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GENERALITES
- Technologie d’entrainement ;
- Nature du moteur ;
- Composants du convertisseur ;
- Gamme de puissance ;
- Gamme de tension de vitesse nominale ;
- Plage de variation de vitesse ;
- Domaine d’application.
- t 2 Accélération ;
- t 3 Pleine vitesse ;
- t 4 Décélération ;
- t 5 Vitesse réduite ;
- t 7 Vitesse approche ;
- t 8 Temps de chargement.
En outre ceci est aussi justifié en se référant à la figure I.2 qui présente dans le
plan puissance - vitesse, la faisabilité technologique des entrainements à vitesse
variable par moteur asynchrone à cage.
L’extension de ce domaine s’est faite vers les fortes puissances pour atteindre
une limite de 20 MW, mais aussi vers les grandes vitesses de rotation en moyenne et
forte puissances.
Figure I-2 : Domaine indicatif de faisabilité des moteurs à vitesse variable (refroidissement par air)
I.3.3. Composants du convertisseur
Les composants du convertisseur seront, dans le cas du convertisseur réseau,
les diodes ; et dans le cas du convertisseur moteur (onduleur), ce sera les GTO et les
diodes.
Des renseignements tirés de cette étude vont être mis à profits lorsqu’il sera
question de dimensionner le commutateur autonome qui pilotera le moteur asynchrone
de levage des skips.
- l’intervalle (a) : entre commutations (figure II.3 a et d), où seuls deux thyristors
principaux conduisent ;
- un premier intervalle (b) de commutation (figure II.3.b), approximativement
constant (imposé par le circuit continu) pour acquérir leur pouvoir de
commutation ;
- l’intervalle (c) de commutation du courant entre deux enroulements de la
machine (figure « c) ;
Dans les figures ???, l’extinction d’un thyristor principal est réalisé par
amorçage du thyristor auxiliaire qui lui correspond ; cela se fait pratiquement à
l’instant même. A cet effet, le condensateur C doit être pré-chargé pour assurer la
première commutation à l’aide d’une séquence particulière
it
Vc ( t ) = -Vco+ (II.1.)
C
= √ 3 /2σ L1 C (II.2)
I [ τ1 + ( 2 τ 2 /π ) ]
VCO = (II .3)
2C
La forme idéale du courant par phase, si l’on néglige les commutations et les
ondulations est indiquée sur la figure II.3e.
On pose alors :
ω2 =g ω2 =2π f 1 g= 2π f 2
τ1 =
4CL1 ω 1 ( R22 +σ L22 + ω22 )
π ( R 2 + L 2 + ω 2)
2 2 2
+
√ 2 σ L2 C
3
(II.4)
C V CO
τ1= =τ 1+¿ ¿
I
I 1f =
3I
π [ ( )]
exp j ω1 -
π
3
( II.6 )
d i 1f
V1 = V 1f - l 1
dt
Avec : l 1 =σ L1
(
V1 = V1f - l 1
d i 1f
dt )+ l1
d i 1f
dt
(II.8)
d i 1f
Le terme l 1 correspond aux six tensions.
dt
∆ V 1 max (figure II.7), qui apparaissent à chaque période. Leurs amplitudes ont
∆ V1max = l 1 ω0 I/ √ 3 (II.10)
l 1 ω 0 = √ 3 l 1 /2C
Avec:
*
I 1: Conjugué de I 1;
I m : Partie imaginaire ;
Introduction
2
ω ( p ) = H1 ( p ) I1 ( p ) + H2 ( p ) Cr (p)
f
p1 =-
j
Avec a= R 2 /L2
Stabilité
En réalité, un onduleur est précédé d’un filtre. Celui-ci placé du coté continu
compose son impédance avec celle de la source continue (ligne et redresseur à
thyristors ou ligne, redresseur à diodes et hacheur, etc.) ; cette impédance totale a de
l’impact sur le fonctionnement transitoire de la machine pouvant provoquer dans
certains cas des instabilités.
I K [ ( p+a )2 +ω22 ]
F1 (p)= =
Vmoy p3 + C1 p2 + C2 p+ C3
'
π
2
' π
2
' π
2 R1 R2
Avec : K= ; L = L1 + λ
1 ; R = R1+ ρ ;
1 α1 = ' ; β=
V moy 18 18 σ1 L 1
σ1 L2
2
M 12
; σ1 =1- ' .
L1 L2
C1 = α 1 + ( 1+ σ1 )
2 2
C2 =2 σ1 α 1 β + σ1 β + ω2
2 2 2
C3 = σ1 α 1 β + ω2 α 1 + ω1 ω2 β ( 1- σ1 ) σ1
ωlim = ( β2 +2α 21 ) / ( 1- σ1 ) ω2
En bref, l’impédance interne des sources d’alimentation de la machine
asynchrone a une importance capitale sur la stabilité de son fonctionnement. Ladite
impédance équivalente de tout le circuit amont vu du stator est composée de :
Introduction
Alimentation en courant
Principe de commande
Pour varier la vitesse de la machine asynchrone, il suffit de varier son couple
électromagnétique ; or celui-ci est lié au :
- Au flux magnétique ɸ1 ;
- À la pulsation ω2 des courtants rororiques.
Selon l’expression :
3p m 2 ɸ2 R 2 ω2
M em = 2
R22 + ( l 2 ω2 )
l 2 =σ L2
- σ : Coefficient de dispersion ;
- L2 : Inductance propre du rotor ;
- m : Rapport de transformation du moteur ;
- R 2 : Résistance par phase du rotor ;
- p : Nombre de paires de pôles ;
- ɸ1 : Flux statorique ;
- ω2 : Pulsation rotorique .
Observation du flux
{ V 1 α =R1 i 1 α + ( d φ1 α /dt )
V 1 β =R1 i 1 β + ( d φ1 β /dt )
{ φ1 α =∫ ( V 1 α −R 1 i 1 α ) dt
φ1 β=∫ ( V 1 β−R 1 i 1 β ) dt
ɸ11 =√ φ21 α +φ 21 β / √ 3
Afin d’obtenir la valeur ce de flux, l’on sera conduit à utiliser quatre capteurs
électriques devant mesurer les valeurs instantannés des courants de ligne i 11 et i 12 , et
les valeurs instantannées des tensions par phase du stator v 11 et v 12.
D’autres part la prévision des circuits assurant la transformation triphasée-
biphasée, l’intégration des flux et le calcul de ɸ1 s’avèrent indispensables.
MA
Estimateur de flux ɸ1
Déduisons i 1α et i 1β de i 11 et i 12 , on aura :
√ 3 1
i 1α = ∗i et i 1β = * ( i 11 +2 i 12 )
2 11 √2
Théorie des observateurs
L’application ed cette méthode nécessite une linéarisation des équations
réelles de laz machine afinde les avoir sous forme d’équations d’état linéaires.
Outre la linéarisation des équations réelles, une autre méthode consiste en une
décomposition du système en sous-systèmes ayant des constantes de temps très
différentes. D’où la dissociation du système en :
- Un système du premier ordre pour la variable très lente (vitesse) ;
- Un système du deuxième ordre pour les variables lentes (flux) ;
- Un système du deuxième ordre pour les variables rapides (courants.
En étudiant le flux, si ⃗
Y est le vecteur d’état dont les composantes sont φ 1d et
φ 1q , le système aura pour équation d’état :
d⃗
Y /dt =A ⃗
Y +B ⃗
U
Où le vecteur ⃗
U a les tensions v 1d et v 1q comme composantes
La figure suivante illustre mieux la comparaison entre le flux réels et les flux
observés à l’aide de l’observateur dynamique.
Observation de la pulsation des courants rotoriques
Faute de capteurs de vitesse, il est préférable d’estimer la pulsation des
courants rotoriques au lieu de la vitesse. La figure suivante l’illustre mieux.
Contrôle du flux magnétique
Le contrôle direct et le contrôle indirecte sont les deux modes de contrôle
envisagés.
Contrôle direct
C’est un contrôle effectué à partir du flux donnant naissance à la tension ou au
courant statorique.
Contrôle indirect
Ici, on règle la tension ou le courant suivant les règles déduites des équations
en régime permanant. Ces lois n’imposent le flux qu’en régime permanent.
√
2 2 2 2
R2 + σ L2 ω2
ɸ11 =L1 I 11 2 2 2
R2 + L2 ω2
[ ]
2 1/2
( )( )
2
L1 ω1 L2 ω2 L1 L2 ω1 ω2
+ + 1+σ*
R 1 ɸ1 R1 R2 R 1 R2
V1 = 2
L1 1+ ( σ L2 ω2 /R 2 )
T e = L2 /R2
'
K C = P/F
ε : est l’angle que fait l’axe du rotor avec l’axe du stator. D’où la vitesse
ω= dω/dt
On a: φ 2 = [ ( 1+ σ2 ) i 1a i 2a ] M 12
Associons à cette expression de φ 2, celle du courant magnétisant
i m2 = i 1a + ( 1+ σ 2) i 2a
{ 0=R 2 i 2a +d φ2 /dt
0=R 2 i 2b+ [ φ2 d ( ε−ρ ) /dt ]
II.1. Introduction
Pour pouvoir obtenir sur le moteur asynchrone les mêmes caractéristiques
mécaniques que celles présentées par les moteurs à courant continu LAN 560
entrainant les skips, il va falloir qu’il y ait une même identité de la puissance utile et de
la vitesse.
Ainsi donc, nous allons procéder en deux étapes pour atteindre cette identité
des caractéristiques mécaniques :
Pu = 2 x 1250 = 2500 kW
li 3
λ= = √p
τp
Dans notre cas p = 5, conduisant à une valeur de λ = 1,71
√
1
2 m1
√
3
1+ σH1 3 Pu
D= *
√ 3 α i k f k W1 Bδ λ A Ω
k W = kd * kr
1 1 1
k r : coefficient de répartition
1
1
Le facteur 1+ σ est fonction du nombre de paires de pôles p. Dans
H1
1
notre cas, pour p=5, le graphique annexe 2 indique 1+ σ = 0,965
H1
ω1 2 π NS
Ω = =
p 60
2 x 3,14x600
= = 62,8 rad/s
60
√ √
3
2 x 3 x 0,965 3 2500 x 10
Da = 3 * =0,8485 m
√3 x 0,70 x 1,087 x 0,93 x 1 x 1,71 x 1,8 x 105 62,8
D = 848,5 mm ≈ 850 mm
π Da
τ p1 =
2p
3,14x850
= = 266,9 mm ≈ 267 mm
10
Le professeur Louon donne les limites dans lesquelles doit satisfaire la valeur
du pas diamétral par la condition :
Ce qui donne :
Pour éviter les effets résultant des forces centrifuges excessives, la vitesse
tangentielle est limitée à 60 m/s.
Dans notre cas, nous pouvons, ici encore, estimer que la vitesse tangentielle
est normale.
l i = λ τp
= 1,71x0,267 = 0,45657 m
= 456,57 mm ≈ 460 mm
^δ =ϕ
B
αi τp l i
ϕ =B ^ δ * αi * τp * l i
=1 x 0,70 x 0,267 x 0,460=0,0859 Wb
dit qu’à vide, la f.é.m. induite E1 est inférieure à la tension aux bornes V1, d’une
quantité égale à la chute de potentiel électrique provoquée par la réactance de fuite du
primaire. En désignant par Im le courant magnétisant (presqu’égal au courant à vide)
et par X σ1 , la réactance de fuite par phase du primaire, on a:
E1 = V1 - Xσ * I m = V1 1-
1 ( X σ *I m
V1
1
)= V1
1
1+ σH1
Xσ * I m
Où σ H1= 1
désigne le coefficient de dispersion de Heyland
E1
1
V1
D’où 1+ σH1
ϕ=
4* k f *f* N1 * k W 1
1
V1
1+ σH1
N1 =
4* k f *f* N1 * k W 1
U1
V1 =
√3
6600
= = 3810,51 V
√3
1
= 0,965 ; k f =1,087 ; f = 50 Hz ; ϕ = 0,0859 Wb ; k W = 0,93
1+ σH1 1
D’où :
3810 x 0, 9 65
N1 = = 211,72
4 x 1,087 x 50 x 0,0859 x 0,93
N1 = 212 spires
3
P U = 2500 x 10 W ; cos φ = 0,92; U 1 = 6600 V ; ɳ = 0,95
D’où :
3
2500 x 10
I1 = = 250,22 A
0,95 x 0,92 x √ 3 x 6600
N1 k W
F^ = 0,45 x m 1 x 1
x I1
p
δ = 0,14D √ LNS
= 0,14 x 0,850 x √ 0,460 x 600
Z1 =2p x q x m 1
Avec :
2p = 10
q=3
Et m = 3
π Da
τZ =
1
Z1
3,14 x 850
= = 29,65 mm
90
n vt =10
bvt =15 mm
'
l a = l i + n vt ∗bvt
l a =460 + 10 x 12 = 580 mm
' la
l Fe =
1
n vt +1
' 580
l Fe = = 52,72 mm
1
10 + 1
a) Largeur de l’encoche
La largeur de l’encoche statorique bZ peut être adoptée dans la marge définie
1
par la relation :
bZ ≈ τ Z ( 0,36 à 0,50 mm )
1 1
b) Hauteur de l’encoche
La hauteur de l’encoche sera donnée par :
hZ = h1 + h 2 + h 3 + h 4
1
6 * 3 * 250,22
h1 =
1
* 1,8 * 105 * 0,5 * 3,14 * 0,860
2,2
= 40,77 mm ≈ 41 mm
hZ =41+3+4+2=50 mm
1
π Dy π D y - bz Z
τ zy = et Zy =
Z Z
A la tête de la dent :
Dy = Da + h 3 + h 4
= 860+ 4+2=866 mm
Or bZ = 13 mm
1
π x 866 – 13 x 90
Z1t =
90
= 17,21 mm ≈ 17 mm
A mi-hauteur de la dent
h Z1
Dy = D1m = Da +
2
50
= 860 + = 885 mm
2
π x 885 – 13 x 90
Z1t = = 17,87 mm ≈ 18 mm
90
Au pied de la dent :
Dy = D1p = Da + h Z1
= 860 + 50 = 910 mm
π x 910 – 13 x 90
Z1p =
90
= 18,74 mm ≈ 19 mm
Figure II-3:
^ Z = li
( )
τ ^ 1
B * Z1 B δ 1+ σ H1
k F l Fe Z1t
1t
1 1
3
Avec :
l Fe = l 'Fe ( n vt +1 )
;
= 52,72 x 11=579,92 ≅ 580 mm
= 1,47 T
A mi-hauteur de la dent:
^ Z = τ Z1
( )
τ ^ 2
B * Z1 B δ 1+ σ
k F l Fe Z1m
1m
3 H1
1 1
^ Z = τZ1
( )
τ ^ 2
B * Z1 Bδ 1+ σ
1m
k F l Fe Z1m 3 H1 1 1
Au pied de la dent
li * τZ
^Z
B = 1
^ δ ( 1+ σH )
*B
1p
k F * k Fe *Z1p
1 1
1
∙
∙
0,460 x 0,029 x 1 x 1,037
= =1,34 T
0,93 x 0,580 x 0,019
^ Z < 1,8 T
La machine n’est pas saturée car B 1y
125,11 2
SB = 6
= 25 m m
5 x 10
0
Si hC = 10 mm , alors bC = 2,5 mm
0 0
c) Détermination de la résistance
2 x N1 l C0
R C = ρ70 °C
S b0
-8
2,119 x 10 x 212 x 0,593
= -6
= 0,213 Ω
25 x 10
d) Calcul du coefficient de Field (coefficient de majoration)
Selon Field, se basant sur les travaux de Emde, la résistance en AC d’un
conducteur placé dans l’encoche est égale à la résistance calculée lorsque le
conducteur est parcouru par un courant continu multiplié par une constante k appelée
coefficient de Field. Cette constante est définie par:
[( ) ]
2
I I
K =φ (ξ ) + i + i cos γ ψ ( ξ )
IS IS
Avec ;
{
sinh 2 ξ + sin 2 ξ
φ (ξ ) = ξ
cosh 2 ξ - cos 2 ξ
'
sinh 2ξ - sin 2 ξ
ψ ( ξ) = 2 ξ
cosh 2 ξ + cos 2 ξ
Où : ξ = α h C0 et α =2π
√ bC f
0
*
b Z ρ. 107
ξ =42,325∗0,010=0 , 42
[( ) ]
2
125,11 x 6 125,11 x 6
M 1S = 1,003+ + x 0,01 = 1,423
125,11 x 1 125,11 x 1
[( ) ]
2
125,11 x 5 125,11 x 5
M 2S = 1,003+ + x 0,01 = 1,0905
125,11 x 2 125,11 x 2
[( ) ]
2
125,11 x 4 125,11 x 4
M 3S = 1,003+ + x 0,01 = 1,0341
125,11 x 3 125,11 x 3
[( ) ]
2
125,11 x 3 125,11 x 3
M 4S = 1,003+ + x 0,01 = 1,0 16 1
125,11 x 4 125,11 x 4
[( ) ]
2
125,11 x 2 125,11 x 2
M 5S = 1,003+ + x 0,01 = 1,0086
125,11 x 5 125,11 x 5
[( ) ]
2
125,11 x 1 125,11 x 1
M 6S = 1,003+ + x 0,01 = 1,0049
125,11 x 6 125,11 x 6
[( ) ]
2
125,11 x 6 125,11 x 6 2π
M 1i = 1,003+ + cos x 0,01 = 1,333
125,11 x 1 125,11 x 1 3
[( ) ]
2
125,11 x 5 125,11 x 5 2π
M 2i = 1,003+ + cos x 0,01 = 1,053
125,11 x 2 125,11 x 2 3
[( ) + 125,11 3 ]
2
125,11 x 4 x4 2π
M 3i = 1,003+ cos x 0,01 = 1,0141
125,11 x 3 125,11 x 3
[( ) +125,11 3 ]
2
125,11 x 3 x3 2π
M 4 i = 1,003+ cos x 0,01 = 1,0 0 4 8
125,11 x 4 125,11 x 4
[( ) ]
2
125,11 x 2 125,11 x 2 2π
M 5i = 1,003+ + cos x 0,01 = 1,0026
125,11 x 5 125,11 x 5 3
[( ) ]
2
125,11 x 1 125,11 x 1 2π
M 6i = 1,003+ + cos x 0,01 = 1,0024
125,11 x 6 125,11 x 6 3
Ms moy + Mimoy
K moy =
2
1,0962+1,0 6 8
= =1,082
2
Il en résulte que la valeur de la résistance effective de l’enroulement, compte
tenu de la réaction de l’encoche, est :
RA = K moy x RC
( en AC ) ( en DC )
R A = 1,082 x 0,213=0,23 Ω
De l’encoche ;
Des têtes de dents ;
Des têtes de bobines.
2 τp
yb = *arc sin ( k r1 ) rad
π
2x267x1,25
= =212, 57 mm ≈ 213 mm
3,14
Sachant que τ Z1 =29,65 mm, le pas raccourci est :
213
C = = 7,18
29,65
C = 7 encoches
267
τ p= = 9 encoches.
29,65
h1 h 2 h 3 h4
λ σZ = + + + (Selon Prof. Louon)
3 bZ1 bZ1 b3 S
Avec :
bZ1 - S
b3 =
b Z1
2,3 log
S
13 - 4
= = 7,64
13
2,3 log
4
41 3 4 3
λ σZ = + + + = 2,55
3 x 13 13 7,64 4
C 7
= = 0,77
τp 9
λ σZ corrigé = λ σZ x k CoCu
= 2,55 x 0,87 = 2,22
hξ = ZZ1 x bCO
= 14 x 2,5 = 35 mm
λ σZa
= 0,3 : Pour un nombre de conducteur égal à 14
λ σZc
b) Perméance de la denture
La perméance de la denture est :
δ
5
S
λ σZa = = 0,35
δ
5+4
S
1,98
5x
4
= = 0,35
1,98
5+4x
4
c) Dispersion différentielle
C1 7
Pour βC1 = = ; le tableau que nous donne le docteur Lwtschitz indique
τp 9
1
( )
ν 2
kW1
∑ ν
= 0,0090 (annexe 6 )
ν
( )
ν 2
m μ k W1
˄σ d = 21 x τ p l i 0
π 1
∑
kC kS δ ν ν
-7
3 4 x 3,14 x 10
= x 0,267 x 0,460 x x 0,0090 = 1,17 x 10-10
3,14 2 1,4 x 1,3 x 1,98
d) Tête de la bobine
-3
l b0 = l a - l C0 =2 x v c1 x 10
= 2 x 6600 x 10 -3
τ Z1 = 29,65 mm
1
k wp = sin
( π C1
2
x
τ p1 )
= 0,93
τ Z1
db =
2
29,65
= = 14,825 mm
2
d 2 = 20 cm
= 200 mm
Zsp τ Z1 C3
d3 =
2 √ τ Z −C3
2 2
1
C3 = b Z1 + d b
On a :
= 13 + 14,825 = 27,825 mm
7 x 29,65 x 27,825
d3 =
2 x √ ( 29,65 ) - ( 27,825 )
2 2
= 281, 94 mm ≈ 280 mm
1 2
˄σb = 1,13 μ0 k ℘ x ( d2 +0,5 d3 )
= 1,13 x 4π x 10 x ( 0,93 ) x ( 200 x 10 + 0,5 x 280 x 10 )
-7 2 -3 -3
-7
= 4,18 x 10
lZ
˄σZ = μ0 λ
q Za
Où :
''
l Z = l a - n vt bvt
l a =580mm ;
n vt =10 ;
Pour déterminer b''vt , on part du graphique en annexe 8 qui nous donne pour
bZ1 =13 mm et bvt =15mm ,
''
bvt =4,6 mm
li
˄σz = μ0 λZa
q
-7
4π* 10 *0,460*0,35 -7
= =0,67* 10
3
Il en résulte que la réactance totale de fuite statorique est :
2
N1
X σ1 = 12,56 f
p
( ˄σZ + ˄ σd + ˄σb + ˄ σz )
Avec :
f = 50 Hz
N = 212 ;
p =5
−7
˄σZ=1 , 47 x 10 ;
−7
˄σd =1, 17 x 10 ;
−7
˄σb =4 ,18 x 10 ;
−7
˄σz =0 , 67 x 10 ;
Z1 = R1 +jX1
= 0,23+j 3,56 [Ω]
II.4. Dimensionnement du rotor
1°
Z2 =2 ( Z1 +p )
=2 ( 90+5 ) =190
2°
Z2 =2 ( Z1 - p )
=2 ( 90 - 5 ) =170
Vérifions que la condition que doit remplir le pas dentaire est respectée, soit
15 ≤ τ d2 ≤ 30 mm .
D2 = Da - 2 δ
D2 =850-2 x 1,98=846,04 mm
Or
π D2
τd 2 =
Z2
3,14 x 846, 04
= = 17,47 mm
152
Cette valeur remplit bien la condition prescrite par le professeur Louon, nous
la maintenons donc.
τ I 2 ≅ 0,9 I1
ici, d 2 = p
I2 = p I b ;
On a donc :
K 2 n 2 d1
τ =
K1 n 1 d2
d’où:
I2 0,9 I1 I1 K1 n 1 I1
Ib = ≅ x =0,9 x
p N2 d1 N2 d1
I 1 = 250,22 A
d1 = 2
n 1 =212
N2 =152
k W1 = K1 = 0,93
0,9 x 0,93 x 212 x 250,22
Ib = = 146,05 A
152 x 2
α pπ
I b = 2 Ia sin = 2 Ia sin
2 Na
Où
2 πp
α =
N2
2 x 3,14 x 5
= =0,2 radian
152
2 πp
Puisque l’arc N est faible, on obtient finalement :
2
Na
Ia = I
2π p b
152 x 146,05
= =707 A
2 x 5 x 3,14
Ib
Sb =
jb
146,05 2
¿ =27,55 mm
5,3
2
π h1
Sb =
4
Alors h1 =
√ 4 Sb
π
h1 =
√ 4*27,55
3,14
= 5,92 mm ≅ 6 mm
2 2
πD 3,14*6 2
D’où, Sbcorrigé = = = 28,26 mm
4 4
'
l Fe = l Fe ( n vt +1 )
= 52,72 x 11= 580 mm
Sachant qu’au pied et à la tête de l’encoche, la largeur s’annule ; et
l’induction est la même, elle correspond à :
^ Z2p
B = B ^ Z2t = l i ^δ
xB
k F2 x l 'Fe x ( n vt +1 )2
460 x 1
= = 0,85 T
0,93 x 580
D2m 2
h1
(
= D2 - 2 h 4 +
2 )
6
(
= 846,04-2 x 0,5+ =839,04 mm
2 )
π D2m - h 1 N2
Z2m = 2
N2
3,14 x 839,04-6 x 152
= =11,33 mm
152
l i x τZ
^ Z2m
B = xB
2
^δ
k F2 x l Fe Z2m 2
460 x 17,47 x 1
= = 1,3 T
0,93 x 580 x 11,33
^Z = 2H
2U ^ Z hZ
1 1 1
Nous avions déjà déterminé les inductions aux trois niveaux de la dent
statorique, à savoir :
Au pied de la dent : ^
B Z1p =1,34 T .
^ Zméd1 = ( H
H ^ Zmin + H ^ Zmax )
^ Zm + H
1
= ( 9,6+4 x 11,8+17 ) x 10 2 = 12,28 x 102
6
^Z
2U ^ Z hZ
= 2H
1 1 1
2 -3
= 2 x 12,28 x 10 x 50 x 10 = 122,83 At
^ Z =2 H
2U ^ Z x hZ
2 2 2
Les inductions aux trois niveaux de la denture :
Au pied de la dent : ^
B Z2p = 0,85 T .
Ainsi :
D’où :
^ Zméd2 1 ^
H = ( H + H^ Z2m + H
6 Z2p
^ Z2 t )
1 2 2
= ( 2,3+4 x 7,8+2,3 ) x 10 = 5,96 x 10 A/m
6
hZ = h1 + h 4
Or 2
= 6+0,5 = 6,5 mm
^Z
2U ^ Z x hZ
= 2H
2 2 2
2 -3
= 2 x 5,96 x 10 x 6,5 x 10 = 7,75 At
^ ( 1+ σH )
Ф
h j1 =
1
^ j1
2 x k F1 x l Fe1 B
0,0859 x 1,037
= 3
= 58,97 mm
2 x 0,93 x 580 x 1,04 x 10
De = Da +2 ( h j1 + h Z1 )
Avec :
hZ1 = h1 + h 2 + h 3 + h 4
= 41 + 3 + 4 + 2 = 50 mm
π De
l j1 =
2p
3,14 x 1070
= =335,98 mm
10
2
l j1 = 11,8 x 10 A/m
^ j1 = H
U ^ j1 x l j1
= 11,8 x 102 x 0,335 = 396, 45 At
^ ( 1+ σ H )
Ф
h j2 =
2
^ j2
2 x k F1 x l Fe2 B
D’où :
0,0859 x 1,04
h j2 = -3
= 83,05 mm
2 x 0,93 x 580 x 10 x 1
^ j2
U ^ j2 x l j2
=H
=2,9 x 102 x 266,9 x 10-3 = 77,4 At
N1 k W I 1
F^ = 0,45 m 1 1
Avec :
m1 = 3;
k W = 0,93 ;
1
p = 5;
I 1 = 250,22 A .
0,45 x 3 x 212 x 0,93 x 250,22
F^ = = 13320,01 At
5
Posons
F^ Ci = ∑ U^
^δ + 2U
= 2U ^Z + U
^j + U
^j
1 1 2
3
= 4,4 x 10 + 122,83 + 7,75 + 398, 45 + 77,4
= 5004,43 At
5 x 5004,43
= = 47 A
0,9 x 3 x 212 x 0,93
II.4.5.9. e
Pour arriver à calculer la résistance d’une phase rotorique, nous devons passer
par le calcul de la résistance totale de l’anneau. Cette dernière est déterminée comme
suit :
I an
San =
J an
Avec I an = 707 A
Numériquement on aura :
707 2
San = =235,66 mm
3
Et numériquement :
Dan moy
= 846,04 - 2 x 0,5 - 2 x 6-10 = 823,04 mm
Lanmoy
= π Dan moy
Lan
R an = ρ moy
Sa
Et numériquement on aura :
-3
0,52 x 2584,34 x 10 -3
R an = =0,57 x 10 Ω
235,66
lb = la + 2 h e + ( ) 2
l
3 an
= 580 + 2 x ( 10+ x 25 )
2
= 633,33 mm
3
lb
Rb = ρ
Scor
-3
0,52 x 633,33 x 10 -3
= = 11,65 x 10 Ω
28 , 26
( )
-3
1 -3 0,57 x 10 -3
= 11,65 x 10 + 2
= 8,14 x 10 Ω
5 2 x 0,099
-7
λ e = 4 π λ δ ( l a - n vt x bvt ) 10
2 2
Où:
h4
λδ = 0,625 +
2
S
: pour une encoche ouverte
0,5
= 0,625 + = 0,75
4
-7 -3
λ e = 4 π x 0,75 x ( 580-10 x 15 ) x 10 x 10
2
= 4,036 x 10-7 H
2 N2 τ p ( l a - n vt x bvt )
λd 2
pπ
= x
kC k S δ
2
∑ 10
-7
λ b = λe + λ d 2 2
-7
λ b = 4,036 x 10 + 0,22 = 0,22 H
2 α
Quant à l’inductance de fuite de l’anneau λ a , elle équivaut au facteur 2 s in
2
près, à l’inductance de fuite des têtes de bobines λ tb ; 2
d2 = 200 mm ;
d3 = 280 mm ;
X = d2 + d3
;
= 200 + 280 = 480 mm
ρ = 0,45 ( h a + e a ) .
où :
τ X
Calculons les rapports et .
X ρ
Nous pouvons alors calculer l’inductance de fuite des têtes de bobines par :
-7
2π x 152 x 267 x 0,40 x 10
λtb =
2
5x3
-4
= 6,79 x 10 H
λa = 2 s in 2( α
)λ
2 t b2
2 -4 -5
= 2 x ( 0,099 ) x 6,79 x 10 = 1,33 x 10 H
( )
-5
1 1,33 x 10
λ2 = 0,22 + 2
5 2 x ( 0,099 )
= 0,044 H
Xσ = λ2 x ω
2
= 0,044 x 2π x 50 = 13,86 Ω
2
pj = R 1 x I1
1
Soit numériquement :
2
pj =1
0,23 x 250,22 = 14,4 kW
II.5.2. Pertes par hystérésis dans les dents statoriques
Dans les dents n’apparait qu’une aimantation cyclique alternative. Aussi, les
pertes par hystérésis peuvent-elles être calculées au moyen de l’équation suivante :
^ 2 x m Z 10-2 x Z1
ph = σ h x f x B
Z1 1
m Z = h Z x Z1m x l a x δa
1 1
Avec :
f = 50 Hz ;
hZ = 50 mm ;
1
Z1m =18 mm ;
l a =580 mm ;
Ainsi :
-3 -3 -3
mZ 1
= 50 x 10 x 18 x 10 x 580 x 10 x 7500 = 3,915 kg
2 -2
ph = 4,8 x 50 x 1,4 x 3,915 x 10 x 90 = 1657,45 W
Z1
= 1,6 kW
pW Z1
= σ ω ( St x f x B
1
^ ) m Z x 102 x Z1
1
2
= 19,2 x ( 0,5 x 50 x 1,4 x 10 ) x 3,915 x 10 x 90
3 2
= 828,72 W = 0,8 kW
Les pertes magnétiques au stator s’évaluent alors à :
pmag = p h + pW
1 Z1 Z1
ph ^ 2j x m j x k h x 10-2
= σh x f x B
j1 1 1 j1
m j : la masse de la culasse
1
k h : Un facteur de correction tenant compte qu’a sur les pertes par hystérésis la
j1
( De + Dméd ) ( De - Dméd )
mj = π x x la x δa
1
2 2
Dméd = Da + 2 hZ 1
De = 1070 mm
( 1070+950 ) ( 1070-50 )
mj = 3,14* * *580*10 -3 *7500* 10-6
1
2 2
= 827,73 kg
2 -2
ph = 4,8*50* 1,4 *827,73*10 *1,08
j1
= 4205,13 W =4,2 kW
II.5.5. Pertes par hystérésis dans les dents rotoriques
Elles sont calculées par :
ph ^ 2 * m Z *10 -2
= σ h *f 2 * B
j2 2
Avec :
^ Z = 1,3 T ;
B 2
f 2 =g f 1 =0,125*50=6,25 Hz ;
σ h =4,8 ;
m Z =* l a * δa SZ ;
2 2m
Où:
π ( D22 - D2i )
SZ = - Sb * N 2 - l f * h 4 * N 2
2m
4 cor
m Z =580*10−3 *7500*0,0127=55,35 kg
2
2 -2
pZ =4,8*6,25* ( 1,3 ) *55,35* 10 =28,06 W
j2
^ 22 * m Z k h *10 -2
ph = σ h * f 2 * B
j2 2 j1
Avec
m j = [ D2 -2 ( h4 - h 1 ) - h j ] h j * l a *δa
2 2 2
=270,93 kg
Numériquement, les pertes par hystérésis dans la couronne sont de:
2 -2
=4,8*6,25* 1 *270,93*1,08* 10
ph ^ j2 ) 2 m j k W *10 2
= σ ω ( St * f 2 * B
j2 2 j1
2
=19,2* ( 0,5*10 *6,25*1 ) *270,93*10 2
-3
=5,07 W
ph+ω j
= p h + pω j j
= 87,78+5,07
= 92,85 W
2
Cmax 1,5 U1
K S= = 3
Cn PU 10
Où :
U 1 =6600 V ;
P U =2500 kW ;
X σ =3,56 Ω
1
: est la réactance de fuite du stator ;
Xσ
X 'σ = 2
1
: est la réactance de fuite du rotor ramené au primaire ;
1
k t
kω N1
k t= : est le coefficient de transformation du courant.
1
kω N2
2
Numériquement :
0,93*212
k t= =1,29
1∗152
' 13 , 86
σ 4= 2
=8 , 32Ω
1,29
D’où :
2
1,5* 6600
kS = 3
=2,15
2500* 10 * ( 0,23+3,56+8,32 )
Conclusion
( )
2
Un
KS =
Udéc
Un
U déc =
√ KS
6600
U déc = = 4501,16 V
√ 2,15
C’est seulement quand la tension du moteur baisse jusqu’à une valeur de
4501,16 V que le moteur peut décrocher. Toute valeur supérieure à U déc est admissible
pour le fonctionnement dudit moteur.
Les normes francaises NF C51 – 111 et NF C51 – 200 spécifinent pour les
moteurs polyphasés à cage spécialement prévus pour avoir au démarrage un courant
inférieur à 4,5 I n, un coefficient de stabilité K S >1,5 .