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MEMBRES DU GROUPE :
DIEYNABA LY
CHEICKH AKHMADOU BAMBA
MBACKE GUEYE
AMINATA MAKHASSOUBA
MOUSSA SANE
PROFFESEUR:
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PLAN
Introduction
I. Le droit du travail
salariés
1.definition et fonctionnement
4.Application
Conclusion
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INTRODUCTION
I. LE DROIT DU TRAVAIL
Définition
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Sont notamment recensés les principes essentiels en matière de droit
disciplinaire (proportionnalité des sanctions, interdiction des sanctions
pécuniaires, respect des droits de la défense), l’interdiction de la mise à
disposition de salariés à but lucratif, sauf cas prévus par la loi, la protection
de la grossesse et de la maternité, l’accès des salariés à la formation
professionnelle, l’obligation pour l’employeur d’adapter les salariés à
l’évolution de leur poste, le transfert des contrats de travail induit par un
transfert d’entreprise.
En matière de rupture du contrat de travail, l’exigence d’un motif réel et
sérieux à l’appui d’un licenciement est rappelé. Le droit au préavis et
l’obligation de reclassement préalable au licenciement économique ou
motivé par l’inaptitude physique sont également érigés en principes
fondamentaux.
La rémunération :
Dans cette partie figurent le principe d’un salaire minimum fixé par la loi,
d’égalité de rémunération pour un travail de valeur égale, la périodicité
régulière de versement du salaire et sa protection en cas d’insolvabilité de
l’employeur.
Le temps de travail :
La durée normale du travail, fixée par la loi, peut être adaptée par
convention ou accord collectif. En revanche, les durées maximales de travail
quotidienne et hebdomadaire ne peuvent pas dépasser les limites fixées par
la loi. Les salariés effectuant des heures supplémentaires doivent bénéficier
d’une compensation.
Le principe du repos quotidien et du repos hebdomadaire, fixé le dimanche
sauf dérogation légale, est rappelé. Le travail de nuit est
strictement encadré par la loi.
Les salariés à temps partiel bénéficient des mêmes droits que les autres
salariés.
Chacun a droit à des congés payés annuels à la charge de l’employeur.
La santé et la sécurité au travail :
Une obligation d’assurer la sécurité et de protéger la santé des salariés pèse
sur l’employeur. La possibilité pour un salarié en situation de danger
d’exercer son droit de retrait figure parmi les principes.
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La surveillance médicale des salariés est exercée par un médecin bénéficiant
de garanties d’indépendance. Le contrat de travail du salarié malade est
suspendu, et la victime d’une affection d’origine professionnelle bénéficie de
garanties spécifiques, dont le rapport ne précise pas si elles sont fixées par
la loi.
Les libertés et droits collectifs :
La liberté syndicale, la protection de l’activité syndicale contre la
discrimination, le statut protecteur des représentants du personnel et
l’exercice du droit de grève sont consacrés.
La négociation collective et le dialogue social :
La commission érige en principe l’obligation pour le Gouvernement de faire
précéder toute réforme du droit du travail relevant du champ de la
négociation nationale et interprofessionnelle d’une concentration avec les
partenaires sociaux, mais pas nécessairement d’une négociation, celle-ci
étant évoquée comme une éventualité.
Les salariés participent à la détermination collective des conditions de
travail, notamment via les syndicats représentatifs.
La loi détermine les conditions dans lesquelles les conventions et accords
collectifs fixent des normes différentes de celles résultant de la loi et du
règlement. Si la loi le permet, en cas de conflit de normes, la moins
favorable peut s’appliquer au salarié.
De même, une convention ou un accord collectif moins favorables que les
stipulations contractuelles peut prévaloir sur ces dernières si la loi le
prévoit.
Le contrôle administratif et le règlement des litiges :
L’inspection du travail veille à l’application de la loi. Les litiges sont portés
devant une juridiction composée de juges qualifiés en matière de droit du
travail.
Les syndicats peuvent agir en justice pour la défense des intérêts collectifs
de la profession.
L’exercice par le salarié de son droit d’agir en justice ou de témoigner ne
peut, sauf abus, donner lieu à sanction.
2. Contrat de travail
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Définition
Le CDD peut être utilisé dans certains cas spécifiques, tels que les
remplacements temporaires d'employés absents (congés, maladie, etc.), les
surcroîts temporaires d'activité dans une entreprise, les contrats
saisonniers, les travaux occasionnels ou encore pour des projets ponctuels.
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conclu pour remplacer un salarié absent, faire face à une augmentation
temporaire d'activité ou pour des projets ponctuels.
Les droits du travailleur intérimaire sont généralement protégés par la
législation du travail, bien que certaines spécificités puissent exister. Par
exemple, le travailleur intérimaire a droit à un salaire équivalent à celui
d'un salarié permanent effectuant le même travail, ainsi qu'à des congés
payés et à une couverture sociale.
Les droits et obligations des employeurs et des salariés sont régis par le
code du travail. Ils doivent également fournir un contrat de travail écrit,
fournir des bulletins de paie réguliers et respecter les horaires de travail.
Les salariés doivent aussi respecter les horaires de travail et suivre les
procédures de sécurité établies. Les salariés ont le droit d'être traités
équitablement et d'être protégés contre toute forme de harcèlement ou de
discrimination.
Il est important que les employeurs et les salariés communiquent
ouvertement et se soutiennent mutuellement pour maintenir un
environnement de travail positif et respectueux. En cas de litige ou de non-
respect des droits et obligations, il est recommandé aux parties de recourir
à des voies de résolution des conflits appropriées, telles que la médiation ou
les tribunaux du travail.
1. Définition et fonctionnement
Une convention collective est un accord conclu entre les syndicats de
salariés et d'employeurs. Elle a généralement vocation à traiter des
conditions de travail et d’emploi, mais aussi des garanties sociales
spécifiques au secteur qu’elle représente. A titre d’exemple, elle pose des
règles relatives à l'embauche des salariés : durée de la période d'essai,
salaires minima, primes, etc. Elle pose également des règles relatives à
l’exécution du contrat de travail, telles que la durée de travail, le nombre de
jours de congés pour évènement familial (mariage, naissance, décès…) ou
encore les modalités du travail de nuit. Les règles qu’elle institue et les
droits qu’elle confère s’appliquent à tous les salariés des entreprises
concernées. Elles peuvent être plus favorables aux salariés que le Code du
travail. Une convention collective peut être conclue au niveau national,
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régional, départemental ou bien local. Certains secteurs d’activité disposent
à la fois d’une convention collective nationale et de conventions collectives
régionales ou départementales. Une convention collective est généralement
à durée indéterminée. Lorsqu'elle est à durée déterminée, la durée doit être
spécifiée dans l'accord par les parties. À la fin du délai, la convention
collective doit être prolongée ou réécrite. Cette durée ne peut pas être
supérieure à 5 ans.
2. Les différents types de conventions collectives
Nous avons 3 types de convention collective :
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leurs organisations ainsi que les syndicats peuvent établir des salaires et des
conditions de travail équitables. Elle est également à la base de relations de
travail constructives.
Il ressort donc notamment l’idée que les conflits sont une réalité
indépassable du travail et qu’il est important d’établir des règles et de les
renouveler en permanence afin de répondre aux nouveaux désaccords
pouvant naître entre les salariés et leur employeur. La négociation
collective est l’une des réponses apportées par les acteurs sociaux pour
régler leurs désaccords et assurer leur coopération au travail.
4. APPLICATION
Pour rappel, la convention collective permet de compléter les règles du
droit du travail applicable aux salariés en fonction des caractéristiques
propres à un métier, une branche professionnelle, une zone géographique,
etc. La convention collective contribue donc à définir le régime juridique
applicable aux salariés d'une entreprise en matière de droit au travail.
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Elle est un texte négocié et signé d’une part par une ou plusieurs
organisations syndicales représentatives et d’autre part, une ou plusieurs
organisations patronales.
Il doit aussi tenir à disposition des salariés un exemplaire à jour des textes
conventionnels et prévoir un affichage dans l’entreprise.
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d’où on s’intéresse à la place de la convention collective dans la hiérarchie
des normes.
En matière du code du travail, la loi est la norme suprême, ainsi que les
accords de branche ne peuvent pas être moins favorables aux salariés que
ce que loi dispose. Ainsi, le contrat de travail doit respecter les accords et
usages d’entreprises, qui eux-mêmes dépendent des conventions collectives
et de la loi.
En tout état de cause, il est clair qu’un accord collectif ne peut qu’améliorer
la situation des salariés par rapport aux dispositions de la loi sauf si cette
dernière en dispose autrement (ordre public). Mais un accord d’entreprise
peut comporter des dispositions moins favorables qu’un accord couvrant
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un champ territorial ou professionnel plus large (accord de branche par
exemple) sauf dans deux cas :
Par contre pour les sources professionnelles, il y’a une supériorité des
conventions collectives sur les autres.
CONCLUSION
En somme, nous pouvons dire que le droit du travail et les conventions
collectives sont des éléments essentiels pour protéger les droits des
travailleurs et réguler les relations employeur-employé. Grâce à ces lois et
accords, les travailleurs peuvent bénéficier de conditions de travail
équitables et négocier collectivement leurs droits. Cela favorise la stabilité
et l'équilibre dans le milieu professionnel.
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QUESTIONS ET REPONSES
HALIMATOU DIALLO
LE REPRESENTANT DES TRAVAILLEURS PEUT-IL ETRE
LICENCIE PAR L’ENTREPRISE ?
Le délégué est le représentant élu des salaries auprès de la direction. Il a
comme mission de présenter auprès de l’employeur les réclamations (aussi
bien à titre individuel que collectif) de l’ensemble des salariés en termes de
droit du travail. C’est donc une personnalité a double casquette car en
dehors du fait qu’il est délégué, il est aussi employé dans l’entreprise et est
donc tenu au respect des textes et règlements en vigueur. Toutefois malgré
qu’il jouisse d’un certain nombre de privilèges son licenciement a été prévu
par la loi et suit la procédure suivante :
De nos jours les licenciements des délégués se font très rarement à cause des
séries de contestations que cela pourrait susciter (grèves, marches, etc.) et
qui pourraient porter préjudice a la bonne marche de l’entreprise.
ABDALAH BOP
COMMENT LES FLUCTUATIONS ECONOMIQUES PEUVENT-
ELLES AFFECTER LA NEGOCIATION ?
La négociation est un processus de communication et d’échanges entre au
moins deux parties dont l’objet concerne l’organisation d’une relation ou le
règlement d’une problématique entre celles-ci. Il faut noter que l’employé
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d’une entreprise est lié à celle-ci par le biais du contrat de travail.
Toutefois, dans les moments de crise, employés et employeur peuvent user
des voies diplomatiques pour sauver l’entreprise. Par exemple en cas de
crise financière les employés peuvent décider de réduire leur masse
salariale et augmenter la durée de travail pour permettre à l’entreprise de
se refaire une santé financière. Car comme l’a dit SAINT THOMAS
D’AQUIN << à l’impossible nul n’est tenu >>
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BINTOU NDIAYE
QUELLES SONT LES VOIES REQUISES PERMETTANT A
L’EMPLOYE DE PLAIDER SA CAUSE ?
Les employés des entreprises pour faire entendre leur cause peuvent
recourir à des moyens de lutte telle que prévu par le code du travail ; entre
autre nous pouvons noter l’organisation syndicale dont la fonction
principale est de revendiquer les droits des travailleurs. Les syndicats sont
au cœur des négociations entre salariés et employeurs. Ils siègent au sein
des organismes paritaires et participent au dialogue social. En dehors des
négociations, ils peuvent être à l’ origine de mouvement de contestations
(grèves et manifestations).Il peuvent aussi dans certains cas engager une
action en justice en tant que représentants d’un ou de plusieurs salarie(s) en
situation précaire.
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Amélagodji Severin Moise DJAKPA
Quelles sont les conditions de rupture d’un CDI?
La démission est une condition de rupture d'un CDI où l'employé décide de
mettre fin à son contrat de travail de manière volontaire. Cela peut être dû
à diverses raisons, comme trouver un nouvel emploi, des problèmes
personnels ou simplement vouloir changer de carrière.
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Cela contribue à instaurer un environnement de travail plus équitable et
respectueux des droits des travailleurs.
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