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NTUMBA NGALU NAOMIE
A toi mon feu beau-père François Badibanga , qui était toujours prêt à
nous encourager à nous perfectionner , puisse le gardiennage des
anges du ciel sécuriser le repos de ton âme .
DEDICACE
A toi mon tendre époux JEAN DE DIEU CIBANGU ,le père de mes
enfants ,sans toi ,je ne serai pas arrivée ici ,trouve à travers ces
mots ,ma gratitude pour ton soutien et motivation .
REMERCIEMENT
Enfin, que tous ceux qui , de près ou de loin ont contribué à cette
perfection mais que les noms ne figurent pas sur cette page ,nous
tenons à les remercier de tout cœur .
INTRODUCTION GENERALE
0.1. Présentation, motivation et intérêts de l’étude.
Le choix de cette étude s’avère donc judicieux d’autant plus que nous sommes
témoins du constat des échecs thérapeutiques qui surviennent chez les patients
sous TARV au centre hospitalier de Kabinda (CHK), ce qui a conduit à initier
cette réflexion, dont nous pensons qu’elle portera les intérêts suivants :
Sur le plan scientifique : cette étude offre une base de données aux futurs
chercheurs qui voudraient approfondir la question de la discrimination et
la stigmatisation. Ce travail est un instrument d’éveil de conscience sur
les méfaits de la discrimination et stigmatisation des PVVIH surtout en
ce qui concernent l’observance du traitement, qui est un gage du maintien
d’une bonne charge virale (CV) ;
Sur le plan personnel ; ce travail nous permet de mettre en pratique, nos
connaissances et compétences d’agent de santé communautaire pour
participer à la lutte contre ce fléau ;
Sur le plan social : le présent travail est un instrument d’éveil de
conscience sur les méfaits de la discrimination et stigmatisation des
PVVIH, surtout en ce qui concerne l’observance du traitement, gage du
maintien d’une bonne charge virale.
0.2. État de la question
L’état de la question est une orientation qui vise à établir le parallélisme entre
l’esprit de la recherche présente et celui des recherches antérieures (Kitaba KYA
Ghoanys, 2006).
Il existe plusieurs études réalisées dans le cadre ou milieux différents, afin
d’étayer la pertinence de notre étude, nous présentons un condamnée des
quelques études ayant trait avec notre sujet.
En Afrique, André Ngamini (2006), relève dans son étude que les
personnes les plus victimes de la stigmatisation sont les PVVIH: jeunes,
personnes désavouées sur le plan matériel ou celles ayant une mauvaise
perception de leur santé. La stigmatisation est plus ressentie chez les couches de
population les plus vulnérables. De plus, la stigmatisation apparaît comme un
obstacle majeur à une bonne adhérence aux traitements ARV chez les PVVIH à
Ouagadougou.
Les autres auteurs soulignent certes que les PVVIH gardent silence de
la nature et les formes de la discrimination. Ils n’évoquent pas, par ailleurs,
l’existence de la stigmatisation. Le silence constaté autour des réactions sociales
et particulièrement, autour de la stigmatisation et la discrimination accentue, à
notre sens, l’ignorance de la gravité de celles-ci et constitue une limite
importante à une prise en charge globale des personnes atteintes par le
VIH/SIDA dans le contexte congolais (OMS, 2006).
Bien que des progrès notables aient été enregistrés dans les traitements
du VIH, des barrières pour le succès à long termes persistent. Aujourd’hui, on
est unanime sur le fait qu’une adhésion des patients au traitement est nécessaire
pour le développement de la maladie (Delpière, C.et al, 2003).
Malheureusement, on constate que m’adhérence aux traitements ARV reste
inachevable pour certaines PVVIH (Valentin,G, 2005). Les médecins sont
régulièrement confrontés à la difficulté du suivi de leurs prescriptions ou
adhésion au traitement (Owfong, et al, 2003).
Les personnes vivant avec le VIH et le SIDA doivent pouvoir vivre selon
la santé positive, dignité et prévention, au sein de leur communautés, un tel
contexte favoriserait à coup sûr une vie positive et d’acceptation, le ressentir
d’une dignité conservée auprès de soi-même et d’autrui, et la participation
active à des activités de prévention pour épargner les dangers aux autres et à soi-
même. Leur exemple d’ouverture peut donner aux autres une perception de
risques et de leur expérience, contribuant ainsi aux efforts de prévention, de
prise en charge et de traitement (ONUSIDA 2005)
Au niveau mondial, un outil a été développé pour mener des enquêtes sur
la stigmatisation et les discriminations. Ils s’agit de l’index mesurant la
stigmatisation et les discriminations subies par les personnes vivant avec le VIH
à travers le monde, développé par the global Network oj people ling with
HIV/AIDS (GNP+) en collaboration avec l’ONUSIDA, the international
community oj Women Ling With HIV/AIDS (IWC) et the international Planned
Parenthood Fédération (IPPF) (Ministère britannique du développement
International)
RDC, à ce jour, le bureau des Nations Unies pour les droits de l’Homme
(BNIDH) a mené des enquêtes sur la stigmatisation et la discrimination des
PVVIH dans les provinces du Bas-Congo et du Katanga. Les résultats de ces
enquêtes n’ont cependant pas produits les effets escomptés.
L’UCOP+, sur le financement du fond mondial et avec l’appui de la
faculté de science sociale de l’UNIKIN et PNMLS, a utilisé le même protocole
de recherche pour poursuivre ces enquêtes en Kinshasa. Ces enquêtes
parcellaires n’ont pas pu établir des évidences globales sur stigmatisation et les
discriminations associée au VIH en RDC, mais ont de même permis de collecter
des informations préliminaires indiquant que les institutions de santé, les
milieux de travail , les foyers, les communautés de foi et les milieux de la justice
sont les plus concernés par la stigmatisation et les discriminations des PVVIH
(MSP/PNMLS : RDC, 2012)
Ainsi, diverses actions sont menées pour lutter contre ce fléau notamment
l’atelier organisé par la fondation Mzée Laurent Kabila en Décembre 2009 en
vue de renforcement des capacités des leaders religieux. Sur la lutte contre le
SIDA. L’une des recommandations de cet atelier était la réalisation des enquêtes
sur les discriminations notamment en milieux religieux. Cependant, le problème
du non que l’évidence pour asseoir les stratégies et activités de lutte contre la
stigmatisation et les discriminations à l’endroit des PVVIH et PAVIH en RDC
persistant (MSP/PNMLS : RDC, 2012)
De ce qui précède, une question attire notre attention dans cette étude de savoir :
Quel est impact de la discrimination et de stigmatisation des PVVIH sur la
survenue des échecs thérapeutique aux ARV ?
Par définition, une hypothèse est une proposition anticipé une relation entre
deux termes qui selon le cas, peuvent être des concepts ou des phénomènes.
Une hypothèse est ce l’on suppose, ce que l’on admet pour vrai présomption qui
demande d’être vérifié (G Gratwiltz,1973)
En ce qui concerne notre étude, nous formulons l’hypothèse suivante : la
discrimination et la stigmatisation entraineraient le manque de soutien
communautaire et l’inobservance des traitements chez les PVVIH lesquelles
seraient sources des échecs thérapeutique.
Un travail scientifique n’a de fondement logique que s’il est de pourvue des
méthodes qui proposent des orientations générale quant aux façons d’aborder
l’Objet d’étude, et de techniques qui spécifient comment accéder aux
informations, constituant aussi la méthodologie (G Gratwiltz, 1973)
Dans notre présent travail, les méthodes suivantes seront mises en œuvre pour
attendre les objectifs fixés :
Elle consiste à récolter les données existant déjà dans la littérature antérieure,
nous l’avons chaisier parce que la documentation joue un rôle primordiale pour
une idée générale du sujet et comparer la réalité sur terrain à notre conception
surtout ici, en matière de recrutement.
C’est ainsi que nous avons été dans diverses bibliothèques, consulter des livres.
Nous l’avons choisi parce qu’elle permet de faciliter l’expression libre des
enquêtés sur diverses questions posées pour les approfondir le plus complément
possible.
1
CHAPITRE PREMIER : CADRE THEORIQUE
Les personnes qui vivent avec un problème de santé mentale (et les
membres de leur entourage) font face à d’autres formes de stigmatisation.
L’auto-stigmatisation est la réaction de la personne appartenant à un groupe de
stigmatisé qui retourne l’attitude stigmatisant contre elle-même.
L’auto-stigmatisation est en fait une conséquence directe de la
stigmatisation. En ce sens, la lutte contre la stigmatisation sociale peut avoir
pour effet de diminuer l’auto-stigmatisation. Toutefois, cette dernière mérite
une attention particulière, car elle entraine chez la personne une perte d’estime
d’elle-même, de confiance, d’espoir et un phénomène de discrimination
anticipée, c’est-à-dire que la personne s’abstient de faire certaines démarches
comme trouver un emploi, parce qu’elle s’attend à un échec en raison de la
discrimination.
Le schéma illustre aussi des approches transversales qui sont en quelque sorte
des lignes directrices à suivre pour optimiser les chances de réussir un projet ou
une action de lutte contre la stigmatisation.
Finalement, le schéma propose des exemples de cibles qui peuvent être
spécifiquement visées par le projet ou l’action de lutte contre la stigmatisation
Goffman, E (1963).
Tableau n°1
I.2.2.3. Cibles
Les travailleurs de la santé, incluant les milieux de formation ;
Les jeunes de 12 à 18 ans ;
Les médias incluant les milieux de formation ;
Les milieux de travail ;
Les intervenants premiers répondants (exemple : policiers), incluant les
milieux de formation ;
Les personnes et les membres de l’entourage ;
La population locale et régionale .
Elle peut aussi être faite en mesurant les effets : par exemple,
combien de personnes vivant avec un problème de santé mentale ont été
embauchées dans l’entreprise à la suite d’un programme de lutte contre la
stigmatisation ?
Selon les contextes, les types de collectes de données peuvent toutefois se
révéler complexes, mais cela ne devrait pas constituer un frein à l’évaluation.
L’important est de rester critique par rapport aux effets de nos actions. Ainsi,
certaines techniques plus simples peuvent tout de même donner des pistes pour
mieux comprendre la portée de nos initiatives.
Par conséquent, les hommes et les femmes sont souvent traités différemment
lorsque l’un ou l’autre est infecté par le Virus ou supposé l’être : on blâmera
probablement davantage une femme, quand bien même aurait-elle été infectée
par son mari, et les femmes infectées sont probablement moins bien acceptées
par leurs communautés (Parker R. et Aggleton P. 2003)
Ce phénomène est lié aux inégalités entre les sexes existant depuis
longtemps, fondées sur les idéologies concernant la masculinité et la féminité
qui ont fait porter depuis toujours aux femmes la responsabilité de la
transmission des infections sexuellement transmissibles de toutes sortes, et la
culpabilité d’une supposée promiscuité sexuelle. De la même manière, les
accusations portées contre les homosexuels et les transsexuels se fondent sur la
stigmatisation de longue date liée à leur style de vie et à leurs pratiques
sexuelles.
Les stéréotypes fondés sur la race et l’ethnicité sous-tendent également
la stigmatisation associée au SIDA. Par exemple, on a associé à l’épidémie des
suppositions racistes concernant la sexualité africaine et une vision des pays en
développement de comportement immoral en occident. Enfin, la vulnérabilité au
VIH des communautés vivant dans la pauvreté a renforcé la stigmatisation
existante des personnes économiquement marginalisées (Maluwa M, Aggleton
P. et Parker R. 2002)
Lieu de travail :
Refus d’accorder un emploi en raison du statut sérologique, dépistage du VIH
obligatoire, exclusion des personnes séropositives des régimes de prévoyance ou
des prestations médicales.
Ecoles :
Refus d’inscrire des enfants affectés par le VIH, ou renvoi des enseignants
séropositifs
Prisons :
Ségrégation obligatoire des personnes séropositives et exclusion de ces dernières
des activités collectives (Malcolm A. et al 1998)
Dans de nombreux pays, des lois ont été promulguées en vue restreindre les
droits des personnes et des groupes affectés par le VIH. Il s’agit entre autres des
éléments suivants :
Dépistage et test obligatoires de groupes et individus ;
Interdiction de recruter des personnes vivant avec le VIH pour certains
postes et certains types d’emploi ;
Isolement, détention et examen médical, et traitement des personnes
infectées obligatoires ;
Restrictions concernant les voyages à l’étranger et les migrations,
notamment le test VIH pour les personnes demandant un permis de travail
et expulsion des étrangers séropositifs.
La discrimination peut survenir par omission, par exemple les lois, les politiques
et les procédures visant à redresser et à sauvegarder les droits des personnes
vivant avec le VIH ne sont pas appliquées ou font défaut (Malcolm A. et al
1998)
Plusieurs programmes locaux décrits dans les présentes études de cas sont en
train d’être intensifiés du fait des bénéfices qu’ils apportent aux personnes
vivant avec le VIH et aux communautés dans lesquelles elles vivent (Brown L,
Trujillo L, Macintyre K., 2001)
Des mesures contre la discrimination ont généralement été mises en place dans
les contextes institutionnels, en particulier sur le lieu de travail ou dans les
services de santé, et visent à désinstitutionnaliser la stigmatisation et la
discrimination (BUSZA J. (1999)
Les approches fondées sur les droits de l’homme sont notamment les suivantes :
Instituer une action juridique pour s’opposer à la discrimination et autres
violations des droit de l’homme dans divers contextes, organiser des campagnes
de sensibilisation en matière de droits de l’homme, en particulier promouvoir la
compréhension de leurs droits parmi les personnes vivant avec le VIH
(BOSWELL D et Banda I. 2002).
En effet, la stigmatisation par une tierce personne est l’une des formes
de stigmatisations les plus retrouvés chez les PVVIH et peut impacter
négativement la prise en charge du VIH. Elles se manifestaient principalement
par des difficultés d’accès au logement, à l’emploie et par des exclusions
d’activités familiales ou encore des agressions verbales et physiques. Ces
différentes formes de stigmatisation exercées par une tierce personne entrainent
chez les PVVIH un repli sur soi, des sentiments de honte et l’apparition des
symptômes de dépression.
Conclusion partielle
2.1. Méthodologie
2.1.1. Description du terrain d’étude
SITUATION GEOGRAPHIQUE
Le centre hospitalier de Kabinda est situé sur l’avenue Kabinda au numero
243, quartier la voix dans la commune de Lingwala , borné au nord par le centre
hospitalier de Kalembelembe ,au sud par la RTNC ,à l’ est par le camp
Kokolo ,à l’ouest par la boulangerie pain victoire .
HISTORIQUE DU CHK
Pour l’exploitation de nos données nous avons recourus aux différents types des
logiciels EPI data 3 ; 1 ; SPSS 20 ont été utiles pour les analyses statistiques ;
tandis que les logiciels Microsoft Excel 2010 et Microsoft Word 2010 permis
respectivement de présenter les résultats sous forme des tableaux et des
graphiques ainsi que la rédaction de ce travail.
Les variables indépendantes ont été regroupées en trois catégories dont : les
données sociodémographiques des enquêtés, les aspects liés à l’observation du
traitement ainsi que ceux liés au soutien communautaire.
En rapport avec les données sociodémographiques
1. L’âge ;
2. Le niveau de scolarité ;
3. L’occupation professionnelle ;
4. Le statut du PVVIH dans le ménage ;
5. La durée de suivie ;
6. Les sources de financement ;
7. La charge virale .
En rapport avec les aspects liés à l’observance du traitement
1. La prise du tabac et alcool ;
2. Le manque ou espacement des rendez-vous ;
3. La non-réalisation des examens de contrôle ;
4. L’oublie de prise des médicaments ;
5. L’interruption des médicaments suite aux effets secondaires .
5
0
aucune une fois quelques fois souvent
Frequency Percent
70
60 58 58
50
40
30
22 22 20 20
20
10
0
a cause de mon statut pour d'autres raisons ne sais pas pourquoi
sérologique
Frequency Percent
20
18 18
18
16 15 15
14 13 13 13 13
12
10 9 09
8 08 8 08
8 7 07
6 06
6
4 3 03
2
0
15-19 20-24 25-29 30-34 35-39 40-44 45-49 50-54 55-59 60 et
ans ans ans ans ans ans ans ans ans plus
Frequency Percent
25
20 20
20 19 19
18 18
15 15
15 13 13
10 9 09
6 06
5
0
0-6 mois 6-12 mois 1-2 ans 2-4 ans 5-7 ans 8-10 ans plus de
10ans
Frequency Percent
TABLEAU N° 2
Effectif Pourcentage
sexe de l'enquêté Masculin 66 66%
Féminin 34 34%
Niveau de scolarité Non scolarisé 9 9%
Etude arrêté au primaire 10 10%
Etude arrêté au secondaire 39 39%
ou humanitaire
Diplôme d’ état 25 25%
gradué 15 15%
licencié 2 2%
Occupation professionnelle Sans emploi 38 38%
Fonctionnaire de l’état 6 6%
Employé d’un privé 13 13%
Activité commerciale 26 26%
Elève ou étudiant 10 10%
Personnel millitaire 4 4%
Professionnel de sexe 3 3%
Statut de l’enquêté dans le Chef de famille 27 27%
ménage Epouse du chef de famille 20 20%
Enfant biologique 29 29%
Frère du chef de ménage 7 7%
Belle famille 4 4%
Petit fils 5 5%
Amis et connaissance 5 5%
Frère de l’ église 2 2%
Fonctionnaire d’un ong 1 1%
Sources de financement Personnel 30 30%
Salaire de l’état 13 13%
Salaire privé 15 15%
Ong 4 4%
Famille 35 35%
Eglise 3 3%
Appartenance au groupe Professionnel de sexe 4 4%
particulier du VIH Aucune de ses cathégories 96 96%
Il ressort de ce tableau que les caractéristiques sociaux démographique les plus
marquants parmi nos enquêtés étaient les suivantes.
Parmi nos enquêtés, on distinguait 29% de ceux qui étaient les enfants
biologiques du chef de ménage, suivi de 27%qui étaient les chefs de ménage et
20%, les épouses du chef de ménage.
Quant aux sources de financement des soins ,33%payaient les soins hospitalier
par leur propre moyen, 28%, leur financement des soins provenait soit de la
fonction publique ,soit d’une société privée . La famille intervenait à35% dans
le financement de soins. Par ailleurs, on identifiait, 4% des professionnelles de
sexe dans notre échantillon.
100%
92%
90%
80%
70% 66%
60%
50%
40% 34%
30%
20%
10% 09%
00%
charges virales suspect charges virales resistantes
Chi-Square Tests
Value df Asymp. Sig. (2- Exact Sig. (2- Exact Sig. (1-
sided) sided) sided)
0.644
soucie de l'avenir
0.254
culpabilité
prise d'alcool
24%
Chi-Square Tests
Chi-Square Tests
Ces résultats permet de constater que sur 100% des personnes stigmatisées
avaient signalés de bénéficier d’aucun soutient en matière de suivi de soins
(68%), bien que dans ses groupes ,(20%) avaient bénéficier du rappel de l’heure
de prise de médicament, (21% avaient bénéficiés de l’accompagnement au
centre, 13% avaient bénéficiés du suivi de l’évolution du poids par contre (51%)
de non stigmatisés ont été accompagné au centre. (P. Value 0,00).
Chi-Square Tests
Ces résultats démontrent que, la majorité des PVVIH soit 68% de ceux qui ont
déclarés ne bénéficiaient d’aucun soutien financier, appartenaient au groupe
des personnes stigmatisées et discriminées , alors que dans le groupe des
personnes qui ont bénéficiées des moyens de transport (22%) et d’octroyé
d’argent (15%) et 32% achat nourriture.Ce résultat est à noter avec une
différence statiquement significative entre les deux groupes .(P VALUE=0,00)
70% 61%
60%
50% 46%
39%
40%
30% 25% 22%
20% 17%
9% 9% 7%
10%
0%
r t t
ille oi n
eille en tatu
m m cu
ns em s fa ec au
co ol on la av
l'is m u ier
ite
r et té
o
pr
v e cr u
é rs a
d' un
r de m
ga om
lac
er
ilis
ib
ns
se
Chi-Square Tests
60% 56%
50%
44%
39% 37%
40%
30%
23% 24%
20% 18%
10%
00%
r té e ts n
ou en r iér en cu
am
lim ap m au
sa l ica
à ns ed
gé da m
ra
n en
t
e les
u uti dr
co so n
en re
é ap
aid
Chi-Square Tests
Dans les groupes de ceux qui était stigmatisés, 37,3% n’ont reçu aucun soutien
par contre 39% ont reçu un soutien familial et peu ont reçu l’encouragement à
s’alimenté.
02%
03%
03%
olement et mise en quarantaine
05%
19%
j'ai l'apparence d'un malade a cause du VIH
32%
03%
les gents desapprouvent mon comportement
05%
11%
croyance religieuse ou jugement moraux
19%
les gents pensent qu'il est anti d'avoir le VIH d’où ils evitent de 17%
s'assoiciée ) moi 29%
les gents ne complennent pas le mode de transmission du VIH et 07%
craint le simple contact 34%
27%
les gents ont peur que je leur transmette le VIH
66%
00% 10% 20% 30% 40% 50% 60% 70%
Chi-Square Tests
Par rapport à nos résultats ,16% des enquêtés rapportent qu’ils sont souvent
victimes de stigmatisation ou discrimination, par contre 47% confirment que de
temps en temps, ils étaient victimes d’ une discrimination ou stigmatisation .En
effet ,pour qu’il y ait stigmatisation ,il faut d’après Link et AL .(2006) une série
de cinq composantes se suivant dans un réseau en cascade et inter reliées .Ces
composantes sont :
Dans une étude de cohorte prospective, auprès de 148 PVVIH âgées entre 25 et
69 ans, Hinkin et Al (2004) montrent que les personnes de moins de 50ans
étaient moins observances que celles âgées de plus de 50 ans au sein de la
cohorte en général.
Durée de suivi
Nos résultats indiquent que 20% des enquêtés étaient suivi depuis 5 à 7
ans,19% fréquentaient le centre hospitalier depuis plus de 10 ans, alors que 9%
et 6% ont constitué les cohortes suivies respectivement depuis 0 à 6 mois et 6 à
12 mois .Rose Mandefu en 2021 avait constaté que parmi les patients qui
avaient connu un échec thérapeutique 23 ,3% des enquêtés étaient suivi
pendant 6 à 12 mois,25% soit de 0 à 6 mois, soit 24 mois plus tandis que 17,5%
et 6,3% étaient suivis respectivement pendant 12 à 18 mois et 12 à 14 mois .
Nous avons notés une prédominance masculine .Ce résultats est contraire à
celui du rapport 2008 de l’ ONUSIDA qui montre une proportion des femmes de
60% en Afrique subsaharienne ,Haidara dans son étude sur l’évolution de la
charge virale et du TCD4 dans une population des malades traités par
l’association 3TC+d4T+NVP trouve que 72,44% des patients infectés et sous
traitement étaient des femmes .
Niveau de scolarité
Occupation professionnelle
En rapport avec l’échec thérapeutique 66,7% des PVVIH qui étaient discriminé
ou stigmatisés présentaient une charge virale résistante. A l’opposé de 73,3%
des sujets qui n’avaient connu aucune discrimination ni stigmatisation et dont
la charge virale était dans les limites de la normal ou suspect avec une
différence statistique significative entre les 2groupes (P Value= 0,002)
A Ouagadougou, les facteurs associés à l’adhérence sont liés à la façon dont les
traitements sont gérés et dont ce contexte, la gestion est assurée par des
organismes communautaires, les personnes peu impliqué ou moyennement
impliqué dans les associations de PVVIH sont moins adhérentes. Il faut
souligner qu’Ouagadougou les associations communautaires jouent un rôle très
important dans la distribution des médicaments antirétroviraux.
Nos résultats concordent avec ceux des plusieurs autres auteurs (Cooke et
al.1988), Fiihrer et al.1986), qui suggère que moins on a du soutien, plus on est
stigmatisé.
Ces résultats est à noter avec une différence statistiquement significative entre
les deux groupes. (P Value=0,00). Selon Barrera 1986, il existe plusieurs types
des soutiens :
CONCLUSION PARTIELLE
Validation de l’hypothèse
Au niveau descriptif
b) Problèmes
Discrimination et stigmatisation ;
Insuffisance des centres de prise en charge ;
Vente des médicaments.
c) Problème prioritaire
Discrimination et stigmatisation chez les PVV/VIH Sida.
d) Variables
Engagement des bailleurs des fonds ;
Disponibilité d’ARV ;
Disponibilité des structures charges;
Prise de conscience des PVV/VIH Sida ;
e) Contraintes
- Insécurité dans le milieu ;
- Dépression monétaire ;
- Rupture d’ARV sur les marchés ;
- Climat politique non favorable ;
f) Alternatives
1. La Sensibilisation de la communauté et/ou des membres de familles ;
2. Organiser les campagnes de dépistage volontaire dans les centres de santé ;
3. Une prise en charge intégrale de PVV/HIV Sida.
g) Analyse des alternatives
Critère Alternative Alternative Alternative Décision
1 2 3
Faisabilité X X - La première
alternative est retenue
car elle est faisable,
Validité X - X valide et viable.
Celle qui consiste à
Viabilité X X - sensibiliser la
communauté et/ou
Total 3/3 2/3 1/3 des membres de
familles
h) Titre projet
Projet de sensibilisation des membres de famille de PVV/VIH Sida sur la
discrimination et stigmatisation.
4.3. Justification du projet
Si ce projet n’est pas réalisé, les PVV/VIH Sida subiront toujours des
discriminations et stigmatisations. Si les PVV/VIH Sida n’arrivent plus à prendre
les médicaments à cause des discriminations, le taux de la mortalité dû au VIH/Sida
sera élevé.
4.4. Hiérarchie des objectifs du projet
4.4.1. Objectif général
Contribuer dans la lutte contre la propagation du VIH/SIDA.
4.4.2. Objectif spécifique
Sensibiliser 1500 membres de famille des PVV/VIH Sida sur la
discrimination et stigmatisation pendant 3 mois.
Titre du projet : Projet de sensibilisation des membres de famille de PVV/VIH Sida sur la discrimination et stigmatisation.
Objectif spécifique : Sensibiliser 1500 membres de famille des PVV/VIH Sida sur la discrimination et stigmatisation pendant 3
mois.
R2. A.1. Organiser les Nombre de séance par Rapport des A compléter Superviseur et
R.2. Au moins séances de descente ; mois ; activités du sensibilisateurs
R2. A.2. Rédiger les Nombre de modules projet ;
60% membres de
modules de multipliés ; PV réunion ;
la famille de conscientisation ; Liste de
R2. A.3. Multiplier les présence
PVV/VIH sida
modules ;
considèrent leurs R2. A.4. Faire les
descentes ;
frères et sœurs
R2. A.6. Suivre et
atteint du contrôler les activités
du projet.
VIH/Sida 3 mois
de la grossesse
Conseil
d’administration
Coordonnateur du
projet
Comptable/ caissier
Superviseur du projet
Infirmiers Psychologues
Sensibilisateurs
4.8. Diagramme de Gantt
Durée en mois
N° Activités Responsables
Janvier Février Avril
1 Accréditer le projet Coordonnateur
2 Mobiliser les fonds Coordonnateur
Recruter les Equipe du projet
3
personnels
Identifier les Infirmiers
4
PVV/VIH
Sélectionner les Psychologues
5 PVV/VIH
Sensibiliser les Sensibilisateurs
6
membres de la famille ;
7 Suivre et contrôler ; Superviseur
8 Evaluer. Evaluateur
b) Besoins en formation
e) Besoins en déplacement
Unité Coût unitaire Coût total en
Libellé Nombre
comptable en $ $
Déplacement forfait 1 1400 1400
Total 1400
f) Besoins en Evaluation
Coût
Libellé durée Coût total
unitaire
Evaluateur 6 200 1200
Total 1200
g) BUDGET RECAPITULATIF
1. RECETTES 2. DEPENSES
2.1. Dépenses
1.1. Apport local 4993,852 d'investissement
1.2. Apport extérieur Equipements 6 340,00
Fonds mondial 44 944,67 Sensibilisation 2 514,00
S/total1 8 854,00
2.2. Dépenses de
fonctionnement
Salaire 27 700,00
Frais généraux 9 330,00
Déplacement 1 400,00
Evaluation 1 200,00
S/total2 39 630,00
S/total3 48 484,00
Frais bancaire 3% 1 454,52
Total général 49 938,52 Total général 49 938,52
a) L’appropriation
c) Caution Politique
Ce projet intègre les préoccupations des politiques nationales en matière de
santé de la protection des populations dont la finalité est de considérer les
PVV/VIH Sida
.
d) Technologie adoptée
Le projet lié à la sensibilisation de la population, la technologie à utiliser ne
pose aucun problème sur l’environnement.
e) Respect de la culture
Le projet de sensibilisation respecte les principes culturels dans la mise en
œuvre des activités du projet.
f) Respect de l’environnement
L’exécution de ce projet ne présente aucun danger environnemental.
g) L’implication de la Femme et enfant
Le projet tient au respect de l’implication de la femme à tous les niveaux,
étant donné que la femme est la cible de ce virus. On ne peut pas aborder ce sujet
sans toutefois qu’elle ne soit intéressée.
Résultats 1500 membres de la famille Nombre des PVV qui sont Rapport de Les autorités
attendus (au sont sensibilisés sur les considérés ; suivi ; communales
bout de 3 Taux de la mortalité; Rapport de contribuent et
problèmes de la discrimination
mois) l’hôpital ; s’impliquent dans
faite aux PVV/VIH Sida ; Témoignage des le projet
Au moins 60% membres de la membres
Cette étude a porté le choix sur la méthode d’enquête prospective des cas des
échecs thérapeutiques en cours de suivis au sein du centre hospitalier durant la
période de…. Ces données collectées ont fait l’objet d’un traitement minicieux
pour y ressortir les résultats principaux suivants :
RECOMMANDATIONS
Aux ONG travaillant dans le domaine de VIH d’user tous les canaux
nécessaires ( médias, relais communautaire, centre de dépistage de VIH
pour sensibiliser la communauté congolaise et en particulier à Kinshasa
pour leur soutien apporter aux PVVIH.
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