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1. PRESENTATION DU SUJET
La santé économique d’un pays et la nature de ses transactions sont justifiées par le
comportement de la balance de paiement car elle retrace les flux issus des échanges existants
entre le pays et le reste du monde. Ainsi, les rééquilibrages de ladite balance est réalisé de part et
d'autre en ce sens que les exportations et les flux des capitaux investis contribuent favorablement
à l'amélioration de la balance de paiement. La balance de paiement enregistre les mouvements
d’entrés et de sortis de toute nature entre pays se traduisant en importation et exportation. Un
pays ayant une économie solide dégage naturellement un solde créditeur : des exportations qui se
doivent d’être supérieurs aux importations.
C’est ainsi que nos investigations ont été menées sur une étude cruciale et capitale
intitulée : « Flux des capitaux et équilibre de la balance de paiement de la République
Démocratique du Congo»
La RDC est potentiellement riche en ressources minières mais l'entreprise mère qui
est la Gécamines n'est pas dotée d'une technologie à jour et cela fait qu'il y a carence des
exportations due au vieillissement des machines de production contrairement à ses concurrents
dans le secteur minier.
ROLLY KOLIMBO (2011) : dans son article qui parle de « l'impact des
investissements directs étrangers sur l'économie congolaise », il conclut que les investissements
directs étrangers sont très capital dans l'économie congolaise du fait qu'il contribue à la stabilité
de prix, de l'équilibre macroéconomique au niveau de l'économie congolaise .Son travail nous
sera bénéfique en ce sens que nous traitons un sujet sur flux de capitaux où il y'a les
investissements directs étrangers comme une des parties composante.
3. PROBLEMATIQUE
La problématique est l’ensemble des questions auxquelles l’étudiant va taché de
répondre pour lui donner une orientation sur son sujet.
Face à cette situation, une pertinente question faisant ainsi la problématique de notre
travail scientifique :
L’hypothèse peut aussi être dite comme étant « une idée détectrice, une tentative
d’explication des faits formulés au début de la recherche destinée à guider l’investigation
et à être abondante ou maintenue après le résultat de l’observation »
Selon le ROBERT, une hypothèse est une proposition admise soit comme donnée
d’un problème, soit pour la démonstration d’un théorème.2
Ainsi la réponse provisoire à la question posée dans la problématique est que : oui,
les flux des capitaux permettent la stabilité macroéconomique via l’équilibre de la balance des
paiements.
5. OBJET DE LA RECHERCHE
Cette étude trouve ses motivations dans l’optique d’éveiller la conscience et
l’humanité qui sommeillent dans le chef des gouvernants en général et des gouvernés
particulièrement. Comprendre les chiffres issus des transactions inter-nations demeure le moyen
le moins sobre et le plus net de comprendre combien les choses doivent changer et combien nous
devons prendre soin de ce pays par des gros investissements locaux dans les exploitations et
production des biens de consommation et des soutiens d’initiations pour un développement
durable.
1
Dictionnaire LAROUSSE.
2
DICTIONNAIRE LE PETIT ROBERT
6. METHODOLOGIE DE LA RECHERCHE
A. METHODES DE COLLECTE DES DONNEES
Selon DESCARTES, la méthode est un ensemble des règles certaines aux quelles
tous ceux qui y font recours et les observent rigoureusement ne supposeront jamais vraie ce qui
est faux. En outre, nous pensons que la méthode est la voix à suivre (emprunter) afin d’atteindre
le but assigné.
Les méthodes dont on parle ici, qui ne doivent être confondues à la méthode de
recherche qui n’est autre la voie de recherche, sont l’ensemble des moyens mis sur pieds pour
obtenir les données sur lesquelles s’étalera notre travail.
Dans le cadre de notre étude, les méthodes qui nous permettrons de réaliser notre
travail sont les suivantes :
- La méthode analytique :
Le recours à cette méthode dans notre travail est de nous permettre de bien analyser
la structure économique de la RDC en des données de la balance de paiement.
- La méthode comparative
Elle consiste en l’application des faits permettant de déceler les liens de causalité ;
des différences et des ressemblances constatées entre divers phénomènes. Cette méthode est très
efficace dans l’analyse des données car elle nous permettra de mettre sous étude l’analyse de
l’évolution des différentes variables de notre travail.
- La méthode historique
C’est l’ensemble des réflexions qui portent sur les procédés, moyens, règles et les
contextes des théories des travaux historiques. Cette méthode se préoccupe à tracer les
origines des phénomènes, faits sociaux, et leurs évolution dans le temps.
En effet, il est question de la récolte des données existantes dans une bibliothèque,
de consulter les différents ouvrages, TFC, mémoires, notes des cours, ceci dans le souci
d’enrichir notre étude sur le présent sujet.
3
NESTOR NGOY KATAWA : Pour mon travail de fin de cycle, éd. saint Paul, l’shi.p 11.2005
Ce faisant, nous avons porté notre choix sur l'incidence des flux de capitaux sur la
balance de paiement de la République Démocratique du Congo.
Il s'agit de présenter l'intérêt de notre sujet, ainsi notre sujet à un intérêt académique,
personnel, et social.
A. INTERET ACADEMIQUE
Chaque étudiant finaliste de premier cycle doit effectuer une recherche et en rédiger
un travail de fin de cycle qui contribue à faire comprendre un problème d'intérêt général.
B. INTERET PERSONNEL
Ce sujet nous intéresse dans le sens qu'il cadre avec notre formation en sciences
économiques et de gestion, il nous permettra d'enrichir notre connaissance sur les notions des
flux de capitaux, et celles de la balance de paiement. En outre, fiers serions-nous de pouvoir
apporter une pierre à l’édifice par des apports intellectuels à considérer comme solution possible.
C. INTERET SOCIAL
8. DELIMITATIONS DU SUJET
L'élaboration de tout travail scientifique est orientée vers un objectif déterminé pour
échapper à toute généralité. Nous limitons notre travail dans le temps et dans l'espace.
A. DANS LE TEMPS
Ce travail s'étend sur une période allant des années 2016 aux années 2019 dans la
seule vision d’être plus proche des années révélatrices.
B. DANS L'ESPACE
Pour cette étude, nos investigations seront effectuées sur l’intégralité des opérations
et de la position extérieure de la RDC.
9. SUBDIVISION DU TRAVAIL
Le présent travail est subdivisé en 3 chapitres précédés par une introduction générale
qui a présenté la question centrale de notre recherche, les objectifs poursuivis, les méthodes et
techniques utilisées pour mener notre recherche.
Cela dans l’intérêt que ça nous porte à rester sans écarter au vif du sujet.
I. 1. 2. LES CAPITAUX
Dans un emploi courant en sciences économiques les capitaux sont une somme
d'investissements utilisée pour en tirer un profit, c'est-à-dire un stock de biens ou de richesses
nécessaires à une production.
Selon Irving Fisher, les capitaux ont été défini comme étant un ensemble des
ressources hétérogènes et reproductibles dont l’emploi permet, par un détour de production,
d’accroitre la productivité du travail humain.4
I. 1. 3. LE FLUX DE CAPITAUX
4
Cours d’Economie Politique, Tome1, Paris PUF 1966
réalisés dans une optique de logique financière spéculative, alors que les flux à long terme
permettent de réaliser des placements, dans l'immobilier. Les flux de capitaux ont pris une
importance considérable et représente un part essentiel des échanges mondiaux
Dans un cadre général, la balance des paiements est un document statistique qui
recense l’ensemble des transactions économiques et financières d’un pays ou d’un groupe de
pays avec le reste du monde au cours d’une période donnée.
Pour GILLES KOLEDA la balance des paiements est l'ensemble des transactions
d'un pays avec le reste du monde. L’échange de biens et services et flux financiers, est
enregistré dans un document comptable.
a. Balance Commerciale
La balance commerciale est le compte qui retrace la valeur des biens exportés et la
valeur des biens importés.
Elle recense les achats et les ventes d'actif tels que les investissements direct (achats
de terrain ou usine) et les investissements de portefeuille entre les agents économiques non-
résidents d'un pays.
La balance des capitaux est constituée de deux strates avec les mouvements de
capitaux à court terme (ou marché monétaire), et les mouvements de capitaux à long terme
(investissements étrangers et sortie de capitaux).
L'intérêt de la balance des paiements est d'avoir une vision précise des relations
économiques internationales de ce pays. Au royaume unis, les premiers relevés de transactions
commerciales remontent au 13ème siècle et les séries régulières à 1696.des balance des
paiements sont établies depuis 1816, en effet, le mercantiliste pensait que l’information sur les
flux avec l'extérieur étaient primordiales. Dans la pensée mercantiliste, la richesse d'un pays est
basée sur la quantité d’or détenue. Or la balance des paiements va permettre de voir si le pays
dégage ou non un excédent commercial susceptible de générer une entrée d'or dans le pays.
La balance des paiements n'a pas pour mission de calculer un bénéfice ou une perte.
Principe : toute opération qui diminue le patrimoine des résidents s'inscrit au crédit (+)
A) CAS PRINCIPAUX :
Un dépôt d'un non résident dans une banque résidente =hausse des engagements
d'une banque résidente vis à vis d'un non résident.
A l'inverse, toute opération qui accroît le patrimoine des résidents s'inscrit au débit (-)
B) CAS PRINCIPAUX :
Une exportation de biens, services ou titres ; baisse des avoirs des résidents ; signe (+)
Une importation de biens services ou titres, hausse des avoirs des résidents, signe (-)
Les flux résidents → non résident s'inscrivent au crédit (cessions d'actif par les
résidents) ; les flux non résident → résidents S'inscrivent au débit (cessions d'actif par les non-
résidents).
On peut rajouter une troisième manière d'enregistrement des flux. Les flux qui
génèrent une entrée de devises sont notés au crédit (les exportations), les flux qui génèrent une
sortie de devises au débit (les importations). Par exemple, une importation s'inscrit au débit car si
la marchandise entre, les devises sortent.
Flux des résidents vers les non-résidents Flux des non-résidents vers les résidents
Flux générant une entrée de fonds Flux générant une sortie de fonds
Poste 1 : biens
Poste 2 : Services
Il s'agit des revenus du travail et des revenus du capital. Ces derniers s'appellent
aussi revenus d'investissement : revenus des IDE et revenus des investissements en portefeuille,
c'est à dire les intérêts et dividendes.
Il s'agit des opérations sans contrepartie monétaire ou réelle, comme l'envoi gratuit
de médicaments dans un PED, l'envoi par les travailleurs immigrés de fonds dans leur pays
d'origine, l'aide versée par le gouvernement aux PED.
Le long terme est en principe sur une durée supérieure à un an. L'idée de « long
terme » recouvre quelques types d'opérations :
Les crédits octroyés ou reçu dont l'échéance est à plus d’un an.
Tous les IDE car un IDE est un phénomène marqué par une certaine durée de vie, en
général supérieur à un an. L'idée n'est pas choquante même si elle n'a pas un caractère
systématique
Un achat d'action, même s'il porte un faible pourcentage du capital de l'entreprise, est
considéré comme un investissement à long terme car une action peut être de courte durée,
surtout depuis le mouvement de libéralisation financière des années 1980.
Il s'agit des crédits à l'exportation des résidents, des crédits à l’importation des non-
résidents
Exemple : exportations qui ne sera payée que dans 2ans =>crédit sur la ligne
exportations et débit sur la ligne crédit commerciaux
Toute prise de participation de plus de 10% dans le capital d'une entreprise. Volonté
de contrôler l'entreprise. Les IDE correspondent à la création de succursales
Sont des opérations de crédit qui ne sont pas directement liées au financement du
commerce extérieur et qui ne revêtent pas la forme obligatoire. Prêts consentis en francs ou en
devises.
Prêt d'un résident => sortie de fonds (importation de titres de créances ou hausse des
titres de créances) => débit (-) Emprunt d'un résident =>entrée de fonds (exportation de titres de
créances ou baisse des avoirs en titres) =>crédit (+)
Il s'agit des émissions, achats et ventes de valeurs mobilières par les non résident par
résidents à l'étranger. Quand il s'agit de prise de participation, le montant du capital détenu ne
doit Pas excéder 10% du capital de la société, sinon cela est considéré comme un IDE. Le
principe d'enregistrement est le même que pour les IDE.
Les mouvements de capitaux à court
Crédit d'un exportateur à un acheteur étranger => assimilable à une sortie de fonds
=>inscription au débit
Les engagements correspondent aux dettes du secteur officiel vis à vis des
organismes internationaux (FMI, FECOM). Matériellement, ces réserves se présentent sous la
forme d'avoir déposé sur des comptes de banque étrangère, de bons du trésor étrangers, d'or.
b. LA BALANCE COMMERCIALE
Attention : ce qui est positif ou négatif d'un point de vue comptable ne l'est pas
forcément d'un point de vue économique. Un pays riche et en récession peut connaître un
excédent commercial.
d. LA BALANCE DE BASE
BTC + balance de capitaux à long terme. Il s'agit des opérations à caractère durable.
Son solde traduit le résultat des opérations les plus stables d'un pays, celles qui correspondent à
ses forces profondes et qui sont moins susceptible d'être influencées par les facteurs les plus
volatils (spéculation, politique monétaire).
Balance de base + balance des capitaux à court terme du secteur privé nom bancaire
l'idée est d'observer tous les mouvements indépendants de leurs règlements monétaires, et mettre
à part ces règlements. Cela permet de connaître l'origine des variations de la masse monétaire
induite par les échanges avec l'extérieur.
Les opérations qui entrent dans le calcul de la balance globale sont appelées
opérations autonomes, par opposition aux opérations induite qui sont des opérations monétaires.
Celles-ci sont considérées comme résultant des précédentes. Elles regroupent les mouvements de
capitaux à court terme du secteur bancaire et du secteur public (réserves, officielles, avoirs sur
les fonds européens de coopération monétaire, avoir sur le FMI, DTS...) ces mouvements
représentent la variation de la position monétaire extérieure laquelle compense le solde de la
balance globale. Par construction, le solde de la balance globale et la position monétaire
extérieur sont égaux mais de singe opposé. Si la balance globale dégage un solde positif, la
position monétaire est affectée d'un signe (-) : il y'a augmentation des avoirs (hausse des
créances sur l'étranger, augmentation du stock de devises) ou diminution des engagements des
résidents.
Le problème est de savoir où passe la ligne qui sépare les opérations autonomes des
opérations induites.
Une partie de la balance des capitaux concerne l'achat ou la vente d'avoirs officiels
de réserves par les banques centrales. Les banques centrales achètent ou vendent souvent des
réserves internationales sur les marchés des changes afin d'influencer les conditions macro-
économiques de leurs économies.
La balance des règlements officiels met en relation d'un côté le compte courant, le
compte capital en dehors du secteur officiel et de l'autre officiel. Elle indique le déséquilibre de
paiement que les transactions sur les réserves officielles doivent couvrir.
Pour un pays, un chiffre positif dans les avoirs et engagements du secteur officiel
signifie que le déficit courant ou des capitaux hors réserve officielles a été couvert par les
autorités monétaires du pays. Cela indique que les réserves internationales détenues par la
banque centrale diminuent et/ou que les banques centrales étrangères (les non résident)
détiennent plus de monnaie nationale et /ou que le pays a emprunté à des banques centrales
étrangères. L'expression <<déficit de la balance des paiements >> utilisé souvent par les
économistes fait généralement référence à cette situation. Cela signifie que les réserves
officielles du pays diminuent symétriquement, un chiffre négatif dans les avoirs et engagements
du secteur officiel signifie que les réserves internationales détenues par la banque centrale
augmentent.
L’enregistrement des opérations dans la balance des paiements
Crédit + Débit -
E. LA NOUVELLE PRESENTATION
La création d'un grand compte d'opérations financière regroupant aussi bien les
opérations à long et court terme. En effet, la multiplication des instruments financiers ayant fait
perdre de sa pertinence à la distinction long terme. La balance de base à de ce fait disparu.
La balance des paiements est désormais structurée de la manière suivante :
1. Compte de transactions 1.1 Balance des biens et services 1.1.1 Balance des biens
courantes
1.1.2 Balance des services
4. Erreurs et omissions
Tableau I. 4 Nouvelle structuration de la balance des paiements
Cette dernière concerne les autres mouvements d’or monétaire, les droits de tirage
spéciaux, les positions de réserves au FMI pour la banque centrale, et les avoirs en devises
étrangères (en monnaie ou en titres).
Il est noté que ces modifications entraînent une nouvelle définition de la balance
globale. La ligne principale séparant la balance des opérations non monétaire (le haut de la
balance) de la variation de la position monétaire extérieure (le bas de la balance) n'est plus tracée
comme précédemment. Jusqu'en 1993, on séparait les opérations de la balance globale (ou des
flux non monétaire) des mouvements de capitaux à court terme du secteur bancaire et officiel.
C'est ce solde qui était égal. Au signe près, à la variation de la position monétaire extérieure.
Une augmentation des avoirs de réserves est une source de création monétaire pour les
banques.
Chaque fois qu'une banque porte des devises à la banque centrale, son compte à la
banque centrale est crédité en monnaie centrale. Elle dispose donc d'une capacité supplémentaire
de refinancement des crédits qu'elle accorde.
Une augmentation des avoirs des réserves procure à la banque centrale des moyens
supplémentaires pour intervenir sur le marché des changes si elle souhaite.
Par construction, la balance des paiements est toujours équilibrée. Si les achats de
biens et services des résidents aux non-résidents excédent des ventes, le déficit ainsi généré sera
compensé par des entrées nettes de capitaux ou par des prélèvements sur les réserves. Il est
intéressant de comprendre comment cet équilibre se réalise.
Il est parfois question dans la presse d'une balance des paiements déficitaire ou
excédentaire. Cette expression est adaptée car par définition la balance des paiements est
équilibrée.
En fait ce sont les sous balance ou balance intermédiaire qui peuvent être
excédentaires ou déficitaires. Mais l'usage du mot <<balance>> est malheureux car une balance
est une construction comptable équilibrée. Il devrait être question de solde, à la fois expression
et mode de règlement du déséquilibre, permettant l'équilibre comptable de la balance
Pour expliquer cet équilibre, prenons une version simplifiée de la balance des
paiements en prenant deux balances seulement, celle des transactions courantes et celle des
capitaux, en vertu de l’écriture en partie double, la balance des transactions courantes et celle
des capitaux s’équilibrent nécessairement
I.2. PRESENTATION DU CHAMP EMPIRIQUE
De 1960 à 1967, la RDC était parmi les trois pays les plus puissants
économiquement, en Afrique. Il est ici question de faire une présentation simplifiée de la
situation économique de la république démocratique du Congo et faire une analyse évolutive de
la production (PIB) en termes de taux de croissance pour comprendre les différentes phases
conjoncturelles du Congo.
La RDC est un pays potentiellement riche car elle est dotée d’une
base soutenue des ressources naturelle qui indiquent la force de l’économie.
La production minière est justifiée par quelques indices dont les cuivres, cobalt, zinc
diamant etc.
La RDC, pays qui bénéficie d’un avantage très fort, dans les ressources naturelles, et
plis particulièrement dans les ressources minières est appelée à la diversification de son
économie pour que les effets de l’accroissement des activités économique impactent le niveau de
vie de la population par l’intermédiaire de la création d’emploi la diversification de l’économie
la rend performante.5
CONCLUSION PARTIELLE
De ce chapitre ont ressorti les points autours desquels s’articulera la présente étude.
Il nous a été impératif de faire la tour de l’horizon théorique afin d’avoir une idée claire et
précise des différents concepts clés. Depuis l’origine, la balance des paiements renvoie à la
notion de nation. Le dépassement de la nation, puis s’en est suivi une brève exposition du champ
empirique dans son cadre macroéconomique. Avec le développement des firmes transnationale
ou dans le cadre d’union commerciale ou monétaire, ces notions remettent en cause l’utilité et
l’importance du rapport consenti de la présente étude.
5
Rapport annuel bcc, 2015, page 11
CHAPITRE II : CADRE THEORIQUE
Dans ce chapitre, il sera question de présenter différentes théories expliquant le flux
des capitaux et la balance des paiements au sein du pays. S’appuyant sur les différentes théories
expliquant les concepts, nous représenterons les ressources principales permettant ainsi les flux
des capitaux dans les échanges tant nationaux qu’internationaux.
Dans les années 2011, l’activité économique intérieure vigoureuse en 2011, bien
qu’en léger ralentissement, en effet le taux de croissance est estimé à 6,9% contre 7,1 % en
2010. Cette réalisation a été soutenue essentiellement par le dynamisme affichée dans les
secteurs de mines, de la construction de l’agriculture et du commerce de gros et détail.
Dans son PIB, le profit de l’économie de la RDC reste dominé par le maintien à un
niveau satisfaisant de la croissance économique, soit 6,9 %, revenant de 7,1% une année plus tôt.
Cela s’est réalisé dans un contexte économique mondial instable marqué particulièrement par
l’envolée des prix des produits alimentaires et le ralentissement de l’activité dans sa globalité.
Selon l’approche par la production, cette croissance est soutenue principalement par
la vigueur de l’activité qui caractérise les industries extractives, le commerce de gros et détail, le
bâtiment et travaux publics ainsi que l’agriculture.
Considérant l’approche par l’offre, l’activité économique est restée soutenue par le
dynamisme affiché dans le secteur de mines, du commerce, de l’agriculture ainsi que des
bâtiments et travaux publics.
2012, un niveau jamais réalisé depuis quarante ans cette vigueur de l’activité
économique est input able essentiellement à la bonne performance des secteurs primaires et
tertiaire.
Le PIB, exprimé en termes réels, a en effet enregistré une hausse de 9,5% après celle
de 8,5% en 2013 niveau largement supérieur à la moyenne de 4,9%notée au niveau de l’Afrique
subsaharienne.
6
Rapport annuel bcc, 2013, pages 25-26
Cette progression du PIB devrait se poursuivre eu regard aux politiques
conjoncturelles actives et aux réformes structurelles mises en place par le pouvoir publics. Ces
réformes qui ont connu en début de mise en œuvre devront s’accélérer à l’effet d’introduire une
réduction du chômage et des inégalités sociales.7
Autre le facteur structurel interne, ce repli de l’activité économique serait lié aux
contrecoups de l’environnement international marqué par le ralentissement de la croissance dans
les pays émergents et la poursuite de la baisse des cours des matières premières sur le marché.8
7
Rapport annuel bcc, 2014, pages 28
8
Rapport annuel bcc, 2015, pages ,25_26
Toutefois, ce niveau de taux de croissance réalisé reste au-dessus de celui de
l’Afrique subsaharienne estimé, en décembre 2016 à 1,4% après six années de croissance
soutenue, l’activité économique à fortement ralenti en république démocratique du Congo en
2016, en effet le taux de croissance économique a été estimé à 2,4% contre 6,9% en 2015. Le
rythme de progression de l’activité économique a été affecté par la morosité de l’environnement
économique extérieur essentiellement sous l’effet du maintien à de niveau bas des cours de
principaux produits exportés par le pays, conjuguée à une psychose liée au contexte politique.
Enfin : lorsque sont épousées les pressions cumulatives qui s’exercent sur la
demande en récession, ce système économique se retrouve dans une situation d’apparente
disponibilité des facteurs qui caractérise la dépression.
A. Présentation
Appelée aussi théorie de la croissance transmise par les mouvements des capitaux,
cette théorie développée par T.BOGGS (1922), CHARLES RIST (1933), et A.CAIRNCROSS
indique qu’il existerait une relation stable entre le niveau de développement d’un pays et sa
balance des paiements.
Le pays commence à recevoir des capitaux, qui permettent une croissance des
revenus, lesquels entrainent une croissance de l’épargne locale et le pays exporte à son tour des
capitaux.
Cette théorie est optimiste car elle promet à tout pays jeune de devenir un jour entier
et se trouve compatible avec la conception du sous-développement comme simple retard
(Rostow). Tous les pays peuvent devenir riches à la double condition du libre-échange des
produits et des capitaux.
CONCLUSION PARTIELLE
De ce chapitre synoptique sont indiqués les différentes variables théoriques et les
résultats empiriques de l’étude développant une représentation de l’économie du pays sous le
cadre temporel en déterminant son évolution et ses spéculations. Seront ensuite, dans le chapitre
suivant, traités : les données ; et seront déterminés : les résultats issus des informations
financières.
CHAPITRE III : PRESENTATION, TRAITEMENT DES
DONNEES ET DISCUSSION DES RESULTATS
Le but d’une étude scientifique est de mettre en lumière de nouvelles informations
ou à en vérifier d’anciennes afin d’augmenter ou de vérifier les connaissances issues des
résultats afin de comprendre ou d’analyser un phénomène.
Cependant, les flux de capitaux entrant pour investissement dans un pays jouent tout
de même un rôle majeur sur la balance des paiements. C’est ainsi que les mouvements des
capitaux représentés par les opérations financières auraient un impact positif au sein d’un pays.
D’où la suite du travail dans la partie traitant les données des balances des paiements afin de
pouvoir soit affirmer ou infirmer les hypothèses préalables.
Nous présenterons de manière homogène les différents facteurs contenus dans les
balances de paiement des années 2016, 2017, 2018 et 2019 et dégagerons ensuite une
compréhension évolutive de ces derniers.
III.2. PRESENTATION DE LA BALANCE DE PAIEMENT DE LA RDC
La situation des balances de paiement et des flux des capitaux est traduite en ce
contexte en amont par la création des richesses au sein de la nation et en aval par des
transactions et échanges entre nations.
Des années de notre investigation, la balance des paiements s’est avérée comme suit :
9
Mansoorian, A. (2013) On the Monetary Approach to the Balance of Payments, Open
Economies Review, 25(4), 721–737. doi :10.1007/s11079-013-9293-5
LIBELLES Tableau2016 2017 de la RDC (en millions de
III. 1 Balance des paiements détaillée 2018
USD) 2019
C D S C D S C D S C D
I. CPTE/TRANS COURANTS 13 899,5 15 404,4 -1 504,1 13 596,4 14 837,8 -1 241,4 19 007,4 20 679,7 -1 672,3 16 105,0 17 725,3
1. Biens et Services
* Marchandises générales 10 666,1 12 148,8 -11 082,7 10 461,4 11 340,0 -878,6 14 865,9 14 972,7 -106,8 11 796,3 12 942,7
* Or non monétaire 1 219,5 _____
1 219,5 1 086,8 _____
1 086,8 1 100,9 _____
1 100,9 1 387,2 _____
* Transport 63,9 772,4 -708,5 34,6 874,2 -839,6 18,5 1 264,0 -1 245,5 58,8 1 117,4
* Voyages 4,3 59,8 55,5 6,0 67,5 -61,5 60,5 114,8 -54,3 71,1 434,7
* Services/bât. et travaux pub _____
19,4 -19,4 _____
18,1 -18,1 _____
73,3 -73,3 _____
16,1
* Service de pension et d’assu _____
311,2 -311,2 _____
373,1 -373,1 _____
482,6 -482,6 _____
300,1
* Services financiers 3,9 36,0 -32,1 4,4 24,7 -20,3 2,3 116,8 -114,5 1,4 45,0
* Services de télécom, d’infor 5,8 434,8 429,0 6,6 1,1 5,5 3,5 4,6 -1,1 2,1 1,2
* Autres services aux E ses
6,7 188,4 -181,7 7,6 183,4 -175,8 4,0 599,3 -595,3 2,4 232,4
* Services personnels, cultur. 0,1 2,6 -2,5 0,1 2,3 -2,2 0,1 9,6 -9,5 _____
2,5
* Biens/serv. pub. non inclus 43,1 264,7 -221,6 48,9 178,2 -129,3 25,9 136,6 -110,7 15,7 108,7
2. Revenus primaires
* Rémunérations des salariés 16,0 28,5 -12,5 12,0 11,8 0,2 58,4 65,8 -7,4 66,4 74,9
* Revenus des placements 0,8 601,7 -600,9 0,2 1 081,2 -1081,0 14,3 1 715,6 -1 701,3 16,5 1 261,0
3. Revenus secondaires
* Administrations publiques 1 292,6 114,1 1178,5 863,5 161,4 702,1 1 088,7 275,9 812,8 593,4 226,6
* Sociétés fina, sociétés non f 577,5 421,9 155,6 1 064,3 520,7 543,6 1 764,4 848,0 916,4 2 093,7 961,9
II. COMPTE DU CAPITAL 1 ,6 48,0 -46,3 498,5 33,1 465,3 675,0 237,9 437,1 639,8 234,3
* Acqui/cess° d’actifs non fin _____
0,7 -0,7 _____
20,3 -20,3 1,0 48,3 -47,3 1,9 24,3
* Transferts en capital 1,6 47,3 -45,7 498,5 12,8 485,7 673,9 189,6 484,3 637,9 210,0
CAPACITE(+)/BESOIN(-) DE -1 550,4 -776,1 -1 235,2
FINANCEMENT [(I) + (II)]
III. COMPTE FINANCIER -203,3 1121,8 -1 325,1 665,5 1592,1 -926,6 676,1 2 118,2 -1 442,1 1 713,7 3230,0
1. Investissements directs
* Actions/les fonds de plac. _____
1 204,7 -1 204,7 _____
1 340,2 -1 340,2 _____
1 616,8 -1 616,8 _____
1 488,1
* Instrument de dette _____
-272,3 272,3 _____
-292,2 292,2 _____
-209,2 209,2 _____
-133,9
2. Investissements de portef
* Actions/les fonds de plac. 13,2 _____
13,2 0,4 -10,2 10,6 30,9 -7,4 38,3 27,3 -18,8
3. Autres Investissements
* Numéraire et dépôts 386,5 _____
386,5 688,9 _____
688,9 588,8 _____
588,8 1 250,6 _____
* Prêts _____
-252,0 252,0 _____
-202,1 202,1 _____
-287,6 287,6 _____
298,6
* Avances et crédits comm. _____
444,0 -444,0 _____
756,6 -756,6 _____
1 003,3 -1 003,3 _____
1 592,7
* Autres comptes à payer _____
-2,5 2,5 _____
-0,2 0,2 _____
2,3 -2,3 _____
3,3
4. Avoirs de réserves
* Droits de tirage spéciaux -225,5 _____
-225,5 -135,6 _____
-135,6 -72,0 _____
-72,0 35,4 _____
Source : Nous-même sur base des éléments du tableau III.1 et du tableau III.3.
De ce tableau III.2 se dégagent ne réalité dans une vision globale et une clarté des
informations telle que l’évolution des transactions courantes (biens et service) issue des
importations et des exportations ayant passée de -1 504,1M en 2016 à -1 241,4M en 2017 en
solde, soit une diminution des importations d’à peu près 262,7M. Autrement dit, les biens et
services que la RDC est sensée produire et vendre à l’extérieur diminuent aussi de quelques
millions. Ce qui implique en revanche une contrebalance redressant donc la supériorité des
importations lors du solde ou, en terme clair, la dépendance de l’international en terme de
production des biens et prestation des services.
Le changement déficitaire constant, qui s’est fait sentir depuis des lustres en
République d’ailleurs, n’a pas fait silence à en référer au années 2017-2018 s’ayant traduit
respectivement par un passage de -1 241,4M à -1 672,3M. soit 430,9M d’accrus ou 39,37% du
sous-total lié aux importations et 39,79% du sous-total des biens exportés et ces exportations
sont plus massivement les produits minier comme le décrirons dans le tableau III.4 et III.5 plus
loin. En vue d’apercevoir cette évolution, Le solde des transactions courantes était demeuré
déficitaire en 2019. Il s’était établi à 1.620,3 millions de USD contre 1.672,3 millions en 2018,
en raison des déficits infrastructurels importants que connait le pays et qui occasionnent
des fuites massives des capitaux vers l’étranger et près de 99,2 % des exportations de la
RDC ont été constituées des produits miniers et hydrocarbures. Les produits agricoles n’ont
représenté que 0,8%.. Le tableau III.3 ci-dessous regorge les grandes lignes des balances de
paiement sur bases desquelles une analyse graphique sera faite.
0
2016 2017 2018 2019
-1
-2
-3
-4
-5
Interprétation : ces étant restés dans la plupart des mesures négatifs, la réalité économique est
restée par conséquent biaisée en confrontant les exportations par les importations en solde. Un
solde négatif traduit la supériorité des importations face aux exportations. Et donc dans certaines
mesures : le besoin de financement présent ou ayant évolué le long de toutes ces années, et donc
l’incapacité à s’autofinancer ou à s’autoproduire pour répondre aux besoins présents. Toutefois,
le compte du capital, principalement les transferts en capital démontrent une certaine positivité
dans les exportations et donc fait qui a demeuré performant au cours de l’année 2017 mais a
commencé à redresser à petit feu les deux années qui s’en suivent en rapport avec les
importations dont a bénéficié l’économie nationale. C’est ainsi que nous étudierons chaque
branche séparément pour pouvoir dégager sont évolution.
À l’illustration des biens importés et ceux exportés, les tableaux III.4 et III.5 représentent, pour
chaque nature des biens, les valeurs liées à ses transactions durant la période d’étude :
7%
Biens d'équipement
21%
Biens de consommation
, 48% matières premières et semi-
produits
Energie
24%
Les exportations des biens, établies à 13 183,5 millions de USD, ont enregistré une diminution
de 17,4 % en 2019, après une hausse de 38,3 % observée en 2018. Cette évolution a été
influencée par la baisse des exportations des produits miniers et hydrocarbures, principale
composante des exportations congolaises.
o Les services
3000
2000 EXPORTATIONS
IMPORTATIONS
1000 SOLDE
0
2016 2017 2018 2019
-1000
-2000
-3000
Les transferts reçus ont été constitués à 22,1 % des transferts publics et à 77,9 % des
transferts privés. Les transferts publics composés uniquement des donations extérieures ont
connu un fléchissement de 45,5 % en 2019, se situant à 593,3 millions. Cependant, les
transferts privés reçus au profit des sociétés financières, sociétés non financières et ménages
ont connu un accroissement de 18,7 %, atteignant 2.093,7 millions, dont les transferts à
titre personnel, représentant 83,9 % du total.
En 2019, la RDC n’a acquis des actifs non financiers et non produits que pour
1,9 million de USD contre 1,0 million en 2018. Par contre, les actifs cédés ont atteint 24,3
millions de USD après une cession de 48,3 millions en 2018.
o Transferts en capital
Les transferts en capital d’origine publique, reçus, se sont situés à 533,7
millions de USD en 2019, soit une hausse de 1,9 % par rapport à 2018. Ces transferts ont été
essentiellement constitués des dons projets. Par ailleurs, la RDC a bénéficié des transferts en
capital d’origine privée pour un import de 104,2 millions de USD, en recul par rapport au
montant de 150,3 millions enregistré en 2018.
De toutes ces 4 années, les valeurs des capitaux reçus ont demeuré exagérément
supérieures à celles émises. Fait s’allient à notre hypothèse de dépendance de l’international et
de manque de monopole face aux pays étrangers.
LE COMPTE FINANCIER
o Investissements directs
A notre dernière année d’étude, les entrées nettes au titre d’Investissements Directs
se sont chiffrées à 1.354,1 millions de USD après 1.407,6 millions en 2018. Rapprochés
au PIB, ces investissements ont représenté 2,6 % contre 3,0 % en 2018. Il sied d’indiquer que
les IDE entrants sont passés de 1.616,8 millions de USD en 2018 à 1.488,1 millions en 2019.
En 2019, les provinces de Kinshasa, Kongo-central, Haut-Katanga et du Nord-
Kivu ont été les principales zones d’orientation des Investissements Directs Etrangers. Ces
quatre provinces ont absorbé 73,5 % du total des entrées 10. L’évolution des investissement
se dégage donc comme suit :
Investissement en portefeuille. 1
50 46.1
45
40 38.3
35
30
25
20
15 13.2
10.6
10
5
0
2016 2017 2018 2019
o Autres investissements
Autres investissements
2500
-1000
∑ ( y i−Y ) ( x i− X ) 40083821,77
2 =
ρ( x , y )=
√∑ ( y i−Y ) . √∑ ( x i− X ) √100765734,94 . √ 16029612,1
2
40083821,77
ρ( x , y )= = 0,99
40189994,33
Commentaire : La valeur du coefficient de corrélation étant comprise entre -1 et 1, le résultat assez proche de 1 soit 0,99 que dégage
le coefficient de corrélation traduit que les flux des capitaux ont un impact miroir sur les soldes de la balance des paiements.
L’évolution de la dispersion des valeurs est interdépendante : Lorsque les flux des capitaux augmentent, le solde de la balance de
paiement augmente, et lorsqu’ils diminuent, la balance des paiements tend elle aussi à diminuer. Ainsi, nous confirmons notre
hypothèse.
CONCLUSION PARTIELLE
Du présent chapitre ont ressorti les données quantifiables et mesurables au biais
desquelles nous avons pu nous situer avec pleine exactitude sur la nature des transactions ainsi
que l’ensemble des flux des capitaux passés le long de la période d’investigation, soit les 4 ans
d’amplitude et ensuite avons analysé les différents éléments constituant la balance de paiement.
En définitive, c’est après analyse et traitement des données que nous pouvons dès à
présent donner un avis clair et concis sur la question. En effet, plusieurs facteurs constituent une
balance de paiement de par l’aspect des comptes courants et transactions courantes, les comptes
du capital ainsi que les comptes financiers. Ces deux derniers traduisent l’ensemble des
mouvements des capitaux enregistrés au sein du pays.
Dans le souci d’aller plus loin, il nous serait bénéfique dans nos prochaines
recherches de pouvoir investiguer et traiter sur l’impact des investissements rigides que puisse
financer la RDC dans le secteur d’exploitation (agriculture, élevage, bois…) sur l’économie
nationale.
Puisqu’aucune œuvre faite des mains humaines n’eut point manqué d’imperfection,
le présent travail reste ouvert et prêt à toute suggestion ou/et contribution pouvant l’amener à
une quasi-perfection.