
toutefois, dans ces plans, le chercheur va
essayer de contrôler les variables
L'observation comme exercice d'attention
externes en utilisant par exemple plusieurs
vigilante
mesures de la variable à expliquer, à
intervalles réguliers Elle est une activité située, c'est- à-dire
influencée par le contexte dans lequel elle
Plan factoriel :
se déroule.
A partir du moment où le chercheur va
Observer consiste à porter attention aux
vouloir s’intéresser aux éventuelles
personnes, aux contexte physique,
interactions des variables qu’il manipule, il
organisationnelle et institutionnel.
va avoir recours à ce que l’on appelle un
plan factoriel. Il existe quatre types d’observations :

 Plan factoriel complet  L’observation participante

 Plan factoriel à blocs aléatoires  L’observation non participante

 Plan factoriel fractionné  L’observation structuré (ou

 Plan factoriel avec covariant systématique)

 Plan factoriel à effets aléatoires  L’observation non structurée

La collecte des données par Pourquoi observer ?

l’observation • Pour tester des hypothèses de

recherche
Qu’est-ce que l’observation ?
• Produire de nouvelles hypothèses :
C’est une expérience d'accumulation et de
• Enrichir la collecte de données
recueil d'informations sur un phénomène,
primaires
un objet d'étude.
• Aller au-delà des entretiens

L'observation comme technique : voir et • Eviter les biais de reconstruction a

entendre. posteriori : en temps réel

• Ecrire et comprendre ce qui est mal
connu
Comment observer : modalités
concrètes
‘’recherche de terrain’’ ou ‘’ recherche-
action’’
Les six étapes selon Frédéric Wacheux:
1. La négociation de la recherche ;
2. L’entrée sur le terrain ;
3. L’observation à proprement parler ;
4. La terminaison de l’observation ;
5. L’analyse des données ;
6. Le retour au terrain.
Construire des dispositifs
d'observation :
Les dispositifs semblent à des outils mis
en place par le chercheur afin d’accomplir
l’observation.
La table ronde est un outil d’entretien
collectif qui vise l’élaboration d’une
politique organisationnelle ou stratégique.
LES AVANTAGES DE LA TABLE
RONDE :
 Elle permet l'expression des
interprétations ;
 Elle fait ressortir les convergences
et/ou les divergences ;
 Elle permet de gagner beaucoup de
temps
 Elle confère une position et un statut
au chercheur.
La grille d’observation :
Une grille d'observation est un système de
catégories qui intervient à la fois pour le
codage des comportements observés et
l'analyse de données qualitatives
Outiller d’observation
 La prise de notes
 Les enregistrements audios et
vidéos
Collecter les données par l’enquête
L’entretien :
une des méthodes qualitatives les plus
utilisées en sciences de gestion. Une
conversation avec un objectif, un dispositif
de face-à-face.
Les formes d’entretiens varient selon :
1. Le nombre de répondant en interaction
avec l’enquêteur,
2. L’explication ou non de l’objet de
l’étude (affiché vs masqué),
3. L’objectif de la recherche
(appréhension de représentations,
freins et motivations, analyse du
processus, créativité, évaluation de
stimuli, etc.
L’entretien individuel
Les entretiens individuels sont bien
adaptés :
 Pour l’exploration de processus
individuels complexes
 Pour des sujets confidentiels, touchant
à l’intimité de l’individu ou encore
tabous
 Pour mettre en évidence des
différences individuelles.
On distingue 3 formes :
 Directif
 Semi-directif
 Non directif
L’entretien du groupe
L’entretien de groupe consiste à réunir,
autour d’un animateur, un ensemble de
personnes pour les amener à interagir, et
permet d’analyser les processus
d’interrelations en action.
L’utilisation des entretiens de groupe est
recommandée pour :
• Explorer des sujets/phénomènes
assez vastes tels que l’attitude et les
comportements d’un groupe face à un
objet d’étude
• Tenir compte du contexte social
comme dans la décision d’achat
familial, la circulation de l’information
et son utilisation dans un groupe
• Etudier l’influence, sur les perceptions,
attitudes, comportements de groupes
Tableau (voir cours)
Complémentarité possible des formes
d’entretiens :
 Entretiens individuels non directifs puis
semidirectifs
 Entretiens individuels semi-directifs
puis de groupe
 Entretiens de groupe puis individuels
semi-directifs
Les techniques projectives
Les techniques projectives sont des
épreuves psychométriques visant à pallier
les insuffisances des techniques directes
de collecte de données dans l’exploration
des motivations profondes d’un individu,
de sa personnalité, de ses valeurs,
attitudes, intentions, normes de jugement
et de conduite, etc. Et s’attachent à
contourner le matériau conscient de
l’individu pour dévoiler des raisons moins
conscientes mais plus révélatrices des
véritables motifs de ses comportements.
Les techniques projectives ne constituent
pas une méthode de recherche à part
entière mais plutôt une technique
particulière dans la façon de formuler et de
présenter les questions aux répondants.
Elles sont le plus souvent insérées dans
un guide d’entretien.
Les écrans psychologiques :
 Ecran de la conscience :
L’individu n’est pas toujours conscient de
ses motivations profondes, et ne peut
donc toutes les exprimer
 Ecran de l’irrationalité :
L’individu tend à trouver ses explications à
ses comportements, quitte à les inventer
 Ecran de tolérance :
L’individu qui culpabilise car son
comportement n’est pas toujours conforme
aux attentes de son entourage.
 Ecran de politesse :
L’individu a intégré des normes et des
valeurs sociales qui lui font exprimer des
pensées socialement acceptables
Principes communs aux techniques
projectives :
Le chercheur collecte des réponses, aussi
spontanées que possible, soit sous forme
verbale (écrite ou orale), soit sous forme
picturale (dessin ou collage).
La forme picturale est rare dans les
recherches en sciences de gestion en
raison de la difficulté de la mise en place
et de l’interprétation de ces données, mais
est efficace quand les répondants ont du
mal à s’exprimer par les mots.
Une variété de techniques projectives
Malhotra & Birks (2006) ont distingué
quatre groupes de techniques selon la
tâche demandée au répondant.
Associer :
Les techniques consistent à présenter un
stimulus (visuel, verbal, ou sonore) à un
individu ou groupe, et à demander de citer
tous les noms et images qui viennent
spontanément à l’esprit. La forme la plus
répandue est l’association de mots, qui
peut être libre ou guidée.
Compléter :
Le répondant est invité à compléter,
spontanément et dans un temps limité,
une phrase ou un paragraphe. Dans une
version plus élaborée, on peut l’inviter à fait penser, puis ensuite d’expliciter ses
raconter la fin d’une histoire ou à imaginer réponses.
ce qui se passerait ou ce qu’il ferait dans
Avantages et inconvénients des
le cadre du scénario soumis.
techniques projectives
Construire :

Ces techniques s’apparentent aux

précédentes puisque les répondants
doivent imaginer la fin d’une histoire, d’un
dialogue, ou d’une situation décrite.

Les stimuli proposés sont moins

structurés : il s’agit le plus souvent
d’images, de dessins, ou de bandes
dessinées.

S’exprimer :

Ces techniques reposent sur le fait de

présenter au répondant une situation sous
forme verbale ou visuelle, et lui demander
d’exprimer sous forme verbale ou non
verbale, les pensées, attitudes et
sentiments que pourrait avoir une autre
personne, et non pas lui-même.

Recourir aux analogies :

Limites de l’utilisation des techniques
L’analogie est le rapport qui établit une
projectives :
certaine similitude entre deux éléments.
Les techniques qui sont complexes à
La technique la plus connue est celle du
mettre en œuvre doivent être réservés à
portrait chinois, où on demande d’abord
des cas particuliers
au répondant à quel animal, plante, ville,
pays, continent, couleur, matière, air de Le questionnaire :
musique, etc.. l’objet de la recherche lui
Voir tableau des avantages et
inconvénients des questions ouvertes et
fermées.
Le biais de formulation des questions
• Familiariser le vocabulaire employé
pour les répondants
• Un vocabulaire précis
• Eviter les questions « doubles » qui
peuvent causer une incapacité à
répondre
• Les questions ne devraient pas
induire la réponse
• La longueur des questions peut
affecter la qualité des réponses
La formulation des modalités de réponse
Elles permettent d’attribuer un chiffre à
une caractéristique propre à un répondant,
mais aussi attitude ou opinion. Ces
chiffres permettent l’analyse statistique
des réponses. C’est grâce aux « échelles
», que les répondants peuvent exprimer
leurs opinions.
Les types d’échelles de mesures
Echelles nominales
Echelles ordinales
Echelles d’intervalle
Echelle de Likert
Echelle d’Osgood
Les qualités d’une « bonne » échelle de
mesure :
Dimensions méthodologiques (fiabilité,
validité, sensibilité)
En termes d’utilisation de l’échelle sur le
terrain (adaptabilité au mode de recueil
choisi, facilité et simplicité de
compréhension, et de traitement de
données)
En termes d’opérationnalité des résultats
issus de l’échelle (communication et
opérationnalité des informations fournies)
(Voir tableau cours)
L’organisation du questionnaire :
Un questionnaire se compose
généralement :
• Préambule (introduction)
• Corps (ensemble de questions
articulées sous forme de thèmes)
• Fiche signalétique
• Conclusion (remerciement)
Biais à circonscrire au moment du
discours introductif
• Biais d’anxiété
• Dissimulation de l’objectif de l’enquête
• Les effets d’ordre
• Les effets de répercussion
• Les effets d’interaction
Le choix des répondants
Deux catégories de méthodes :
Les méthodes probabilistes
Échantillonnage aléatoire simple : la
sélection sur une table de nombres tirés
au hasard. A chaque nombre correspond
un répondant.
Échantillonnage par grappes : La première
étape consiste à diviser la ville en
quartiers, la deuxième étape consiste à
sélectionner un certain nombre de
quartiers par tirage aléatoire simple, la
troisième étape consiste à interroger des
familles résidant dans les quartiers
retenus. Cette méthode vise
principalement à raccourcir les délais
d'enquête et à réduire les budgets alloués.
Échantillonnage stratifié : l’objectif est de
retrouver sur l'échantillon la répartition de
la population d'étude selon le ou les
critères jugés pertinents. Les critères sont
choisis parmi les variables qui peuvent
influencer les réponses. Dans un premier
temps, la population d'étude doit être
décrite en fonction du ou des critères
retenus.
Plusieurs sous-groupes sont ainsi
identifiés et qualifiés statistiquement. Dans
un deuxième temps, les effectifs attendus
sur l'échantillon pour chaque sous-groupe
sont calculés. Dans un troisième temps,
l'échantillon doit être composé.
Les méthodes d'échantillonnage non
probabilistes
L'échantillonnage par convenance n'est
utilisé que si aucune des autres méthodes
disponibles n'est envisageable. Il s'agit
alors simplement d'interroger les
répondants qui sont accessibles, ou de
retenir ceux qui ont accepté de répondre.
Il est justifié si le délai d'enquête est très
court, si le budget est très faible, et si
l'identification des répondants composant
la population d'étude est difficile.
L'échantillonnage par itinéraire repose sur
le même principe que l'échantillonnage
systématique. En revanche, du fait de
l'absence d'une connaissance précise de
la taille de la population, aucun taux de
sondage ne peut être calculé. Il est donc
fixé au départ.
L'échantillonnage par jugement repose sur
l'opinion d'un ou plusieurs experts du
secteur d'activités. Leur opinion permettra
d'identifier les répondants qui représentent
le mieux la population d'étude.
Le choix du mode de recueil :
• En face à face,
• Par téléphone,
• Par voie postale,
• Par internet.
L'enquête en ligne permet de développer
une présentation graphiquement soignée
et interactive, garantit l'anonymat des
répondants, tandis que l'enquête par mail
permet au chercheur de mieux contrôler
qui est destinataire du questionnaire.
Les types de plagiat :

Plagiat direct :

Le plagiat direct est l’un des pires types de

plagiat. Il en résulte souvent une expulsion,
s’il y a violation du droit d’auteur,

Les étapes : d’éventuelles poursuites judiciaires.

Achat du travail d’autrui

Ce type de plagiat est explicite. Si vous

payez quelqu’un pour écrire un mémoire,
une thèse ou une dissertation pour vous,
c’est du plagiat

Auto-plagiat

L’auto-plagiat est plus difficile à

Les compétences nécessaires à la
comprendre et est souvent involontaire.
réussite du mémoire
• Il existe deux versions différentes de
• Capacité à piloter un projet
l’auto-plagiat, la version la plus
• Capacité à faire progresser le champ
commune étant le fait d’utiliser un
des savoirs
document que vous avez déjà remis
• Capacité à mobiliser des
pour un autre cours.
connaissances acquises lors de votre
• Cela peut également se produire
formation pour éclairer un problème de
lorsque vous utilisez des idées ou des
terrain
expressions tirées de vos documents
• Capacité à utiliser les ressources
ou de vos devoirs précédents
disponibles
Paraphraser sans citer la source
• Capacité à construire un cheminement
intellectuel pertinent et cohérent Copier-Coller
• Capacité à communiquer par l’écrit et
Conséquences du plagiat
l’oral
• Impact négatif sur la réputation des
étudiants.
• Impact négatif sur la réputation
professionnelle
• Conséquences juridiques
• Pénalités pécuniaires
• Effet néfaste sur la réputation
universitaire.
Eviter le plagiat :
• Garder une trace des sources
• Paraphraser ou faire une citation citant
vos sources
• Créditer l’auteur original dans le texte
et la bibliographie
• Utiliser un détecteur de plagiat pour les
étudiants avant de rendre votre travail.
Article L122-4 du code de la propriété
intellectuelle.
Définition :
Le rapport de stage est un document
élaboré qui rapporte les activités et les
différentes tâches de l’étudiant au sein
d’une entreprise ou d’une institution
En parallèle il met en exergue le secteur
d’activité, par le biais de la présentation de
la structure d’accueil ainsi que de la
contribution de l’étudiant dans un cadre
professionnel.
LE FOND :
AVANT-PROPOS :
Un avant-propos dans un rapport de stage
d’initiation a pour principale fonction de
donner des informations sur l’objectif du
rapport de stage et sur les motivations de
l’étudiant. Il peut aussi mentionner
l’ensemble des difficultés rencontrées.
Ce dernier ne doit pas dépasser une page
d’A4.
Un bon avant-propos doit absolument
contenir les éléments suivants :
(présentation du sujet et du type de
document, explication des raisons ou
motivations à étudier ce sujet, le but du
travail présenté et finalement les difficultés
rencontrées).
REMERCIEMENTS :
Cette page est personnelle et obligatoire,
permettant de remercier et de rendre
hommage à toute personne qui a
contribué de loin ou de près à mener à
bien son stage en lui fournissant la
documentation nécessaire.
Il est à signaler que les remerciements ne
doivent pas dépasser une dizaine de
lignes au maximum.
INTRODUCTION
L’introduction générale est fondamentale,
du fait qu’elle présente la structure et le
contenu du rapport de stage et permet au
correcteur d’avoir une première idée voire
impression sur le contenu du rapport, d’où
l’importance de la soigner.
SOMMAIRE
Le sommaire ou table des matières
permet au lecteur d’avoir une vue si
globale sur le plan du rapport de stage et
surtout de retrouver l’endroit où se localise
un élément recherché par le lecteur par la
pagination.
Il est essentiel dans un sommaire
d’apparaître l’ensemble des parties et les
sous-parties, ce qui donc permet de
naviguer à l'intérieur du rapport de stage
et de revenir sur une partie facilement si
besoin
UNE ANALYSE DE LA MISSION
EFFECTUÉE :
Les objectifs de la mission (c’est un travail
de temps à une date donnée, connaître
son rythme de travail)
Les moyens mis en œuvre (explication
raisonnée du choix de la méthodologie de
travail, aspects technique et
organisationnels, recherches préalables et
réflexions)
Les difficultés rencontrées.
Les résultats (gain de clients, baisse des
réclamations, nouvelle procédure adoptée
quantifier les résultats)
UNE RÉFLEXION PERSONNELLE :
Recul et regard critique sur le stage :
Apports techniques : découverte d’un
secteur d’activités, d’un métier, d’une
fonction (avec ses spécialités et ses
technique, son environnement, ses
partenaires), l’évolution du projet
professionnel découlant de ces constats.
Voir si cela nous apporte quelque chose/
si cela nous intéresserait de travailler dans
ce domaine.
Apports méthodologiques : apprentissage
de méthode de travail, d’organisation,
gestion des imprévus, conduite de projets,
les forces et les faiblesses constatées
suite au stage (appréciation sur mon
comportement, mes méthodes de travail.
LA CONCLUSION GENERALE DU
RAPPORT :
La conclusion générale du rapport de
stage est la dernière chose qui reste dans
l'esprit du correcteur. Il faut donc la rédiger
avec soin, et ne surtout pas la bâcler. Elle
permet au stagiaire de résumer les points
importants du rapport, préciser ses
perspectives et conclure sur la réussite ou
l'échec de son stage, ainsi que de faire le
point sur les apports du stage à son projet exemples concrets de ce dont on a
professionnel. évoqué.

BIBLIOGRAPHIE : LA FORME :

LA MISE EN PAGE :
Cette partie comprend les différents livres,
articles, revues et sites internet qui ont • Marges :2 cm (haut), 3 cm (bas), 2,5
servi à la documentation. Cette dernière cm (gauche) et 2,5 cm (droite).
constitue une rubrique obligatoire dans un • Police : Arial, Calibri ou Times New
rapport de stage que ce soit d’initiation ou Roman.
d’application. • Taille de la police : 11 ou 12 pour le
corps, 14 ou 16 pour les titres.
BIBLIOGRAPHIE [OBLIGATOIRE] :
• Alignement : justifié.
L’ordre de ces références de recherche
• Interligne : 1,5.
peut se faire de la façon suivante : -
• Indentation : première ligne (facultatif).
NOM_AUTEUR, Prénom. « Titre de
• L’en-tête de page : contient le titre du
l’ouvrage », lieu de publication, nom de
chapitre courant (à gauche)
l’éditeur, année de publication, nombre de
• Le pied de page contient : Le numéro
tomes, nombre de pages.
de page (à droite) - Le type de stage
NÉOGRAPHIE :
LA COUVERTURE DU RAPPORT :
Sites Web visités lors de l’élaboration du
La couverture du rapport de stage est un
projet, avec une brève description du
élément essentiel voire important de la
thème consulté (une ou deux lignes au
mise en page du rapport de stage. Elle
maximum).
doit donc contenir des informations ayant
ANNEXES : pour but d’identifier le stagiaire et son
encadrant académique, ainsi que le sujet
L’annexe présente un complément de
et la date du document.
documents qui ne sont pas indispensables
à la compréhension du projet, mais qui LA PAGE DE GARDE DU RAPPORT DE
présentent un certain intérêt. Du fait STAGE :
qu’elle sert à illustrer les missions
• Nom et prénom du stagiaire ;
réalisées pendant la période du stage, et
• Nom et prénom de votre enseignant
de donner plus de crédibilité au rapport du
référent ;
stage en mettant en exergue des
• L’intitulé de votre poste ;
• La mention “Rapport de stage” ;
• Les noms et logo de votre
établissement scolaire (école,
université…) ;
• Les noms et logo de l’entreprise
d’accueil ;
• Les noms et prénom de votre maître
de stage ;
• Les dates du stage ;
DIVERSES RECOMMANDATIONS :
• Le temps à employer au niveau du
rapport est le présent,
• Il est préférable d’utiliser l’impersonnel,
sinon, le pronom personne »
• Nous » même si le stage est effectué
par un seul étudiant.
• Tous les chapitres doivent
impérativement être équilibrés dans la
mesure où le nombre de pages devrait
être, approximativement aussi, le
même.
• Chaque chapitre doit contenir une
brève introduction et conclusion.
• Le rapport de stage d’initiation ne doit
pas dépasser au maximum 25 pages
au format A4.
• Garder les styles de même niveau
dans la totalité du rapport
• Vérifier votre orthographe, plutôt deux
fois qu’une afin d’éviter tout types de
fautes.
• Ne pas utiliser la pagination sur la
page de couverture et la page de
garde ;
RAPPORT DE STAGE D’APPLICATION
Le rapport d’approfondissement de stage
est le résumé des résultats stage d’un
opérationnel dont l’objectif est de mettre
en pratique dans l’entreprise les
connaissances acquises pendant la
formation. Le stagiaire devient acteur et
développe son employabilité. Il se
familiarise avec le monde du travail. Il
participe à la production des biens ou
services pour le marché.
CONTENU DU RAPPORT DE STAGE
D'APPROFONDISSEMENT
Observer, approfondir, comprendre,
trouver des analyser, solutions, expliciter :
c’est l’objectif du rapport de stage. Il s'agit
en effet de rendre compte de votre activité
avec un recul critique par rapport aux
missions quotidiennes dans l’entreprise.
La problématique :
C’est plutôt un questionnement que
l’étudiant est amené à lui présenter des
solutions pratiques à travers sa formation
universitaire et aussi l’expérience qu’il a
eu en entreprise.
RÈGLES DE MISE EN PAGE DE LA
PAGE DE GARDE :
• Utiliser la même police de caractères
que dans le reste du texte du rapport
de stage.
• Utiliser les mêmes styles pour les titres.
• Conserver le même ton de couleurs.
• Les logos doivent avoir la même taille
• Ne pas numéroter la page de garde
LES ERREURS À ÉVITER
EVITEZ LE PLAGIAT
CONSEILS
• Planifier son travail pour éviter en fin
du stage de manquer de temps et de
procéder par des plagiats.
• Citer la source et même la source de
tous les types de documents utilisés
• Demander l’aide d’un proche ou d’un
ami plus connaissant dans la matière
pour s’en charger.
AVOIR UNESTRUCTURE QUI MANQUE
DE RIGUEUR
Evitez la récitation chronologique du
déroulement du stage.
CONSEILS :
Avoir un œil critique sur votre expérience,
vos missions, voire sur les processus de
l'entreprise, ou son organisation.
Construire des phrases simples et
concises,
Utiliser des illustrations, des graphiques

(image, graphique, statistique…) Structurer une argumentation pertinente et

• Encadrer les apports textuels en ordonnée
guillemets et mentionner votre source
EVITEZ LES INTRODUCTIONS
d’information ensuite.
GÉNÉRALES ET STANDARDS.
LES FAUTES DESYNTAXE
L’introduction doit jouer son rôle d’attirer le
ETD'ORTHOGRAPHE
lecteur à votre problématique.
Donner l’impression d’un manque
CONSEILS
d’investissement et de concentration lors
de la rédaction du rapport de stage. Rédiger une introduction spécifique et
attractive et contient les éléments
CONSEILS
suivants :
• La relecture par vous-même
• Accroche avec un fait marquant, une
• La relecture du rapport par l’un de
statistique afin d’accrocher l’attention
vos amis peut apporter un regard
du lecteur
plus critique.
• Votre plan de formation ou de carrière
• Les motivations qui vous ont poussé à Une référence complète comprend deux
choisir ce stage éléments :
• La problématique traitée
• Une citation dans le texte et une
Autres : référence bibliographique complète.
• Les citations dans le texte devraient
• Style : phrases courtes et simples.
être introduites avec une phrase
• Mise en forme : utiliser une seule
d'introduction de sorte que votre
police de caractère des titres des
lecteur sache que vous utilisez l’idée
parties sont en gras et en gros
de quelqu'un d'autre. Ils prennent deux
caractères
formes : des références dans le texte
• Les titres des paragraphes/sous-
et des citations textuelles.
parties sont en gras en caractères
intermédiaires Types formels de bibliographies :
• Interligne : Une espace interligne de
• Bibliographie courante
1,5cm est recommandée
• Bibliographie sommaire
• Les signes « doubles » : comme les
• Bibliographie signalétique
deux points, des points virgules il faut
• Bibliographie analytique
laisser un espace avant et après.
• Bibliographie critique
• Les signes simples : comme le point
• Bibliographie rétrospective
et la virgule, nécessitent aucun
• Bibliographie primaire
espace.
• Bibliographie seconde
• Les guillemets et les parenthèses :
• Bibliographie tertiaire
parenthèses sont collées à ce
• Bibliographie systématique
qu'elles encadrent, alors que les
• Bibliographie thématique
guillemets nécessitent un des
• Bibliographie exhaustive
espaces.
• Bibliographie sélective
• L'apostrophe : doit être intégrée sans
• Bibliographie matérielle
aucun espace
Type de support :

• SUPPORT PAPIER
• SUPPORT AUDIOVISUEL
• SUPPORT ÉLECTRONIQUE
Types de références bibliographique
• DOCUMENTS INÉDITS
Eléments à respecter :
• Nom de l’auteur
• Titre
• Indication du support
• Mention d’édition
• Lieu de publication et éditeur
• Titre de publication en série
• Numérisation/pagination
• Identifiant international unique
• Disponibilité ou localisation
Où commence le processus de
référencement
La mal organisation, le désordre et la
perte dans la référence bibliographique est
le cauchemar de chaque étudiant et
chaque chercheur Cela convient donc de
noter que le remède au cauchemar à le
faite est de conserver toutes les notices
bibliographiques au fur et à mesure de la
recherche et de l'utilisation des
informations
Importance du référencement
bibliographique
• C'est une preuve que la recherche est
substantielle et basée sur des faits.
• Il montre le fondement théorique de la
recherche.
• Il justifie la fiabilité, la fiabilité et / ou la
crédibilité des résultats de la recherche
et conclusion.
• Il permet aux lecteurs intéressés de
suivre et de suivre les travaux cités
pour faire avancer connaissance.
• C'est le seul moyen valable d'éviter le
plagiat -une infraction scolaire qui
attire châtiments scolaires tels que
refus de grade, certificat, qualification
et autres peines similaires
Méthodes de référencement
Harvard :
Cette méthode est également connue
sous le nom de « méthode auteurdate ».
Elle est utilisée principalement dans les
sciences humaines
Cette méthode présente les
caractéristiques suivantes :
• Il faut citer le (s) nom (s) de l'auteur, la
date de publication et la page dans le
texte
• Si le nom de l’auteur fait partie de la
phrase, il faut mettre la date et la page
entre parenthèses.
• Les pages ne sont nécessaires que
dans les œuvres paginées.
• Utiliser une virgule pour séparer
l'auteur de la date mais utiliser deux
points pour séparer la date de la page
Nombres).
• Les citations de moins de 40 mots sont
intégrées dans une grammaire
 correcte phrase et devrait s'inscrire de page où requis) par exemple :
dans un paragraphe bien structuré. (Uzuegbu, 2012, p.5).
• Si la citation fait partie de la phrase, le
Les citations de moins de 40 mots sont
signe de ponctuation final suit le
intégrées, grammaticalement, dans la
crochet de fermeture de la citation qui
phrase, comme une paraphrase ou
l'accompagne.
comme une citation qui doit s'inscrire dans
• Les mots omis dans les citations sont
un cadre bien structuré paragraphe.
indiqués par des ellipses (...)
• Les citations de plus de 40 mots sont Si la citation fait partie de la phrase, le

placées dans un paragraphe en retrait signe de ponctuation final suit le crochet

sans guillemets de fermeture de la citation qui

l'accompagne.

Lorsqu'il y a six auteurs ou plus, utilisez le

Méthode APA nom de famille du premier auteur suivi de

Cette méthode est utilisée principalement « Et » pour la première citation du texte,

dans les facultés des sciences sociales et ainsi que les citations suivantes.

comportementales La lettre de conjonction « & » est utilisée

Cette méthode a pour règle générale les pour joindre les auteurs de la liste de

éléments suivants : Citer uniquement le référence requise mais «et » est utilisé

nom de l'auteur et la date de publication. dans le même but dans les citations dans

(Le (s) numéro (s) de page est le texte.

uniquement requis dans les citations La méthode de Vancouver

directes et les citations ultérieures pour les
La méthode de Vancouver est un type de
œuvres paginées.
méthode de référence numérique qui est
Pour les cas nécessitant l'insertion d'une
utilisée principalement dans médecine,
page, le numéro de page est écrit par
informatique et mathématiques
exemple comme « p.5» ou "pp.12-17".
Les points suivants sont communs avec le
Si le nom de l’auteur fait partie de la
Vancouver méthode :
phrase, Il ne faut pas mettre que la date
• Un numéro est attribué à une source
entre parenthèses.
lors de son premier renvoi.
Utiliser une virgule pour séparer l'auteur
de la date et de la page (pour le numéro
• Le numéro attribué apparaît dans le
texte en exposant ou entre crochets.
• Le numéro identifie la source
spécifique et est utilisé dans tout le
texte pour faire référence à la source
spécifique.
• Dans le cas où le chercheur mentionne
encore le nom des auteurs, le le
numéro est toujours utilisé.
• La référence complète aux sources est
placée à la fin de l'écriture dans une
liste qui est ordonné numériquement.
Cette liste est connue sous le nom de
liste de référence et contient
uniquement sources citées dans le
texte.
• Dans la liste de référence, aucune
ligne n'est en retrait, mais une ligne est
laissée ouverte entre les entrées.
• Contrairement aux méthodes Harvard
et APA, les titres des œuvres ne sont
pas en italique et l'année de
publication est placée à la fin de
chaque entrée.
• Les titres des revues sont abrégés
comme prescrit par Index Medicus. La
liste Index Medicus peut être
téléchargée à partir de
• http://www.nlm.nih.gov/pubs/libprog.ht
ml.
• Pour les ponctuations dans la liste de
référence, le nom et les initiales des
auteurs sont écrit sans aucune
ponctuation, par exemple Abiodun KE.
Les noms de deux ou plusieurs
auteurs sont simplement séparés par
une virgule et non par une esperluette.
• Une citation qui contient plusieurs
auteurs nécessitera également
l'attribution de plus d’un numéro en
conséquence.
La méthode MLA
Cette méthode de référencement est
prescrite par la Modern Language
Association. C'est utilisé principalement
dans les sciences humaines (linguistique
et matières littéraires).
Les éléments qui caractérisent cette
méthode sont :
• Le nom de l'auteur et les numéros de
page apparaissent entre parenthèses
dans le texte.
• La date est de moindre importance
dans cette méthode de référencement
et n'est pas indiquée dans le texte.
• Les titres des œuvres jouent un rôle
important et l'annonce doit être
indiquée dans le texte lorsque c'est
possible. Certains titres longs peuvent
être abrégés avec le signe des ellipses
(…).
• Toutes les citations dans le texte sont
complétées par une liste de travaux à
la fin du travail. La liste s'appelle «
Œuvres citées ».
• La liste des œuvres citées est classée
par ordre alphabétique selon les noms
de famille de l'auteur ou les titres des
sources.
• Dans la liste des «Œuvres citées», la
deuxième ligne et les suivantes sont
en retrait et une la ligne est laissée
ouverte entre les entrées.
• En méthode MLA, les noms des
auteurs sont écrits dans leur intégralité
dans le cité »et aucune initiale n’est
utilisée.

Comment connaître la méthode de

citation et de référence à utiliser

Le choix de la méthode adéquate d’un

travail de recherche repose sur le domaine
de recherche. Pour cela l'étudiant ou le
chercheur doit d’abord déterminer les
exigences de son département, de sa
faculté ou de son organisme professionnel