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L’ASPHYXIE

OBJECTIFS

L’OBJECTIF GENERAL

Acquérir des compétences dans la prise en charge de l’asphyxie

LES OBJECTIFS SPECIFIQUES

 Définir l’asphyxie
 Citer quelques causes de l’asphyxie
 Citer les symptômes d’une asphyxie par inhalation de gaz toxique, par obstruction
laryngée et par obstruction des voies respiratoires
 Citer quelques éléments de prise en charge d’une asphyxie

1. DEFINITION

L’asphyxie est l’arrêt plus ou moins long de la circulation de l’oxygène dans l’organisme.

2. CAUSES

o La strangulation ou étranglement
o La noyade
o La pendaison
o L’inhalation de gaz irrespirable
o La compression du thorax
o Le rétrécissement du pharynx
o L’alcool

3. SYMPTOMATOLOGIE

L’obstruction laryngée provoque une respiration difficile avec un temps respiratoire


prolongée et bruyant avec la partie inférieure du cou se creuse (un tirage)

En cas d’inhalation de gaz toxique les signes varient en fonction du gaz assoupissement
progressif avec monoxyde de Carbonne, toux d’irritation avec le chlore.

4. PRISE EN CHARGE

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Le traitement est en fonction de la cause toutefois il vise l’amélioration du transport


d’oxygène dans l’organisme.

 Restaurer la liberté des voies aériennes


 L’oxygénation d’urgence
 Désobstruction buccale en cas de fausse route (par exemple la manœuvre de
HEIMLCH qui consiste en une hyperpression sous diaphragmatique exercée de bas en
haut)
 L’assistance par le bouche à bouche pour rétablir les mouvements respiratoires
 Oxygénation au masque ou par intubation
 Référer vers un centre équipé

LES PIQURES D’INSECTES

1. L’objectif général

Acquérir des compétences dans la prise en charge des piqûres d’insectes.

2. Les objectifs spécifiques


 Citer les différents types d’insectes piqueurs dans nos régions
 Citer quelques symptômes d’une piqûre d’insecte
 Citer quelques conseils de prévention des piqûres d’insecte

I. GENERALITES

Les insectes secrétant des substances nocives pour les êtres humains sont assez nombreux
dans nos régions.

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Bien que la majorité des piqûres soient relativement bénignes, elles peuvent se révéler
dangereuses voire mortelles si elles sont multiples, si elles se produisent dans la bouche, dans
la gorge, ou au niveau des yeux, ou encore si le sujet piqué déclenche une réaction de type
allergique.

II. LES TYPES D’INSECTES PIQUEURS

Les fourmis, les guêpes, les moustiques, les puces, les punaises, les abeilles, les araignées.

III. SYMPTOMES

Douleur plus ou moins vive en fonction du type d’insecte et de la quantité de venin injectée.

La peau autour de la piqûre devient rouge et enflée.

Le sujet ressent des démangeaisons plus ou moins

IV. TRAITEMENT

En cas de piqûre unique dans une zone ne représentant……

 Appliquer de la glace ou une compresse d’eau froide, pour diminuer l’inflammation.


 Calmer la démangeaison avec une pâte de bicarbonate de soude ou de vin pur .

Si quelques minutes après la piqûre le sujet éprouve une sensation de malaise, des difficultés
respiratoires et il transpire abondamment, c’est qu’il fait une réaction anaphylactique c’est-à-
dire une réaction allergique grave eu venin.

- Donnez-lui immédiatement des antihistaminiques(chlore) ou des corticoïdes


- Evacuer la victime immédiatement vers un centre plus équipé (CMA)

Les réactions de type allergique au venin des insectes ne sont pas toutes aussi graves que
l’anaphylaxie (ces réactions peuvent se traduire par de l’urticaire, des œdèmes, des problèmes
de vue, des problèmes digestifs, etc….)

En cas de piqûres multiples ou de piqûre dans une zone à risque (les yeux, la bouche ou la
gorge) :

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-donnez-lui immédiatement des antihistaminiques ou des corticoïdes

-Evacuer le malade vers un centre plus équipé (CMA)

V. PREVENTION DES PIQURES

-Eviter de porter des couleurs éclatantes et des parfums ou des déodorants forts, car ils attirent
les insectes.

-Porter des manches longues, des pantalons, des chaussures et des chapeaux pour réduire la
surface de peau exposée.

-Utilisez des sprays insectif sur les parties de la peau exposée

-Utilisez des produits insectifuges ou des bougies lorsque vous êtes assis

-Ne laissez pas de boisson sucrée et de nourriture exposée

-Evitez les zones d’eau immobile ou stagnante.

-Ne vous approchez pas des hautes herbes ou des buissons

-Rentrez votre pantalon dans les chaussettes lorsque vous marchez dans la broussaille ou les
herbes.

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MORSURE DE SERPENT

OBJECTIFS

L’OBJECTIF GENERAL

Acquérir des compétences dans la prise en charge des morsures de serpents

LES OBJECTIFS SPECIFIQUES

-citer les signes d’une morsure de serpent

-citer les gestes à ne pas faire en cas de morsure de serpent

-citer les éléments de prise en charge d’une morsure de serpent

I. GENERALITES

Le groupe des serpents est le plus important des animaux venimeux. Il existe plusieurs types
de serpents et les effets des morsures varient suivant le type de serpent. Il faut cependant noter
que 50% des morsures ne s’accompagnent pas d’inoculation de venin.

II. SYMPTOMATOLOGIE

La sévérité de l’envenimation varie selon l’espèce (les vipéridés étant les plus redoutables), la
quantité de venin inoculé, la localisation, de l’âge du sujet. Les morsures les plus graves sont
notées dans les atteintes du cou, de la tête et l’enfant. Le diagnostic est posé devant un malade
présentant :

-Une notion de morsure de serpent

-Une présence de trace de crochets

-Une douleur locale souvent intense à type de brulure

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-Un œdème

-Une paralysie

-le serpent retrouvé mort

III. CONDUITE A TENIR

-Eviter de courir

-Sucer ou aspirer le sang

-Poser un garrot n’empêche pas la diffusion du venin et peut entrainer une compression des
vaisseaux

2. les gestes utiles

-Rassurer le malade

-Allonger le malade

-Immobiliser le membre

-Poser une vessie de glace sur la zone mordue

IV. MESURES THERAPEUTIQUES

-Désinfecter la plaie avec un antiseptique

-Prescrire des antibiotiques (métronidazole)

-Administration de sérum antivenimeux dans les cas hémorragiques (en Afrique francophone
on utilise surtout le sérum type anti-biti-echis-naja)

-sérum antitétanique

-Antalgiques

-Anti-inflammatoire enzymatique (maxilase)

-Intubation en cas de paralysie respiratoire

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-Transfusion de sang frais en cas de syndrome hémorragique

-Hospitalisation et surveillance

NB : proscrire l’aspirine en cas d’aggravation rapide des symptômes ou de morsure très


hémorragiques évacuer le malade

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MORSURE DE SCORPION

La partie de la piqure gonfle, rougit et devient toute engourdie.

La zone peut se nécroser, il faudra alors décaper la zone chirurgicalement.

Ces symptômes ne durent qu’une journée pour une piqure bénigne.

Une piqure d’intensité moyenne provoque aussi la fièvre, des suées et des vomissements

Dans les cas les plus graves, des troubles respiratoires, musculaires et cardiaques surviennent
et la peau cyanose.

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LA NOYADE

OBJECTIF GENERAL

Acquérir des compétences dans la prise en charge d’un malade noyé

OBJECTIFS SPECIFIQUES

-Définir la noyade

-Décrire le mécanisme de la noyade

-Citer les éléments de prise en charge d’un patient noyé

V. DEFINITION

C’est la mort par asphyxie due à la pénétration d’eau dans les poumons entrainant une
inondation alvéolaire.

VI. MECANISME

En cas de submersion après une phase d’apnée volontaire d’une minute environ, la victime
effectue quelques mouvements respiratoires amples et irrésistibles puis perd connaissance.
Après cette perte de connaissance fatale des convulsions apparaissent, la respiration s’arrête
pendant que les battements cardiaques persistent pendant quelques minutes. La mort survient
en moyenne 6 à 8 minutes après l’accident.

VII. PRISE EN CHARGE

-les soins se font au lieu de l’accident et le plus rapidement possible

-Sortir la victime hors de l’eau

-Enlever aux doigts la mousse qui obstrue la bouche et le larynx

-Mettre en place la respiration artificielle couplée au massage cardiaque externe en attendant


le transfert à l’hôpital

-ces manœuvres de réanimation doivent être maintenues pendant une période d’observation
malgré une reprise des fonctions respiratoires et cardiaques.

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CHAPITRE IV/ LES CORPS ETRANGERS DE LA FOSSE NASALE

Le corps étranger de la fosse nasale est tout élément extérieur introduit volontairement ou non
dans la fosse nasale par voie antérieure (orifice narinaire) ou postérieure (par les enoanes) à
l’occasion d’une quinte de toux ou une régurgitation.

La nature des corps étrangers est variable. Les corps étrangers les plus souvent rencontré sont
les cailloux, les perles, fragments de jouets en matière plastiques ou métallique, fragment de
coton, de papier, morceau de paille et de grains de céréales. Le corps étranger de la fosse
nasale s’observe le plus souvent chez les enfants au portent les objets. Le corps étranger chez
un adulte est accidentel.

1) Symptomatologie

-Obstruction nasale unilatérale

-Rhinorrhée maco-parulente et fétide

-Epitaxie (saignement du nez) lorsqu’il n’Ya pas de signes généraux.

2) Conduite à tenir

Le traitement idéal est basé sur l’extraction du corps étranger en douceur par l’orifice
narinaire. Cette extraction se fait de façon instrumentale à l’aide de petites pinces ou par
aspiration. Ces techniques doivent être pratiquées par un agent spécialiste.

NB : il ne faut jamais tenter le lavage du nez, l’écouvillonnage, car il y’a le risque que le
corps étranger chute dans les voies respiratoires inférieures notamment dans la trachée et les
bronches.

CHAPITRE V / CORPS ETRANGERS DU CONDUIT AUDITIF EXTERNE

C’est l’introduction d’un corps solide étranger dans le conduit auditif externe. Les corps
étrangers anorganiques sont les plus souvent rencontrés. Il ne s’agit de cailloux, de fer, objets
métalliques, où en plastiques. Son diagnostic peut être évident chez les adultes et les grands
enfants qui signalent immédiatement dès la survenue de l’incident. Le corps étranger peut être

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longtemps méconnu surtout chez les enfants car il ne pose aucun problème dans l’immédiat.
La découverte du corps étranger est souvent fortuite.

1) Les signes

Les signes suivants sont évocateurs de corps étrangers de conduit auditif externe :

-Sur le plan fonctionnel : otalgie, sourdement acouphènes, (hypo-acousie) otorragie purulente


(écoulement, purulente).

-Les signes généraux sont absents

-L’otoscopie met en évidence le corps étranger.

2) Traitement

-Rassurer le malade ou le client

-Procèdera lavage de l’oreille si absence de suppuration, d’otorragie

-Référer si nécessaire

-La prévention des corps étrangers à éloigner la présence des enfants

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CHAPITRE VI : Les intoxications aigues

OG : prendre en charge les cas d’intoxication aigues

OS : Définir l’intoxication aigues

Citer les voies d’intoxication fréquemment rencontrée

-Reconnaitre les signes cliniques des différents types d’intoxications

Adopter la CAT approprié devant un cas d’intoxications.

I / DEFINITION/ GENERALITE

Une intoxication est un état pathologique résultant de l’intoxication volontaire ou involontaire


dans l’organisme d’un produit nocif par lui-même ou à une dose nocive. Elle survient
généralement chez les enfants et les jeunes adultes.

Trois voies intoxication sont principalement rencontrées

-La voie cutanée et muqueuse

-La voie respiratoire par inhalation

-La voix digestive par ingestion

Les produits souvent en cause sont les aliments variés les insecticides, les raticides, le pétrole
et ses dérivés, les détergent l’eau de javel, l’alcool le médicament et la drogue.

 Les circonstances survenues de l’intoxication sont :


-les accidents domestiques ou professionnels
-les tentatives de suicides les actes criminels (meurtre les surdosages médicamenteux

Le diagnostic repose sur un interrogatoire qui doit préciser

-les produits en causes (médicament, drogue, aliment)

-les circonstances de survenues (accident) domestique, tentative de suicides actes criminels)

-la quantité ingérée

-les symptômes initiaux

-l’heure du dernier repas

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-les signes cliniques ainsi que la prise en charge sont en fonction de la substance cause.

A. Intoxications au pétrole et dérivés

1-Les manifestations

Les manifestations dépendent de la voix d’intoxication.

o Pour le cas d’intoxication par ingestion, on a une brulure de la gorge et d’estomac

Une irritation broncho-pulmonaire, des nausées, vomissements et une diarrhée

o Pour les cas d’intoxication par inflation

On a les céphalées, une euphorie (carte) un OAP, une arythmie une toux une dyspnée, des
convulsions et un coma.

2- la prise en charge

A. En cas d’inhalation

-Assistance respiratoire (ou ballon au masque à l’oxygène)

-Administration de furosémide (Lasilix) en cas d’OAP

-Référer à l’échelon supérieur si pas d’amélioration.

B. En cas d’ingestion

-L’administration de charbon végétal activé à la posologie de 50 à100g en PU immédiatement


chez l’adulte.

Chez l’enfant de 10 à 25g en PU immédiatement à répéter 4h après.

-Un traitement des symptômes de la douleur, de l’irritation gastrique, de la détresse


respiratoire.

-Référer à l’échelon supérieur si pas d’amélioration

NB : le lavage gastrique est formellement contre indiqué dans les intoxications au pétrole.

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C. Intoxication à l’alcool

La bière dans toutes ses dénominations, le vin, les liqueurs, les alcools forts frelatés sont à
l’origine de ce type d’intoxication. La voie d’intoxication est essentiellement digestive.

1. Symptomatologie
 La phase initiale est caractérisée par :
-une euphorie avec augmentation de l’humeur et une logorrhée (parle beaucoup)

On peut cependant assister à une tristesse accompagnée d’agressivité

Il s’en suit des vomissements, une miction importante des troubles visuells, une désorientation
temporaux-spatiales avec des troubles de la marche (titubèrent) des convulsions.

 Au stade ultime, on a un coma avec mydriase et une odeur caractéristique de l’haleine.

La température est soit normale ou abaissée.

2. La CAT

-Rassurer la famille

-En cas d’agitation, faire du diazépam (25mg à diluer dans SSI en IVD)

-En cas de coma, prendre une voie veineuse et faire passer du sérum glucosé hypertonique
(SGH) 10% ou du SGI 5%

-Mettre le patient en position de sécurité

-Oxygéner en libérant les voies aériennes

-Faire un lavage gastrique

-Assistance respiratoire si nécessaire

D. Intoxication médicamenteuse

Plusieurs médicaments peuvent être responsables s’ils sont pris à des doses supérieures à leur
posologie normale. Les médicaments d’accès faciles sont très souvent en cause.

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Médicaments Signes CAT

Paracétamol : dose Ils apparaissent « à 4h après Rassurer la famille procéder


toxique=_g chez l’adulte et l’absorption, on note des à un lavage gastrique ;
150mg à 200mg/kg chez nausées, vomissements, administration de l’antidote .
l’enfant douleurs abdominales. nacetyclsteine à la dose de
Rarement on peut avoir un 150mg :kg en dose de
ictère ou une insuffisance charge pdt 3h, puis
rénale. 150mg/kg en perfusion
continue sur 24h de
surveillance des fonctions
vitales
Référer dès l’apparition de la
moindre complication

Salicylés (aspirine) -vertiges -Rassurer la famille ou


Toxique : 2g chez l’adulte et -céphalées l’entourage
150mg/kg chez l’enfant -acouphènes -Administrer du charbon
-confusion mentale active par voie orale à la
-Convulsions dose de 50g si le délai
-coma d’absorption est « à une
-sueurs heure »
-déshydratation -référer au niveau des
-hyperthermie mésures d’urgences

E. Intoxications alimentaires

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Ce sont des pathologies causées par la consommation d’aliments contaminés par un


microorganigansme ou sa toxine.

1. Manifestations cliniques

Elles sont essentiellement digestives :

-Nausées

-Douleur abdominale

-Diarrhée

2. Conduite à tenir

-Réhydrations orale ou parentale (SRO), rincée lactate, SGI, SSI)

-Antibiothérapie est indiqué en cas de température 38,5’C, ou plus de 6 selles/jours ou en cas


d’immunodépression au VIH, de diabétique et en cas de malnutrition.

Le traitement préventif consiste à :

-Hygiène environnementale (se laver les mains avant les repas et après les selles)

-Hygiène environnementale (usage des latrines)

F. Intoxication au monoxyde de Carbonne

1. Symptômes

-Céphalées

-Vertiges

-Dyspnée, asphyxie

-Coma

-Rarement on observe des vomissements et des diarrhées

2. CAT

Le traitement est essentiellement symptomatique par le traitement des céphalées, oxygénation

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G. Intoxication par les produits ménagères caustiques (produits de nettoyage, acide


ou basique, eau de lessive et l’eau de javel)

1. Symptômes

-Brûlure de tractus digestif

2. CAT

L’évolution gastrique est formellement contre indiquée dans ces cas :

Il faut administrer des pansements gastriques (hydroïde d’aluminium)

H. Intoxication aux insecticides

1. Symptômes

-OAP

-Paralysie des muscles respiratoires

-Bradycardie, hypotension artérielle

-Convulsion

-Trouble de la conscience(obnubilation)

2. CAT

-Position de sécurité », oxygénation, voie veineuse avec du Ringer ou du SSI, furosémide


pour forcer la diurèse, administrer l’antidote qui est l’atropine en raison de 2 à 5mg en IV
lente.

NB : les gestes à prescrire en d’intoxication (interdire) :

-faire vomir effectuer un lavage gastrique dans le cas d’ingestion de produits caustiques et
les hydrocarbures (pétroles et dérivés)

-Faire vomir en cas de convulsions car il y a risque d’etcriffement

_Faire boire du lait car le lait favorise l’absorption des produits liposolubles (produits
pétroliers et insecticides)

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